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15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 294)
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  • #221103
    mourad
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    Cher Dr Bouayad assalamou alyka . cet article s inscrit tres bien dans notre sujet Malikisme et ouahabisme et reprend entre autre l infiltration de la secte ouahabite au maroc et la marginalisation de nos oulamas malikites pour des raisons diverses. malheureusement beaucoup de nos majaliss al ilmia comportent parmi ses membres des ouahabites .
    bonne lecture et hafidaka allah .

    « 
    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : la politique menée était une catastrophe pour les affaires islamiques

    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : La politique menée par Driss Basri et M’Daghri Alaoui était une catastrophe pour la gestion des affaires islamiques

    Par Mostafa ZAOUI

    La marginalisation du malékisme dans les structures des Habous et des Affaires religieuses est devenue un phénomène perceptible à l’œil nu depuis une décennie. M. Abdelkbir Alaoui-M’Daghri, ex-ministre des Habous, a privilégié un islamisme particulier, un «islam» politique au dépens de l’école religieuse marocaine qui, il faudra bien le rappeler de temps en temps, a ses propres spécificités historiques et civilisationnelles.

    Le triptyque définissant l’Islam marocain

    Cette école musulmane marocaine est basée sur un triptyque conceptuel qui l’a différenciée des différentes écoles musulmanes de l’Orient arabe en particulier.
    Feu S.M Hassan II aimait à rappeler la définition de cette école marocaine en citant Sidi Abdelwahed Ibn Achir, et qui présentait dans «Al Mourchid Al Mouîne», une «ourjouza» résumant les bases élémentaires de la pratique du rite musulman, ce triptyque conceptuel de l’Islam au Maroc.
    Ce triptyque est la précision de la trilogie religieuse : l’Islam, la Foi et la Spiritualité.

    L’Islam est un ensemble de comportements visibles, donc évaluables et juridiquement qualifiables, qui comprennent les droits et devoirs du musulman vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis de la société. Cet ensemble de normes est ce que l’on appelle le droit ou le chraâ ou encore, la chariâa. L’Islam est par définition «la soumission à la loi». Cette école juridique est le malékisme par référence à l’Imam Malik Ibn Anass qui a vécu à la fin du 1er siècle et au début du 2ème siècle de l’Hégire à Médine.

    La Foi est une affaire entre l’individu et Dieu et concerne les croyances ou «al âqida». La «âqida» au Maroc est l’ensemble des croyances qui déterminent le sunnisme ou l’Islam sunnite. Le sunnisme est appelé «al achâryya» par référence à Al Hassan Al Achâri qui a vécu au début du 3ème siècle de l’Hégire et qui est considéré comme le grand théologien du sunnisme, par opposition fondamentale au chiîsme et par opposition aussi au Hanbalisme (comme «âqida» et non pas comme école juridique).

    Le troisième niveau de ce triptyque et qui concerne le niveau spirituel, donc le niveau soufi, est la «tariqa de Jounaïd» par référence à Al Jounaïd, maître à penser du grand philosophe du sunnisme, Abou Hamed Al Ghazali, qui va populariser le soufisme sunnite basé sur les pratiques saines de l’Islam (tel que normalisé par le malékisme au Maroc) et sur une «âqida» saine qui est «Al Achâryya», essentiellement à travers son chef-d’œuvre Ihyae Ouloum Ad-Dine qui, depuis pratiquement l’époque des Almohades, est devenu le classique marocain au niveau de la Foi et au niveau de la Spiritualité.

    Al Achâryya contre le simplisme wahhabite

    Pour résumer, disons que cette trilogie rejette le concept de l’infaillibilité de l’Imam qui est un concept chiîte.

    Elle rejette, de l’autre côté, le «littéralisme» ou encore le simplisme hanbalite en matière juridique et en matière de âqida. Le hanbalisme est l’école qui rejette la logique et pour qui un hadith, même très faible, est prioritaire sur la raison dans la détermination de la norme juridique.

    Al Ghazali qui a fait l’objet de critiques acerbes de la part de tous les hanbalites, n’a jamais hésité à les traiter de partisans de «la raison linguistique» en précisant que leur «fiqh», basé sur la grammaire et le «littéralisme» est une «science au niveau de laquelle l’adolescent et l’adulte sont à égalité puisqu’elle exige en tout et pour tout la mémorisation».

    Ajoutons, ici, que le hanbalisme en tant que «âqida», a toujours rejeté et la raison et le soufisme qu’il a toujours considéré comme une «bidâa». Ce hanbalisme qui est resté très minoritaire parmi les musulmans va être mis au pouvoir en tant que wahhabisme à partir du 18ème siècle en Arabie Saoudite.
    C’est ce wahhabisme qui, à la faveur du boom pétrolier, va, petit à petit, et à travers des financements de chercheurs et à travers des soutiens financiers à de multiples associations dites caritatives à travers le monde arabo-musulman, véhiculer la salafyya wahhabite qui va dégénérer, ici et là, sous forme de salafyya jihadyya.
    La soufyya est particulièrement réfractaire à l’usage de la religion en politique.
    Le wahhabisme ne peut se concevoir que par l’hégémonie du faqih sur le pouvoir politique.

    L’infiltration du wahhabisme au Maroc :
    Promotion de l’«islam» politique au dépens du malékisme et des fouqahas malékites

    Quel impact ce wahhabisme a eu sur le malékisme au Maroc ?
    Sans hypocrisie mais avec toute la courtoisie nécessaire, disons que M. A. Mdaghri-Alaoui, ex-ministre des Habous et des Affaires islamiques, a privilégié l’Islam Politique, en privilégiant l’association Al Islah-wa At-Tawhid. Et c’est au nom de l’Etat, qu’il l’a fait durant toute cette dernière décennie. Or, Al Islah-wa At-Tawhid sont tout sauf des soufis. Leur «daâoua», dirigée vers des musulmans a une dimension politique, donc de recherche de l’exercice du pouvoir, qui ne peut être niée. Le wahhabisme de cette association est là.

    Abdelkbir Alaoui Mdaghri, en plaidant pour la promotion des «militants» de cette association dans les rouages de l’Etat et au niveau de la politique politicienne a eu une grande responsabilité dans la propagation du discours wahhabite au sein de larges franges de la société et au sein des structures étatiques au dépens de l’école malékite dont la dimension éducative était le caractère dominant.
    Lorsque Mdaghri Alaoui et Driss Basri faisaient la promotion des «militants» de Al Islah wa Attawhid, à travers la télévision, ils ont commencé par les présenter dans les programmes des prêches religieux du Ramadan, Benkirane, Othmani, Rissouni, Benhamza etc. et bien d’autres ont été promus à travers ces programmes religieux.

    Les Fouqahas malékites ont été soit éliminés des structures fonctionnelles existantes en matière de gouvernance et de gestion des affaires religieuses, soit ils se sont vus obligés de «plaire» aux «islamistes» pour se prémunir contre les «sévices» de l’autorité gouvernementale. La promotion de Raissouni, par exemple, est déjà une véritable caricature de cette gestion. Mais il y a pire !
    Lorsque l’on voit qu’un professeur d’arabe, comme Mostapha Benhamza, d’Oujda, promu comme président du «majlis îlmi» d’Oujda, et comme membre de la commission royale pour réformer la moudaouana, en récompense de tout ce qu’il a entrepris, au service du PJD, pour contrecarrer le plan d’intégration de la femme au développement, l’on est en droit de nous poser beaucoup de questions sur la réalité effective de la position du malékisme dans le pays du malékisme.

    L’agression qu’a subi le malékisme durant ces dernières années au Maroc explique le désarroi des fouqahas malékites, les vrais, lorsqu’ils ont entendu ce Benhamza, parler dans le colloque sur «al achâryya et le malékisme» organisé par les «majaliss îlmya» les 23, 24 et 25 mai, juste après les attentats de Casablanca, non pas en tant que représentant tout à fait officiel de l’Etat marocain mais comme militant du PJD, en récitant le discours de Ramid, Raissouni et du PJD. N’est-il pas très curieux d’entendre l’organisateur du colloque dire : «la violence est une expression du désespoir, et nous ne sommes pas désespérés, nous ne pensons pas à la violence, parce que nous réalisons chaque jour des succès pour que cette nation revienne à sa religion et pour que cette religion s’infiltre dans ses structures». Et «mieux» que cela, il ajoute : «C’est une nouvelle génération qui prendra le leadership, ultérieurement, et nous avons commencé (à bâtir) la civilisation civilisée, nous ne voulons pas que notre voie soir perturbée, nous ne voulons pas de cette provocation qui a pour but de nous détourner de notre programme… Nous ne sommes pas de ceux qui soutiennent la violence, nous n’appelons pas à la violence, nous ne disons pas que la violence est la bienvenue, nous n’avons pas besoin de la violence, la violence n’est utile pour nous !».

    Quel commentaire faire après une sortie aussi «Claire» et aussi «conforme» à la fonction de ce représentant de l’Etat, chargé des affaires religieuses en tant que président du «majliss îlmi» d’Oujda ?

    La gestion de Driss Basri et de Mdaghri Alaoui doit être fondamentalement réévaluée : pour un Islam synonyme de modernité

    Que dire ? C’est là, manifestement, un drôle de discours dans la bouche de quelqu’un qui est nommé par Dahir et qui est censé parler au nom de l’Etat marocain ! Ce qui repose la problématique du choix des représentants de l’Etat aux niveaux national et régional ! Si le journal At-Tajdid était fier de rapporter ce discours, en le présentant comme le discours central de ce colloque, c’est que ce «monsieur» représente effectivement la ligne politique et éditoriale de At-Tajdid.

    Pour trouver un discours clair d’un malékite qui sait situer la problématique, il faut écouter le président du «majlis îlmi» du Grand Casablanca, El Mehdi Assmi, qui n’a pas hésité à stigmatiser le wahhabisme rompant et insidieux en remarquant que la catastrophe que connaît l’oumma a pour origine la prolifération du «takfir» et de la forte tendance à ex-communier les musulmans dans les discours de certains «oulémas» du Machrek, en précisant que par ces «oulémas», il vise «les littéralistes (ouléma ad-dahir, la’a dahiryyat Ibn Hazm lakine Dahriyyat al Hanabila) et précisément les hanablia dans le Machrek».

    Tout cela pour dire que si la religion musulmane a un rôle éducatif et sur le macro-système éducatif comprend l’école, la mosquée et les médias, il est du domaine de l’ordre public, donc du domaine de l’Etat de veiller à ce que ce macro système éducatif ne soit dévoyé de sa fonction sociale. L’Etat doit veiller à mettre «l’homme ou la femme qu’il faut là où il faut». Il faut privilégier la vertu qui est une somme de compétences, de savoirs et de savoir-faire et d’éthique, dans le choix des représentants de l’Etat. Il faut que l’Etat rectifie ce qui doit être rectifié dans la gestion de Basri-Mdaghri Alaoui, en matière de gouvernance des affaires islamiques. Et malgré tout que ce dernier peut prétendre, les résultats de sa gestion sont maintenant évidents. Les fouqaha ne disent-ils pas que «les choses ne valent que par leurs résultats» ?

    Cette réévaluation de tout le système de gestion, des ressources humaines, particulièrement, fait partie aussi de l’option du pays pour la modernité. Car, au départ, l’Islam était une modernité. Et il faudra tout faire pour que l’Islam redevienne une modernité. Et cela est possible si la promotion des ressources humaines est suffisante pour que les musulmans optent pour la modernité. Comme culture et dans leurs comportements. « 

    و الله يعلم و أنتم لا تعلمون

    #221525

    En réponse à : investir

    dahlia
    Membre

    ……voila donc uen piste de recherhce muza.ne compte pas sur le CRI pour te donner ces informations …C’est a toi d’aller chercher ,bouquines un petit peu ,essaye de suivre l’actualité ,regardes un peu ce qui se fait ailleurs ,compare ta region a une autre ,observe,vois ce qui marchce et ce qui ne marche pas …..et pour t’inspirer le plus,regardes un peu ce qui se fait dans l’arriere pays comment ces gens vivent ils et comment ..tu pourrais tres bien exploiter leur savoir faire local ,voire meme les impliquer a faire le meme travail mais la avec uen valeur ajoutée qui est la tienne et qui n’st autre que le financement et la gestion moderne de ce savoir faire local.c’est pas facile parceque la tu reunis entre des objectifs economiques et des objectifs sociaux culturels et il te faudra du bon bagage et du temps pour demarrer ton affaire si tu veux assurer sa perennité…si tu es femmes la tache serait encore plus delicate mais avec de l’audace et de la volonté tu y arriverai… 😉

    ➡ ➡ passons maintenant au probleme du CRI ,ce centre souffre au vrai sens du terme.un bel emplacement ,des vitres vertes ,couleur de l’espérance ,de la jeunesse et de la compréhension des autres…….. 🙄 mais des qualificatifs qui s’evaporent une fois que tu franchis le grand portail et que tu te trouves face a ces bureaux….a ces employés eux meme non satisfaits et non motivés dans leurs travail…….

    monsieur houlakou je profite de ce message pour te dire que je ne vois pas que de belles chose dans mon parcours de jeune fille aimant son pays ,sa region …je connais l’amer realité de nos administrations et des deux cotés ,en position de fonctionnaire de l’etat et celle d’un citoyen a la recherche de ses droits …et malheureusement que des chocs…

    mais malgré tout cela j’ai de l’espoir ,quand j’ai conseillé a muza d’aller voir le CRI parceque j’ai de l’espoir.je me suis dite que peut etre ce n’etait pas mon jour de chance lorsque je suis allée vers ce centre un jour, ou plutot  »mes jours de chances »…….et que ca pourrait me faire changer d’avis le fait de voir quelqu’un d’autre sortir satisfait de l’acceuil et de la richesse des informations receuillies…..mais helas ….

    maintenant muza essayes de voir le guichet mokawalati qui se trouve dans la chambre de commerce ,et le guichet creation d’entreprise qui se trouve dans l’ANAPEC…mais j’insite surtout sur le guichet anapec.c’est eux qui assurent une mission de conseil.

    #222771
    youyou111
    Membre

    une femme de oujda ou de n’importe ou c’est pas ça qui dérrange « lmouhim  » c’est son éducation :

    Comment choisir sa femme ou son mari en 13 points:

    A La lumière de l’expérience des dernières années, il est temps de prendre note et d’essayer d’arreter la marée de divorces parmi mes fréres et soeurs musulmans. Aujourd’hui c’est assez commun de trouver des musulmans et musulmanes qui, avant qu’ils aient atteint l’age de 30 ou 35 ans, ont été mariées trois a quatre fois, leurs enfants souffrant à plusieurs reprises par la traumatisme des orphelinats et des maison de jeunesse. Par conséquence, nous allons énumérer quelques points essentiels à considérer par mes frères et mes soeurs qui sont en cours de choisir une femme ou mari pour la vie (bien que le pronom masculin ait été utilisé partout pour la simplicité, ce qui suit est également applicable autant au hommes qu’aux femmes).

    1. Du’a. Demandez continuellement l’aide et les conseils d’Allah, afin de trouver et de choisir un compagnon. Aussi souvent que vous le sentez nécessaire, priez Salaat al-Istikhara, la prière spécialement faite pour les conseils, afin de prendre une décision appropriée.

    2. Consultez votre coeur. écoutez ce que votre voix intérieure, le « radar » qu’Allah vous a donné pour vous guider, vous indique au sujet du conjoint éventuel. Il est susceptible d’être plus correct que votre esprit, qui souvent joue des tours et peut rationaliser presque n’importe quelle chose. Pour beaucoup de gens, les premières impressions sont souvent les plus précises.

    3. Faites des enquêtes. Trouvez la raison pour laquelle cette personne veut vous épouser. Est-elle intéressée par vous en tant qu’individu ou juste n’importe quelle personne lui suffirait-t-elle ? Pourquoi ne fait-elle pas la chose logique, c.-à-d., épouser quelqu’un de sa propre culture ? Si évidemment la raison primaire de ce mariage, en dépit des réclamations à l’effet contraire, est pour la convenance (greencard, argent, propriété, etc.), oubliez-la. Ceci signifie les ennuis.

    4. Apprenez a connaître votre femme ou mari potentiel, dans les limites de ce qui vous est permis en Islam, avant de décider du mariage. Juste « voir » quelqu’un une ou deux fois en compagnie de gens avec impatience, pour que ce mariage ait lieu, n’est pas assez vis-à-vis des conditions d’aujourd’hui, où il arrive souvent que deux personnes de milieux totalement différents se reunissnent. Sans violer les regles de l’Islam en étant seul à seul, essayez de comprendre sa nature, ce qui le ou la motive, son temperament, comment ça pourrait etre de vivre avec cette personne.

    5. Parlez a plusieurs personnes (c’est essentiel que ca soit plusieurs personnes et pas seulement une) qui connaisent votre eventuelle femme ou mari. Si vous ne pouvez le faire, demandez a quelqu’un a qui vous faites confiance de le faire pour vous. Parlez a plusieurs de ses connaisances, et pas seulement ses amis car ils peuvent cacher certains faits pour lui faire une faveur.

    Et posez des questions non seulement sur sa personalité, sa carrière, son Islam, etc., mais aussi sur des sujets cruciaux tels que « Est ce qu’il se fâche facilement »; « Comment est ce qu’il est quand il est « fache »; est ce qu’il est patient, poli, prévenant; comment il s’entend avec les gens; comment il traite le sexe opposé; quelle relation a t’il avec sa mère et son père; s’il aime les enfants; c’est quoi ses habitudes personnelles, etc…

    Et découvrez ses projets d’avenir auprès de personnes qui le connaissent. Ses projets coïncident-ils avec ce qu’il vous a dit ?

    Entrez dans les détails autant que possible. Vérifiez ses plans pour le futur – où est ce que vous aller vivre et quelle sera votre style de vie, ses attitudes envers l’argent et ses possessions matérielles.

    Si vous ne pouvez pas obtenir des réponses à de telles questions cruciales auprès de personnes qui le connaissent, demandez-lui vous-même et essayez de vous assurer qu’il n’est pas en train d’enoncer simplement ce qu’il sait que vous voulez entendre.

    Trop de gens feront toutes sortes de promesses avant les mariages afin d’avoir le conjoint qu’elles veulent mais oublient après et ne les font jamais, (ceci s’applique naturellement également aux femmes quant aux hommes).

    6. Enquetez au sujet de sa famille, de ses relations avec ses parents, frères et soeurs. Quelle seront ses engagements envers eux à l’avenir ? Comment est-ce que ceci affectera votre couple, où et dans quelles conditions vous aller vivre ? Quel est le caractère et le temperament de chacun de ses parents ?

    Vivront-ils avec vous ou vous avec eux ? Sont-ils heureux de votre mariage éventuel ou pas ? Bien que ceci n’est pas essentiel dans la plupart des mariages occidentaux, chez les musulmans de telles questions sont souvent cruciales pour le succès ou l’echec d’un mariage, et les réponses à ces questions doivent être satisfaisantes pour assurer une vie maritale paisible.

    7. Comprenez les attentes de chacun. Essayez d’obtenir un idée de votre femme/mari éventuel par rapport au mariage, comment il se comporte dans diverses situations, et qu’est qu’il veut de vous en tant que son conjoint. Ce sont des questions qui devraient être discutées clairement et precisement durant la phase des négociations avant le marriage, et non apres car ca risque de devenir des sources de grandes chicanes après le mariage si elles n’ont jamais été parlées à l’avance. Si vous êtes trop timide pour poser certaines questions, ayez une personne a qui vous faites confiance le faire pour vous. ? une étape avançée des négociations, une telle discussion devrait inclure des sujets tels que le contrôle des naissances, quand des enfants doivent être prévus, comment ils doivent être eleves, ce qu’il pense d’aider avec les travaux domestiques et avec l’éducation des enfants, si vous pouvez aller à l’école ou au travail, des relations avec sa famille et le vôtre, et d’autres questions essentielles.
    8. Voyez-le agir avec d’autres personnes dans des situations diverses. Plus les conditions sont diverses sous lesquelles vous pouvez observer votre femme/mari éventuel, plus que vous saurez quant à sa maniere de traiter les personnes et ses réactions concernant diverses circonstances de la vie.
    9. Découvrez sa compréhension de l’Islam et si elle est bien compatible avec le votre. Ceci est une question très importante. S’attend-il à ce que vous fassiez beaucoup de choses que vous n’avez pas faites auparavant ? S’il souligne « Harams », particulièrement si vous êtes récemment converti(e) et qu’il ou elle semble incapable de tolérer votre point de vue, les chances sont que votre mariage sera plein d’ennuis à moins que vous soyez assez flexible pour accepter son point de vue et probablement un style de vie assez restrictif. Laissez-le ou la définir clairement comment il ou elle a l’intention de pratiquer l’Islam et comment il veut que vous le pratiquiez, comme ca il n y aura aucun malentendu plus tard.
    10. Ne soyez pas pressé. Tant de mariages se sont cassés parce que les futurs conjoints sont tellement impatients qu’ils ne prennent pas le temps de faire les recherches essentielles tels que celes tracées en grandes lignes ci-dessus.

    Ils se précipitent dans les choses. Bien que ca peut paraitre choquant, les mariages qui sont contractés entre les musulmans et puis se cassent dans une delai d’une semaine ou d’un mois ou meme une année sont devenues chose commune. Ne vous ajoutez pas à la liste des mariages ratés.

    11. Demandez-vous, est-ce que je veux cette femme/homme comme la mere/pere de mes enfants ? Si vous ne le sentez pas bien en vous, ou que vous doutez, réfléchissez encore. Rappelez-vous que le mariage n’est pas simplement pour aujourd’hui ou demain mais qu’il est pour la vie, et que le but primaire est de construire une famille. Si la personne en question ne semble pas ètre un futur bon parent, vous exposez vos futurs enfants à un manque certain quant à l’aide nécessaire de cette personne – ou bien même qu’il/elle agisse de façon négatives envers eux.
    12. Ne permettez jamais d’avoir de la pression pour le mariage. Votre coeur doit se sentir bien à son sujet, pas le coeur de quelqu’un d’autre. Encore, des allégations « islamiques » comme – il est pieux, il a une barbe, il fréquente le Masjid, il connait l’Islam; ou bien elle porte le Hijab, ne parle pas aux hommes, tout ces critères ne sont pas nécessairement des garanties d’un bon conjoint pour vous ou d’un bon mariage, mais sont seulement une partie de la situation dans son ensemble.
    Si un individu pratique la Sunnah seulement par rapport au culte, les chances sont que lui/elle n’a pas vraiment compris et n’est pas vraiment en train de vivre l’Islam. La possession de l’affection et de la Rahmah (pitié) que l’Islam encourage entre les conjoints est essentielle pour un rapport réussi, et ceux-ci sont les traits importants à rechercher dans un éventuel conjoint.

    13. Ne Jamais consentir à s’engager dans un union en échange d’une somme d’argent. De telles choses sont expressément interdits dans l’Islam et entrent dans le péché, car le mariage doit être inscrit clairement comme une chose permanente, toute la vie, mais pas pour un seul instant.

    Si ces directives sont suivies, inchaAllah les chances de faire une erreur qui pourrait troubler le reste de votre vie peut être réduit au minimum. Le choix d’un conjoint est une question des plus sérieuse, peut-être que c’est la décision la plus sérieuse que vous prendrez jamais dans votre vie puisque votre conjoint peut vous faire réussir ou échouer, dans les bons et mauvais moments de cette vie et, par conséquent, dans la vie d’apres. Cette décision doit être prise avec le plus grand soin et l’attention. Recherchez à plusieurs reprises les conseils d’Allah et ensuite de vos parents et ensuite de vos proches.

    Si tout est favorable, je vous souhaite le bonheur ensemble ici sur la terre et dans la vie d’apres. Sinon, mieux vaut abandonner cette possibilité et attendre. Allah votre Seigneur sait tout a votre sujet, vous etes son serviteur, et Il a deja ecrit votre destin et votre futur compagnon pour vous. Soyez sûr qu’il vous réunira quand le temps sera juste et correct pour cette union. Comme le Qu’ran nous l’encourage, vous devez être patient jusqu’à ce qu’Allah vous ouvre la voie et vous de votre coté vous devez activement explorer les diverses possibilités de mariage.

    Deux mots adressé aux frères. Si vous mariez ou avez marié une récente convertie à l’Islam, vous devez être très patient et la supporter. Rappelez-vous, l’Islam est nouveau pour elle, et il y a des chances qu’elle ne pourra pas prendre la totalité de la Shari’ah immédiatement – et n’oubliez pas que l’Islam n’exige pas ceci, si vous regardez l’histoire de l’Islam au debut, tout a été dit tres graduellement.

    Votre épouse doit faire les efforts de se conformer elle-même à sa nouvelles foi et culture, elle a besoin de temps et beaucoup de support, de l’amour, d’aide et de compréhension de vous. Il est meilleur de l’a laisser faire les changements à sa propre vitesse, quand son être intérieur est prêt, plutôt que d’exiger qu’elle fasse ceci ou cela, même si cela signifie qu’un certain temps s’écoulera avant qu’elle soit prête à suivre certaines injonctions islamiques.

    Si les changements viennent d’elle-même, ils sont susceptibles d’être sincères et permanents; autrement, si elle fait des changements en raison de votre pression ou d’autres, elle peut toujours être peu satisfaite de la situation et peut rechercher à s’en éloigner. Vous pouvez l’aider en étant conforme dans votre propre comportement. Tant de musulmans appliquent certaines parties du Qur’an ou de la Sunnah qui leur conviennent et abandonnent le reste, avec comme résultat une confusion dans les esprits de leurs épouses et de leurs enfants.

    Ainsi, tout en maintenant fermement les rênes dans vos mains, vous devriez regarder vos propres défauts, pas les siens, et ètre fier et heureux des efforts qu’elle est en train de faire. Soyez patients et flexibles, soyez prévenant, et montrez votre appréciation de la tâche difficile qu’elle est en train d’effectuer. Cette approche provoquera l’amour, le respect envers vous, ainsi que votre culture, et le vrai Islam bien mieux qu’une approche dure ou dominante.

    En conclusion, un mot d’avertissement. Certaines situations se sont produites dans lesquelles certaines femmes devenues musulmanes (ou après avoir fait peut-être réellement Shahaadah), ont trompées et dupées bons nombres d’hommes musulmans. De telles femmes peuvent être extrêmement adroites et opérent comme étant de « pauvres femmes seules » nécessitant l’aide d’un mari. Les frères qui tombent dans ce filet peuvent recevoir d’elles des fausses photos, de fausses informations ou des fausses promesses. Elles peuvent tricher par tous les moyens, et finalement voler tout ce qu’une femme peut voler. Comme mentioné précedement, il est toujours sage de vérifier l’entourage éventuel et les musulmans locaux qui la connaissent.

    Gardez vos yeux ouverts et prenez votre temps. Puisque le mariage est pour la vie, pour l’éternité, se dépêcher pour n’importe quelle raison est l’acte d’une personne idiote ou négligente qui pourra uniquement se blâmer lui-même ou elle même, si les choses tournent mal.

    saidi
    Membre

    @abdennour bouaicha wrote:

    j aime les wa3das mes voila plus de renseignements sur sid m hamed el ouassini…

    Waada de Sidi M’hamed El Ouassini: du rythme et de la couleur

    Le grand rassemblement de la Waada de Sidi M’hamed El Ouassini qui s’est atténué quelque peu durant la période macabre, a repris de plus belle notamment en ces dernières années où l’endroit est devenu le théâtre d’une manifestation grandiose et où les adeptes sont de plus en plus nombreux. En dépit de la décennie noire, la détermination des Ouassinis pour sauvegarder leur patrimoine historique et culturel a vaincu finalement et la célébration de la «Waada» ne s’est jamais interrompue en ce lieu.

    C’est autour du mausolée, témoin historique incontestable de plusieurs périodes, où était enterré ce saint, un descendant d’El Hassène Benou Ali époux de Lalla Fatima Zohra, il y a plus de 7 siècles et demi, que la «Waada» est célébrée cette saison entre le 2 et le 4 septembre. Ils seront, selon les estimations des organisateurs plus de 500.000 visiteurs qui viendront se ressourcer en cette fête «maraboutique» qui cloue toute une région à son authenticité et éternise le saint « Sidi M’hammed El Ouassini», le père de la tribu dispersée sur la périphérie immédiate de la ville de Maghnia et qui se compose de 25 douars.

    C’est un grand festival folklorique plein de rythme et de couleur qui caractérise cette manifestation traditionnelle. Les participants humeront l’odeur de la poussière relevée par les montures somptueusement harnachées des quelque 200 cavaliers lesquels par groupes de 6 à 10 lanceront à tour de rôle leurs chevaux au grand galop et déchargeront leurs fusils à capsules dont les canons sont ornés d’anneaux argentés et les crosses incrustées de nacre, en fin de piste dans une ambiance particulière. Ils viendront de Tanira, Bedeau, Msirda, Achache, Ouled Nhar… ces groupes de cavaliers dont les motifs et couleurs des tenues caractérisent chaque région, pour représenter leurs tribus en cette fantasia, principal agrément de la fête. C’est en somme un joli plateau qui rappelle la grande épopée d’El Emir Abdelkader et lequel représente la grande attraction des visiteurs. Ahmed , un étudiant à Tours, ne tarit guère de louanges à l’égard de la «waada»: notre identité et notre personnalité sont reflétées par le respect de nos valeurs et traditions ancestrales.

    J’assiste chaque année en ce repère historique. Celle-ci jouit du privilège d’avoir rallié une large population parmi laquelle les jeunes, vecteur pour la protection du patrimoine et à la renaissance de cet héritage à l’image de ces jeunes organisateurs ou encore ces jeunes cavaliers ou musiciens».

    Comme d’habitude, la fête atteindra son paroxysme le mercredi après-midi et le jeudi matin où les milliers de visiteurs viendront de partout pour vivre cette fusion des esprits et des coeurs et pour danser au rythme des chants et percussions des différents groupes folkloriques, notre héritage séculaire, notamment genre Allaoui avec toutes ses variétés. C’est une sorte de thérapie qui permet aux danseurs de défouler à leur manière, leur peine et chagrins. D’autres plus émotifs ont l’air d’atteindre le nirvana à la fin de leur «arachia et sbaissia». Tout ce beau monde qui viendra chercher la paix des coeurs et l’harmonie baignera dans une atmosphère de fraternité et de respect.

    Cheikh GUETBI

    Monsieur ABDENNOUR BOUAICHA Bonjour,

    Chèr ami et frère,

    C’est pour moi, un grand plaisir de vous écrire ce post de la part de quelqu’un qui est originaire d’Oujda à savoir d’une ville qui sépare la chère MAGHNIA d’à peine une vingtaine de kilomètres.

    J’ai, chèr ami, lu votre post qui m’a beaucoup ému. Il m’a ému non seulement parcequ’il décrit ce qu’on y vit durant ce moussem mais aussi parceque il se trouve à une vingtaine de kilomètres de la ville où j’habite.

    J’ajouterai si vous le permettez, que ce que vous nous décrivez comme ambiance, laisse difficillement les gens indifférents, surtout quand on sait qu’en sautant dans une voiture ou un taxi ou un autobus, après 20 minutes, tous les oujdis et sa région viendront se joindre à vous pour vivre ces moments extraordinaires que vous décrivez et que je comprends et immagine. Cher ami , frère et voisin, pourquoi ce brassage de quelques jours pour vivre une ambiance qui, apparemment a l’air d’être commune n’a pas lieu? Maghnia et sa région, Oujda et sa région peuvent y passer des jours dignes de ce qu’on peut appeller la fraternité, la convivialité, le bon voisinage. Quand? chèr frère on pourra s’inviter pour partager notre joire de f^ter nos mariages, nos circoncisions, nos baptêmes, nos aids, etc.. à quand? cher frère, à quand? En attendant, amusez vous entre vous, on s’amusera entre nous tout en ssachant qu’on pourrait s’amuser beaucoup mieux et plus si on était réunis ensemble ne fut ce que pour une soirée, mes salutations les plus cordiales, saidi

    j aime les wa3das mes voila plus de renseignements sur sid m hamed el ouassini…

    Waada de Sidi M’hamed El Ouassini: du rythme et de la couleur

    Le grand rassemblement de la Waada de Sidi M’hamed El Ouassini qui s’est atténué quelque peu durant la période macabre, a repris de plus belle notamment en ces dernières années où l’endroit est devenu le théâtre d’une manifestation grandiose et où les adeptes sont de plus en plus nombreux. En dépit de la décennie noire, la détermination des Ouassinis pour sauvegarder leur patrimoine historique et culturel a vaincu finalement et la célébration de la «Waada» ne s’est jamais interrompue en ce lieu.

    C’est autour du mausolée, témoin historique incontestable de plusieurs périodes, où était enterré ce saint, un descendant d’El Hassène Benou Ali époux de Lalla Fatima Zohra, il y a plus de 7 siècles et demi, que la «Waada» est célébrée cette saison entre le 2 et le 4 septembre. Ils seront, selon les estimations des organisateurs plus de 500.000 visiteurs qui viendront se ressourcer en cette fête «maraboutique» qui cloue toute une région à son authenticité et éternise le saint « Sidi M’hammed El Ouassini», le père de la tribu dispersée sur la périphérie immédiate de la ville de Maghnia et qui se compose de 25 douars.

    C’est un grand festival folklorique plein de rythme et de couleur qui caractérise cette manifestation traditionnelle. Les participants humeront l’odeur de la poussière relevée par les montures somptueusement harnachées des quelque 200 cavaliers lesquels par groupes de 6 à 10 lanceront à tour de rôle leurs chevaux au grand galop et déchargeront leurs fusils à capsules dont les canons sont ornés d’anneaux argentés et les crosses incrustées de nacre, en fin de piste dans une ambiance particulière. Ils viendront de Tanira, Bedeau, Msirda, Achache, Ouled Nhar… ces groupes de cavaliers dont les motifs et couleurs des tenues caractérisent chaque région, pour représenter leurs tribus en cette fantasia, principal agrément de la fête. C’est en somme un joli plateau qui rappelle la grande épopée d’El Emir Abdelkader et lequel représente la grande attraction des visiteurs. Ahmed , un étudiant à Tours, ne tarit guère de louanges à l’égard de la «waada»: notre identité et notre personnalité sont reflétées par le respect de nos valeurs et traditions ancestrales.

    J’assiste chaque année en ce repère historique. Celle-ci jouit du privilège d’avoir rallié une large population parmi laquelle les jeunes, vecteur pour la protection du patrimoine et à la renaissance de cet héritage à l’image de ces jeunes organisateurs ou encore ces jeunes cavaliers ou musiciens».

    Comme d’habitude, la fête atteindra son paroxysme le mercredi après-midi et le jeudi matin où les milliers de visiteurs viendront de partout pour vivre cette fusion des esprits et des coeurs et pour danser au rythme des chants et percussions des différents groupes folkloriques, notre héritage séculaire, notamment genre Allaoui avec toutes ses variétés. C’est une sorte de thérapie qui permet aux danseurs de défouler à leur manière, leur peine et chagrins. D’autres plus émotifs ont l’air d’atteindre le nirvana à la fin de leur «arachia et sbaissia». Tout ce beau monde qui viendra chercher la paix des coeurs et l’harmonie baignera dans une atmosphère de fraternité et de respect.

    Cheikh GUETBI

    #202158

    Sujet:  »le BURKINI  »

    dans le forum Café OujdaCity
    dahlia
    Membre

    Entre burqa et bikini, une musulmane australienne invente le « burkini » ..

    Afin de permettre à ses coreligionnaires de pouvoir elles aussi s’adonner aux joies de la plage, tout en respectant leurs convictions, une musulmane australienne a inventé le « burkini », croisement entre le bikini sexy et la stricte burqa.

    « Je la regardais jouer: elle portait un voile, une chemise longue et des pantalons. Et, par dessus tout, elle avait enfilé le maillot et la jupe de son équipe. Je me suis dit: +Mon Dieu, on doit pouvoir faire quelquechose+ » : c’est en regardant sa nièce jouer au netball (sorte de basketball) qu’Aheda Zanetti a décidé de concevoir elle-même une tenue qui serait à la fois pratique et « religieusement correcte ».

    « Un si grand nombre de filles et de femmes ne pouvaient pas pratiquer de nombreux sports, dont la natation… Il n’y avait rien de vraiment pratique pour elles… Le tissu, la conception… ça n’allait pas », explique la Libanaise d’origine.

    A 39 ans, elle a ainsi décidé de laisser tomber une carrière de coiffeuse pour laquelle elle venait d’être formée, et de se lancer dans le stylisme.

    La mère de quatre enfants, qui n’a jamais porté la burqa, a d’abord conçu un haut qui reliait un voile à une chemise, avant de se lancer dans des tenues de sport plus complètes et de jeter son dévolu sur les maillots de bain.

    Dans un pays où la plage est une véritable « culture », que ce soit pour le surf ou la simple baignade, il y avait « un vide qu’il fallait combler », se souvient Mme Zanetti.

    La styliste crée alors le « burkini »: un costume de bain en polyester, d’une rigoureuse couleur noire, qui enveloppe l’ensemble du corps, des cheveux jusqu’aux chevilles.

    Depuis, sa société « Ahiida », installée dans une banlieue de Sydney, reçoit aujourd’hui des centaines de commandes, venues de toute l’Australie mais également de l’étranger.

    Coïncidant avec le centenaire des Surfeurs sauveteurs en mer d’Australie, Mme Zanetti a également sorti un burkini rouge et jaune, aux couleurs des sauveteurs.

    Pour la jeune Mecca Laalaa, 20 ans, cela a été le déclencheur qui l’a convaincue de rejoindre le programme d’entraînement des maîtres-nageurs. « Ce que je portais pour nager m’empêcher de m’impliquer dans des activités nautiques… Pour moi, le burkini signifie que plus rien ne peut m’arrêter », témoigne-t-elle.

    Le nouveau « maillot » a reçu la bénédiction du mufti d’Australie, le cheikh Taj Aldin al-Hilali. Les musulmans sont 300.000 dans le pays, sur une vingtaine de millions d’habitants.

    Mais, pour « libérateur » qu’il apparaisse aux musulmanes, le burkini n’en a pas moins suscité la controverse dans une Australie où il y a un peu plus d’un an, en décembre 2005, des émeutes avaient éclaté sur la plage de Cronulla, à Sydney, entre des jeunes originaires du Moyen-Orient et des Australiens de souche européenne venus « reprendre possession » du rivage.

    Mme Zanetti indique ainsi avoir reçu des courriels racistes mais elle fait également l’objet d’une menace de mort venant d’un musulman qui qualifie son costume de « honte ».

    Il en faut cependant plus pour décourager la styliste: « Je n’y prête pas réellement attention ».

    SYDNEY (AFP) ➡

    qu’en pensez vous ??

    #220717
    hatim70
    Membre

    le Wahhabisme:

    Le wahhabisme est une forme rigoriste de l’islam sunnite qui se fonde sur l’enseignement de Mohamed ibn Abd al-Wahhab (1703 – 1792) ; il s’agit d’un courant dérivé du hanbalisme. Il se différencie de la structure hanbalite originelle dans le domaine de la croyance islamique. Il est considéré dans le monde contemporain, comme étant la principale forme de fondamentalisme musulman.

    Le texte fondateur de cette forme de l’islam est le Kitab at-tawhid (en arabe, le Livre du monothéisme). Le mot wahhabisme (wahhabiyyah en arabe) a été forgé par les détracteurs d’Ibn Abd-Al Wahhab, reprenant le nom d’une ancienne secte kharidjite. Ses adeptes ont toujours refusé cette appellation et se disent salafis.

    Le wahhabisme, spécialement dans sa version du salafisme, affirme purifier l’islam de ce que ses membres considèrent comme des innovations, appelées bida’, des déviances, des hérésies ou des idolâtries. D’après ses points de vues, en suivant sa théologie et sa pratique, un musulman doit retourner à la forme originelle de la foi islamique qu’Allah avait révélée et destinée à être suivie par l’humanité entière. Ils se considèrent donc comme une orthodoxie et par là même, destinés à éradiquer toute autre forme d’islam.

    Le wahhabisme interdit notamment le culte des saints, l’édification de monuments funéraires fastueux ou de mosquées luxueuses. Certains de ses adeptes luttent contre l’usage des pierres tombales qu’ils considèrent comme idolâtre, ainsi que l’érection de minaret (voir mosquée), car ils étaient inconnus du temps du Prophète Muhammad (ASS). Fumer est aussi interdit car il s’agit d’une offense religieuse. Dans sa version salafiste, il est interdit aussi d’écouter ou de faire de la musique.

    Cette doctrine n’eut aucun succès avant son alliance avec Mohammed ibn Saoud — patriarche des Séoud, alors seigneurs de Najd avant de devenir la famille régnante ayant par la suite donné son nom au pays. Le wahhabisme est depuis la forme officielle de l’islam en Arabie saoudite. Aujourd’hui, le terme wahhabisme est fréquemment utilisé dans les médias pour désigner l’idéologie sous-tendant la politique aussi bien intérieure qu’extérieure de l’Arabie saoudite. Certains musulmans affirment cependant que cette idéologie n’est pas fidèle à l’enseignement originel de Mohamed ibn Abd al-Wahhab.

    Pour les wahhabites, les Chiites ne sont pas de vrais musulmans (cette opinion est partagée par d’autres sunnites) et ils sont particulièrement hostiles au Soufisme ainsi qu’à toute autre forme de religion.

    Le wahhabisme réfute toute source de législation autre que le Coran, comme le rappelle cette formule du FIS (Algérie) en 1992 : « Le Coran est notre constitution ». Cela explique que ni l’Arabie saoudite ni le défunt régime taliban n’avaient de constitution. En fait, les formes extrêmes du wahhabisme ne reconnaissent pas l’État-nation comme une notion valide et lui préfère l’Oumma (communauté de croyant).

    Il faut noter que la majorité des Savants Sunnites déclare le Wahhabisme comme un mouvement sectaire et lui aussi égaré. Ils se basent sur le fait que la croyance Wahhabite est en contradiction totale avec l’asharisme et le maturidisme. Mais cette tendance tend à disparaître, suite à l’afflux de nouvelles personnes en Islam non renseignés sur le sujet, qui souvent, choisissent de suivre ce mouvement, facilement accessible dans ses enseignements sur différents supports médias, tant sur la jurisprudence que la croyance.

    Le wahhabisme est, selon les occidentaux, la forme officielle de l’Islam en Arabie saoudite, cependant les autorités saoudiennes se réclament du salafisme et considèrent le terme « wahhabite » comme une insulte, car il laisserait entendre que Mohamed ibn Abd al-Wahhab aurait créé une secte.

    L’essor du wahhabisme :

    Le wahhabisme vient d’une volonté de revenir aux textes sacrés, de limiter toute interprétation humaine dans leur lecture. Ibn Abd al-Wahhab élabore une philosophie d’un islam réformateur et puritain, il dénonce les coutumes locales et les superstitions qui ont appauvri la religion. Il faut revenir à l’âge d’or et donc à une interprétation du Coran basée sur celle des premières générations de l’Islam. Il condamne la musique et la danse qui détournent de l’amour de Dieu. L’homme doit être contrôlé socialement pour être dans le droit chemin : celui de la soumission à Dieu. Il saccage des tombeaux, des objets de dévotion particuliers, il brise des idoles car Dieu est unique, il veille à la régularité des prières. Le radicalisme de la doctrine et de l’action inquiètent les populations locales. Ibn Abd al-Wahhab quitte alors le Sud de l’Arabie, et trouve refuge dans un village de Mohammed al Saoud, favorable à ses idées. Ils concluent un pacte instituant un État islamique selon le rite wahhabique, qui consiste en un prosélytisme religieux et en l’expansion territoriale par la conquête et des conversions forcées. En 1803 le premier État saoudien est fondé.

    Inde :

    L’Inde traversa, au cours du XIXe siècle, un épisode wahhabite. En effet, le wahabitisme y fut introduit par Seijid Ahmed et connut un grand succès dans la région de Sitana au nord de Peshawâr. Elle s’opposa aux Britanniques en particulier et à la culture européenne en général. De son fief, elle se répandit dans tout le nord de l’Inde et prospéra à Patna dans le Bihâr où ses membres se révoltèrent. Les troupes britanniques leur firent la chasse et les wahhabites se réfugièrent dans la forteresse de Malka où ils furent finalement écrasés.

    Égypte :

    Les Frères Musulmans, une organisation égyptienne, reçurent ainsi, dans les années 1950, une aide financière provenant des Saoud et destinée à faire le contrepoids au nationalisme arabe laïc du leader égyptien Abdul Nasser. Dans les années 1950 et 1960, de nombreux militants de la confrérie se sont réfugiés en Arabie Saoudite, pour échapper à la répression Nassérienne. Une certaine concurrence existe entre ces deux courants et les Frères Musulmans ont influencé les wahabbites en ce qui concerne les préoccupations en matière socio-éducatives.

    Un grand nombre de mosquées autour du monde ont été financées par des fonds saoudiens ou provenant d’autres nations pétrolières du Moyen-Orient. De la même façon, de nombreux imams ont été formés en Arabie Saoudite.

    Afghanistan :

    Les talibans, qui ont pris le pouvoir dans le pays en 1996 étaient des musulmans fondamentalistes-soufis déobandis qui croyaient à la doctrine et aux traditions de l’école déoband. Le régime qu’ils ont mis en place étant largement critiqué voire rejeté par le reste du monde, ils rencontrent des problèmes de financement qui les amènent à former une sorte de coalition stratégique avec Al-Qaida. En ce qui concerne les aspects extérieurs et la transparence (hijab, barbe, culture occidentale, etc.), les talibans ne présentent pas de différence notable avec les autres courants wahhabites.

    Europe :

    L’essor du wahhabisme a aussi atteint les Balkans et le Caucase, où les groupes wahhabites tentent de récupérer des groupes de musulmans qui étaient sous la menace ou la domination de groupes non musulmans. L’exemple le plus manifeste de l’influence wahhabite peut s’observer en Tchétchénie où les exactions russes l’ont considérablement servi.

    De nombreuses tentatives ont été montées pour répandre le wahhabisme parmi les musulmans de Bosnie-Herzégovine, de Serbie-et-Monténégro et en République de Macédoine, par le biais du financement de la reconstruction des mosquées, des organisations non gouvernementales et de la construction d’hôpitaux. Malgré la pression (les missionnaires insistent sur la reconnaissance) la majorité d’entre eux protestent et restent fidèles à leur foi traditionnelle.

    Wahhabisme et frères musulmans :

    Beaucoup d’organisations militantes islamistes sont influencées par le wahhabisme, totalement ou partiellement. On notera que les islamistes chiites, comme ceux d’Iran ou du mouvement libanais Hezbollah sont des chiites n’ayant rien à voir avec le Wahhabisme

    #211811
    saidi
    Membre

    @oujdi01 wrote:

    oui pour ce point il ne faut pas s’inquiètè car ne croyais pas que fadeza laissera s3iya comme sa ,tt simplement car elle n’a pas interet que les touristes qui viendron a s3iya voient ce bordel.

    Bonjour monsieur OUJDI 01

    Eh bien, c’est plutôt bien, ce que vous nous dites là, les touristes prévus par fadesa , (qui ne se pointeront pas après demain croyez moi) ne veulent voir ce bordel que vous citez! et alors, c’est quoi, On défend à tout le monde de toucher à notre chèr patrimoine, le laisser pourrir de plus en plus. Le réserver en hiver à quelques bagnoles type BCBG avec un bonhomme d’un âge mûr qui a a ses côtés une jeune nana de l’âge de sa petite fille se promener dans les rues desertes de saidia, de se contenter de glisser quelques dizaines de dirhams à un gardien pommé , lui filer les clefs d’une villa quelque soit son style mais dont le propriétaire est d’un comportement social, religieux exemplaire , étant absent, voir sont lit occuppé par ceux qui je suppose avez compris à qui je fais allusion, je ne sais comment vous appellez celà, je prefère ne pas me prononcer! Ca, c’est une réalité quotidienne en hiver comme au printemps à saidia. L’été se métamorphose, tout change pendant deux mois. C’est cette saidia que vous voulez conserver sans vous parler des bars où l’on trouve beaucoup plus de prostituées et de tout horizon (arretez de parler des bnet el gharb, vous ne voulez pas vous regarder dans le miroir, pas mal d’entre vous espèrent en y entrant ne pas y rencontrer quelqu’un de sa propre famille. (désolé d’être choquant mais ceci s’adresse a quelques grandes gueulles qui ne connaissent rien de la région). PARLEZ DE SAIDIA ET LA REGION! SVP PARLEZ EN EN PROPOSANT DES SOLUTIONS PAS POUR FADESA POUR CE QUE VIT SAIDIA AUJOURDh’UI ET DEPUIS PAS MAL DE TEMPS. PARLER DE FADESA VOUS NE FAITES QU4une chose, VOUS VOULEZ VOUS VOILER LA FACE PCQ VOUS N’ avez pas le courage de dire ce que vous pensez reellement de votre region.

    En été, je m’adresse aux anti FADESA, pouvez vous me dire ce qui vous empeche de prendre votre famille aller trouver un coin de plage vide sur plusieurs centaines de metres qui separent chaque famille y passer la journee dans une tenue que personne ne viendra vous dire si elle est d’ORIGINE FASSIS? berbere, AFGHAN? pakistanaise >ou SAOUDIENNE. jE DIS BIEN PERSONNE NE VIENDRA VOUS IMPORTUNER? VOUS Y PASSEREZ TOUTE VOTRE JOURN2EE AU CALME LOIN DE TOUTE PERSONNE HUMAINE QUI POURRAIT VENIR VOUS DERRANGER. lE PROBLEME mONSIEUR? JE DIT BIEN MONSIEUR ET pas Madame ou les les enfants (surtout lorsque vous avez des filles qui tournent autour de 14 ans), le problème voyez vous monsieur, c’est que vous n’êtes plus mâitre de la situation, on vous regardera de travers, on vous dira quel est cet endroit paysan, barbare, où vous avez voulu les emmener pour être à l’abris de tout regard, vous finirez, cher monsieur par ou bien, vous enerver, précipiter la date de votre retour à l’étranger pcq vous preferez la vie des cités europeennes car celà passe inaperçu et celà vous arrange pacq vous fermez les yeux et vous faites semblant de rien tout en vous proclamant d’être un musulman de référence, ou bien, vous quittez la plage vous allez fourrer ces enfants et y compris votre femme qui ne demande qu’a rester à la place pcq ses voisines au retour en europe lui auront vanté d’avoir été à saidia!, vous finissez par aller les fourrer dans un derb parmis tant qu’on connait à oujda, nador midar, ben tayeb, tafersit etc.., tout le monde s’entasse, les uns parlent le berbère, les autres parlent berbère et arabe a l’extreme limite, d’autres n’ont pas le cois que le berbere et le neerlandais ou l’allemand viendra bientot l’espagnol et l’italien, c’est une veritable salade, certains appellent celà la richesse des cultures.. Je me laisse aller; je pense que vous avez compris ce que je veux transmettre comme message, merci pour l’effort et svp oubliez FADESA pour l’instant car pas mal de gens l’utilise comme bouclier oh! combien éphémère pour se faire pardonner tout ce que je viens de barboter, salut saidi

    #220673
    tachafine
    Membre

    je dit a monsieu morad si saddam a ete execute dans son pays libre de colonialisme americain et si il a ete execute dans un autre jours autre que  »laid al adha » personne n’aurais dit quelque chose , cela n’est pas par hazard cher amis , les etats unis a voulu ca les israeliens ont voulu ca et meme les chiites de  »moktada sadr » ont voulu ca d’apres leurs declarations le 28.12.2006 d’apres leurs porte parole , eh oui ils ont voulu que laid soit double fete , laid aladha et l’execution de saddam , c leurs declarations .

    eh oui ils ont voulu l’humilie mais dieu a voulu autre chose …dieu a voulu faire savoir la vrais verite sur les chiites et sur saddam …et bien sur un seule homme gagne c’est saddam …meme apres sa mort

    les chiites n’ont pas pu cacher leurs meprits et leurs haines envers saddam comme les iraniens les americains et les israeliens et meme il l’ont prouve dans le video de l’execution , quelle honte ….. c’est inhumain

    vous dite que saddam a eu ce qu’il eu ce qu’il merite ,alors vous croyer que saddam est en enfer , en tous cas moi je ne dirais pas ca parceque c’est dieu qui decide c pas vous ou moi ..

    j’ai entendu youssef el quardaoui dans ca derniere preche du vendredi , il a bien parler de saddam et il a dit que saddam etait un hero de la nation musulmane …

    saddam n’avait peur de personne sauf dieu il n’avait pas peur de la pendaison ,c lui qui les conduisait avec un tres grand courage , il n’a pas cacher son visage c eu qui ont cache leurs visage , ils ont voulu l’humilier , c’est lui qui les as humilie  »hiya hih al marjala » , ils ont voulu le faire taire et lui as dit  »achhadou an lialah ila ila llah mohamed rasoulou allah  »et vous dite quil n’est pas mort dans le champ de bataille c’est plus que la bataille cher amis , il allait vers la mort sans demander .. pitie pitie… alors quil ont essayer mainte fois de le faire evader a condition qu’il demande pardon (avant et apres la guerre ) mais il a refuse …qu’est ce que vous voulez de plus …

    si saddam afait du mal a ces citoyens il a fait du bien aussi , l’irak a ete dans la periode de saddam une des grand pays au niveau economique, sociale, culturelle ….ca personne ne peux le cacher ..

    ina lilah ouaina lilahi rajioun , saddam est mort en brave leader courageu et il restera dans nos coeurs ..ca personne ne peu l’empecher

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Actualité : NATION

    Les médias d’Alger perdent la raison
    Publié le : 03.01.2007 | 17h06

    Le Royaume, serein, avance dans la réalisation des grands projets dans les provinces du Sud

    La presse algérienne s’agite. Elle rapporte les propos diffamatoires d’un polisarien qui prétendait que des observateurs et des médias internationaux ont été empêchés par les autorités d’entrer au Sahara marocain. Ce mensonge a pour objectif d’assouvir par la propagande tendancieuse la chimère des séparatistes. Ces allégations n’existent que dans l’imaginaire des mercenaires du «Polisario» et de leurs maîtres, qui éprouvent une profonde rancune envers le Maroc et son intégrité territoriale.

    Le Maroc n’a jamais empêché quiconque voulait connaître la vérité et la réalité vécue au Sahara marocain. Les représentants des organes de presse accrédités au Maroc disent n’avoir rien constaté de ce qui pourrait corroborer ces allégations mensongères. Il faut noter dans ce cadre que toutes les provinces du Sud du Royaume connaissent aujourd’hui des activités qui visent à y dynamiser l’animation culturelle, éducative et artistique et à y poursuivre la réalisation de projets de développement.

    La situation dangereuse qui prévaut dans les camps de Tindouf en Algérie, où les milices du «Polisario», avec l’aide des services de sécurité algériens, répriment cruellement la population des camps, ne préoccupe guère la presse algérienne.

    Cette presse à la solde des galonnés d’Alger ne fait aucune allusion à ces familles séparées de leurs enfants envoyés dans des écoles d’endoctrinement, notamment à Cuba. A l’Algérie et à sa presse, les faits, sauf pour qui s’entête à les voir, disent que les déclarations infantiles des mercenaires du «Polisario», qui brandissent la menace de recourir aux armes, ne pourront ébranler la détermination du Maroc d’aller sur la voie de la paix.

    Pour le Maroc, le projet d’autonomie pour les provinces du Sud dans le cadre de la souveraineté marocaine est la seule solution pour mettre fin au conflit du Sahara. L’intérêt qu’il suscite dans les différentes capitales donne le tournis aux détracteurs du Royaume.

    #216657

    En réponse à : sahara marocain

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Actualité : NATION

    Les médias d’Alger perdent la raison
    Publié le : 03.01.2007 | 17h06

    Le Royaume, serein, avance dans la réalisation des grands projets dans les provinces du Sud

    La presse algérienne s’agite. Elle rapporte les propos diffamatoires d’un polisarien qui prétendait que des observateurs et des médias internationaux ont été empêchés par les autorités d’entrer au Sahara marocain. Ce mensonge a pour objectif d’assouvir par la propagande tendancieuse la chimère des séparatistes. Ces allégations n’existent que dans l’imaginaire des mercenaires du «Polisario» et de leurs maîtres, qui éprouvent une profonde rancune envers le Maroc et son intégrité territoriale.

    Le Maroc n’a jamais empêché quiconque voulait connaître la vérité et la réalité vécue au Sahara marocain. Les représentants des organes de presse accrédités au Maroc disent n’avoir rien constaté de ce qui pourrait corroborer ces allégations mensongères. Il faut noter dans ce cadre que toutes les provinces du Sud du Royaume connaissent aujourd’hui des activités qui visent à y dynamiser l’animation culturelle, éducative et artistique et à y poursuivre la réalisation de projets de développement.

    La situation dangereuse qui prévaut dans les camps de Tindouf en Algérie, où les milices du «Polisario», avec l’aide des services de sécurité algériens, répriment cruellement la population des camps, ne préoccupe guère la presse algérienne.

    Cette presse à la solde des galonnés d’Alger ne fait aucune allusion à ces familles séparées de leurs enfants envoyés dans des écoles d’endoctrinement, notamment à Cuba. A l’Algérie et à sa presse, les faits, sauf pour qui s’entête à les voir, disent que les déclarations infantiles des mercenaires du «Polisario», qui brandissent la menace de recourir aux armes, ne pourront ébranler la détermination du Maroc d’aller sur la voie de la paix.

    Pour le Maroc, le projet d’autonomie pour les provinces du Sud dans le cadre de la souveraineté marocaine est la seule solution pour mettre fin au conflit du Sahara. L’intérêt qu’il suscite dans les différentes capitales donne le tournis aux détracteurs du Royaume.

    #220563
    Zaki
    Membre

    @Alain wrote:

    La théorie du GRAND COMPLOT 😀 😀 😀

    Faut avoir une sacrée dose de prétention pour penser que l’occident se mobilise pour si peu. Comme si l’occident n’avait que ça à faire …..

    Et s’il y a bien des idées à combattre, ce ne sont pas celles de l’islam, mais bien celles des islamistes que je ne confonds pas avec les musulmans.

    Les intégristes islamistes parlent toujours au nom des musulmans, alors qu’ils sont ultra minoritaires, mais ils ont une grande gueule et ils parlent fort.
    Comme par ailleurs ils n’hésitent pas à exercer un chantage à la violence, les modérés les laissent parler, mais en réalité, ils continuent à vivre comme si ils n’existaient pas….. et tentent s’ils le peuvent de s’exiler dans cet enfer que l’on nomme l’occident.

    L’Occident est tellement répulsif que les demandes d’immigrations croissent tous les jours, ce dont je me félicite car la mixité culturelle est l’avenir des sociétés.

    A entendre nos apprentis prédicateurs, ces millions d’immigrés sont certainement des imbéciles pour vouloir vivre cet enfer

    Bonjour Alain
    Va voir sur le site de l’ONU et tu verras que Didil n’est pas si loin de la vérité. Les nations politiques en ont marre du comportement abberrant et belliqueux des religions notemment de la chrétienté qui est responsable de la plupart des maux de l’humanité depuis 2000 ans !!!! Ils sont à deux doigts de la corriger comme elle le mérite…. La bible représente le fausses religions sous les traits d’une prostituée qui sera détruite par ses amants politiques…et tant mieux la véritable religion restera debout devant la stupéfaction mondiale..
    Zaki

    Didil44
    Membre

    Didi,
    Quelle mouche te piques là ?
    Qui a dit que s’attacher à son identité nationale est la marque de l’intégrisme et de l’obscurantisme ?
    C’est quoi ce délire d’interprétation de paroles qui n’ont jamais existées ?
    Depuis des semaines je m’attache à dire le contraire, mais rien n’y fait, quand ON VEUT avoir une opinion sur quelqu’un, on transforme tout, on manipule les concepts à sa convenance.
    Sur ce sujet, je ne suis pas le seul à considérer que Saddam était un dictateur qui ne mérite pas de respect, et pourtant il n’y a qu’au français que l’on envoie des insultes alors qu’il y a un TRES grand nombre de musulmans qui pensent la même chose.
    Y a t il une explication à cette forme de racisme ?


    QUELLE MOUCHE ME PIQUE LA ?
    La même que celle qui t’a piqué car je ne cesse de voir en toi que les contradictions que tu vois en moi.
    QUI A DIT QUE S’ATTACHER A SON IDENTITE NATIONALE EST LA MARQUE DE L’INTEGRISME ET DE L’OBSCURANTISME ?
    C’est bien toi mon ami. Et c’est extrêmement grave si tu ne t’en as pas rendu compte jusqu’à présent. Tu ne cesses de traiter ceux qui ne partagent pas ton avis d’intégriste et de fasciste. Cette artillerie lourde, tu ne peux nier l’avoir dirigée contre moi.
    Beaucoup plus qu’une simple religion dont les limites sont réduites à de simples rituels qui relèvent le plus souvent de la rengaine, l’Islam prend pour nous des aspects différents, culturels et identitaires notamment. Oser l’attaquer directement ou se contenter de lancer des vannes comme tu sais si bien faire, revient à attaquer vulgairement de la manière la plus ostentatoire qui soit tout musulman qui se respecte. Et c’est ce que je te reproche le plus : cette irrévérence envers l’Islam et les musulmans.
    C’EST QUOI CE DELIRE D’INTERPRETATION DE PAROLES QUI N’ONT JAMAIS EXISTEES ?
    Voila une bonne question qui mérite que s’y penche sérieusement. Car, s’agissant du délie, nous sommes peu ou prou du delirium tremens.
    Ce genre de débat sourd d’intercale malheureusement dans le cadre du fossé qui sépare chaque jour un peu plus l’Orient de l’Occident.
    Nous voyons les choses si différemment que nous n’arrivons même pas à trouver un terrain d’entente. Et c’est vraiment bien dommage !!!
    Y A T IL UNE EXPLICATION A CETTE FORME DE RACISME ?
    Arrette tes conneries alain !!! Pour beaucoup d’entre-nous, nos amis et nos enfants sont français, alors que veux-tu nous soyons racistes avec nos amis et nos enfants ??!!
    Amicalement votre ?

    Je dénonce ceux qui se font passer pour des musulmans alors que ce ne sont des de TRES mauvaises copies falcifiées

    #220043

    En réponse à : Touche pas à mon pays

    Alain
    Membre

    Discours de S.M le Roi Mohammed VI
    suite aux attentats de Casablanca du 16 mai 2003
    (Casablanca, le 29 mai 2003)



    « Louange à Dieu
    Prière et Salut sur le Prophète, Sa Famille et Ses Compagnons

    Cher peuple,

    Je t’ai promis de toujours te parler en toute franchise, quelles que soient les circonstances. Et si Je ne Me suis pas adressé à toi immédiatement après les agressions terroristes perpétrées à Casablanca pour te dire que nous avons gagné la bataille contre le terrorisme en une nuit ou en peu de jours, c’est que Ma confiance en ta sagesse et en ta lucidité, et notre engagement réciproque d’assumer nos responsabilités respectives et d’affronter avec courage les situations difficiles, M’ont incliné à considérer que le temps était plutôt à l’action et à la détermination.

    Ainsi, as-tu pu suivre les instructions que J’ai immédiatement données et qui ont permis de maîtriser la situation et de redonner confiance aux citoyens. A cet égard, Je tiens à rendre hommage aux efforts des citoyens et des Autorités publiques qui continueront à veiller constamment sur ta stabilité et demeureront mobilisées à ton service et à ta disposition.

    Afin de tirer les leçons de ce qui s’est passé et de Nous mobiliser pour que plus jamais cela ne puisse se reproduire, J’ai estimé utile de M’adresser à toi, aujourd’hui, pour dire aux citoyens en général, et aux habitants de Casablanca en particulier, combien Je partage leur émotion, leur profonde indignation et leur rejet catégorique du terrorisme haineux et abject. Je tiens aussi à réitérer l’expression de Mes condoléances les plus attristées aux familles des victimes innocentes, tant marocaines qu’étrangères.

    Soucieux de concrétiser la solidarité de la Nation à l’égard des familles sinistrées, parmi Nos fidèles sujets, J’ai décidé de leur accorder des dotations financières exceptionnelles.

    Cette agression terroriste est contraire à notre foi tolérante et généreuse. Plus encore, ses commanditaires, comme ses exécutants, sont d’ignobles scélérats qui ne peuvent en aucune manière se réclamer du Maroc ou de l’Islam authentique, tant ils ignorent la tolérance qui caractérise cette religion. L’Islam, attaché au respect de la vie, interdit toute effusion de sang, estimant qu’ôter indûment la vie à une personne revient à attenter à la vie de l’humanité tout entière, et assimilant le Jihad à un effort assidu contre les mauvais penchants de l’individu, et pour répandre le bien, au lieu de semer les troubles et la mort.

    Nous sommes fier et heureux de voir comment le peuple marocain tout entier, s’est dressé comme un seul homme, dans un élan spontané, contre ceux qui ont trahi leur patrie et tué perfidement et de façon préméditée des personnes innocentes. Nous félicitons également du vaste mouvement de solidarité internationale que nous ont manifestée tous les pays frères et amis, dans cette épreuve. Mais, il ne faudrait pas, pour autant, oublier que ce qui s’est passé à Casablanca aurait pu se produire en tout autre lieu.

    Et si l’Etat, mesurant les dangers des menaces terroristes, a assumé ses responsabilités pour les combattre et s’efforcer de les prévenir, par la force de la loi, au moyen de textes soumis au Parlement des mois durant, il n’en reste pas moins que certains milieux faisant mauvais usage de la liberté d’opinion, se sont cantonnés dans une opposition systématique aux orientations des pouvoirs publics.

    Aux uns et aux autres, Je dis : l’exercice des droits et de la liberté exige corrélativement d’assumer les obligations et devoirs de la citoyenneté, tant il est vrai que l’édification et la consolidation de la démocratie ne sauraient être menées à bonne fin que sous l’égide d’un Etat fort par la suprématie de la loi.

    L’heure de vérité a sonné, annonçant la fin de l’ère du laxisme face à ceux qui exploitent la démocratie pour porter atteinte à l’autorité de l’Etat, et de ceux dont les idées qu’ils répandent représentent un terreau pour semer les épines de l’ostracisme, du fanatisme et de la discorde. Le temps est venu aussi pour faire face aux désinvoltes et à ceux qui s’évertuent à empêcher les autorités publiques et judiciaires de veiller, avec la fermeté que requiert la loi, pour protéger l’intégrité et la sécurité des personnes et des biens.

    Cher Peuple,

    J’ai suivi, avec émotion, la marche imposante de Casablanca, considérée comme la plus grande marche nationale pour la paix et la tolérance et pour le rejet de la violence et du fanatisme. Cette marche, sans précédent dans cette ville, réaffirmait qu’elle ne se laisserait pas intimider par les crimes d’une bande de voyous crapuleux. J’ai alors songé, comme toi, et avec fierté, quoique dans un contexte différent, à l’ambiance de la glorieuse Marche Verte, à la symbiose qu’elle incarnait entre le Trône et le peuple et aussi à l’état de veille, de vigilance et de mobilisation qui s’instaure chaque fois que sont visées les constantes de la nation, ses valeurs et institutions sacrées, que ce soit pour préserver l’intégrité territoriale du Royaume, ou pour concrétiser notre projet sociétal démocratique moderniste.

    Tu as exprimé, cher peuple, ta forte adhésion à la réalisation de notre projet, dans une parfaite cohésion entre les différentes franges de la société, et les diverses Régions du Royaume, et entre tes différentes composantes politiques, associatives, culturelles et religieuses.

    Par ta réaction vigoureuse contre le complot ourdi par les agresseurs, tu as également confirmé que tu n’en es que plus solide, plus tenace et plus déterminé à construire le Maroc de l’unité et de la démocratie, du progrès et de la solidarité et de la tolérance. Ce choix, l’unique qui soit, c’est celui de tous les Marocains. Ils se le sont approprié et l’ont fait leur, imprégnés qu’ils sont de ses idéaux et déterminés à lui donner un contenu concret et tangible.

    A Mon cher peuple, fermement attaché aux constantes de sa civilisation, à ses institutions et valeurs sacrées, ainsi qu’à ses acquis démocratiques, Je dis : le terrorisme ne passera pas. Le Maroc restera fidèle à ses engagements internationaux et poursuivra, sous Notre conduite, avec conviction, assurance et ténacité, la marche engagée pour concrétiser notre projet sociétal démocratique et moderniste. Il trouvera son Premier Serviteur en première ligne pour faire face à quiconque s’avise de le ramener en arrière. Il le trouvera à l’avant-garde de sa marche vers le progrès pour remporter notre véritable bataille, celle que nous menons contre le sous-développement, l’ignorance, le repli et l’ostracisme.

    Ce combat sera gagné grâce à Notre stratégie globale, intégrée et multidimentionnelle. Dans son volet politique, institutionnel et sécuritaire, cette stratégie vise à plus de rigueur et d’efficacité dans le cadre de la démocratie et de la suprématie de la loi. Elle tend, dans son aspect économique et social, à libérer les initiatives et à mobiliser les énergies, au service du développement et de la solidarité. Enfin, dans sa dimension religieuse, éducative, culturelle et médiatique, cette stratégie se propose d’éduquer, de former le citoyen en l’imprégnant des vertus de l’ouverture, de la modernité, de la rationalité, du sérieux dans ce qu’il accomplit, de la droiture, de la modération et de la tolérance.

    Nous demeurerons fermement attaché à conduire les politiques qui s’imposent pour mettre en oeuvre cette stratégie, Notre but ultime étant avec l’aide de Dieu et Sa bénédiction, de raffermir la dignité du citoyen, de fortifier la Nation et de consolider son rayonnement international.

    Assalamou Alaïkoum Wa Rahmatoullahi Wa Barakatouh ».

    #220559
    Alain
    Membre

    La théorie du GRAND COMPLOT 😀 😀 😀

    Faut avoir une sacrée dose de prétention pour penser que l’occident se mobilise pour si peu. Comme si l’occident n’avait que ça à faire …..

    Et s’il y a bien des idées à combattre, ce ne sont pas celles de l’islam, mais bien celles des islamistes que je ne confonds pas avec les musulmans.

    Les intégristes islamistes parlent toujours au nom des musulmans, alors qu’ils sont ultra minoritaires, mais ils ont une grande gueule et ils parlent fort.
    Comme par ailleurs ils n’hésitent pas à exercer un chantage à la violence, les modérés les laissent parler, mais en réalité, ils continuent à vivre comme si ils n’existaient pas….. et tentent s’ils le peuvent de s’exiler dans cet enfer que l’on nomme l’occident.

    L’Occident est tellement répulsif que les demandes d’immigrations croissent tous les jours, ce dont je me félicite car la mixité culturelle est l’avenir des sociétés.

    A entendre nos apprentis prédicateurs, ces millions d’immigrés sont certainement des imbéciles pour vouloir vivre cet enfer

15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 294)
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