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15 réponses de 931 à 945 (sur un total de 1,183)
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  • #223689

    En réponse à : lycée zineb bravo

    dahlia
    Membre

    si vous avez des photos ou des videos de ce qui s’est passé et que tu veux voir ca publié tu n’as qu’a le dire et je te reponderai comment faire .histoire de vous encourager ,vous motiver et motiver d’autres lyceens a s’interesser a des activités parascolaires qui touche a la culture generale qui soient interessants et qui completent votre formation.

    croyez moi c’est la seule maniére pour eduquer nos eleves.surtout avec tout ce qui se passe a l’exterieur et aux alentours des lycées aujourd’hui .faut vraiment faire quelque chose pour attirer nos jeunes vers ce qui pourrait leur etre utile dans leur parcours scolaire et surtout dans leur vie .. ➡

    donc sabrine n’oublie pas on est la pour faire savoir et  »sortir des oubliettes  »ce que vous faites, ca pourrait etre uen experience qui profiterait a tous et qui inciterait d’autres lycées a faire comme vous au lieu de sombrer dans la monotonie d’aller copier des cours ,les apprendre ,et attendre une note qui figurera sur le bulletin de fin d’année 🙂

    #221103
    mourad
    Membre

    Cher Dr Bouayad assalamou alyka . cet article s inscrit tres bien dans notre sujet Malikisme et ouahabisme et reprend entre autre l infiltration de la secte ouahabite au maroc et la marginalisation de nos oulamas malikites pour des raisons diverses. malheureusement beaucoup de nos majaliss al ilmia comportent parmi ses membres des ouahabites .
    bonne lecture et hafidaka allah .

    « 
    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : la politique menée était une catastrophe pour les affaires islamiques

    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : La politique menée par Driss Basri et M’Daghri Alaoui était une catastrophe pour la gestion des affaires islamiques

    Par Mostafa ZAOUI

    La marginalisation du malékisme dans les structures des Habous et des Affaires religieuses est devenue un phénomène perceptible à l’œil nu depuis une décennie. M. Abdelkbir Alaoui-M’Daghri, ex-ministre des Habous, a privilégié un islamisme particulier, un «islam» politique au dépens de l’école religieuse marocaine qui, il faudra bien le rappeler de temps en temps, a ses propres spécificités historiques et civilisationnelles.

    Le triptyque définissant l’Islam marocain

    Cette école musulmane marocaine est basée sur un triptyque conceptuel qui l’a différenciée des différentes écoles musulmanes de l’Orient arabe en particulier.
    Feu S.M Hassan II aimait à rappeler la définition de cette école marocaine en citant Sidi Abdelwahed Ibn Achir, et qui présentait dans «Al Mourchid Al Mouîne», une «ourjouza» résumant les bases élémentaires de la pratique du rite musulman, ce triptyque conceptuel de l’Islam au Maroc.
    Ce triptyque est la précision de la trilogie religieuse : l’Islam, la Foi et la Spiritualité.

    L’Islam est un ensemble de comportements visibles, donc évaluables et juridiquement qualifiables, qui comprennent les droits et devoirs du musulman vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis de la société. Cet ensemble de normes est ce que l’on appelle le droit ou le chraâ ou encore, la chariâa. L’Islam est par définition «la soumission à la loi». Cette école juridique est le malékisme par référence à l’Imam Malik Ibn Anass qui a vécu à la fin du 1er siècle et au début du 2ème siècle de l’Hégire à Médine.

    La Foi est une affaire entre l’individu et Dieu et concerne les croyances ou «al âqida». La «âqida» au Maroc est l’ensemble des croyances qui déterminent le sunnisme ou l’Islam sunnite. Le sunnisme est appelé «al achâryya» par référence à Al Hassan Al Achâri qui a vécu au début du 3ème siècle de l’Hégire et qui est considéré comme le grand théologien du sunnisme, par opposition fondamentale au chiîsme et par opposition aussi au Hanbalisme (comme «âqida» et non pas comme école juridique).

    Le troisième niveau de ce triptyque et qui concerne le niveau spirituel, donc le niveau soufi, est la «tariqa de Jounaïd» par référence à Al Jounaïd, maître à penser du grand philosophe du sunnisme, Abou Hamed Al Ghazali, qui va populariser le soufisme sunnite basé sur les pratiques saines de l’Islam (tel que normalisé par le malékisme au Maroc) et sur une «âqida» saine qui est «Al Achâryya», essentiellement à travers son chef-d’œuvre Ihyae Ouloum Ad-Dine qui, depuis pratiquement l’époque des Almohades, est devenu le classique marocain au niveau de la Foi et au niveau de la Spiritualité.

    Al Achâryya contre le simplisme wahhabite

    Pour résumer, disons que cette trilogie rejette le concept de l’infaillibilité de l’Imam qui est un concept chiîte.

    Elle rejette, de l’autre côté, le «littéralisme» ou encore le simplisme hanbalite en matière juridique et en matière de âqida. Le hanbalisme est l’école qui rejette la logique et pour qui un hadith, même très faible, est prioritaire sur la raison dans la détermination de la norme juridique.

    Al Ghazali qui a fait l’objet de critiques acerbes de la part de tous les hanbalites, n’a jamais hésité à les traiter de partisans de «la raison linguistique» en précisant que leur «fiqh», basé sur la grammaire et le «littéralisme» est une «science au niveau de laquelle l’adolescent et l’adulte sont à égalité puisqu’elle exige en tout et pour tout la mémorisation».

    Ajoutons, ici, que le hanbalisme en tant que «âqida», a toujours rejeté et la raison et le soufisme qu’il a toujours considéré comme une «bidâa». Ce hanbalisme qui est resté très minoritaire parmi les musulmans va être mis au pouvoir en tant que wahhabisme à partir du 18ème siècle en Arabie Saoudite.
    C’est ce wahhabisme qui, à la faveur du boom pétrolier, va, petit à petit, et à travers des financements de chercheurs et à travers des soutiens financiers à de multiples associations dites caritatives à travers le monde arabo-musulman, véhiculer la salafyya wahhabite qui va dégénérer, ici et là, sous forme de salafyya jihadyya.
    La soufyya est particulièrement réfractaire à l’usage de la religion en politique.
    Le wahhabisme ne peut se concevoir que par l’hégémonie du faqih sur le pouvoir politique.

    L’infiltration du wahhabisme au Maroc :
    Promotion de l’«islam» politique au dépens du malékisme et des fouqahas malékites

    Quel impact ce wahhabisme a eu sur le malékisme au Maroc ?
    Sans hypocrisie mais avec toute la courtoisie nécessaire, disons que M. A. Mdaghri-Alaoui, ex-ministre des Habous et des Affaires islamiques, a privilégié l’Islam Politique, en privilégiant l’association Al Islah-wa At-Tawhid. Et c’est au nom de l’Etat, qu’il l’a fait durant toute cette dernière décennie. Or, Al Islah-wa At-Tawhid sont tout sauf des soufis. Leur «daâoua», dirigée vers des musulmans a une dimension politique, donc de recherche de l’exercice du pouvoir, qui ne peut être niée. Le wahhabisme de cette association est là.

    Abdelkbir Alaoui Mdaghri, en plaidant pour la promotion des «militants» de cette association dans les rouages de l’Etat et au niveau de la politique politicienne a eu une grande responsabilité dans la propagation du discours wahhabite au sein de larges franges de la société et au sein des structures étatiques au dépens de l’école malékite dont la dimension éducative était le caractère dominant.
    Lorsque Mdaghri Alaoui et Driss Basri faisaient la promotion des «militants» de Al Islah wa Attawhid, à travers la télévision, ils ont commencé par les présenter dans les programmes des prêches religieux du Ramadan, Benkirane, Othmani, Rissouni, Benhamza etc. et bien d’autres ont été promus à travers ces programmes religieux.

    Les Fouqahas malékites ont été soit éliminés des structures fonctionnelles existantes en matière de gouvernance et de gestion des affaires religieuses, soit ils se sont vus obligés de «plaire» aux «islamistes» pour se prémunir contre les «sévices» de l’autorité gouvernementale. La promotion de Raissouni, par exemple, est déjà une véritable caricature de cette gestion. Mais il y a pire !
    Lorsque l’on voit qu’un professeur d’arabe, comme Mostapha Benhamza, d’Oujda, promu comme président du «majlis îlmi» d’Oujda, et comme membre de la commission royale pour réformer la moudaouana, en récompense de tout ce qu’il a entrepris, au service du PJD, pour contrecarrer le plan d’intégration de la femme au développement, l’on est en droit de nous poser beaucoup de questions sur la réalité effective de la position du malékisme dans le pays du malékisme.

    L’agression qu’a subi le malékisme durant ces dernières années au Maroc explique le désarroi des fouqahas malékites, les vrais, lorsqu’ils ont entendu ce Benhamza, parler dans le colloque sur «al achâryya et le malékisme» organisé par les «majaliss îlmya» les 23, 24 et 25 mai, juste après les attentats de Casablanca, non pas en tant que représentant tout à fait officiel de l’Etat marocain mais comme militant du PJD, en récitant le discours de Ramid, Raissouni et du PJD. N’est-il pas très curieux d’entendre l’organisateur du colloque dire : «la violence est une expression du désespoir, et nous ne sommes pas désespérés, nous ne pensons pas à la violence, parce que nous réalisons chaque jour des succès pour que cette nation revienne à sa religion et pour que cette religion s’infiltre dans ses structures». Et «mieux» que cela, il ajoute : «C’est une nouvelle génération qui prendra le leadership, ultérieurement, et nous avons commencé (à bâtir) la civilisation civilisée, nous ne voulons pas que notre voie soir perturbée, nous ne voulons pas de cette provocation qui a pour but de nous détourner de notre programme… Nous ne sommes pas de ceux qui soutiennent la violence, nous n’appelons pas à la violence, nous ne disons pas que la violence est la bienvenue, nous n’avons pas besoin de la violence, la violence n’est utile pour nous !».

    Quel commentaire faire après une sortie aussi «Claire» et aussi «conforme» à la fonction de ce représentant de l’Etat, chargé des affaires religieuses en tant que président du «majliss îlmi» d’Oujda ?

    La gestion de Driss Basri et de Mdaghri Alaoui doit être fondamentalement réévaluée : pour un Islam synonyme de modernité

    Que dire ? C’est là, manifestement, un drôle de discours dans la bouche de quelqu’un qui est nommé par Dahir et qui est censé parler au nom de l’Etat marocain ! Ce qui repose la problématique du choix des représentants de l’Etat aux niveaux national et régional ! Si le journal At-Tajdid était fier de rapporter ce discours, en le présentant comme le discours central de ce colloque, c’est que ce «monsieur» représente effectivement la ligne politique et éditoriale de At-Tajdid.

    Pour trouver un discours clair d’un malékite qui sait situer la problématique, il faut écouter le président du «majlis îlmi» du Grand Casablanca, El Mehdi Assmi, qui n’a pas hésité à stigmatiser le wahhabisme rompant et insidieux en remarquant que la catastrophe que connaît l’oumma a pour origine la prolifération du «takfir» et de la forte tendance à ex-communier les musulmans dans les discours de certains «oulémas» du Machrek, en précisant que par ces «oulémas», il vise «les littéralistes (ouléma ad-dahir, la’a dahiryyat Ibn Hazm lakine Dahriyyat al Hanabila) et précisément les hanablia dans le Machrek».

    Tout cela pour dire que si la religion musulmane a un rôle éducatif et sur le macro-système éducatif comprend l’école, la mosquée et les médias, il est du domaine de l’ordre public, donc du domaine de l’Etat de veiller à ce que ce macro système éducatif ne soit dévoyé de sa fonction sociale. L’Etat doit veiller à mettre «l’homme ou la femme qu’il faut là où il faut». Il faut privilégier la vertu qui est une somme de compétences, de savoirs et de savoir-faire et d’éthique, dans le choix des représentants de l’Etat. Il faut que l’Etat rectifie ce qui doit être rectifié dans la gestion de Basri-Mdaghri Alaoui, en matière de gouvernance des affaires islamiques. Et malgré tout que ce dernier peut prétendre, les résultats de sa gestion sont maintenant évidents. Les fouqaha ne disent-ils pas que «les choses ne valent que par leurs résultats» ?

    Cette réévaluation de tout le système de gestion, des ressources humaines, particulièrement, fait partie aussi de l’option du pays pour la modernité. Car, au départ, l’Islam était une modernité. Et il faudra tout faire pour que l’Islam redevienne une modernité. Et cela est possible si la promotion des ressources humaines est suffisante pour que les musulmans optent pour la modernité. Comme culture et dans leurs comportements. « 

    و الله يعلم و أنتم لا تعلمون

    #210736

    En réponse à : contes et recits

    ayman
    Membre

    DISGRACE


    Habillée en deuil errante dans l’obscurité

    Semble suffoquer la dernière lueur de sa temerité

    Son linceul à la main,affaiblie le regard lourd

    Les pas las vers le chemin de non-retour

    Puisque les maladies sont devenues incurables

    Les esprits morbides et le mal invincible

    Puisqu’aucune peine ne purgeras les âmes

    Elle eteint dans sa nuit veillante sa dernière flamme

    Toute martyrisée implorant feu zéle

    Des rosées sur ses maussades joues gélent

    La beauté vernal sechera à son depart

    Et se dissipera dans le neant loin des regards

    Il est temps de chatier les âmes rancunières

    Et les coeurs avides avaleront la pussière

    Perfides âmes leur dit-elle…………….

    Je vous laisse à votre damnation éternelle

    Combien vous ai-je laissé à votre guise !

    Assouvir vos desirs et convoitise…….

    Jamais demander grâce en faveur d’une âme infernale

    Rien ne pourra reussisciter un coeur glacila !
    ==============================
    faite en 1993/94 -pour la premiere fois publié 🙂 – ma preferé et la derniere !
    yamat la fac yahasrah !!!!

    #211363
    fadi
    Membre

    Nom du Skyblog: ★★……TOus cOntre lE rAciSMe ……★★

    Description :
    ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄
    N0N-0-RACISME
    ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄

    Dans ce bl○g , v○us p○urrez d○nnez v○tre avis ,
    sur le  » racisme  » , et ce qui le c○nstituent .
    V○us p○urrez bien sur faire de la pub p○ur v○tre
    bl○g ○u v○tre site , mais ne partez pas sans av○ir
    laisser un minimum de c○mmentaire .
    N’○ubliez pas que les articles s○nt classé du plus
    ancien au plus récent ! D○nc t○ut les n○uveaux articles se
    trouver○nt vers la fin . Et surt○ut , aj○uter m○n bl○g dans v○s
     » amis  » et dans v○s bl○g préférés . Merci à t○us
    et b○nne visite ! Maurine .

    URL: http://n0n-0-racisme.skyblog.com/

    #202431
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــــــاســــــــــم وبــــــــــــالله الـــــــــــتــــــــــوفـــــــــــيــــــــــق

    U N ALGERIEN T E M O I G N E…..

    Le président du parti d’opposition algérien, le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie), M. Saïd Sadi, vient de rendre hommage à Alger à « l’expérience marocaine de règlement du dossier des violations passées des droits de l’Homme », ainsi qu’au travail accompli par l’IER (Instance Equité et Réconciliation) pour la réhabilitation de la mémoire collective à travers notamment un débat public sans précédent.

    C’est peu dire que l’hommage provient du leader d’un parti de gauche en Algérie et qu’à ce titre, il ne saurait être soupçonné de complaisance. En revanche, il constitue un exceptionnel et impartial témoignage de la part d’un homme qui a inventé la formule « l’Etat doit servir le peuple et non l’asservir » et, au nom de l’apaisement et du consensus national, en appelle à « transcender la douleur, le déchirement et l’exclusion ».Que l’expérience marocaine des droits de l’Homme suscite – a fortiori en Algérie – un aussi vif intérêt est en soi une avancée supplémentaire.

    Tout au long des vingt dernières années pratiquement, le Maroc a vécu une véritable « révolution tranquille » des droits de l’Homme. D’abord sous feu S.M. Hassan II qui, quelques années avant sa disparition, a jeté les premiers et décisifs jalons d’une ouverture spectaculaire en ce sens. Ensuite depuis 1999, sous le règne de S.M. le Roi Mohammed VI où l’Etat de droit et la culture des droits fondamentaux constituent le pilier du développement durable.

    Entre 1990 et 1998, plus d’un millier de détenus d’opinion avaient été libérés, tandis que les fruits de l’action du CCDH et du ministère des droits de l’Homme se profilaient. Ce mouvement en crescendo, adossé sur la volonté royale de conjurer définitivement les vieux démons du système répressif, a vu naître dans la foulée le Forum Vérité et Justice, présidé notamment par Driss Benzekri, lui-même ancien « maoïste » et détenu dix-sept ans durant, ensuite dans la même logique, l’IER, chargée de faire toute la lumière sur les atteintes aux droits de l’Homme.

    Celle-ci a rassemblé les anciennes victimes des répressions ayant marqué les années soixante et quatre-vingt, elles ont témoigné – à travers un débat public diffusé par la télévision dans toutes les provinces – de leurs souffrances passées et de leur deuil. Les tabous étaient brisés et la parole libérée. De ce processus unique en son genre, conforté par un soutien irréversible de Sa Majesté Mohammed VI, a émergé une nouvelle conscience : assumer le passé, fût-il douloureux et lourd, pour mieux se réconcilier avec son présent et préparer l’avenir.

    L’impunité a été enterrée de sa belle mort, et la communauté internationale, les témoignages comme ceux du président du RDC algérien se multiplient. Ils prennent avec sérénité et objectivité acte de la réalité d’un Maroc enraciné à jamais dans la liberté et la dignité citoyenne.

    والــــــــــــســـــــــــــلا م

    #202416
    dahlia
    Membre

    Sous l¹égide de la FRMT, le Sporting Tennis Club d¹Oujda organise le tournoi «Futures» ITF dans sa 3e édition du 03 au 11 mars. Ce tournoi doté de 15000 dollars, connaîtra la participation de plus de 200 jeunes tennismen de 32 nationalités différentes.
    Lors d¹un point de presse, tenu mardi dernier au club du STCO, les organisateurs représentés par messieurs, Sbili, Kaouachi et Merzouki se sont relayés pour répondre aux différentes questions de nos confrères. Ces interrogations étaient particulièrement axées sur les besoins en matières de ressources humaines, matérielles et notamment financières pour mener à bien le déroulement de cette manifestation sportive.
    M. Sbili, président du club STCO a précisé que malgré les difficultés rencontrées au cours des préparatifs, toutes les dispositions ont été entreprises pour accueillir cet événement sportif selon les conditions requises par l¹instance internationale de tennis.
    D¹autre part, M. Sbili a rappelé que l¹expérience acquise, après l¹organisation des deux dernières éditions du tournoi «Futures» d¹Oujda, leur a permis de se motiver davantage pour gagner la confiance de leurs partenaires et sponsors qui demeurent les éléments incontournables pour réussir ce genre de tournoi sportif de dimension internationale.
    La ville d¹Oujda et sa région seront donc au rendez-vous à partir de ce week-end, où le public est invité à venir nombreux pour encourager ces jeunes futures de la petite balle jaunes.

    Allal ABIDI ,AL BAYANE

    #221101
    oujdi12
    Membre

    arrete de faire une pub gratuite mr bouayed en disant de sayyidouna ali et bnou abbasse se fait insulter par banou oumayya , c koi exactement banou oumayya ?

    #221501

    En réponse à : investir

    ayman
    Membre

    Pourquoi vous cherchez loin et faire compliqué? etudes de marché ceci celà,ecoute MUZA ,si t’as pas encore trouvé ton idée fais une Agence matrimonile y’en a pas bcp c nouveau et y’a aussi de l’ajar ,t’as juste besoin d’un bureau et bonne pub c ça va marcher , t’auras plein de clients;hihi surtout les filles c la crise ( ok je rigole, pas trop de filles ds même, moitié moitié)

    #221619
    fadi
    Membre

    Elles fascinent les hommes depuis des millénaires et elles ont conservé une partie de leur mystère… Je vous invite à découvrir dans ce dossier certaines pyramides, ces tombeaux royaux qui ont été érigés pour défier le temps avant que les pharaons ne se tournent vers la vallée des rois pour leur dernière demeure.

    L’homme craint le temps, mais le temps craint les pyramides !” Proverbe Arabe

    Les pyramides de Saqqarah

    Saqqarah est la plus grande nécropole royale d’égypte et le site où se trouvent la plus grande concentration de pyramides. Situé à 40 kms du Caire et à 5 kms de Memphis, la nécropole mesure environ 8 km de long pour une largeur de 800 à 1800 mètres. On y compte 15 pyramides royales connues dont la plupart ont perdu leur forme originale, mais également de nombreuses pyramides non encore identifiées, dont trois pyramides royales de la VIème dynastie, qui n’ont pas encore été mises au jour.

    Les pyramides d’Abou Roach

    Abou Roach se situe à 8 km au nord de Gizeh et à 10 km du Caire. Le site abrite les vestiges de deux pyramides dont celle de Didoufri (2528 – 2520 avant JC), roi de la IVème dynastie (ancien empire) et fils de Kheops. Le site est en ruine et il reste peu de choses de cette pyramide. On pense seulement qu’elle devait s’élever à plus de 100 mètres de hauteur, mais personne ne peut dire si elle a été achevée, du fait du règne très court de ce pharaon, 8 ans seulement.

    Les pyramides de Zouiet El-Aryan

    Cet endroit se situe à environ 5 km au sud de Gizeh et comprend deux pyramides inachevées. La plus ancienne est une pyramide à degrés attribuée au roi Khâba (2603 – 2599 avant JC), pharaon de la IIIème dynastie. L’autre pyramide, non identifiée, daterait de la IVème dynastie.

    Les pyramides d’Abousir

    Abousir se situe entre Gizeh et Saqqarah. On y retrouve plusieurs pyramides très dégradées de pharaons de la Vème dynastie. Le pharaon Ouserkaf (2465 – 2458 avant JC) fit bâtir ici le premier temple solaire d’égypte.

    Les pyramides de Dachour

    Cette nécropole se situe à environ 2 kms au sud de Saqqarah. Le site fut réouvert au public en 1996. Il comprend cinq pyramides dont celles des pharaons Sésostris III (1887 – 1850 avant JC), Aménemhat II (1936 – 1904 avant JC) et Aménemhat III (1850 – 1800 avant JC). Ces trois pharaons appartenant à la XIIème dynastie. On trouve également la pyramide de Snefrou (2575 – 2551 avant JC) qui était un pharaon de la IVème dynastie.

    Les pyramides de Lisht

    On y trouve deux pyramides principales de la XIIème dynastie, la première mesurant 55 mètres de haut est celle d’Aménemhat Ier (2000 – 1970 avant JC), la seconde d’une hauteur de 61 mètres est celle de son fils, Sésostris Ier (1970 – 1936 avant JC). Les deux pyramides sont séparées d’un kilomètre et demi et sont entourées de petites pyramides ainsi que de mastabas.

    Pyramides d’Haouara et d’El Lahoun

    La pyramide d’Haouara date de la XIIème dynastie, à l’époque d’Amenemhat III (1850 – 1800 avant JC). Celle d’El Lahoun date également de la XIIème dynastie, mais un petit peu plus tôt, à l’époque de Sésostris II (1904 – 1888 avant JC). Cette dernière mesurait 48 mètres de haut à l’origine et on a découvert à l’intérieur un sarcophage de granit rouge.

    Les pyramides de Gizeh

    On ne pouvait pas parler des pyramides en omettant celles de Gizeh, dont la plus grande, celle de Kheops, est la seule des 7 merveilles du monde antique qui a survécut au temps et qui est encore debout aujourd’hui. Les pyramides sont alignées du nord-est au sud-ouest sur un plateau d’environ 2000 mètres sur 1500 mètres, accompagnées bien évidemment du célèbre sphinx. L’emplacement choisi pour ériger ces pyramides n’est pas anodin mais symbolique. En effet, elles s’élèvent où commence le delta du Nil.

    ayman
    Membre

    tt d’abord salam3alykoum, pendant que je recherchais des chansons sur des sites maroccains, j’ai rencontré un site je dis pas qu’il est mauvais au contraire y’a plein d’chansons de tout les gouts sauf que dans un espace reservé à la chanson ce qu’on appelle « rap maroccain » y’a des paroles vulgaires et choquantens ,j’ai essayer d’aviser les responsable de ce site mais ils etaient indifferents à ma remarque et comme c eux qui decident de la publiquation des avis des visituers alors ils ont envoyé mes messages à la poubelle je crois qu’ils aiment que ceux qui leurs disent qu’ils sont les meilleurs,bref ce que je vous demande c de m’aider à pousser les responsables de ce site (videozik) a faire du netoyage et retirer les vulgaires chansons de leur site,et si je vous le demande c parceque je pense à nos ptites soeurs et petits freres nos enfants ,qui utilisent le net et qui pensent qu’un site maroccain et inevitablement un site propre de divertissement (music, jeu…)et aussi de connaissance et de savoir comme l’exemple d’OUJDACITY (tbarkalah).mais malheureusement y’a des sites qui encourage le lengage de la rue et des degenerés ,j’ai rien contre les rappeurs si c de la music propre et des paroles que toutes les couche de notre societé peuvent ecouter en famille et en toute confiance et serenité, non pas des paroles qui detruisent plusqu’elles construisent..et quand je parle de tout ça je ne peux m’empecher de parler de Sami yusuf juste pour dire que ce dernier là ou il vie entouré par des tentations de partout par l’oeuvre du satan qui guette de partout et pourtant il a choisi chanter allah et son prophete(s) et que nous autres on est pas encore sorti de la misere et on veut devenir des americains on se refere à eux qui ne font que semer la destruction sur la terre ,et ce qui se passe dans le monde n’a pas besoin de commentaire,et pire que c pas uniquement nous referer à eux en vue de vestimentaire et « tempo » mais aussi dans leur vulgarié de la chanson(puisque c le sujet),et comme on sais tous chacun choisi avec qui sera t-il le jour du jugement (ma3a ayo 9awmin yohchar).salam l

    #202378
    manara
    Membre

    que pensez vous des citoyens français d’origine maghrebine
    qui militent au sein de l’extreme droite
    peut-on tout se permettre au nom de la democratie?
    ces parties d’extreme droite: que ce soit de JM Lepen ou Devilliers ont pour slogan la preference nationale
    la france tu l’aime pou tu la quitte
    et Devilliers qui fais la chasse au Musulmans
    dernièrement il a declare: apres la cantine Halal ds les écoles
    les musulamans veulent plus
    sans oublier la question du voile non pas pour les petite filles à l’école
    mais son interdiction ds les lieux publics!!!
    ceci n’est qu’n extrait de ce que ces partis proposent et declarent
    comment alors des Citoyens d’origine maghrebine militent au sein de ces partis!!!

    #222293
    saidi
    Membre

    Bonjour à tous,

    Je ne veux pas faire du clientelisme comme certains internautes qui refuse pratiquement de vous répondre sur un topic autre que celui qu’il a crée pour tenir compte du hit parade ou du top5, je pense à Monsieur BOUAYAD en effet, je n’utilise paz la langue de bois et je n’ai aucun complexe à me faire, je l’ai toujours dit et je le redis quiconque veut me connaître n’a qu’a demander, le nom, le prénoms, l’adresse, le n0 de tel etc… seront publiés sur le site en public. Je ne ne suis pas du type vicieux tel que Monsieur BOUAYAD? LE GRAND qui preche la bonne parole et dès que vous avez le dos tourné, il ne pourra pas s’empécher de faire des grimaces vous concernant!!!. Quel Homme!!! Quel sagesse!!!! quelle intelligence!!! quel savoir croit-il détenir pour faire tourner la tête à beaucoup de gens se croyant rusés!!!. Je termine ici temporairement, je vous prie de m’excuser, mais je vous promet, que je reviendrai sur ce sujet qui popurrait être un feuilleton dont dieu seul sait qu’elle en sera l’issue, salut, saidi

    #212123

    En réponse à : Création dun site

    with_you_ma
    Membre

    c normal il faut ke tu enregistre le fichier index.html pour l’heberger tu dois cliquer sur fichier ====> aperçu dans la page web si tu es entrain de creer ton site web par le publisher ou frontpage et si en html tu dois enregister la page bloc-not en extention .html et à apès cliquer fichier enregister sous ..
    et en fin heberge la ..

    #202342
    snp1975
    Membre

    Ne pas rire , ne pas déplorer , ne pas détester , mais de comprendre. (spinoza)

    Mémoire d’un Marocain d’Algérie

    Récit d’une déportation
    Nous sommes le mois de décembre 1975 et ça coïncide avec la fête de l’Aid el Kébir. Un camarade de classe m’interpelle. Il m’informe que la police me demande . La famille est pour sa part déjà détenue. Je n’ai même le temps de retourner en classe pour récupérer mes cahiers.Mon cartable est en effet à la maison. Je quitte le collège au vu au su de tous le monde pendant la récréation. Je me sens choqué et humilié. Je monte dans le fourgon de la police. Un policier m’y dit : » vous partez au Maroc pour insulter le roi Hassan 2. » Nous faisons partie de la dernière vague des expulsés. J’arrive dans un commissariat rempli de personnes promises à la déportation. La situation peut être qualifié de dramatique. Les enfants pleurent . Il fait froid . Cette scène indigne qu’horrifie. Un jeune policier que je connais est présent. J’entre au commissariat , car les gens sont à ce point nombreux qu’ils débordent les alentours dans une cohue indescriptible. Est ce à telle enseigne que l’on finit à les placer dans des garages. J ‘entre à cet endroit et donne un coup de coude à ce policier de ma connaissance. Mon père intervient pour me défendre. Le policier répond par une double agression : physique et verbale. Il fait un croche pied à mon père le qualifié de **. Mon frère aîné Hassan accoure et frappe le policier d’une façon répétée. Il lui assène coup de poing et coup de tête. Mon frère est ceinturé ; isolé et passé à tabac. Il sort ensanglanté. Non expulsable la décision de lui faire suivre le même sort que beaucoup de marocains est prise. Il est fouillé. L’on trouve par devers lui un permis de conduire . Ce document algérien lui est retiré ; déchiré et jeté en morceau à sa face. Un voisin s’émeut de ce drame et proteste en guise de réponse il a reçu de la part d’un policier un coup de poing fatal en plein visage. à telle point qu’il s’est retrouvé avec des dents cassées. Je reconnais que c’était la seule personne qui avait protesté. Au fait c’est un proche de la famille. à suivre.

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    Cette personne protestataire est un proche à ma famille. En guise de réponse il reçoit de la part d’un policier un coup de point en plein visage. Ce dernier s’est retrouvé avec des dents cassées. Nous sommes donc embarqués dans des mini-bus de couleur bleue de marque belge Van-Hool. Nous sommes acheminés à la frontière algéro- marocaine. Nous y arrivons la nuit. Au poste frontière algérien il y a beaucoup de policiers. Il ya beaucoup de familles en pleurs. Je m’occupe pour ma part de ma soeur Bouchera qui n’a que six mois et est donc encore en langes. Je tente a m’extirper de cette cohorte sans fin pour rejoindre le poste frontière marocain. Un policier m’intercepte cependant et me refait entrer dans le rang. Il m’intime l’ordre d’y demeurer. La raison invoquée est que la fouille concerne aussi Bouchera. Le bébé qu’elle est alors est supposé porteur d’argent et de bijoux dissimulés dans les langes. En fait nous ne transportons aucun objet de valeur. Nous n’avons que quelques couvertures et quelques draps pour nous couvrir du froid que nous traînons dans de gros sacs en tissu. Cependant et en dépit du bon sens Bouchera est tout de même dévêtue de ses langes. Nous arrivons donc au poste frontière marocain. les gens y font de nouveau la queue pour les formalités administratives d’entrée. Pour se réchauffer des feux sont allumés spontanément par les déportés. Le croissant rouge marocain distribue un peu de pain et de lait. Mon frére Hassan reprend l’attitude qu’il avait eu de l’autre côté de la frontière. Il proteste contre les conditions d’attente. Un policier intervient alors et le menace de le molester. J’ai peur et retiens mon frére par la main je lui fait entendre que nous avions déjà notre part de violence subie. Il ne nous appartient pas de récidiver. Le lendemain, nous arrivons à Oujda.

    Le lendemain nous sommes acheminés à Oujda . C’est une grande ville
    distante de la frontière algérienne d’environ10 km . Nous sommes provisoirement accueillis dans la cour d’une école primaire dans laquelle ont été montées un nombre important de tentes . La situation s’y prête . Il s’agit en effet d’une période des vacances scolaire . J’ai alors l’occasion d’y rencontrer mes camarades de classe . j’y vois en effet Karim(1) . Ce dernier est originaire du quartier nègre (Grabat) de Ain Témouchent . Nous jouons dans la même équipe de football . La veille nous avions marqué un but contre l’équipe adverse du lycée Chiekh El Ibrahimi . J’y rencontre Mimoun . C’est un garçon blond , originaire du Rif marocain dont sa famille possède une crémerie à Ain Témouchent . J’y vois également deux frères : Abdelkader et Boumédiéne . Ils sont déportés alors que leurs parents eux restent en Algérie . Il s’agit à n’en pas douter d’un drame . Des familles sont en effet disloquées par cette tragédie . Pour notre part nous ne restons pas à l’école d’Oujda . Nous sommes en effet propriétaire d’un appartement à Mohammedia distante de Casablanca d’environ 20km . Mon grand père maternel y a lui même séjourné en son temps . Cette demeure est acquise par Maman au cours des années soixante dix . C’est pourquoi un accord a été vite trouvé avec les autorités locales qui ne nous retiennent guère . Un titre de transport nous est fourni . Dés vingt et une heures nous partons à bord d »un train en direction de Mohammedia . Ma mère refuse de prendre place en seconde classe . Elle choisit d’emblée la première classe . Un contrôleur la tance . Devant ses protestation véhémentes de déportés , ma mère parvient cependant à imposer son choix au représentant des chemins de fer chérifiens . Arrivés à Mohammedia , nous nous installons chez mon grand père maternel . Mon père trouve sur place un travail dans une grande usine du nom de Licoma . C’est un établissement qui fabrique des (jeans) pour l’exportation . Mon frére aîné trouve un emploi dans une autre usine . Notre intégration est donc réussie par rapport aux autre expulsés . A titre d’exemple , nous avons besoin à un moment donné de lait pour ma soeur Bouchera . Ce sont les collègues de mon père qui , dans un geste de solidarité organisent une quête pour l’achat du lait . Cependant , notre niveau s’affaisse . nous étions habitués à vivre dans l’aisance jusqu’alors . Nous connaissons pourtant dés lors les difficultés d’une vie modeste . Ma mère ne veut pas vivre au Maroc . Le régime du roi Hassan II s’investit beaucoup dans l’intégration des déportés . Des personnes qui , en Algérie n’avaient jamais travaillé , se voient offrir un emploi . Il n’est cependant nullement aisé de répondre aux attentes de quarante mille familles en même temps . L’on s’efforce de loger le plus grand nombre de gens . L’on emploi un certain nombre de personnes jeunes de sexe mâle dans la police auxiliaire . L’on distribue des bons d’alimentation . D’autres sont embauchés dans des usines . D’autres encore partent en Belgique et en Hollande . Ils bénéficient des dispositions de l’ordonnance de 1944 qui donnent le droit à la nationalité française aux marocains nés en Algérie française . Pour notre part , nous ne pensons pas à cette possibilité . Je suis alors inscrit dans une classe de troisième . six mois plus tard je rejoins ma mère en Algérie . Maman n’a pas résisté au Maroc puisque elle avait des biens immobiliers a Ain Temouchent . Suite (2).

    1-Je cite des prénoms parce que on avaient le nom SNP( sans nom patronymique).
    2- La suite elle sera publié prochainement dans un livre qui s’intitule ( Mémoire d’un Maroqui d’ Algérie) .
    Je suis à la recherche de marocains d’Algerie pour me rejoindre concernant l’écriture de l’histoire de cette communauté à travers des récits de vie
    Merci

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    #202340
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Le parlement espagnol a refusé mercredi de souscrire à une proposition de loi portant sur la reconnaissance de l’utilisation par l’Espagne d’armes chimiques contre les populations civiles dans le nord du Maroc, au cours de la guerre du Rif (1921-1927) et l’indemnisation des victimes ou leurs descendants.

    A l’initiative du groupe parlementaire du parti catalan de la Gauche Républicaine (Esquerra Republicana, ERC), la commission des affaires constitutionnelles au Congrès des députés (chambre basse du parlement espagnol), a débattu mercredi de la proposition de loi invitant l’Etat espagnol à reconnaître le recours « systématique » aux armes chimiques, depuis la débâcle espagnole lors de la bataille d’Anoual (1921), contre la population du Rif, alors que ces armements non conventionnels étaient interdits par les conventions de la Haye de 1899 et 1907.

    La proposition de loi a été rejetée en commission par 33 voix émanant des rangs du Parti Socialiste Ouvrier espagnol (PSOE au pouvoir) et du parti d’opposition, le Parti Populaire (PP droite), les deux partis majoritaires au parlement espagnol.

    Le texte a été soutenu par les 3 députés de la Gauche Républicaine catalane, de la Gauche Unie (Izquierda Unida) et du Parti Nationaliste Basque, siégeant au sein de cette commission.

    Le promoteur de cette initiative parlementaire, , a déploré, dans une déclaration à la MAP, que le PSOE et le PP aient rejeté en bloc le texte « sans présenter aucun amendement qui aurait permis de parvenir à un consensus minimum ».Il a également déploré cette occasion ratée pour « la réconciliation et la fraternité entre les peuples des deux rives de la Méditerranée ». Il était important, selon lui, que l’Espagne « assume, après 30 ans de démocratie, la mémoire historique de l’Etat espagnol et reconnaisse sa responsabilité dans l’usage des armes chimique contre les populations du Rif ».
    Une autre député et co-auteur de la proposition de loi a affirmé que l’Espagne « qui veut vendre son modèle démocratique devait demander pardon aux populations rifaines et pouvoir ainsi envoyer un signal positif pour renforcer la transition démocratique au Maroc ».

    Un autre défenseur de l’initiative parlementaire, député du Parti Nationaliste Basque a estimé que le rejet par le Congrès des députés espagnol de cette proposition constitue « une occasion perdue pour l’Espagne de se réconcilier avec son passé et sa mémoire historique ».

    Une autre députée a assuré que son groupe parlementaire n’allait pas baisser les bras et qu’elle compte introduire un amendement à la Loi sur la mémoire historique en Espagne, qui se limite maintenant aux exactions et victimes de la guerre civile dans ce pays, pour « inclure le triste épisode de la guerre du Rif et l’usage d’armes chimiques contre les populations » de cette région du Nord du Maroc.

    Le texte soumis aux députés espagnols invitait les autorités espagnoles à demander pardon aux populations du Rif, à répondre aux demandes d’indemnisation qui pourraient être formulées, à titre individuel, par les victimes de cette agression ou par leurs ayants droit.

    Les promoteurs de cette proposition de loi demandaient également au gouvernement espagnol de lancer, dans le cadre de la coopération maroco-espagnole, des programmes de développement dans le Rif, notamment dans les régions de Nador et Al Hoceima, en guise d’indemnisation collective pour les dégâts subis par les populations de ces régions.
    Le gouvernement espagnol était également appelé à doter les hôpitaux des villes de Nador et Al Hoceima d’unités d’oncologie pour traiter les patients qui souffrent toujours de pathologies causées aux victimes ou transmises à leurs descendants par ces armes chimiques, notamment des cancers.

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