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Sujet: Dieu VS Science
a la demande de misk, je mé un des articl ke jé ecri sur ce forum, hihi, et n oublié pa, ce texte est ecri pour etr lu par des athés
PS:il y a peu etr kelk fote d orthograph, paske ça m fé chier de le relir encor une foiDieu VS Science
Dieu, être suprême, symbole de l’omniprésence, du pouvoir absolu… genre de pensées qui devient de plus en plus fantastique pour la plupart de personnes qui se croient a un certain niveau de culture et d’intellectualité.
Il est bien clair que de nos jours, la science n’est plus un secret, tout le monde à présent semble s’intéresser à la science…, on entend souvent des propos du genre : Dieu n’est qu’une pure invention pour expliquer des phénomènes qu’on ne pouvait expliquer a cette époque, la science a remplacé Dieu… Etrange comme façon de pensée, mais penchons nous sur cette question, qui explique l’existence d’un concept divin par un manque d’explication rationnelle ; et soyons rationnels, puisqu’en lisant ce que j’écris vous vous estimer parmi les personnes dont je parle. Dites moi, comment, tout en restant le plus rationnel possible, peut on nier l’existence de dieu, et affirmer avec certitude qu’il ne peut exister, tout ça car on a trouvé des explications rationnelles aux phénomènes en question ? Honnêtement, je n’y vois pas de rapport, car, il y’a toujours une explication, a tout et à n’importe quoi, et ce n’est pas qu’en connaissant la cause des faits que le veilleur que ces faits soient bien comme ils le sont ne peut exister. Un simple raisonnement conduirait a une absurdité, je vous explique : Permettez moi de vous poser une simple question, si vous ne croyez pas en dieu, alors cela implique forcement que vous croyez en l’hasard, puisqu’en prétendant que dieu n’existe pas, vous dites que notre existence, notre monde, notre univers, sont le fruit du hasard, le hasard de la nature, alors je vous pose clairement ma question, croyez vous a l’hasard ? La coïncidence ? Si vous continuez de lire, c’est que vous avez répondu oui, alors imaginons une situation, un monsieur (ou une dame bien entendu) gagne 50 fois de suite au Loto !!! La vous allez dire : Oh my Goooood ! (Même si vous ne croyez pas en dieu…) Sérieusement, pouvez-vous imaginer cette situation ? Soyons raisonnables, bien qu’elle soit totalement envisageable, cette situation a une chance d’arriver qui tend vers zéro, elle tend tellement vers zéro que notre esprit ne peut même pas l’imaginer, vous vous dites ce n’est qu’un exemple… Vous voyez ? Vous n’arrivez même pas à imaginer cette situation tellement elle est improbable, mais continuons quand même notre exemple, et dites moi franchement, on ne va pas se douter de quelque chose ? On ne va pas se dire qu’il y a forcement un truc qui cloche ? Que cette histoire ne tient pas la route ? Qu’il a forcement triché ? Ou qu’il voit l’avenir ? Bref, on va tout tenter pour nous soulager, et nous trouver une explication pour apaiser nos souffrances, car notre esprit ne peut point tolérer cette situation, elle est complètement irrationnelle. Ceci pour dire que le hasard certes existe, mais il ne faut jamais généraliser, il y’a des moments ou on se dit que franchement il ne faut pas exagérer, qu’il y’a forcement un facteur extérieur qui a intervenu pour que cette situation arrive. Alors maintenant je vais être un peu plus sérieux ; ce monde qui est autour de nous, vous ne trouvez pas qu’il est parfait ? Que rien ne cloche ? Qu’il est conçu à la perfection au tout petit détail prêt ? Ah ! je vois ce que vous vous dites, vous vous dites que j’ai tord, que notre monde n’est pas parfait, et bien détrompez vous, je vous le dis, et je vous l’affirme, notre monde est parfait, car si ce n’était pas le cas, il n’y aurait tout simplement pas de science pour expliquer tout ce qui se passe autour de nous, des lois de gravitations célestes qui traitent le comportement d’objets de très grandes dimensions jusqu’aux lois de mécanique quantique qui traites les toutes petites particules qu’on puisse connaitre, vous connaissez surement l’histoire de Newton et la pomme qui tombe de l’arbre, on qualifie souvent cette histoire par une révolution de la science, et la mort de l’époque ou on croyait en dieu, et bien cela est faux à mon avis… pourquoi ? Je vais vous le dire, pouvez vous imaginer juste une seconde qu’en jetant une pomme, celle la reste flotter dans l’air, ou bien pire, monter vers le ciel ? Et bien pourquoi pas ? Puisque vous prétendez que le hasard fait tout ? Pourquoi 1+1=2 ? Pourquoi en se réveillant un jour, et en employant 1+1=2 on ne trouve pas de contradiction, pourquoi les équations mathématiques décrivant notre univers marchent toujours, toujours, et toujours, et elle marcheront toujours, on ne peut imaginer un jour ou a la télé on nous informera que les équations de Maxwell en électromagnétisme ne marchent plus, ou bien que 1+1=2 n’est plus vrai… Pourquoi à votre avis on ne peut imaginer cette situation ? je suis d’accord avec vous, le hasard peut très bien faire ceci, mais franchement, il y a une chance parmi une infinité pour que cela se produisent, et toute personne ayant faite un peu de mathématique saura que 1 divisé par l’infini donne zéro, et oui, ZERO ; cette situation n’est pas envisageable, rien que l’exemple de la personne qui a une chance incroyable de gagner 50 fois de suite au loto vous a mis hors de vous (si j’ose croire), sauf que notre monde est comme un gagnant qui gagne tous les jours au Loto et aux autres jeux de hasard, alors vous imaginez ? Il est bien chanceux dites donc notre heureux gagnant pour que le hasard le fasse gagner à tous les coups !! Moi cette question m’a longtemps laissé sans sommeil, comment cela fait il que notre monde fonctionne bien ? Comment cela fait il que nous existons ? Est ce un hasard ? cela m’étonnerait avec toutes les autres possibilités envisageable, pourquoi une loi physique découverte en 19eme siècle reste toujours valable de nos jours, les progrès qu’on fait en sciences sont la rien que pour améliorer ces découvertes, personne ne pourra affirmer un jour qu’il a démontré qu’une pomme devrait flotter dans l’air, avant même de l’écouter, ou de connaitre son raisonnement on ne va pas le croire, pour la simple raison que ce n’est pas le cas, une pomme ne flotte pas dans l’air, une pomme tombe, et toutes les lois mathématiques et physiques le confirment.
Même si vous n’êtes pas convaincus que dieu existe après avoir lu ce que j’ai écrit, au moins maintenant, vous savez que l’argument : « le hasard fait tout » est mis en défaut.
Maintenant je voudrai vous parler d’autre chose, quelque petites preuves scientifiques que dieu existe. La terre tourne autour du soleil, vous êtes d’accord avec moi j’espère, bref, qu’est ce qui lui permet de tourner ? si vous ne le savez pas, je vais vous l expliquer, tout corps ayant une masse exerce une force, appelé force de gravitation, une loi découverte et mise en équation par notre célèbre physicien Newton, et le principe de la rotation de la terre autour du soleil est du a une vitesse initiale, et une distance bien définie pour lui permettre de rester dans l’orbite solaire, ma question n’est pas sur la vitesse, ou bien la distance, qui est biensûr une question critiques, quelques kilomètres de plus ou de moins, et nous serons gelés, ou carbonisés ; ma question est la suivante : cette vitesse initiale !! Elle vient d’où ? Vous allez me répondre le big bang !! ce qui va me plaire parce que la vous commencez a croire a des choses qui sont très abstraites, le big bang n’est qu’une théorie en ce moment, mais qui répond a pas mal de question quand même, comme cette question de vitesse initiale, mais franchement, vous pensez vraiment qu’une explosion, totalement hasardeuse, a pu donner naissance a tout notre monde de maintenant, franchement moi je n’y crois pas trop, cela me semble très naïf de penser que le hasard a pu faire tout ceci… voyons ! Cela veut dire que vous et moi avions une chance sur l’infini d’exister en ce moment, donc on ne devrait pas exister, ce qui est totalement absurde, vu que nous existons, ou au moins avons existé (dans le cas ou vous lirai ceci si je suis mort).
La science est la pour confirmer l’existence de dieu, la puissance de dieu réside dans ce qu’il a créé, et surtout dans le fait qu’il a fait en sorte qu’il y’a des explications à tout, et ce serai vraiment dommage de s’intéresser aux créations et d’ignorer l’existence du créateur, la moindre des choses est de reconnaitre son existence, et de le remercier de nous avoir donné cette chance d’exister, cette chance que le hasard ne pouvait nous donner.les jeunes d aujouird hui sous l effet d autres cultures ( occidentales , saoudiennes , syriennes , …) ignorent presque tout sur l histoire de leur pays le maroc . voici ce qu écrivit said hajji enfant d une grande famille de résistants marocains et poete à propos de la visite memorable du roi Med V طيب الله ثراه
au mausolé de moulay idriss premier , c etait en 1934!! ( à méditer )للتذكير فقط فان الشاعر سعيد حجي هو صاحب القصيدة المشهورة
شباب غفل ❗ ❗
Moulay Driss Zerhoun, un haut symbole politique
Saïd Hajji écrit dans la presse arabe du Moyen-Orient, mi-mai 1934, que S.M. le Roi Mohammed V apporte son soutien aux nationalistes qui lui ont réservé un accueil triomphal à Fès. Les Français, troublés par les agitations patriotiques, confisquent les libertés publiques et prennent des mesures répressives à l’encontre des représentants du Mouvement National. Le Mouvement National marocain a connu durant les derniers mois une rapide évolution à laquelle les Français ne s’attendaient nullement. Il est maintenant certain que notre jeune roi, sur lequel les Marocains ont mis tous leurs espoirs, accorde une grande sollicitude à notre mouvement et lui souhaite de réussir. Lors d’un voyage du sultan Mohammed V à Fès, des contacts ont été établis entre les instances patriotiques et le palais royal pour coordonner les préparatifs des festivités prévues à cette occasion… Le troisième jour, il s’est rendu au mausolée d’Idriss 1er ❗ . Les autorités françaises ont voulu qu’il effectue seul cette visite et que le peuple ne soit pas autorisé à l’y accueillir. Mais les masses populaires ont envahi tous les accès menant au mausolée ❗ et ont ainsi déjoué les plans élaborés par l’occupant. Mieux encore, le Roi a traversé les artères bondées de monde, sans sa suite, et était accompagné des seuls représentants du Mouvement National. Le peuple redoublait d’acclamations et entonnait des chants patriotiques avec une fougue et une ardeur extraordinaires ❗ . Le Roi marchait doucement, répondant à l’accueil qui lui était fait par le sourire et le geste traditionnel du salut des mains. Il est ensuite entré au mausolée où repose Idriss 1er ❗ ❗ , toujours en compagnie des représentants du Mouvement National et, après la visite des lieux, il s’est recueilli devant le tombeau du fondateur de la dynastie Idrisside ❗ ❗ , la première à instaurer un Etat musulman au Maroc il y a 12 siècles ❗ , et il a prié Dieu de lui accorder sa miséricorde. Les Français n’ont guère apprécié l’accueil chaleureux que la population a réservé à son souverain. Ils ont tenu le même jour une réunion à la Résidence Générale de France à Rabat. Ont assisté à cette réunion, les principaux responsables de l’Administration coloniale. Puis un représentant de la Résidence s’est réuni avec S.M. le Roi. Toutes sortes de rumeurs ont circulé. Des protestations se sont élevées contre le comportement inqualifiable de l’autorité coloniale, considéré unanimement comme de très mauvais goût et contraire aux règles les plus élémentaires de la politesse et de la bienséance. Tout cela a alarmé l’autorité française et l’a mise dans une situation peu confortable. Une grève générale a paralysé tout le pays le 16 mai. Les populations du Maroc se sont rendues à la mi-journée à la mosquée où des discours ont été prononcés afin de venir à bout de la tyrannie des oppresseurs ❗ ❗ ❗ . Les mosquées ont été assiégées par l’armée, les manifestations interdites et les communications inter-villes rendues impossibles. Ce fut là un des premiers mouvements de protestation nationaliste contre le protectorat français ❗ . Et le mausolée de Idriss 1er fut un symbole fort de l’unité du peuple marocain contre l’occupant. ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ( à méditer)
Plus tard, la déposition de Sidi Mohamed Ben Youssef mettra une
fois de plus en avant l’importance et le poids de cette histoire remontant à 12 siècles en arrière ❗ . Pour sauver les apparences, il
fallait faire passer l’éviction du roi Mohammed V (planifiée par la Résidence et décidée avec l’aval du gouvernement français) comme étant une déposition exigée par une majorité de Marocains hostiles aux prises de position de leur souverain. La réunion de Thami Glaoui et d’Abdelhaï Kettani (1953) marqua le début d’un processus
« irréversible ». La Résidence se cantonnait (théoriquement) dans un rôle d’arbitre. Les étapes de l’escalade programmée qui devait aboutir à l’éviction du Sultan se déroulèrent comme prévu : élaboration d’une pétition par des pachas, caïds… Ceux-ci dénonçaient l’incompatibilité de la politique du sultan avec l’Islam, cérémonie au sanctuaire de Moulay Idriss dans le Jbel Zerhoun, proclamation d’un nouvel imam malgré les protestations d’oulémas loyalistes…Dernier acte dans un palais assiégé par des blindés en l’absence du prince Moulay Hassan gardé à vue : la signification à Sidi Mohammed, qui refusait d’abdiquer, de sa déposition et de son exil.
Enfin de longues années plus tard, bien loin de cette triste période pour le Maroc, lorsque le roi Mohammed VI est intronisé en 1999, il consacre, à peine un mois plus tard, sa première visite officielle au mausolée de Moulay Idriss ❗ ❗ . Vue du Palais, il s’agit tout juste d’une tradition à préserver ❗ ❗ . Mais cette coutume est observée à la lettre s’agissant des Idrissides ❗ ❗ . D’ailleurs dans sa restructuration du champ religieux, le pouvoir a réservé un traitement à part à la nidarat (délégation des habous) de Moulay Idriss 😀 . Celle-ci est la seule à garder ses fonctions ancestrales 😀 , dans le nouvel organigramme du ministère de tutelle.Idrissi, 13 avril 2006
La médiathèque de la ville d’Oujda
La médiathèque de la ville d’Oujda est l’aboutissement d’un projet commun : pour la promotion du réseau de lecture publique marocain initié par Le Ministère de la Culture en partenariat avec le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Maroc et la commune urbaine de la ville d’Oujda.
La médiathèque est riche d’une collection bilingue (arabe/français) de 10 000 livres et d’un fonds audiovisuel de 1 000 CD, DVD et CD-rom. Elle offre également des espaces de consultation bien équipés pour permettre au plus large public de se former, de s’informer mais aussi de se détendre dans un cadre accueillant et chaleureux.Des bibliothèques satellites graviteront autour de la médiathèque de la ville D’Oujda à « Ain sfaae, Aklim… », aux collections plus modestes, elles proposent toutefois aux populations rurales et périurbaines concernées un service de grande qualité grâce à l’implication de leur « tête de réseau » (prêt, échange de collections, programme commun d’animations) et au soutien apporté par la direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture.
La médiathèque proposer des collections riches et diverses pour « donner à tous libre accès aux trésors de la pensée et de l’imagination de l’Homme », c’est l’ambition qu’elle se donne en collaboration avec les autres médiathèques du réseau et les bibliothèques satellites, s’inspirant du manifeste de l’UNESCO. Elles invitent en effet les publics de tous âges, sexes et catégories socioprofessionnelles, à venir trouver dans un cadre accueillant les documents les plus variés. D’un roman policier à un site Internet spécialisé en gastronomie, d’un disque de contes pour enfant à un documentaire sur les maladies infectieuses : tous les supports sont disponibles dans les collections du réseau de lecture publique.Promouvoir le livre et l’information, c’est aussi en faciliter l’accès. La médiathèque est donc ouverte à tous gratuitement. Les collections sont en libre accès pour qu’un utilisateur puisse, seul ou avec l’aide d’un bibliothécaire, trouver le document qui l’intéresse et l’emprunter après s’être inscrit. L’ensemble du fonds documentaire du réseau est également recensé dans un catalogue collectif informatisé, interrogeable via l’Internet ou sur place. Les espaces de consultation de la médiathèque a été conçus pour s’adapter aux besoins et aux pratiques de chaque public (tout-petits, enfants, jeunes, adultes).
Car, au-delà de leur vocation traditionnelle de mise à disposition et de prêt de documents, ces médiathèques et bibliothèques sont également des espaces de vie culturelle qui invitent aux plaisirs de la découverte et de la connaissance : des animations (rencontres, lectures, expositions, débats, ateliers…) y sont organisées régulièrement par les équipes en place ou les associations culturelles locales à l’attention du plus large public.La médiathèque de la ville d’Oujda travaille dans l’ensemble d’un réseau de 10 médiathèque réparties dans les villes suivantes : Oujda, Taza, Mekhnès, Al Jadida, Sala aljadida, Khribga, Beni mellal, Larache, Ouarzazate, Tiznit.
Le travail en coopération mené par les médiathécaires du réseau s’illustre d’abord par la création d’un catalogue commun recensant l’ensemble des collections du réseau lecture publique. Géré par la Direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture, ce catalogue est consultable via Internet et permet aux utilisateurs d’interroger aussi bien le fonds de la médiathèque de leur province que celui des autres médiathèques du réseau.
Son élaboration a nécessité en amont l’adoption de procédures communes (plan de classement, manuel de catalogage notamment), diffusées par l’association des médiathécaires du réseau de lecture publique créée en 2006.La médiathèque de la ville d’Oujda : Mohamed Ben Amarra
Les partenaires pour la création la médiathèque :
• Ministère de la Culture
• La commune urbaine de la ville d’Oujda
• L’ambassade de FranceCaractéristiques de la médiathèque :
o La surface : 320 m2
o Les espaces : la médiathèque contient trois espaces de lecture ; espace adulte, jeunesse et enfance. Il y’aura une salle de traitement du fond et un bureau du responsable ainsi que des toilettes.Fonds documentaire :
• La dotation totale du fonds documentaire imprimé est de 10 000 titres.
• Le fonds documentaire audiovisuel atteindra 1000 titres
• La répartition du fonds est la suivante :
o 1/3 de livres pour les enfants, 1/3 pour la jeunesse, 1/3 pour les adultes.
o 50% de livres en arabe et 50% en français.Budget alloué à la création de la médiathèque (en dhs) :
Collections imprimées : 946 374
Fonds audiovisuel : 46 066
Mobilier de bibliothèque : 765 824
Equipement informatique : 177 275
Equipement audiovisuel : 50 736
Total : 275 986 1Toutes les fonctions de la médiathèque sont informatisées :
o la gestion du fonds documentaire
o Les transactions prêt/retour
o La gestion des utilisateurs
o Les statistiques.Fonctions de la médiathèque :
o Accueil et orientation du public
o Accès aux fonds documentaires imprimés et audiovisuels
o Recherche dans le catalogue collectif
o Prêt des documents
o Accès à l’Internet
o Animation autour du livre et de la lecture.note : pour plus d’information sur le le réseau de lecture publique marocain Veuillez consulter :
DESIGN &ARCHITECTURE SCHOOL OUJDA
– Nouvelle école se dévoile, la première à la région orientale ;DESIGN &ARCHITECTURE SCHOOL s’installe à OUJDA, la ville de millénaire, de l’art, la culture et de la création.
-l’école est toujours à votre écoute, votre disposition et votre proposition de tout ce qui est meilleur.
-Ecole qui vous permettre d’accéder au monde du travail (FADESA, BUREAU D’ARCHITECTURE, GENIE CIVILE,
ENTREPRISE DE CONSTRUCTION………)
– Equipe pedgogique compétente et de large expérience (ingénieur ; architecte ; technicien spécialisé, technicien…)
– Formation de qualité et moderne s’appuyant sur les nouvelles technologie d’informations et de communication NTIC
-Forte dans sa formation de compétence de ses métiers de base, Architecture, design (décoration) ; génie civil et topographie.
-Pour accompagner cette profonde compétence d’apprentissage et de culture ayant fait de notre école une référence de performance en matière de formation aux métiers d’arts et d’architecture, génie civil, notre école sera le point de rencontre des grands spécialistes de métier pour des conférences, changer d’idées, partager avec nos chers étudiants leurs espoirs et leurs projet d’avenir.
-Notre école voue offre la formations dans les spécialités suivantes :
Filière :
et Condition d’accès :
Dessinateur en bâtimentTechnicien (T)
Niveau bac série Sc.exp./math./tech.
Dessinateur métreur en bâtimentTechnicien spécialisé (T.S)
Titulaire d’un bac Sc.exp/math/tech.ou d’un diplôme de technicien en batiment
Coordinateur en batimentTechnicien spécialisé (T.S)
Titulaire d’un bac Sc.exp/math/tech.ou d’un diplôme de technicien en batiment
Décorateur d’intérieurTechnicien (T)
Niveau bac toute série
* Tel : 036696959 / 012157744 G.S.M :061361334 / 060306612– e-mail design.architecture.shcool.gmail.fr/
design_architecture.shcool@hotmail.fr
*Adresse : Angle bds Derfoufi et Zerktouni, Imm.zinbi, 3eme étage (au dessus Au derby)
Actuellement je travaille sur la mémoire des Marocains d’Algerie.
En plus j’ai entamé un travail sur la mémoire des Algériens au Maroc.
Je serai comblé si des algériens ou des marocains de la region de Oujda peuvent m’aider à comprendre l’histoire de ces algériens du Maroc.
Merci.http://marocains-d-algerie.niceboard.com
L¹immigration algérienne au Maroc à l¹époque coloniale (5/28/2006)
Le cas de la communauté algérienne à Oujda
1ére partie
L¹émigration algérienne à l¹époque coloniale avait comme destination principale la France métropolitaine. Pour des raisons de proximité géographique, de liens familiaux et des relations culturelles et religieuses, le Maroc a été la première destination des Algériens fuyant la colonisation française, les Mouhajirin ou «exilés pour la foi». C¹était le début d¹une émigration qui prendra plusieurs formes et durera plus d¹un siècle (1840-1962). Ainsi, des dizaines de milliers d¹Algériens (100.000 environ pendant la guerre de libération algérienne) ont fait du Maroc leur seconde patrie.
Cette communication tente d¹apporter un premier éclairage sur cette émigration inter-maghrébine, en attirant l¹attention des chercheurs en matière d¹émigration sur ce phénomène. Etant donné que la communauté algérienne habitait principalement Oujda et sa région, nous consacrerons cette étude aux Algériens de cette ville. Il s¹avère intéressant de signaler que ce thème n¹a pas encore fait, à notre connaissance, l¹objet d¹études sérieuses. Nous avons là une nouvelle page de l¹histoire de l¹émigration algérienne à écrire1.
Grâce à sa colonie algérienne comptant 29.300 personnes, Oujda se plaçait en 1960 en deuxième rang au Maroc pour le nombre d¹étrangers après Casablanca. A la même date, la communauté algérienne du Maroc était de 95.000, soit 24% de l¹ensemble des étrangers (396.000). 50% des Algériens résidaient dans l¹oriental2.
Cette émigration de l¹Algérie vers le Maroc concernait les Européens de l¹Algérie (les colons), tout comme les Algériens de souche, musulmans ou juifs. Notre étude concerne seulement les Algériens musulmans. (Š)Les sources historiographiques
Comme déjà signalé, il n¹existe – à notre connaissance- aucune étude de synthèse sur le sujet. Cependant, il y a un certain nombre de documents de base permettant de se faire une idée sur l¹histoire de cette immigration, malgré les préjugés classiques du colonialisme3, et de suivre l¹évolution de cette communauté dans cette région frontalière du Maroc. Ils fournissent des données chiffrées sur les différentes vagues d¹immigration, sa répartition géographique à Oujda, ainsi que les activités professionnelles exercées par celle-ci. Il s¹agit notamment des quelques rapports et mémoires de C.H.E.A.M. 4
– M. Lemaille (1937) : les Algériens à Oujda en 1937. Bulletin du Comité de l¹Afrique Française, n° 5, mai 1937, pp.255-260.
– P. Decroux, (1938), Les Algériens musulmans au Maroc, condition juridique et sociale. Boulogne sur Seine.
– « la vie sociale des Algériens au Maroc ». Bulletin Economique du Maroc. 1938, pp.20-25.
– P. Azam (1951), sur l¹émigration temporaire au Maroc oriental, comporte également des données importantes sur les Algériens dans le Maroc oriental.
– Le rapport du Contrôleur civil adjoint H. Lombard datant de 1953, intitulé « aspects de la situation et du rôle de l¹immigration algérienne musulmane dans la région d¹Oujda ».
– Il y a enfin le mémoire de P. Depis (1962) sur le problème des réfugiés algériens au Maroc oriental (mars 1956- mai 1962).L¹histoire des vagues migratoires
algériennes vers le Maroc-Les différentes vagues d¹immigration :
L¹émigration algérienne à l¹époque contemporaine est un phénomène lié à la colonisation. C¹est l¹une des conséquences des grands bouleversements provoqués par celle-ci dans les sociétés maghrébines. Les Algériens sont arrivés par plusieurs vagues. Nous distinguons quatre vagues principales essentiellement dans la ville d¹Oujda et sa région. C¹est ainsi que le contrôleur civil adjoint H. Lombard qui consacra une étude à l¹immigration algérienne dans la région d¹Oujda, qualifie cette immigration d¹un terme différent qui correspond à chaque étape de son histoire. Immigration de l¹exil jusqu¹en 1907, immigration « appelée » de 1909 à 1926, immigration «favorisée» de 1926 à 1942 mais seulement «supportée» de 1942 à la fin du Protectorat.
La première vague date de la période de l¹occupation française de l¹Algérie. Voyant leur pays occupé, beaucoup d¹Algériens fuyant cette domination, prirent le chemin d¹exil vers le Maroc. Il s¹agit des Mouhajirin (exilés pour la foi). Beaucoup ont accompagné l¹émir Abdelkader lors de son exil au Maroc en 1843-1844. Ils viennent surtout d¹Oranie : de Tlemcen, Nedroma et Mascara. Nombreux parmi eux, se posant comme concurrents des Fassis (originaires de Fès), vivaient du commerce en utilisant leur relation avec l¹Algérie pour leurs affaires. Du fait de l¹ancienneté de leur installation, à la veille du protectorat, ils étaient considérés comme Marocains. Selon plusieurs sources5 cette population suscitait chez les Oujdis (les habitants de la ville d¹Oujda) une certaine jalousie car le Cadi d¹Oujda fut souvent choisi par le Makhzen parmi les Algériens. De nombreux fonctionnaires du culte étaient algériens. Selon ces mêmes sources, cette animosité fut un facteur de maintien de la personnalité algérienne et un obstacle à la fusion totale. Cependant cette fusion se réalisa partiellement, «il y a lieu de penser qu¹au total ils n¹étaient qu¹à demi-étrangers» écrit Lombard. On trouve aussi les traces de cette première vague d¹immigration algérienne dans les sources marocaines qui parlent du bon accueil réservé par les Marocains à cette communauté d¹exilés. «Le Sultan marocain a donné ses ordres pour qu¹ils soient bien accueillis et logés.. »6 Dans son histoire de Tétouan, Mohamed Bendaoud raconte que dès le débarquement français à Alger en 1830, deux bateaux, à leur bord des familles algériennes arrivent à Tétouan en août 1830. Et en 1842 on recense à Tétouan plus de 700 algériens pauvres.7
La deuxième vague remonte à l¹occupation d¹Oujda en 1907 et l¹établissement du Protectorat. Pendant cette période arrivèrent beaucoup d¹Algériens qui devaient jouer le rôle d¹intermédiaires entre les occupants et les Marocains. Ils étaient interprètes grâce à leur connaissance de l¹arabe et du français, greffiers, instituteurs et professeurs. Leur nombre ne cessait d¹augmenter. (Š). H. Lombard8 souligne que pendant cette première période, les Algériens musulmans formaient «une colonie annexe de la colonisation européenn ». En effet appelés par l¹Administration, par des frères déjà installés, par des cousins, et des amis, affluèrent de toute l¹Oranie et particulièrement de Tlemcen ou de Nedroma (véritables pépinière de fonctionnaires), par centaines, des familles entières qui croyaient à la pérennité de la présence française au Maroc (Š).9
En effet, ceux qui étaient exilés pour des raisons religieuses lors de la conquête de l¹Algérie, n¹ont pas tenu, après l¹installation du Protectorat au Maroc, à se prévaloir de leur qualité de sujets français. Il leur importait peu d¹ailleurs de changer de nationalité puisque de toutes façons leur statut demeurait régi par la loi musulmane. Eux ou leurs descendants figurèrent désormais avec les Marocains dans les statistiques10. En 1907, ils formaient plus d¹un cinquième de la population d¹Oujda qui comptait quelque 6.000 habitants. Pour 1910-1911 Louis Voinot11 parle de 1.500 Algériens groupés en 300 foyers, mais le recensement de 1911 cité par Augustin Bernard12 n¹enregistrait que 200 Algériens sujets français. A vrai dire, il est difficile de se faire une idée non seulement du chiffre exact de cette population, mais aussi de sa position par rapport à la France. Surtout que le statut de « sujet français » n¹a pas toujours été facilement reconnu par l¹Administration française. Ainsi beaucoup d¹Algériens se sont trouvés «noyés dans la masse des Marocains, faute d¹avoir entrepris les démarches pour faire connaître leur origine algérienne et donc leur qualité de sujet français, ceci plus au moins volontairement»13. De nombreuses familles ont fini par avoir la nationalité marocaine. Telles que les familles Ben Mansour, Abdelghani, Ouled Sadouni…etc. D¹autres, d¹origine algéro-turque (Koulouglis) restèrent sans nationalité. H. Lombard explique qu¹il y avait des familles qui recevaient du Makhzen marocain l¹indemnité due aux Mouhajirin et prenaient la précaution d¹inscrire leurs enfants à l¹état-civil de Tlemcen ceci dès avant l¹occupation française du Maroc. C¹est le cas des Triqui et des Meziane. D¹autres ont préféré ne pas se manifester comme tels et passer pour des Marocains. Il remarque aussi que la présence des Algériens à Oujda représentait un atout pour la France. Il écrit : «dans ce Maroc étranger à la France, les Algériens qui vivaient même musulmans, même ayant fui la domination française et n¹aspirant qu¹à se fondre dans la population qui les entourait, servaient déjà l¹intérêt français commercialement et politiquement, le plus souvent involontairement» 14
Cette participation massive des Algériens dans l¹administration du Protectorat leur a donné, aux yeux des Marocains, l¹image de gens qui se rapprochaient des Français et s¹éloignaient de leurs frères musulmans. Ainsi ils sont traités de «shab nçara» c¹est-à-dire «les amis des Chrétiens»15. Avec le temps, les Algériens sont devenus moins indispensables pour l¹administration française, ils furent progressivement remplacés par des Marocains pour les petits emplois. On réglementa leur admission au Maroc, surtout on changea le statut des fonctionnaires qui furent assimilés aux Marocains en 1926. L¹arrêté viziriel du 8 janvier 1926, déplaçait les fonctionnaires algériens musulmans du cadre français vers le deuxième cadre spécial marocain et assimilé. Les Algériens, à travers la Fédération des Algériens musulmans du Maroc, ont protesté contre cette réorganisation de 1926. Ils ont exprimé leur refus de cette confusion avec les Marocains, allant même jusqu¹à accuser la France de « racisme assimilateur ». La Fédération des Algériens musulmans du Maroc rappelle que « de nombreux algériens abandonnant leur situation en Algérie ou même interrompant leurs études, ont répondu à l¹appel de la France, se sont expatriés, ont donné au Maroc sa première armature et ont pu rendre au Protectorat de réels services… ; que la nationalité prime l¹origine et que le racisme assimilateur qui leur est opposé n¹est pas appliqué aux Israélites, le Juif algérien conservant un statut distinct et supérieur à celui de Juif marocain ».16 De même les salariés algériens ne pouvaient plus bénéficier de la législation sociale appliquée aux citoyens français. N¹étant pas des citoyens mais des «sujets français», ils ne pouvaient pas bénéficier de la majoration de traitement de 38% et du remboursement des frais de voyage en congé accordés aux Français.
Malgré ces inconvénients, les Oranais continuaient d¹affluer vers le Maroc. Ils étaient 2471 en 1926, ils passent à 4594 en 1936. (Š) Oujda fut leur point d¹arrivée, plus de la moitié des Algériens au Maroc en 1936 vivaient dans cette ville (57,6%). Pourtant le Maroc aussi se fermait plus au moins à leur émigration, à cause de la crise économique. A partir de cette période, les conditions d¹entrée des étrangers au Maroc, donc des Algériens dans ce cas, sont devenues dures, avec le dahir du 20 octobre 1931, dont les dispositions furent renforcées en 1934, avec l¹obligation de disposer d¹un contrat de travail accordé par l¹employeur pour une durée d¹un an minimum. Ce contrat devait être visé par le Service du Travail de Rabat. Les Algériens protestèrent contre cette loi, surtout que l¹entrée des Marocains en Algérie était pratiquement libre subissant de ce fait une concurrence sur le marché du travail algérien sans réciprocité.17
La troisième vague d¹immigration « supportée » et non pas « appelée », selon l¹expression de H. Lombard. Elle est composée essentiellement de travailleurs sans capitaux à la recherche d¹emplois et qui vont se confondre avec les prolétaires marocains. Ce caractère nouveau s¹est affirmé après la seconde guerre mondiale. A Oujda le nombre d¹Algériens passa de 4.813 en 1943 à 14.322 en 1951, leur nombre a triplé en l¹espace de huit ans. Cela concernait aussi les autres villes ou villages de la région orientale du Maroc comme Berkane, Ahfir, Taourirt. (Š). Ces immigrants sont majoritairement des ouvriers sans qualification. Un grand nombre s¹adonna à la contrebande qui régnait à Oujda. « Une population algérienne s¹est créée qui se compose de gens sans profession déterminée, instables, chômeurs… se rapprochant de la plus basse couche sociale marocaine tout près de laquelle ils vivent »18. A la fin de la guerre ce mouvement s¹intensifia, avec une foule de gens sans contrat de travail qui créait des petites boutiques et vivait avec les Marocains démunis dans des quartiers ou « villages » périphériques.
Le dernier afflux est lié aux événements de la guerre d¹indépendance de l¹Algérie déclenchée en 1954. A partir de cette date des milliers de réfugiés algériens s¹installèrent à Oujda ; 6.386 en 1957 et 9.851 en 195819. (Š)

