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15 réponses de 436 à 450 (sur un total de 695)
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  • #215850

    En réponse à : Presentez vous

    ayman
    Membre

    @touria016 wrote:

    ….au suivant !!!!!!!!! ➡

    Alors , apres Tounia et Dawy ( notre moufti veneré epoux de la respectueuse lala hmimssa) , je viens moi , Ayman :voilà à quoi je ressemble PDT_Armataz_02_12 , suis modeste et un peu plus gentil que Dawy mais trop moins calé que lui matiere fetwa et religion ,lui c’est notre etoile de sud 🙂 ,et un peu moins malin que Tounia ( c’est une malicieuse hh) et grincheuse surtout mais faut rien lui dire sinon elle va me retirer le DEV titre que j’aime point 😆 😆 😆

    #240188

    L’avenir de l’ENCGO est entre les mains de ses étudiants et ils sauront comment le protéger s’ils ne l’ont pas fait déja…

    Permettez-moi d’abord de vous féliciter jeunes Encgistes d’Oujda. Vous avez marqué votre profil et sa qualité à travers vos réactions qui ont été à la hauteur. L’article paru dans le journal Albayane prouve aussi que vous êtes des étudiants très civilisés, intelligents et intellectuels.
    Mais désolée si le niveau même en gestion que vos EX enseignants, EX conférenciers tant marocain que français, administrateurs et EX responsable ont milité pour apprendre à le et perfectionner s’est retrouvé si bas avec votre nouveau directeur et nouveau staff mais cela ne veut pas dire que vous devez vous démoraliser.
    Votre « sauveur », ce n’est pas lui. Vous n’aviez pas besoin d’être sauvé avant qu’il vient. Ce harcèlement moral que vous subissez actuellement ne durera pas certainement car il y a toujours un bon Dieu. Continuez votre parcours, défendez vos objectifs, votre dignité et votre fierté car vous devez être fiers de faire partie de l’ENCGO qui a commencé de ZERO pour faire de vous des lauréats demandés avant même d’avoir leurs diplômes.
    Surtout ne vous démoralisez pas. Le harcèlement moral est l’un des plus grands destructeurs de la personnalité. Il est usé par les personnes ayant des troubles dans leurs personnalités et qui ripostent à ce trouble en faisant souffrir les autres ne serait qu’avec des blâmes, des injures, des outrages et autres…. Soyez sûr d’une chose : vous avez prouvé que vous êtes meilleurs que les étudiants de la fac mais il faut aussi reconnaître une chose : inutile de vous comparer avec qui que ce soit autre que vos confrères des autres ENCGs car tout simplement votre parcours est différent des leurs et il ne faut jamais comparer l’incomparable. Personne de l’ENCGO n’a touché les lauréats de la faculté par un mot, alors soyez aussi vous digne de ça. Et pour le Monsieur du mastère Ami du fils unique du nouveau directeur, soyez sur qu’on a jamais sous-estimé personne et qu’on est loin de faire des comparaisons car c’est inutile. On compare deux choses comparables et non l’inverse. Si la faculté était similaire à l’ENCGO alors pourquoi la créer récemment (2004) et augmenter les charges de l’état vous qui êtes gestionnaire…. ?
    Encore une chose, le niveau de communication dans ce forum s’est avéré un peu bas par rapport au niveau de ceux qui sont entrain de juger des étudiants même sans les enseigner ou les évaluer sur des bases solides. Je suis désolée pour vous car vous démontrez aussi votre qualité en portant injures à celles des encgistes.
    Veuillez aussi svp de garder le respect à vous-même ainsi que des autres. Si quelqu’un veut rendre des comptes de jadis à un autre, ce n’est pas en utilisant les étudiants. Et si quelqu’un veut défendre quelqu’un d’autre alors qu’il soit honnête dans sa défense et qu’il ne porte pas préjudice aux autres car tout simplement son jugement reflète sa personnalité et donc sa qualité que vous êtes tous entrain de débattre à travers ce forum. Une dernières chose : apprenez les ABC de la politesse et en parlant d’un grand enseignant ‘PES’, apprenez à dire Monsieur tel que M. Amamou et non Amamou, surtout lorsqu’il s’agit d’une personne qui a tant milité pour la région orientale et a ramener l’ENCG à Oujda depuis 2004, il a aussi faire grandir ce petit née sans rien sauf car les gens le respectait énormément et il était très bien accueilli là ou il mettait les pieds.
    Je vous souhaite bonne chance, vous avez commencé un grand combat car vous êtes touchés et visés alors ne vous laissez pas faire et bonne courage. Que Dieu vous soit de son grand aide.

    NB : celui qui prétend commencer à déterminer la qualité des encgistes, j’aimerais bien lui dire que les français avant lui l’on évalué avec le baromètre de HEC Paris, IAE de Montpellier, d’Avignon, de Nancy et d’autres, qu’il m’excuse pour le terme mais son jugement n’est qu’un jugement aléatoire sans valeurs car les vrais gestionnaires ont dicté leurs Verdict avant même d’arriver à ce niveau aussi bas initié par le nouveau directeur et fructifié par ses pions et les gens comme vous. Soyez prudent la prochaine fois car vous pouvez tomber entre de mauvaises mains qui vous font valoir le poids de chaque terme que vous prononcez à l’égard des étudiants et non plus d’élèves ( avant on les appelait élèves mais avec la nouvelle réforme, on les appelle des étudiants désormais, c’était juste à titre d’information pour ne pas parler la prochaine fois à tort et à travers)
    Merci.

    #237240

    En réponse à : Namima Party :D

    dawy
    Membre

    (ra7na) chaftak ka ta8dar bal jam3.Chkoun 8adouk li 9arrarou ma3aka 😆

    Lassa9 li tikiate li bghit sauf 8adik dyal al 7aj.
    Sinon khassak daymen tgouli al moucha8id, al mousalli ,a saim,al mouzaki 3ad ta9dar tgouli al 7aj.
    Non serieusement je prefere appeler mon coreligionnaire par son nom.
    Al 7aj n’est en aucun cas un titre honorifique pour un musulman.

    #203347

    Sujet: Maroc et Denmark

    dans le forum Débats
    ayman
    Membre

    Le ministre d’exterieur danois vient d’inaugurer la nouvelle ambassade danoise à Rabat ,ainsi promettant la consolidation des relations maroco-danoise notament dans le domaine droits de l’homme et la lutte contre l’emigration clandestine,l’epanouissement d’echange …
    La question qui s’impose : a t-on oublié les caricatures provocantes ! le devoir de boycottage tant acclamé les foules!!
    Sommes nous un peuple qui oubli vite ?!
    Qu’en pensez vous?viser l’interet commun (s’il est bien commun ) , garder bonne relation avec l’aurte?ainsi garder le titre du pays gentil, la benediction des nations unis ,et decrocher quelques contrats bilateraux?
    oubien, c’est une deuxieme humiliation de tendre la main à ceux qui nous ont insulté et blessé notre fierté?
    Que dites vous??

    #240390
    touria016
    Membre

    @ayman wrote:

    @houlakou wrote:

    kifach a AYMAN baghi tajbad zga maa TOUTA wala aalach galou lik hiya mataarafch taktab link ha wadni manak 😆 😆 😆

    La ri brik n3awan wsafi ,touta touta ,khilsiti lhadouta 😆 😆 zina hadi touta,safi malyoum min tkoun gentille ngouloulha Touta, min tkoun mechante Tounia 😆 😆

    Aaaah, c mal dit d’un grand avocat qui est censé défendre et non verballement abuser de celle qui lui a décerné le titre de DEV’ ! 😈 👿

    #203293

    Sujet: Votre mouton en foto

    dans le forum Café OujdaCity
    nediha_gawriya
    Participant

    bonjour tt le monde

    tt est ds le titre allé montrer nos vous mouton ou bien vos « chaton » 😆

    welah welah li yed7ek 3la kebchi, nbassi 3lih 👿

    #239878

    En réponse à : Visa salarié

    nediha_gawriya
    Participant

    @houlakou wrote:

    1-Attestation du travail indiquant son titre son salaire et le nombre d annees d anciennete
    2-attestation de conge
    3-releve banquaire de 6 mois
    4-CNSS
    6-bergement ou reservation d hotel
    7-billet allez retour
    8-etre en bonne forme pour prendre la queue 6h 😆
    9-tlab zahrak 😉

    merci 🙂
    la personne concerné est en chomage (depuis 5 mois environs) donc cmt faire pour le 1 et le 2 (je pense ke la lettre d’emboche suffit de la part du futur employeur)

    #239877

    En réponse à : Visa salarié

    houl
    Membre

    1-Attestation du travail indiquant son titre son salaire et le nombre d annees d anciennete
    2-attestation de conge
    3-releve banquaire de 6 mois
    4-CNSS
    6-bergement ou reservation d hotel
    7-billet allez retour
    8-etre en bonne forme pour prendre la queue 6h 😆
    9-tlab zahrak 😉

    #218508
    nass
    Membre

    salut Vertigo
    bienvenu a toi..je suis sure que tu te plairas avec nous..
    et tu te sentiras vite en famille…
    en fait… Vertigo..c’est pas aussi le titre d’un film de hitchcock …!!! 😉 😆

    #239619
    observateur
    Membre

    Lalla Zoubida est un personnage clé dans l’histoire du roman et ce à plus d’un titre. Elle est la mère d’un enfant mineur et par conséquent son tuteur, comme elle est la maîtresse de maison d’un foyer d’où le père est souvent absent. Elle a la fonction de remplir les vides : vide patriarcal laissé par l’absence de la maison de son mari Si Abdeslam et vide narratif laissé par le jeune âge du narrateur Sidi mohammed. A ce titre, elle est constamment présente et sa présence pèse lourd sur le récit qu’elle domine par ses nombreuses interventions aussi bien à caractère social que narratif. C’est une femme qui s’impose à Dar Chouafa par ses origines de Chérifa ,descendante du prophète(femme de naissance noble) comme elle le fait entendre à haute voix :<>( page 16) c’est pourquoi elle prend des airs de supériorité sur ses voisines dont le nom n’est précédé d’aucun titre de noblesse comme Rahma et Fatma Bziouya tout court ; enhardie par ses origines, elle s’impose par son parler rude et par ses prises de positions pour prendre la défense de son amie Lalla Aïcha dont elle se fait l’avocate ou pour s’en prendre aux autres ; elle s’impose également par ses interventions dans le récit qu’elle prend en charge au détriment du narrateur officiel et attitré.

    Toutes les fois que Lalla Zoubida prend la parole, c’est pour agresser ou contrefaire. Son langage est grossier et frôle parfois le vulgaire, ses insinuations nombreuses. Elle domine l’œuvre par sa présence permanente, et Dar Chouafa par sa position : rien ne lui échappe de son deuxième étage qui lui offre une vue en plongée. Pour rentrer chez-elle, elle passe par Kanza, la Chouafa, par Rahma la femme du fabricant de charrues, et par Fatma Bziouya ; pour en descendre, elle fait l’inverse. Elle est donc le personnage le mieux renseigné du roman, plus que le narrateur lui-même, grâce à ses nombreuses sorties qui lui permettent d’aller à la recherche des nouvelles qu’elle trouve du plaisir à colporter.

    Dès la seconde moitié du chapitre I, le lecteur prend connaissance de Lalla Zoubida : en effet, elle accable d’insultes Rahma qu’elle traite de tous les noms ; son mari non plus n’échappe pas à sa langue :<> (page 16). Au retour de Si Abdeslam de son travail, elle lui fait le comte rendu de la dispute du jour à sa façon mais de manière non moins insultante pour sa voisine qu’elle dédaigne de nommer et qu’elle désigne par le métier peu noble de son mari :<> (page 18). Comme la journée ne lui a pas suffi à calmer les démons qui habitent son corps de démon femelle, lalla Zoubida ouvre les hostilités .Et les deux femmes enhardies par la présence du mari de chacune, s’échangent des insultes d’égale à égale, mot pour mot, injure pour injure, contorsion pour contorsion. La dispute du soir est une réplique de celle du matin avec en plus la présence des hommes et le sentiment que Rahma a de rendre à Lalla Zoubida coup pour coup. A <> de Lalla Zoubida, répond :<> de Rahma (pages 18 et 19). Et la suite est une cacophonie d’injures, d’insultes, de cris, mêlée d’échevellement, et de contorsions.

    Abdelkader, l’associé de Moulay Larbi, n’échappe pas aux diatribes et invectives de Lalla Zoubida; elle le traite de ; de , pour devenir en fin de compte. Elle le classe parmiet<> (pages 68 et 69)

    La fille du coiffeur devenue la seconde épouse de Moulay Larbi fait les frais de Lalla Zoubida par ses insinuations indécentes à caractère charnel ou érotique : (page232).

    Le narrateur lui aussi reçoit sa part du registre de Lalla Zoubida qu’elle désigne par des dénominatifs non moins péjoratifs et insultants<> ; <> ;; (page 104).

    Crainte de la plupart des femmes pour être une femme qui fraternise avec Satan et le Diable et pour commander les Démons qui peuplent l’univers, La Chouafa ne fait pas exception à la règle :<> (page 111)

    De retour chez-elle après le bain maure, elle se livre à toute une comédie où elle allie avec art le geste au verbe et dont les baigneuses et les masseuses sont les infortunées victimes contrefaites :<> (page13)

    Et pour finir Lalla Zoubida se joint à Lalla Aïcha, et à Salama la marieuse pour couvrir d’injures le coiffeur, sa mère, sa femme et leur fille : elles<>, quant à la mère du coiffeur (<>) (page 238) même morte, elle n’est pas épargnée. Les deux Lalla composent un couple de jumelles parfaites ; les noms des Khadija ne leur échappent pas : Ils sont pour elles source de plaisanterie et de rire<> (page148).

    Puis les deux Lalla donnent libre cours au côté poétique de leurs commérages sur les hommes :<> (page 58).

    Le registre de Lalla Zoubida est riche et varié en grossièreté. S’il lui arrive de ne pas trouver une victime sur qui se décharger, elle se retourne contre sa propre personne : (page 177)

    Zaid Tayeb 12-11-07

    #239618
    observateur
    Membre

    Deux récits jumeaux s’emboîtent dans la Boîte à Merveilles pour tisser sa structure de manière parallèle ou superposé. D’un côté, il y a le récit de la famille de Sidi Mohammed et de l’autre celui du couple Moulay Larbi et sa femme Lalla Aïcha. Mais il semble que le second récit a éclipsé le premier. Je crois que la narration de l’un et de l’autre y est pour quelque chose dans cette prééminence de l’un sur l’autre. Si la narration du premier récit est menée par Sidi Mohammed en sa qualité de narrateur attitré par l’auteur, la seconde, elle est plutôt conduite par Lalla Zoubida. Et nous avons l’exemple de deux récits dont l’un entre en concurrence avec l’autre et le masque aux yeux des lecteurs Donc, le récit de Lalla Aïcha prime par son tragique celui du narrateur sur sa propre famille. Quelle en est la cause ? Elle est toute simple. Le narrateur adulte qui émerge du récit en tant que personnage et s’approprie la narration en la chuchotant, en la mimant, intéresse mieux que le narrateur officiel qui voit les choses avec les yeux d’un petit garçon et dont le récit est d’une platitude des dents d’un peigne. Les lecteurs écoutent plus l’adulte que l’enfant car il sait mieux que lui capter l’attention en modulant son récit en fonction des effets qu’il cherche à produire. Lalla Zoubida est donc mieux armée en ce sens que son poltron de fils. Et le monde vu par les yeux d’un adulte retient mieux que celui perçu par un enfant de 6 ans.

    Le récit premier que je considérerai comme le récit porteur est le récit de Sidi Mohammed, le narrateur à qui l’auteur a confié la tache de raconter une partie de son enfance. Il est vrai que cette partie ne constitue qu’une infime part de la vie de l’auteur puisqu’elle ne dépasse pas une année de l’âge de l’enfant narrateur.

    I- Etat initial :<> (de la page 3 du chapitre I à la page 164 du chapitre VIII)

    II- Perturbation : (de la page 164 du chapitre VIII à la page 166 du même chapitre)

    Ceux qui auront choisi la perte du capital de Maâllem Abdeslam comme élément perturbateur n’auront pas tout à fait tort, quant à moi je considère que les choses ont commencé à mal aller pour la famille avec l’achat des bijoux auxquels Lalla Zoubida attribuent un effet néfaste en prédisant que le malheur viendrait par eux. N’a-t-elle pas dit avec la fermeté d’une femme qui écoute la voix de son cœur :<> ? (Page 168), puis : ? (Page 169) et encore<> ? (page 170) . La perte de l’argent n’est que la réalisation du présage de Lalla Zoubida annoncé précédemment. La perte du capital, qui survient à la page 178 du chapitre IX<< J’ai perdu dans la cohue des enchères aux haïks tout notre maigre capital) la perte du capital, dis-je, est donc une péripétie de l’action qui sert à enfoncer encore plus le récit dans la trame de la narration à un moment où tout semblait bien aller pour cette famille qui, comparée aux autres familles, vivait dans une certaine quiétude, à la mesure de l’époque, bien entendu.

    III-Action :<> (de la page 166 du chapitre VIII à la page244 du chapitre XII)

    IV- Force équilibrante : (de la page 244 du chapitre XII à la page 245 du même chapitre)

    V- Etat final :<> (de la page 245 du chapitre XII à la page 249 du même chapitre)

    Le récit second est celui mené par Lalla Zoubida devenue une narratrice d’elle-même ; c’est une prise de pouvoir et un coup d’état perpétré contre le narrateur officiel du roman, mais il demeure bénéfique pour la lecture de l’œuvre dont les péripéties se déroulent sur deux fronts : parallèles ? Alternatifs ? Superposés ? Peut-être les trois à la fois. Mais ce qui est certain c’est que les deux récits s’emboîtent et vont de pair pour trouver leur résolution avec la dernière page de l’œuvre dont ils sont les constituants majeurs.

    I- Etat initial : (de la page 21 du chapitre II à la page 171 du chapitre VIII)

    II- Perturbation : (de la page 171 du chapitre VIII à la page 172 du même chapitre)

    III- Action :<> (de la page 172 du chapitre VIII à la page 220 du chapitre X)

    IV- Force équilibrante : de la page 220 du chapitre X à la page 239 du chapitre XI).

    Avant l’entrée en scène de Salama la marieuse qui est porteuse de la résolution du nœud, Lalla AÏcha connaît l’issue heureuse de l’histoire. Le chapitre XI constitue une mise en scène orchestrée par Lalla Aïcha . Il est plus qu’une assemblée de femmes. C’est une mini cours de justice avec son public (Lalla Zoubida), la victime (Lalla Aïcha), le témoin ( Zhor) et le complice(Salama la marieuse). La scène se termine par le verdict dont le lecteur a pressenti la teneur avec la fin du chapitre X: (page 221 du chapitre X).Le coupable Abderrahman le coiffeur, jugé par contumace, est accablé d’injures, lui et sa famille(page 238 du chapitre XI). Quant à Moulay Larbi, le principal accusé, il est présenté comme la victime innocente du coiffeur et par conséquent « acquitté ».Justice est donc rendue.

    V- Etat final : (de la page 240 à la page249 du chapitre XII). La résolution du problème est confirmée par Driss El Aouad : (page 248 du chapitre XII)
    La lecture des deux récits nous offre la possibilité de les comparer. En effet, si le récit de Lalla Aïcha, mené par Lalla Zoubida part un chapitre plus tard que celui de la famille du narrateur, conduit par Sidi Mohammed, il n’en demeure pas mois que les deux récits vont en parallèle : ils se dégradent tous deux au chapitre VIII et trouvent leur résolution au terme du chapitre XII.

    Récit de Sidi Mohammed racontant une partie de La vie de sa famille

    Le récite de Lalla Zoubida racontant de manière parallèle l’histoire de son amie Lalla Aïcha

    1-situation initiale : du chapitre I, page 3 au

    Chapitre VIII, page 164.

    2- Perturbation : du chapitre VIII, page 164 au

    Chapitre VIII, page 166.

    3- Action : du chapitre VIII, page 166 au

    Chapitre XII, page 244.

    4- Force équilibrante: du chapitre XII, page 244

    au chapitre XII, page 245.

    5- Situation finale : du chapitre XII, page 245 au

    Chapitre XII, page 249.

    1- Situation initiale : du chapitre II, page 21 au

    Chapitre VIII, page 171.

    2- Perturbation : du chapitre VIII, page 171 au

    Chapitre VIII, page 172.

    3- Action : du chapitre VIII, page 172 au

    chapitre IX, page 220.

    4- Force équilibrante : du chapitre IX, page 220 au

    chapitre XI, page 239.

    5- Situation finale : du chapitre XII, page 240 au

    Chapitre XII, page 248.

    Le lecteur peut très bien remarquer que la perturbation dans le récit de Sidi Mohammed se situe 7 pages en amont (page 164) de la perturbation du récit de sa mère (page 171), que toutes deux se situent au chapitre VIII à quelque 6 pages d’intervalle la première de la seconde. En conséquence, il n’y a pas de doute que les deux récits, menés par deux narrateurs différents au sein d’une même œuvre se chevauchent pour aller l’un avec l’autre vers une fin identique : chacune des deux femmes voit son mari lui revenir, Maâllem Abdeslam d’une absence pour travail, Moulay Larbi d’une escapade avec une autre femme.

    Les numéros des pages renvoient à l’édition’’ Librairie des Ecoles- Casablanca’’
    Zaid Tayeb 15-11-07

    #234548
    oujdi12
    Membre

    Annie Besant:un des grands Messagers de l’Etre Suprême

    « Il est impossible, pour quelqu’un qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d’Arabie, pour quelqu’un qui sait comment il enseignait et comment il vivait, d’avoir d’autre sentiment que le respect pour ce Prophète prodigieux, un des grands Messagers de l’Etre Suprême. Et même si ses discours contiennent bien des choses qui sont familières à beaucoup d’entre vous, chaque fois que moi-même je les relis, je sens monter en moi une nouvelle vague d’admiration, un nouveau sentiment de révérence, pour ce prodigieux grand maître arabe. » Annie Besant: ‘‘The Life and teachings of Muhammad Madras », 1932.p.4

    Constant Virgil Gheorghiu:Je félicite les musulmans du fait que leur religion s’intéresse dès son début à l’acquisition de la connaissance

    « Quoiqu’il fut illettré, les premiers versets révélés mettent en valeur la plume, la science, l’éducation et l’enseignement. On ne connaît pas de doctrines qui se sont intéressées à la science et à la connaissance à un tel point. Si Mohammad avait été un savant, la révélation, réalisée dans la caverne de ‘‘Hirra » n’aurait pas causé d’étonnement parce que le savant connaît la valeur de la science. Mais il était illettré, n’avait pas appris chez aucun maître. Je félicite les musulmans du fait que leur religion s’intéresse dès son début à l’acquisition de la connaissance et lui prête une grande importance. » Constant Virgil Gheorghiu: ‘‘La vie de Mohammad », T2,p.45

    James A.Michener: Sur tous les plans, Muhammad était un esprit éminemment pratique

    « Homme d’affaires prospère dès l’âge de vingt ans, il devait bientôt devenir directeur des caravanes de chameaux d’une veuve fortunée. Celle-ci, reconnaissant ses mérites, lui proposa le mariage. Bien qu’elle fut de quinze ans son aînée, il l’épousa et fut un époux dévoué jusqu’à sa mort.

    De même que la plupart des grands Prophètes qui le précédèrent, Muhammad cherche à éviter l’honneur de transmettre la parole divine, se considérant comme indigne d’accomplir cette tâche. Mais l’ange lui ordonne: ‘‘Lis! ». De ce que nous connaissons de sa vie, nous savons que Muhammad ne savait ni lire ni écrire, mais il commença à dicter des mots qui lui étaient inspirés, et qui allaient bientôt transformer une grande partie du globe par le verset: ‘‘Il n’y a qu’Un seul Dieu ».

    Sur tous les plans, Muhammad était un esprit éminemment pratique. Lorsque son fils bien-aimé, Ibrahim, mourut, il y eut une éclipse, et des rumeurs disant que Dieu lui avait exprimé personnellement ses condoléances, s’étendirent rapidement. Or, on dit que Muhammad lui-même affirma qu’une éclipse étant un phénomène naturel, il est insensé d’attribuer ce genre de phénomène à la naissance ou à la mort d’un être humain.

    Lors de la mort de Muhammad, certains voulurent le déifier, mais son successeur administratif mit fin à cette vague d’hystérie par une des paroles les plus belles: ‘‘Si l’un d’entre vous alla jusqu’à rendre un culte à Muhammad, il est mort. Mais si c’est à Dieu qu’il rend culte, Dieu est vivant et Eternel ». » James A.Michener:‘‘ Islam: The Misunderstood Religion », in Revue: Reader’s Digest (édition américaine) Mai 1955,p.68-70)

    Professeur K.S.Ramakhishna Rao: le plus rare phénomène sur terre

    « Le monde a vu en la personne du prophète de l’Islam, le plus rare phénomène sur terre, évoluant en chair et en os. »

    Professeur K.S.Ramakhishna Rao, in ‘‘le prophète de l’Islam », cité par Ahmed DEEDAT dans son ouvrage: Mohammed(ç) le plus grand.

    W.Montgomery: La supposition selon laquelle Muhammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout.

    « La façon dont il accepta les persécutions, dues à ses croyances, la haute moralité des hommes qui vécurent à ses côtés et qui le prirent pour guide, la grandeur de son oeuvre ultime, tout cela ne fait que démontrer son intégrité fondamentale. La supposition selon laquelle Muhammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout. Cependant, aucune des grandes figures de l’histoire n’est si peu appréciée en Occident comme le prophète Muhammad. » W.Montgomery : ‘‘Mohammad at Mecca  », Oxford 1953, p.52

    Michael H.Hart: Muhammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les deux plans: religieux et séculier

    « Certains lecteurs seront peut-être surpris de me voir placer Muhammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d’influence dans le monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les deux plans: religieux et séculier »

    Michael H.Hart, the 100: A.Ranking of the Most Influential Persons in History, Naw York: Hart Publishing Company, Inc.1978, p.33

    Diwan Chand Sharma:Mohammed sws(ç) était l’âme de la Bienveillance

    « Mohammed sws(ç) était l’âme de la Bienveillance et son influence était ressentie et jamais oubliée par ceux qui l’approchaient. »

    Diwan Chand Sharma dans ‘‘The Prophets oh the East », Calcutta , 1935,p.122

    John William Draper :l’homme qui, parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine

    « Quatre ans après la mort de Justin, A.D.569, naissait à la Mecque , en Arabie, l’homme qui, parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine… Mohammed sws. » John William Draper, M.D.LLD dans ‘‘A History Of the Intellectual Development of Europ », Londres, 1875

    Encyclopédia brittanica:la personnalité qui a connu la plus grande réussite parmi tous les personnages religieux

    « Mohammed sws fut la personnalité qui a connu la plus grande réussite parmi tous les personnages religieux. » Encyclopédia brittanica, 11ème édition.

    Georges Bernard Shaw :il mérite le titre de sauveur de l’humanité

    « J’ai étudié -le merveilleux homme- et à mon avis, loin d’être un AntéChrist, il mérite le titre de sauveur de l’humanité. »

    Georges Bernard Shaw dans ‘‘The Genuine Islam », Vol.I, n° 81936

    Thomas Carlyle: il était de ceux qui ne peuvent être autrement que sincères et convaincus

    « Le mensonge façonné avec de bonnes intentions destinées à cet homme (Mohammed sws) ne déshonore que nous… Une grande âme silencieuse; il était de ceux qui ne peuvent être autrement que sincères et convaincus, et que la nature elle-même a crée sincères. Alors que d’autres se complaisent dans des formules et des ouï-dire, contents de leur sort, cet homme ne pouvait se soustraire aux formules. Il était seul avec sa propre conscience et la réalité des choses… Une telle sincérité, ainsi qu’on veut bien la nommer, possède en réalité quelque chose de divin. Le discours d’un tel homme est semblable à la voix qui émane du coeur-même de la nature. Les hommes écoutent et doivent écouter ce discours mieux que tout autre… Le reste n’est que futilité en comparaison. »

    Thomas Carlyle dans ‘‘heros and Hero-Worship », p.71

    #203237

    La médiathèque de la ville d’Oujda

    La médiathèque de la ville d’Oujda est l’aboutissement d’un projet commun : pour la promotion du réseau de lecture publique marocain initié par Le Ministère de la Culture en partenariat avec le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Maroc et la commune urbaine de la ville d’Oujda.
    La médiathèque est riche d’une collection bilingue (arabe/français) de 10 000 livres et d’un fonds audiovisuel de 1 000 CD, DVD et CD-rom. Elle offre également des espaces de consultation bien équipés pour permettre au plus large public de se former, de s’informer mais aussi de se détendre dans un cadre accueillant et chaleureux.

    Des bibliothèques satellites graviteront autour de la médiathèque de la ville D’Oujda à « Ain sfaae, Aklim… », aux collections plus modestes, elles proposent toutefois aux populations rurales et périurbaines concernées un service de grande qualité grâce à l’implication de leur « tête de réseau » (prêt, échange de collections, programme commun d’animations) et au soutien apporté par la direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture.
    La médiathèque proposer des collections riches et diverses pour « donner à tous libre accès aux trésors de la pensée et de l’imagination de l’Homme », c’est l’ambition qu’elle se donne en collaboration avec les autres médiathèques du réseau et les bibliothèques satellites, s’inspirant du manifeste de l’UNESCO. Elles invitent en effet les publics de tous âges, sexes et catégories socioprofessionnelles, à venir trouver dans un cadre accueillant les documents les plus variés. D’un roman policier à un site Internet spécialisé en gastronomie, d’un disque de contes pour enfant à un documentaire sur les maladies infectieuses : tous les supports sont disponibles dans les collections du réseau de lecture publique.

    Promouvoir le livre et l’information, c’est aussi en faciliter l’accès. La médiathèque est donc ouverte à tous gratuitement. Les collections sont en libre accès pour qu’un utilisateur puisse, seul ou avec l’aide d’un bibliothécaire, trouver le document qui l’intéresse et l’emprunter après s’être inscrit. L’ensemble du fonds documentaire du réseau est également recensé dans un catalogue collectif informatisé, interrogeable via l’Internet ou sur place. Les espaces de consultation de la médiathèque a été conçus pour s’adapter aux besoins et aux pratiques de chaque public (tout-petits, enfants, jeunes, adultes).
    Car, au-delà de leur vocation traditionnelle de mise à disposition et de prêt de documents, ces médiathèques et bibliothèques sont également des espaces de vie culturelle qui invitent aux plaisirs de la découverte et de la connaissance : des animations (rencontres, lectures, expositions, débats, ateliers…) y sont organisées régulièrement par les équipes en place ou les associations culturelles locales à l’attention du plus large public.

    La médiathèque de la ville d’Oujda travaille dans l’ensemble d’un réseau de 10 médiathèque réparties dans les villes suivantes : Oujda, Taza, Mekhnès, Al Jadida, Sala aljadida, Khribga, Beni mellal, Larache, Ouarzazate, Tiznit.

    Le travail en coopération mené par les médiathécaires du réseau s’illustre d’abord par la création d’un catalogue commun recensant l’ensemble des collections du réseau lecture publique. Géré par la Direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture, ce catalogue est consultable via Internet et permet aux utilisateurs d’interroger aussi bien le fonds de la médiathèque de leur province que celui des autres médiathèques du réseau.
    Son élaboration a nécessité en amont l’adoption de procédures communes (plan de classement, manuel de catalogage notamment), diffusées par l’association des médiathécaires du réseau de lecture publique créée en 2006.

    La médiathèque de la ville d’Oujda : Mohamed Ben Amarra

    Les partenaires pour la création la médiathèque :

    • Ministère de la Culture
    • La commune urbaine de la ville d’Oujda
    • L’ambassade de France

    Caractéristiques de la médiathèque :

    o La surface : 320 m2
    o Les espaces : la médiathèque contient trois espaces de lecture ; espace adulte, jeunesse et enfance. Il y’aura une salle de traitement du fond et un bureau du responsable ainsi que des toilettes.

    Fonds documentaire :

    • La dotation totale du fonds documentaire imprimé est de 10 000 titres.
    • Le fonds documentaire audiovisuel atteindra 1000 titres
    • La répartition du fonds est la suivante :
    o 1/3 de livres pour les enfants, 1/3 pour la jeunesse, 1/3 pour les adultes.
    o 50% de livres en arabe et 50% en français.

    Budget alloué à la création de la médiathèque (en dhs) :

    Collections imprimées : 946 374
    Fonds audiovisuel : 46 066
    Mobilier de bibliothèque : 765 824
    Equipement informatique : 177 275
    Equipement audiovisuel : 50 736
    Total : 275 986 1

    Toutes les fonctions de la médiathèque sont informatisées :
    o la gestion du fonds documentaire
    o Les transactions prêt/retour
    o La gestion des utilisateurs
    o Les statistiques.

    Fonctions de la médiathèque :
    o Accueil et orientation du public
    o Accès aux fonds documentaires imprimés et audiovisuels
    o Recherche dans le catalogue collectif
    o Prêt des documents
    o Accès à l’Internet
    o Animation autour du livre et de la lecture.

    note : pour plus d’information sur le le réseau de lecture publique marocain Veuillez consulter :

    http://www.minculture.gov.ma/fr/FSLP.htm

    http://www.ambafrance-ma.org/cooperation/index_coop_culture.cfm?view=coop_culture_ll&viewAll=TRUE&part=3

    http://rlp.artblog.fr/

    #239122
    ayman
    Membre

    Marhaba bik 😀 ;ici comme le titre l’indique c le foot,
    tu veux parler de autre chose?sinon y’a d’autres rubriques

    #232330
    Alaa-eddine
    Participant

    bonjour et bienvenue à notre forum nadia 🙂

    je n’ai pas beaucoup de temps pour trop detaillé la réponse mais je répond brièvement .

    pour la première question : la demande peut etre aussitot que tu trouve un travail ET que ton employeur accepte de faire la procédure, car une bonne partie de la procédure est liée à ton employeur .

    pour la deuxième question : tu as tout à fait le droit de déposer ta demande tant que ton titre de séjour est valable, passé ce délais tu n’y a plus droit évidement … suite à ta demande tu recevra normalement un récepicé avec la mention « changement de statut » .

    j’espère t’avoir éclaircis bon courrage 🙂

15 réponses de 436 à 450 (sur un total de 695)
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