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juillet 13, 2009 à 6:16 #271709
En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantLe jour où mes amis du derb étaient allés voir leurs résultats, moi aussi je fus de même.Mon école se trouvait à presque un kilomètre de chez moi.
Donc, je me dirigeai d’un pas souple avec un cœur plein d’espoir .En chemin, je rencontrai mon ami Rabah le morveux .
_ » Bonjour Rabah, l’apostrophai-je, où cours-tu comme ça ?
_ Il parait qu’aujourd’hui on donne les résultats..
Après une hésitation:
_ » N’est-ce pas , Hamid ?
Rabah comme son nom l’indique était quelqu’un qui gagnait dans tous les jeux et les paris. Malheureusement, il n’avait pas cette chance à l’école .Peut-être bien qu’il ne travaillait pas assez.En tout cas ses notes ne dépassaient jamais la moyenne!
Si on l’appelait le morveux ,ce n’était pas pour rien.Figurez-vous que son nez était toujours en ébullition tout comme un volcan actif.Si le volcan dégageait des larves, Rabah lui éjectait des morves !
J’ai jamais vu quelqu’un qui avait les deux narines du nez en plein mouvement.Son nez coulait comme un robinet .
Quand par exemple l’instituteur lui posait une question assez difficile.Aussitôt jaillit de son nez ;ou si vous préférez de l’une des ses narines une grosse morve jaunâtre .Du coup , il la fit remonter et juste après la fit sortir de l’autre narine.
Devant tel spectacle , monsieur Ghayouri lui disait toujours:
_ » Oh, non! encore ta morve
Puis:
_ » Retourne à ta place et mouche -toi vite le nez!
Rabah sortit aussitôt un grand chiffon et se mit en devoir de s’essuyer le pif .Puis, il l’enfouit dans sa poche.Après quelques minutes, nous arrivâmes à l’école.Beaucoup d’élèves étaient là.
Le directeur vint à notre rencontre et nous invita à entrer dans une grande salle.Si je me souviens,nous étions une quarantaine d’élèves.
Nous prîmes place chacun dans son siège et nous attendîmes poliment nos résultats.A un certain moment , monsieur Touil entra tenant à la main une feuille .Aussitôt tous les regard se posèrent sur lui.
Après avoir demandé un peu de silence, il dit:
_ » Mes chers élèves, vous attendez sûrement avec impatience vos résultats .Aussi, je ne vais pas vous faire languir davantage.Que ceux qui entendent leur nom restent ;les autres vont devoir quitter les lieux.Tout simplement, ils n’ont pas réussi à obtenir leur certificat d’étude primaire.
Alors, il commença par lire les noms.Chaque fois, des cris de joie résonnaient dans la salle:
_ » Hourra, j’ai réussi
ou
_ » Dieu soit loué, j’ai eu mon certificat
ou encore:
_ »Hé les amis , je l’ai!
Ceux qui n’avaient pas encore entendu leur nom demeuraient attentifs et toute ouïe pour « percepter leur nom.
A un moment, j’entendis mon nom .Aussitôt, je retournai vers mon ami Rabah:
_ » ça y est , j’ai réussi !
Puis:
_ » Et toi ?
_Pas encore…J’attends toujours.
Malheureusement, l’instituteur s’arrêta et plia la feuille qu’il remit dans sa poche .Donc, ceux qui n’avaient pas entendu leur nom, avaient échoué.Tous penauds les uns, et en colère les autres, ils sortirent de la salle sans se retourner derrière eux.
Quelques minutes après, le directeur entra en tenant dans ses mains nos diplômes qu’il allait devoir nous remettre à chacun de nous .
_ » Les enfants, je vais vous remettre votre diplôme à chacun de vous .Aussi , dès que l’un de vous entende son nom qu’il s’approche.
J’étais le premier à l’avoir reçu.Preuve que j’avais une bonne moyenne, sinon la meilleure.
Soudain, le directeur dit tout haut:
_ » Rabah L….
Tous les élèves se retournèrent derrière eux:
_ » Mais…mais..
Monsieur Touil s’approcha du directeur et lui dit:
_ » Monsieur, vous devez faire erreur :Le nommé Rabah n’a pas réussi à l’examen
_ » Pas du tout ; regardez vous même!
l’instituteur se figea comme une statue ; puis il se tapa le front avant de crier:
_ » Monsieur le directeur , on a commis une erreur .Rabah vient de quitter la salle avec ceux qui ont échoué.
Puis, on nous regardant:
_ » Il faut faire vite .
Aussitôt, il m’aperçut et son visage s’illumina comme un clair de lune:
_ » Dis-moi Abdelhamid, tu sais où habite ton ami ?
Je hochai la tête en signe d’affirmation
Il reprit:
_ » Cours vite l’avertir et ne reviens qu’accompagné de lui !A suivre…..
juillet 12, 2009 à 9:20 #233374En réponse à : Un voyage dans le temps .. est-il possible !!
ayman
MembreJe vais prendre l’exemple du voyage vers le futur ( evidemment en admettant que le voyage dans le temps est realisable) le principe c’est se deplacer d’un endroit spatio-temporel, vers un autre endroit , un exemple du principe : prenons deux individus qui vont se deplacer d’un point A vers un autre B ,le premier va aller à pied le second avec un autre moyen de transport velo par exemple ( remarquez que chaque fois que le moyen est plus performant que le gain du temps est plus important) donc immanquablement la deuxieme personne arrivera plutot que la premeire (à pied) , ce gain de temps est consideré comme un voyage puisque pour la premiere personne arriver au point B reste un futur .prenez l’avion par exemple ( les vacanciers savent tres bien de quoi je parle ) ils gagnent trois jours ce qui serait quasiment impossible avant l’inention de l’avion, conclusion avec un moyen de transport qui peut se deplacer d’un point A vers un autre B à une vitesse extraordinaire peu devancer le temps reel qui devrait se derouler au present , c’est ce principe qui a donner jour à la saga retour vers le futur , en plusieurs partis , utiliser une voiture puissante qui peut aller au-de-là de la vitesse de la lumiere pour pouvoir defier le temps.
mais personnellement j’y crois pas , on peut pas se deplacer dans le temps soit vers le futur ou le passé .juillet 12, 2009 à 3:57 #270794En réponse à : 3ème édition du Festival International du Rai d’Oujda
fadi
MembrePour sa troisième édition, le Festival international du raï d’Oujda a choisi d’inviter les grosses pointures du genre. Du 23 au 25 juillet 2009, à l’exception de Cheb Khaled, tous les grands noms seront de la partie. De Bilal à Mohamed Lamine en passant par Zahouania, Hamid Bouchenak, Rachid Berriah et Réda Taliani, le public de la capitale de l’Oriental sera sûrement gâté.
Parmi cette pléiade de stars du raï, c’est Cheb Bilal qui semble le plus attendu. Ce dernier se produira pour la deuxième fois consécutive au Festival international du Raï d’Oujda. Il saisira l’occasion pour présenter les meilleurs titres de son dernier album « Allah Kbir», sorti il y a deux mois, ainsi que les vieux tubes souvent acclamés par ses fans comme « Darja Darja», «Roubla sans arrêt», « Anti Omri», « Crédit Habesnah», entre autres.
Rappelons enfin que ce Festival est organisé par l’Association Oujda Arts, en partenariat avec la Wilaya d’Oujda. Cette nouvelle édition s’annonce comme un tournant dans le parcours du Festival. Elle mettra un jalon de plus pour promouvoir une musique dansante et chaleureuse. Les stars du raï qui ont charmé le public du FIR lors des deux premières éditions, ont tenu à se reproduire cette année.
Ce qui explique que la manifestation attire non seulement les fans du raï mais aussi et surtout les figures de proue du genre. Et si l’édition précédente a été marquée par un taux d’affluence très important: 700.000 personnes en 2008 durant 5 jours et 200.000 spectateurs, lors de la soirée de clôture, cette année ce chiffre pourrait atteindre le double. Et donc, plus de 900.000 spectateurs sont attendus durant ce festival de trois jours.achraf
MembreBonjour a tous,
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Gsm/ 0677 46 96 13juillet 11, 2009 à 12:19 #271707En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantPour ceux qui ont lu « le poulet imaginaire », ils se sont aperçus que Jelloul a usé de cette astuce pour faire manger son invité le plat du jour, ou plutôt de la nuit: la soupe au vermicelle.
Pour mon ami , grâce au poulet , il est devenu encore célèbre.
C’était arrivé au mois du Ramadan.Pour être précis, la nuit du destin.
Comme vous devez le savoir , cette nuit là, tous les musulmans la consacrent aux prières afin d’obtenir le pardon et la miséricorde d’ALLAH.
C’est aussi une nuit où l’on est plus généreux que d’habitude.Aussi, on prépare du couscous qu’on « offre » aux habitués des mosquées.
Cette nuit là, tout le monde mange à sa faim:le riche comme le pauvre!
Cette nuit, nous étions tous les amis du derb en pleines prières.Soudain, l’un de mes amis remarqua une chose étrange .Il était accroupi quand il vit Bounour s’accaparer un poulet d’une grande assiettée de couscous ; puis, en un clin d’œil, prendre le large.
Quand nous eûmes fini quelques « raka3ates » , l’observateur nous fit la remarque qu’il avait notée.
Sur le champ, on est sorti à sa recherche .Après une heure, on l’avait trouvé dans un coin .Il avait mal au ventre .Je m’approchai de lui:
_ » Où étais-tu passé pendant tout ce temps.On te cherchait partout!
Tout en essayant de cacher ses douleurs par des grimaces, il dit:
_ » Je ne me sentais pas bien; alors, je suis venu me reposer jusqu’à ce que ça passe
_ Evidemment, intervint l’un de nous , t’as dévoré tout un poulet!
Bounour fit l’innocent:
_ » Quel poulet ?
Tout le monde se mit à rire .
_ » Tu sais, Hamid, lui dis-je, on t’a vu la main dans le sac.Alors, pas la peine de nier
_ Qu’en as tu fait, ajouta l’observateur
Il hésita un moment avant de répondre:
_ Rien…..je l’ai donné à un chat affamé.
Cette réplique nous a fait tellement marrer que nous l’abordâmes de tous les côtés de tas de questions les unes plus idiotes que les autres.
Enfin, il consentit à nous dire la vérité:
_ » C’est vrai, j’ai mangé la moitié du poulet
_Et l’autre moitié ?
_Je l’ai trouvée un peu fade
Et d’ajouter :
_ » Croyez-moi les amis, ceux qui ont préparé ce succulent poulet ont oublié d’en mettre du sel !
C’était ainsi que Bounour fut connu pendant un certain temps par le nom comique de « djaj elmassous »
A suivre…..
juillet 9, 2009 à 9:23 #271705En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantAbdelhamid était marocain par son père et algérien par sa mère.Aussi, ils ont habité un certain temps à Oran .C’était là-bas qu’il fit ses premiers pas de bébé .I y est resté jusqu’à l’âge de 9 ans.
Il me racontait souvent un film qu’il n’oublierait jamais : Tchoutchou et l’américain .Ce film , il l’a vu plus de vingt fois.Moi, je trouvais cela impossible.Aussi, il m’expliqua :
_ » Nous habitions juste en face d’un cinéma.Pour avoir un peu d’argent de poche, je faisais un peu de nettoyage dans le cinéma.Alors, le propriétaire me donnait quelques sous et un billet pour y entrer .
Mon ami m’a raconté l’histoire tant de fois que je crois qu’elle ne s’effacera jamais de ma mémoire d’éléphant.
C’était l’histoire d’un certain Tchoutchou qui habitait dans un village mexicain appelé Domingo.Il était le plus pauvre de tous .Son travail consistait à servir les voyageurs de passage.Quand un visiteur entrait au village, il accourait pour prendre son cheval et le conduire à l’écurie; puis, il prenait la valise du monsieur ou les bagages de madame à l’hôtel.Après ces deux délicates opérations, on lui donnait 20 pesos .De quoi se procurer de la nourriture et du téquila .
Cependant, il finit par en avoir marre.Alors, il sauta sur le premier train qui passa par son village.
Dans le train, il fit la connaissance de l’Américain.Ce dernier lui proposa une grosse somme d’argent en échange d’une signature de sa part de quelques documents.
Ce que Tchoutchou ne savait pas : les documents en questions étaient des contrats de vente du village Domingo.
Donc, notre héros s’en alla vers un autre patelin où il s’installa.là-bas, il bâtit une ferme et acheta du bétail pour l’élevage.
Bientôt, il fut l’un des richards de toute l’Amérique.
Comme il avait beaucoup d’argent, il le dépensait à droite et à gauche sans se soucier de son manque.
Malheureusement, le jour arriva où notre bonhomme n’aurait plus un sou.
Dans une partie de poker, l’ancien habitant de Domingo perdit toute sa fortune y compris sa demeure et ses vêtements.
Donc, on le jeta à la porte .C’était alors qu’il décida de retourner chez lui.
Sur le chemin du retour, il apprit la mauvaise nouvelle: l’Américain était le seigneur de Domingo.Toutes les propriétés lui appartenaient et ses habitants étaient devenus ses serviteurs.Aussitôt, il réalisa que tout cela était arrivé par sa faute.
Alors, il défia l’Américain en duel:
_ » Ecoute moi « Miricani », l’un de nous doit rester en vie: toi ou moi.Alors prends ton pistolet et montre-moi ce que tu peux en faire !
Toute la population était au rendez-vous pour encourager et acclamer le héros :
_ » Vive Tchoutchou, vive Tchoutchou !
L’Américain les regarda avec mépris et dit:
_ » Dans quelques secondes, votre Tchoutchou ne sera que du passé
Les deux se mirent chacun face à l’autre prêt à sortir son revolver.
Soudain, l’Américain dégaina son pistolet ; mais Tchoutchou était plus rapide que lui.Aussitôt deux coups partirent et l’atteignirent entre les yeux .
L’Américain avait eu son billet aller vers l’enfer …et sans retour.L’histoire de mon ami m’a tellement plu que j’avais hâte de revoir ce film dans l’une des salles de notre ville.Malheureusement, jusqu’à présent, je n’ai jamais eu ce plaisir.
A croire que le film n’est qu’une imagination de mon ami !A suivre……
juillet 6, 2009 à 6:44 #271703En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
Participant
Pour cette fois, on parle des bons souvenirs; rien que les bons.Mais surtout , les drôles et qui m’ont toujours fait marrer
Votre ami Houmidi en a tellement qu’il peut écrire tout un bouquin !
Depuis mon enfance, nous habitions au village des mottes qu’on appelle « touba ».Pour être précis, dans un terrain qui était au début très vague et dont les habitations étaient rares.Nous étions parmi les premiers à s’y être installer .Ah, j’oublie de vous dire que le lotissement en question s’appelait jadis celui de Bendra (ça me rappelle un acteur hindou).Nous, nous l’appelions autrefois: »bni jdid »(les nouveaux habitats »
Quand mon père avait fini de construire sa maison ; c’était en 1970 .nous n’avions qu’un seul voisin: un professeur d’arabe .En face de nous, c’était un grand terrain .D’ailleurs, c’était là qu’on jouait au ballon.
Je me rappelle bien des anciens habitants du derb.Il y avait un certain Kouider qui était de mon âge.C’était au fait un algérien de père et marocain de mère.On le surnommait « dactylo » .Vous allez me demander pourquoi ce surnom?
Je vous réponds tout simplement parce qu’il était si agile avec ses membres, surtout ses pieds qu’on avait l’impression qu’il tapait sur le dactylographe.
Ce Kouider était le plus grand amoureux de la terre .Chaque jour, il tombait amoureux d’au moins 5 filles !
Quand il voyait une jeune fille passer, il ne cessait de dire:
_ » Mon dieu, ça y est , j’aime cette créature..je suis amoureux d’elle
Et d’ajouter:
_ » Ah, mon cœur, elle t’a pris !
Ce que vous ne savez pas est que les filles avaient le droit de sortir jusqu’à l’âge de 10 ou 11 ans.Dès que la fille a ses règles, on lui interdit souvent de rester dehors .
Pour vous dire que les parents avaient aussi leurs règles à faire respecter !
Tenez, par exemple, il arrive qu’un de mes amis voit sa sœur juste sur le seuil de la porte qu’il vocifère déjà :
_ » Rentre vite, sinon je vais te corriger .
Les braves garçons ils tenaient bien à leur réputation !
Pour revenir à Kouider, il regardait le beau sexe ; et sur le champ, il l’aimait!
Un jour, une famille vint s’installer dans notre quartier .Cette famille n’avait qu’une seule fille .Elle était âgée de 14 ans.Je crois qu’elle s’appelle Malika.
Si je vous dis que c’était une vraie poupée .Croyez-moi les amis, c’était une « barbie » en chair et en os.
Bien entendu, Kouider était le premier à être séduit par sa beauté.
Si je me souviens, ce jour là il avait poussé un long soupir et avait lâché ces mots qui seraient sûrement dans les annales de l’histoire ..si cette liaison avait duré!
_ » Ya rabbi ddat li 3a9li ou 9albi
Wach rani 3ayach walla mayat ?
Pour ceux qui ne comprennent pas l’arabe:mon Dieu, elle m’a privé de mon esprit et mon cœur.Suis-je vivant ou mort ?
Malika ne sortait que pour porter le pain au four , puis quand il fut cuit le rapporter à la maison.
Aussi, Kouider l’attendait tout près du four.Dès qu’elle passait, il lui lançait un papier plié en quatre .Au fait, c’était une lettre d’amour dans laquelle l’amoureux exprimait tous ses états qui avait en rapport avec son cœur et son esprit.
La fille se baissait comme pour enlever un caillou qui serait introduit dans ses sandales.Elle prit le message , donna un sourire au « facteur du trottoir » , puis continua son chemin ,comme si de rien n’était!
Pour être franc avec vous, votre ami Houmidi lui écrivait les messages.Le pauvre, il ne savait pas écrire comme il s’exprimait.L’arabe n’était pas son fort .
A ce propos, j’aimerais vous dire que moi aussi cette nana…pardon, cette fille me plaisait.Aussi, quand j’écrivais les mots pour mon ami, je le faisais sincèrement et du fond de mon cœur .
Donc, des jours passèrent comme ça: Malika portait le pain au four.Kouider lui jetait la lettre.Elle, elle la ramassait .Quand elle revenait pour rapporter le pain, elle lui jetait la réponse.Lui, en bon gentilhomme ne la prenait qu’après son départ.
Vous imaginez bien qu’il avait un plaisir à la regarder et contempler sa beauté.
Un vendredi, Kouider vint se pointer tout près du four.Il avait déjà le message qu’il devait donner à sa bien aimée.Une heure s’écoula; puis , deux.Malika n’était pas encore apparue .Pourtant ce n’était pas de ses habitudes de faire languir « Roméo » .
A midi, toujours aucune nouvelle de Malika.
Kouider commençait déjà à s’inquiéter:
_ » Hamid, il est arrivé quelque chose de grave à ma bien aimée.
Je le rassurai:
_ » Non, rassure-toi; elle se porte bien
_ Et alors, pourquoi n’est elle pas sortie aujourd’hui ?
J’essayais de lui trouver un argument:
_ Tu sais, son père a du lui même porter le pain au four.
Kouider était catégorique:
_ » Non, personne n’a apporté de pain au four; sinon, je l’aurai su !
Je laissais l’amoureux .Au fait, il était l’heure du déjeuner et justement mon frère Houssini était venu m’avertir que toute la famille n’attendait que moi pour savourer un plat purée de pommes de terre à la sauce de poulet !
Kouider était très amoureux de « la petite ».Aussi, il décida de l’attendre tout près de chez elle.Il croyait qu’elle pourrait jeter un coup d’œil par la fenêtre.Peut-être bien qu’en l’apercevant, elle lui dirait quelques mots.
Vers une heure de l’après midi, toujours pas de nouvelles de Malika.
Soudain, la porte de la maison s’ouvrit .Une grosse tête apparut sur le seuil de la porte .C’était le père.
Au fait, on le surnommait: il fait bruit.
Il avait un solex ; quand il montait dessus avec son poids d’éléphant, le vélomoteur s’avançait péniblement et faisait assez de bruit pour réveiller un sourd de son sommeil.
Donc, dès qu’on entendait le bruit du moteur du solex, on se dit:
_ » Voilà « il fait fait bruit qui revient chez lui.
Vingt minutes après, le « pachyderme » fit son entrée
Donc, Kouider était pris cette fois à l’improviste.Il ne pouvait ni s’enfuir , ni se cacher. »Il fait bruit » s’approcha de lui.Pour une fois, il n’était pas du tout fâché.Aussi, avec une gentillesse qui n’allait sûrement pas avec sa personne, il dit à l’amoureux:
_ » Mon petit, tu feras mieux d’aller chez toi; tu risques d’attendre pour très longtemps
Et d’expliquer:
_ » Aujourd’hui, on a mangé du couscous ! »A suivre…..
juillet 6, 2009 à 12:11 #271701En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantJe me souviens, un jour monsieur Ghayouri entra en classe avec un visage aussi lugubre qu’une femme en deuil.Ce jour là, il n’avait pas porté sa chemise rouge , et pourtant!
Pas la peine de vous dire qu’on était intrigué par ce changement qui n’allait certes pas nous arranger.Au fait, notre instituteur avait mis sa chemise jaune.Or, pour nous cette couleur était synonyme de paix .Alors quand nous la voyions, cela nous rassurait beaucoup .
Donc, monsieur Ghayouri entra en classe ; puis nous dit d’un ton dur:
_ » Asseyez_vous , prenez vos livres page….et lisez en silence !
Cinq minutes après, il alla chez le directeur .
Les élèves (surtout les paresseux) croyaient que le maitre ne reviendrait pas .Aussi, ils se mirent à jouer et à crier .Soudain, monsieur Ghayouri entra et prit en flagrant délit un de ces élèves entrain de l’imiter .Il ne lui dit rien .Dès que cet élève rejoignit sa place , il l’apostropha gentillement:
_ » Monsieur Hajji, voudriez-vous nous faire un peu de lecture s’il vous plait!
Vous, vous ne connaissez pas Hajji.Au fait, c’était le dernier de la classe.Quand il lisait un texte , on croirait qu’il était entrain de déchiffrer une ancienne table égyptienne !
Donc, notre camarade commença sa lecture .Si je me souviens bien, c’était le texte de la chèvre de monsieur Seguin.
Pas la peine de vous dire que monsieur Ghayouri était très en colère.Aussi, il l’interrompit ;puis, comme d’habitude fit signes aux 6 gaillards pour mettre le cancre sur la table de torture.
Vous ai-je dit que Hajji avait une grande taille .Je crois qu’il dépassait le 1mètres 90 .Pour son âge , c’était ahurissant.Si je vous dit qu’il déplaçait de loin la taille de notre maitre.
Quand, il fut prêt, monsieur Ghayouri lui assigna les premiers coups.Aussitôt, Hajji se mit à crier , plutôt à beugler comme un âne à la quête d’une ……Cela ne fit qu’accélérer les coups de bâton.
Soudain, Hajji leva sa main et dit tout haut:
_ » Monsieur, s’il vous plait, arrêteeeeeeeeeez!
L’instituteur de français s’arrêta net!
_ » Qu’est-ce qu’il y a , dit il mi-figue, mi-raisin
Le cancre de la classe répond tout simplement:
_ » Monsieur, je crois qu’elle est cassée!
Cela ne fit qu’étonner notre maitre; d’ailleurs, nous aussi:
_ » Qu’est-ce qui est cassé ?
D’un geste de la main, il montra (sauf votre respect) son derrière endolori et ajouta:
_ » Regardez, monsieur !
C’était la première fois que monsieur Ghayouri riait devant nous .Il riait tellement fort qu’il était sur le point de tomber.
Bien entendu, il fit signe à ses « acolytes » de lâcher l’élève .
Ce jour là, notre maitre a vite repris sa bonne humeur .A suivre……
juillet 5, 2009 à 6:45 #271700En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantEn cinquième année primaire, beaucoup de souvenirs : des bons et des mauvais !
Malheureusement, cette année , j’ai échoué en fin d’année .
Moi qui travaillait et avait toujours de bonnes notes.J’ai été même appréciés par mes professeurs .Cependant, oui mes amis, je n’ai pas réussi à l’examen de fin d’année.
Je vais vous raconter tout ça en détail .
Pour les bons souvenirs, monsieur Touil a bien voulu être notre instituteur pour cette année.
Un fait nouveau était arrivé à l’improviste: l’instituteur de la cinquième année avait subi une opération .Donc, comme cette année était la plus importante du cycle primaire , Notre instituteur fit des sacrifices en remplaçant son collègue .
Cela nous arrangeait bien, nous ses élèves.
Croyez moi, les amis, j’étais sûr de passer une année pleine d’activités et riches en connaissances .
Malheureusement, comme je l’avais déjà, elle se termina en catastrophe …enfin pour moi.
Laissez-moi d’abord vous présenter notre maitre de français: il s’appelle monsieur Ghayouri .
C’était un professeur très élégant.il était âgé d’environs 24 ans.
Pour vous dire qu’il était jeune.
Il s’habillait bien et changeait d’habits selon son caractère .
Nous, on avait vite fini par remarquer cela.
Par exemple, quand il portait une chemise rouge, c’était la journée la plus noire qu’on pourrait vivre.Il était fou et furieux.Il nous punissait à la moindre faute commise.D’ailleurs, il profitait pour pour nous faire réciter tout: la conjugaison, le lexique, la table de multiplication, et même de réciter le texte de français!
Il s’approchait souvent de l’un des élèves, le gourdin à la main.Nous , on tremblait comme des feuilles d’arbres quand le vent soufflait.Vous imaginez pas ce que nous endurions !
Alors, il pointa le bâton vers un des élèves et dit :
_ » Conjugue-moi le verbe naitre au passé simple!
L’interpelé allait répondre quand monsieur Ghayouri s’adressa à un autre élève:_ » Toi, réponds et vite!
Bien entendu, ce dernier bégayait .Aussitôt, le maitre l’attrapa par le col de sa chemise et le poussa vers le tableau.
D’un signe de sa tête, 6 élèves attrapèrent « la victime » :les uns par la main, les autres par le pied; ça me rappelle le sacrifice du mouton.Alors, ils le posèrent sur une tables, ou plutôt le coincèrent à la table.Puis ils le l maintinrent solidement pour qu’il ne pût s’échapper !
Ah, j’ai oublié de vous dire qu’il le présentait le dos vers le maitre.
Ce dernier s’approcha de lui , le bâton à la main , bien sûr.
Aussitôt, les coups s’abattirent sur le derrière de notre camarade.
La ça me rappelait ma grand-mère quand elle donnait des coups de son gourdin à la peau de mouton (hidoura) quand elle la lavait dans la rivière.
C’était plus atroce que cette scène !
Je me rappelle un jour, mon frère qui était dans la même classe que moi avait dû subir cette correction magistrale.Croyez-moi, les amis, le frangin avait passé plus d’une semaine à se coucher sur le ventre !
En plus, il marchait péniblement .Sa marche était tellement lente qu’une tortue l’aurait dépassé dans une course sans le moindre effort de sa part (je parle de la tortue )A suivre…….
juillet 5, 2009 à 12:19 #271699En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantNotre instituteur arabe était un homme déjà vieux à l’époque. Souvent, il nous racontait quelques étapes de la seconde guerre mondiale.Nous, on l’écoutait avec attention.Finalement, on avait beaucoup appris de lui.Au fait, grâce à monsieur Touil que j’ai toujours aimé l’histoire ; surtout celle du Maroc.
Il avait une certaine technique pour nous la raconter.Savez-vous qu’on n’avait pas besoin d’apprendre nos leçons chez nous?
Parce que tout simplement, tout en écoutant le récit magistral, on mémorisait tout!
Je me souviens qu’un jour monsieur Touil nous avait raconté une histoire très drôle .On avait beaucoup rigolé en ce temps là.
D’après mes souvenirs, c’était durant la crise de 1929, monsieur Touil avait l’âge de 12 ou 13 ans.Quand, cette crise est survenu, la plupart des gens avaient faim.Il n’y avait rien à manger.Aussi, pour compenser le manque de sucre, on buvait du café noir avec des dattes.
Notre instituteur ne mangeait pas à sa faim.Alors un jour, avec un de ses amis, ils s’approchèrent d’une ferme isolée.Il était environs deux heures de l’après-midi, l’heure de la sieste.Au fait, cette ferme appartenait à des colons français.
Donc, monsieur Touil et son ami escaladèrent le mur et les voilà dans la ferme.Heureusement pour eux, ce jour là, les chiens n’étaient pas là.D’après notre instituteur, on les a emmenés à la chasse de bonne heure et ils n’étaient pas encore entrés.C’était pour les deux voleurs une occasion à ne rater en aucun cas!
Monsieur Touil s’avança tout doucement en rampant vers le poulailler .Il avait l’intention de voler quelques œufs .Donc par l’une des fentes , ils pénétrèrent à l’intérieur.Soudain, les coqs sautèrent sur eux, tandis que les poules se mettaient de la fête , elles aussi.Il y eut un remue ménage.Notre pauvre instituteur finit par tomber dans une mare de
boue .L’enseignant était devenu méconnaissable qu’il aurait fait fuir même les chiens .Son compagnon, lui, une poule lui a laissé un souvenir sur sa tête .Bien sûr , vous avez deviné sa nature .
Finalement, ils ont rebroussé chemin vers un étang pour se laver .
Comme vous constatez, notre maitre était quelqu’un de modeste.Il nous traitait comme ses enfants.
Là, un autre souvenir me revient.Quand j’y pense, je me tords de rire.
Dans notre classe, il y avait deux élèves: un gros noir nommé Haddad et un maigre qui bégayait tout le temps qui s’appelait Tafza.Ils s’asseyaient toujours ensemble.
Un jour, nous étions entrain de copier une leçon d’histoire sur nos cahier.Soudain ,Tafza leva son doigt et sans attendre l’autorisation du maitre dit:
_ » Me…me…me.me….me……
Aussitôt , monsieur Touil se retourna pour voir ce qui se passait .
Tous les élèves firent de même:
_Me…s.s…s…sieur……me..me…me..sieur…
Oui, répond ce dernier, qu’est-ce qu’il y a ?
_ » Ha…ha…ha..dda…dda…ddad……
L’instituteur s’approcha de Tafza:
_ » Qu’est-ce que tu veux ?
Alors, le bégayeur montra du doigt son compagnon et ajouta:
_ » Ha…ha…ha…dda…dda…ddad….
_ Oui, dit une autre fois le maitre
Tafza continua son onomatopée:
_ Ha…ha..dda…dda…ddad…ta….ta…ta..
_ » Quoi , s’interrogea le maitre
_…Ta…ta…ta…ta…….
_Du calme , mon petit , et dis moi ce qu’il y a !
Et toujours:
_ » Ta…ta…ta..ch…ch…
_ Tache…quelle tache ?
Tafza reprit :
_ » Ta…ta…ta..ch..ch……haaaaaaaaaaaaaaa!(1)
Toute la classe s’explosa de rire ; tandis que le gros noir qui croyait avoir fait une grosse erreur respira de plus belle.
Alors monsieur sourit un moment et s’adressa à Tafza:
_ » Mon petit , tu m’as fait une de ces peurs.Je croyais que ton ami t’avait causé de gros problèmes
Et d’ajouter:
_ » Regarde Haddad, il est tout rouge de confusion .
Puis, tout d’un coup , le maitre se boucha le nez , et lança au petit noiraud :
Oh, ça pue fort là! Qu’est-ce que t’as mangé ?
Haddad nous dévisagea tous avant de répondre:
_ » Rien,missiou, (2) ,rien;seulement du bissara (3)
_ Combien de bol?
_ Je ne sais pas…mais peut-être 5 ou 6
_Sors vite et va directement aux toilettes et ne reviens qu’après avoir tout vidé!
Haddad se dirigea vers la porte sous les regards moqueurs des élèves; tandis que notre Tafza était toujours entrain de refaire sa phrase:
_Ta…ta…ta..tach…tach…tach..haaaaa
aa!(1) en français ça veut dire:il a pété
(2) Haddad emploie ce mot en français
(3) un plat marocain à base de fèves ou de pois cassés ;une sorte de soupe marocaineA suivre…..
juillet 3, 2009 à 12:15 #205937Sujet: SECRET DE RECRUTEUR ET ENTRETIEN – ce qui leur met la puce à
dans le forum Espace étudiantMoonlight
MembreSalam voici quelque Info très Utiles, que j’ai pêché pour vous sur le net pour vos Entretiens.
SECRET DE RECRUTEUR ET ENTRETIEN
– ce qui leur met la puce à l’oreille –
A la recherche du moindre indice, les recruteurs prennent des allures dinspecteur Columbo quand vient le temps de lentretien. Le but de leur enquête : lire entre les lignes pour débusquer le candidat idéal.
1) Testez votre curiosité
Le recruteur : Florian Mantione, directeur du Florian Mantione Institut (Réseau international de conseil en ressources humaines)Ce quil cherche à déceler : la curiosité des candidats
Pour Florian Mantione, un bon candidat est un candidat curieux. Celui qui sest vraiment renseigné au préalable sur lentreprise et sur le poste aura donc toutes ses chances de plaire. Selon lui, un candidat doit aussi sintéresser à lenvironnement et à lévolution récente de son métier. « Vous nêtes pas de simples exécutants, explique-t-il. Avoir un avis sur les grandes problématiques de votre secteur est primordial lors dun entretien. »
Ses méthodes :
Le dada de Florian Mantione ? Le nom de votre lycée « Vous étiez au lycée Lamartine ? Mais qui est Lamartine au juste ? » Lobjet dune telle question : tester votre curiosité, mais aussi observer votre réaction lors dune situation inattendue. Ensuite, plus classique, attendez-vous à être questionné sur lentreprise et sur le poste que vous convoitez : quels sont les clients de lemployeur ? Ses fournisseurs ? Ses concurrents ?
2) Tester votre adéquation au poste
La recruteuse : Karin Gaudillat, chargée de recrutement chez Adecco Experts
Ce quil cherche à déceler : lépanouissement du candidat
Selon Karine Gaudillat, que ce soit en période de crise ou de plein emploi, les demandeurs demploi en France accordent beaucoup dimportance à leur futur environnement de travail. Ainsi, lors de ses entretiens, vérifier si le candidat pourra sépanouir au mieux dans son poste est sa priorité. « Notre objectif est de réussir à 100 % lintégration du candidat au sein de lentreprise », insiste-t-elle.
Ses méthodes :
Dans quel type dentreprise voulez-vous travailler ? Souhaitez-vous avoir des collaborateurs à manager ? Quelle amplitude de travail avez-vous lhabitude davoir pour la réalisation de vos missions ? « Toutes ces questions me permettent de détecter efficacement si les attentes du candidat sont en adéquation avec le poste ou pas », raconte-t-elle. Par ailleurs, si ce dernier semble douter de ses aptitudes, des tests dévaluation en ligne sont proposés par Adecco Experts pour laider à sauto-évaluer.
3) Mesurer votre conviction
La recruteuse : Catherine Dervaux, directrice de lagence de recrutement Men Way, Paris/Ile de France
Ce quil cherche à déceler : le relationnel
Catherine Dervaux ny va pas par quatre chemins : « avant même quun nouvel embauché soit en poste, la première chose que nos clients jugeront, cest son relationnel. » Aucun entretien ne déroge donc à la règle : enthousiasme, pro-activité, souplesse, bonne humeur tout est sondé. Et si ces conditions sont remplies, mais que les diplômes ou lexpérience professionnelle font défaut, son cur peut balancer.
Ses méthodes :
Tout au long de lentretien, Catherine Dervaux est aux aguets pour déceler « ce qui fait bouger » le candidat. « Montrez que vous êtes content dêtre là, souriez, réagissez rapidement, soyez présent, investissez-vous ! » Regarder la table sans conviction est rédhibitoire
4) Estimer votre motivation
Le recruteur : Frédérick Airès, responsable Développement et Innovation RH chez Teleperformance Centre Ouest
Ce quil cherche à déceler : la motivation et lenvie de se former
Chez Teleperformance, 95 % du recrutement concerne des postes de conseillers clients. Leur quotidien ? Répondre aux demandes des clients, et faire preuve de tact et de politesse à chaque appel, des missions plutôt délicates. « Il faut donc une certaine dose de ténacité et de motivation pour réussir dans ce métier », précise Frédérick Airès.
Lenvie dapprendre est tout aussi importante chez Teleperformance : « tout nouveau collaborateur qui nous rejoint bénéficie dun parcours de formation, afin de devenir un conseiller clients efficace », explique Frédérick Airès.
Ses méthodes :
Après le test de culture générale et daptitude, les motivations du candidat sont passées au crible. Exemple : « si un candidat ne souhaite pas travailler sur la plage horaire du centre pour lequel il postule, il réduit considérablement ses possibilités dembauche, estime-t-il. À contrario, un candidat, qui se révèle flexible et prêt à sinvestir saura retenir notre attention. »
Enfin
Question incontournable pour Frédérick Airès : « seriez-vous prêt à suivre une formation ? ». Or, surprise, bon nombre de candidats semblent réticents : « pour beaucoup, lécole est déjà loin derrière eux. » Et elle ne leur rappelle pas que de bons souvenirs… Dommage, car cette motivation se révèle déterminante pour le recruteur.
Pauline Tissot -copyright Keljob.com – juillet 2009
juillet 2, 2009 à 6:15 #271061En réponse à : Aller! réveillez vous!
houmidi59
Participant1 ) Le trait principal de mon caractère: A première vue, je parais dur; ceux qui me connaissent savent que je suis indulgent et je pardonne tout et vite
J’oublie facilement! 🙂2 ) La qualité que je désire chez les hommes: La responsabilité
J’aime les hommes qui ont le sens de la responsabilité3 ) La qualité que je préfère chez une femme: la gentillesse
J’aime les femmes gentilles qui me sourient dès qu’elles me voient venir vers elles4 ) Mon principal défaut: la spontanéité (actes et paroles)
Il m’arrive de dire des trucs sans me rendre compte , c’est spontané et direct.
Tiens, je vais vous en raconter une : un jour une collègue à moi me parlait d’un certain autre collègue nommé Hammas.Elle lui avait prêté une somme d’argent et notre gars n’a pas voulu la lui rendre; pire encore, il a nié avoir obtenu un seul centime de sa part.
Pour conclure, elle m’a dit : »ça ne passera pas comme ça la prochaine fois
Moi en bon et honnête citoyen je lui ai répondu:
« trop tard, il t’a déjà cuisiné ; la prochaine fois il va te déguster.
Bien entendu, elle s’est fâchée.
Elle a compris mon jeu de mot mais du sens opposé! PDT_Armataz_02_065 ) Ma principale qualité: la sincérité
6 ) Mon occupation préférée: écrire des nouvelles.
Pour cette période, prendre des photos7 ) Le plat qui me met l’eau à la bouche: un plat de haricots blancs à la viande de veau.
Je ne suis pas contre l’ajout de navets (ellaft elmourra)8 ) Mes mots favoris:
1) dans certains moments, la réalité dépasse la fiction !
2) l’appétit vient en mangeant9 ) Ce que je déteste par dessus tout:
1) ceux qui manquent au rendez-vous
2) ceux qui s’entêtent à imposer leur opinion
3) les flemmards10 ) Un rêve:
Au fait, j’en ai plusieurs dont la plupart sont irréalisables
1) aller à la lune sans avoir à rêver
2) épouser Demie Moore
3) avoir un rôle dans un film à côté de Clint Eastwood
4) devenir le directeur de Oujda-city.
Ici, le problème est que Alae n’est pas prêt pour me céder sa place! 😀
5) publier toutes mes nouvelles dans un bouquin
6) aller à la Mecque
7) devenir chanteur.
Pour le moment, je chante quand je suis au bain, ou quand ma « moitié » dort pour ne pas entendre ses ronflements
8) gagner au loto un milliard.
Au fait, je ne joue pas , mais il m’arrive de composer des chiffres et de les comparer aux résultats
jusqu’à présent, j’ai obtenu quatre chiffres , une seule fois cinq chiffres.
Un ami m’avait dit que si j’avais joué ces chiffres, j’aurais gagné 12000 dirhams
Je lui ai répondu que ce n’était pas une somme à faire courir Houmidi
Moi, je veux un milliard ou rien ! PDT_Armataz_02_07
9) être aimé par tout le monde
Pour ne rien vous cacher , je suis très aimé par les petits .Dès qu’ils me voient, ils s’élancent vers moi.Comme si j’étais un aimant.
Aussi, mes poches sont toujours garnies de bonbons , de chocolats que je leur distribue
10) visiter le Japonjuin 30, 2009 à 5:06 #271697En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantEn ma troisième année, j’ai fait la connaissance de deux instituteurs:celui de la langue arabe et celui de la langue française.
Le premier s’appelle monsieur Moumni.C’était quelqu’un de dur.Il ne souriait jamais.A croire que c’était un robot.
Au début de l’année, il nous avait présenté un gros bâton qu’il tenait d’une main d’expert.Il le fit vaciller un moment; puis ,nous dit :
_ » Je vous présente Messaouda .Elle va vous accompagner durant toute l’année.
Nous ,on le regardait(le bâton, bien sûr) avec une sorte de curiosité ,mélangée de peur.
Il fit le tour de la classe et reprit:
_ » Vous savez, Messaouda n’est méchante qu’avec les paresseux, les bavards et les dormeurs .
Et d’ajouter:
_ » Messaouda va faire un tour pour mieux vous connaitre .Elle, elle connait ses ennemis .Dès qu’elle les voit , elle se met à trembler de colère .Regardez!
Aussitôt, le bâton se mit à vaciller entre ses doigts .On dirait qu’il voulait sauter sur l’un des élèves.En effet, certains de mes compagnons ne cachaient pas leur méfiance.Il y en avait qui pleuraient .
Je me souviens de l’un d’eux qui s’était mis à chialer :
_ » Maman, maman, viens me prendre.Messaouda veut me battre.
Aussitôt, monsieur Moumni réalisa qu’il était allé un peu loin.
Alors, d’un geste brusque il fit immobiliser son bâton.Celui-ci devient aussi inerte qu’un chat devant une cheminée.
Il nous regarda cette fois avec pitié .Ensuite, il dit:
_ » Ecoutez-moi, les petits.Je crois que Messaouda va faire des exceptions pour certains.
Tous les élèves tendent leurs oreilles .
_ » Et bien, ajoute-t-il, que ceux qui ont quelconque blessures ou anomalie dans leurs mains se lèvent et viennent vers moi.Messaouda va voir ça de près.Peut-être bien qu’elle vous fera des faveurs.
Au début , personne n’osa se lever.Soudain, un petit dodu se dirigea vers l’instituteur en montrant un doigt enflé.
_ » Monsieur, regardez, ce doigt me fait souffrir et j’ai peur que Messaouda..
Monsieur Moumni l’interrompt net et dit:
_ » Tu as raison, mon petit de signaler ce détail.Aussi, je vais te dire une chose:cette main sera épargnée des coups de bâton; par contre celle-là.
Il désigna la deuxième main valide de l’élève et ajouta:
_ » C’est là que tu auras tes coups de bâton.
Déçu, le dodu retourna à sa place tout penaud.
Quelques instant après, un autre élève lève sa main.Après l’autorisation du maitre, ce dernier dit:
_ » Monsieur, moi j’ai les deux mains qui me font mal.
L’instituteur le dévisagea longuement.Nous, on croyait que notre maitre ne savait quoi faire .Tout à coup, il se mit à rire ;puis, s’approcha de l’élève et lui dit:
_ » Tu espérais éviter les coups de Messaouda.Je te déçois mon petit..
Puis, il désigna du doigt la partie la moins intéressante de son corps….enfin, celle qui lui sert à s’asseoir et dit:
_ » Mon petit, c’est là que tu recevras tes coups.
Après cela, personne n’osa réclamer quoi que ce soit .
Pour l’instituteur de la langue française, au contraire c’était quelqu’un de très élégant.
Il changeait de costumes toutes les semaines.Il avait une voiture ; si je me rappelle bien ,c’était une Simca 1100.
Quand il la stationnait devant l’école, il prit son mouchoir et essuya la poussière sur les quatre roues.
Il aimait la propreté.En classe, il s’intéressait toujours à notre tenue.
D’après lui: un élève propre est quelqu’un qui travaille; un élève sale est une personne paresseuse.
Au fait, il s’appelle monsieur Kelfati.
Je ne vous cache pas que j’étais le premier de sa classe.
Comme je vous l’avais déjà dit : les années que j’ai dû passer chez les sœurs m’ont beaucoup.Parce que là-bas, on parlait français .
Donc, je n’avais pas besoin d’apprendre l’alphabet .Aussi, c’était assez facile pour moi de lire un texte.A suivre….
juin 30, 2009 à 3:56 #271696En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantToujours à propos de mes souvenirs d’enfance , je vais vous parler de mes premières années à l’école .
Avant d’aller à l’école primaire, j’ai passé deux années chez les soeurs ; j’avais ce temps là presque 5 ans.
Vous vous souvenez bien de l’ancienne église qui se trouvait au village des mottes (Touba).Ces serviteurs de Dieu ont fait ouvrir une école maternelle pour garder les enfants et en même temps leur apprendre beaucoup de choses: écrire ,lire , dessiner , créer des jeux.
Pour ne rien vous cacher, j’ai beaucoup appris.
Ce que je me reppelle bien:le matin, vers dix heures pendant la recréation, on nous donnait un verre de lait chacun avec un petit pain beurré ou des biscuits.
On sortait vers 11:30.
Bien entendu, nos parents venaient nous chercher.
Si par hasard, un parent tardait à récupérer son rejeton de fils, figurez-vous qu’on gardait le petit .Pas question de le laisser partir seul.Même si un adulte se présentait comme étant un de la famille de l’élève, les responsables refusait toute demande.Eux ,ils ne reconnaissant que les parents légitimes qui avaient le droit de prendre leur enfant à la sortie.
Savez-vous que c’était une joie pour moi quand mon père tardait quelques fois à venir me prendre ?
D’abord, j’avais droit à un second verre de lait.Des fois un morceau de chocolat.Quant au déjeuner, il était excellent: un morceau de viande, des frites , une boisson un dessert à la crème…bref quelque chose que je ne ne mangerais jamais chez moi.
Le soir vers deux heures, on nous obligeait à faire la sieste.
Elle durait jusqu’à trois heures.Après, on nous donnait des jouets ,des formes cubiques , du papiers et des pinceaux .Cacun de nous choisissait l’activité qui lui plaisait.
Vers cinq heures, heures de la sortie, on nous offrait des bonbons et des biscuits.
Au fait, rare ceux qui avaient fait placer leurs enfants dans cette maternité .
Croyez-moi les amis le prix était exorbitant.Jugez par vous même: 2500 centimes pour chaque mois.
C’était en 1964 .Mon pauvre père avait du marchander avec la mère pour enfin payer 4500 centimes pour mon frère et moi.
Elle a bien voulu nous faire une remise de 500 centimes.Avec cette remise, vous pourriez acheter 25 kilos de pommes de terre, presque 8 petites bouteilles de coca ou 750 grammes de viande de mouton.
Pour vous dire !
A 7 ans, j’ai passé 6 années a l’école Berthelot (connu sous le nom de Ibn-Elkhatib.
Mes études secondaires, je les ai passées au collège Pasteur , puis au lycée AbdelmoumenMes années en primaire , je les ai passées à l’école Ibn-Elkhatib connu jadis sous le nom de Berthelot
Ma première année en 1966/67 ,j’ai fait la connaissance de monsieur Moukhtari
Pour ma deuxième année, notre maître s’appelle My Rchid .
Je me souviens encore de lui, c’était le plus gentil de tous les enseignants à l’époque.
Il ne frappait jamais.Il ne se mettait jamais en colère.
Je me rappelle d’une petite anecdote: un jour un élève s’est endormi en classe .Quand My Rchid l’a vu, il a souri.
On croyait qu’il allait lui verser un verre d’eau sur la tête.
Mais, au contraire , il nous a d’abord demandé de ne faire aucun bruit ,au risque de réveiller le dormeur.
Puis, il pris tous les jouets qui étaient dans le musée de la classe.Il les a posés autour de l’élève endormi.
Je me souviens,il y avait une voiture ,un chameau, un singe, une banane, un avion , un petit ourson et même des poupées!
Il a aussitôt pris sa baguette avec laquelle on faisait la lecture. .Puis, il s’est mis à donner des coups sans aucune brutalité au dormeur.
Si vous étiez là, vous auriez vu la tête de notre dormeur.
Aussitôt, il ouvrit ses yeux .Il jeta un regard autour de lui .Les « belles créatures » lui faisaient face ; ça l’enchantait et il se rendormit sur le champ.
L’instituteur le réveilla de nouveau.L’élève ouvrit ses yeux de nouveau et refit le même manège.
Nous , on s’amusait comme une équipe de bossus.
Enfin de compte, l’élève se rendit compte qu’il n’était pas entrain de rêver; alors, le pauvre se mit à pleurer .
Heureusement que My Rchid était là pour le consoler.Il lui a donné un de ses jouets .A suivre…..
juin 29, 2009 à 4:11 #271695En réponse à : Souvenirs d’enfance
houmidi59
ParticipantPour mes souvenirs avec Aziza, je vais en rester là.Au fait, cette année, j’ai échoué à l’examen.C’était évident de la part de quelqu’un comme moi qui a délaissé ses cours et même, il s’absentait souvent .
L’année d’après, ma famille déménagea vers une autre ville: Rabat.
Là-bas, j’ai poursuivi mes études au lycée Moulay Youssef.Cet établissement se trouve dans l’un des coins du Palais Royal.Il est célèbre parce que tout simplement des ministres et des grands écrivains étaient de ses élèves!
En 1980, j’ai eu mon bac .Cette année là, j’ai décidé d’aller faire un tour à Oujda.Justement , cela faisait presque trois ans que je n’avais pas vu ma ville natale.
J’ai fait un tour aux alentours de mon ancien lycée.Evidemment, c’était les vacances .Aussi aucune trace d’élèves.Je ne sais pas ce qui m’était arrivé; mais je crois que j’avais la nostalgie « du banc ».
Je voulais juste voir ma classe .J’aurais été dans les anges , si j’avais pu m’asseoir dans ma place et même celle de ma bien aimée.
Vous l’avez bien deviné, je suis allé à l’ancien domicile de Aziza.Je croyais rencontrer le vieil homme.Pour cette fois, personne ne m’ouvrit la porte.Preuve, qu’il n’y avait personne dedans !
Un jour, j’étais à l’ancienne médina avec un de mes amis.Je voulais voir de près Abdallah Lmagana.
Soudain, j’ai vu ….de mes propres yeux une personne à environs 200 mètres.Non, je crois que c’était à 100 mères….peut-être bien 80 mètres….60 mètres…je ne sais plus! Cette personne ressemblait comme deux gouttes d’eau à Aziza .
Je ne sais pas comment l’aurais-je aperçue d’aussi loin ,moi qui porte des lunettes de vue.En tout cas, j’étais persuadé que c’était elle!
Alors, j’ai crié aussi haut que je le pouvais:
_ »Azizaaaaaaaaaaaaaa……………!
L’interpelée me regarda de face un certain moment.
Mes amis, c’était elle .Preuve que des fois ce ne sont pas nos yeux qui voient mais nos cœurs.
Je l’ai vue me sourire .
Une grande chaussée nous séparait l’un de l’autre.
Je voulais la traverser, mais la circulation était tellement dense que c’était presque certain de me voir écrasé par un des véhicules .
Alors, je lui envoyai des signes de mains.Elle en fit autant.
Mon ami, fort surpris me dit:
_ » Qui est cette fille, Casanova ?
_ Qui ?…Ah, une ancienne amie à moi
_ Oui, dit t-il entre ses dents, une amie qui s’est enfouie avec ton cœur!
_ Qu’est-ce que tu dis ?
_ Oh! Rien, je pense seulement que cette fille est accompagnée .Je crois que c’est son époux , non ?
Tout à coup, je me rendis compte que ma petite amie n’était pas seule.Il y avait un homme qui lui tenait le bras ; en plus derrière eux, une vieille dame qui marchait avec peine.
En bon gentilhomme, je détournai ma tête .Puis, je changeai aussitôt de direction .Mon ami dut me suivre sans rien comprendre:
_ » Mais, s’exclame-t-il, ta « bien aimée » te fait des signes de venir vers elle
Je ne répondis pas , mais j’accélérai mes pas.Enfin, je m’arrêtai dans un coin .Franchement, mes douces amies, j’étais fou furieux.
Vous ai-je dit que j’avais acheté une superbe horloge qui sonne à chaque heure avec une sonnette différente à chaque fois ?
Du coup, je l’ai écrasée de mes pieds .Bien entendu, les passants se demandaient si je ne serais pas un fou à lier .
Mon compagnon essaya de me calmer;mais, en vain.
Le pauvre, lui même avait subi quelques uns de mes tempéraments.D’abord, je l’avais insulté par tous les noms (connus et inconnus dans les dictionnaires).Je lui avais craché dessus.J’ai même pris une pierre pour la lui lancer dessus.Heureusement que c’était le coup qui m’avait fait reprendre mes esprits.Figurez-vous que je venais de rater de peu une dame .La pierre était allé casser une vitre d’un magasin .Aussitôt mon ami me dit:
_ » Houmidi, si t’as encore tes jambes, prends les , on va nous sauter dessus d’un moment à l’autre.
Brave ami, comme récompense de mon comportement envers lui, il tenait toujours à m’aider .
Alors, nous primes nos jambes a nos cous et nous disparûmes dans la nature .
Dans notre quartier, je racontais à mon ami mon histoire avec Aziza.Quand, j’eus fini, il éclata de rire.Bien entendu, ça ne me plaisait guère .Cependant, j’essayai de me calmer.Aussi, je souris comme la Joconde et lui demandai qu’est ce qu’il y avait de drôle dans mon histoire.
Il se tut un bref moment ; puis, il répondit:
_ » Moi aussi, ça m’est arrivé
_Arrivé quoi ?
_ Aimer une fille
_ Et, alors ?
_Elle m’a laissé tomber
_ Tu sais, c’est pas la même chose !
Bounour me regarda d’un air moqueur :
_ » Les filles changent de garçons tout comme elles changent de vêtements !
Avant de le quitter, je lui rétorquai:
_ » Dis-moi, quand la fille t’a laissé tomber , j’imagine que t’as du faire du bruit !
_ Tiens, comment le sais-tu ?
_ C’est normal, tu pèses presque un quintal ..et encore une grande partie de graisse !
Bien entendu, je m’enfuyais aussi vite que je le pouvais, laissant mon ami attraper sa crise de folie.A suivre…..
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