betisier de l’histoire

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  • #201646
    samir.m
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    un peu d’humour ne fait de mal a personne 😉 Le bêtisier
    Les assurés écrivent



    Courriers reçus par des compagnies d’assurance.
    Extraits

    Vous me demandez si j’ai fait jouer l’assurance scolaire quand Pupuce a renversé la voisine ; mais je vous rappelle que Pupucen’est pas mon fils, c’est mon teckel !
    Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis, Mr X. Car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.

    J’ai signé le constat mais, ça compte pas ; j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.
    J’ai bien reçu la fiche de mon épouse : je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
    Circonstances de l’accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l’opération Portes Ouvertes de l’entreprise.

    Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
    J’ai été victime d’un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier.

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    Je suivais la voiture qui me précédait qui, après que je l’ai dépassé m’a suivi. C’est alors qu’elle m’a choqué en plein derrière et m’a forcé par choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
    J’ai heurté une voiture en stationnement et me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire.

    Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j’ai dû vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
    Vous me dites, que d’après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c’est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.

    En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant, j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j’ai renversé un cycliste avec ma portière. C’est tout ce que j’ai à déclarer aujourd’hui.
    Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique ; tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
    Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d’un accident ?

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées
    sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    J’ai été blessé par une dent de râteau qui m’est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.

    En qualité du plus mauvais client de votre agence (9 accrochages en 1 an), je vous demande d’avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d’échéance.
    Mon assureur m’avait téléphoné pour me dire qu’il m’envoyait un avenant. Le lendemain, j’ai reçu la visite d’un inspecteur de la compagnie, pas avenant du tout.
    Je vous témoigne mon grand mécontentement : vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c’est toujours avec celui d’avant que je paye les dégâts de celui d’après.

    J’ai touché une femme en arrière et moi j’ai perdu tout l’avant.
    Vous me demandez de renvoyer le certificat sur l’honneur, mais je l’ai perdu depuis longtemps.

    Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche à suivre.
    Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sur de ne rien oublier, j’ai fait des croix dans toutes les cases.
    Vous m’écrivez que le vol n’existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme.

    J’ai lu dans mon contrat auto que vous ne me remboursez pas les frais de réparations de ma voiture si j’ai causé un accident en état d’ivresse. Je suis prêt à payer ce qu’il faudra pour que vous supprimiez ce paragraphe.
    Vous n’allez pas encore me faire chier avec votre connerie de fric. J’ai envoyé une lettre recommandée pour annuler mon contrat.

    C’est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de M. X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.
    Ils m’ont trouvé 2,10 grammes d’alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu’on a dans le corps, vous avouerez que c’est pas tellement (personnellement, j’aurais cru que j’en aurais eu plus).
    Vous me dites que Mlle X. réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu’elle a été légèrement défigurée après l’accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer, que même avant l’accident, cette malheureuse n’avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.

    Je n’avais pas vu la voiture arriver, et quand je l’ai vue, je n’ai plus rien vu.
    Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n’est pas ma faute si j’ai renversé ce cycliste : je ne l’avais pas vu !

    L’accident est survenu alors que je changeais de fille.
    Nous avons bien rédigé le constat, mais pas à l’amiable du tout.
    Je conduisais depuis 40 ans lorsque je me suis endormi au volant.

    Au carrefour, j’ai ralenti et j’ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d’ailleurs il n’y en avait pas ; alors j’ai avancé et j’ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j’ignore. J’ai heureusement freiné et c’est alors que le choc s’est montré sans réticence.
    Je ne suis pas du tout d’accord sur le montant que vous m’allouez pour les bijoux. Ça ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils.

    Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n’avais pas vu venir la voiture ; vous pensez bien que si je l’avais vue, je me serais arrêté.
    Je débouchais d’un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L’arbre m’a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j’étais sorti avec.
    Par la présente, je vous signale que mon fils a cassé un carreau de la fenêtre de l’un de nos voisins, M. X. Celui-ci habite au même étage que nous, mais juste au-dessus.

    Excusez pour la gribouille de ma déclaration ; mon crayon marchait pas, j’ai plus de stylo-bille ; n’est ce pas, quand on part, on ne pense jamais avoir un accident, sans ça on prendrait ce qu’il faut.
    À votre avis, est-il préférable d’acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens, mais protégera ma maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou ? Je vous pose la question, parce que de toute façon, c’est vous qui paierez les pots cassés : soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.

    Je ne vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l’autre ne savait pas conduire non plus.
    C’est trop facile de dire qu’il n’y a pas preuve : vous n’avez qu’à en constituer, je vous paye pour cela.
    J’ai signé le constat, mais ça ne compte pas : j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.

    Je me trouvais en 2e vitesse quand ma voiture fit un tête-à-queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j’avais l’intention d’éviter cet accident malgré ce que vous dites. Je ne suis nullement responsable. Soulignez que je suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
    Dans un virage à gravillons, mon derrière a chassé dans une bouche à pompier.

    La Citroën avait priorité, c’est un fait, mais je ne l’ai pas vu ; d’ailleurs à la façon qu’il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c’était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu’aurait venu par la gauche), il l’emboutissait pareil. Donc il n’y a pas de motif de s’arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d’importance.
    J’étais bien à droite et en me croisant, l’adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m’a heurté, et maintenant il profite de ce que j’avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement, est-ce qu’il faut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche ?
    Je suis entrée en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m’ont paru terriblement limités. J’ai donc eu de la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m’est particulièrement favorable. Je pense que vous m’en saurez gré.

    Depuis l’accident, la culotte est plus mettable ; elle est à votre disposition, je voudrais savoir qui c’est qui va la payer. Je l’ai dit à l’agent mais sur son papier il a pas mis de culotte et il faudrait que vous lui en fassiez mettre une.
    Sitôt l’accident, le témoin a été mangé. Ce qui explique qu’il n’a pas signé.

    Je vous dis que la demoiselle n’a rien : ses bas ne sont même pas filés ! Alors elle n’a pas à se plaindre de ses jambes. D’ailleurs j’ai bien vu quand on faisait les pourparlers que ses jambes ne l’empêcheraient pas de marcher.
    Après l’accident, j’ai du être transporté à l’hôpital Laënnec pour me faire penser. Ces soins n’ont pas été donnés par le professeur Laënnec lui-même, mais seulement par un interné. Le professeur me verra demain.

    Voulez-vous bien noter mon adresse qui est maintenant dans la rue juste à côté de celle d’avant.
    L’accouchement était particulièrement difficile : il a fallu frayer un passage au chasse-neige.
    Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait, je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance-vie.

    Voulez-vous me dire le prix de l’assurance si j’achetais une voiture, alors que je n’ai pas le permis de conduire ?

    Étant un peu dur d’oreille, je n’ai pas vu le cycliste arriver.

    J’ai doublé un cycliste qui circulait à vélo …

    Je ne connais pas les parents du petit garçon que mon fils a renversé avec son vélo. Je sais simplement que son père est aveugle et que sa mère est voyante.
    Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.

    En tentant de tuer un moustique, j’ai heurté un poteau téléphonique.

    Je croyais que ma fenêtre était baissée. Mais je me suis aperçue du contraire lorsque ma tête est passée au travers.

    Malgré ma fracture au poignet, j’ai pris mon courage à deux mains.
    Je n’ai guère eu le temps de voir le piéton, car il a immédiatement disparu sous la voiture.

    Le piéton ne savait pas quelle direction prendre. Alors je l’ai écrasé !

    J’ai vu le vieil homme et son visage triste lorsqu’il a rebondi sur mon capot.

    L’homme prenait toute la rue et j’ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres avant de le frapper.

    Pourriez-vous me dire si mon assurance-vol garantit le vol des antivols ?



    Textes intégraux

    Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. J’avais bu à cause de la chaleur deux blanc cassice. J’ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d’uriné. Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d’unta de pierres et de materiau rapport aux travos eczécuté mintenant pour l’élaictricitai. Jé commencé à uriné et en fesan ce besoin, jé, en maniaire d’amuzement, dirigai mon jai en zigue saque à l’entours.
    Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui était par terre au lieu d’être accroché au poto. Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m’a raipondu dans le fondement et dans les partis, que lotre medecin y appelle tête y cul. Je me suis évanouille, et quand je sui revenu dans la connaissance, jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé à la braguette.
    Je sui assuré par votre maison et je voudrai être un demnisé. Jé droit à ce con m’a dit et je vous demande votre opinion. Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. Ma verge est tuméfié, gonflé et violacé. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
    Au jour d’ojourd’hui, je ne peux plus m’en servir que seulement pour uriné, mais pour le reste, à seul fin de remplir mes devoirs conjugo avec ma femme qui a le sang chot, il n’y fot plus compter.
    A vous lire, je vous salue empressement.

    Je suis entré dans la terrasse d’un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j’en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
    – 3 tables (pas tellement bien),
    – des chaises (en mauvais état),
    – un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d’arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l’arbuste si),
    – il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c’était pire.
    Le restant que j’ai eu en dommage, c’est pas au café, c’est la grille d’un jardin public qui est à la commune ; c’est comme le banc et le feu rouge … il y avait un chien aussi, mais comme il s’est sauvé aussi vite et on l’a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c’est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
    En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
    PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c’est rien : le docteur y a mis des infectants.

    Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m’est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j’ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l’une ne traverse pas l’autre, celle qui est la plus petite doit s’arrêter la première. Donc il n’y a pas de priorité qui tienne. C’est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.

    Monsieur,
    Vous avez surement vu au journal l’accident qui s’est passé au lieu-dit le Harnel, vous m’avez surement reconnu, c’est moi qui a la dauphine bleue que vous assurez depuis 1965. Il y a eu des degats de matériel comme c’est marqué au journal, la demoiselle qui a été emmenée à l’hopital, ça va, y a rien.
    Vous serez bien aimable d’arranger cette affaire parce que je peux pas avoir d’histoire.
    Je vous affirme mon fidèle devouman.

    Je viens d’acheter un camion en remplacement de mon ancien qui est décédé sur la table d’opération de mon garage local. La cause est un cancer généralisé qui s’était développé dans la transmission, l’embrayage et les freins. Il est mort à l’âge respectable de 11 ans et 338424 km parcourus (sans accidents) et laisse dans le deuil, outre son propriétaire, les nombreux clients qui n’ont pas été livrés à temps. La dépouille sera exposée en arrière du magasin pour environ une semaine ; après quoi, elle sera écrasée.

    L’automobile a freiné devant moi. J’ai ralenti. Il a stoppé. J’ai freiné. Il est reparti. J’ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J’ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi.
    Tout ça pour vous dire que j’ai fini par le heurter à l’arrière.

    Lorsque le feu a pris dans ma cuisine, mon mari n’avait pas terminé ses travaux de peinture : il y avait deux murs blanc sale, un vert propre et le dernier moitié sale, moitié vert propre. La fumée a noirci le vert propre et l’eau des pompiers a fait des traces jaunes sur le blanc sale et le plafond (de couleur indéterminée).
    C’est maintenant toute une histoire de choisir une couleur qui ne jurera pas trop avec le reste.
    Pouvez-vous en toucher un mot à l’expert ?

    Je dois vous dire que les gendarmes m’ont posé des questions indiscrètes, du genre : D’où veniez-vous ? Où alliez-vous ? Avez-vous bu quelques verres ? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour ? Votre passagère est-elle un membre de votre famille ?
    Vous avouerez que c’est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n’ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j’ai bousillé un pare-choc.

    Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
    Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

    Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s’est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s’est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d’un verre sur les genoux de mon mari qui s’est coupé en le rattrapant.
    Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.

    J’ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l’eau de mon balcon tombe sur le sien, or c’est l’eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s’en est aperçue et l’a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c’est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l’inondation au 2e.
    Qu’en pensez-vous ?

    Je vous renvoie le papieds avec lequel on peu se torcher le quu car je vous avet envoulier une lettre recommander il y a longtemps et jai plut la voiture non plut et je informe que mon règlement vous sera fait à Niort avec du 6×35 à répaitision car vous êtes une bande de gangstaire et je vais vous maitre entolle.
    Recevez monsieur mes condoléances.

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