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15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 469)
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  • #279102

    En réponse à : échange d’étudiants

    belhachmi
    Membre

    Bonjour à tous les étudiants d’Oujda à qui je souhaite de brillantes études ( je n’ai aucun doute sur leurs capacités mais sur vos programmes dépassés). En réponse à une personne concernant mon passage à Oujda ma ville de naisance où j’ai passé les meilleurs moment de ma vie je m’insurge contre le laxisme administratif et contre l’opacité de la compétence de vos dirigeants. Bonne journée à vous tous. PS: Si une personne vous tend la main témoignez lui du respect .

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    ACQUITTEZ DSK !
    SOS ERREMENTS EN AMÉRIQUE ET EXACTIONS JURIDIQUES

    Au bénéfice du doute,
    Si c’était ici ou là plus haut, en France.
    Monsieur le ministre, barra, rompez !

    Monsieur le procureur de la République,
    Sauvez DSK du piège où il a trempé !
    Las, ça ce passe chez Obama, en Amérique..

    Humiliation du suspect et des droits de l’homme !
    Pour DSK faisons une marche contre l’Amérique,
    Qui ne comprend pas les plaisanteries,
    Grivoises du Marrakchi et illustre Gaulois.

    Enchainez-le, s’il est malade !
    Et qu’il marche dans les rues,
    À défaut de croix, une pancarte sur le dos
    En tirant la cage de Bouhmara…

    Ou rendez-lui son honneur, à Dominique !
    Mais, il y a plainte de femme ! Ophélie,
    La femme de chambre qui lui fait le lit,
    Fut-elle veuve, noire ou islamique.

    Je ne veux ni carcan ni boulet ni chaîne !
    Enlevez, je vous prie, ces menottes de mes mains.
    Je suis le Président, je lui ai fait une offre, gentiment.
    Je vous jure que je reste digne et innocent.
    Demain de France, je serai le Président.
    J’ai bien quelques privilèges sur les humains !

    Cessez, le pervers, d’être impertinent !
    C’est de la violence et du harcèlement.
    Tu es à New York Strauss Kahn Dominique
    Et non dans une colonie d’Afrique.

    Si les blondes préfèrent des nègres l’usage,
    Les noires n’aiment plus les blancs, ou quoi ?
    On parle de la femme et de ses droits !
    Mais oubliez ces règles, pour une fois !

    Ou cherchez celles qui l’ont figé ou piégé !
    Asservi cet homme au délice des femmes,
    Et qu’à leurs saintes odeurs, en mâle érigé!

    Argent et politique font d’étranges ménages,
    Que les médias rabaissent sur leurs pages
    Aux barbares, aux instincts, d’un autre âge.
    Comme si l’on était sur ces plans, meilleurs
    Que nos aïeux, félins, reptiles et singes
    Des races archaïques et des pays inférieurs.

    LE CHŒUR DES RUES IRRITÉES

    Ils flottent hautains dans leurs arrogantes fiertés :
    Faites de fêtes, de beauté et de richesses,
    De virilité, de force et d’amours nombreuses.

    La rue craque et crie sous ses aliénantes misères.
    La violence fait place à la peur
    Et aux séditions incongrues….

    Indécences ostentatoires, libertés, puissance,
    Perversités insouciantes, illégitimes jouissances,
    Opulences torrides, face aux indigences,
    Aux malheurs fréquents et la pauvreté inhérente.

    Impertinente santé, immatures offenses,
    Que la vieillesse jalouse ou inquiète et prudente,
    Traite d’erreurs de jeunesse et d’insolences.

    Les vieux magnats, jamais las de leurs sceptres
    Veulent souffrir en paix, avant de partir à regret,
    Dans l’espoir de mériter un autre paradis.
    L’Éden qu’ils vivent déjà sur terre !

    PARABOLE DE SABA
    A OPHELIE

    Entre deux vols, le nectar pour aliment,
    Un papillon blanc traque une fleur brune.
    La rose se pâme, le pétale rouge voltige,
    Avant de choir et de clouer l’impudent.

    Dans sa chute des étages de la tour,
    Croyant avoir affaire à une roturière en perdition,
    Une soubrette aguichante, plébéienne, prolétaire,
    Un meuble de plus, pour une chambre onéreuse…

    La fille de Guinée et de la reine de Saba,
    Servante dans un hôtel et non pas du Démon,
    Se vit charriée, étendue sur l’autel !
    Un lit dans l’Olympe, d’un gratte-ciel
    D’un célèbre hôtel où se refugie Satan.
    Son nom se perd dans le firmament.

    A NY, en presqu’ile de Manhattan
    Elle crie, se sauve et brûle sans peine,
    Le fis de Salomon, à l’allure de Cohen.
    DSK , déesse et dieu pour les intimes,
    L’athée du sexe est devenu mécréant
    Le talisman sémite a rompu ses charmes.

    Star de l’économie, richissime socialiste,
    Célèbre coquin de la faune hébraïque,
    Libertin par culture, il en a le physique.

    Il voulait aller aux œuvres sans lui chanter,
    Dans sa langue maternelle, les Psaumes
    De son illustre ancêtre et éminent parent.
    Car il devait faire vite, emblème du coq,
    Pour ne rater ni l’avion ni son coup lubrique !

    Le ciel est bleu, les nuages sont rouges
    L’avion laisse une trace au dessus des oiseaux..
    L’aéroport est vite cerné, entièrement !
    Les gratte-ciels, comme le sexe, sont en berne.
    Adieu la banque du FMI !
    Adieu Anne !
    Adieu la vie !

    Hélas, ses ennemis du célèbre lobby,
    Le surveillent et le guettent, pardi !
    Il y a des ennemis même chez les purs,
    Des envieux qui jalousent le grivois.
    Ses valeurs, son blin-blin érotique,
    Ses frasques de légende et son fric.

    Oui, je parle comme Jean d’un complot,
    En cette somptueuse Amérique,
    Devenue sombre et satanique.

    Demandez à Oussama qui le clamait si haut,
    Et qu’elle le noya, selon les us dans l’océan,
    Pour frimer devant ses supposées victimes,
    Celles des Twins et des milliers d’innocents !

    Oublieux qu’il était Président et futur roi,
    Ils lui tendirent un piège loufoque,
    Sachant qu’il allait tomber dedans !

    Ce sont de simples divagations de fabliau,
    Et non des certitudes ou des partis pris,
    Qu’il fallait écrire pour vous les conter.

    Pour servir celle aux yeux bleus,
    Qui d’habitude nous conquière,
    La belle Sinclair, si prête à devenir,
    La première et future dame de France,
    Pour donner sa belle tête à Marianne.

    Et toi sombre Ophélie, Diane d’un soir,
    Nafissatou Dialo, amazone de Sofitel,
    Au regard furtif d’un œil conquérant,
    Ténébreux et brillant comme l’éclair,
    Que t’a-t-il fait, cet eternel amant ?

    Sybarite, faune égarée du vieux mâle,
    Ténébreuse chasseresse du magnat,
    Régicide de l’empire et du futur Tzar,
    Que t-a-t-il fait ce manant ?

    LE TEMPS DES AILES

    Dis, que reste-t-il des amours dans ces lits ?
    Et des couches que tu changes chaque jour ?
    Ophélie ? Ô folies !

    Que retiens-tu colombe du sillage des ailes ?
    Que retiens-tu mer du murmure des vagues ?
    Tu étais la lune et les étoiles au firmament !

    C’est le pas effacé d’une ombre sur le sol,
    Celle d’un homme usé, sans mémoire,
    Ailes tremblantes et plumes de même.

    Oublié de l’histoire, malgré ses pairs.
    Oublié de Dieu quand il refit la terre
    Et du paradis quand il emplit d’anges le ciel.

    Une rature sur une page d’écolier,
    Une feuille sans traces sur la terre !
    Clin d’yeux obscurs dans le noir du passé
    Inexistence dans l’avenir effacé…

    COSMOGRAPHIE

    Que retiens-tu comète du cours des étoiles ?
    Que sais-tu, ô Lune, de la voie lactée ?
    Du cosmos, de la galaxie et de l’univers !

    De l’arc-en-ciel et des nuages en escaliers ?
    Du parfum des amants qui convolent,
    Dans les rêves d’enfants
    Qu’on avorte ce jour !

    Où vont les vents quand cesse la tempête ?
    Que reste-t-il de ces fumées d’avions
    Qui tracent les destins au dessus de nos têtes ?
    Et de ces ondes opaques qui parcourent
    L’espace, peuplent les airs et les astres ?

    Coquille d’œuf, sous le bec du poussin
    Que l’aigle épie de ses yeux perçants.

    Telle est notre berceau et tombe, la Terre :
    Le feu dans le ventre, ses volcans explosent.
    La vague océane et ses violentes secousses,
    Fait valser les continents et dériver les îles.
    Écaille terrestre sur les raz-de-marées,
    Gé, la fossile surnage, errant sans boussole.

    ÉLÉVATION VISCÉRALE

    Du cloporte aplati et sans âme
    Au cafard trash, sans tête ni ailes,
    Piqures de mouches et de vermines,
    Ses antennes triturent le purin répugnant.
    Vomissures de microbes et superbes fruits
    Engrais et semences que sont vos aliments
    Je lis dans vos viscères une surprenante nature
    De beaux fruits et des réveils en douleurs

    Une goutte perle sur la feuille qui tremble dans l’air
    Je suis cette goutte irisée de pluie sur la dune
    Cette feuille qui grelotte et chancèle sous le vent
    Comme nous, il y a des billions et plus qu’une
    Qui sont disséquées par le sol et le temps

    Qui sont ces gouttes et ces feuilles ?
    Ces vents et ces odeurs qui saturent l’espace,
    Et puis s’en vont, sans laisser trace
    De leur passage dans le néant ?

    Qui peut nous compter et nous suivre ?
    Surveiller ces atomes et ces gènes,
    Qui composent nos entités et nos vies ?
    Ou les rassembler et les faire vivre…
    Ne serait-ce qu’un instant !

    La lumière et l’ombre, la fumée,
    Le sillage des eaux, le silence ?

    C’est une voix qui n’a jamais chanté
    Un livre au secret, jamais ouvert,
    Une âme sans parfum,
    Un corps sans odeur, muet,
    Des Joues sans joie,
    Un œil mutilé sans pleurs.

    DR IDRISSI MY AHMED; Kénitra, 22 Mai 2011

    #206858

    Sujet: Le mythe Ben Laden

    dans le forum Débats
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Le mythe Ben Laden
    .

    Obama, aux anges, à Fort Campbell, dans le Kentucky, reçoit les GI du commando Navy Seals qui ont participé au raid d’Abbottabad, pour déloger Ben Laden de la villa pakistanaise où il gitait depuis 7 ans, dit-on ! Mais cela n’enlève rien à un sentiment souvent partagé et dubitatifs de trahisons, de fausseté, de fausse vérités et de conspirations. Une paranoïa de complotites et de machinations qui fait école !
    .
    Questions et mensonges ou manipulations et incompréhensions ? Je veux bien croire au mythe et en comprendre la légende. On fabrique un héros ou un truand, on le médiatise, on le politise, on le mondialise. On en fait des livres, des films, une épopée en série, une idéologie, , un conflit. Et pour finir une légende qui complaît et qui reste telle une enluminure emblème d’un grand destin. Sinon, un monstre une allégorie pour faire peur aux enfants ! Mais, il n’est facile d’enterrer les mythes fondateurs, ils sont la civilisation ou ce qu’il en reste. Spartacus, Géronimo et des centaines d’autres sont désormais dans le firmament.
    .
    OK, assertion banale, mais que l’on a tendance à oublier tant elle est massive et injuste : la vie est un struggle où les plus puissants dominent la terre. Statu quo difficile à changer aussi ! Tous les ‘’ismes’’ politiques ont tenté de le faire sans succès. Exploitation, arrogance, permissivité impunité et tortures restent les’’ privilèges’’ de ces castes qui se partagent le pouvoir terrestre. Mais, quand la forfanterie issue de ces sphères, tente de démocratiser l’info, pour justifier ses frasques bellicistes et qu’elle agite un fantôme de plus, c’est le comble de l’ineptie et de l’indécence. Si on prend les gens pour des imbéciles, ce n’est pas la peine de le leur dire ! Mais, si c’est un plaisir de plus, pourquoi s’empêcher de se l’offrir ?!
    .
    La fin de Bel Laden ! Le filon Ben Laden, le vieil acteur d’une série interminable, a vécu la fin de sa saga. Des Twins aux filiales qui ont emprunté son label en délocalisant ses franchises, les péripéties où on l’a invoqué, vont le rendre increvable, sans lui payer de royalties ! Mais, voilà qu’une mise en scène, digne en apparence d’Hollywood, se termine en queue de radis. Il manque à l’affiche la tête du principal acteur. Ou, est-ce la version choc, d’un type Hitchcockien, récent. Alfred relevé de son sépulcre crie à la manip ! La presse va titrer, un acteur qui a joué sur les planches durant 20 ans, s’est évaporé, sans sosie ni doublures ! Et cela, en pleine action. Les acteurs qui l’ont délogé l’ont gommé du générique ! Mais, quel film a-t-on visionné au cabinet de crise d’Obama et de Mme Clinton ? On voyait la bellissime grande dame, ahurie sur la photo, si étonnée, à croire la version officielle. Était-ce vraiment la descente du commando, CIA et GI- de fiction, qu’ils regardaient à l’ouvrage, on-live, extemporanément ? Ou un autre épisode d’une série oc-culte !
    .

    Photos horribles insoutenables ? Pourquoi Saddam et sa pendaison publique nous a-t-elle été livrée par le bienséant Mister Bush ? N’était-ce pas horrible ce jour de l’Aïd, que cet acte surmédiatisé offert à la vindicte planétaire, aux fins d’humilier, tous les musulmans de la terre, par l’inénarrable GWB ! Ben Laden a été tué parce qu’il a essayé, de se défendre, son fils et sa femme aussi. Il a été enterré en mer, selon le rite musulman. Curieux comment l’Amérique connait si bien l’Islam et en promotionne les rites en pleine mer ! Ça doit faire rigoler ses requins et les autres poissons, immergés de nature !
    .
    Dépassant la version des  » noyeurs de cadavre en mer, » ils auraient pu l’égorger le Ben Laden, pour faire plus de sang et plus de cinéma ! Du sang et de la fête pour tous les ‘’yeuteurs’’ de la terre ! Alors, plus de gladiateurs pours les nouveaux Césars ? Fussent-ils juifs ou d’un beau brun? Rome est-elle morte en Amérique ?
    .
    Imbroglio autour de l’immersion. Toujours selon le  » rite musulman, tel que pratiqué par les ‘’noyeurs’’, liquidateurs, effaceurs de Bel Laden. On aurait pu nous offrir un plus ! Comme pour la ‘’fête du mouton’’, selon le rite allégué. Mettre le moribond sur un autel, plus hébraïque encore, nous montrer les tremblements de la victime expiatoire, le bonhomme le plus détesté de l’Amérique ! Et récolter son ADN pour l’identifier, ou sa semence pour le pérenniser, parce que les morts violents, ça éjacule, curieusement ! Allez, dites plutôt qu’on l’a immergé, selon  » le rire musulman ! Une autre façon de noyer le poisson. Une manière de le baptiser pour l’au-delà, afin d’atteindre les profondeurs du rire et du dénigrement ! Mais, là on badine avec le bon Dieu en se moquant de tous les hommes de la terre, les athées y compris ! Les metteurs en scène américains ont préféré alimenter les poissons et le doute ! On se moque de qui ?
    .
    A part la tête, bien grosse et celle peinturlurée du Web, pas une fois la tête de ce bonhomme n’est apparue sur le Net. A contrario, ce richard, devenu fellaga et vicaire à la fois, a souvent donné de la voix. On a trop surfé sur ses prétendus messages. Des discours inventés, au besoin, des justificatifs de la politique américaine, lancés pour servir la presse à partir du stand d‘Al Jazeera ! On n’a jamais demandé à Al Jazzera qui lui fournissait les discours enregistrés du renégat, pour le pister! On n’a rien fait, par éthique. Rien fait pour montrer mort ce vieillard ou mourant de ses blessures ! Non ce serait odieux pour les yeux qui ont vu les Twins éclater et s’affaisser. Lui qui a peut-être disparu depuis plus 10 ans, en laissant un fond de commerce machiavélique. On n ‘a pas cessé de lire de fausses déclarations, mises sous son compte, sur la chaine d’une Jazzera, achetée ou complice de mal-informations. Assez pour usurper et grossir la vindicte internationalisée et permettre à des actes autonomes se produire, sans rendre compte aucun !
    .
    Voilà un moribond, qui depuis 12 ans ou plus est sous épuration pour insuffisance rénale et qui continue de défier les plus grandes puissances mondiales…S’il était resté vivant, on l’aurait maintenu ‘’sous perfusion médiatique‘’ pour servir la cause antiterroriste américaine…Et s’il était déjà liquidé, après Bora Bora, son image, son avatar étaient bien en service encore pour justifier la campagne américaine, la mission occidentale anti intégriste et antiterroriste! Le spectre représentait un symbole, une cible de référence, une idéologie à combattre, une tête d’identification et de reconnaissance hirsute, facile à mettre comme enseigne à cette nébuleuse effroyable et terrifiante, à ce fantôme, qu’on a plus ou moins créé à partir de rien. On l’aura par machiavélisme laissé prendre forme, pour faire peur aux gens et justifier toutes les invasions. Justifier, tous les impérialismes et ses vices et vicissitudes, tous les fascismes, tous les totalitarismes ressuscités ou consolidés pour contrer ce fanatisme combattant, taxé d’extrémisme…Justifier partout toutes les hostilités que le monde dominateur et civilisé oppose aux guerres dépitées, sales et barbares. La suprématie de l’Amérique et de l’Occident, leurs places inéluctables et invincibles sont à ce prix ! Le pétrole et Israël, entre autres, sont les cases d’un jeu d’échec où la prééminence de l’Amérique est la pièce maîtresse du puzzle, pour tous les événements qu’elle commet et prépare, pour gagner et garder sa place dominatrice dans le monde.
    .
    Le chef d’al-Qaida a été liquidé par les forces spéciales américaines. OK ! Les Navy Seals l’ont abattu d’une balle en pleine tête et puis d’une autre au dos. Bravo ! Oui, son visage aura été trop amoché. On ne voulait pas effrayer le monde ni irriter les bons musulmans. Pourquoi et quand les musulmans auraient-ils été tous d’accord avec le mercenaire américain devenu subitement son félon ? Pourquoi seraient-ils heureux de ce qu’on lui impute d’avoir causé de nuisible en Amérique ?

    Ou, par dérive et entremise de sa Qaeda, au reste du monde, et que rien n’assure pour véridique aujourd’hui ? Depuis quand le monde a-t-il peur des horreurs, avec ces millions de morts tués sur tous les fronts, asiatiques et européens, lors des guerres, européennes, coloniales ou d’expansion, lors de ces guerres imposées aux uns et aux autres ? Les gens ne sont-ils pas vaccinés et plus avachis que jamais, pour supporter le regard pétrifié d’un ‘’monstre qui aurait tellement fait mal à la pauvre Amérique’’! Avec tellement de films d’horreurs, qu’est-ce qu’on ne peut pas supporter comme images de cinéma ! Et ces généraux et présidents, lynchés, pendus, descendus de leurs avions, ces fosses communes de Kosovars, ces masses d’Africains noyés dans les lacs, ces milliers de morts, tués sur tous les fronts. Non monsieur Obama, nous avons tellement vus de crimes à Gaza, en Palestine, dans les écoles et même en Amérique et encore pas loin de Marrakech, que la vraie tête de Oussama, ou des ses acolytes, directs ou par Internet, ne nous auraient guère émus. Et cela quelle que soit sa part de vengeance, dans les crimes que lui impute l’Amérique !
    .

    L’Exécution de Ben Laden disqualifie les Etats-Unis. Assassinat ou exécution légitime ? Avait-on le droit de le tuer ? Non, même Ben Laden aurait mérité, mort ou vif, un jugement international, à l’instar des nazis, et que les siens en fassent leur deuil. Et qu’il ait une sépulture à la mesure de notre humanité moderne retrouvée. En théorie didactique du moins ! Pourquoi faire disparaitre son corps. Cet acte effacera-t-il la Qaeda ? On a prétendu que ce geste de commisération a été cogité pour éviter de sanctuariser le Ben Laden. De lui faire faire des adeptes et des émules au héros si maladroitement martyrisé ! Devenue subitement si pusillanime, de quoi a peur l’immense et belle Amérique ? Ben Laden, s’il avait une tombe n’aurait guère été reconnu comme une légende, ni été sanctifié comme un Pape, pour devenir un Saint demain. Encore moins, comme un leader, digne de ce nom. Vous avez tellement assombri son image, vérité ou montage, depuis tout ce temps !
    .
    Ce que personne ne blaire, c’est l’image que l’Amérique donne d’elle-même à travers le monde à force d’injustices, de fausse démocratie, d’amalgames et de manigances, sales collées sur le dos d’un zouave poussé à la réclusion et à la religiosité ! Un gars made in USA, qui a mal servi sa mère l’Amérique, et qui aura par trop servi à sa cause impérialiste. C’est une affaire interne de mafia, où l’un des agents aura mal tourné, un point c’est tout !
    .

    On nous aura servi tout un plat durant une décennie. Une intox indigeste et une manipulation de longue haleine durant dix ans. Un clash, servant une cause, usant désinformations non stop et de mensonges, pour sortir enfin les alliés des USA de leur guêpier afghan. Et maintenant, une fois éteint les foyers irakien et afghan, dans quel film réel iront tourner les délicieux vandales de la belle Amérique ?
    .
    Un abus de confiance qui nous fait accroire qu’une bâtisse imposante, cernée de murs hauts de 4 mètres, un bastion, à Abbottabad à quelques kilomètres de la capitale d’Islamabad, la capitale du Pakistan, serait méconnu de leurs moqadmine el haouma et des voisins ? Un hôte de marque, wanted comme un criminel, super recherché, qui ne rencontre ni délateurs ni chasseurs de prime, et ce au su et au vu des fidèles du terrorisme, des démocrates et des militaires du Pakistan…’’Incredible’’ ! Un non-sens pour un gouvernement d’un pays sur ses dents, un pays militarisé, détenteur qui plus est de bombes nucléaires. On se moque de qui ? Plus encore, quand on attaque son sanctuaire en hélicos et que personne au gouvernement pakistanais ne semble au courant ? Bizarre, bizarre, pour la Navy ! Le tout à la frontière du Cachemire et si loin de la mer ! Un criminel international, recherché, méconnu des services pakistanais, qui ne sont pas au courant de l’attaque ? Voilà qui laisse dubitatif ! Ça laisse comme un creux ! On se moque de qui, diriez-vous ? On ne croit même plus ce qu’on nous montre ! On ne croit plus en rien. On est devenus des athées de la politique et des infos. Ces dieux sont des bleus ! Ils meuvent des ombres chinoises. Délurés, on gère en spectateurs incrédules les infos. On les ingurgite, comme pour accepter une indigestion passagère, en attendant que passent les coliques d’images et que les évènements et les urnes changent d’hommes.

    .
    Idrissi My Ahmed 06 05 11
    .

    #206829
    mounavri
    Membre


    Lekhwiya Sports Club (parfois retranscrit Lakhwiya) est un club qatari de football basé à Doha.

    La semaine dernière, l’équipe de Lekhwiya a créé la sensation au Qatar en devenant le premier club dans l’histoire du pays à remporter le championnat de première division l’année de sa montée. Au passage, le promu a mis un terme à l’hégémonie d’Al Gharafa, qui restait sur trois sacres consécutifs de champion.

    Ce premier titre dans l’histoire de Lekhwiya doit beaucoup à son entraîneur algérien Djamel Belmadi, l’ancien milieu de terrain de l’Olympique de Marseille revient sur le parcours atypique de Lekhwiya dans la Stars League 2010/11 et évoque ses ambitions pour le club, ainsi que ses espoirs pour le football algérien.

    Voici seulement 2 questions d’un interview :

    QUESTION(1) : Vous venez d’entrer dans l’histoire avec Lekhwiya. Qu’est-ce qui a rendu cet exploit possible ?
    D.BELMADI : C’est ce que tout le monde se demande ici ! Comment un promu peut-il remporter le championnat de première division dès sa première année parmi l’élite ? Derrière cet exploit, il y a bien sûr plusieurs raisons. Je crois que c’est le professionnalisme et la détermination de toutes les personnes concernées, des dirigeants aux joueurs en passant par l’encadrement technique, qui ont fait la différence. Sans oublier la discipline. C’est une partie de mon travail ici. J’ai essayé de transmettre l’expérience et certaines méthodes que j’ai acquises en Europe, pour que les joueurs aient un sens de la responsabilité et du professionnalisme.
    QUESTION(2) : Pour revenir un instant au football algérien, quel regard portez-vous sur la génération actuelle, qui a participé à la dernière Coupe du Monde de la FIFA ?
    D.BELMADI : L’année dernière, l’Algérie a évolué à un très haut niveau. Elle s’est qualifiée pour la Coupe du Monde et a réussi à atteindre les demi-finales de la Coupe d’Afrique des Nations. Je reste persuadé qu’en Afrique du Sud, nous aurions pu passer le premier tour. Mon souhait le plus cher est que la Fédération algérienne de football et les joueurs professionnels de mon pays fassent de leur mieux pour développer le football sur place. C’est la seule façon d’avancer. Après la Coupe du Monde, on a senti un certain découragement. Nous avons perdu un match à domicile contre le Gabon. Heureusement, nous avons enchaîné par une victoire contre le Maroc dans les qualifications pour la prochaine CAN. Ça faisait très longtemps que nous n’avions plus battu le Maroc. L’Algérie doit continuer de travailler pour s’améliorer dans tous les compartiments du jeu.

    #278953

    En réponse à : problème avec la connexion

    Alaa-eddine
    Participant

    @mounavri : merci pour le message, allah y7afdek khoya 🙂

    @oualid : j’ai rencontré pas mal de pb lors du possage aux nouveaux serveurs pour oujdacity et en même temps j’avais ajouté quelques fonctionnalités au forum sans avoir le temps de tout tester :p …
    j’ai encore fais quelques tests hier normalement ca devrait être bon, en tout cas si l’un de vous rencontre le moindre problème n’hésitez pas à me contacter en mp ou sur [alaa.eddine (at) oujdacity (point) net] .
    faites passer le message aux autres membres si vous les croisez 😉

    au passage je viens de remarquer un autre bug que je viens de corriger : quand on est pas connecté et on clique sur « Répondre » pour répondre à un sujet, puis on se connecte, on est redirigé à l’index du forum et non pas au sujet auquel on voulait répondre. celà ne devrait plus se produire 😉

    #278949

    En réponse à : problème avec la connexion

    Alaa-eddine
    Participant

    Normalement le problème n’est pas lié à facebook, celà pourrait être lié au passage à un nouveau serveur pour les sites oujdacity.

    Pour l’édition je pense qu’il s’agit d’autre chose : tu ne peux pas éditer un message si une réponse a été postée derrière, même si c’est toi qui a posté cette réponse. peux tu me confirmer que c’est bien ca que tu rencontre ou autre chose ?

    quand tu dis que tu ne peux pas rester connecter sans passer par facebook, tu peux m’expliquer le cas étape par étape STP ?

    #206819
    mounavri
    Membre


    Notre défenseur National et joueur de l’Udinese Mehdi Benatia n’a vraiment pas oublié son passage à Marseille (2005-2006). Interviewé par (un journal sportif étranger)ce vendredi (25 MARS2011), l’international marocain a déclaré que José Anigo l’avait tout bonnement «dégoûté du foot» : «En janvier 2006, Saint-Etienne me veut. Mais José Anigo, directeur sportif de l’OM, annonce que le club ne me laissera partir qu’à l’étranger. Pendant la première partie de saison, je m’entraînais avec les pros et soudain, on m’envoie travailler avec la réserve. Anigo m’avait carré, comme on dit, il ne me calculait plus. Arrive le fameux match PSG-OM où l’OM fait jouer les minots. Moi, ils ne m’avaient pas convoqué, alors que j’étais capitaine de la réserve…»

    Une mise à l’écart qu’a réfutée José Anigo dans le journal : «Quand il dit que je l’ai carré, ce n’est pas vrai. Si ça l’était, il n’aurait pas signé un contrat Elite chez nous en 2005. (…) On s’est peut-être plantés sur Mehdi. C’est vrai qu’on n’a pas vraiment cru en un projet avec lui. (…) Si sa rancoeur à mon encontre lui a donné de la volonté et lui a permis d’avancer, tant mieux pour lui, vraiment.»—-(Extrait)

    #206810
    zoromoro77
    Membre

    Pour ceux qui se demandent depuis quelque temps maintenant, comme moi, pourquoi le mouvement du 20 février leur inspire un étrange sentiment de malaise, je dirais simplement que c’est peut être parce que ce mouvement est entrain de devenir le réceptacle de toutes les déceptions, de toutes les frustrations et de tous les échecs collectifs et individuels des marocains…. Probablement parce qu’à la base il a été « conçu » pour ça.

    Savez-vous quel est le slogan « retenu » pour le 20 Mars ? Et bien c’est la dignité (Karama)… Traduisez dignité toutes les traductions possibles, vous comprendrez alors qu’il est possible d’avoir des millions de gens dans la rue avec tous les risques de dérapage qu’on peut imaginer… des gens chauffés, insatisfaits, frustrés et déçus, chacun pour une raison particulière…. Mais chaque raison particulière peut être facilement insérée dans le grand cadre de « Karama »…

    Les manifestations « sponsorisées » par le « mouvement du 20 février » ont quelque chose de contre nature, d’étrange, de bizarre… En effet, le propre d’une manifestation c’est « la clarté de l’objectif»… On sort dénoncer une loi, rejeter une décision, soutenir un peuple opprimé… Or pendant les manifestations du 20 février, j’ai eu droit à une vingtaine de réponses à la simple et bébête question: « Pourquoi tu es là s’il te plaît ? »… Il suffisait de voir les pancartes brandies ici et là pour se rendre compte de l’étendue des « revendications »… Existe-t-il un régime dans le monde, aussi puissant, aussi riche soit-il qui puisse répondre à des revendications aussi variées, aussi « personnalisées » que 10.000, 100.000 ou 1 million de personnes? Peut être mais moi je ne le connais pas encore.

    Ce qui m’inquiète avec le mouvement du 20 février c’est l’ambiguïté qui le caractérise… chacun parle au nom de tout le monde sans savoir qui est qui… Certains ont même décidé de parler au nom du peuple (Achaâb yourid)!! Toi et moi, cher lecteur, avons aujourd’hui des portes paroles autoproclamés… quel bonheur !

    Le mouvement du 20 février est ambigu car à part une cinquantaine de « têtes d’affiche » (Oussama Lakhlifi par exemple), on ne sait pas grand-chose sur les « autres »… Même sur Internet on doit s’identifier pour accéder à facebook…. Ici on n’en a pas besoin, il suffit que tu décides de sortir manifester dans la rue aux dates qu’on te « fixe » (quelle que soit la raison pour laquelle tu vas sortir d’ailleurs) et là, bienvenue dans le Groupe…. Tu revendiques quelque chose, alors tu fais partie du mouvement, tu fais partie du mouvement, alors tu revendiques quelque chose… C’est simple comme bonjour.

    Ça ne vous inquiète pas, vous, qu’un « mouvement » aussi indéfinissable, aussi insaisissable, « appelle » à une manifestation millionnaire le 20 mars ? Ça ne vous choque pas, vous, encore plus, de voir des « journaux » relayer l’appel avec un enthousiasme qui laisse songeur ? Un enthousiasme qui refroidit toutefois dès qu’on leur demande: Mais c’est quoi ce mouvement au juste Messieurs? Quelles sont les limites de sa responsabilité? De quel droit « appelle-t-il » les gens à sortir occuper l’espace public ? Quel est son statut ?

    A ces questions légitimes, les « parrains » du mouvement te demanderont d’aller voir ailleurs… et si tu insistes, ils te traiteront même de « baltaji », insulte suprême dans ces temps de « révolutions » arabes…

    En réalité ils te traitent de « baltaji » parce que dès que tu poses ces questions, tu mets la main sur la vraie nature de la « chose » : Le mouvement du 20 février est en réalité un label, le « sponsor » officiel de tous ceux qui ont une raison pour sortir manifester… une forme indéfinie qu’on veut nous faire avaler comme la source de tous les bonheurs qui vont se bousculer à nos portes… Même le Roi, il « parait » qu’il a cédé au « mouvement » !

    D’ailleurs, en parlant du Roi, pensez-vous que son dernier discours va calmer le mouvement ? Non, moi je ne le pense pas…. Tout simplement parce le « mouvement » du 20 février correspond au modèle de l’avalanche : une boule de neige qui se forme quelque part en haut de la montagne et qui à fur et à mesure qu’elle avance, elle prend de la vitesse et du volume pour, enfin, détruire tout sur son passage… Qui se souviendra des conditions de sa formation? Personne… Ici la neige ce sont les revendications, à la tête desquelles il y’a la Constitution… pour le moment !

    Ce qui m’inquiète c’est qu’aujourd’hui le « mouvement » et ses « jeunes » sont devenus un fond de commerce pour beaucoup… Pour des journalistes qui ont perdu soudainement leur sens très développé de la critique pour « tomber » sous le « charme » du « mouvement »… Le « mouvement » et ses « jeunes » sont devenus également un fond de commerce pour des organisations marginales qui ne représentent qu’elles-mêmes et qui ont trouvé dans le « mouvement » la bouée de sauvetage pour sortir de l’anonymat tout en « affirmant » sans sourciller qu’ils ne sont là que pour « soutenir » les « jeunes »…. Des jeunes qui jouent de plus en plus le rôle des lièvres des courses de demi fond… Des lièvres qui impriment le rythme à la course avant de « dégager » pour laisser la place aux autres, ceux qui savent finir les courses… les vraies !

    Ce qui m’inquiète, enfin, c’est cette « proximité » qui existe entre le « mouvement » et des organisations qui sont tout sauf l’incarnation de la démocratie… Des organisations qui rêvent, au propre comme au figuré, du jour ou la première victime tombera… Des organisations qui ne « comprennent » pas comment le Roi peut-il initier la réforme, eux qui ne conçoivent les réformes que comme le résultat de la « lutte »… Eux pour qui les droits n’ont de la valeur que lorsqu’ils sont « arrachés »… Dans le sang? C’est toute la question…

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROC

    A messieurs les Président et Secrétaire Général du Conseil National des Droits de l’Homme

    Monsieur le Président Si Driss El Yazami,
    Monsieur le Secrétaire Général Si Mohamed Sebbar,

    Vous venez d’être portés à la tête de ce nouveau Conseil National par SM le Roi. Et ce, dans une phase critique du monde arabe, bénéfique pour l’évolution du Maroc, au sein d’une humanité en effervescence qui l’impacte du fait de sa place géostratégique avancée, prééminente, vulnérable, mais enviée de par son accès à la culture volontariste des droits de l’homme et de la démocratie agissante.

    Nous vous souhaitons santé et succès, pour la plus grande satisfaction de SM et du Peuple marocain, qui aspirent à faire progresser les libertés et la dignité de tous, dans la cohésion et la paix.

    Admirant votre parcours et vos qualités, nous sommes heureux pour vous et pour notre pays, satisfaits de votre gestion militante des affaires des droits de l’homme nationales. A cet effet, nous tenons, au nom de l’AAMM, des médecins, pharmaciens, des cadres et des malades qui la composent et l’aident, d’ajouter nos hommages respectueux et sincères à votre militance.

    Nous voudrions attirer votre inestimable sympathie et votre compréhension en tant que responsables de ce nouveau Conseil. Nous espérons vous convaincre de la valeur de notre thèse humanitaire. Nous vous invitons à faire vôtre, notre approche, en vous en félicitant d’avance de votre honorable adhésion.

    C’est très donc avec esprit d’à propos que nous vous invitons à vous pencher sur ces entraves à l’éthique et à la raison simple, que sont les Taxes sur les soins et les médicaments. S’adressant aux malades et exploitant uniquement ceux-là, ces entraves sont des punitions iniques qui ajoutent leurs exactions matérialistes fiscales, sordides et sournoises, aux maladies ! Car ces taxes punitives sont indirectes et invisibles aux yeux des malades .Qui plus est, elles les sanctionnent parce qu’ils souffrent !

    Ces pénalités que nous conspuons et dénonçons depuis sept ans, devant tous les cadres et décideurs de notre pays, sont des entraves aux droits des malades et par là aux droits de l’homme tout court, que vous vous êtes illustrez à défendre, contre vents et marées ! L’administration, vous en convenez, n’a pas à exploiter les souffrances de ceux qui sont déjà aliénés par la maladie !

    TVA et Taxes de Douane frappent les malades ! Tous ceux qui sont enfermés dans leurs fièvres et leurs douleurs et enchainés à leurs maladies. Fussent-elles mineures et fréquentes ou funestes et tragiques ! Ce drame confine les malades dans une situation de masochisme. Cette tragédie est tellement banalisée que malades et prescripteurs, juristes et financiers, voient dans cette pratique fiscale une habitude légalisée ! Ces viols constants et consentis en sont devenus une habitude malsaine. Une routine qui confine cet état à un syndrome de Stockholm !

    Le fisc trouve naturelle une rubrique qui exploite les souffrances des malades ! Ce ne sont que des marocains, se diraient-ils, qui n’ont personne pour les réveiller ou les défendre…Ni pour leur ôter les boulets et les chaînes qui les entravent…Sauf que cette pratique est devenue une ineptie, de plus en plus fausse, sous le régime de Mohammed VI. SM qui ouvre les opportunités à des Cadres comme vous et qui peuvent conseiller l’Etat, afin de reformer les lois absurdes, héritées comme des outrages inconscients, des méthodes passéistes, qui se révèlent humainement odieuses !

    Ce sont des inepties que nous médecins ou malades concernés, abhorrons au point de les considérer, sans respects ni pudeur, comme les pires arnaques que l’on puisse appliquer sous couvert de la loi. Et ce, au vu actuel du respect indu aux personnes malades et malgré notre degré de perception, au Maroc, des hautes valeurs des droits humains.

    Ces exactions morales, qui exploitent les malades, ce sont en fait les Taxes de Douane et de TVA sur les médicaments et que nous dénonçons vivement ! Respectivement de 17 plus 7 %, ces outrances cumulent un surcroit de 24 % sur chaque étape des soins. Et ce, sournoisement, indirectement, sur toutes les étapes des soins ! Et pas seulement sur les médicaments, qui ne sont en fait que la face visible de l’iceberg. Avec autant de plus values donc, sur les réactifs que sur les machineries de laboratoire et le matériel de soins. Sur chaque étape de son parcours de santé le malade est exploité, pompé, du quart environ de ses dépenses !

    Ces lois scélérates frappent sans répit toutes les étapes du cursus critique que n’éprouvent et n’empruntent que les malades. Et ce encore dans l’état stressant et débilité de leurs maladies. Cette immonde plaie fiscale, que nous vilipendons, est une injustice manifeste. Elle est pire que les afflictions dont nous frappe le destin !

    Convenez dès lors, Messieurs, que la maladie est un état d’improductivité et non de confort ou de luxe taxables. Cet état, ces handicaps, passagers ou constants, sont des situations de faiblesses et d’impuissance et surtout de besoin humanitaire et de solidarité, qui doivent normalement susciter la compassion et l’entraide de la communauté et de l’État. Et non les perverses et ubuesques taxations en cours.

    A fortiori, dans un pays musulman, dont le Roi est Amir El Mouminine. SM se penche, avec sympathie et vaillance, sur les afflictions de son Peuple. Avec cette constance et cet amour, cette sincérité conquérante, qui forcent l’estime. Sa passion doit nous donner l’exemple et imprimer nos lois ! Et par là, leur refonte et opportunes réformes.

    Messieurs, nous vous passons le relai ! C’est à vous qu’il revient d’éveiller la conscience du Gouvernement pour combattre ces plaies, combler les sentiments vertueux du Roi et satisfaire les appels stridents des réformes sociales ! C’est ce pourquoi aujourd’hui, Allah a fait que vous soyez là, illustrés et nommés et par le Roi ! Vous qui avez traversé les années noires de notre parcours vers les libertés et la dignité, face à l’irrespect haineux de l’injustice totalitaire et de des peurs qu’elle cultive !

    Vous concevez de ce fait, avec raison, que l’on se doit de commencer par réformer la fiscalité des soins. N’est-ce pas là une des urgences pour le CNDH et le récent CES ? On se doit de façon énergique, vitale et démocratique, de suspendre les lois insalubres et les réglementations abjectes qui exploitent ignominieusement les douleurs et les fièvres …des seuls malades !

    En tant que leaders des jeunes d’hier, vous devez inclure les droits des vieux d’aujourd’hui et ceux des malades dans votre feuille de route et programmes ! Les droits des malades sont mésestimés et leur exploitation est indigne. et c’est rendre hommage au Roi et répondre à Ses vœux de proximité que vous démantèlerez ces lois infâmes qui attardent les mentalités administratives et la philosophie fiscale, en obstruant nos libertés et en offusquant la dignité de ceux qui souffrent !
    Par ailleurs, les malades sont inconsciemment rançonnés, qu’ils soient aisés, médicalement couverts ou plus humbles, sans aucune forme de couverture sanitaire ! Et sans mâcher nos mots, nous répétons que cette extorsion, se fait et s’applique uniquement dans les situations de faiblesses et de mortification que sont les maladies ! Paradoxalement, pour ce système dément, les personnes saines ne doivent rien à l’Etat pour leur bonne santé physique et mentale ! En toute logique criminelle, le fisc exploite les imperfections, les faiblesses et les déficiences !

    Sa Majesté, que Dieu Le garde pour l’union de Son peuple et ses progrès, peut les gracier et redonner leur droit et leur fierté, à cette tranche du Peuple, écrasée par les conjonctures morbides. Le chantier royal de l’INDH tente justement de relever, ce défi et ce destin contraire, par le travail, en luttant contre la déchéance matérielle et la pauvreté ! Là, c’est le dénuement, la déchéance physique auxquels nous vous invitons pour vous y atteler, afin de les traiter !

    Le génie de SM, s’Il était directement averti de nos termes, de nos espoirs et sentiments face à ce déni, y verrait une opération de Justice pour tous ! Il y sentirait de l’éthique dans nos sollicitations, là où il n’y a que perverse iniquité et replis fossiles sur des réglementations sadiques !

    Une Réforme de la fiscalisation ahurissante des maladies, voilà ce que nous espérons des cénacles et des hauts lieux qui veillent sur nos libertés, nos droits et nos destins. Nous escomptons de voir s’impliquer, le CNDH, comme le CES d’ailleurs et les honorables Conseillers de SM. Avec opiniâtreté, par presse interposée ou par courriers directs, nous n’avons pas cessé d’expliquer notre perception de ces lois archaïques et asservissantes et d’importuner les Chefs de Partis, les Parlementaires ou les Conseillers eux-mêmes, du fait de leur proximité, depuis des années !

    Cette Réforme s’impose, Messieurs, pour être vue et perçue, comme une mesure d’accompagnement, culturelle, philosophique et morale, des chantiers de l’INDH et des grands travaux structurants qu’imprime SM ou des concepts qu’Il révise pour consolider le Maroc et l’ouvrir sur d’autres valeurs. Nous voudrions tant vous en convaincre, pour L’en persuader pudiquement !

    C’est donc l’occasion d’un grand œuvre magistral, capable de stimuler et de fortifier le Peuple, de le libérer des entraves des maladies et d’augmenter sa reconnaissance envers son Roi et ses Cadres. C’est un autre chantier, nous en sommes persuadés, qui renforcera la dignité des malades, que SM entreprend de consolider par tous les moyens, dont l’INDH. Car, vous en convenez Messieurs que sans libertés nulle vie ne vaille et que sans santé, nul développent humain n’est possible !
    Parallèlement, cette Réforme aura un impact important sur le pouvoir d’achat et le budget des Hôpitaux d’Etat. Qui plus est encore sur les capacités des Caisses mutuelles et de Sécurité Sociale, qui s’avèrent être, les réceptacles et les destinataires de toutes ces taxes et plus values.

    La Réforme globale souhaitée (par delà les exceptions récentes, mais discriminatoires, pour les maladies très graves), est un chantier exemplaire. Nous voudrions que cette avancée fiscale soit un message de progrès réussi, respectant toutes les maladies et les malades, sans distinction entre les tares. Que cette réforme urgente soit un message de compréhension autant des jeunes, des dépités que des malades. Que cette opération logique de prestige et de souveraineté, soit vécue comme une grâce royale.

    Ainsi sa haute teneur philosophique atteignera tous les pays et rehaussera avec estime l’image de marque du Maroc. Surtout là, dans les pays où le fisc exploite encore les misères. Nos voisins accueilleront avec admiration cette option humanitaire, venue du Maroc. Spécialement quand il s’agit de reconnaître que c’est une réforme entreprise par un pays, musulman, dont les ressources sont limitées !

    Conjointement à la reconnaissance de l’ONU à l’endroit de SM, pour ce qui est de l’INDH, le chantier de défiscalisation des soins des taxes indirectes est l’occasion pour lancer une œuvre d’envergure magistrale, qui dépasse les prérogatives et les capacités des seuls ministères, pris chacun indépendamment, pour mener cette Réforme ! Elle nécessite, courage et choix politique et social ! Ne sont-ce pas là les illustres prérogatives du Roi ? N’est-ce pas une avancée dans les droits de l’homme dont le Maroc peut s’enorgueillir, demain, par-devant ses amis et face à ses détracteurs ?

    Que Dieu vous garde et renforce vos pas ! Qu’Il trouve en vous, Monsieur Driss El Yazami et Si Mohamed Sebbar, les conseillers idoines et dans vos partenaires et collègues les compétences enthousiastes qui prépareront une fiche à l’attention de SM, pour aller de l’avant dans la voie juste et altruiste d’une meilleure gouvernance, afin de répondre avec gageure aux aspirations sociales les plus prégnantes des citoyens.

    FAIT A KENITRA, LE 03 MARS 2011, DOCTEUR IDRISSI MY AHMED

    ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROC
    CENTRE DE RÉFÉRENCE RÉGIONAL DES MALADIES NEUROMUSCULAIRES

    112, avenue Mohamed Diouri, Kénitra, Telfax : 0537376330 , Assistance: 0661252005
    http://myasthenie.forumactif.com , aamm25@gmail.com

    #206778
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    « LA RÉVOLTE DES TROTTOIRS ET LE MANIFESTE DES ARBRES »

    INEPTIES ET AUTRES INDIGENCES: VOS RONDS POINTS,
    ÇA NE TOURNE PAS ROND, MESSIEURS DE LA VILLE !

    « LA RÉVOLTE DES TROTTOIRS ET LE MANIFESTE DES ARBRES »

    Un bout de nuage brillant sur la crête d’une immense nuée noire. Un brin de ciel bleu des spots sur la télé, des marches, des despotes, ça c’est le versant terre à terre ! Qu’en est-il, ô miroir et chacha de télé, sur l’autre versant des planètes qu’on vient de découvrir, là, dans la Voie Lactée ! Dieu est partout, la tâche est immense. Que faut-il attendre pour corriger ou réparer tout ça ?

    C’est l’appel du muezzin pour la prière du moghreb ! Une prière pour le Maghreb aussi ! C’est aussi, sans doute, un appel à l’annulation de toute manifestation étrangère ou sauvage ! Les gens prient le bon Dieu à même sur le trottoir. Le trottoir devient un temple respecté, de par l’usage, mais pas un cirque !

    Ce conte en parabole, n’est pas une chronique des évènements mais une réflexion, terre à terre, sautant du coq à l’âne. Libéré sans plan préconçu, comme un délire face aux événements attristants et angoissants qui nous interpellent et nous irritent.

    Ainsi, les éléments vont parler. C’est un délire qui leur délie la langue ! Les trottoirs abusés, troués, violés, se soulèvent et se révoltent. Les trottoirs, à peine carrelés, sont retraversés de tranchées et ravines ! Mal assis, mal scellés, mal dans leur peau, les carreaux pètent et pestent sous la marche ! La simple marche déjà !

    C’est à la mode disent-ils de se soulever et de râler ! Les pavés sont contaminés par le voisinage ! Ils sont devenus fous ! Ils parlent et crient leur honte et leur hogra ! Contagion de voisinage malgré le mur des frontières entre frères ! Ou qu’on les ait salis, rompus, corrompus, parce qu’on leur marche dessus ?

    LOIN DE NOUS TOUT MALHEUR !

    Marche simple, promenade sur les infos ! Pas la marche du 20 février 2011, programmée intempestivement pour forcer l’évolution ou le destin. Loin des comportements grégaires qui donnent à la foule, le besoin de narguer et celui de l’offense, loin de la force du nombre et des folies instinctives, qui nées sporadiquement dans des esprits jaloux pour exploiter la misère, accompagnent en squattant les manifs pour en faire de séditieuses révoltes. Malgré les raisons et les vérités que tout le monde connait ou vilipende …

    Loin des foules déchainées, des rassemblements hirsutes que l’on veut rebelles. Loin des marches qui scandent des slogans arrogants, des avanies, des injures et un tas de misères, loin des casseurs et des récupérateurs politiques, qui supplantent les anciens pour acquérir le pouvoir. Loin de l’essaimage des troubles, des guerres civiles que l’on préfabrique, pour vaincre les nations et domestiquer les peuples. Loin des contritions, des blessures et des morts, des troubles et de la panique qui n’apporteront que peu dans la manipulation des enjeux et des richesses et des cartes.

    Loin de singer les voisins, qui dans bien des choses nous ressemblent, mais dont organiquement et par la légitimé du pouvoir, nous différençons. Loin des révoltes brutales et de leurs défis sacrificiels, loin des répliques brutales, des exactions et des belligérances, loin des actes d’immolation, des suicides inutiles et de la vindicte des foules et des crimes des casseurs. Loin des suicides et des morts, du risque de spolier nos déserts, nos richesses et nos terres. Loin du copier-coller des révoltes de masses voisines. Loin des dérives des maghrébopathies avoisinantes, lancées des sérails princiers, des salons bourgeois, des tables de presse et des écrans satellitaires. Loin des agitateurs virtuels, des marcheurs du dimanche, de ceux des souks hebdomadaires, où l’on se gargarise de mots et de flèches insidieuses.

    Loin de ces talismans, jetés comme de mauvais sorts, où l’on ne vend que des mots aguichants, des offenses nihilistes, de la hogra et des relents de scandales. Loin des préversions, de la corruption, comme elles existent partout sur terre. Loin de ces dénigrements et des ténébreuses fourberies qui squattent nos faiblesses, nos indigences et nos timides progrès. Loin des manœuvres commanditées de l’extérieur, des inconnus qui manipulent le verbe et le Web. Loin des félonies sournoises qui scrutent nos faiblesses, nous guettent, nous épient et nous pistent…

    FACE AUX FALLACIEUX PARADIGMES, UNE PARABOLE

    Ils sont, comme une panthère qui s’abat du haut de ses branches sur un lion assagi. Loin des nuées de chacals, des hyènes pleurnichardes et de leurs cyniques regards, qui croyant appliquer la loi de jungle, tuent pour prendre le territoire et les aires. Loin de ceux qui rêvent ou se croient vivre une histoire, comme dans un film de télé, qui fabriquent les événements, manipulent les esprits, exploitent les espoirs. Comme ces faquirs et ces charlatans, qui se targuent de guérir les maladies et les tares, ils font de la médecine de catastrophe, une mystification au rabais et au noir !

    Par vagues sauvages sur les rues et les consciences, le tellurisme atteint nos côtes avec des orages dans les têtes ! Entretenues par d’opportunistes intelligences, elles accostent sur nos trottoirs, inondant de monde nos places ! Les nôtres vont montrer leur pacifisme à l’ouvrage. La police antiémeute va contenir avec sérénité les sollicitations belliqueuses de la foule affolée. Mais il restera la houle des saboteurs. Celles des casseurs et des voyous en tous genres, qui mélangés aux manifestant, desservira leur cause. Le point de non retour se marque en offrant à la vindicte populaire ses blessés, ses prisonniers, ses champions et premiers martyrs.

    Ces barbares, ces mercenaires par jeux, emportés par le vent révolutionnaire, la vindicte et la rancune en fait, sèment la panique et n’ont rien à voir avec la politique, la citoyenneté, la culture politique ou le civisme ! Les slogans initiés par les officines opaques, n’ont pas de programmes à offrir ! On ne demande pas aux ‘’bâtons dans roues’’ de nous offrir une feuille de route ! Ou un planning après la chute ! Ceux que voudraient les Machiavels et leurs associés de circonstances, infiltrés physiques ou par Windows, c’est la déflagration pure et simple. Pourquoi pas des exacerbations, la lutte des classes, la guerre civile, le terrorisme local ? Et c’est là où les puissances entrent en jeu, ne sachant plus quel mouvement regretter ou encourager, en voguant à vue ou en surfant sur les marées et les ouragans qu’ils ont soufflés et insidieusement semés !

    DE LA FLORE A LA FAUNE

    La force des faibles vient de la léthargie des puissants ! Opportunistes fiévreux, jaloux empressés, qui vous dit qu’on sommeille ? Regardez le travail se faire ! Regardez comment le Trône marche et se déplace ! Labourant les moindres espaces, curant les moindres recoins, soignant, enseignant, saluant les foules loyales et sincères, semant partout enthousiasme, amour, travail, logement plus digne, sécurité et espoirs ! Bien sûr, qu’il reste des choses à faire, avec plus de passion, d’économie bien entendu et de raison ! On vient juste de commencer.

    On est en développement. On ne peut pas nous comparer aux pays les plus avancés ni les plus nantis, ni aux nations les plus riches. Ni avec ceux qui entravent nos progrès et qui pour leur expansion, veulent continuer à séduire nos jeunes, à les induire en erreur, à les intoxiquer, à nous les mettre en opposition, afin de semer la terreur et les troubles. En tentant par tous les moyens à faire chuter la Dynastie alaouite, le Prince Rouge avec et jamais en remplacement, et saper notre Nation, en nous coupant de nos territoires océaniques, pour acheter tout le Maroc, l’assujettir et s’approprier ses territoires !

    LES FÉES DES TROTTOIRS

    Trottoirs désastreux, arbres déracinés absents, trous dans les chaussées, façades odieuses et hideuses, absences de peinture et de décoration, stationnements de bus face à face à Jardet El Cadi de Kénitra, réduisant de façon critique, imbécile et dangereuse les chaussées ! Comme ici et là ces stationnements de voitures aux endroits réservés aux bus, qui plus est aux endroits les plus exigües ! Si la ville n’a pas de maîtres, qui en sont les responsables ? Ou, ne sont-ils affectés qu’aux fonctions supérieures ? Des lampes éteintes très souvent, réduisant la sécurité, le plus souvent absentes ! Absentes, comme nos parlementaires qui votent à 3 heures de la nuit, à 15 personnes, le budget annuel de l’État ! Par patriotisme, par civisme, par réaction de pudeur et de mépris, je n’irais plus jamais voter si j’étais de vous ! Je me tiendrais à carreau ! Comme le trottoir ! En espérant que les fauteurs de troubles, les responsables, absents, abscons et incompétents, glissent sur leurs propres peaux de bananes !

    Qui va veiller et contrôler la ville ? Les lampadaires eux mêmes ou les chiens qui pissent dessus ? Qui va boucher les fossés et leurs travers sur le macadam ? Ces dos d’ânes sauvage, ou les ânes eux-mêmes ! Et cela, dans toutes les villes ! Quel est le nom de cette pathologie qui touche les marocains et ce qu’ils font de mieux ensemble et qui les englue tel un ciment ? Faut-il attendre la zonation du Gharb ? Cette autonomie régionale que nous avions appelée, à titre d’exemple, avant qu’on ne parle du concept d’autonomie pour le Sahara et de vouloir le généraliser à tout le territoire !

    LE KARMA ET LES AVATARS

    Faut-il attendre le retour de Lyautey pour réaliser de vrais passages cloutés aux croisements que de dépenser de l’argent dans ces peintures que le roulage, gomme la dès la première semaine. Aucune priorité ni permis de passer aux piétons, on les ignore comme ils ignorent en retours les autos et le risque, quand ils traversent les chaussées en sortant de partout ! L’esprit ailleurs le corps collé au phone ! Spécialement aux ronds points néoformés, ces fontaines dont l’une avec son tas de roches stupides et odieuses face à la mosquée et au marché d’El Houria ? Exemples de l’absence d’imagination et des dépenses imbéciles ! C’est là qu’il fallait certainement des signalements de passages réservés aux piétons !

    L’urbanicité est-elle à ce point une notion inconnue, ici ? C’est à croire que tous le monde roule en voiture et n’en descend jamais ! Sauf que c’est général ! Mon pavé dans la mare -aux canaques*-, n’est pas fait pour tomber sur Kénitra, seule ! C’est un jet de caillasses pour réveiller l’ensemble des cadres et des passants de votre ville lecteur ! Parce qu’ils ne font que passer ! Et ils devraient laisser quelque bonnes actions pour que vous rappeliez d’eux ! Mais autocritique ! ‘’Si ton toit est en verre, ne jette pas de pierres sur la maison des voisins’’; avait rappelé feu Hassan II. A moins de devenir indous, de cramer de leur vivant et de retourner refaire leurs stages, sur terre pour corriger et rééduquer leurs karmas imparfaits !

    Et, si l’on doit faire des marches et des manifestations, des soulèvements pour révoquer les chefs d’Etat, d’Asie ou d’Afrique, ce sont les parlementaires absents, avec un pet minuscule ! Les parachutés et les navettes, les fantomatiques, présidents de mairies ou autres, qui doivent être stigmatisés et déménagés manu militari ! Par les arbres et les trottoirs ? Bien sûr ! Pour les destituer en bloc ! Le Peuple, lui, il est absent ! Il n’en veut plus à personne ! Si on lui ouvre les frontières, il s’en ira ailleurs ! Et il vous laissera voter, roter en paix, et sommeiller dans l’amphi ! Pour le moment, il veut occuper la rue et chanter sur les trottoirs ! Scander des slogans, chanter pour faire pleuvoir, faute d’écoute céleste pour ses prières ! Et, s’il pleut, il n’y a pas assez d’arbres pour se protéger des orages ! En avez-vous suffisamment dans vos villes ? Vous savez; ça fait joli ! Et ça donne de l’oxygène et de l’allure ! Ah, vous ne voulez pas planter d’arbres, leurs feuilles vous bouchent les trous !

    On doit remettre les pouvoirs au pouvoir central ! A ce Makhzen, que d’infâmes allégations ont terni. ! On doit remettre l’avenir, au passé ! Notre avenir, aux caïds et aux pachas ! Attention, ils m’écoutent ! Je ne vais pas faire usage d’autocensure à mon âge ! Et ce au Maroc nouveau, de M6! Ils n ont qu’à bien saisir le message dans sa profondeur, dans sa teneur philosophique, patriotique et mystique. Je les sais cultivés dans les deux ou trois langues ! Ils ont au moins de la classe et toute une histoire qui a fait rêver. Je ne suis pas passéiste, mais je fais révérence à ceux qui ont servi !
    Une histoire qui a son charme et ses mystères, par rapport aux sordides vampires et aux arrivistes assoiffés ! Cette démocratie-là, ne se mérite pas !

    Nostalgie de circonstance, cynisme existentiel de parade, ou réels regrets face aux prenantes angoisses ! Non, ce qui est dit par dépit, ou par nostalgie affectée, ce makhzénisme * est dépassé par les forces démocratiques de fait ou en puissance ! On ne revient pas aux passéistes clichés, qui ne gardent, et c’est dommage, que les excès surannés de leurs préhensibles, folkloriques et préhensives dérives ! La Démocratie est là, je men nourri et m’exprime, librement Arbre ou trottoir, serait-je, marqué par les frasques et les erreurs de céans ! Ou simple passant, fatigué et boiteux sur ces trottoirs troués et encombrés, ces façades hideuses, ces rues mal famées, cet a-patriotisme, ce manque de civisme qui est à châtier, disons à corriger et sanctionner, me font réfléchir ! Cette culture du bien collectif et du respect d’autrui, est la base du civisme et du nationalisme ! Ancien Marcheur, de la Verte façon, myasthénique et cardiaque, j’ai encore mon mot à dire, mes maux à médire, mon message à communiquer. Mon sacerdoce…de citoyen à défendre !

    VIVRE SA VIE D’ARBRE LA  »KARAMA SANS HOGRA » !

    C’est vrai qu’on n’a qu’une seule vie et la malheureuse se passe là ! Elle n’a rien de citoyen ni de citadin. C’est un spleen éthéré, dans les vaps, dans les nuages, juste pour dégager vers d’autres arcs-en-ciel ! La ruralisation, sans arbres, sans prairies, sans fermage, c’est le comble du paradoxe: elle ne vaut rien ! La ruralisation infâme, rien qu’avec des crottes de vaches et des relents de purin, prend le dessus sur la culture et du respect, si vital aux habitants ! Les ébauches de villes, laissées par les colons regrettent leurs fondateurs ! Leurs planteurs et leurs agriculteurs.
    Plus aucun arbre ne vit sans les siens ! Ils veulent la nationalité de ceux qui les ont plantés. Eux aussi ont le mal de mer, la nausée, la mélancolie, la nostalgie de leur anciens maîtres ! Ils refusent les autodafés ! Ils refusent de se laisser immoler par le feu ! Ils préfèrent être déracinés, libres de passer le Détroit pour aller vers d’autre cultures ! Les requins, ils s’en balancent, ils les fréquentent. Leur chair a gardé les traces de leurs dents ! La noyade, c’est une promenade de santé !

    Ils regrettent les promenades, les sorties, le théâtre, les conférences, le ciné ! Ils ont opté pour le hrig ! Ils changent de mains et de maîtres ! Le hrig pour ne plus rester entre les mains sales des rompus, qui les méjugent et les maltraitent…Ne plus stagner entre les mains d’indignes indigènes mal décrottés ! Des chiens qui nous pissent dessus, des ivrognes et des chats aussi ! On ne veut plus de municipalité. Ni locale ni concédée aux gouares et autres étrangers ! On est capables de ramasser nos feuilles et nos crottes pardi ! ! On veut une république. Chaque ville doit avoir son autonomie…pour nous arroser tout seuls, nous fertiliser et nous traiter, nous tailler…nous-mêmes ! Ou partir et chercher d’autres rues et d’autres nationalités !

    L’eau, les mers les vents les pluies changent bien, le soleil, le ciel, ne sont jamais aux mêmes endroits, ils bougent ! Pourquoi pas nous, les Arbres ! Les autres éléments bougent… Les nuages, le vent, l’air lui-même, alors qu’il est si nauséabond qu’il colle à nos feuilles, nos écorces et nos peaux ! Pourquoi pas nous ? Comme nos voisins de palier ! Qu’est ce qu’ils ont de mieux que nous ? On doit faire comme eux! Qu’on nous enlève les chaînes, les carcans, les barrières, les murs, les visas, les douanes, les taxes, les maladies et les lois qui les bloquent ici !

    LA FORET URBAINE VEUT DÉMÉNAGER

    Ils veulent fuir ces primitifs qui les maintiennent dans le règne végétal de ce pays. Nous aussi ! Ils veulent marcher, droits, et manifester, debout comme des hommes ! Ils refusent de se refugier, de déserter, ou de fuir comme les Benali, ses acolytes et ses capitaux ! Mais, ils veulent partir, la tête haute, vers le Nord. Mal aimés, ils veulent changer de look et de nationalité, faute de continuer à être bien considérés, ici, chez eux, toujours mal taillés et jamais arrosés ! Ils voudraient être des traitres rien que pour partir et se sauver ! Mais ils hésitent. Ils ne veulent pas faire certains donneurs de leçons ! Prince ou journalistes, comprendra qui voudra ! La harangue en moins, je n’ai pas la langue dans la poche ! Mais voilà, on leur dit que pour s’exprimer, librement, ils doivent s’exiler ! Sinon on les dissout ici pour en faire du ‘’pâté de papier’’ ! Dès lors manifester, ce n’est s’immoler ! C’est faire feu de tout bois. Et ça ne colle pas pour les arbres racés que nous sommes!

    Alors ils ont écrit cette lettre, espérant qu’on la remette à ‘’ Si ’’ Jean de la Fontaine ! Et qu’on la lui traduise ! Faut-il aller en France pour traduire nos mots, par des français ? Sommes-nous si incapables de traduire nos sentiments, monsieur Mitterrand, pour devoir rester collés à votre postérieur alors que vous êtes partis ? Alors comprenez-nous, nous les éléments, on en a marre des canidés qui nous arrosent pour marquer leur territoires et qui nous collent leur gadoues de carnivores dessus ! Soi-disant qu’ils sont nos gardiens et nos bergers ! Nous ne sommes plus des moutons, même si nous l’eussions été ! Nous sommes de la même chair que les cèdres et les lions de l’Atlas !

    ÉCRITS SUR DES FEUILLES D’ARBRES

    Oui, nous voulons transmette nos mots pour chanter leur calvaire, dans un conte ! Une légende, vouée aux générations à venir, afin que les nouveaux responsables en tirent une morale ! Un autre profit ! Ou à Dieu, devant la face du monde, parce que Dieu fait le destin, la nature et les libertés ! Oui Dieu fait le bon choix pour nous ! Il sait ce qu’il y a et ce qu’il a mis, sur terre et dans les cieux, dans l’eau, les nuages, l’air et cette brume qui entoure les dernières feuilles de ces arbres en hiver, comme il sait les pousses, les germes et les bourgeons qui sortent de terre et qui les vont remplacer. Il sait leurs points de chute, les voiries qu’ils vont boucher et les ignares qui vont les y laisser, au lieu de les dégager. Il sait les intempéries qui viennent, les barrages et les retenues, les vagues qui vont déferler, noyer les cabanes et abattre leurs toits, noyer les chemins champêtres, les routes et les avenues. Il sait les cultures et les villes qui vont être noyées ! La tomate et le pain qui vont renchérir.

    Il sait ceux qui vont périr et ceux qui vont chômer ! Il sait les conséquences du moindre orage ou tsunami ! A travers le monde et sur terre, Il sait les conséquences des marches en cours et de celles qui risquent d’arriver. Il sait les cours des marchés et les prix en cours et comment et par qui, ils vont grimper.

    LES TYRANS SE SONT TIRÉS

    Il sait ta force, monsieur le Président Moubarak et ton courage, tes besoins et ta santé et tes maladies. Il voit ta réticence et tes erreurs ! On te savait tenace, méritant dans le passé. Mais au moment où a commencé cet écrit, tu n’étais pas encore parti. Pas plus que Benali, n’était dans son coma. En solitaire, sous un faux nom, alors que sans sa célébrissime Leïla moitié !

    En a-t-Il informé nos prophètes et à ceux des hommes qui gèrent, en Son nom, nos jours, cadres sécuritaires, pharmaciens, juges et médecins ? Ce quand du haut de ses pyramides, momies éventrées, la mère de civilisations tremble ! Au bord gouffre, effondrement, pillage, saccages ruinent des pays amis ! Quand le maître des policiers s’évapore ou s’évade, que les siens volent et que les soldats pillent bijouteries et musées !

    Basta. Les vieux lions s’en vont. Penaud et malades ! La queue entre les pattes et c’est dommage. Je perçois cette fin, comme une humiliation non méritée ! Et ce n’est pas une victoire du peuple ! C’est la preuve seulement qu’on n’a pas de prise sur les événements et leurs complications fortuites ! Et la force et la paix de n’importe quel potentat, la quiétude des régimes, ne vient pas de l’étouffoir où l’on confine les gens ! Ils ont une âme, une vie. Il faut leur donner leurs chance de concourir à leur pays, de parler, de communiquer sans entraves, ne serait ce que pour surveiller et corriger !
    Le départ de ces deux géants, plus triste l’un que l’autre, c’est la preuve du manque de démocratie et de libertés, seulement, de clarté encore et de dépassements ! A quoi servent tous ces milliards qu’on assassine et qu’on arraisonne ? Personne ne peut consommer les milliards qu’il ramasse, vivrait-il mille ans ! Au lieu de laisser dans leur pays, pour produire du travail et enrichir les gens, ils les spolient et s’en cachent de les cacher ! A toute fin utile ! Seulement, la vie est si sommaire ! Demandez aux cigognes de notre ville, lesquelles du haut de leur nids, nous regardent. Elles ont une mémoire qui nous interpelle, nous les Marocains venus de partout, et qui habitons sous leur regards, dans cette contrée ou celle-là !

    DES FEUILLES SUR LE MACADAM

    Délire pour délire, que faut-il penser alors des feuilles des arbres qui tremblent sous les orages et les vents ? Nous autre humains, carnivores et prédateurs, nous ne sommes pas plus importants que ces feuilles de platanes. Celles de mon avenue ou de la tienne, Lecteur improbable et juge de mes allégations ! Ces feuilles, tremblent comme les lâches et les délateurs, les proies et les profiteurs. Je les vois et je les compare. Je ne suis pas meilleur et mes juges non plus !
    Je vois les feuilles des branches squelettiques qui restent en dernier. Celles de l’avenue qui tremblent dans la lumière glauque que laisse le brouillard de ce matin frileux de février. Nous, simples vivants, nous sommes avec nos espoirs et nos tares, conditionnés comme ces branches et ces arbres. Personne n’est à l’abri, ni ne sait de quoi sera fait demain.
    Ici on creuse le macadam, on le rembourre très mal. Cela fait des dos d’ânes, des dos d’abrutis ! Cela provoque des incidents ! Ici, les regards, pas ceux des responsables, qui sont absents ou neutres, ou occupés chacun ses attributions. Ces regards béants sont ouverts sur les trottoirs. Comme des ventres d’ogres hideux, inattendus et insatiables ! Cela provoque des incidents.

    PESTE ET LÈPRES SUR LES TROTTOIRS

    Comblés de canettes, de papiers sales, de bouteilles et détritus en tous genres, ils sont comme les lois opaques, impropres à l’application ou que l’on ne comprend pas ! Et les responsables ne les voient pas ! Nos chemins sont pleins de ces insalubres déficiences qui font de la ville, un endroit si mal famé, qu’il ne mérite pas ce nom ! Et les électeurs conspuent leurs cadres incompétents ! Hier, quand la ville était l’orée de la Maamora et du Gharb, les gens venaient de la capitale pour leurs repos ou leurs affaires ! Et puis c’est le dortoir ! Même pour ceux qui restent étendus, sans défenses sur le trottoir et les entrées d’immeuble, au point d’apporter le danger, la mort, la honte et la nausée ! Et pourtant face aux dénigrements, il y a des chantiers énormes et des miracles se font !Ces reliefs de ma ville, de ta vile, de notre ville, de notre pays, demeurent, ça et là, sont comme des taches de lèpre sur un visage.

    Je salue la consultante, qui pour soigner cette affreuse ‘’lèpre’’, le vitiligo, passe sa langue dessus, comme une main bénie ! Mue par une mission mystique, elle lèche les tâches disgracieuses chez les gens qui en sont frappés. C’est un miracle à portée de fragiles humains ! Hier jeune enfant, bottée pour devenir une bonne, n’a-t-elle pas attenté à sa vie en avalant tout ce qu’elle trouvait de plus dangereux, les clous ? A force de lécher les parties, c’est aussi par miracle, sans en avoir ni honte ni nausée, qu’elle reste en bonne santé. Elevée à sa mission, sans nulle élection ni préparation, c’est une nuit, en plein songe, qu’elle a reçu de Jésus, cette vision. Nos faquirs ont une belle immunité.

    DES MESSAGES ET DES VŒUX

    On espère pour nos cadres autant de protection ! Car nous autres éléments, nous avons des droits et ceux qui sont sensés s’occuper de nos affaires, ont des devoirs ! Celui entre autre de veiller sur nous et de soigner notre image et la leur. Des fois, par conséquent ! Améliorer notre vie et leurs programmes et visions, des fois, par conséquent. Nous autres, les arbres et trottoirs, qui vous servons de marches-pieds et d’oxygène, absents ou béants, comme ces parlementaires en état de léthargie, ou comme des insultes faites aux électeurs, aux urnes et à la démocratie délaissée, nous montrons nos aspérités naturelles et nos dents. Leurs fosses nauséabondes, comme ces pestilences qui nous proviennent des montagnes de détritus, non traitées ou de ces rares usines, menacent d’asphyxies les allergiques de la ville et de dyspnée toute personne qui a le malheur de sortir de sa forêt natale et de passer par cette tanière-là !

    Ces lèpres, ces poisons, ces pestes et ces abcès, ces pièges pour autos et piétons, ces feux souvent déréglés, ces lampadaires, cassés ou absents, comme ces arbres d’alignement, manquants et jamais remplacés, faut-il attendre le retour des colons pour ça, cette terreur-là, ce manque d’espérances et de paix, s’appelle la ville, le soir. Cette menace physique s’appelle la ville. C’est ma cité et tu la diriges mon grand !

    Vous pouvez remplacer Kénitrous, par le nom de votre ville chérie. Ou du moins là où vous êtes né citoyen et où vous avez une famille et peut être un boulot. C’est quasiment du pareil au même dans certains endroits de notre cher pays, de notre seule et unique Patrie. Que Dieu la préserve unie, et vous avec Parce qu’elle a l’espoir de changer après son retard millénaire, ses dérives passées, ses progrès actuels, ses attentes urgentes face à toute involution et plaies torpides.
    Dès lors pour et pour être à jour avec les éléments, ou les événements, pour ce qui est des contestations et des protestations, des livres et des éditos, c’est OK ! Manifestations et émeutes, ce sera non à jamais ! Simplement, parce que les émeutes se soldent en répressions et en sacrifices qui ne résolvent pas toujours le problème initial des dictateurs ! Pour le savoir et s’en assurer, voyons voir ce que feront les restes de cabinets et les armées des capitales qui ont chassé dernièrement leurs démons !

    SIGNÉ :
    L’Arbre du bord du trottoir, avec ce tas de piétons sur la chaussée, parce que les trottoirs sont occupés ! Du 07 au 19 février 2011

    #278543
    Alaa-eddine
    Participant

    @dolph : j’ai l’impression que tu confond certaines choses.
    d’un coté tu parles du PIB (qui au passage n’est pas un facteur de satisfaction du citoyen), et de l’autre tu parles des protocoles du royaume … ce n’est pas en virant les protocoles que le pays va faire un bon en avant, ca n’a rien avoir. et puis chaque pays chaque nation a ses protocoles et coutumes regarde un peu ce qui se passe en France le 14 Juillet !

    en ce qui est de certains sujets de la société, la corruption pour prendre un exemple, sa magésté a exprimer clairement sa volonté à la combattre et a mis en oeuvre des process, on est tous d’accord que la corruption est un cancer qui sera difficile à erradiquer, mais faut l’avouer, beaucoup de citoyens continuent toujours à corrompre l’administration (et des fonctionnaires acceptent) , on va dire oui mais ceux qui sont plus haut sont corrompus … quel rapport, si on n’accepte pas un comportement on commence par soit même !
    pareil, tout le monde crie et pleur quand il y a des accidents de la route, tout le monde trouve que le code n’est pas respecté, et quand une reforme durci les amandes … tout le monde se révolte.

    la locomotive ne peu pas passer à la vitesse supérieur si tout le train reste soudé aux rails et refuse de bouger !

    il faut critiquer le haut de la chaine, le gouvernement EST responsable, mais le bas de la chaine a aussi une responsabilité à assumer.

    #206721
    houmidi59
    Participant


    Episode I : la fête et l’inconnu

    Dans la demeure de Boudhab, il y avait une grande réception en l’honneur des amis et des connaissances de la famille. En fait, on fêtait dix années de mariage. Aussi, on est venu pour présenter les meilleurs vœux au couple. Ce dernier, bras dessous et bras dessus, allait de table en table en souhaitant la bienvenue aux uns et remerciant les autres .Tandis que des chuchotements d’admiration et peut-être bien de jalousie marquaient leur passage.
    Les amis de monsieur Boudhab étaient nombreux et la plupart étaient des célébrités. Il y avait le professeur Mahraz connus par ses nombreuses recherches et ses inventions dans le domaine de l’agriculture notamment la pomme de mer et le chou-rose .Etait présent aussi, le médecin Fanidi spécialiste dans tous les voies entre autres : urinaires, sanguinaires, publiques et secondaires…sans pourtant oublier la voie lactée et la voie orale. Cependant, son seul vrai exploit : la guérison d’une brebis galeuse en la transformant agneau doux.
    Le monde de la littérature était aussi présent : Abou Kassid , le célèbre poète connu par ses mille vers, Tartari , l’écrivain et le romancier dont les œuvres ont été traduites dans toutes les langues y compris l’espéranto et le yiddish, le grand chroniqueur Lafhamat qui abordait tous les sujets sans pourtant atteindre la marge d’ un seul .
    Les acteurs ne manquaient pas.Aussi, on remarqua la présence de l’acteur Français John Aimard, le Chinois Jess Wi Ching Wa ,l’Egyptienne Amal Hayaty , l’Américain Brave Type , la Sénégalaise Mamati et bien entendu le talentueux marocain Taleb Maachou.

    Dans le monde artistique : la belle chanteuse Kachira connue par sa chanson romantique avis de recherche à vie dans laquelle elle disait
    Je te cherche
    tu te caches
    viens vite !
    Sinon, je me fâche
    Grâce à cette chanson, elle a eu l’oscar de l’année et deux lascars aux trousses.
    Il y avait le célèbre prestidigitateur à la main souple. Actuellement, il est l’assistant d’un dentiste, pour ne pas dire : arracheur de dents.
    Pour finir, la célèbre voyante qui prétend voit tout .D’ailleurs dès que vous lui parlez, elle vous dit : je vois, je vois
    Chose surprenante, l’inspecteur Boukal était parmi les convives. Il n’était pas en mission ; mais il se trouve que sa femme est la cousine de madame Boudhab et comme elle était un cordon bleu de la cuisine marocaine, on n’avait pensé que son aide ne serait pas de refus. D’ailleurs, elle avait préparé presque tous les plats de la fête , exceptes ceux qui contenaient du sucre ou du sel. Pour vous dire combien sa présence était nécessaire
    Donc tout se déroulait bien et à merveille. Ah, j »ai oublié de vous dire qu’on se trouvé dans le superbe jardin de la villa et qu’il y avait à peu près une vingtaine de tables couvertes par des parasols excentriques; ce qui donnait à l’endroit une atmosphère de carnaval.
    On était heureux comme un bébé. Aussi, on s’amusait comme des fous, on riait comme des bossus, on mangeait comme des affamés et on buvait comme des trous.
    Madame Boudhab était vraiment ravissante ce jour. Elle s’était habillée comme une reine .Avec sa taille de guêpe, elle donnait l’impression à son entourage qu’elle était loin d’avoir ses trente ans. Elle se déplaçait d’un pas souple et léger entre les convives, tout comme un papillon d’une rose à l’autre .Vraiment, elle était l’héroïne de la fête
    Son mari, lui était quelqu’un qu’on voudrait bien avoir son poids s’il était en or. Il avait mis son costume à rayures qui lui donnait l’impression d’un zèbre femelle enceinte de dix mois. Cependant, il se déplaçait comme un taureau .Heureusement que sa demie le maintenait en laisse, sinon il aurait bien fait des malheurs .Non, rassurez-vous:il n’avait pas bu d’alcool ; mais le Malheureux a sifflé par ignorance, voire insouciance une bouteille de sirop .Notez qu’il était enrhumé et son médecin traitant lui avait prescrit deux cuillerées trois fois par jour; et lui intelligent comme il était il avait pensé prendre les trois doses en un seul coup. Comme ça, son seul souci serait l’accueil de ses invités. Alors, il a vidé le contenu d’un seul trait .Quand sa femme l’avait trouvé, il était entrain de fou de rire. Bien entendu, il était trop tard pour l’emmener aux urgences et puis les invités étaient déjà dans la demeure.
    L’épouse dévouée lui a fait boire du café noir .Ainsi, le débauché s’est à moitié dessaoulé.
    Hormis ce cas d’ivresse accidentelle, monsieur Boudhab était un riche homme d’affaires ; quelqu’un de sérieux, de serviable et de brave. Malgré sa corpulence, il était aussi doux qu’un agneau et ne tuait pas une mouche même si elle mettait ses pattes dans son assiette. Tout simplement, il l’écrasait entre deux bouchées de pain sans s’apercevoir de sa présence.
    A un moment, une des servantes s’approcha du couple et chuchota à l’oreille de madame qu’un vieil homme demandait à la voir. Celle-ci par un geste lui fit savoir de dire à l’intrus que c’était à lui de se faire voir ailleurs. La servante obtempéra, mais revint aussitôt :
    ا_ Qu’est-ce qu’il y a encore? Tu ne vois pas que je suis occupée
    _ Mais madame, le monsieur insiste pour vous parler
    Madame Boudhab réfléchit quelques secondes. Puis :
    _ A -t-il dit son nom ?
    _ Oui madame; il s’appelle Maazouz
    _ Ce nom ne me dit rien qui vaille
    Bon , dis-lui que j’arrive !
    Pendant ce temps, monsieur Boudhab se rua vers quelques uns de ses anciens amis .Ces derniers l’accueillirent à bras ouverts.
    Quant à madame Boudhab, elle s’approcha du seuil de la porte. Elle ne vit personne. Elle regarda aux alentours : une voiture qui démarrait attira son attention, puis les miaulements de deux chats qui se disputaient une proie (sûrement une tête de poulet).A part cela, rien d’anormal. Elle s’apprêtait à rebrousser chemin quand elle entendit comme un chuchotement :
    _ Malika! je suis là .Ne t’en vas pas
    Elle se retourna brusquement et ne manqua pas de crier :
    Ah, mon Dieu

    A suivre dans trois jours

    #206702
    houmidi59
    Participant

    Le code de la route a été établi pour être respecté par tout le monde : les conducteurs, les piétons et les hommes de la loi .Malheureusement, pour chacune des trois catégories, il y a toujours des exceptions.
    Certains conducteurs connus sous le nom de chauffards du dimanche croient que tout leur est permis, pour la simple raison qu’ils sont pressés ou ont des engagements urgents qu’il ne faut en aucun cas reporter.
    Il y a aussi les piétons qui traversent la chaussée sans passer par le passage qui leur est destiné et qui en plus croient que les feux tricolores sont faits uniquement pour les véhicules
    Quant aux hommes de la loi .Ici il est question de policiers et de gendarmes .Plusieurs d’entre eux réprimandent le fautif à leurs façons .Ce qui arrange d’un côté le conducteur et remplit la poche des seconds au lieu des caisses de l’Etat.


    Revenons au conducteurs et spécialement ceux à deux roues : les vélos et les motos tous genres. Ah, ceux –là sont vraiment uniques dans leur cas. Plus de 95% ne respectent pas le code de la route .On peut dire qu’ils ne distinguent plus entre les trois couleurs qui régissent la circulation. Ils sont loin d’être des Daltoniens, puisqu’ils distinguent bien la couleur verte. Comme quoi si les optimistes voient la vie en roses, nos motocyclistes et nos cyclistes voient leur parcours en vert.
    Moi aussi , j’ai une moto que j’utilise dans mes déplacements en ville .Il s’avère que c’est un moyen économique et pratique surtout dans les grandes agglomérations. Cependant, son conducteur demeure vulnérable face aux accidents de la circulation. Pour cela, il faut se munir d’un casque pour se protéger d’une chute brusque ou un heurt violent .Aussi, il ne faut jamais rouler entre les voitures pour éviter d’être serré par elles.
    Je vais vous raconter un fait divers que j’ai moi-même vécu
    Un jour , je roule tranquillement sur ma moto.Arrivé à un carrefour , je ralentis ; d’ailleurs , le feu rouge s’affiche aussitôt .Donc, plusieurs voitures se sont arrêtées .Moi, j’ai pris le côté droit tout en guettant le changement du rouge au vert.Soudain, j’entends un klaxon strident .Je me retourne : derrière moi un motard qui me fait signe de m’écarter de son chemin.Moi bonne âme , je lui montre du doigt que le feu est toujours rouge.Ce ,n’est pas une réponse à lui dire .Aussitôt, il appuie sur l’accélérateur en faisant crier son moteur à deux cylindres , prêt à me foncer dessus .Dans de telles situations, le mieux est d’obtempérer ; mais , les amis, je suis un peu coincé et je ne peux même pas bouger …sauf pour griller le feu rouge .Et ça , je ne le ferai jamais.Alors, l’homme à la moto descend de son engin et m’attrape pour me « corriger » à sa façon.Quand, soudain, deux policiers surgissent et l’un d’eux crie à l’agresseur :
    _ « Hé, vous, qu’est-ce que vous faites ? Lâchez cet homme tout de suite
    Le barbu obéit tout en me poussant ; ce qui me fait tomber sur ma propre moto.Heureusement que mon casque a paré le coup de chute .Ce qui a fait que je me suis vite relevé.Le second agent s’approche de moi et m’apostrophe :
    _ »rien de grave, monsieur ?
    _ Merci lui dis-je, ça va . Tout va bien
    Puis :
    _ Qu’est ce qu’il y a au juste ?
    _ Il me barre le passage , hurle le motard , tout en manifestant sa colère
    _ Ah, bon, réplique le policier .Monsieur a l’intention de griller un feu rouge
    _ Mais…mais , bêle le malotru
    Le policier reprend :
    _ Tu n’as pas de chance , mon gars, parce qu’on a tout vu.
    Braves policiers , un moment , j’ai pensé les embrasser.
    Puis , le policier demande à voir nos papiers .Je les lui remet fièrement , tandis que mon agresseur semble chercher dans ses poches , mais en vain
    Finalement, on saisit son engin et on lui colle une amende
    Quant à moi , je quitte les deux agents après les avoir remercié .Puis, au lieu de faire mes courses, je décide de boire un café.Justement , mes amis sont là.Cela m’a permis d’oublier l’incident.




    Abdelhamid
    Oujda : 4 décembre 2010

    #206693
    houmidi59
    Participant

    Je traverse la rue tranquillement ;quand une voiture me heurte à mort.Aussitôt, je perds connaissance et je sombre dans le vide.Je crois que je viens tout simplement de quitter notre monde vers un autre .En ouvrant mes yeux , je ne vois que du brouillard .Bientôt, j’aperçois des ombres .Je réalise que ce sont des êtres humains .Malheureusement, il semble qu’ils ne se soucient guère de ma présence.J’écarquille mes yeux dans le but de reconnaitre l’un d’eux .Mais, en vain.
    Je me relève et commence à marcher .Je parcours ainsi des centaines de pas.Le brouillard commence à se dissiper .Bientôt, j’aperçois une voiture de loin .Aussitôt, je me dis : mais c’est la voiture qui m’a renversé !
    Je m’approche du véhicule .Le conducteur est à l’intérieur .Il dort à poing fermé.Je tape sur la vitre de la voiture pour manifester ma présence.Le dormeur sursaute .Il me regarde d’un air étonné
    _ »Qu’est ce que vous voulez ? Me dit -il en guise de salut
    Je lui répond poliment :
    _ vous venez , il y a juste dix minutes de me renverser avec votre voiture…
    Il m’interrompt net :
    _ Etes-vous devenu fou? Hurle-t-il, je suis accroupi là depuis des mois et des mois
    _ Hein rétorqué-je
    Le conducteur se relève .Il sort de sa voiture ; puis, il me dévisage longuement avant de dire :
    _ Vous , je ne vous connais pas
    Puis:
    _ c’est sûr , vous venez d’un autre monde
    _ Quoi ! m’exclamé-je.S’il vous plait , ou sommes nous ?
    Il sourit :
    _ Mais vous êtes dans l’Antichambre
    Je répète comme un élève et avec un ton plus exclamatif que le sien : l’antichambre!
    Comme je n’ai rien compris , j’ajoute :
    _ C’est quoi cette antichambre ?
    Il me foudroie de son regard .C’est alors que je constate que ses yeux sont rouges .On dirait qu’il n’apprécie pas ma présence .Cependant, il me dit : écoutez , vous êtes quelqu’un de curieux et de bavard et moi je n’ai pas de temps à perdre avec vous.Si vous voulez tout savoir , suivez cette voie.
    Et il désigne de son index un point obscur dans le néant
    Il ajoute : allez tout droit jusqu’à ce que vous trouvez une pancarte entre deux chemins ; et là à vous de voir
    Je veux répliquer , mais il ne me laisse pas cette oportunité.Alors, il s’enferme dans son véhicule et s’endort à nouveau
    Je suis son conseil.Ainsi , je marche plusieurs centaines de mètres.En chemin, j’ai croisé beaucoup de gens.Aucun d’eux ne fait attention à moi.On dirait qu’ils ne voient pas et n’entendent rien .Ce sont sûrement des zombis !
    J’ai beau les appeler, ils continuent de marcher comme moi .J’ai remarqué aussi qu’ils ne se parlent pas entre eux et que leur tête n’a pas de cheveux.En somme ce sont des chauves.Je continue mon chemin et à chaque fois je dépasse plusieurs groupe
    Enfin , j’arrive à un croisement de chemin.Juste au milieu, il y a une pancarte comme me l’a indiqué le conducteur .Je m’approche pour lire ce qu’il y a écrit.Voyez-vous , il y a toujours du brouillard autour de nous.Je lis : paradis d’un côté et enfer de l’autre côté
    Bien entendu, j’opte pour le premier chemin ; tandis que derrière moi, des groupes de marcheurs se dirigent vers l’autre chemin .Aussi, je constate avec surprise que je suis le seul à avoir opté pour cette direction
    Juste après une centaine de mètres, je me vois dans un autre monde .Soudain, le brouillard s’évapore et une lumière intense inonde tout mon entourage .A un moment, je ferme mes yeux ; puis mes yeux se sont vite habitués au flot de lumière .
    Cette fois , je vois de la verdure : des arbres garnis de fruits , des fleurs éparpillées partout .Il y a même quelques papillons qui voltigent là et là.Derrière moi, de l’eau coule et des chants parviennent jusqu’à mon oreille.
    C’est le printemps, me suis-je dit.Puis, je réalise que quand là-bas dans mon ancien monde , j’ai laissé l’hiver.
    Donc, je cherche de mon regard une présence humaine ; quand , j’aperçois un vieil homme .Il ne semble pas me voir.Tout simplement, il est en phase de méditation.Je m’approche quand même de lui et lui dit poliment:
    _ » excusez-moi grand-père , je voudrais juste savoir ou nous sommes!
    Après une vingtaine de secondes , le Vieux ouvre ses yeux , me regarde et répond :
    _ N’as tu pas lu la pancarte mon , mon fils
    _ Si , je dis du tac au tac
    _ Alors, poursuit-il, pourquoi poses-tu cette question ?
    Je n’arrive pas à comprendre .Aussi, je fais savoir au vieil homme que je viens juste de mourir et que je m’aperçois que je me trouve dans un autre monde
    _ Non, explique-t-il , tu n’es pas mort ; tu viens juste de passer du monde des mortels à celui des immortels
    Puis:
    _ toi, tu es quelqu’un de bien ; c’est pour cela que tu as choisi le bon chemin
    Je le regarde étourdi .Il me tape l’épaule avec affection: quelque chose ne va pas mon fils ?
    Après un bref silence , je lui fais savoir qu’au croisement des deux chemins , j’ai vu une grande partie des gens prendre l’autre chemin.
    Il sourit et me dit :
    _ » mon fils ceux qui prennent ce chemin sont les mauvais
    _ Mais, répliqué-je, pourquoi n’ont-ils pas pris ce chemin? Il n’est sûrement pas gardé.D’ailleurs personne ne vous barre le passage
    _ Ecoute mon fils , reprend le vieillard, ces gens que tu as vus ne peuvent prendre ce chemin parce que tout simplement ils ne le voient pas .Pour eux, il n’existe qu’un seul chemin.Tandis que pour toi, il en existe deux .Tu n’as qu’à choisir .C’est évident pour tout ceux qui font du bien dans leur vie antérieure
    Toi, mon fils tu es quelqu’un de bien : tu as bien rempli ta mission : envers ton Créateur et tes semblables
    _ Alors, je m’exclame, c’est facile de trouver le paradis
    _ Ben oui, sourit-il de nouveau ; mais…
    Je poursuis sa réflexion:
    _ … les gens ne veulent pas
    _ Tu as bien saisi , approuve mon interlocuteur
    Puis, :
    _ viens je vais te faire visiter le paradis
    Il réalise aussitôt ma stupeur
    _ On n’est pas encore au paradis .Tiens, voilà de belles hôtesses qui vont t’assister et prendre bien soin de toi .
    Aussitôt, des anges vêtus de blanc s’approchent de moi et me secouent tendrement
    _ » Réveillez-vous monsieur .Vous avez beaucoup dormi
    J’écarquille mes yeux : deux ravissantes infirmières sont à mon chevet avec leur sourire innocent.Dieu merci dit l’une d’elles , vous revenez à la vie après presque vingt heures de coma. »
    Et , elle appelle le médecin:
    _ Professeur ! Vous avez réussi. »


    Abdelhamid



    Oujda le 26 novembre 2010

    #262971

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    sebbani
    Participant

    Bonjour/Bonsoir Très chers amis !
    oui vous êtes tous des amis, grâce à vous tous on a pu revivre des moments et des souvenirs inoubliables depuis que j’ai lancé ce sujet le 6 Novembre 2008 , sur un coup de la nostalgie qui m’a bouleversé , en 2008, lors de mon passage à Oujda et une visite du lycée.
    Merci d’écrire de temps à autre pour ranimer la mémoire des anciens de ce lycée, après plus de 43 ans.

15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 469)
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