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juin 19, 2009 à 4:29 #271891
En réponse à : Jouj b Jouj (Jeu)
Clair de Lune
Membresber o dber
chiki o biki o testam khaoui hhhhhhhhhhhhhh 😆 😆 a khti Moon hadi fiha tlata machi jouj 😆juin 18, 2009 à 10:39 #266084En réponse à : في انتظار صحوة الأمة
The_Dark_Knight
Membreoui akid 😉
juin 18, 2009 à 9:12 #271879En réponse à : Jouj b Jouj (Jeu)
djal
Membreka7la wa 3roubia
zouina wa draifajuin 18, 2009 à 4:50 #271690En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantQuand quelqu’un est amoureux, il perd l’appétit de même que le sommeil.Il veut réviser ses leçons et faire ses devoirs, mais n’y parvient pas.Que fait -il donc sinon penser ou plutôt rêver d’un monde où lui et sa bien-aimée sont ensemble .Je crois bien que c’est ce qui m’est arrivé .
Croyez-moi les amis que j’étais prêt à faire des trucs invraisemblables , rien que pour partager un moment de joie et d’allégresse avec Aziza; rien que pour la voir à mes côtés !
Quand j’y pense à présent , ça me fait marrer comme un bossu .Savez-vous qu’un certain temps, je ne prenais plus le bus ?D’ailleurs, même s’il m’arrivait de le prendre, dès que je voyais Aziza sur le trottoir , j’en descendis aussitôt !
J’étais ravi de parcourir la distance qui nous séparait du lycée.J’aurais traversé des kilomètres que ça ne m’aurait fait qu’enchanter. Figurez-vous les amis qu’on se parlait de tout sauf d’elle ou de moi .
Pourtant, un jour , elle me dit :
_ » Hamidou……
C’était la première fois qu’elle m’appelait ainsi .Je lui répondis :
_ » Oui, mon amour
Bien entendu, vous l’avez deviné dans mon fort intérieur ; car en fait, je lui ai dit :
_ » Oui, Aziza.Quelque chose ne va pas .Je te vois préoccupée.
Elle jeta un regard derrière elle ,comme si elle avait peur qu’on la surveillait , puis me donna un bout de papier plié .Juste au moment où je pris le papier, elle serra ma main ,mais avec tendresse et me dit d’un ton de supplication :
_ » S’il te plait , pas maintenant.Promets moi de ne le lire qu’à la maison
_Mais….
_ Je t’en prie , fais-le pour moi comme tu l’as fait maintes fois en refusant de monter dans le bus. »
Brave fille, moi qui croyait la berner.Au fait, je lui avais dit que mon paternel avait refuser de me donner le prix de mon abonnement mensuel au transport public .Ce qui voulait dire qu’elle m’avait vu descendre du grand véhicule à maintes reprises.Donc, elle faisant en sorte que je la rencontrais assez souvent juste à quelques mètres de chez elle.
Vous allez me dire : pour le retour qu’est-ce que tu faisais ?(Pour Khaoukha : que faisiez -vous?)
Rassurez-vous, les amis;là je me débrouillais assez bien .D’ailleurs les circonstances m’ont bien aidé.Car voyez-vous, à midi, il est impossible d’avoir une place dans le bus .Dans notre temps, les bus étaient rare .Entre le passage de deux bus, vous moisirez à coup sûr .Je parle ici des heures de la sortie des élèves et des fonctionnaires.Quand le bus passait près de notre lycée, il était aussi chargé qu’une boite de sardines à l’huile .Bien entendu, attendre le suivant ,c’est comme voir le père Noël descendre de la cheminée !
Alors, on partait bras dessus, bras dessous tout comme deux amoureux dans un film Egyptien .
Non, non, ce n’est pas la vérité ; c’est juste la moitié de la vérité.Effectivement, on faisait le chemin du retour jusqu’à chez elle .Je connaissais bien où elle habitait; par contre elle , non !
Je pris le billet de sa douce main et l’enfouit dans ma poche .C’était à ce moment là que je venais de réaliser que Aziza était amoureuse de moi
Donc, elle rebroussa chemin .Je la suivis du regard un certain temps .Soudain, comme une personne poursuivi par un chien en rage, je l’attrapai en courant:
_ » Aziza, où vas-tu comme ça ?On a des cours de géographie et de…
Elle m’interrompit:
_ »Excuse-moi, Hamidou, je ne me sens pas bien .Tout à l’heure, tu passeras chez moi pour me donner les cours du jour.
Et d’ajouter:
_ » Je ne te l’avais pas demandé ,parce que je sais que tu le feras pour moi.
Je posai ma main sur son front .Elle ne fit aucun geste de refus ou de méfiance.Comme si elle s’attendait à mon geste !
Elle était tellement fiévreuse que je sentis ma main me bruler .Quant à elle , elle me dit :
_ » Laisse ta main encore un moment.Comme elle est rafraichissante et si froide ! »
Malheureusement, j’étais un peu timide , je lâchai aussitôt prise et je lui dit :
_ » tu dois partir directement à la pharmacie pour acheter des médicaments .Tu as beaucoup de fièvre .
Après un bref silence:
_ » Je vais t’accompagner !
_ » Non, non, tu ne dois pas rater tes cours à cause de moi.En plus, je compte sur toi pour me rapporter les cours du jour.
Cette fois, elle partit .Je la regardai s’éloigner jusqu’à ce qu’elle eut disparu de ma vue .
Puis , je me dirigeai vers le lycée.
En arrivant, je constatai que j’étais en retard d’une demie heure.
Heureusement pour moi, j’allais débuter mon premier cours avec le prof Syrien.A suivre…….
The_Dark_Knight
Membrefadi : oui darori
muslima : amine khtijuin 17, 2009 à 12:41 #271753En réponse à : Un documentaire qui fait hala à Rabat
CPH-MORO
Membre@Alaa-eddine wrote:
@khaleco :
oui oui le docu est passé il y a quelques jours, mais c’est une rediffusion.
Le même documentaire a été diffusé il y a plus d’un an. avant même la crise !Concernant la France donneuse de leçons je suis tout à fait d’accord. d’ailleur, j’ai du mal à imaginer un tel projet sans nuire à l’environnement ! pour moi c’est un choix à faire, on ne peux pas garder une nature vierge tout en y construisant un complex touristique ultra moderne !
Salam,
Il ne s´agit pas de rediffusion. Mais des sections ressemblent beaucoup à ceux d´un autre diffusé il y a peu de temps. Et pour l´allégation concernant le fait que tout (ou presque tout) a été vendu: ce n´est vraiment pas le cas. Je suis en contact avec des agents immobiliers britanniques qui opèrent à Saidia, et le problème qu´ils rencontrent, ce n´est pas qu ils n´arrivent pas à convaincre les acheteurs potentiels que Saidia serait un investissement attractif. Non, le problème, c´est que la société Addoha n´arrive pas se comporter comme il faut en ce qui concerne les livraisons, les qualités promis à la signature des contracts. Et SURTOUT, en matière de communication, ce qui ont acheté une villa ou un appartement et qui essaient de prendre contacte avec la société, doivent attendre des mois avant d´obtenir des réponses à leurs questions.Tous ces « détails », si au Maroc ils n´ont pas la valeur qu´ils méritent, à l´étranger où l´immobilier de haut standing se fait valoir , ils servent à former la réputation d´une société .
En ce qui concerne la France comme « donneuse de lecons » , au contraire de la RTM, les journalistes de France télévisons, ont beaucoup plus de libérté pour donner leur point de vue. Les documentaires ne représentent donc pas le point de vue officiel de la France. Je suis sur que ceux qui ont le pouvoir en ce moment en France valorisent le profit encore plus que l´aspect écologique. Biensur il y a un prix à payer lorsqu´on remplace une nature vierge avec un site touristique, mais il ne faut non plus faire l´aveugle et nr pas prendre en considération l´environnement là où il est possible de le faire.
Le reportage fait comprendre que le site n´est pas ultra moderne, comme certain le croit. Preuve: le manque d´infrastructure d´assainissement, ce quiposait un problème à la vielle ville de Saidia bien avant l´arrivée de Fadesa dans la région! Je ne suis pas urbaniste ,mais franchement je me demande comment on peut batir une ville et acceuillr des milliers de personnes sans infrastructures d´assainissement??!!Qu´est ce qu´on veut faire des déchets? Les jeter dans l´eau? Quelle belle baignade!
Le mot échec est un peu exagéré, mais si on veut acceuillir des touristes, voire de nouvels habitant provenant de pays où les règles de jeux sont différent (peut être plus justes? ), il faudrait peut être se changer un peu.
Est ce qu´Addoha n´a pas le personnel aux compétences qu´il faut? C´est ce qu´on dirait en écoutant le « monsieur » qui répond aux questions de la journaliste.
juin 17, 2009 à 9:52 #271752En réponse à : Un documentaire qui fait hala à Rabat
Alaa-eddine
Participant@khaleco :
oui oui le docu est passé il y a quelques jours, mais c’est une rediffusion.
Le même documentaire a été diffusé il y a plus d’un an. avant même la crise !Concernant la France donneuse de leçons je suis tout à fait d’accord. d’ailleur, j’ai du mal à imaginer un tel projet sans nuire à l’environnement ! pour moi c’est un choix à faire, on ne peux pas garder une nature vierge tout en y construisant un complex touristique ultra moderne !
juin 17, 2009 à 6:12 #271689En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantAziza avait partagé le banc avec moi durant toute une année scolaire.On se parlait peu, certes; mais je la regardais assez souvent à la dérobée .Elle était tellement jolie avec sa coupe de garçon.
J’ai une précision à vous faire c’était la première fille que je voyais à la coupe masculine .Elle avait des yeux presque rond et de couleur bleue.Ses joues étaient roses ; quant à sa peau , elle était comme la neige .Quand je lui parlais, elle baissa son regard et devint aussitôt rouge comme une tomate. Puis après quelques secondes , sa peau redevint aussi claire que la lune à son quatorzième apparition .
Cette année là, je prenais le bus pour aller au lycée .j’avais ma carte d’abonné.Aussi, je n’avais nul soucis d’argent .Au fait le billet coûtait 25 centimes .Ma petite amie habitait un peu loin de chez moi.Aussi, quand elle descendit , j’en faisais de même ; ne serait-ce que pour passer des moments de plus avec elle.Elle me disait toujours:
_ » Ce n’est pas la peine de te déranger pour moi!
Je lui souriais avant de lui répondre:
_ » Pas du tout .D’ailleurs j’habite à quelques mètres de chez toi »
Ce qui était faux évidemment !
Un jour en montant dans le bus, je remarquai que mon amie n’ y était pas .Aussi, à chaque arrêt de bus, je la cherchais du regard .
Soudain, à l’avant dernier arrêt , je la vis de l’autre côté.Elle marchait d’un pas souple mais lent .Elle avait le regard baissé en bas et semblait ne plus se soucier de son entourage.Aussitôt, je priai le chauffeur du bus de s’arrêter et je descendis en courant ,au risque de me faire écraser par les voitures .
_ » Aziza, criai-je de toutes mes forces
Elle s’immobilisa et se retourna vers ma direction. Son visage s’illumina comme une pancarte le jour de Noël , ses yeux brillèrent de joie et ses lèvres dessinèrent le plus beau sourire qu’il m’était donné de voir .Croyez-moi, les amis , je me suis rendu compte que la personne qui était devant moi était aussi amoureuse de moi que votre ami d’elle.
Si je vous dis qu’elle s’est précipitée vers moi. C’était à mon tour de lui dire de faire attention. Justement , un vélomoteur était sur le point de la heurter.Heureusement, il l’avait esquivé de peu. Cependant, elle tomba par terre .J’accourus vers elle pour la relever .C’était la première fois que je sentis un long frisson me parcourir de ma tête à mes orteils.Aziza s’agrippa à ma main tout comme un naufragé à une bouée de sauvetage. Quand elle se mit debout , elle tomba dans mes bras et s’évanouit .
Une foule de badauds nous entoura .Heureusement que mon amie ouvrit aussitôt ses yeux.Alors nous partîmes pour l’école laissant derrière nous des regards qui en disaient plus long sur notre relation.
Au lycée, elle m’avoua qu’elle n’avait pas les moyens pour prendre le bus.Moi, bonne âme, je lui donnai la seule pièce de monnaie que j’avais dans ma poche.Elle hésita avant de la prendre .J’étais obligé de la lui mettre dans le creux de sa main.je la regardai : elle avait les larmes aux yeux .Je m’approchai d’elle et je la pris dans mes bras sans se soucier de quelques regards égarés par ci et par là .
Elle hocha sa jolie tête et me dit tout simplement:
_ »Merci ! »A suivre…..
juin 16, 2009 à 6:10 #271688En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantPour cette fois, je vais vous parler de mon premier amour .Ah ,oui, mes chers amis.Tout a un début et je crois que votre ami Houmidi a passé des nuits blanches à penser à sa bien-aimée.
C’était en 1976, j’étais en 5 ème année au lycée.Cette année fut remarquable par la venue des filles pour la première fois pour partager les bancs avec nous.Elles étaient au nombre de cinq pour chaque classe.Par contre , les garçons n’étaient pas moins de 30 .
Vous voyez, les amis, les filles n’avaient que l’embarras du choix !
Je me souviens encore que le premier jour , une fille s’était approchée de moi .Après m’avoir salué , elle m’avait demandé de lui prêter un stylo .Je l’avais regardée si longtemps, bouche bée et regard égaré qu’elle m’avait souri avant de répéter sa requête .Votre ami Houmidi volait en ce moment au dessus des nuages.Soudain, quelque chose chuta de mes mains.Aussitôt, je me rendis compte que c’était mon cartable .Alors tout en balbutiant des excuses, je pris ma trousse et la lui donnai.Bonne âme comme elle était , elle en prit un stylo bleu et me rendit le reste.Puis, elle s’en alla vers ses autres amies.A un moment , je les entendis s’échanger des sourires si angéliques .Elles ne cessaient de regarder vers ma direction.Bien entendu, j’étais aussi rouge qu’une tomate .Mon cœur battait de plus en plus fort .Je sentis tout mon corps trembler comme une feuille d’arbre un jour de vent.Une sueur dégoulinait entre mes vêtements .C’était clair: j’étais tombé amoureux de cette fille.
Quand nous entrames en classe , la jeune fille s’était assise à côté de moi.Elle était tellement polie qu’elle m’avait dit avec gentillesse:
_ » Est-ce que je peux m’assoir près de toi ?
Je lui répondis confus:
_ » Qui , moi ?
Elle hocha sa tête aux yeux verts .Je les fixai longuement et crut entendre qu’ils me disaient : »s’il te plait , ne la laisse pas attendre ! »
En gentilhomme averti, je me levai et l’inviter à prendre place .La scène a été vue par toute la classe qui aussitôt s’était mise à applaudir .
Pas la peine de vous dire que j’étais aux anges .
Quelques minutes après, le professeur entra en classe.Si je me souviens encore c’était un Syrien et il nous enseignait l’histoire et la géographie.
Il nous dévisagea longuement avant de nous dire de nous rassoir .Vous devez bien savoir qu’on s’était mis au garde à vous.Malheureusement, j’étais le seul qui était resté assis .
Bien entendu, il s’approcha de moi , me contempla et constata que j’avais de la fièvre.Aussi, il me dit:
_ » Mon petit, tu parais malade; est-ce que ça va ?
Je balbutiai des mots :
_ » Moi, oui je …vais bien…Ah, non , j’ai mal à la tête.
Toute la classe pouffa .Aussi, je crus bon d’ajouter:
_ » Je crois que je vais bien à présent !
_ Tiens, tiens, s’étonna le professeur et moi qui pensai te donner la permission d’aller chez toi te reposer .
Puis , il regarda ma campagne:
_ » N’est-ce pas mademoiselle….
_ Aziza Z….., se présenta-t-elle.
Quelle brave homme !Je n’aurais pas hésité un seul moment pour l’embrasser et le remercier de son geste.Grâce à lui, j’avais son identité .
Aussitôt, je me levai et dit tout haut en regardant ma compagne :
_ » Moi, c’est Abdelhamid …….
C’était le professeur qui prit la parole:
_ » Enchanté de faire ta connaissance Abdelhamid.
Puis il jeta un regard vers tous les élèves et ajouta:
_ » Cet élève me plait .On peut dire que c’est quelqu’un de vraiment courtois et plein de bon sens.
Il me tapota l’épaule et dit :
_ Allah ya3tik el3afia , ya ibni (1)
Soudain, je sursautai:
_ » Allah yahfad a oustad (2)
Le professeur qui croyait avoir bien fait était si surpris de ma réaction qu’il crut bon de rectifier sa phrase :
_ » Ne t’emballes pas mon petit, je ne voulais pas te dire de mal.
La classe explosait de rire .Je n’avais jamais vu tel spectacle: il y en avait qui se tordaient de rire, d’autres ricanaient, quant aux filles , elles dansaient de rire.
Le professeur ne savait à quel saint se vouer .Aussi, il prit le parti le plus sage: celui de partager notre joie et notre enthousiasme.Enfin, l’un des élèves se leva et dit :
_ » Monsieur, veuillez nous excuser pour ce rire collectif survenu après l’intervention de notre copain.
Et d’expliquer :
_ » Il se trouve que le mot « al3afia » chez nous veut dire le feu ;pour être précis comme si vous aviez souhaité à notre ami un séjour en enfer.
Alors le Syrien partit d’un rire qui n’était pas loin d’évoquer le chant de Fahd Bellan .Après quoi , il se retourna vers moi et dit:
_ » Toi et moi , on va s’entendre très bien .
Puis, il rejoignit son bureau et nous invita à prendre nos manuels d’histoire.
Pendant ce temps, Aziza me dit :
_ » Je suis enchanté de faire ta connaissance Abdelhamid! »A suivre…….
*(1) Que Dieu te donne de l’aplomb
*(2) Que Dieu m’en épargne !
juin 15, 2009 à 11:30 #271347En réponse à : OujdaCity lance le 1er journal papier GRATUIT de l’oriental
zigoma75
MembreJe ne critique pas juste pour la critique…et je ne cherche pas à décourager…loin de là ; je réagis en connaissance de causes…Je n’incrimine personne…seulement,je dénonce la façon dont on « filtre » les propositions de ceux qui veulent contribuer-de bonne foi- à l’épanouissement de ce jeune organe – qui est d’ailleurs le poumon unique des citoyens de L’Oriental , généralement marginalisés sur le plan culturel…et de le hausser à la hauteur de ses prétentions…Lorsque vous proposez votre participation, et que vous la voyez refusée sous prétexte qu’il y a trop de propositions et que vous lisez le contenu de certains articles -je ne dirais pas tous il y en a qui sont à la hauteur et qui méritent respect-……
juin 15, 2009 à 10:47 #271687En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantQuand j’avais l’âge de treize ans , moi et ceux de mon âge on faisait assez souvent des pique-nique aux alentours de la ville.Le matin de bonne heure, on se donnait rendez-vous tout près de chez moi.Chacun de nous apportait des provisions avec lui .La grande majorité était des pauvres .Aussi pas étonnant que dans leur sacoche il n’ y avait que du pain et des olives ; quelques fois des œufs durs .Cependant , sortir à l’air pur nous donnait un appétit d’ogre.A tel point qu’on mangeait tout sans laisser une seule miette!
Je me souviens ,un jour, un de nos amis s’attarda quelques minutes.On était fâché de l’attendre .Aussi quand il arriva, nous nous étions explosés de colère contre lui .
Lui, il ne cessait de sourire .Quand notre crise avait pris faim , il nous avait dit tout simplement qu’il avait une grande surprise pour nous .Chacun de nous avait l’air penaud .Aussi, aucun de nous n’avait eu l’audace de lui demander ce que c’était cette surprise.Alors, nous avons pris le chemin vers Sidi Yahya.Ceux qui habitaient Oujda dans les années 70 , vous diront que notre ville était entourée de verdures , surtout la direction vers la frontière avec l’algérie.Les quartiers à proximité de la ville était connus: vers l’ouest, il y avait Oued Ennachef ; vers l’est Boudir ; vers le nord ,le quartier de coulouche ;enfin vers le sud le quartier de Ch3ouf .
Donc, au printemps tout était vert : champs et arbres .Alors, on traversait les espaces verts tout en arpentant des sentiers qui zigzagaient comme un serpent .Je crois bien que le fait de marcher sans savoir le nombre de kilomètres traversé faisait de nous des aventuriers .Parce que , voyez-vous mes amis, il nous arrivait de nous retrouver dans des endroits qu’on n’imaginait pas les atteindre aussi facilement ou tout simplement des lieux qui n’étaient pas dans le programme de l’excursion.Tenez, un jour on s’était retrouvé dans un patelin en Algérie ; une autre fois , on avait dépassé Sidi M3afa de quatre kilomètres .Toutefois , on ne se plaignait jamais de marcher .
Il nous arrivait aussi d’être attaqué par une hordes de sauvages .Bien entendu, nous nous battions comme des lions .
Je me souviens ,un jour nous fumes attaqués dans les environs de Oued Isly .On était allé là-bas pour pour attraper des grenouilles et des têtards pour un Espagnol qui nous donnait une grande somme d’argent pour nos trophée.Soudain, nous étions encerclés par une bande d’environs trente personnes.On peut dire que nous étions faits comme des rats.Les combattre était de la folie .Prendre la fuite était tout à fait impossible.
Donc, chacun de nous se résignait sur son sort.Au fait , nous étions 7 personnes en tout.
Le chef s’approcha de nous en ne cessant de ricaner .Il avait des dents assez dorées pour constater que sa bouche n’avait jamais connu l’usage du dentifrice .Aussi je vous déçois si je vous dis qu’il ne riait pas jaune, celui-là!
Il nous dévisagea longuement ; puis il s’approcha de l’un de nous.La dite personne tremblait comme une feuille Aussi, quand le gaillard attrapa notre ami par le col de la chemise , il fut surpris par des êtres tres minuscules qui l’attaquaient .Le Mastodonte qui ne s’attendait certes pas à cette invasion lança un cri , pas d’attaque mais de détresse .Soudain, on le voyait qui dansait tout en ne cessant de crier .Paniqués, les autres se dispersèrent comme une poignée de graines dans la main d’un cultivateur entrain de semer sa terre.
Ah les amis si vous avez vu ce tohu-bohu: ça se bousculait, ça criait,ça jacassait ça courait…c’était comme une assemblée de mouches dans une crotte de cheval qui soudain se voit piétiner par un campagnard avec son âne!
Vous l’avez sûrement deviné , les petites grenouilles cachées sous la chemise de notre ami.Le pauvre ne possédait pas de poche.Même , s’il en possédait , il les laissait pour d’autres usages .Donc, comme ces amphibiens avaient besoin de changer d’air , ils décidèrent de faire la belle.Le hasard voulait qu’il venaient tout juste de changer de chemise!
Pour revenir à notre compagnon, il était aussi vert qu’un billet de cinquante dirhams.Quand, les envahisseurs avaient débarrassé le plancher, on constata qu’il avait pissé sur ses frusques.Pas étonnant les amis , il n’aurait pas mieux fait!
juin 15, 2009 à 10:56 #225704En réponse à : zaouia boutchichia a madagh :fete de la bourgoisie
tachafine
Membremonsieur ramzi je croit vous avez mal compris ce qui a ete ecrit a ce sujet :
– ne croyez pas tous ce qui est ecrit sur wikipedia , il faut chercher la verite de l’origine , de la source , et moi je suis sur de ce que j’ecrit , mon grand pere (allah yrahmou) etait un des proches de hamza kadiri boutchich ,il connait parfaitement la zaouia , et je le dit et le redit : hamza kadiri boutchich n’a jamais eu un diplome universitaire ou koi que ce soit , c’est vrais il a appris le saint coran bhalou bhal hadouk talba dyal zroud , il ne savent meme pas ce qu’il lisent ..
– hamza kadiri boutchich n’a jamais jamais jamais , et il ne pouras pas … animer une causerie religieuse …ou donner des lecons sur la charia ou des etudes islamiques …
-monsieur ramzi je ne suis pas un grand savant mais je suis un citoyen de la province de berkane qui connait plus sur cette zaouia et sur la famille boutchich alors .. allez a madagh douar ouled el amri et vous aurez des reponses sur terre … soyer un peut realiste et chercher bien … vous aurez des reponses claire…
-en tous cas je ne retire aucun mot de ce que j’ai deja ecrit … simplement je suis sur et certains de cette bourgoise famille qui procede a la collecte d’argent 3la dhar lfoukara lmasakin … ou 3la dhar la charia al islamia .. allahouma ina hada lamounkar allahouma ina hada lamounkar ..
-pour les membres de cette famille , avoir un diplome ; ou meme doctorat c’est facile; tres facile .. iwa fham rasek ou khali dak jmal barek
juin 12, 2009 à 2:47 #271632En réponse à : Les Elections Version OujdaCity
OUJDI_PUR
MembreSVP modifie l’image que t’as posté ,le MAROC s’etend de tanger a lagouira et le sahara est marocain
il faut faire attentionjuin 12, 2009 à 10:38 #271628En réponse à : Les Elections Version OujdaCity
OUJDI_PUR
Membrele maroc s’etend de tanger a lagouira
assahra maghribia
juin 12, 2009 à 1:59 #270523En réponse à : parler sans crainte…on est la pour se soutenir
Moonlight
MembreMerci ma chere Just-You hih. shno ngoulk a zine lahla ykhatik w lla, t es tjr presente , merci soeurette alhamdoulah pour tout w safi
yasminette . raki koun temsh il 9arta 7anna l bazz yhablouk hihihihi profite de ta liberte avant k ils viennt y9ar9jouk hihihihihi awdi casa dur oui mais dork twalfi azin , foukash lobia? PDT_Armataz_02_04
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