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15 réponses de 31 à 45 (sur un total de 707)
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  • DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    PENSÉES BIAISÉES ET RÉCRIMINATIONS FASTIDIEUSES

    Comment puis-je creuser une montagne dans l’image que je vois à la télé ? Comment sortir du tunnel que je vois dans le rêve ? Aller sur d’autres mondes et retourner sans crainte du néant ? Comment rendre vivant cet objet et faire de cette image une femme mienne ou mon autre frère ? Rendre les images vraies et agir dessus et par elles ? Questions d’enfants ? Pas si sûr ! La réalité dépasse la fiction. Il n’y a qu’à être puissant et riche. Mais le contraire est plus facile. Détruire les objets, saper la nature, médire des autres et en avoir peur ! On y a pour la lecture…

    Oniric’art ou sciences oniriques…Entre la fiction et les fantasmes, la métaphysique et les recherches sur les potentialités du cerveau, voici quelques divagations banalisées et des imprécations autour de l’amour de la nature et de la place de l’homme imprécateur, insatisfait mais positif. Un exutoire pour les premiers jours de 2012.
    Nous ne sommes que les invités d’un corps et d’une terre, des occupants brutaux et peu amènes! Idées préconçues, pensées en errance, ou comment exploiter les souffrances et les insomnies. Dire banalement aux autres ce qu’ils savent, n’est pas facile, surtout à l’endroit des cadres tordus ! Ils se reconnaitront, s’ils ont la chance de nous lire. Lâcher des invectives quand on a des protecteurs est également lâche. Surtout quand on jouit d’autres sanctuaires, d’autres revenus parallèles, d’autres dieux ladres et chiques nationalités. Le courage est de s‘exprimer ici, quitte à bêler parmi les vaches, de vive voix et selon les voies qui sont à peine tolérées.
    Tonnerres sur les viscères. Éclairs dans les chairs, lumières dans les hémisphères, veille consciente, douleurs aux tendons et aux jointures. Le député ou la ministre est partie. Elle ne peut plus complaire ni en rire ou attirer sur elle, les imprécations, messire. Les muscles répondent point par point aux tortures. L’ire liquide attise la colère. L’insomnie donne l’impression d’une éternelle douleur. Exaspéré, tu prends conscience de ta souffrance, celle de ton bien, celle de ton corps, pour ressasser sans les oublier celles de ta cité ou de la terre entière. Et pourtant c’est la fête dehors. On vous empêche de dormir. On fait du bruit avec de la musique et on se marie.

    ARBRES ET TROTTOIRS

    Là, ce sont des arbres ‘’urbanisés’’, vivant dans la même serre. Sur l’un d’entre eux, tu pourrais admirer un souvenir gravé avec art. Un cœur est dessiné, un poignard le perce dans l’écorce. Y sont écrits depuis presque cent ans deux prénoms. Ce buste vient de tomber sous la scie. Le souvenir avec de ceux qui sont passés. Il ne reste plus de témoins à cet amour.
    Nos administrateurs peuvent se targuer de dire : là, ce furent des arbres ‘’urbanisés’’, qui vivaient dans la même serre que nous. Nous respirons le même air avec ressentiment l’air pollué, âcre et stertoreux qui révolte les poumons et révulse les narines. On voulait rendre muet les sujets, maintenant on veut asphyxier les citoyens. Façon de les apaiser ou de les maudire. De les sanctionner en les forçant à respirer leurs excréments ?
    Pourtant, ces êtres immobiles, les arbres, rafraichissaient l’atmosphère et donnaient de leurs vertes statures un air embelli à la ville. Malgré ses trous et ses territoires, ses façades délabrées et sales, qui persistent comme une offense à la modernité du pays, sans que nulle campagne publique ne vienne à les restaurer pour ne pas dire les embellir. Pour être justes et objectifs, en fait on s’active, mais c’est trop peu. Autres sujets, délicats et plus tranquilles, cloués au sol comme des demandeurs d’emploi devant le parlement, ils sont de toujours serviables et utiles. Je parle des arbres.
    Des arbres, des concitoyens silencieux et immobiles, hé bien, un décret malin vient de les condamner. A la scie et au bucher, comme les martyrs du moyen-âge. Ce qu’ils vont devenir, du charbon. Ce sont des arbres ‘’ domestiques ‘’ que l’on enferre, que l’on enferme, que l’on vide, que l’on tue et que l’on viole. Que penser, qu’imaginer, que voir, que dire, que faire ? Même les arbres souffrent, dans nos murs et sur nos trottoirs, sur ce qu’on appelle improprement nos terres ! La terre, ‘’mine aïna laka ma lane yakouna qate înedaka ?’’ Réduits, exigües, troués, encombrés de trous et longeant des avenues devenues plus étroites de que des rues, les trottoirs sont sur la coupe du néo-colonialisme, cafetier. Les piétons n’ont qu’à aller se bousculer sur le bitume et s’éviter de casser les pare-chocs des voitures ! Envahie, la ville, dortoir humide, est quasi tétanisée.

    HOMO SAPIENS

    L’aube dorée de la femme juxtapose le crépuscule violet de l’homme décrépi. Le brasier des passions et les barbouzes du sexe prospèrent dans leur viscérale industrie. La noblesse des idées se heurte à la fausseté de la pratique, quand les contraintes morales échouent sur la réalité. Idées préconçues, théories, allégations, singeries, copiage sans garde-fous des frasques du plus vieux métier ! Autrui nous sert d’exemple faussaire. Littérature, lubies et rêves estropiés. Le roman n’est pas une biographie. Ce qu’on raconte n’est pas forcément vrai. Du moins ça change comme le regard et la vue, la vision du moins, à travers les facettes d’un prisme. L’entrelacs des civilisations libertaires, mosaïques multicolores et tourbillonnantes vues à travers les dentelles boisées des moucharabiehs.
    Vous dites enthousiaste, ingénu et franc : « Je sais comment travailler, mais je ne sais pas contrôler ». On vous répond, avisé et magnanime : « Faites ce que vous avez à faire, le reste viendra ». Fort bien ! Compliments et assurances sereines et averties comme ressorts ! Par delà les essais et les erreurs on retient la moralité de l’histoire. Pour l’avenir commun on compose. J’écarte, tu disposes. On ne détruit plus. Les accaparateurs et les exploitants aux tristes records seront plus avertis contre les excès, les bricoles et les bavures. On solde ceux qui vous ont fait inventer de quoi épuiser les terres ? Peut-être pas ! On les assagit, avec le gîte et le couvert.

    THÉÂTRE PROLIFIQUE

    Le jeu, celui de vivre et se multiplier sur terre est une comédie assez courte, une anecdote, une blague éphémère par rapport çà ce que l’homme, sapiens de surcroit, profane, épuise à jamais et consomme. Le jeu, la vie de l’espèce humaine, cette comédie où les acteurs se suivent et ne jouent qu’un instant sans faire carrière, à quoi est-ce que ça sert ? A qui sert-il ? Y a-t-il un but ? Pour quels acteurs et spectateur ? Qui est dans les coulisses ? Est-ce simplement le fruit des hasards ? Pour une pièce, dont le générique et le scénario, se sont pas totalement écrits et dont les acteurs inconstants sont toujours des novice, qui n’ont lu ni préface ni prospectus, nous sommes toujours à l’essai ! On ne devrait pas nous juger ! Le jeu se complique et se développe à l’intérieur de lui-même. La pièce prend le dessus sur ce qui a été auparavant prescrit pour elle. Elle s’invente et s’amplifie au fur et à mesure, selon la véhémence des acteurs et ou leurs interprétations placides.
    Nous sommes les spectateurs insensibles de nous-mêmes, les acteurs inconscients et distraits. Nulle moralité n’est à attendre de cette fable dont les plus avertis partent sans laisser d’adresse ! Quelques plaisirs futiles, oniriques, pour certains et puis le néant ! Ou les funérailles qui laissent de vagues cendres sur la scène que les acteurs triturent des pieds. Pour les autres, la grande majorité, c’est un tissus conjonctif, mou, aux marges de figurants, qui ne sont que de sombres des silhouettes au plus. L’exclusion est leur ratage habituel, les privations les douleurs leur lot. Certains obtiennent des cachets qui sont des millions de fois supérieurs à ceux que récoltent d’autres acteurs pour jouer sur la même scène, avec les mêmes compétences et parfois plus ! Parfois, avec plus de maitrise, de sérieux, d’intelligence et de compétence et plus d’ardeurs que les tristes opportunistes. Les bonnes manières perdent leurs détenteurs.
    Retraites sophistiquées et pesanteurs financières. Qu’ont-ils fait pour obtenir ces mérites, ces salaires prohibitifs et insultants, ces retraites qui poussent à la révolte les plus pudiques et les plus austères comme les plus sincères ? Qu’ont-ils fait pour obtenir sans mérite visible, pour tout prendre et tout posséder ? Des acres et des acres de terres en plus des âmes et des corps qu’ils ont de leur entrisme dans le pouvoir investis. Ou seulement montré un peu plus d’hypocrisie que les plus humbles envers le ciel ? Et plus d’arrogance et de mépris face à leurs frères des basses sphères ! Leurs fruits hors saison, des usurpations pour ne pas dire des rapines sur les commerces et sur les terres. Toutes les terres, avec en plus du pouvoir et des privilèges, l’arrogance comme nous disions et le silence, légitimisé*, sur l’asservissement.

    DÉVELOPPEMENT EN SOUS SOL

    Les chercheurs, le savent ils, ils sont nombreux à avoir joui des actes de cette pièce, que nous continuons de jouer, d’imaginer et de compléter. Souvent comme observateurs, parfois aveugles et passifs, parfois vivants, avec conscience et critique à porté de lèvres, parfois comme des ombres, des zombies ou des avatars, une déviance du rôle tel qu’il a été conçu et prescrit.
    Ils ont dit, preuve à l’appui, qu’il a fallu des millions d’années en durée, il y a des millions d’années de cela, pour que les forêts poussent, se développent et comment les plantes sont devenues un minéral. Du charbon qui a été exploité pour faire naître la révolution industrielle, développer les machines, les industries du fer et de l’acier. Puis, par la suite, ce furent des mers de pétrole, qu’on a pompées des profondeurs pour rouler, pour cuire et s’échauffer.
    Mais comme certaines espèces, ces filons, ces puits se sont épuisés, formant ça et là des fortunes colossales dont les propriétaires et les envieux ont fomenté des guerres pour les défendre ou pour se réapproprier ces richesses. Le charbon et le pétrole, issus de cette ère géologique si prolifique du carbonifère, sont le résultat des forets enterrées sous la pression des couches telluriques. Imaginez ce qu’il a fallu comme vie et longévité des espèces dans ces forets et leur destin qui n’allait servir aux hommes d’aujourd’hui, qu’un court instant ! Une durée de 2 ou 3 siècles, pour anéantir à jamais ces trésors du temps que l’homme a dû pomper, sans réserve, jusqu’à épuisement définitif ! Et après, ces matières, ces réserves, toute cette richesse n’auront plus d’existence. Enterrés dans les cendres, évaporées sous formes de gaz, toxiques, nuisibles ou mortels.

    LA VIE LEUR VIENT DU CIEL

    Ils sont lumière et chaleur, cachant les nuages, trouant la couche d’ozone, apportant maladies, inondations, désertifications et fragilisant hommes, animaux, végétation et terres.
    Bonjour à toi, ô trait de lumière ! Heureux de pouvoir te saluer chaque matin au travers des persiennes. Heureux que l’on te voie et de constater que le soleil n’ait pas sombré loin de la terre. Que celle-ci par miracle, pivote encore, penchée sur son axe, en spinant* autour de toi, Soleil et que l’homme ne l’ait pas luxée par quelques trous d’explosif ou de bombes que ce soit ! Bonjour à toi, heureux de te voir pénétrer en cette chambre. Heureux que mon cerveau et ma rétine, enfin ce qu’il en reste, puissent encore te percevoir. Bonjour à toi et heureux d’avoir conscience de te voir. Grâce à toi lumière, par toi qui proviens d’explosions survenant sur les astres, les arbres poussent et se synthétisent grâce au feuillage. Grâce à toi, Soleil, forêts et buis nous servent, nous réchauffent et nous éclairent, à travers nos divers appareils en brulant arbres, charbon et bois.
    A côté des cris d’oiseaux qui saluent ton réveil, leurs parlers incompréhensibles, ils chantent les mêmes refrains que moi, sur toute la terre. Salut à la vie, salut au soleil ! Qu’est-ce qu’il y a pour manger tout à l’heure ! Dialogue, matinal, projets de ce qu’ils vont faire, ils parlent du temps, de ce qu’ils vont ingurgiter pour honorer les cycles de l’azote et du carbone.
    Réflexions ou philosophie, ces piaillements sont certes pour eux des pensées et toute une littérature. Gracieux par moment, incompréhensibles, ces trémoussements tiennent compagnie et nous donnent un aperçu de ce qu’il y a sur les planches sur cette terre. D’autres acteurs, d’autres êtres vivants, qui marchent, qui volent et qui s’ignorent. Chacun a sa part, son rôle, dans cette vaste et prodigieuse comédie, qui des profondeurs marines aux cimes, des montagnes, des sables aux nuées, grouille d’êtres. Ils s’activent, de leur naissance à leur fin, ils chassent, lutent, s’accouplent et se multiplient. J’éviterais de parler de ceux que l’on consomme et que l’on brise, pour vivre comme eux, un instant en s’en nourrissant ! Et comme la plupart d’entre eux, les carnassiers, les carnivores !
    Ignorant comment l’homme, qui veut sortir de la bête, pourrait se libérer de consommer d’autres êtres vivants, on devrait devenir végétariens ! A commencer par moi-même, pour adhérer à un projet de société, mondialisé grâce à l’internet et de nouvelles lois. Toute une révolution culturelle. A se demander qui cette tendance pourrait léser pour être empêchée de se faire ! Ceux qui se nourrissent de la chair des autres, comprenez les agro-industriels !

    LES ARBRES, NOS CONCITOYENS

    Mais pour être moins idéaliste, moins rêveur et plus prosaïque, je m’inquièterais pour les arbres ! Ceux juste à côté, comme ceux qui gisent à terre!
    Vies simples parmi ces milliards de milliards d’arbres des forêts et ceux du bosquet de ce jardin. Comme ces feuilles de bambous, qui prises une à une, adorent en l’écrivant de leurs alifs et ha, le nom d’Allah, le Seigneur. Vies immobiles qui flirtent la tête en l’air, avec les insectes, face aux vies conscientes des gens, qui bougent. Conscience de la vie et de soi, durant celle-ci et de rien d’autre de plus, sauf des questionnements !
    Et ces piaillements et ces pensées, gracieuses par moment, incompréhensibles à la gente humaine, qui tiennent compagnie s’ils ne nous réveillent, en comblant le silence et le souffle du vent. Ils montrent que sur ces arbres et ces branches, sur cette terre, que d’autres acteurs marchent s’ils ne volent pas. Chacun a sa part dans les deux sens et dans cette comédie, qui même dans les profondeurs des mers et des sables, vit et s’agite, multiplie les êtres les plus divers, les plus curieux, leurs activités, leurs nuisances, leur fins, leur invisible complémentarité, au hasard des nécessités et de l‘évolution.
    Nous épuisons lourdement les mêmes planches sur lesquelles nous jouons, pour notre drame, cette comédie humaine. D’autres l’ont dit mieux que moi. Je ne retiens pas très bien et je ne sais répéter. Je la vois et contribue à la jouer, à ma manière, moins comme acteur et plus comme sujet. Je vois de mon ornière ces arbres que l’on tue et abat.
    Les auteurs ont bien quelques raisons pour les assassiner et pour dévaster les espaces que ces eucalyptus occupaient hier encore. Ils vont mettre en jachère les jardins, déjà réduits, qui résistaient encore un peu aux barbares, Oui, c’est pour ramasser ou voler, prendre ou octroyer des faveurs, en vue de rapiner à leur tour. Bien sûr, je ne parle que des arbres et des vautours accessoirement. Mais, il n’y a pas que la vie des arbres, des animaux que nous leur prenons, aux dépens de leur cortes existence. Il y a celles, connexes des hommes, nos contemporains, puis celles de ceux qui finiront la pièce de théâtre que nous jouons en ce moment. D’autres clans, d’autres partis, d’autres parties, d’autres âmes !

    AU SECOURS ON AIME OU LE SEXE DES ANGES

    On a tous entendu cette littérature verbale ou écrite, si peu convaincante des premiers concernés. On a senti ou vu faire les passions pour autrui, la fièvre des jeux, du sexe, au hasard des rencontres. Des couples et plus, en nombre, se sont vus naître et devenir prolifiques pour la masse et illustres pour une minorité. Ce sentiment, ces approches, cette férule-là est devenue une véritable religion unioniste tendant à couvrir de plaisirs horizontaux toute l’humanité qui gite sur la sphère. Né instinct et conduite hormonale biologique, l’activité du sexe est devenue une culture fondamentale et une industrie prospère. Des comportements, devenus culturellement primordiaux sont labélisés du trivial mot et qualificatif ‘’ amour ‘’. L’Amour qui enjolive de la plus banale des sensations au plus amène des sentiments, tire-t-il quelque chose du mot âme ? Ou, que c’est plus animal encore, alors qu’il se balade au septième ciel souvent ?
    La littérature abonde de tout ce qui fait flipper, bander et jouir. Jouir, c’est être heureux, simplement. Et cela va des plus éloquentes émotions de romance, d’amitié respectueuse au spleen anxiogène des anciens. Des industries, fort nombreuses, sont nées de cette ‘’délicatesse’’ torride envers l’autre sexe. La passion conquérante d’un autre corps, la fascination pour sa beauté, la séduction des manières, vite attractives et attachantes, en vue de s’approprier de l’être désiré.
    Souvent ou plutôt toujours, cela tourne aux métiers du sexe. Que ce soit à travers l’écrit, la photo ou la lucarne. Modes, tenues, bijoux et objets, pratiquement toute l’industrie humaine se mobilise afin de complaire au besoin d’accessoires. Un monde parallèle, des plus inventifs, offre ses attirails onéreux afin d’opérer avec succès le cérémonial voué au dieu Amour. Et Aphrodite sert sur l’autel du désir, le sexe, sa jouissance et son sens de l’appropriation. Le mot, le sentiment ‘’amour’’ se vêt d’objets dispendieux. Des cadeaux qu’il faut offrir pour affirmer son sentiment d’amour. Une dévotion en fait, afin de certifier ce besoin d’appropriation exclusive d’autrui et du don de soi. La passion et la conquête, l’éloquence et la morale, les droit de l’homme, de la femme particulièrement, ne sont pas toujours au beau fixe ni trop souvent respectés. L’outrance, la possession illégitime, la contrainte sauvage et le viol, illustrent de manière pénale et criminelle les plus élevées des sociétés. Là où les qualificatifs de ‘’laïc’’ et de ‘’civilisé’’ sont de coutume. L’argent interfère avec le sexe, le crime et l’honneur, pour battre le tempo de la comédie humaine.

    VOLONTÉ DE PUISSANCE ET DON DE SOI

    Peut-être que le travail, les biens, la puissance ne sont que les procédés, les solutions pour cumuler de quoi opérer la conquête de l’autre. L’abandon de soi, n’est pas aisé. C’est une aventure, un véritable pari, un sacrifice périlleux. Le plus souvent celle qui accepte l’effusion des sentiments, la fusion et l’acception des jeux ou d’appropriation du corps de l’autre est une assujettie, fragilisée, plus qu’un acteur avertie. Toute cette gymnastique physicochimique, ces exercices d’application physico-chimiques, des rêveries romantiques, et depuis cinématographiques, qui s’appellent le besoin de sexe, de séduction, d’érotisme et autres dénominations plus ou moins hard, soft ou romanesques.
    La quête du travail et la volonté de puissance ne seraient finalement que les instruments et les voies détournées, pour arriver à l’essentiel, la conquête de l’autre. L’amour, ni plus ni moins. Assurer ses pulsions et sa longévité, (instinctivement), avoir de la compagnie peut-être, de l’aide dans la vie, parfois, mais surtout une progéniture pour garder un nom, une fortune. Si on travaille pour vivre, assurément, c’est aussi pour faire son nid, construire son foyer, un synonyme de sécurité et de protection. On trime pour payer son loyer, assurer sa subsistance, si on ne vole pas pour ériger un hôtel, étaler des villas, ça et là ou de véritables palais, sinon des édifices hauts comme une montagne, au milieu d’une île. Ces conduites extrêmes biaisent ce qui est fondamental, l’assurance d’un simple foyer et la sécurité d’une petite famille. Les dérives poussent vers la conquête du pouvoir pour le pourvoir et pas seulement face à l’insécurité. Tout comme à la quête de la fortune et la possession des biens. Parfois, juste pour en disposer face au regard d’autrui et palier aux risques de l’infortune !
    Cette richesse, ce pouvoir qui vont assurer à l‘individu, à la personne adulte conquise, suffisamment de sérénité, de garantie de sécurité, et lui permettre de céder sa part de sexe à l’amour, à se préparer à l’idée d’enfanter. Mais l’idée d’enfants est connexe. Primordiale pour la continuité de la vie, a contrario elle ne vient pas à l’idée lors des premières initiations au sexe ni au moment du jeu, à la ludicité*. Elle y est évitée et même combattue. Bien sûr la biologie et la chimie des hormones dictent les conduites et mécanisent les instincts et les formules d’approche. Mais le résultat est symboliquement le même et pratiquement toujours vérifié : avoir pour posséder et vice versa.

    Dr Idrissi My Ahmed, le 1er Janvier 2012

    #207009
    ouafaei
    Membre

    Bonjour à tous,

    Le but de ce programme est de lire un fichier .txt ou des valeurs sont stockées, et puis les stocker dans un arraylist.
    on lit le fichier ligne par ligne. s’il y a 2 valeurs, on construit un point. 4 valeurs sur une ligne, on construit une droite et sinon on doit afficher un message en disant veillez resaisir les valeurs. Après dans la classe DessinPoints, on doit lire ces valeurs pour dessiner des points ou des droites.

    j’ai fait ces codes. Mais, comme je suis débutante, je ne sais pas gérer les exceptions, ni utiliser la méthode drawline.
    je ne sais pas aussi comment exploiter la valable listpts qui se trouve dans DessinPoints.
    Comment on peut aussi redimentionner la fenêtre sans qu’on efface le contenu, càd les points et les droites dessinés

    Merci beaucoup.
    Voici le code.



    package dataPoints;
    import java.awt.*;


    import geomD2.DroiteD2;
    import geomD2.PointsD2;

    import java.io.FileReader;
    import java.io.LineNumberReader;
    import java.util.ArrayList;
    import java.util.StringTokenizer;

    import java.awt.event.*;

    public class DataPoints extends ArrayList>{
    double min_x, min_y, max_x, max_y;
    ArrayList vectPoint;
    public DataPoints(String fichier){
    LineNumberReader lecteurLignes = null;
    try{

    lecteurLignes = new LineNumberReader (new FileReader(fichier));
    String ligneTexte = null;
    vectPoint = new ArrayList
    ();
    while ((ligneTexte = lecteurLignes.readLine()) != null) {
    StringTokenizer st = new StringTokenizer(ligneTexte);

    if (st.countTokens() == 2) {
    //stoker les points dans le vecteur courant
    Double X = new Double(st.nextToken());
    Double Y = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point = new PointsD2(X,Y);
    vectPoint.add(Point);
    }
    if (st.countTokens() == 4 ) {
    Double X = new Double(st.nextToken());
    Double Y = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point = new PointsD2(X,Y);
    Double X1 = new Double(st.nextToken());
    Double Y1 = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point2 = new PointsD2(X1,Y1);
    DroiteD2 Droite = new DroiteD2(Point,Point2);
    //vectPoint.(Droite);


    }
    }
    System.out.println(vectPoint);
    }
    catch(Exception e) { e.printStackTrace(); }
    min_max();
    }
    private void min_max() {
    // completer

    }
    }





    package dataPoints;
    import geomD2.DroiteD2;
    import geomD2.PointsD2;

    import java.awt.*;
    import java.util.ArrayList;

    import javax.swing.JComponent;
    import javax.swing.JPanel;



    public class DessinPoints extends JPanel {


    DataPoints listPts;
    int bord; // taille des bords
    int enveloppe; // dimension des rectangles


    public DessinPoints (DataPoints pts, int largeur, int hauteur, int bord, int enveloppe) {
    this.listPts = pts;
    this.bord = bord;
    this.enveloppe = enveloppe;
    Dimension tailleOriginal;

    }
    public void paintcomponent (Graphics g) {
    super.paintComponent(g);
    g.setXORMode(Color.RED);
    Dimension tailleSuivante = new Dimension (this.getSize()); //Affectation de la nouvelle taille de la fenêtre
    JComponent tailleOriginal = null;
    double factEchX = tailleSuivante.getWidth()/tailleOriginal.getWidth(); //calcule du facteur de l'échelle sur l'axe X
    double factEchY = tailleSuivante.getHeight()/tailleOriginal.getHeight(); //calcule de facteur de l'échelle sur l'axe Y

    for (int i=0;i ArrayList ptLu = (ArrayList)listPts.get(i); //Liste des point courants
    //Test si il a 1 ou 2 point pour l'affichage de ses dernier avec ou sans la droite
    if(ptLu.size()==1){
    //Affichage des points
    g.drawRect((int)(ptLu.get(0).getX().intValue()*factEchX),(int)(ptLu.get(0).getY().intValue()*factEchY),enveloppe,enveloppe);
    }
    if(ptLu.size()==2){
    int milieuPointX1,milieuPointY1,milieuPointX2,milieuPointY2; //Coordinées central des points pour l'affichage central de la droite

    //definition du milieu des points
    milieuPointX1 = ptLu.get(0).getX().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointY1 = ptLu.get(0).getY().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointX2 = ptLu.get(1).getX().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointY2 = ptLu.get(1).getY().intValue()-enveloppe/2;

    //Affichage des points
    g.drawRect((int)(milieuPointX1*factEchX),(int)(milieuPointY1*factEchY),enveloppe,enveloppe);
    g.drawRect((int)(milieuPointX2*factEchX),(int)(milieuPointY2*factEchY),enveloppe,enveloppe);

    //Création de la droite
    DroiteD2 droite = new DroiteD2 (ptLu.get(0),ptLu.get(1));
    //Affichage de la droite
    g.drawLine((int)(droite.getIntersectionX().intValue()*factEchX),0,0,(int)(droite.getIntersectionY().intValue()*factEchY));
    }
    }
    }





    }






    package dataPoints;
    import javax.swing.JFrame;

    public class Grapheur {
    public static void main(String[] args) {
    DataPoints listePts = new DataPoints ("fichier.txt");
    System.out.println(listePts);
    DessinPoints monGraphe = new DessinPoints(listePts,600,400,10,10);
    JFrame f = new JFrame();
    f.setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE);
    f.add(monGraphe, "center");
    f.setTitle("Grapheur");
    f.setSize(400, 400);
    f.setVisible(true);
    }

    }


    Anonyme
    Invité

    Bonjour,

    Sachant que les Européens ont toujours appris l’anglais dès 10-11 ans, c à dire début collège. Depuis les années 90, chute du mur de Berblin et la fin de la guere froide, beaucoup de gouvernements dans le monde ont compris l’importance de l’anglais —comme langue des sciences et commerce et communication internationale–, ont commencés à apprendre à leurs enfants cette franca lingua depuis l’âge de 6-7 ans.
    En Tunisie, par exemple, dès début des années 2000, les scolaires ont commencés à l’apprendre dès 10-11ans, alros qu’ils l’apprenant seulement 4 ans avant le bac (comme au Maroc en 2011!).
    En Algérie pareil, les enfants Algériens ont toujours appris l’anglais dès 12-13 ans depuis des decennies, càd comme la deuxième langue vivante en Europe, qui commençait à partir de la mi-collège. Aujourd’hui, ils l’apprennent dès le début du collège, (10-11 ans), si ce n’est pas à l’école primaire.

    Au Maroc, y’a que quelques années passées que le gouvernement a appliqué le proverbe, « d’rabni w’bka, s’baqni w’chqa », comme quoi, le Maroc avec son « obéissance » à la Francophnie (sources du mal) a lui aussi fait des rénovations linquistiques! Alros que les petits français agés de 5-6 ans apprennent la langue du savoir depuis des années et des années passées. Sans parler des Sections Européennes dans les lycées, où on apprend une discipline non linguistique en anglais au stade du lycée . Et les Marocains continuent à apprendre la langue du Théâtre et de la surbordination… 😆

    Le ministre de l’éducation français envisage l’apprentissage de l’anglais dès 3 ans

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/01/23/le-ministre-de-l-education-envisage-l-apprentissage-de-l-anglais-des-3-ans_1469502_3224.html

    #279549
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode X : à la morgue

    L’inspecteur Halabi sortit aussitôt du commissariat .Il monta dans sa voiture et se dirigea directement vers la morgue.
    Arrivé sur les lieux, il rencontra sur le seuil de la porte l’inspecteur Abderrahim Salhi. Ce dernier vint vers lui :
    _ Bonjour, vieil dinosaure, alors bien dormi ?
    _ Comme vous mon cher !
    _ Ce qui veut dire, expliqua l’homme à la moustache, que cette affaire vous ronge les ongles.
    _ C’est le cas de le dire.
    Alors, ils entrèrent dans le bâtiment tout en continuant la discussion :
    _ Dites-moi Abderrahim, y a-t-il du nouveau au sujet du meurtre de Hicham Elouafi ?
    _ On vient de recevoir un appel anonyme au troisième arrondissement.
    _ De quoi s’agit-il ?
    _ Quelqu’un qui s’est présenté sous le nom du « bienfaiteur » nous dit qu’il connaît le meurtrier de l’agent immobilier ; puis il a raccroché.
    _ Bien entendu, il vous est difficile de détecter l’endroit de l’appel.
    _ Pas du tout : l’appel vient d’un téléphone public dans la rue de la Paix près de l’arrêt du bus.
    _ Alors, je pense que vous avez posté vos hommes là-bas !
    _ Quelle idée ! Mais bien sûr .Deux de nos hommes montent la garde à tour de rôle dans un petit coin discret.
    _ Voilà qui est bien parlé, ne manqua de faire remarquer l’inspecteur Halabi à son collègue.
    Ce dernier tout fier :
    _ D’ailleurs, j’attends d’un moment à l’autre l’appel de l’un d’eux dès l’apparition du « bienfaiteur ».
    _ Je crois qu’il n’est pas assez sot pour retourner à la même cabine téléphonique.
    Soudain, le téléphone portable de l’inspecteur Salhi se mit à sonner :
    _ Allo, dit-il à son interlocuteur, quoi de nouveau ?
    Après un bref silence entrecoupé par des : oui, bien, c’est ça !il se retourna vers l’inspecteur Halabi :
    _ Aïssam, vous avez raison : il vient de téléphoner d’une autre cabine téléphonique sise au boulevard Mohammed VI près d’un kiosque à journaux.
    _ Alors, a-t-il dit quelque chose ?
    _ Il dit que le meurtrier est un coiffeur
    _ C’est tout ?
    _ Rien de plus et il a coupé la communication.
    L’inspecteur réfléchit un moment :
    _ Vous dites un coiffeur ….. hum, la bonne des Sedrati vient d’évoquer un certain coupeur de cheveux qui s’appelle Oualid Hamdi .Pour votre information, c’est le cousin de Madame Siham Sedrati.
    Puis, il lui donna un compte rendu des déclarations de Hayat Benhoud
    _ Donc, résuma l’inspecteur Abderrahim l’affaire, l’amant de madame Sedrati vient de mettre fin à l’assassin de cette dernière.
    _ C’est assez plausible comme conclusion, mais …
    _ Mais quoi ?
    _ il y a quelque chose qui cloche : Comment a-t-il fait pour trouver assez vite le présumé assassin ?
    _ Un appel téléphonique, comme celui du « bienfaiteur » pardi !
    _ Bravo, mon cher Abderrahim .Là, vous venez d’éclaircir un point important
    Donc, voilà comment je vois la nouvelle situation : madame Sedrati avait trois amants : l’agent immobilier, le coiffeur et le bienfaiteur .Je crois que cette femme était mystérieuse.
    _ Continuez, vous m’intéressez !
    _ Au début, elle entretenait une liaison avec son cousin ; puis elle a fait la connaissance de Hicham Elouafi et enfin avec le troisième qui est pour l’instant un inconnu pour nous.
    Madame Sedrati rencontrait les trois hommes à la fois dans différents endroits : le premier chez elle, le second dans son salon de coiffure et le troisième, sûrement au super marché. Comme ça , les trois amoureux ne se rencontreraient jamais et aucun d’eux ne douterait de l’existence des autres.
    Mais, l’imprévu était arrivé : un jour Elouafi l’a vu entrer chez le coiffeur et bien entendu il a réalisé qu’elle le trempait .Alors, il a décidé de la tuer …
    L’inspecteur Abderrahim l’interrompit aussitôt :
    _ Jusque là ça tient debout ; mais, mon cher, comment l’agent immobilier a été assassiné deux heures après le meurtre de madame Sedrati ?
    _ J’avoue ne pas y avoir pensé à cela
    _ Donc, le seul moyen qui nous reste : mettre la main sur ce troisième inconnu et qui se nomme le bienfaiteur
    Arrivé dans la salle frigorifique, ils aperçurent Le docteur Abdelhamid Choukri qui regardait à l’aide d’une loupe l’intérieur de la bouche d’une femme morte.
    _ Bonjour toubib l’apostropha l’inspecteur Halabi ; êtes-vous devenu dentiste à vos heures ?
    _ Bonjour, doc, je suis venu pour récupérer le rapport d’autopsie de Hicham Elouafi.
    Le médecin fit la sourde oreille et continua ses examens .Aussitôt, à l’aide d’un scalpel, il arracha une dent qu’il immergea dans un liquide blanc .Immédiatement, le liquide devint bleu et le médecin légiste hocha sa tête avec un air satisfait : elle avait avalé du cyanure.
    _ Comment cela, docteur, s’interrogea Halabi
    _ Elle a écrasé une ampoule contenant du poison entre ses dents. Comme vous voyez, le liquide est devenu bleu. Ce qui explique l’existence d’une substance à savoir un poison.
    Et de conclure : Cette femme vient tout simplement de se suicider.
    Puis, il la recouvrit et s’approcha d’un lavabo pour se laver les mains.
    Après cette opération hygiénique, il demanda à ses interlocuteurs de le suivre à son bureau .Arrivés là-bas, il remit à chacun un rapport détaillé.
    L’inspecteur Aïssam se mit à feuilleter furtivement le dossier ; tandis que l’inspecteur Salhi le fourra dans poche.
    Sur ce, le docteur Abdelhamid leur donna un bref aperçu du contenu des deux rapports :
    _ Messieurs, pour ce qui est du premier rapport, madame était enceinte de deux mois .J’ai fait des analyses sur le fœtus : ça concordait avec le sang et les spermatozoïdes du défunt Elouafi.
    _ Donc, conclut Abderrahim, il serait le père de l’enfant
    Le médecin le foudroya du regard et continua :
    _ Pour ce qui est du second rapport : le dénommé Elouafi souffrait d’un cancer de sang ; il était encore dans ses premières phases, mais je ne lui aurais pas donné plus de trois à quatre mois de survie. J’ai relevé des empreintes que j’ai envoyées directement au laboratoire des expertises. Vous devez aller là-bas pour en savoir plus
    Bon, je vous ai dit l’essentiel ; le reste des informations sur la mort de chacune des victimes sont sans aucune importance pour votre enquête.
    Les deux inspecteurs le quittèrent après l’avoir remercié chaleureusement.

    #279548
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode IX : Entretien avec le directeur de la banque

    L’inspecteur Rachid Slaoui entra dans un grand bâtiment .Il se dirigea directement vers l’un des guichets :
    _ S’il vous plait, apostropha-t-il ce dernier, je voudrais voir le directeur de la banque
    _ C’est à quel sujet ?
    Tout en exhibant sa carte de police, il ajouta :
    _ J’ai l’intention de retirer quelques informations de votre banque .Si vous voulez bien le prévenir, car je n’aime pas trop attendre
    _ Tout de suite, monsieur l’inspecteur .Le temps d’annoncer votre arrivée par téléphone.
    Puis :
    _ Monsieur le directeur, il y a un policier qui désire vous voir
    Après un bref silence :
    _ Tout de suite, monsieur le directeur
    Sur ce, il invita l’inspecteur Rachid à le suivre .Arrivé près d’une porte vitrée, il donna des petits coups sur la vitre, poussa la porte pour laisser passer son invité et s’éclipsa.
    _ Bonjour monsieur l’inspecteur .Justement, je vous attendais
    _ Bonjour monsieur Sedrati .J’espère que vous avez bien dormi
    Le directeur avait les yeux tous rouges et devant lui un cendrier qui débordaient de mégots, ainsi que trois tasses de café.
    _ Pour ne rien vous cacher, avoua-t-il, j’ai passé une nuit blanche. J’ai beaucoup réfléchi à qui pourrait commettre ce crime, mais en vain
    _ Rassurez-vous, monsieur le directeur : la police est là pour ça ; quant à vous, en nous disant toute la vérité sans riens nous cacher, vous aiderez à la capture de l’assassin de votre femme.
    _ Je ne demande que cela, lança-t-il avant de se verser une tasse de café.
    L’inspecteur s’assit en face de lui tout en sortant de sa poche son calepin et un crayon :
    _ Monsieur Sedrati, il y a certains points que je voudrais éclaircir avec vous.
    Pour commencer : quand vous êtes monté, vous avez trouvé la bonne étendue sur le sol près du seuil de la porte ; puis vous êtes entré dans la chambre et là, vous avez trébuché sur le corps de votre épouse .C’est bien cela, n’est-ce pas ?
    _ Oui, c’est ce que je vous ai dit hier
    _ D’après les propos de votre servante, elle dit textuellement : « je suis entrée dans la chambre et j’ai trouvé madame inerte sur le sol ; puis je ne me souviens de rien, car j’ai perdue connaissance
    _ Non, ce n’est pas vrai ; je confirme l’avoir trouvée sur le seuil de la porte.
    Le directeur se releva de sa chaise et alla jusqu’à la fenêtre et secoua sa tête :
    _ Non, elle se trompe sûrement .D’ailleurs, quand elle est revenue à elle, elle m’a dit tout simplement que madame était morte
    _ Mais, vous avez bien dit qu’il y avait quelqu’un qui se cachait derrière les rideaux de la fenêtre du balcon
    _ En effet, acquiesça l’homme de la banque : mais je ne vois pas le rapport !
    _ Pourtant c’est simple : cet homme l’a déplacée
    _ Quel intérêt à t-il pour cela ?
    _ Pour attirer votre attention
    Le directeur secoua de nouveau sa tête :
    _ C’est un truc de dingue !
    L’inspecteur Rachid fit claquer ses doigts :
    _ Vous avez entendu un cri ; n’est-ce pas ?
    _ Oui, et c’est celui de Hayat
    _ Combien de temps avez-vous mis pour arriver à la chambre ?
    _ Juste une minute
    _ Vous avez raison : l’agresseur ne peut déplacer un corps inerte au moins d’une minute
    Cette bonne cache sûrement quelque chose : ou bien, elle est dans le coup , ou alors , elle a ses raisons
    Mais en y réfléchissant : est ce qu’elle peut voir le corps de votre femme du seuil de la porte ? Vous-même vous ne l’avez aperçu qu’après être entré dans la chambre
    Donc , ça me parait improbable votre version
    _ Monsieur l’inspecteur, je vous jure que je l’ai trouvé sur le seuil de la porte
    _ Je vous crois, mais elle aussi est dans le vrai
    Donc, il y a quelque chose qui cloche quelque part.
    L’inspecteur fit un tour autour du bureau ; puis s’exclama :
    _ Mais, oui ! le cri que vous venez d’entendre n’est pas celui de votre servante.
    Cet agresseur voulait à tout prix éveiller votre attention .Aussi, il a poussé ce cri ; ainsi, en montant , vous allez trouver la bonne étendue près du seuil de la porte .Quand celle-ci nous dira qu’elle était dans la chambre , personne ne la croira
    C’est une façon de brouiller les pistes, en somme
    L’inspecteur nota ces déductions ; puis :
    _ Parlez-moi un peu de l’oncle de votre épouse : vous rend-il visite chez vous ?
    Le directeur revint à son fauteuil et s’assit dessus :
    _ A vrai dire, j’ai une bonne relation avec Driss Hamdi. Cependant, il me rend visite rarement ; par contre, ma femme leur rendait souvent visite chez eux
    _ Et vous ?
    _ Ben, quand je reviens chez moi, l’après midi, je passe par sa boutique et quelque fois, je bois en sa compagnie un verre de thé à la menthe.
    _ Est-ce un vendeur ?
    _ Oui, il vend des chaussures pour hommes et femmes
    _ Bien, continuez !
    _ Pour ce qui est de ses enfants, il a une fille et un garçon .Ce dernier, je ne m’entends pas bien avec lui. Pour la fille , elle s’appelle Ahlam et je vous ai parlé d’elle.
    _ Puis-je savoir pourquoi ?
    _ Certes monsieur l’inspecteur ; puis tôt ou tard vous le saurez
    Après un bref silence, il ajouta :
    _ Ce vaurien a toujours essayé de séduire ma femme ; il lui a même fait des avances.
    _ Comment le savez-vous, Est-ce par votre femme ?
    _ Pas du tout ! Ma femme ne me parlait jamais de sa vie intime
    _ Et alors, je l’ai vu de mes propres yeux lors d’une cérémonie .Il voulait l’embrasser et Hayat l’a giflé
    _ Qu’est-ce qui s’est passé après ?
    _ Depuis, il évitait de se retrouver au même endroit que ma femme
    _ Mais, vous, vous lui gardez toujours rancune ; n’est ce pas ?
    Monsieur Sedrati acquiesça, sans rien dire.
    _ Bon, pour finir, j’aimerais que vous me donniez l’adresse de la boutique de l’oncle de votre femme. Moi aussi, je voudrais bien boire son fameux thé à la menthe .

    #279547
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode VIII:la déposition de la bonne

    Au deuxième étage du commissariat, l’inspecteur Eddahbi était entrain d’interroger Hayat, tandis qu’un adjoint tapait à la machine les réponses de cette dernière :
    _ Nom et prénom ?
    _ Hayat Benhoud
    _ Date de naissance ?
    _ 2 février 1985
    _ Lieu de naissance ?
    _ Meknès
    _ Depuis quand êtes-vous au service des Sedrati ?
    _ Depuis 2005
    _ De quoi consiste votre travail ?
    _ Au début, j’accompagnais madame dans ses déplacements lorsqu’elle était enceinte. Après la naissance de Nisrine, je m’occupe de la fille et je fais le ménage.
    _ Est-ce que vous habitez chez la famille Sedrati ?
    _ Oui, et j’ai une chambre juxtaposée avec celle de Nisrine.
    _ Avez-vous des soirées libres pour visiter votre famille ?
    _ Non, je n’en ai pas ; d’ailleurs, ma famille habite à Meknès .Une fois tous les deux mois, mon père me rend visite.
    _ A propos de madame Sedrati, est-ce qu’elle avait un emploi ?
    _ Non, mais elle sortait presque tous les jours.
    _ Pouvez-vous nous préciser ou elle
    allait ?
    _ Au début, quand je l’accompagnais, elle allait à la clinique, puis au coiffeur, ensuite au super marché pour faire des courses. Après, je n’ai aucune idée au sujet de ses déplacements.
    _ Est-ce qu’elle recevait des visites ?
    _ Oui, quelques fois
    _ Est-ce les mêmes personnes ?
    _ Non, pas forcément ; mais…
    _ Mais, quoi ?
    _ Il y avait quelqu’un qui lui rendait visite assez souvent ; je dirai au moins deux fois par semaine.
    _ Qui était-ce ?
    _ Il était assez grand, chauve et portait des lunettes.
    _ Comment s’appelle-t-il ?
    _ Je crois qu’un jour elle lui a dit : Hicham
    _ En êtes-vous sûr ?
    _ Certaine !
    _ Et le nom de famille, ça ne serait pas par hasard Elouafi ?
    _ Je ne sais pas
    Dites-moi : cet homme lui rendait visite en présence de monsieur Sedrati ?
    La bonne réfléchit quelques instants :
    _ Non, jamais .Il lui rendait souvent visite tout juste quand monsieur allait à la banque.
    _ Donc, ils ne se sont jamais croisés.
    _ Oui, approuva Hayat
    En ce moment là, l’inspecteur Halabi fit son entrée :
    _ Bonjour Hayat, l’apostropha –t-il, je vois que vous êtes ponctuelle.
    Puis, il s’approcha du rédacteur pour lire la déposition de la servante ; tandis que l’inspecteur Eddahbi poursuivit son interrogatoire :
    _ Si je vous montre une photo, pouvez reconnaître si c’est le visiteur de
    madame ?
    La bonne consentit par un hochement de tête.
    Juste un simple regard lui suffit pour crier tout haut :
    _ C’est lui, Hicham !
    L’inspecteur Halabi accourut vers elle :
    _ En êtes-vous sûre ?
    _ Comme je vous vois.
    _ Merci, Hayat
    A présent, nous allons éclaircir certains points : Est-ce que madame allait chez le même coiffeur ?
    _ Oui, il est juste à une centaine de mètres de la villa
    _ Bien entendu, ajouta Halabi, vous le connaissez !
    _ Qui ?
    _ Le coiffeur
    _ Oui, c’est le cousin de madame
    _ Et il s’appelle ?
    _ Oualid Hamdi
    _ Est-il marié ?
    _ Non !
    _ Quel âge a –t-il ?
    La bonne fit manipuler ses doigts et dit :
    _ Quarante huit ans
    _ Oh la la ! s’exclama l’inspecteur Aïssam, serait-ce l’amant de madame ?
    Hayat regarda son interlocuteur avec admiration et ne manqua pas de révéler qu’il avait tout à fait raison. Et d’ajouter :
    _ Ecoutez inspecteur si vous me promettez que cela ne sera pas écrit dans ma déclaration, je vous dirai tout.
    _ Ok, c’est parti
    Puis à l’inspecteur Eddahbi : dites à votre adjoint de ne rien taper jusqu’à nouvel
    Ordre.
    On vous écoute, mademoiselle Hayat .
    Cette dernière dit aussitôt : pour être franc avec vous, j’étais sa confidente …enfin pour ce qui concerne cette relation
    _ Que vous confiait-elle au juste ?
    _ Elle s’échangeait des lettres avec le coiffeur
    _ Et bien entendu, vous étiez le facteur
    _ Hum
    _ Vous avez sûrement lu le contenu de quelques lettres !
    La bonne baissa son regard, l’air gêné
    _ Peut-être que c’est un vilain défaut de fourrer son nez dans les affaires des autres ; mais il y a des fois, ça peut aider à découvrir la vérité.
    Alors, de quoi ils se parlaient ?
    _ Il ne cessait de lui dire qu’il l’aimait et qu’il voudrait l’épouser.
    _ Lui ? Et elle, que répondait-elle ?
    _ Que c’était impossible pour le moment
    _ Quoi d’autres a part ce jeu de Roméo et Juliette ?
    _ Je ne comprends pas, avoua-t-elle
    _ Ne parlaient-ils pas d’héritage par exemple ou d’une escapade tous les deux dans une île déserte
    La servante s’écria aussitôt :
    _ Vous m’épatez de plus en plus monsieur l’inspecteur ! C’est vrai, ils parlaient un peu de ça
    Tenez, j’ai gardé une lettre de Oualid que je m’apprêtais à lui remettre la veille de son assassinat.
    _ Pourquoi ne l’avez-vous pas fait ?
    Hayat hésita avant de vociférer ces quelques mots :
    _ C’était les ordres de madame : je ne devais lui remettre les messages de son amant que si nous serions seule à seule
    _ Bien entendu, il y a Nisrine
    _ C’est ça avoua-t-elle
    _ Vous l’avez lue ?
    _ Non, pas encore ; je vous le jure
    _ D’accord, conclut l’inspecteur, tout à l’heure, je viendrai vous voir à la villa et vous me la remettez
    _ Allez, venez signer votre déposition, l’invita l’inspecteur Eddahbi
    Sur ce, la servante quitta les lieux ; tandis que Halabi sonna le brigadier en faction devant la porte :
    _ Allo, ici Halabi, une femme va sortir du commissariat d’un moment à l’autre ; faites-la suivre par l’un de nos gars et qu’il veille bien à ne pas la perdre de vue
    Puis, il raccrocha.
    Quelques minutes après, l’inspecteur Aïssam monta dans sa voiture : direction la morgue.0

    #206984
    izabou24
    Membre

    bonjour,
    je suis institutrice et je ne parle ni ne lis l’arabe, mais j’ai besoin d’utiliser des modèles d’écritures pour illustrer un texte des mille et une nuits et pour travailler ensuite sur la calligraphie…
    avant de donner le texte aux enfants je veux m’assurer du contenu de ces écrits !!!!! faudrait pas que ça soit problèmatique !!! 😉
    si quelqu’un veut bien se faire connaitre je lui enverrai mon doc par mail …. merci d’avance!
    isabelle

    #272083

    En réponse à : ENGLISH FOR MAGHREBIANS

    mimisabou
    Membre

    Bonjour ,
    non non je ne suis pas.. au contarire vs avez raison, il faut pas avoir ces mauvaises abitudes d’ecritures ( de chat )
    bon , concernant le technicien que vous cherchez mon frère est déjà tehnicien en réseau ,la branche que vs cherchez ,et il parle disant l’anglai mais il travaille dans une office , je ne sais pas est ce que vous voulez de l’aide ou bien une personne qui travaille avec vous , parcequ’il peut vous aidez .
    precisez moi pour que je lui informe ? OK ! 😕
    Bonne journée

    #206954

    Sujet: ASSALAMOU ALAYKOUM

    dans le forum Ahfir
    filali
    Membre

    Ahl Ahfir, des gens les plus meilleurs que j’ai rencontré durant toute ma vie!!!!
    Un grand bonjour.

    #279118

    En réponse à : Lahmami encore et toujours!

    Najim
    Membre

    @belhachmi wrote:

    Bonjour, tout d’abord votre pseudo m’intrigue vous êtes sur tout les fronts et c’est tant mieu. Mais qui est ce Lahmani et pourquoi autant d’antipathie envers lui. Je ne le connai pas mais vous semblez le détester vraiement. Comme l’indique mon nom qui est connu à Oujda puisqu’il a marqué une certaine époque, j’ai quitté le Maroc après mon bac à l’age de 15ans et demi (j’en ai 66) et je suis très loin des marasmes de la vie sociale Oujdi. Je vouis souhaite de trouver une solution pour se monsieur Lahmani et sa suite cela m’étonnerai qu’il soit seul. Bonne journée Haj Ali Belhachmi

    Salam,

    Vous ne connaissez pas Lahmami? donc je suppose que vous ne suivez pas le MCO.

    Bonjour,

    En juin 2011, dans sa Lettre ouverte à sa Majesté le Roi Mohamed VI, à la Fondation Mohamed VI et au gouvernement marocain, VAINCRE L’AUTISME Maroc dénonçait l’organisation du colloque Regards croisés à Rabat, rassemblement de psychiatres psychanalystes qui avait pour but d’installer au Maroc l’hérésie de la situation alarmante que vivent les personnes autistes en France :
    http://vaincrelautisme.org/content/au-roi-la-fondation-mohamed-vi-et-au-gouvernement
    Aujourd’hui, en France, le documentaire « Le mur : la psychanalyse à l’épreuve de l’autisme », réalisé par Sophie ROBERT, est une véritable démonstration par l’absurde de l’inefficacité de l’approche psychanalytique de l’autisme … Le mur, où la conception de beaucoup de pédopsychiatres et psychanalystes français sur l’autisme s’oppose à celle de nombre de scientifiques et des associations de familles.
    Fondé sur des entretiens avec des psychanalystes et des rencontres de familles d’enfants autistes, ce documentaire de 52 minutes est le fruit d’un long travail d’investigation.
    Pour visionner le documentaire « La mur : la psychanalyse à l’épreuve de l’autisme » :
    http://vaincrelautisme.org/content/le-mur-la-psychanalyse-l-epreuve-de-l-autisme
    Le gouvernement marocain se doit de tenir compte du passé français en matière de prise en charge par la psychiatrie d’obédience psychanalytique, d’en évaluer les conséquences et d’en tirer les conclusions qui s’imposent, afin d’éviter la dégradation de l’état de santé des enfants marocains et de leurs familles.

    A diffuser très largement autour de vous !
    A très bientôt,

    VAINCRE L’AUTISME Maroc

    Pour plus d’information :
    @vaincrelautisme.org">info@vaincrelautisme.org

    #279116

    En réponse à : Lahmami encore et toujours!

    belhachmi
    Membre

    Bonjour, tout d’abord votre pseudo m’intrigue vous êtes sur tout les fronts et c’est tant mieu. Mais qui est ce Lahmani et pourquoi autant d’antipathie envers lui. Je ne le connai pas mais vous semblez le détester vraiement. Comme l’indique mon nom qui est connu à Oujda puisqu’il a marqué une certaine époque, j’ai quitté le Maroc après mon bac à l’age de 15ans et demi (j’en ai 66) et je suis très loin des marasmes de la vie sociale Oujdi. Je vouis souhaite de trouver une solution pour se monsieur Lahmani et sa suite cela m’étonnerai qu’il soit seul. Bonne journée Haj Ali Belhachmi

    #206899

    Sujet: Produit de beauté

    dans le forum Au Feminin
    joana13005
    Membre

    Bonjour tout le monde!

    J’aimerai acheter un coffret parfum pour l’anniversaire de ma meilleure amie, ou des produits de beauté comme des produits aux huiles essentielles, produits pour le corps, crèmes, maquillage… Elle est très coquette mais je ne voudrais pas me ruiner! Est-ce que quelqu’un connait une boutique spécialisée ou même un site Internet dédié à ce secteur, avec des produits pas trop onéreux?
    Je vous remercie d’avance, à bientôt !!

    #212578

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    ChenafiMarwa
    Membre

    Bonjour tout le monde, je m’apelle Marwa Chenafi, cela fait enormement de temps qu’on tache de connaitre nos origines vu le mixe qui nous appréhende, finallement mon grand pére avait dévoilé avant sa mort que nous sommes des Adarissa , et que notre ancien grand pére est bien entendu Sidi Ali Bouchnafa, mais ce qui me soupçonne dans cette génealogie , c’est que mon grand pére n’as jamais visité l’oriental , vu que ses parents étaient à Tafilalet , exactement à Mdaghra , mon grand pére s’intitule : Sidi Ahmed ben Lahbib ben El Âarabi , je ne sais pas pourquoi mes grands pére sont au Sahara de Tafilalt , et pourquoi en comparaison il existe une ville en Iraq qui s’apelle : ( Shenafiyah , Al Qadisiyah , Iraq ). j’ai pris bcp de temps à connaitre d’ou ‘ est ce que je viens exactement , vu que mon grand pére sidi Ahmed est parti du sahara en Atlas ( Mrirt . Tameskourt . Khenifra . Ouaoumana ) se sont tte des villes d’ou ‘ est ce qu’il est passé en tant que Imam dans les mosqués , donc ma grand mére est automatiquement de la meme région , mais je veux simplement savoir notre généalogie , aparement beaucoup d’amis Oujdis à mon pére reconaissent qu’on est de l’oriental en l’armature des traits physiques et même de l’accent ! mon pére occupe un poste de proviseur à un Lycée public à Meknès . Salam a3leikoum .

    #273842
    ellearte
    Membre

    Bonjour!

    N’hésiter pas à vous rendre dans notre Institut de beauté elle’arte.

    http://ellearte.net

    Elle’Arte et l’art de la beauté

15 réponses de 31 à 45 (sur un total de 707)
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