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15 réponses de 436 à 450 (sur un total de 469)
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  • #208387
    samix
    Membre

    IV- L’islam et l’homosexualité

    Selon l’Islam, l’activité sexuelle entre gens de même sexe est un péché. Mais cette condamnation explicite ne suffit pas à expliquer l’homophobie musulmane. La consommation d’alcool, par exemple, est également condamnée par l’Islam ; pour autant, elle n’entraîne pas de réaction phobique à l’encontre de ceux qui s’y adonnent. C’est donc que l’homophobie musulmane ne tient pas seulement à des raisons religieuses.

    Quoi qu’il en soit, dans le Coran apparaissent plusieurs épisodes qui semblent justifier l’homophobie. L’histoire de Loth par exemple, est rapportée entièrement ou partiellement dans 13 chapitres différents : 7:80-84, 11:69-83,15:51-77, 21:71-75, 22:42-43. 25:40, 26:159-175, 27:54-58, 29:28-35, 37:133-138, 50:12-13, 54:32-40, 66:10. Ces surates décrivent les forfaits du peuple de Loth, débauche sexuelle, mais aussi vol de caravanes et viol des passagers. Les crimes sexuels du peuple de Loth ne concernent pas seulement l’homosexualité, car ils avaient des rapports sexuels avec les  » créatures mâles « , comme l’indique la surate 26:15, terme générique désignant les jeunes garçons, les bébés, voire les animaux de sexe mâle. Même les actes strictement homosexuels semblent toujours accompagnés de violence. Ainsi, ces hommes de luxure tentent de forcer les hôtes du prophète à avoir des relations sexuelles avec eux. La réprobation qui pèse sur ces pratiques concerne donc à la fois la débauche et la violence sexuelles. C’est pourquoi le peuple de Loth fut détruit par Dieu, qui ensevelit la ville sous un déluge de pierre.
    Dans les termes du Coran, les  » actes du peuple de Loth  » ne sauraient être désignés par le terme homosexualité tel que nous l’entendons aujourd’hui, lorsque nous désignons une relation réciproque entre deux adultes de même sexe, sur la base de l’amour, du respect et de l’égalité. Lorsque les musulmans d’aujourd’hui assimilent les homosexuels au peuple de Loth, ce qu’ils redoutent en fait, c’est d’être violés ou sexuellement manipulés, ce qui n’a rien à voir avec la prohibition religieuse de l’homosexualité masculine ou féminine. Cette prohibition apparaît dans un autre passage du Coran, qui n’évoque pas le peuple de Loth, mais  » la turpitude  » (fahisha) 7 : 33. L’homosexualité est condamnée d’un point de vue théologique, mais ne reçoit pas de sanction terrestre.

    En effet, la réprobation générale qui pèse sur les relations homosexuelles se fonde sur la spiritualité, et n’a pour les individus qu’une valeur éthique. Cette valeur éthique demeure une affaire entre le croyant et son Dieu. Il ne devrait donc pas y avoir de conséquences pratiques ou de punitions terrestres pour les actes homosexuels. Il en va de même pour tous les actes qui transgressent la loi, sans pour autant causer de tort à une autre personne. S’opposant à cette approche libérale, il existe des interprétations selon lesquelles les homosexuels doivent être lapidés. Cette sanction est choisie à dessein, car on veut voir dans les homosexuels d’aujourd’hui une sorte de réincarnation funeste du peuple de Loth : Dieu a fait tomber une pluie de pierre  » céleste  » sur le peuple de Loth ; c’est pourquoi, de même, les homosexuels doivent être lapidés.
    Au-delà du Coran, l’homosexualité semble être condamnée également par le Prophète Mahomet. De manière tout à fait significative, il utilise les termes même du Coran, évoquant ainsi  » les actes du peuple de Loth « . C’est dire encore une fois que ce dont parlent les textes saints n’est pas ce que nous désignons aujourd’hui sous le terme  » homosexualité « .
    Mais au fil du temps, les termes utilisés pour désigner ces réalités subissent une évolution notable. Alors que Mahomet parle des  » actes du peuple de Loth « , les interprétations médiévales comme celle de Al Fakhr Ar-Razi parlent de Liwat. En réalité, l’homosexualité n’est pas toujours condamnée dans les traditions musulmanes. Lorsque les commentateurs anciens évoquent les  » actes du peuple de Loth « , ils condamnent sévèrement le viol homosexuel, mais ils sont bien moins sévères à l’égard de l’homosexualité de deux adultes s’aimant mutuellement. Bien qu’un grand nombre de pays musulmans aient une législation relativement  » tolérante  » à l’égard de l’homosexualité, il est certain que le Coran et les textes islamiques peuvent toujours être utilisées de manière opportune pour condamner l’homosexualité.

    De nos jours, les associations homosexuelles en pays musulman sont rarissimes. En revanche, dans les pays d’émigration, plusieurs organisations se sont constituées comme Al-Fatiha, groupe multi-ethnique basé aux Etats-Unis et en Angleterre, Kelma, en France et en Belgique, ou Yoesuf aux Pays-Bas.

    (Source : mask.org.za)

    Anonymous
    Membre

    بسم الله الرحمان الرحيم و الصلاة و السلام على سيدنا محمد و غلى آله و سلم تسليما
    J’avoue avoir presque les larmes aux yeux, à la lecture cet article du jouranal de Maroc Hebdo. Beaucoup de traits communs avec certains membres de ma famille sont décidemment frappants, d’abord les yeux bleus, mon grand père avait les yeux bleus !!!, l’amour de l’autre, la générosité sans limites, amour du savoir et surtout la fierté et la dignité, sont les principaux qualificatifs, des membres de ma famille, encore une fois merci.

    Nous avons-nous aussi, sur le Mont de Tessala, un site unique, relais des pèlerins de passage de l’ouest (Maroc, Andalousie) vers l’est (La Mec), qui empruntaient ce qu’on appelle le chemin romain dans la région, la famille M’chichia dont je suis originaire s’occupait de ce site.

    Je reçois cette année des amis venus de France, parmi eux des frères marocains, nous allons réaliser des visites du site, J’espère vous communiquer des photos bientôt par le biais de l’Internet.

    Des cousins universitaires sont déjà à la lecture de ces documents vraiment extraordinaires, et enrichissants. Encore une fois, mille fois merci.
    السلام عليكم و رحمة الله

    Mr. M’Chichi
    Sidi-Bel-Abbès.

    #214850
    hafid
    Membre

    Bonjour,

    Je vous écris ce mail afin de vous demander des informations concernant la prétendue conversion du commandant Cousteau à l’Islam.

    En effet, ayant un ami frère muslim depuis longtemps, il y a de cela 2 ans il m’affirma que le commandant Cousteau, suite à un reportage dans la Mer Rouge, aurait découvert que l’eau salée et l’eau douce ne se mélangent pas, cela allant à l’encontre des règles fixées par la science d’aujourd’hui. Il aurait ensuite parlé de cette découverte a un « scientifique » musulman qui lui aurait ensuite appris que le Coran mentionnait déjà l’impossibilité du mélange de l’eau douce et de l’eau salée à l’endroit où Moise aurait écarté les mers (attention je ne sais pas si c’est précisément de cet endroit auquel fait référence le Coran ou s’il généralise l’impossibilité de mélange d’eau douce et salée en TOUT point du globe, ça j’avoue ne pas savoir). Cousteau, face à cette nouvelle, preuve irréfutable que le Coran est un livre SAINT se convertit à l’islam 3 mois avant sa mort.

    Sur le coup, comme tout le monde j’y ai cru. La nouvelle étant si GROSSE que je ne pensais pas que mon ami mentait, surtout que je savais que c’était de bonne foi.

    Puis ces derniers jours je me suis penché sur cette fameuse conversion à l’islam. J’ai cherché uniquement sur le net. Donc il est vrai que ma quête des sources à ce sujet n’est pas ce que l’on peut appeler de FIABLE A 100%. Mais j’ai été surpris d’apprendre plusieurs choses :

    déjà, le commandant Cousteau a été enterré en cimetière catholique.
    Je ne me suis pas arrêté à cette découverte somme toute banale, car je sais que en France on truc l’histoire sur plusieurs points (notamment l’existence de Vercingétorix qui est une aberration de l’histoire mais telle n’est pas le sujet dans ce présent email).

    Je continu donc ma recherche.

    dans l’encyclopédie Cousteau (je peux fournir des informations complémentaires à savoir à quelle page cela se trouve ainsi que les propos MOT POUR MOT qui y sont inscrits si vous demandez + d’informations) j’ai lu que le commandant Cousteau affirme le contraire de ce qui est écrit dans le Coran, que l’eau salée et l’eau se mélange bel et bien et cela plus ou moins rapidement le tout dépendant uniquement de la turbulence. Alors que le passage qui aurait incité le commandant Cousteau à se convertir à l’Islam (voir Sourate XXV, verset 25 ou 23 suivant la traduction possédée) parle de barrière INFRANCHISSABLE entre eau douce et salée.

    Déjà là je commence a mettre sérieusement en doute la parole de mon ami quant a la conversion de Cousteau a l’Islam. Mais je continu encore à chercher.

    La fondation Cousteau a démenti la conversion à l’Islam du commandant Cousteau dans un courrier datant du 2 novembre 1991. Cousteau était donc encore vivant à l’époque, ce communiqué n’a donc pas été transmis après sa mort ! Car beaucoup de musulmans adhérents à cette idée affirme que ce n’est que après la mort de Cousteau que la fondation a démenti et donc que Cousteau n’a pas pu s’exprimer lui-même sur le sujet, cette précision est donc importante, il était vivant au moment des faits.

    Mais je ne m’arrête pas là puisque la rumeur dit qu’il s’est converti 3 mois avant sa mort, donc qu’il aurait remis en cause tout ce qu’il a écrit dans son encyclopédie. Or je me pose la question a savoir : à quand remonte la dernière plongée du commandant Cousteau ? Avait-il encore les compétences physiques de plonger à l’âge de 87ans dans la Mer Rouge ? Personnellement je pense que non et si j’ai bonne mémoire vers la fin de ces reportages il ne plongeait plus, il laissait cette tache à ceux de son équipe, bien plus jeunes (attention je n’ai pas vérifié cela). Toujours est-il qu’il est peu probable qu’il est plongé à l’age de 87ans dans la Mer Rouge. Il est né le 11 juin 1910 et il est mort le 25 juin 1997.

    Enfin pour terminer, je me suis intéressé aux arguments adversaires affirmant haut et fort que le commandant Cousteau s’est converti à L’Islam. Les arguments sont les suivants :

    On me l’a dit donc c’est vrai (véridique!)

    Mon imam me l’a dit

    J’ai vu la cassette en question où il parle de ça comme quoi l’eau douce et salée ne se mélange pas. Je lui ai alors répondu « ça m’étonnerais puisqu’il s’est converti 3mois avant sa mort et il est mort en 1997 or la cassette sur le reportage de la Mer Rouge date des années 80 donc il n’a pus dire ça durant le reportage que tu dis avoir VU ». A cette réponse j’ai ajouté : « de plus un communiqué de la fondation datant de 1991 précisait déjà que cette rumeur était infondée » (comme dit plus haut). Je ne vous donne même pas les détails et les insultes que j’ai reçus en pleine face suite à mon argumentation.

    Ensuite j’ai trouvé un seul site Internet qui parle de la conversion à l’Islam du commandant Cousteau. Le reste ce n’est que dans les forums donc pour moi inutile, je me moque éperdument des arguments « Incroyable, Cousteau s’est converti à l’Islam ». Pour moi cela ne signifie rien. J’ai donc trouvé un seul site qui parle ouvertement de Cousteau et de l’Islam c’est le suivant : http://www.air-islam.com/liens/Sabre.htm Vous verrez qu’il est peu crédible. De plus dans les divers forums que j’ai visités je surpris de croire que beaucoup sont persuadé que Cousteau, Napoléon, Michael Jackson, Amstrong se sont tous convertis à l’Islam

    Dernier point, j’ai trouvé ensuite deux communiqués de presse tirés de deux journaux du moyen orient (je pourrais donner les pages web par la suite si vous le désirez) disant que le commandant Cousteau s’est converti a l’islam suite à une rencontre avec un Dr. musulman (aucun nom du docteur en question n’a été mentionné dans les 2 COMMUNIQUES !). Je tiens à préciser que cette soit disante preuve ou plutôt devrais je dire INFORMATION PSEUDO-OFFICIELLE (puisque c’est apparu dans des journaux, je suis gentil je concède que se soit de vrais journaux…) je l’ai TROUVE PAR MOI MEME, les défenseurs de la thèse adverse n’étaient même pas au courant de cela, leurs uniques arguments je re-précise étaient « on me l’a dit donc c’est vrai ».

    Voila j’en ai fini avec ce long email. J’aimerais vraiment que vous preniez cette information avec le plus grand sérieux. J’ai personnellement connu deux personnes qui se sont converti à l’Islam en ayant appris que le commandant Cousteau s’était converti lui aussi. Il y a plusieurs techniques utilisées par les croyants musulmans afin de convertir les plus naïfs. Pour les français l’argument est Cousteau, pour mes amis d’origine africaine, antillaise, en clair pour mes amis de couleur noire on leur fait croire qu’il n’y a que le Vatican qui a cautionné l’esclavage en Afrique…ils masquent l’esclavage perpétré par les musulmans sur les côtes orientales africaines (îles de Zanzibar notamment), près de 20 millions de noirs furent déportés selon plusieurs sources.

    Bien entendu il est logique que vous doutiez des biens fondés de mes arguments étant donné que je ne vous ai pas fourni les adresses email où je les ai trouvé. Mais c’est pour la simple et bonne raison que j’aimerai que vous fassiez un document sur la conversion de Cousteau à l’Islam et démontré par A+B que ce n’est qu’un tissu de mensonges. Je pense également que vous avez des contacts, il faudrait rendre l’affaire PUBLIQUE car le danger est là ENORMEMENT DE PERSONNES SE CONVERTISSE RIEN QUE A CAUSE DE L’AFFAIRE COUSTEAU, ne prenez pas ceci à la légère !

    En espérant que mon ami qui est frère muslim me pardonne,

    Cordialement

    Un A.T.


    #214848
    dawy
    Membre

    Salut,
    L’islam qui nous a été inculqué, l’a été d’une facon tronquée.
    Aucuns fkih ne nous dira que les hadiths ont été transcris un siécle si ce se n’est pas plus ,apres la mort du prophète (saws).Tout le monde connait la vulnaribilité de la transmission orale, et son manque de fiabilité.Les exemples ne manquent pas.

    Les musulmans disposent d’un code de conduite qu’est le coran.Le coran qui est clair, limpide et à la portée de tout musulman qui se respecte.
    Pour moi les courants au sein de l’islam sont une bid9A,une source de discorde (malekites ,ja3faties et autes).Dieu a dit wa3tassimou bihibli allahi jami3en wala tafarrakou…………..SAAD).
    Alors quand on te demande de faire la prière en ecartant bien les jambes et de préference bien écraser les orteils de tes voinsins pour barrer le passage à satan, je me pose des questions.

    Quand à notre ami qui a cru innocement que l’eau douce ne peut se melanger à l’eau salée ,sa cuisine lui suffira amplement de laboratoire.

    #213866

    En réponse à : doute sur mon mariage????

    sherine
    Membre

    Ah sa je suis tout à fait d’accord avec toi la fête ou dakka marakchiya 🙂 n’est qu’un passage d’une soirée par contre le mariage c’est à dir la vie du couple c’est pour toute une vie et c’est sa que l’on doit préserver moi et mon futur mari inchallah sa va pas être facile avec les caractère différent que l’on a mais je pense qu’un peu d’investissement de nous deux sa devrait marcher du moins inchallah. malheuresement on entend beaucoup de divorce au bout de deux ans maximum de vie commune et sa aussi sa fait peur t’imagine la vie s’écroule comme sa d’un coup et bien qu’Allah nous éloignent de tout malheur.

    #213865

    En réponse à : doute sur mon mariage????

    Anonymous
    Membre

    Ah sa je suis tout à fait d’accord avec toi la fête ou dakka marakchiya 🙂 n’est qu’un passage d’une soirée par contre le mariage c’est à dir la vie du couple c’est pour toute une vie et c’est sa que l’on doit préserver moi et mon futur mari inchallah sa va pas être facile avec les caractère différent que l’on a mais je pense qu’un peu d’investissement de nous deux sa devrait marcher du moins inchallah. malheuresement on entend beaucoup de divorce au bout de deux ans maximum de vie commune et sa aussi sa fait peur t’imagine la vie s’écroule comme sa d’un coup et bien qu’Allah nous éloignent de tout malheur.

    #212465

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Anonymous
    Membre

    Salut à toi Bouayed , j’espère que tu vas bien .

    Au sujet de votre ancètre Sidi Mohamed ben Ahmed dit  » el gharass « , son histoire est impressionnante, un wali d’exception et qui de plus a laissé des trace historique de son passage . Sa zaouia principale est à anoual ( en direction de talsint ), est qui est encore active.

    Les vestiges de son passage près de Debdou existe encore et une partie de sa descendance y est établie de longue date, et qui ont donné une autre fraction de chorafa ( cousine de celle de oulad sidi ali bouchnafa bien sur). Cette histoire commune des oulad sidi ali et de ces chorfa de anoual dans le sud desertique de l’oriental est riche.

    lors de mon prochain voyage , j essairai d en savoir plus long sur leur histoire, et je t en ferais part.

    Salut à toi Bouayed .

    #212464

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Anonymous
    Membre

    Salut à toi Bouayed , j’espère que tu vas bien .

    Au sujet de votre ancètre Sidi Mohamed ben Ahmed dit  » el gharass « , son histoire est impressionnante, un wali d’exception et qui de plus a laissé des trace historique de son passage . Sa zaouia principale est à anoual ( en direction de talsint ), est qui est encore active.

    Les vestiges de son passage près de Debdou existe encore et une partie de sa descendance y est établie de longue date, et qui ont donné une autre fraction de chorafa ( cousine de celle de oulad sidi ali bouchnafa bien sur). Cette histoire commune des oulad sidi ali et de ces chorfa de anoual dans le sud desertique de l’oriental est riche.

    lors de mon prochain voyage , j essairai d en savoir plus long sur leur histoire, et je t en ferais part.

    Salut à toi Bouayed .

    #213861

    En réponse à : doute sur mon mariage????

    Anonymous
    Membre

    shérine, tout ce qui se passe dans ta tête est tout à fait normal pour une fille, mais crois moi c’est une chose que même les hommes devant une telle decision se perdent. Pourquoi? ben c’est par ce que c’est la decision la plus defficile dans la vie se donner entièrement un une autre personne n’est pas chose facile, par ce que-et c’est surtout pour les filles- c’est un changement de cap c’est le passage de la fille entourée géneralement par sa famille et specialement par sa maman vers un foyer ou c’est elle qui doit donner de l’amour de l’affection et de l’intention à son homme, tout en sachant que son petit coin dans son ancienne demeure n’existe plus, elle devra se contenter de la qualité d’invité dans sa propre maison ou elle a vecu une bonne partie de sa vie.
    Mais il me senmbe que lorsqu’on aime, ou bien lirsqu’on est tombé amoureux on oublie tout ça, car pour un lapse de temps cet amour nous eblouit carrement les yeux qu’on se rends pas compte de la grande decision que nous somme entrain de faire, mais d’un coté s’il ya pas ce moteur qui est l’amour le 2eme acouchement pour chacun de nous qui est le mariage devient trés difficil.
    alors je crois que si tu es tres satisfaite de ton future mari, que tu vois qu il pourra vraiment combler le vide que tu ressentira le jour de ton depart de chez toi ben fonce sans hesiter, mais si tu te marie par ce que tu dois te marier!! ben reflechie 100000 fois avant de le faire, crois moi si tu es amoureuse de ton marie et lui de même en un seul jour ta vrai maison sera celle que tu construira avec ton mari.
    de toute façon je te souhaite bonne chance et trop de maturité.
    mohammed de belgique

    Iznassen
    Membre

    Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.

    Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.

    Berkani d’adoption
    Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.

    Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.

    Des commerçants solidaires
    John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…

    Hassan Hamdani
    Source: TelQuel

    mco91
    Membre

    @Alain wrote:

    Bonjour à tous,

    Pour ma part, je pense que dans ce débat tout le monde à raison …. tout dépend du point vue sur lequel on se place.

    Les pro-FADESA ont raison de dire que ces investissements contribuent au développement économique, les retombées sont indéniables et multiples. Donc il y aura création d’emplois, donc distributions de revenus et par conséquense conaommations et développement du commerce local.

    Les anti-FADESA ont raison aussi de dire que c’est une intrusion massive qui peut altérer les coutumes et traditions locales, et également poser des question écologiques.
    Mais ils ne proposent pas vraiment de solutions économiques.

    En tant que touriste, je déteste une ville comme Agadir, je trouve ça moche, vulgaire et dépassé.
    Pour tout dire, j’ai un jour gagné un séjour de 8 jours gratuit à Agadir, j’ai refusé d’y aller, pour moi c’est le contraire des vacances une ville comme ça. Par contre si ça avait été pour Essaouira, j’aurai vite accepté…. 😛 Je n’irai jamais dans un complxe FADESA

    Une ville artificielle n’a pas de vie, c’est un conglomérat de maisons et d’hotels certes confortables, mais sans âme.
    Et il faut bien reconnaitre que la ville même de Saïdia n’a pas un charme urbanistique considérable pour venir compenser une ville artificielle.

    Alors, pour poursuivre le débat, la question est de savoir s’il faut, maintenir un développement économique en sacrifiant quelques traditions et valeurs, ou s’il s »agit d’un passage obligé afin de préserver le patrimoine d’autres espaces et de créer au passage pas mal d’emplois?

    Ce raisonnement peut être entendu : sacrifice d’une petite partie du territoire au profit du reste de la région, car finalement, le Maroc est assez vaste pour sacrifier 5 ou 6 km de plage. C’est une hypothèse sur le développement…. et je ne sais pas s’il y avait véritablement d’autres choix possibles….

    il y a tjs d autres choix mr alain, nos valeurs et nos principes sont ce qu on a de plus chere!!!on é pas prés à abandoné 1m de notre plage si c été nous qui decidé…ms malheureusement ce né pa le cas
    je di pa ça contre vs mr alain, je le dirai biensur si vous ne respectez pa la moindre valeure de notre société, ms du moment où vs respectez les gens et leurs valeurs vs n oriez jamai un souci

    Alain
    Membre

    Bonjour à tous,

    Pour ma part, je pense que dans ce débat tout le monde à raison …. tout dépend du point vue sur lequel on se place.

    Les pro-FADESA ont raison de dire que ces investissements contribuent au développement économique, les retombées sont indéniables et multiples. Donc il y aura création d’emplois, donc distributions de revenus et par conséquense conaommations et développement du commerce local.

    Les anti-FADESA ont raison aussi de dire que c’est une intrusion massive qui peut altérer les coutumes et traditions locales, et également poser des question écologiques.
    Mais ils ne proposent pas vraiment de solutions économiques.

    En tant que touriste, je déteste une ville comme Agadir, je trouve ça moche, vulgaire et dépassé.
    Pour tout dire, j’ai un jour gagné un séjour de 8 jours gratuit à Agadir, j’ai refusé d’y aller, pour moi c’est le contraire des vacances une ville comme ça. Par contre si ça avait été pour Essaouira, j’aurai vite accepté…. 😛 Je n’irai jamais dans un complxe FADESA

    Une ville artificielle n’a pas de vie, c’est un conglomérat de maisons et d’hotels certes confortables, mais sans âme.
    Et il faut bien reconnaitre que la ville même de Saïdia n’a pas un charme urbanistique considérable pour venir compenser une ville artificielle.

    Alors, pour poursuivre le débat, la question est de savoir s’il faut, maintenir un développement économique en sacrifiant quelques traditions et valeurs, ou s’il s »agit d’un passage obligé afin de préserver le patrimoine d’autres espaces et de créer au passage pas mal d’emplois?

    Ce raisonnement peut être entendu : sacrifice d’une petite partie du territoire au profit du reste de la région, car finalement, le Maroc est assez vaste pour sacrifier 5 ou 6 km de plage. C’est une hypothèse sur le développement…. et je ne sais pas s’il y avait véritablement d’autres choix possibles….

    Alain
    Membre

    DEFINITION DES OBJECTIFS GENERAUX

    Après l’étude des besoins, le projet commence à devenir un peu plus clair.
    On sait mieux de quoi on parle.

    Mais justement, parler n’est pas une formulation précise. Il faut REDIGER.

    C’est le passage de l’implicite à l’explicite.

    Les exemples sont nombreux qui montrent qu’autour d’un projet, on a l’impression que tout le monde est d’accord. Lorsque l’on passe à la phase de la rédaction du projet, alors là, on se rend compte que finalement chacun avait vu les choses à sa manière et que ça ne va pas de soi que l’on soit d’accord sur tous les axes.

    Mettre par écrit, c’est aussi se donner un cadre de référence qui sera la mémoire des décisions.

    LES OBJECTIFS GENERAUX
    C’est l’affirmation des valeurs et des buts de l’association.

    Exemple : l’association a pour but de créer des emplois pour des familles mono parentales.

    L’énoncé des buts doit être clair, simple, compréhensible par tous.

    L’énoncé des buts est ensuite suivi par les valeurs que l’on défend, les raisons qui nous poussent à agir.

    Exemple : l’association a pour but de créer des emplois pour des familles mono parentales.
    Dans la société française d’aujourd’hui, il est de notre devoir de tout mettre en œuvre pour que des mères de famille disposent de ressources générées par leur travail afin de gagner une totale autonomie.
    Cet exemple est réel, il s’agit d’une association dont je suis un des administrateurs qui reçoit principalement des femmes africaines (du nord et du sud) avec enfants qui ont été abandonnées par leur mari, qui ne savent ni lire ni écrire, qui n’ont pas d’emploi, qui disposent des Allocations Familiales et qui ont un logement

    L’association désigne les 2 valeurs du projet : elle indique l’obligation d’une société dite « évoluée » à mettre en place et à financer un dispositif visant à l’autonomie des mères de famille vivant seules avec leurs enfants.

    Il est donc dit clairement que la société civile doit prendre en compte (c’est-à-dire financer) un projet conduisant à l’autonomie à terme. Ce n’est donc pas un projet charitable qui apporte des ressources et fait l’aumône, mais un projet qui prend en charge pour une période LIMITEE dans le temps des femmes qui sont en réinsertion sociale.

    L’association s’engageant en contre partie à créer des emplois pour ces femmes.

    Les buts et les valeurs doivent donc être l’affirmation d’un engagement réciproque entre les partenaires d’une même action.
    Les pouvoirs publics aident, dans le cadre de ses actions, une association qui elle-même s’engage en terme de résultat.

    On voit bien ici que l’étude de marché du chapitre précédent prend toute son importance, car il faut avoir la certitude que l’on est bien en capacité de créer des emplois.
    Il ne peut être question de s’engager sans respecter ses obligations…. Ça marche une fois…. Mais pas deux.

    C’est sur les buts de l’association que l’autorité de tutelle et de contrôle va exercer son évaluation. De cette évaluation dépendra la poursuite des aides ou au contraire l’abandon des aides publiques.

    ENVIRONNEMENT JURIDIQUE des ACTIONS
    Il est impératif de connaître parfaitement les dispositions réglementaires dans lesquelles nous nous inscrivons.
    Pour revenir à notre exemple, il faut connaître les lois et règlementations des différents intervenants publics aussi bien au niveau des actions de la ville, du département, de la région et de l’Etat. Ainsi que les actions des services publics tels que les allocations familiales, les caisses de sécurité sociales, les agences pour l’emploi…..
    Il y a une base de données à construire qui collectera toutes les documentations et tous les textes en vigueur.
    Il faut bien avoir conscience que c’est là un énorme travail.
    Il est indispensable, car lorsque l’on se retrouve en négociation avec l’un de ces services, nous avons tout intérêt à savoir ce que l’on dit, faute de quoi notre crédibilité en prend un sale coup… et l’on a vite fait de vous renvoyer à vos chères études en vous demandant de revenir lorsque vous serez au point.

    L’énoncé des objectifs généraux restent encore à détailler par la présentation des objectifs opératoires…..

    (à suivre)

    #207608
    Msirdi
    Membre

    salut tt le monde

    Ali je pense que tu casse ta tete pour rien .

    y’en a des gens ou leur tete kaynna bissara.

    bon j’ai ete au passage et pour te dire on a l’accord des organisation au maroc pour quoi tu casse ta tete .

    y’en a des gens qui aides pas juste critiquer c tt
    lahaoulla walla kouwata ila billah

    #213504
    reoujdi
    Membre

    rebonjour .j’ai moi-meme vecu en france pendant 8 ans et j’ai ressenti ce besoin de retrouver « mes racines »je ne regrette pas mon passage en france qui m’a appris a tolerer les autres.durant cette periode j’ ai egalement ressenti de l’hospitalité et de l’hostilité mais on ne peux pas plaire à tout le monde.
    mais le fait d’étre passionné permettra surement de surpasser tous les problémes.
    quand au developpement local la ville change tout doucement encore un peu lentement a mes yeux. mais elle change. l’apport de la societe civile est encore peu developpé votre experience associative en france peut etre utile
    cordialement.

    .

15 réponses de 436 à 450 (sur un total de 469)
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