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Sujet: Alain:Réponse pour Alain
Salut Alain , salut à tous
J’estime que ça serait une excellente initiative que tu puisses aider les étudiants par exemple à créer leur propre association. L’association est le pilier du débat démocratique , et aussi un puissant levier pour résoudre des problème de société tout en restant dans la légalité.
Copie du message d’Alain:
J’ouvre ce nouveau débat afin de ne pas parasiter celui de « Association Espoir pour Oujda ».
Son thème centraltourne autour de la question de la méthodologie de création de projets associatifs.
Je propose de vous faire part de mes expériences professionnelles et militantes sur ce sujet.
En tant que prof de fac, j’ai participé à la mise en œuvre de dispositifs sociaux en partenariat avec les ministères, les régions, départements et communes.
En tant que militant bénévole, j’ai participé à la création d’associations socioculturelles et médico- sociales.Si ces actions vous intéressent, je peux en faire un rapide descriptif à titre d’exemple.
Ce thème est ardu, complexe, et les textes que je vous propose seront forcément un peu longs, ils sont extraits de mes cours à l’université, ils ne seront pas très ludiques. C’est assurément assez peu « marrant », mais incontournable si l’on veut entreprendre ces actions.
C’est pourquoi, je pose aux lecteurs et à l’administrateur la question suivante : souhaitez-vous que je développe ce sujet sur ce forum ?
J’ouvre ce nouveau débat afin de ne pas parasiter celui de « Association Espoir pour Oujda ».
Son thème centraltourne autour de la question de la méthodologie de création de projets associatifs.
Je propose de vous faire part de mes expériences professionnelles et militantes sur ce sujet.
En tant que prof de fac, j’ai participé à la mise en œuvre de dispositifs sociaux en partenariat avec les ministères, les régions, départements et communes.
En tant que militant bénévole, j’ai participé à la création d’associations socioculturelles et médico- sociales.Si ces actions vous intéressent, je peux en faire un rapide descriptif à titre d’exemple.
Ce thème est ardu, complexe, et les textes que je vous propose seront forcément un peu longs, ils sont extraits de mes cours à l’université, ils ne seront pas très ludiques. C’est assurément assez peu « marrant », mais incontournable si l’on veut entreprendre ces actions.
C’est pourquoi, je pose aux lecteurs et à l’administrateur la question suivante : souhaitez-vous que je développe ce sujet sur ce forum ?
J’ai 62 ans, professeur de sociologie à la retraite, je m’interroge sur un éventuel retour à Oujda.
Mes 2 arrières grands pères étaient des militants de la Commune de Paris, ils ont été arrêtés en 1870 et ont eu le choix entre le bagne de Cayenne ou être enrôlés comme civils auprès de l’armée française dans les services de l’intendance, auquel cas ils pouvaient venir avec leur famille. C’est ce qu’ils ont décidé de faire et ils se sont retrouvés en Algérie à faire des repas pour l’armée française et à la suivre dans ses mouvements.
Ils se sont donc ensuite retrouvés au Maroc lors des opérations dites de « pacification ». Ces condamnations avaient une durée de 10 ans, ils ont donc été libérés et sont restés au Maroc et ont eu d’autres enfants, des petits enfants et des arrières petits enfants, tous nés au Maroc.
Je suis né à Casa, mais je n’y ai pas vécu, et Oujda a été la ville de mon enfance et de mon adolescence. Je me considère comme un oujdi d’adoption.
J’ai mis assez longtemps à revenir au Maroc car j’avais un sentiment de culpabilité coloniale. Mais à chaque fois que je croisais un marocain au hasard des rencontres, j’avais une impression de familiarité très émouvant et nous parlions du Pays pendant des heures.Je suis revu depuis au Maroc à plusieurs reprises avec à chaque fois la même passion de ce Pays.
Aujourd’hui, je me pose la question d’un retour aux sources pour terminer ma vie.
Nous disposons, mon épouse et moi, d’une retraite confortable d’environ 4.000 €, nous pouvons donc acheter une maison confortable et prendre l’avion 1 fois par mois pour aller voir les enfants.
Indépendamment des questions familiales de proximité avec mes enfants et petits enfants, se pose LA QUESTION pour moi de l’intégration d’un athée dans un pays où la croyance fait office de loi.
Si je n’ai aucun mal à vivre avec les valeurs humaines de générosité, de partage, d’égalité, de tolérance, de fraternité, de respect des différences. Valeurs que j’ai enseignées à mes enfants et qui continuent à l’être pour mes petits enfants.J’ai bien du mal à supporter tous les dogmes, d’où qu’ils viennent dès lors qu’ils prétendent vouloir régenter mon existence.
Je me tiens à votre disposition pour argumenter mes propos et les raisons de mon athéisme.
Je vous salue fraternellementL’ambassadeur américain au Maroc, M. Thomas Riley, a visité, en compagnie de son épouse Nancy, mercredi à Oujda, une salle multimédia au collège «Al Qods», créée dans le cadre du projet «ALEF» (Advancing Learning and Employability for a Better Future) pour l’éducation et la formation pour l’emploi, financé par l’agence américaine de développement internationale (USAID).
Le diplomate américain a inauguré, à la bibliothèque «Saoura», un «espace américain» ou «american corner» pour les livres américains.
La salle multimédia comporte 9 ordinateurs, une imprimante, un appareil vidéo, un appareil photo numérique et une liaison au réseau Internet, et assure des programmes de cours relatifs aux matières d’arabe, de français et scientifiques permettant d’accéder aux sites Internet spécialisés.Des salles similaires seront créées, au niveau de la région de l’Oriental, dans les provinces de Berkane, Figuig, Jerada, Nador et Taourirt dans le cadre du projet «ALEF».
Outre la région de l’Oriental, ce projet, qui vise l’amélioration du système éducatif et de formation, concerne trois autres régions : Casablanca et banlieue, la région de Meknes-Tafilelet et la région de Chaouia-Ouerdigha. Ce projet, réalisé en coordination et en partenariat avec plusieurs départements ministériels (Education nationale et enseignement supérieur, formation professionnelle, agriculture, tourisme, alphabétisation), vise l’amélioration de la qualité de l’enseignement, la mobilisation de la société à cet effet, la scolarisation de davantage de filles et l’alphabétisation des mères.
Dans le domaine de la formation, il définit les profils et les besoins de l’économie en compétences et oeuvre pour l’amélioration de la qualité des formations et la facilitation de l’insertion sociale.
Quant à l’Espace américain, inauguré par l’Ambassadeur, en présence du gouverneur de la province de Jerada, M. Abdelghani Sebbar, et du secrétaire général de la préfecture d’Oujda-Angad, M. Najib Bencheikh, il consiste en une petite bibliothèque portant sur plus de 60 titres de livres, documents et études en anglais, arabe et français sur la langue anglaise, l’histoire, la réglementation civile, la littérature et la culture aux Etats Unis, des encyclopédies politiques américaines et les médias.
Cet «American corner», d’un coût de 50 millions de centimes, est équipé d’un photocopieur/scanner/imprimante, d’un projecteur, d’un lecteur DVD, d’une télévision, d’un magnétoscope et de deux ordinateurs. Il est aussi alimenté en documents sur DVD et CD sur cinéma/musique et le mode de vie et culture aux Etats-Unis. L’Espace américain, le premier du genre au niveau national et l’un des 150 au niveau mondial, selon l’ambassadeur, permet aux jeunes étudiants et chercheurs d’accéder aux données sur les Etats Unis d’Amérique, en plus de son utilisation pour des activités culturelles, rencontres et tables rondes.
Le diplomate américain a, d’autre part, visité le siège de l’association Ain Ghazal de soutien à la femme en situation difficile et l’association Amal d’éducation et insertion des enfants de la rue. Il a aussi rencontré le président de l’Université Mohammed 1er, M. Mohamed Farissi, et les cadres de cette université, pour évoquer les possibilités de coopération avec les universités et instituts américains dans différents domaines, dont celui de la formation.
Source : MAP
Bonjour
que d’avis sur ce forum en ce qui concerne Oujda!!!
Je suis française (d’origine), et je vais là-bas cet été (mon ami est Oujdi) et je suis tombée sur ce forum en cherchant des informations sur cette ville que je vais bientôt découvrir.
Je n’ai pas l’esprit d’une touristeoccidentale qui arrive en payx conquis, je souhaite une vraie rencontre avec l’âme du pays, et avec la famille qui me reçoit.
Vous qui connaissez Oujda, que me conseilleriez-vous pour optimiser mes chances d’une réelle rencontre avec les lieux?
En 1993 je suis allée à Rabat (la banlieue, Sla exactement) et Taza, et malheureusement c’est un mauvais souvenir. Le seul bon souvenir, c’est une nuit passée dans une petite ferme familiale en haut des montagnes. (C’est la Terre profonde qui m’intéresse l’âme du pays sous toutes ces formes.)
C’est pourquoi j’ai à coeur, cette fois, de vivre cette expérience de la manière la plus positive, je souhaite une belle rencontre… et ainsi aller au-delà de cette mauvaise expérience, contre-balancer le sort en quelque sorte!!Mon ami me dit qu’il n’y a pas grand chose à faire à Oujda. Qu’il n’y a que la plage qui soit intéressante réellement.
Qu’en pensez-vous? Pouvez vous ici m’ouvrir une fenêtre sur Oujda?De plus, je souhaite venir avec des présents pour les parents de mon compagnon… difficile d’offrir un cadeau à quelqu’un qu’on ne connait pas, et j’ignore ce qui peut être intéressant de ramener de France (qu’on ne trouve pas au Maroc)…
Donc je suis trèèèèès ouverte à vos suggestions, si toutefois vous accepteriez de m’en faire.Merci