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Révons-nous, et souhaitions que cette fois-ci sera la bonne
Maghreb : Le Maroc et l’Algérie décident, au plus haut niveau, de renforcer leur coopération contre le terrorisme
Le Maroc et l’Algérie renforceront leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme. Des réunions de coordination seraient à l’ordre du jour prochainement pour examiner les moyens de faire front commun face aux menaces d’Al Qaïda au Maghreb.
Le Maroc et l’Algérie s’acheminent à renforcer leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme, érigé aujourd’hui comme principale préoccupation pour les pays de la région après les menaces, mais aussi les attaques, attribuées à Al Qaida aux pays du Maghreb islamique.
Selon la presse algérienne, Rabat et Alger préparent une réunion de coordination de haut niveau. Cette première réunion, programmée prochainement et à la quelle seraient conviés des responsables sécuritaires, des politiques, mais aussi des officiels, devra être suivie de réunions périodiques de coordination qui se tiendraient au Maroc et en Algérie.
La presse algérienne affirme que les réunions en préparation viennent en réponse aux directives données au plus haut niveau des deux états pour renforcer la coopération antiterroriste entre les deux pays. La presse algérienne fait référence à un récent échange de messages entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président Abdelaziz Bouteflika. Le Souverain, dans un message de condoléances après l’attentat de Lakhdaria, le 11 juillet dernier, avait qualifié le terrorisme de «principal danger qui menace la stabilité de la région». Dans un message de remerciements, en réponse aux condoléances royales, le président Bouteflika avait fait état de la volonté de son pays de parvenir à une synergie d’efforts et de moyens entre les deux pays pour faire face à la menace terroriste. La coopération antiterroriste entre le Maroc et l’Algérie, à en croire des responsables au ministère de l’Intérieur, remonte à 1999 et avait été renforcée ces derniers mois. Des sources informées affirment que cette coopération s’était accélérée ces dernières semaines et notamment autour des frontières communes pour empêcher des terroristes marocains de rejoindre les camps d’entraînement d’Al Qaïda dans le désert algérien et la région limitrophe du Mali. D’ailleurs, plusieurs membres de cellules terroristes avaient été extradés d’Algérie et attendent d’être déférés devant la justice au moment où les services de sécurité ont réussi, dernièrement, à mettre en échec la tentative de neuf personnes de rallier les camps installés en Algérie. D’un côté comme de l’autre, les services de sécurité multiplient les mesures de vigilance depuis que des membres d’Al Qaïda, originaire des deux pays, sont apparus sur une vidéo pour proférer des menaces contre le Maroc et l’Algérie. Trois d’entre ces derniers avaient été identifiés par les services de sécurité marocains comme étant Bilal Hmam, Mohamed Aghbalou et Mohamed Réda Belhachmi, tous originaires de Tanger.
C’est encore le contenu de cette vidéo qui a été, entre autres, dans la décision des autorités marocaines de relever au maximum le niveau d’alerte face à d’éventuels actes terroristes. Cette décision a été suivie, pour rappel, d’une réunion de coordination de haut niveau entre les responsables marocains et espagnols à Rabat. Elle a été suivie d’une réunion similaire à Madrid à la fin du mois de juillet au moment où Miguel Angel Moratinos, ministre espagnol des Affaires étrangères a effectué une visite de travail à Alger, dédiée au même sujet.
En Algérie, les services de sécurité continuent de traquer des groupes islamistes affiliés à Al Qaïda et qui avaient trouvé refuge dans les régions forestières et montagneuses du pays.salut
Avec cette grande montée de médiatisation sur le dossier de sahara ,on peut remarquer que les propos apportés par les deux gouvernements sont de plus en plus agressifs vis-a-vis de l’autre. Mais la question à poser c’est de savoir la position de peuple dans tous ça ,je ne parle pas du pb de sahara mais de la relation algéro_marocaine.
Je pense que nous somme manipulé par nos gouvernements qui essaient de nous faire croire qu’on est des ennemis.
Pourquoi n’essayant pas de regarder plus loin afin créer notre grand magrheb . je pense que nous avons besoin de l’algérie comme ils ont besoin de nous,on peut devenir vraiment une grande puissance.
Vous allez me dire que nous on est pour rien, moi je pense que si,car on peut changé les choses si on veut.
Vous pourriez remarquer l’impact du à la fermeture des frontières sur l’économie de notre région la même chose est constaté de l’autre coté (Maghnia).PS:ce n’est pas un sujet politique sur le sahara marocaine
ذكر التلفزيون الجزائري قبل قليل نقلا عن مصادر موثوق منها في الحكومة الجزائرية أن المفاوضات مع المملكة المغربية بخصوص قضية الحدود البرية ستحل مع مطلع الشهر المقبل. هذا و قد أكد عبد العزيز بلخادم رئيس الحكومة أن الأوان قد آن لبناء المغرب العربي الكبيرو تجاوز جميع الخلافات بين البلدين ..
للإشارة فإن الحدود البرية مغلقة بين البلدين منذ أحداث فندق أطلس آسني الإرهابية بمدينة مراكش واللتي كانت من تدبير فرنسيين من أصول جزائرية ..
و قد جاء قرار فتح الحدود هذا تتويجا للدورة الثالثة لمنتدى اتحاد الشباب الأوروء مغاربي و الذي احتضنته مدينة وجدة الحدودية ..باسم الله الرحمن الرحيم ,والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين , وعلي آله وصحبه أجمعين
قــل قـــد جــــاء الــحــق وزهــق الــبــاطــل ان الــبـــاطـــل كـــان زهـــــــــوقـــــــا
صدق الله العظيم31 ANS DEJA QUE LE DERNIER SOLDAT ESPAGNOL QUITTAIT LE SAHARA
Trente et un ans déjà que le dernier soldat espagnol, affilié au corps d’armée coloniale qu’on appelait le « Tercio », quittait le territoire marocain au Sahara. Après des décennies d’occupation, le drapeau marocain s’était mis à flotter au-dessus d’une battisse qui servait de l’état major du gouverneur général de l’occupation,et qui se trouvait exactement au lieu dit :Souk Ezzaj l’un des rares bâtiments – consistant souvent en de simples baraquements – que l’Espagne franquiste avait « légués» au Maroc.
A l’ex-Villa Cisneros, rebaptisée Dakhla, un ferry avait embarqué l’essentiel des troupes et , seul avec quelques autres, était resté un colonel, chargé de passer le relais à notre vaillante armée .
La décolonisation était définitivement achevée en ce mois de février 1976. Laâyoune, Smara, Boujdour, Dakhla comme aussi les profondes localités du Sahara renouaient avec leur passé marocain et retrouvaient leur raison d’être, après une longue nuit coloniale.
Il faut replonger dans l’ambiance fiévreuse de cette époque pour mesurer la charge émotionnelle de ce retour en forme de justice rendue a notre pays. Pourtant, l’animosité du gouvernement algérien ne s’accommodait guère de cet apurement d’un conflit ayant opposé le Maroc et l’Espagne des décennies durant et mobilisé la diplomatie des deux pays et qui a connu son couronnement lors de l’accord de Madrid signé le 14 novembre 1975, en vertu duquel l’Espagne rétrocédait le Sahara à son ayant droit, le Maroc.
Cet accord tripartite signé sous l’égide des Nations unies, entériné par l’Assemblée générale fin décembre de la même année, stipulant que l’armée espagnole évacuerait le territoire au plus tard fin février, avait – a toujours d’ailleurs – valeur juridique irréfragable.
Croyant le contourner, et d’une certaine manière le piétiner, le gouvernement algérien a choisi de créer à la même date – celle du départ des soldats espagnols – la fantomatique<< rasd>>. Pis encore : il avait lancé des agressions contre notre pays, notamment à Amgalla, rappelant celle lancée en 1963 contre Figuig et les petites villes situées aux frontières du Sud-est.
Cette agression que l’Algérie de feu Boumediene assuma à l’époque, parce qu’elle était délibérément planifiée et exhalait un parfum de rancoeur, avait entraîné le 7 mars 1976 – il y a donc trente et un ans – la rupture des relations diplomatiques entre nos deux pays.
La mascarade des festivités organisée à Tifariti actuellement , agrémentée de communiqués triomphalistes, s’accompagne aussi d’une surprise : Alger entend relancer le plan Baker 2003… ! qui est enterré définitivement Ses diplomates, désarmés face au succès du projet d’autonomie et n’ayant rien d’autre à proposer, n’en démordent décidément guère.On exhume un texte ainsi, relégué déjà aux calendes grecques par les mêmes Nations unies qui en avait appelé à une solution négociée. والـــــــــــــــســــــــــــــــــلا م
[/b]UN GESTE ROYAL , LOYAL ET LOUABLE .
Du haut de la capitale algérienne, un événement significatif – et non des moindres – est venu mercredi soir marquer du sceau de la noblesse et de l’inattendu la vie quotidienne de la cité : la décoration de M. Ahmed Ben Bella, ancien et tout premier président de la République algérienne, du grand Cordon du Wissam Alaouite.
Cette distinction Royale lui a été remise par l’ambassadeur du Maroc au nom de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au cours d’une cérémonie où l’émotion s’est mêlée à l’espérance. Au bout de sa longue odyssée et de son combat trépidant, le leader algérien reçoit ainsi un hommage royal que l’on voit volontiers, à coup sûr, décerné sous la bannière de la fraternité maghrébine et d’une reconnaissance exprimée au nom de tous les peuples du Maghreb. Sous les combles, Ahmed Ben Bella incarne ainsi le symbole de l’idéal maghrébin.
A ce titre, entre autres, sa décoration prend une dimension exceptionnelle que les uns et les autres, de part et d’autre des frontières, ne peuvent pas ne pas saisir, tant il est vrai qu’elle vient rompre la longue nuit à laquelle sont pour notre grand désespoir réduites à la fois les relations entre le Maroc et l’Algérie et les nouvelles entre les deux pays. Inscrite dans une Geste Royale pour le dialogue, la concorde et la cohabitation fraternelle, cette distinction procède d’un irénisme à toute épreuve.
C’est le devoir de mémoire envers un nationaliste de la première heure qui, au-delà de son propre pays, incarnait pour le peuple marocain – au même titre que Mohamed Boudiaf par exemple qui avait fait du Maroc sa patrie – l’un des représentants décisifs de la lutte de la libération et de l’unité du Maghreb.
Sans doute devrait-on ne pas perdre de vue que l’ancien chef d’Etat algérien est aujourd’hui pour beaucoup une voix de la paix. Au nom d’un idéal partagé dans la ferveur avec ses frères marocains, il a à cœur de dissiper les braises d’une rupture devenue tragédie entre les deux pays.
Il est surtout un messager infatigable de la raison qui, l’âme déchirée, règne en moraliste au-dessus d’une mêlée périlleuse. « L’exilé et l’emprisonné sans amertume » qu’il fut pendant vingt-trois ans, incarne toujours l’espérance, la sagesse et la lucidité, nous dirions d’emblée le courage politique.
S’il adhère avec conviction au projet d’autonomie au Sahara, proposé par Sa Majesté le Roi, c’est assurément qu’il en mesure la portée historique, marqué qu’il fut par le cours précipité de l’histoire des années de l’indépendance. C’est aussi parce qu’il est conscient de l’engagement pacifique du Souverain qui n’a de cesse de hisser les valeurs de fraternité et d’amitié au sommet des exigences entre nos deux peuples