Résultats de la recherche sur 'HISTOIRE DE MUR'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'HISTOIRE DE MUR'

11 réponses de 106 à 116 (sur un total de 116)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • al-mansi
    Membre

    @Alain wrote:

    Une mise au point sur las années de plomb.

    Ce n’est pas l’épisode de l’histoire du Maroc que je préfère….. mais…..

    On voit bien que lorsque l’on laisse aller, toutes les dérives sont possibles et ne manquent pas de s’exprimer à travers des formes pouvant aller jusqu’au terrorisme.

    ce n’est pas tout à fait un secret que tu nous dévoiles, mais je reconnais le courage d’avoir avoué au moins une partie de ta vraie pensée profonde, en tout ce qui concerne la démocratie, la justice, et les droits de l’Homme…. alors qu’en réalité presque tous les occidentaux et leurs chefs d’Etat n’osent pas l’avouer ouvertement et continuent à nous induire en erreur, à nous tromper.

    voilà ce que tu nous avoues, toi qui nous « souhaites le bien » : tous les moyens sont bons pour arréter l’Islam ….même si des innocents sont torturés … même si tout le peuple est traumatisé … même si les droits de l’Homme sont bafoués et effacés …

    mais tu n’as pas tout avoué : les chefs arabo-musulmans sont là pour finir le travail des coloniaux, ils sont là pour étouffer la voix des peuples, ils sont là pour éviter la renaissance des peuples, et quand ces sbires, ces mains du colinisateur, quand ils échouent à accomplir cette missions alors là leurs maitres interviennent.

    @Alain wrote:

    il avait pensé que les citoyens marocains avaient muri (et c’est l’espoir de chacun d’entre nous)

    c’est la plus grosse insulte que vous prononcez à l’égard de nos peuples, vous les ocidentaux judéo-chrétiens, pour vous, nos peuples sont politiquement et démocratiquement immatures… on est inapte pour la démocratie et la justice !!! quelle insulte !!!

    ça me rappelle une petite phrase : « Quand le peuple vote mal, changez le peuple », mais ça a changé : « Quand le peuple vote mal, massacrez le peuple ».

    #220525
    Alain
    Membre

    @al-mansi wrote:

    لا عاش بيننا من خاننا……

    ……. لا نامت أعين الجبناء

    mes messages ne s’adressent plus à un juif d’origine marocaine vivant en France, il se reconnaitra, je veux plus lire ses débilités en réponse à mes messages.
    puisque cet intru refuse notre religion et notre idéologie il n’a donc qu’à nous laisser tranquile et aller tchatcher avec des illumuniés comme lui.
    il n’y pas plus dictateur que quelqu’un qui refuse les idées des autres et les qualifie d’obscurantistes malades, il n’hésitera pas à nous condamner rien que de l’avoir contrarié (même avec preuves et arguments à la clé).
    il se disait professeur mais ses fautes d’orthographes témoignent du contraire.

    Quant à les autres (on ne dit pas « Quand à » cher professeur), je les connais comme ils me connaissent, ils sont des hypocrites, ils sont incapables de dire la même chose sur le Maroc qui a connu le pire à un moment donné (lisez l’histoire des années du feu et plomb).

    En résumé, si pour chaque citoyen tué – à tord ou à raison – il fallait assassiner le chef d’Etat de son pays, il faut alors – par la même logique chers démocrates – assassiner 99% des chefs arabes !!! un menu copieux pour les pays occidentaux : 99% des chefs de ces états occidentaux dits démocratiques doivent aussi être pendus.

    ERREUR, ton antisémitisme te fait voir rouge…. ma famille est chrétienne…. et à mon grand désespoir pratiquante, mais bon c’est son choix…. et il est respectable.

    _______________________________________________

    Une mise au point sur las années de plomb.

    Ce n’est pas l’épisode de l’histoire du Maroc que je préfère….. mais…..

    On voit bien que lorsque l’on laisse aller, toutes les dérives sont possibles et ne manquent pas de s’exprimer à travers des formes pouvant aller jusqu’au terrorisme.

    Feu Sa Majesté Hassan II a été le meilleur rempart contre l’intégrisme,; sa lucidité nous a épargné de voir ce qu’il se passe dès lors que l’on laisse les plus fantiques en liberté.
    Donc de ce point de vue, je lui suis reconnaissant de la politique qu’il a mené.

    La question qui reste posée est toujours la même depuis des décennies : les marocains sont ils prêts pour une démocratie ?

    La maturité politique peut elle s’exprimer en dehors des tutelles ultrareligieuses et des pressions que les imans intégristes mettent sur l’acquisition du pouvoir.

    Je pense que Sa Majesté Mohammed VI a compris qu’il fallait resserrer les boulons afin d’éradiquer ces extrémistes qui ne peuvent que mener le pays à sa ruine.
    Dans sa bonté naturelle, il avait pensé que les citoyens marocains avaient muri (et c’est l’espoir de chacun d’entre nous), mais il faut se rendre à l’évidence, il reste encore trop d’individus attachés à la perte de l’identité marocaine pour se calquer sur les modèles les plus obscurantistes des républiques islamistes qui ne songent qu’à contingenter les personnes au profit de leur pouvoir (je te range dans cette catégorie)

    #217385

    En réponse à : frontière algérienne

    Anonymous
    Membre

    Bonjour tous.

    Je réponds à 3 internautes en même temps pour ne pas ennuyer les gens pressés qui ne demandenet que des flahs palpitants!

    1. Monsieur OUJDI NET , comme je vous l’avais promis dans l’un de mes messages précédents, je vais essayer de compléter ma réponse puique je vous ai avoué, qu’il yavait quelques phrases dans votre message qui échappait à ma connaissance de langue arabe. J’ait fait le necessaire, et je me suis aperçu, que finalement que la réponse que je vous ai donné dès le départ, qui est celle que j’ai donné à HINDA( qui ne s’est malheureusement jamais manifestée depuis qu’elle a posé sa question) reste d’actualité. J’ai répondu que le problème majeur qui est responsable de la fermeture de la frontière maroco-algerienne ets celui du problème du sahara. Ceci a été ettayé par notre amie internaute MENARA qui a l’air d’être du même avis que moi dans l’un de ces derniers messages. Si vous le permettez cher OUJDI NET, je voudrais pousser le débat un peu plus loin pour ce qui concerne ce problème de la frontière maroco-algérienne qui pour moi signifie l’union du maghreb et pas perdre son temps à des discussions comme certains le font, avec beaucoup d’attention, en parlant des dirigeants ou des généraux qui décident en algérie. Arrettons de discuter sur ce problème svp, car tout le monde sait que le peuple algérien comme le peuple marocain sont deux peuples qui peuvent vivre en symbiose totale, c’est simple, parceque, ces gens vivent dans les mêmes conditions, que ce soit d’un côté ou de l’autre de la frontière.

    2 je sais aussi que les peubles se font manipuler en fonction de leurs besoins vitaux, c’est comme une plasticine avec laquelle on peut forger ce que l’on peut imaginet en la façonnant comme l’esprit des dirigeants le désirent. Comme preuve, je vais vous citer 2 exemples pour ne pas charger la page. M. MCHICHI de SIDI BELABBES, de formation universitaire, voulant se rendre à MEKNES pour participer à un congrès, il doit satisfaire à ce qu’on appelle de nos jours et d’une manière péjorative à des exigences qu’on appelait jadis un parcours du combattant. Quand j’ai lu ce qu’il disait dans son message et quand j’ai lu ce que M. OUJDINET si ma mémoire ne me fait pas défaut( à moins que ce soit M. EL KADIRI). Ce qu’ils se sont échangés comme messages celà dmontre qu’il ya dans ce maghreb de quoi faire pas mal de choses. Malheureusement, lorsqu’il m’est arrivé, un des jours du mois d’août 2006, sortant de la ville de saidia me dirigeant vers oujda, une surprise ! à ne pas croire ses yeux! (entre les deux routes principales, l’une algerienne, l’autre larocaine, séparées par un petit ruisseau de quelques mètres) une agglutinations de gens, de part et d’autre de ce ruisseau, s’échangeant des paroles voir mêmes des jets de pierres. A première, vue j’ai crû à un accident. Je me suis immobilisé sur la l’accottement de la route, j’ai bien mis mon frein à main, J’ai bien vérifié que les prtières et le coffre de ma voiture soient bien verouillés), seulement et seulement après ces précautions d’usages que je me suis dirigé vers la cohorte de personnes qui était dans un débat contre les homologues algériens aussi bien organisés et rassemblés de l’autre côté du ruisseau. Lorsque j’ai entendu quelques éhcnages de phrases entre les deux communautés, j’ai vite compris que j’étais hors circuit, que je ne pouvait en aucune manière intervenir et faire comprendre ce qu’est la sagesse ni à un camp ni à l’autre. J’ai rerbroussé chemin, j’ai repris le volant de ma voiture et j’ai continué mon chemin non sans prier en me disant que dieu fasse en sorte que les dirigeants de ces deux peuples fassent en sorte qu’ils puissent un jour voir non pas un ruisseau mais plusieurs ponts sur lesquels des milliers de personnes de part et d’autre puissent passer avec groupes, voiture remplie de semoules, de koualeb de sucre, de diverses sucreries avec un mouton à cornes biens circonvoluéees, un drapeau blanc comme le font les berkanis, une autre voiturer derrière avec une troupe qui chante, danse et applaudit, avec bien sûr des you you des algériennes qui viennent fusionner avec ceux des marocaines de la région qui ne font rien d’autre que ce qui est déjà fait.Pour moi, c’est celà l’ouverture des frontières. Quand le peuple est prêt à cette ouverture, croyez moi, le reste et qui est le plus difficille pour certains, viendra tout seul. Si me suis un peu trop étalé sur ce sujet, ce n’est pas pour raconter des anectodes qui sont arrivées à tout le monde, ce n’est pas non plus pour répéter pour la xième fois que c’est la faute des dirigeants. Cà mes amis, tout le monde le sait. Ce dont on a besoin, ce n’est pas des donneurs de leçons et des solutions théoriques qui expliquent la situation, certe, ces gens sont toujours les bienvenus car ils sont necessaire pour ne pas creer de l’anarchie, mais ce qui nous manque surtout, je crois c’est des gens capables de se sacrifier et de dire que: le problème il est là écrit au tavleau, personne n’a besoin d’explications: il en existe deux à mon avis:

    1. le problème du sahara: je ne reviendrais paas la dessus cxar les gens finiront par être sourds à force de l’entendre

    2. Il faut des gens capables de sortir de l’ornière, du côté algérien et du côté marocain pour dire que le problème doit être vu sous des angles différents( comme le dit mon ami oujdinet, seulement la différence entre lui et ce que je pense est quelque peu divergeante) tant pis et tant mieux, celà ne peut que nous mener à une solution choisie par plusieurs opinions.

    3. Pour relancer le débat pour nous marocains et j’espère que nos amis et frères algériens nous rejoignent ou qu’on les rejoigne sur un terrain de leur choix et pas necessairement oujdacitynet.(il est vrai que son mérite c’est d’etre la transition par excellence) . On peut s’échanger nos opinions. On peut bien sûr attirer leur attention sur la politique qui est menée dans leur pays par une poignet de generaux ayant comme emblème M. BOUTEFLIKA( qui n’a rien à perdre de ce qui va se passer après lui puisque de toute façon, il sait que c’est son dernier mandat). Que deviendra l’algérie après BOUTEF?! . Permettez moi de vous livrer ce que je pense personnellement: et j’interpelle par là mon ami oujdi net pour son avis. A la mort de feu le Roi nHASSAN II que dieu ait son âme, Au point de vue international, le Maroc se trouvait dans une position politique forte. Au même moment l’algérie commençait à peine à sortir la rête de l’eau non sans aide économique et politique du Maroc, tout le monde peut en témoigner.
    A mon avis, M. BOUTEFLIKA qui a appris beaucoup de chose pour ne pas dire tout de notre ancien ROI HASSAN II, s’est dit, c’est l’occasion à ne pas rater, d’une part, j’ai un pays en pleine ruine, qui ne demande qu’une chose c’est d’avoir un civil’après les militaires qui est inutile de nommer) qui va nous apporter la paix ou soit disant paix chacun l’interprète à sa manière en algerie encore de nos jours), d’autre part, le momument qui faisait barrage à tous ces africains qui voulaient arriver à leur fin sans sagesse politique murement réfléchie qui était une des grandes qualités Du ROI HASSAN II DU MAROC ). Ici l’histoire du Maghreb va à mon avis prendre une tournure inattendue à vrai cire. M. BOUTEFLIKA va très vite et de manière maladroite utiliser la politique que les algériens eux mêmes appellent la « HOGRA ». Il l’utilise dans son propre pays l’algérie qui donnera comme exemple l’éclatement de l’éalgérie non seulement avec les réligieux radicaux avec lesquels il va faire pas mal de compromis mais aussi les kabiles de l’autre côté qyui lui font voir que gouverner l’algérie n’est pas une chose aussi simple que de débarquer de suisse où on s’est réfugié pendant pas mal d’années , s’occuper de ses affaires personnelles
    et subitement desencdre du ciel dans un terrain il est vrai qu’il était vague et vide et de gouverner). Mais aussi M. BOUTEFLIKA avec le concours des circonstances qui lui ont été favorables, survient le décès de feu LE ROI HASSAN II qui était, je le répète son barrage capital. Dès lors, lui ou et ou ses conseillers mal renseignés, lui ont soufflé dans l’oreille qu’il existait un point qui était quasi résolu entre le Maroc et les soit dirigeants réprésentants de je ne sais quel république banannière du sahara qu’on pourrait rallumer et ceci pour deux raisons:

    1. Celà permettra à l’algérie de mettre les choses au point, de voir plus clair dans ce qui se passe dans le pays, celà occupera le peuple.

    2. L’Afrique a besoin d’un leader shape. Jusqu’à présent, c’était HASSAN II QUI TENAIT CE TITRE . LE ROI HASSAN II n’étant plus de la partie, remplacé par son fils MOHAMMED VI, subitement, M. BOUTEFLIKA SURSAUTE: Mais c’est vrai!! Mes rêves vont peut être s’accomplir: moi, qui à maintes reprises tremblais dans la salle d’attente au palais roayal de RABAT AVANT que S.M. LE ROI HASSAN II daigne me recevoir quelques minutes , me chuchoiter quelques phrases dans l’oreille dont la moitié était oubliée avant la sortie du palais à cause de l’influence que cet homme avait sur moi, cet homme que j’ai essayé de copier d’immiter dans tous ses gestes, paroles, comportements au point que je suis occuppé à essayer de faire la même chose que lui dans cette algérie qui n’ pas l’air de me comprendre facilement. Alors, allons y jouons le tout pour le tout( pour le dernier mandat, je ne risque pas grand chose), je jure que mon rêve est de terminer comme HASSAN II, l’annonce de sa mort doone l’impression au monde entier un sentiment de tremblement de terre! oui c’est pas mal vu, mais comment y arriver, pacq les antécédents ne sont pas comparables, HASSAN II ETAIT FILS D4UN roi qui lui même était fils de ROI ET AINSI DE SUITE? Alors que moi, j’ai bien essayé de secouer mon cerveau, tout ce que je peux en tirer c’est que je me souviens du quartier village ettoba à OUJDA, j’ai passé pas mal de soirées dans les plus belles villas d’OUJDA pour ne pas dire toute, de là, par un tour de passe passe, je me suis trouvé enrolé dans les rangs du FLN dans les maquis en montagnes et armes contres les colonisateurs français ou civils qu’on appelait à l’époque de la guerre d’algérie EL FIDA ce qui n’est pas le même role du tout. Mon baccalaureat? si je l’ai passé, je ne suis pas capable de vous dirre où? La manipulation de la langue arabe? il suffit de m’écouter lors de mes discours et vous aurez tout de suite compris son origine. bref, j’arrête là le déferlelent de mes pensées pour M. BOUTEFLIKA pcq quand je l’entends parler, en particulier du Maroc, je me sens frustré à sa place, certe il est parmis les meilleurs militaires à s’exprimer en arabe maghrébin ce qui n’est pas peu dire mais il laisse sous entendre qu’il est sous couvert de quelque chose qu’on lui a appris à OUJDA. vOUS voyez! je suis tombé dans le même piège que M. BOUTEFLIKA. iL commence un sujet et il termine en queue de popisson par tout à fait autre chose. Je ne peux m’empêcher de faire la remarque suivante car elle est caricaturale: Un jour M. BOUTEFLIKA , devant un parterre de haute personnalités et de certains représentants du peuble dans une ville pas loin d’OUJDA, Il répond à une citoyenne algérienne à qui la Tv a bien voulu donner la parole et qui réclamait un logement:  » Je suis ici venu pour vous donner les clefs d’une habitation et pas pour vous servir un bol de HARIRA ». Jamais, au grand jamais, les marocains n’ont été vlessés, touchés et ebranlé lmeur amour propre, pcq M. BOUTEFLIKA faisait allusion au ROI DU maroc mohammed vi qui passait son temps à distribuer des vivres aux personnes pauvres.

    Sachez cherès soeurs, chèers frères algériens, que ce que M. BOUTEFLIKA a laché comme phrase ce jour là est une chose qui reste gravée dans chaque cerveau de marocain et marocaines, ce sont des phrases qui ne s’effacent pas aisément, nous l’avons compris, nous peuple marocain frère du peuple algérien comme une insute à notre personnalité, comme une HOGRA comme d’autres frères algériens l’ont senti avant nous.( les kabyles)

    Il ya une deuxième chose sur laquelle je voudrais revenir pas pour reveilller des choses anciennes mais surtout pour dire que beaucoup de marocains font semblant d’avoir oublié alors que ce n’est pas le cas, dès mors, essayons de balayer les tabous:

    1. Chèrs soeurs, chers frères algériens, sachez que M. BOUTEFLIKA qui pour argumenter et fait souvent des éloges à l’un de ses predecesseurs en particulier M. HOUARI BOUMEDIENNE. Sachez chères soeurs et frères algériens que lorsque ce genre de discours est tenu en particulier dans des villes frontalières telles que TKEMCEN maghnia, ETC… Ne peut empecher de reveiller des souvenirs de marocaines et marocains qui vivent actuellement qui à Oujda, à NADOR à FIGUIG, à GUERCIF, à RABAT, à BENIUMELLAL, à AGADIR, à TIZNIT( 200 Km d’agadir), à RETOUAN, à PARIS, à MARSEILLE, à BRUXELLES et j’en passe. Chères soeurs, chers frères algériens, sachez que il ya quelques semaines, j’ai entendu sur la chaine de tékévision algérienne nationale qu’un des ministres en déplacement dans je ne sais quel bled d’algérie a été reçu en triomphe pour inaugurer ube école primaire et par la même occasion à distribué des centaines de couffins de vivres pour les démunis (vous appelez cà el gouffa, nous on l’appelle el ghoirfia) c’est le même langage. ce qui veut dire que cherè!es soeurs et frères algériens, vous devez aussi vous retourner cobntre M. BOUTEFLIKA qui il ya peu traiatait notre ROI comme distributeur de bols de HARIRAet c’est dit de manière hautaine, c’est cà le pire.

    Je reviens pour m’adresser aux amis algériens qui sont convaincus que n,otre interet est d’aller dans le sens de l’union du maghreb comme j’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur ce sujet. Sachez que  » EL HOGRA et vous an savez quelque chose dans votre histoire, ne mène à rien) hors, que s’est-il passé dans tout ce que j’ai essayé de dire ci-haut:

    1. L’afrique est orpheline. Elle a besoins d’un LEADER.

    2. dEUX AXES SE DISSINENT:

    a) L’axe RABAT-L’EGYPTE-les arabes du moyen orient.LE MAROC DONNE L’IPRESSION DE l’emporter

    b) L’axe ALGER-AFRIQUZE DU SUD-via nigeria

    En attendant les urnes, l’union europeenne pepassée, la chine se revaillant à la grande surprise de tous

    Avis aux polytologues, economistes, ethnologues, altermondialistes! on vous écoute et on ateent sagement dans notre chiause pour certains, par terre pour d’autres, chaud malgré ll’hiver pour certains, froids dès la moindre fraicheurs pour d’autres, gueris d’une maladie mortelle pour certains, enterrement et lecture de sourat de coran pour d’autres etc……

    SVP NE REPONDEZ PAS TOUS A LA FOIS MERCI SAIDI

    #217967
    dahlia
    Membre

    …aprés tout ce que j’ai lu et vu aujourd’hui sur ce forum je crois que mon intervention serait simple :
    bnadem mdareb ri m3a rasso fine 3ad m3a s7ab l gharb wlla ..wlla……. wlla….:roll: 🙄

    J’ai remarqué qu’il y a une certaine haine entre Oujdis et les autres Marocains, la preuve c’est qu’on apel tout ce qui viens au dela de l’oriental de Gharbi , encore pire, on se moque de sa façon de parler 🙄

    fadi ne te casses pas la tete avec ce sujet y a des choses plus importantes dans la vie qui demandent notre interet et notre temps….ce temps si precieux qui gare a celui et celle qui ne saurait bien en profiter…

    la vie est passagére ,oujdis comme ,gharbis cesseront d’exister un jour ……

    Alors pourquoi construit-on un mur entre nous Oujdis et nos compatriotes du reste du Maroc ..

    parcequ’on accepte mal les différences culturelles ….on melange tout…..
    ce n’est pas nouveau ca…

    prends l’exemple de l’UMA (UNION MAGHREB ARABE) c le meme truc sauf qu’ici c’est sur une echelle reduite mais c’est tout de meme de la qu’on pourrait voir les choses clairement….

    les gens d’esprit fadi ,ne penseront guére de la sorte….
    oujdi et gharbi ne changerait rien a la vie de ces gens tant que la cause defendue est la meme et qui est en premier lieu notre islam…
    notre religion de paix et de tolerance et non de guerre……saaaaans parler des projets territoriaux ambitieux gallek dial developpement humain au maroc ,concertation ,participation solidarité.. et une dizaines de mots qui ne trouverons jamais places entre certains…c’est d’aillers ca qui bloque pas mal de projets ambitieux…
    ca commence a evoluer petit a petit ,on reussit a franchir quelques obstacles,on commence a y croire… ..mais au bout d’un moment ca bloque ..a cause des humains inhumains…..

    ce qui me fait un peu de la peine dans cette histoire,c’est que quand tu parles a certains tu trouves qu’il sont premiers a te donner des  »isstichehadate  »du SAINt CORAN ou du hadith nabawi….

    c’est rejouissant tout ca, mais a quoi sert de parler d’islam ,de pronnoncer et repeter des hadiths et des versets que nous n’avons nous meme pas bien cerné ou compris….

    a quoi sert de dire qu’on est musulman  »ikhwanoune 3inda allah sawassiya amamahou soub7anahou wa ta3ala » alors qu’on se noie encore dans des debilités et futilités qui ne valent rien devant ce qu’endurent nos vrais compatriotes dans l’islam en palestine………

    il ne suffit pas de parler et de le reussir….un mot raisonnable vaut mieux que mille mots privés de sens ….

     »Il vaut mieux mettre son coeur dans la prière sans trouver de paroles que trouver des mots sans y mettre son coeur »…GHANDI…

    je prefere m’arreter la….

    #214815

    En réponse à : jm trop Berkane!!!

    tachafine
    Membre

    @zhm wrote:

    mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
    stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
    relis ton poste stp !

    c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;

    si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
    une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhm

    BERKANE L’HISTORIQUE

    La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.

    la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
    La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.

    Données géographiques : des reliefs contrastés
    * Relief
    Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
    * La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
    * La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
    * Climat
    Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
    * Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
    * Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.

    LE POTENTIEL TOURISTIQUE

    La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
    En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.

    Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia

    La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
    Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
    Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
    Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.

    Plage – Soleil

    Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.

    Infrastructures et Animation

    Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
    Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).

    Le tourisme vert

    Les monts de Béni Snassen
    A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.

    Vallée de Zegzel
    Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.

    Sites archéologiques et historiques

    Grotte des pigeons
    La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.

    Grotte du chameau
    Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    Le tourisme écologique

    Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
    Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
    L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.

    Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
    Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
    Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
    Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.

    Site de la cigogne blanche
    A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.

    Le Thermalisme

    La source de Fezouane

    merci a http://said35.chez-alice.fr/
    La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
    Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.

    La source thermale de Chouihiya

    Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.

    L’héritage culturel

    Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.

    Artisanat

    Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.

    Chants, musiques et danses traditionnelles

    Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.

    😉 😉 😉 😉

    #201646

    Sujet: betisier de l’histoire

    dans le forum Débats
    samir.m
    Membre

    un peu d’humour ne fait de mal a personne 😉 Le bêtisier
    Les assurés écrivent



    Courriers reçus par des compagnies d’assurance.
    Extraits

    Vous me demandez si j’ai fait jouer l’assurance scolaire quand Pupuce a renversé la voisine ; mais je vous rappelle que Pupucen’est pas mon fils, c’est mon teckel !
    Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis, Mr X. Car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.

    J’ai signé le constat mais, ça compte pas ; j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.
    J’ai bien reçu la fiche de mon épouse : je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
    Circonstances de l’accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l’opération Portes Ouvertes de l’entreprise.

    Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
    J’ai été victime d’un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier.

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    Je suivais la voiture qui me précédait qui, après que je l’ai dépassé m’a suivi. C’est alors qu’elle m’a choqué en plein derrière et m’a forcé par choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
    J’ai heurté une voiture en stationnement et me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire.

    Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j’ai dû vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
    Vous me dites, que d’après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c’est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.

    En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant, j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j’ai renversé un cycliste avec ma portière. C’est tout ce que j’ai à déclarer aujourd’hui.
    Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique ; tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
    Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d’un accident ?

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées
    sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    J’ai été blessé par une dent de râteau qui m’est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.

    En qualité du plus mauvais client de votre agence (9 accrochages en 1 an), je vous demande d’avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d’échéance.
    Mon assureur m’avait téléphoné pour me dire qu’il m’envoyait un avenant. Le lendemain, j’ai reçu la visite d’un inspecteur de la compagnie, pas avenant du tout.
    Je vous témoigne mon grand mécontentement : vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c’est toujours avec celui d’avant que je paye les dégâts de celui d’après.

    J’ai touché une femme en arrière et moi j’ai perdu tout l’avant.
    Vous me demandez de renvoyer le certificat sur l’honneur, mais je l’ai perdu depuis longtemps.

    Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche à suivre.
    Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sur de ne rien oublier, j’ai fait des croix dans toutes les cases.
    Vous m’écrivez que le vol n’existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme.

    J’ai lu dans mon contrat auto que vous ne me remboursez pas les frais de réparations de ma voiture si j’ai causé un accident en état d’ivresse. Je suis prêt à payer ce qu’il faudra pour que vous supprimiez ce paragraphe.
    Vous n’allez pas encore me faire chier avec votre connerie de fric. J’ai envoyé une lettre recommandée pour annuler mon contrat.

    C’est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de M. X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.
    Ils m’ont trouvé 2,10 grammes d’alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu’on a dans le corps, vous avouerez que c’est pas tellement (personnellement, j’aurais cru que j’en aurais eu plus).
    Vous me dites que Mlle X. réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu’elle a été légèrement défigurée après l’accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer, que même avant l’accident, cette malheureuse n’avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.

    Je n’avais pas vu la voiture arriver, et quand je l’ai vue, je n’ai plus rien vu.
    Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n’est pas ma faute si j’ai renversé ce cycliste : je ne l’avais pas vu !

    L’accident est survenu alors que je changeais de fille.
    Nous avons bien rédigé le constat, mais pas à l’amiable du tout.
    Je conduisais depuis 40 ans lorsque je me suis endormi au volant.

    Au carrefour, j’ai ralenti et j’ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d’ailleurs il n’y en avait pas ; alors j’ai avancé et j’ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j’ignore. J’ai heureusement freiné et c’est alors que le choc s’est montré sans réticence.
    Je ne suis pas du tout d’accord sur le montant que vous m’allouez pour les bijoux. Ça ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils.

    Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n’avais pas vu venir la voiture ; vous pensez bien que si je l’avais vue, je me serais arrêté.
    Je débouchais d’un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L’arbre m’a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j’étais sorti avec.
    Par la présente, je vous signale que mon fils a cassé un carreau de la fenêtre de l’un de nos voisins, M. X. Celui-ci habite au même étage que nous, mais juste au-dessus.

    Excusez pour la gribouille de ma déclaration ; mon crayon marchait pas, j’ai plus de stylo-bille ; n’est ce pas, quand on part, on ne pense jamais avoir un accident, sans ça on prendrait ce qu’il faut.
    À votre avis, est-il préférable d’acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens, mais protégera ma maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou ? Je vous pose la question, parce que de toute façon, c’est vous qui paierez les pots cassés : soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.

    Je ne vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l’autre ne savait pas conduire non plus.
    C’est trop facile de dire qu’il n’y a pas preuve : vous n’avez qu’à en constituer, je vous paye pour cela.
    J’ai signé le constat, mais ça ne compte pas : j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.

    Je me trouvais en 2e vitesse quand ma voiture fit un tête-à-queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j’avais l’intention d’éviter cet accident malgré ce que vous dites. Je ne suis nullement responsable. Soulignez que je suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
    Dans un virage à gravillons, mon derrière a chassé dans une bouche à pompier.

    La Citroën avait priorité, c’est un fait, mais je ne l’ai pas vu ; d’ailleurs à la façon qu’il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c’était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu’aurait venu par la gauche), il l’emboutissait pareil. Donc il n’y a pas de motif de s’arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d’importance.
    J’étais bien à droite et en me croisant, l’adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m’a heurté, et maintenant il profite de ce que j’avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement, est-ce qu’il faut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche ?
    Je suis entrée en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m’ont paru terriblement limités. J’ai donc eu de la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m’est particulièrement favorable. Je pense que vous m’en saurez gré.

    Depuis l’accident, la culotte est plus mettable ; elle est à votre disposition, je voudrais savoir qui c’est qui va la payer. Je l’ai dit à l’agent mais sur son papier il a pas mis de culotte et il faudrait que vous lui en fassiez mettre une.
    Sitôt l’accident, le témoin a été mangé. Ce qui explique qu’il n’a pas signé.

    Je vous dis que la demoiselle n’a rien : ses bas ne sont même pas filés ! Alors elle n’a pas à se plaindre de ses jambes. D’ailleurs j’ai bien vu quand on faisait les pourparlers que ses jambes ne l’empêcheraient pas de marcher.
    Après l’accident, j’ai du être transporté à l’hôpital Laënnec pour me faire penser. Ces soins n’ont pas été donnés par le professeur Laënnec lui-même, mais seulement par un interné. Le professeur me verra demain.

    Voulez-vous bien noter mon adresse qui est maintenant dans la rue juste à côté de celle d’avant.
    L’accouchement était particulièrement difficile : il a fallu frayer un passage au chasse-neige.
    Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait, je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance-vie.

    Voulez-vous me dire le prix de l’assurance si j’achetais une voiture, alors que je n’ai pas le permis de conduire ?

    Étant un peu dur d’oreille, je n’ai pas vu le cycliste arriver.

    J’ai doublé un cycliste qui circulait à vélo …

    Je ne connais pas les parents du petit garçon que mon fils a renversé avec son vélo. Je sais simplement que son père est aveugle et que sa mère est voyante.
    Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.

    En tentant de tuer un moustique, j’ai heurté un poteau téléphonique.

    Je croyais que ma fenêtre était baissée. Mais je me suis aperçue du contraire lorsque ma tête est passée au travers.

    Malgré ma fracture au poignet, j’ai pris mon courage à deux mains.
    Je n’ai guère eu le temps de voir le piéton, car il a immédiatement disparu sous la voiture.

    Le piéton ne savait pas quelle direction prendre. Alors je l’ai écrasé !

    J’ai vu le vieil homme et son visage triste lorsqu’il a rebondi sur mon capot.

    L’homme prenait toute la rue et j’ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres avant de le frapper.

    Pourriez-vous me dire si mon assurance-vol garantit le vol des antivols ?



    Textes intégraux

    Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. J’avais bu à cause de la chaleur deux blanc cassice. J’ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d’uriné. Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d’unta de pierres et de materiau rapport aux travos eczécuté mintenant pour l’élaictricitai. Jé commencé à uriné et en fesan ce besoin, jé, en maniaire d’amuzement, dirigai mon jai en zigue saque à l’entours.
    Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui était par terre au lieu d’être accroché au poto. Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m’a raipondu dans le fondement et dans les partis, que lotre medecin y appelle tête y cul. Je me suis évanouille, et quand je sui revenu dans la connaissance, jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé à la braguette.
    Je sui assuré par votre maison et je voudrai être un demnisé. Jé droit à ce con m’a dit et je vous demande votre opinion. Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. Ma verge est tuméfié, gonflé et violacé. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
    Au jour d’ojourd’hui, je ne peux plus m’en servir que seulement pour uriné, mais pour le reste, à seul fin de remplir mes devoirs conjugo avec ma femme qui a le sang chot, il n’y fot plus compter.
    A vous lire, je vous salue empressement.

    Je suis entré dans la terrasse d’un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j’en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
    – 3 tables (pas tellement bien),
    – des chaises (en mauvais état),
    – un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d’arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l’arbuste si),
    – il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c’était pire.
    Le restant que j’ai eu en dommage, c’est pas au café, c’est la grille d’un jardin public qui est à la commune ; c’est comme le banc et le feu rouge … il y avait un chien aussi, mais comme il s’est sauvé aussi vite et on l’a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c’est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
    En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
    PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c’est rien : le docteur y a mis des infectants.

    Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m’est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j’ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l’une ne traverse pas l’autre, celle qui est la plus petite doit s’arrêter la première. Donc il n’y a pas de priorité qui tienne. C’est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.

    Monsieur,
    Vous avez surement vu au journal l’accident qui s’est passé au lieu-dit le Harnel, vous m’avez surement reconnu, c’est moi qui a la dauphine bleue que vous assurez depuis 1965. Il y a eu des degats de matériel comme c’est marqué au journal, la demoiselle qui a été emmenée à l’hopital, ça va, y a rien.
    Vous serez bien aimable d’arranger cette affaire parce que je peux pas avoir d’histoire.
    Je vous affirme mon fidèle devouman.

    Je viens d’acheter un camion en remplacement de mon ancien qui est décédé sur la table d’opération de mon garage local. La cause est un cancer généralisé qui s’était développé dans la transmission, l’embrayage et les freins. Il est mort à l’âge respectable de 11 ans et 338424 km parcourus (sans accidents) et laisse dans le deuil, outre son propriétaire, les nombreux clients qui n’ont pas été livrés à temps. La dépouille sera exposée en arrière du magasin pour environ une semaine ; après quoi, elle sera écrasée.

    L’automobile a freiné devant moi. J’ai ralenti. Il a stoppé. J’ai freiné. Il est reparti. J’ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J’ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi.
    Tout ça pour vous dire que j’ai fini par le heurter à l’arrière.

    Lorsque le feu a pris dans ma cuisine, mon mari n’avait pas terminé ses travaux de peinture : il y avait deux murs blanc sale, un vert propre et le dernier moitié sale, moitié vert propre. La fumée a noirci le vert propre et l’eau des pompiers a fait des traces jaunes sur le blanc sale et le plafond (de couleur indéterminée).
    C’est maintenant toute une histoire de choisir une couleur qui ne jurera pas trop avec le reste.
    Pouvez-vous en toucher un mot à l’expert ?

    Je dois vous dire que les gendarmes m’ont posé des questions indiscrètes, du genre : D’où veniez-vous ? Où alliez-vous ? Avez-vous bu quelques verres ? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour ? Votre passagère est-elle un membre de votre famille ?
    Vous avouerez que c’est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n’ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j’ai bousillé un pare-choc.

    Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
    Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

    Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s’est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s’est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d’un verre sur les genoux de mon mari qui s’est coupé en le rattrapant.
    Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.

    J’ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l’eau de mon balcon tombe sur le sien, or c’est l’eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s’en est aperçue et l’a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c’est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l’inondation au 2e.
    Qu’en pensez-vous ?

    Je vous renvoie le papieds avec lequel on peu se torcher le quu car je vous avet envoulier une lettre recommander il y a longtemps et jai plut la voiture non plut et je informe que mon règlement vous sera fait à Niort avec du 6×35 à répaitision car vous êtes une bande de gangstaire et je vais vous maitre entolle.
    Recevez monsieur mes condoléances.

    #213330

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    Iznassen
    Membre

    AZERF ET LE MYTHE DE « LA JUSTICE COUTUMIÈRE BERBÈRE »
    RÉFLEXIONS SUR LE DROIT AU MAROC
    Mustapha El Qadéry, Rabat

    Amara n umagrad ad ira ad issagw, dat yan usemaqqel f umezruy n mamenk ad tusnmalant tghawsiwin izdin d uzerf d tsertit n Merrok, isragen yiwin ayelligh ur testi tenbâdt tanamurt xs yan wanaw n uzerf, llid tkusa gh umezruy nnes d taysiwin, ad yeg azerf anamur unsîb llig teffagh daw uzaglu n Fransa d Sbanya, trar f usga azerf mu ttinin làurf sul ilan g kran tsgiwin d kran igran izdin d tudert tamettit n kigan d imezdaghen n tmazirt.

    À travers une étude socio-historique de l’organisation de la justice et de l’espace politique de l’Empire chérifien à l’époque coloniale, M. Qadéry tente de comprendre les raisons de l’imposition d’une norme juridique particulière par l’État marocain indépendant. Considéré par ce dernier comme national et légitime, ce droit a été imposé au détriment de l’azerf, le droit coutumier. L’azerf est cependant encore en usage dans certaines régions et couvre plusieurs domaines de l’activité sociale et professionnelle.

    By means of a socio-historical study of the organisation of the judicial system and the politics of the Cherifian Empire during colonial times, M. Qadery tries to understand the reasons for imposing a particular judicial norm by an independent Moroccan state. The imposition of these laws, considered by Morocco to be national and legitimate, was at the detriment of azerf, the traditional law system. Azerf is, however, still in use in certain regions and covers various fields of social and professional activity.

    Le système juridique offre une matière de réflexion aussi importante que le législatif et l’exécutif pour l’étude d’un système politique. L’organisation du juridique peut offrir une image sur le développement politique d’un État et clarifier la nature des relations et des rapports des acteurs politiques et de l’État avec la société, et plus précisément de l’État avec les citoyens et les acteurs du développement économique.

    Ce n’est pas un hasard si la justice constitue aujourd’hui un chantier parmi d’autres pour la consolidation de l’État de Droit au Maroc. Elle en est le principal instrument. La nature de ses lois, leur intégrité, leur application et leurs concordances avec les normes internationales en matière de justice civile et économique constituent des critères déterminants retenus par les investisseurs étrangers ou les organismes internationaux pour établir leurs avis sur les systèmes étatiques et leurs potentialités de développement.

    L’intérêt de cette esquisse qui reprend des éléments d’une réflexion entamée lors de ma recherche doctorale (1995), est de m’interroger sur la notion du Droit et de ce que l’État indépendant au Maroc avait retenu comme droit national et légitime. Le droit n’est pas uniquement un ensemble de théories et de règles absolues, il est le miroir dans lequel se réfléchit la vie d’un peuple. Il est déterminé, en principe, par les faits sociaux de ce peuple. Aujourd’hui encore, le droit marocain (celui appelé berbère) demeure une source inépuisable pour la constitution et la consolidation de l’État de Droit et de la modernisation des constructions juridiques, qui doivent, bien-sûr, prendre en compte les mutations sociales et culturelles en cours, relèvent M. Tozy & M. Mahdi (1990). Quand le fait social se modifie ou disparaît, la règle juridique tombe en désuétude, disait G. Surdon en 1929, ancien enseignant du « droit musulman » et du « droit coutumier berbère » à l’Institut des hautes études marocaines.

    L’angle par lequel je m’interroge sur le droit au Maroc est azerf ou ce qui est connu sous le terme « droit berbère », résumé à l’époque coloniale de la zone française dans l’expression « justice berbère. » Cette terminologie en vigueur durant la période coloniale a été disqualifiée de facto au lendemain de l’indépendance, sans débat et sans s’interroger sur cette « invention » coloniale qui a discrédité pour très longtemps les institutions et les modes d’organisations sociales au sein des États post-coloniaux nord-africains. Avant de procéder à l’examen sommaire de cette approche, une mention particulière est consacrée d’abord aux trois espaces juridiques que le Maroc a hérités de la période du protectorat. Un territoire sous tutelle de l’autorité française au «sud», l’autre au nord sous tutelle espagnole et un autre à Tanger sous protectorat « international. » À noter que deux autres espaces juridiques seront intégrés à la « justice nationale » marocaine, l’un en 1969 après le départ de l’Espagne de la ville d’Ifni et du territoire des Aït Baâmran, l’autre en 1975 après le départ de la même Espagne du Sahara occidental. Chacun des deux espaces était régi par des lois propres, et ne dépendaient pas, à l’époque du protectorat, du système en vigueur dans la zone dite khalifale au nord du pays.

    1. Les trois espaces juridiques sous le protectorat

    Les territoires qui ont eu l’indépendance sous l’égide du sultan Ben Youssef, devenu le roi Mohammed V en 1956, avec une nouvelle légitimité, sont au nombre de trois. La zone française de l’empire chérifien dont la capitale est Rabat, à la tête de laquelle se trouve le sultan et le résident général de France ; la zone espagnole de l’empire chérifien à la tête de laquelle se trouve un khalifa (adjoint) du sultan et le Commissaire espagnol, résidant à Tétouan ; enfin la zone internationale de Tanger où le sultan de Rabat était représenté par un naïb (délégué) accrédité auprès des puissances internationales qui cogéraient l’espace municipal de la ville. Chacune des trois zones disposait de son Bulletin officiel et de ses propres lois selon l’organisation retenue par les puissances protectrices en accord avec le Sultan à Rabat, son khalifa à Tétouan ou son naïb à Tanger.

    La déclaration de l’indépendance du Maroc faisait suite aux accords d’Aix-les-Bains et la déclaration de La Celle Saint-Cloud, confirmés par la signature du traité de l’indépendance par le premier président du Conseil du gouvernement du Maroc, Mbarek Bekkaï, à Paris et à Madrid. Cette signature mettait un terme au traité du protectorat du 30 mars 1912, établi entre le Sultan et le gouvernement français. Pour rappel, la France avait procédé, après la signature de ce traité, à la conclusion d’accords sur la zone Nord de « l’empire chérifien » avec l’Espagne (traité du 27 novembre 1912) et « la zone internationale » de Tanger avec les autres puissances européennes en fonction du traité d’Algésiras de 1906 et d’autres traités bilatéraux entre la France d’une part et l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie d’autre part.

    2. La justice dans la zone française de l’empire chérifien

    Le XXe siècle marocain n’a pas encore fait l’objet de recherches sérieuses qui pourraient nous offrir de la matière brute, c’est-à-dire l’inventaire des dispositifs des politiques coloniales dans les trois zones, voire les cinq zones qui constituent le Royaume du Maroc d’aujourd’hui. Quelques recherches ont eu lieu, par des Français ou des Marocains qui ont cherché surtout à « répondre » à la recherche de la période coloniale ou à «défendre» les idées « nationalistes » sur le Maroc, son passé et son devenir « arabistes » (vision nationaliste) ou « arabo-islamistes » (vision salafiste d’essence wahabite). On est encore loin d’une recherche scientifique «nationale» capable de relever le défi sans le halo passionnel qui continue à marquer sa production à forte connotation idéologique ou partisane, et qui s’inscrit dans un suivisme sans bornes de « l’Occident » ou de « l’Orient » sans prendre le soin de s’interroger sur «soi» et l’histoire de «soi» avant de choisir son « camp »… scientifique.

    Le domaine judiciaire et l’organisation de ce domaine «sensible» n’ont pas fait l’objet, à ma connaissance, d’inventaire pour comprendre le système d’organisation durant la période de protectorat. Tout ce qui porte sur la justice est résumé dans le débat sur «la justice berbère» en opposition à la chariaâ (loi dite musulmane). Ainsi, les idées dominantes sur le dahir dit « berbère » vu et perçu, comme un dahir qui a visé « la séparation » des « Berbères » et des « Arabes » (catégories inventées par la colonisation), la soustraction des « Berbères » à la justice du Sultan ou encore le dahir de l’évangélisation des « Berbères », sont les seules connues et diffusées à propos de la justice durant cette période. À part ceci, rien et absolument rien sur les étapes de la mise en place de la modernisation de la justice par la France, conformément au traité de protectorat, par lequel le sultan avait délégué au gouvernement la République française l’unification et la modernisation de «l’empire chérifien», par l’intermédiaire du commissaire résident général de France au Maroc qui possédait les pleins pouvoirs dans le domaine.

    Aucune recherche ne s’est intéressée non plus à la notion de chraâ (juridiction musulmane), son contenu, les agents chargés de son application et les domaines d’application des champs juridiques concernés par la dite chariaâ musulmane. Pendant « la protestation » contre le dahir dit « berbère », le mot d’ordre était celui de l’intégration des Berbères à la chariaâ du Sultan. Or, la chariaâ dont parlait « les nationalistes » n’était appliquée que dans le domaine du « statut personnel » chez les catégories citadines du sillage du Makhzen (qui ne possédaient pas de terre à faire hériter), le reste des lois qui concerne « les indigènes » était régi par des codes mis en place par la puissance protectrice, et les agents chargés d’appliquer la loi sont les caïds, les pachas et les tribunaux chérifiens présidés par des notabilités marocaines. Il s’avère donc que le dahir dit « berbère » n’avait pas pour objet principal la réglementation du « statut personnel », mais la réforme de la coutume pénale et du statut foncier des terres des tribus. En ce sens, le dahir visait en premier lieu à dessaisir les tribus de leurs terres en faveur des colons et de leurs collaborateurs marocains. Et, de ce fait, ni le discours « nationaliste », ni le discours « savant » post-colonial n’ont relevé la nature de ce dahir et ses véritables motivations. Et en second lieu, ce dahir entendait la « répression des crimes » commis en territoire « berbère », quelle que soit la condition de son auteur (article 6), selon le code pénal français en vigueur dans les autres régions du Maroc, et ce, dans l’objectif d’appliquer la peine de mort en territoire dit « berbère » dont la majeure partie était encore à la date de la promulgation du dahir en « dissidence ». Quelles étaient les tribus cataloguées comme « berbères » et selon quels critères ? Pourquoi des tribus « berbères » ont été exclues des circulaires vizirielles qui désignaient les tribus dites « berbères » ? Pourquoi les tribus qui dépendaient du « domaine » du Glaoui n’étaient-elles pas concernées par cette loi ?

    On peut avancer pour le moment que le débat sur le droit, et une éventuelle anthropologie de ce droit et les « sociétés » qui l’ont créé, ne peut avoir lieu sans une compréhension totale du système juridique durant la période coloniale. Comment était-il organisé ? Selon quelles lois et procédures ? Qui rendait la justice et au nom de qui ? Quelle est la place du Caïd (puissant tribal sans formation juridique) et celle du Pacha (puissant citadin sans formation juridique) dans la juridiction de l’empire chérifien ? Quelle est la place des tribunaux chérifiens, les tribunaux de coutume, les jmaâs judiciaires et le Haut tribunal chérifien dans le système juridique dans la zone française ? Comment a eu lieu l’évolution dans le temps et dans l’espace, l’organisation de la justice qui a suivi la pax française imposée après une longue conquête militaire sanglante dont « les Berbères » furent les principales victimes ? Les Caïds et Pachas nommés par le Sultan en ville et en tribu appliquaient-ils la chariaâ musulmane ? Selon quels procédés et procédures ?

    Et la justice en territoire de protectorat espagnole, comment fonctionnait-elle ? Avait-elle son « dahir berbère » ? Comment a fait l’Espagne dans l’organisation de sa «justice» de ses « Berbères » et comment l’avait-elle organisée et selon quelles lois ? Et Tanger ? Comment s’y déroulait-elle ? Quel était le statut des « indigènes », des « Berbères » dans le dispositif judiciaire international de Tanger ? Quelle était la place de la chariaâ dans ces territoires ? Et quels sont les combats des «nationalistes» dans ses régions dans le domaine juridique ?

    On ne sait rien de ces dispositifs en langue française et en langue arabe, ce qui les rendent indisponibles puisque la langue espagnole n’avait pas acquis le même statut que les langues française et arabe au Maroc post-colonial. On pourrait supposer que le Maroc indépendant avait choisi de généraliser « le modèle arabo-français » sans se soucier du « modèle espagnol » et sa possible « richesse » linguistique et judiciaire. Pourquoi cette élimination de « l’héritage espagnol » par le Maroc post-colonial ? Quant à l’héritage « berbère », il fut simplement éliminé.

    Sans un inventaire complet de l’ensemble de l’organisation judiciaire durant la période coloniale et ses trois zones, ainsi que celui des sous zones qui le constituait (justice rabbinique, justice berbère, justice de chraâ, justice française, justice des caïds et pachas, justice des jmaâs judiciaires, justice chérifienne, justice consulaire, justice mixte, …), sans un inventaire des dahirs, circulaires et textes qui ont fait offices de lois par lesquels les puissances protectrices avaient organisé leurs espaces respectifs de domination, on ne peut pas étudier le droit au Maroc, ses origines et les limites des différentes réformes qu’il a subies durant la période post-coloniale. Comment peut-on comprendre et étudier la «justice berbère» dans la zone de protectorat française en l’absence d’études sur l’ensemble du système judiciaire dans la zone française de l’empire chérifien ? Il serait illusoire de débattre sur la « justice berbère » sans comprendre le système français au Maroc dans son ensemble et les politiques qui ont régi la philosophie des bâtisseurs du Maroc moderne, « pacifié » et « unifié » sous l’égide du Sultan au nom duquel la France avait mené de bout en bout son entreprise « d’intégration » et « d’unification ».

    3. La « réforme » de la justice au lendemain de l’indépendance

    La « justice berbère » était perçue par l’ensemble des observateurs (de l’époque et d’aujourd’hui) sous l’angle du « dahir berbère », dahir qui n’a jamais existé, considéré comme une pure invention des « nationalistes » (M. Mounib, 2002). Ils en ont même fait le dahir de « la discorde » et de « la naissance » du mouvement politique marocain qui s’inspire de l’arabisme et du salafisme. Ce dahir, dit « berbère », est celui du 16 mai 1930 (17 hija 1348), intitulé exactement, « dahir réglant le fonctionnement de la justice dans les tribus de coutume berbère non pourvues des mahkamas pour l’application du chraâ ». Il fut l’unique dahir mentionné comme tel dans la réforme engagée par l’État indépendant. Le dahir n° 1-56-014 du 6 chaabane 1375 (19 mars 1956) supprimant tout contrôle général ou spécial de l’administration de la justice chérifienne précise dans son article 3 que toutes les dispositions contraires au présent dahir et notamment celles des dahirs des 7 kaada 1338 (24 juillet 1920) et 17 hija 1348 (16 mai 1930) sont abrogés. Le dahir du 24 juillet 1920 est celui portant sur la direction des affaires chérifiennes dont dépendait l’ensemble de la justice durant la période du Protectorat en zone française, et le dahir du 16 mai 1930 est le fameux dahir dit «berbère» portant sur la création de tribunaux dans les régions régies par la justice dite coutumière dans la zone française de l’empire chérifien. Il est curieux de constater que ce dahir de 1930 est le seul mentionné comme dahir à abroger, alors qu’il fut modifié par dahir du 8 avril 1934 (le dahir de 1956 ne mentionne pas cette modification) et nous pousse à l’interrogation suivante : Pourquoi le dahir de 1956 mentionne-t-il uniquement ce dahir de 1930 ? Cette omission de la modification subie par dahir du 8 avril 1934 signifierait-elle la reconnaissance de sa validité ?

    Après le transfert de la capitale de Fès à Rabat, loin des « Berbères », les services du protectorat de la zone française avaient mis en place un Bulletin officiel, en français et en arabe, afin d’y publier dahirs, circulaires et autres textes de lois qui les rendaient légaux par leur publication, selon la conception nouvelle de la légalité et de la légitimité. Un Code des obligations et des Contrats avait vu le jour, et fut promulgué par dahir du 12 août 1913. L’article 475 de ce dahir précise que la coutume et l’usage ne sauraient prévaloir contre la loi lorsqu’elle est formelle. Comment comprendre le sens de la coutume et de la loi d’après ce texte ? Il est clair que la loi est celle proposée par la puissance protectrice, quant à la coutume, c’est la loi des «indigènes» qui n’a aucune place dans les buts à vocation coloniale de la «modernisation» de l’empire chérifien. En Algérie voisine, nous rapporte J. Berque (1955), les magistrats français considéraient comme un corps de coutumes, l’ensemble des droits locaux, d’origine islamique ou non, par opposition au code civil. Cette tendance française de la conception de la coutume est fortement tributaire à la théorie romano-canonique de la coutume, qui donne à celle-ci un sens strict et précis, en parfaite opposition avec la conception anglaise et la place centrale qu’elle accorde à la coutume et à sa conception dans son propre système juridique. Que pourrait peser la coutume «indigène» face à la loi allogène dont les porteurs étaient convaincus de l’humanisme de l’esprit de la mission civilisatrice qui les animaient ?

    La réforme du système héritée de la période coloniale fut entamée avec le dahir du 19 mars 1956, supprimant tout contrôle général ou spécial de l’administration de la justice chérifienne. Il fut suivi par une série de dahirs visant la mise en place de nouveaux tribunaux de l’État indépendant dans les trois zones héritées, et plus tard les dahirs relatifs aux textes de lois qui font office de code. Pour l’organisation des tribunaux, on peut citer les huit premiers dahirs publiés en la matière :

    Dahir relatif à l’organisation et au fonctionnement des juridictions de droit commun (4 avril 1956)
    Dahir portant création de tribunaux régionaux et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (18 avril 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (18 avril 1956),
    Dahir portant création de vingt-quatre tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (10 juillet 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de juges délégués dans le ressort des anciens tribunaux coutumiers (25 août 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de cadis dans les anciennes tribus dites « de coutume » (25 août 1956),
    Dahir portant création de vingt tribunaux de cadis dans les anciennes tribus, dites de « coutumes », et déterminant leur composition et leurs ressorts (25 août 1956),
    Dahir portant création de vingt tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (25 août 1956).
    D’autres textes suivront plus tard, et entre 1956 et 1958, période du bouclage du dispositif juridique et judiciaire, les textes et dispositifs ont été menés par une commission composée de juges des ex-tribunaux chérifiens de la zone française, de Allal Al Fassi, Mokhtar As Soussi et Mustapha Bel Arbi Al Alaoui (trois éminentes personnalités de tendance salafiste), ainsi que le prince Hassan comme président honoraire de la commission au titre de ses compétences dans le droit français. Les textes adoptés étaient un amalgame entre la loi française et la loi makhzen disait un observateur américain de l’époque, I. W. Zartman (1964). Ce dispositif connaîtra son apogée avec « la marocanisation » de la profession et «l’arabisation» des textes français en 1965, ce qui a entraîné le champ juridique marocain dans un nouveau labyrinthe et qui soulève ainsi une nouvelle problématique.

    L’État national indépendant n’avait fait qu’intégrer les différentes zones héritées de la période coloniale à l’héritage jacobin français. « L’unification » et l’intégration des différents espaces juridiques au sein du même espace « national », au lendemain de l’indépendance ou de 1975, ne se passa pas sans heurts entre l’État et « les citoyens » des régions concernées. Ceci n’est pas spécifique au Maroc ou à la nature de son « régime ». L’Algérie voisine, « socialiste » « populaire » et « révolutionnaire », n’a pas échappé à la règle de reconduction pure et simple des lois « coloniales » au lendemain de l’indépendance. L’Algérie avait changé de législateur sans changer de législation, disait E. Chalabi (1992)

    4. Azerf ou la loi positive marocaine et le faux débat

    L’ensemble des éléments soulevés ci-dessus a contribué à fausser le débat sur azerf et la loi d’origine marocaine que la majorité des recherches ont réduit au statut de coutume selon la terminologie française et le sens de la coutume en droit français. Comment aborder ce sujet réduit à sa version la plus caricaturale dans laquelle la terminologie juridique française de l’époque coloniale l’avait confiné ? « Les nationalistes » et les chercheurs qui ont repris leurs visions dans le champ savant ont contribué à « disqualifier » la loi positive marocaine et ont opposé systématiquement la notion de chrâa à azerf sans se poser la question sur la nature du chraâ et ses domaines d’application au Maroc avant et pendant l’intervention coloniale.

    La recherche marocaine reste encore pauvre dans ce domaine. Et il lui a suffi que la recherche de la période coloniale s’intéresse aux lois dites «coutumières», à des fins politiques de domination et non de valorisation, pour disqualifier celle-ci et l’expulser du domaine de l’enseignement universitaire et du cursus de formation des magistrats et professionnels de la justice aujourd’hui, par crainte pourrait-on supposer, que ces curiosités seraient une pure invention coloniale ou encore susciter l’intérêt à ce qui peut semer la discorde au sein de la nation marocaine « arabe ». Pourtant, et jusqu’à nos jours, de nombreux domaines continuent à être régis par «la coutume» et les litiges qui surviennent dans les champs de son application ne trouvent chez les magistrats que dédain, et rarement de la compréhension voire de l’application pour résoudre des conflits dont aucun texte «officiel» ne peut trouver issue.

    Que savons-nous sur azerf (loi), ikchouden (tables de la loi), orf (coutume), kanoun, taâqqitt (écrit), tayssa et amsissa ? Pourquoi oppose-t-on systématiquement la chariâa à azerf alors que celui-ci est basé sur taguallit (serment) ? Comment se sont comportés les jurisconsultes durant les différentes périodes de l’histoire nord-africaine avec l’ensemble de ses dispositifs ? Comment se sont comportés les différents États qui se sont succédés au Maroc et en Afrique du Nord et subsaharienne avant et après l’Islam ? Que disent les Nawazil des Fouqahas à propos des litiges qui leur sont soumis et comment se déterminaient-ils ? Qu’est-ce qu’un Cadi, un Adel, un Mufti, un Faqih, un Agwrram, un Charif, un Amzzarfu, un Anflous, un Amzrag, un Amghar, un Ou Ljmaât ou un Anhcham dans l’histoire du Maroc ? Qu’est-ce que signifie la soumission ou non à l’autorité directe ou indirecte à l’autorité d’un État dans le domaine judiciaire ? Les tribus ou les villes soumises aux différents Sultans, Émirs ou encore Beys ou Deys qui se sont succédés au long de l’histoire musulmane des quatre derniers siècles en Afrique du Nord, ignoraient-elles azerf dans leur fonctionnement quand elles avaient à leur tête un représentant des autorités en question ?

    La place que la France coloniale avait réservée à la coutume ne doit pas masquer la richesse de ce patrimoine juridique, culturel et historique dont l’étude doit être développée. Nous en avons la preuve à travers L. Mezzine (1987) qui a étudié le XVIIe et le XVIIIe siècles dans l’actuel sud-est marocain. Son étude avait utilisé, entre autres, le texte d’une taâqqitt où est consignée 401 articles régissant le fonctionnement d’un qsar qui dépendait de la tribu des Aït Atta, au XVIIe siècle. Si ce texte constitue le bonheur de l’historien soucieux de comprendre le passé des Hommes dans leur relation avec leur temps et leur espace, il constitue également une source d’une grande importance pour le juriste ou l’anthropologue soucieux de comprendre la philosophie de droit sur laquelle a reposé cette production juridique, d’une société locale donnée, dans sa relation avec les autres composantes de son appartenance tribale et territoriale, ses ressources économiques et ses enjeux «stratégiques». Cette taâqqitt constitue un maillon dans la chaîne de transmission des textes relatifs aux lois, que les Français avaient trouvés en fonctionnement lors de leur arrivée, et dont certains historiens (Al Baydaq) ont mentionné le fonctionnement à l’époque de l’empire almoravide (IXe – Xe siècles).

    Le droit catalogué comme coutumier continue à fonctionner aujourd’hui en ce début du XXIe siècle, droit qui continue à pallier l’absence de droit étatique. Ce droit est en vigueur en ville comme à la campagne et continue à fonctionner malgré son expulsion par les autres droits « reconnus » (M. Tozy & M. Mahdi, 1990). On peut même citer des domaines où il fonctionne encore : l’agriculture, l’élevage, les corporations des métiers, certains domaines immobiliers, le commerce… Cette expulsion progressive qui a duré tout au long du XXe siècle a réussi l’institutionnalisation d’un ensemble de droits hiérarchisés selon les besoins des décideurs. Est-ce une raison pour ne pas chercher à comprendre comment le droit marocain a assuré la pérennité des structures sociales et le maintien de l’ordre au sein des groupements qui composent le tissu territorial, social et culturel marocain et nord-africain ? L’étude de ce droit, ses textes et nawazil y afférentes nous offrent non seulement, un élément indispensable dans l’étude et la compréhension de l’histoire du Maroc jusqu’à la conquête coloniale (L. Mezzine, 1987 ; A. Sidqi Azaykou, 2002), mais aussi les éléments d’un débat sur la re-territorialisation de l’espace national dans le contexte de l’évolution mondiale vers le régional et l’extra-national.

    Références :

    J. Berque, Structures sociales du Haut Atlas, Paris, PUF, 1955.
    E. Chalabi, « Droit, État et pouvoir de l’Algérie coloniale à l’Algérie indépendante », in NAQD, n°3, Alger, 1992.
    M. El Qadéry, L’Etat-national et les Berbères au Maroc. Mythe colonial et négation nationale, Thèse de Doctorat, Montpellier III, 1995.
    L. Mezzine, Le Tafilalt. Contribution à l’histoire du Maroc aux XVIIe et XVIIIe siècles, Publication de la Faculté des lettres et des sciences humaines, Rabat, Série thèses 13, 1987.
    Mohmmad Mounib, Adhahir ‘al barbari’ akbar oukdouba siassiya fi al maghrib al mou’aâssir, Rabat, Dar Bou Regreg, 2002.
    A. Sidqi Azayku, «Fatawa baâdh oulama al janoub bi khoussoussi nidham ‘inflass’ bi al atlas al kabir al gharbi fi awaïl al qarn sabiâa âachar», in Histoire du Maroc ou les interprétations possibles, Rabat, Centre Tarik Ibn Zyad, 2002.
    G. Surdon, Psychologies marocaines vues à travers le droit, Conférence donnée le 21 juin 1929, au cours préparatoire au service des Affaires indigènes, Publication de la Résidence générale de France au Maroc, Direction générale des Affaires indigènes, 1929, Rabat.
    M. Tozy & M. Mahdi, «Aspects du droit communautaire dans l’Atlas marocain», in Droit et Société, Revue internationale du droit et de sociologie juridique, n°15, 1990, Genève.
    I. W. Zartman, Destiny of a Dynasty: The Search of Institutions in Morocco’s Developing Society, University of South Carolina Press, 1964.

    Iznassen
    Membre

    Voici la publicité officielle de FADESA:

    Situation – Saïdia
    appartements & villas dans un programme exceptionnel
    Dans la province marocaine de Berkane, entre Melilla et l’Algérie, le remarquable complexe touristique, créé par FADESA, offre appartements et villas.

    Entre l’océan Atlantique et la mer Méditerranée, le Maroc nous accueille, stimule et rafraîchit à la fois, et nous étonne par sa mosaïque de traditions artistiques. La remarquable station touristique créé par FADESA s’étend à Saïdia, dans la province marocaine de Berkane, près de la mer Méditerranée, entre Melilla et l’Algérie. Saïdia est un petit port de pêcheurs très pittoresque, doté d’une longue tradition touristique, grâce à ses merveilleuses plages baignées d’une eau cristalline.

    Descriptif & Prestations des Appartements
    appartements & maisons dans un programme exceptionnel
    Mediterrania-Saïdia offre une sélection de logements (appartements et villas de différentes surfaces ) tout à fait adaptés aux attentes de chaque résident. Il existe également 9 hôtels de haut standing, un port de plaisance doté de 840 amarrages, 3 golfs 18 trous, un centre commercial, une clinique et un grand choix de services inclus.

    – Les Appartements & villas ont une cuisine équipée avec plan de travail en granit
    – Pré équipement pour la climatisation
    – Carreaux en céramique rustique
    – Garde-robe

    Les Environs de Saïdia
    appartements & villas dans un programme exceptionnel
    Les villas et appartements de Mediterrania-Saïdia sont situés au cœur d’une région ayant de nombreux attraits touristiques :

    Nador : Petite ville située dans le Rif (région montagneuse dans le nord du Maroc) . A 60km du complexe, ce petit port méditerranéen la Lagune Bou Areg est un centre de commerce pour la pêche, les fruits et le bétail. Nador est reliée à la ville espagnole de Melilla, située à 5km au nord, par route et par train.

    Melilla : Enclave espagnole située à 60km de la station balnéaire , Melilla (63.670 hab.) était un port franc avant que l’Espagne ne rejoigne l’Union Européenne. Encore aujourd’hui, la pêche reste la principale industrie de cette ville construite sur un énorme rocher et reliée à la terre par un isthme rocheux que seuls les petits vaisseaux peuvent franchir pour accéder au port . Un ensemble de petits forts protège l’isthme et des murailles entourent la ville. Parmi les principaux sites sont à signaler la Médina Sidonia et le musée municipal.

    Fès : Ville impériale la plus ancienne (à 275km de Saïdia ) et peut-être capitale spirituelle et culturelle du Maroc, la mystérieuse Fès nous envoûte par ses ruelles en labyrinthe et sa splendeur. Entourée de magnifiques murailles et portails, la Médina de Fès el-Bali (Vieille Fès) est l’une des plus grandes villes médiévales encore existantes dans le monde et, contrairement à de nombreuses villes fortifiées, la population de la Vieille Fès habite toujours à l’intérieur de la médina , au lieu de fuir vers le sud-ouest et vers les collines où se trouve la nouvelle ville , qui s’étend en direction nord et sud .

    La Médersa Bou Inania, université islamique édifiée en 1350, surplombe la Vieille Fès. Fréquemment surnommée la ville musée, Fès est une fenêtre ouverte sur l’histoire du Maroc. Le rayonnement de la ville est dû au maintien, à travers les siècles du caractère ancestral de son architecture, dont témoignent ses 143 mosquées, ses remparts originaux, ses anciennes médersas et ses palaces.

    Musées
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia se trouvent au cœur d’une région à la culture ancestrale, et possédant plusieurs musées très intéressants. Les deux se trouvent à 200km dans la ville de Fès:

    Le musée Dar Batha : situé dans un palais hispano mauresque datant de la fin du XIX ème siècle, ce musée renferme d’admirables collections de l’art traditionnel de Fès. De vrais chefs d’œuvre en bois sculpté et en plâtre, en fer forgé et matériaux de décoration divers y sont exposés. Broderies, tapis, bijoux et pièces de monnaie, objets tous plus beaux les uns que les autres, émerveillent les visiteurs. La pièce centrale du musée reste cependant celle des céramiques car, grâce à une technique datant du X ème siècle, les artisans de Fès ont pu fabriquer les objets les plus précieux rendus uniques par le célèbre « bleu de Fès », inventé par leurs soins et obtenu à partir du cobalt .

    Le musée Borj-Nord : Rappelant sa tradition militaire, cette forteresse du 16ème siècle,près des remparts, abrite aujourd’hui un musée d’armes blanches et à feu. Une partie importante des collections, qui inclut un grand nombre d’objets rares, est constituée par des donations royales. Les armes exposées nous retracent l’histoire des civilisations indienne, asiatique et européenne, depuis la hache de la période préhistorique jusqu’à la carabine des temps modernes. Cependant, les objets les plus travaillés sont, sans aucun doute, ceux du Maroc : épées avec pierres incrustées et carabines avec motifs gravés.

    Plages de Saïdia
    attraits près du programme d’appartements et villas
    Vous découvrirez des plages de rêve à proximité des villas et appartements de Mediterrania-Saïdia :

    Saïdia: Une étendue de 20km de plage de sable fin, baignée par des eaux limpides et cristallines. L’accès à la plage principale se fait à travers une forêt d’eucalyptus.

    Plage Quem ada, Al Hoceima : la ville plage d’Al Hoceima , bien connue pour sa grande fréquentation, reste cependant propre et accueillante. (à 150km de Saïdia ).

    Loisirs à Saïdia
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia se trouvent au cœur d’une région proposant une multitude d’activités de loisirs :

    Services : Mediterrania-Saïdia offre de nombreux services pour le plaisir et le temps libre des touristes. La station touristique possède un vaste choix de restaurants, pavillons commerciaux, spas et clubs de fitness qui évite aux visiteurs de se déplacer . Trois golfs à 18 trous sont le pôle de cette station touristique exceptionnelle. La station offre de nombreux espaces verts, six hôtels et une clinique. Le port de plaisance ainsi que ses services complémentaires fourniront de grands moments de plaisir à tous les passionnés de sports nautiques. Dix-sept « beachclubs´´ tout au long des 6km de bord de mer sont un point d’animation pour le port de plaisance et un endroit idéal pour que les touristes se détendent à l’ombre.

    Shopping : Les souks et les marchés sont l’une des plus grandes attractions du Maroc. Le visiteur pourra trouver des souks presque partout puisqu’ils font partie de la vie quotidienne des marocains. De grandes villes comme Fès et Marrakech possèdent de multiples souks (chacun ayant sa spécialité) et des centaines de souks prennent place à travers le pays et tout au long de la semaine, à des jours différents, suivant les villages de la région.

    Randonnées en montagne : Le Maroc met en exergue ses splendides montagnes qui permettent aux aventuriers de goûter aux inoubliables expériences des randonnées les plus gratifiantes du monde. Les randonnées sont l’une des meilleures activités qu’offre le Maroc. Il existe , en effet , un grand nombre de longs circuits dans l’Atlas bien que la plupart des gens se limite à faire des randonnées plus courtes dans la région du Djebel Toubkal .

    Football : Un sport important , qui prend de l’ampleur dans un pays où l’équipe nationale a participé à la Coupe du Monde à quatre reprises . Le Maroc a d’ailleurs fait une demande pour accueillir ce tournoi en 2010, au moment où il obtenait dans les compétitions de club africain d’énormes succès . Les joueurs de football développent leurs talents dans des jeux improvisés sur la plage, dans la rue ou sur des terrains vagues.

    Ski : Bien que n’étant pas reconnu comme une destination habituelle pour le ski, les montagnes du Haut Atlas au Maroc sont recouvertes de neige, à partir de fin janvier jusqu’au début avril. Parfois les montagnes du Moyen Atlas ont suffisamment de neige pour ce sport.

    Equitation : L’équitation et les promenades à dos de chameau sont un passe-temps populaire au Maroc. De nombreux endroits offrent des circuits guidés à travers les Montagnes de l’Atlas .

    Pêche : Il est très facile d’organiser des excursions en bateau tout au long de l’immense Atlantique marocain et de la courte côte méditerranéenne. Dans l’arrière-pays, le Moyen Atlas s’élève au dessus de merveilleux lacs et rivières, dont certaines regorgent de truites .

    Sports nautiques/natation : On peut pratiquer une large palette de sports nautiques tels que la voile, le windsurf, le surf, la natation, le rafting, le kayak et la plongée.

    Terrains de Golf
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia sont fiers d’offrir 3 golfs dans le programme :

    Le golf est le sport idéal pour profiter du soleil et de l’air pur. Trois golfs à 18 trous sont la principale caractéristique de Mediterrania-Saïdia . Ils s’étendent sur plus de 210 hectares de greens, sont entourés d’une végétation luxuriante et jouissent de magnifiques vues sur la plage, l’hôtel et la zone résidentielle.

    Source : FADESA

    #212446

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Anonymous
    Membre

    Salut Mouyed et au compatriote qui nous répond en arabe ( je me fait traduire tes écrits car je suis pas très fort en arabe )

    – Au frère arabisant :merci pour l ‘explication sur les ouled amer descendant de Sidi Belkacem

    – A Bouyed : Merci pour tes efforts , j’en suis très reconnaissant.

    Je partage ton point de vue sur les chorfa Idrissi qui sont répandu dans tout le maghreb , d’autant que les frontières n’étaient pas définie et que le maghreb avaient la meme histoire avant l’arrivé des turcs et des francais.

    Les chorfa Idrissi de l’oriental , au travers de leurs zaouia , ont joué un role prépondérant auprès de la population , et la spiritualité des gens du peuple , ruraux pour la plupart. Ainsi , la région de l’oriental étaient une région pivot , au centre de toute les luttes de libération. Au Maroc , en arretant les turcs , et en déclanchant les différentes luttes de libéraion face aux francais et aux espagnols. d’où une , je pense , une volonté de l’occupant à saper l’influence des confréries souvent à la pointe de la lutte contre l’opression. Parfois même la volonté de les supprimer tout court: doc ne pas s’etonner de ne pas trouver toutes les traces du puzzle historique des idrissi de l’oriental.
    Observation: Abdelkrim , fils d’un qadi , issu d’une confrérie religieuse, serait un riffain idrissi.

    – Pour en revenir à notre propos du début : les différentes confréries se connaissaient et échangeaient intenséments: leur buts commun étant la recherche d’une certaine perfection spirituelle et religieuse . Ce qui en fesaient des centres d’érudition importants.

    – Sidi Ali par exemple , étaient reconnus par ses contemporains des autres confréries comme wali ( rapproché de Dieu), ce qui laisse à penser qu’il se connaissaient tous entre eux à leur époques respectives.

    – Apparemment , tout ces saints ont subie des tentatives d’assassinats ou de persécution: Sidi ali , Sidi ben youssef , sidi mohammed ben abderahman, etc… quasiment tous ont leur histoire de persécution ou de tentative d’assassinat . ce qui veut dire qu’ils étaient perçu comme des rivaux potentiel par le pouvoir central , ou bien par l’occupant étranger, voir même par les chefs locaux . Certains ont été sanctifié après avoir échappé de manière miraculeuse à leur ennemi.

    quelques exemples:
    http://www.oumma.com/article.php3?id_article=1387
    http://kenadsa.com.ifrance.com/

    – En ce qui concerne les gens de gafait , leur wali serait mort assassiné , et sont sang projeté contre un mur aurait écrit en arabe :  » La illaha ila lah ben abderahman- wali- allah « 

    – Un autre saint de talsint aurait enfoncé les chevaux de ses poursuivants dans le sol dur et desertique.

    etc…

    Vérité ? exagération des disciples ? … nul ne sait. Toujours est-il que des milliers des pélerins venaient les voirs.

    Bref , ce sont des histoires qui font partie de l’histoires des différentes tribus .

    A Bientot

    #212202

    En réponse à : filles d’oujda ya 7esraaaaaa

    Alaa-eddine
    Participant

    Parfois il faut dire tout haut ceque tout le monde pense tout bas !!

    Les filles (que ca soit d’oujda ou pas) sont victimes de leurs imaginations – et je n’exclus pas la garçons non plus – la télé, les séries egyptiennes et mexicaines , la musique …etc
    Je ne dis pas que c’est mauvais, mais il faut etre assez mure pour faire la difference entre le vrai de l’imaginaire !! …. ceque la grande majorité n’arrive pas à faire malheureusement

    à cela s’ajoute les histoire (imaginaires aussi) racontés entres copines ou entre copins qui ne font qu’embrouiller encore plus les esprits des uns et des autres.
    surtout à l’age de l’adolescence, quand on consruit une grande partie de notre personnalité .

    bref, j’espère que c’est clair ceque je dis 🙄

    venons maintenant aux solutions possibles :
    je ne suis pas psy et je considère que moi aussi j’ai encore beaucoup de choses à apprendre de la vie,
    mais le conseil que je peut donner :
    c’est d’avoir une forte personnalité et des principes …. d’avoir aussi un peu de recul sur ce qu’on fait de sa vie , de ne pas suivre le troupeau et avoir tel ou tel comportement pour la simple raison que tout le monde fait pareil !!

    Au lieu d’essayer de ressembler aux autres, essayer plutot d’etre original pour une fois … etre soit meme !!

    #211253

    En réponse à : Un symbole pour OUJDA

    Oujdino
    Membre

    C pas du tout grave , mais comme t’as dis on donne notre opinion…..
    je retrouve oujda rarement
    la derniere fois ou j’était dans ma ville natale,elle était triste,en sale état et meme notre patrimoine historique ( les murailles , medina…… sont entrain de se degrader d’une maniere inquietente.
    ça me rivolte tout ça,je peux dire que quelque fois ça m’empeche de dormir j’ai discuté avec des amis à moi sur ce la et on est arrivé à la conclusion suivente : le seul essue pour Oujda et la région oriental & de devellepper un tourisme spécial ( ramener des retraité européens dans notre région pour qu’il passe les 6 mois d’hiver car en europ il fait tres froid par rapport à notre région douce, tout ça pour dire que le tourisme est un produit et comme tous produit il faut une image de marque et comme je suis passioné par l’histoire de notre ville j’ai vu qu elle était detruite 9 fois en 1000 ans et elle est arrivé tjrs ( heureusement pour nous ) à revivre garce à cette terre de baraka et bien sur a ses braves habitants et ce la ma donné l’mage du phénix.
    Voila miss Dhalia c tous ce que je voulais dire , une derniere chose entre nous il y a que des fils electrique ( sloukka) ça vaut pas le cout de se prendre la tete & Vive Oujda

11 réponses de 106 à 116 (sur un total de 116)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'HISTOIRE DE MUR'