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15 réponses de 736 à 750 (sur un total de 822)
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  • #207835

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    M. BADR, tu me dis trop de texte, je crois que tu as raison, ce n’est peut être pas ici qu’il faut le faire

    M. DAWY, pour ce qui est des initiales de RME, je crois qu’il vaut mieux ne pas chercher à comprendre car c’est une histoire qui revient toutes les années il ya même des congrès et beaucoup d’écrits de la part de beaucoup de gens pour trouver un surnom pour toute cette population de marocains qui bon gré malgré ont quitté leur beau pays pour aller vivre ailleurs.

    M. SOUSSOU, je suis désolé mais je n’ai rien compris à ta réponse mais le fait de me coller l’étiquette d’intelligent demasque déjà chez toi une agressivité et un manque de savoir vivre voir manque de respect, je préfère l’étiquette qui m’a été collé par M. OUJDI PUR à savoir: quelqu’un de posé

    M. OUJDI PUR. Ce que t’a répondu M. DAWY à propos de la nourriture du ramadan à l’étranger, je l’ai trouvé plus que reel, il ya de nombreuses années depuis que j’ai commencé à passer les mois de ramadan en dehors du maroc crois moi qu’on est loin de l’ambiance qui règne au maroc pendant ce sacré mois, les étalages des délices sur la rue de marrakech à oujda ou ceux de bab el had à rabat sont inoubliables , comme d’ailleurs les différentes scènes de fausses engueulades et fausses bagarres qu’on rencontre sur la place joutya à oujda ou à l’intérieur de la médina de rabat surtoutt lorsqu’on s’approche du ftour, en tout cas tu me les a un peu fait revivre deûis quelques jours quand je te vois te prrendre la tête contre certains internautes bien le bonjour et il ne faut pas oublier qu’on va bientôt devoir se bagarrer pour savoir quel est le jour de EL AID EL FITR.

    Excusez moi d’avoir été long mais au lieu d’écrire plusieurs messages j’ai fait d’une pierre plusieurs coups merci pour votre patience

    #216700

    En réponse à : eMule

    manara
    Membre

    @Alaa-eddine wrote:

    Salam 🙂
    Concernant le téléchargement d’emule il suffit de taper : download emule dans google et tu vas tombé sur la page de téléchargement .
    en ce qui est des risques sur ton PC, la réponse est bien évidement oui, du moment que tu telecharge il y’a un risque, que ca soit avec emule ou autre, le risque devient un peu plus élevé avec des logiciels comme emule car ils permettent à tout le monde de mettre à disposition du contenu telechargable (on peut très facilement faire passer un virus pour un mp3 par exemple).

    dans tout les cas, il faut toujours s’equiper d’un bon antivirus et d’un firewall, pour l’antivirus cherche « avast personnal » sur google il est gratuit et fait bien son boulot 🙂

    autre chose, il faut faire attention quand on utilise ce genre de programmes vis à vis de la loi (et surtout en france) .

    c pourça aussi j peur( vis à vis de la loi)
    qd je connais pas trop j’evite c mieux
    au moins je suis tranquille
    chokran akhi 3la 8adi8i lma3loumat
    we s77a ftourkom
    😉

    #207824

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    soussou bonjour,
    J’espère que tu as bien dégusté ta harira après avoir sorti tout ce qui te restait dans le ventre après une journée de jeun sur ce pauvre monsieur OUJDI PUR qui, je suis sûr que c’est son estomac qui prenait les commandes sur le cerveau en fin de journée de jeun. Je suis tout à fait d’accord avec toi pour ton indignation et ta révolte quand oujdi pur a parlé de SARKOSI ) ceci pas pour te dire que tu as raison, mais simplement pour te dire que ce n’est pas le moment d’en parler, laissons passer ces quelques jours du mois de ramadan et l’on pourra revenir sur ce sujet. Une chose est sûre chère soussou, le mérite de oujdi pur c’est d’être nerveux, c’est ainsi qu’il arrive à débaler des choses que pas mal de gens préfèrent jouer à la politique de l’autruche en se cachant derrière des pseudonymes parfois frolant le ridicule. Il le fait parfois maladroitement et je suis le premier à le lui avoir fait remarquer avec politesse et il s’empresse de s’excuser. Il t’a parlé de la saleté de saidia que tu as evoqué, tu dois savoir que tu n’es pas la première à le remarquer( promène toi sur le forum et tu t’apercevra que ce sujet à déjà été évoqué entre oujdi pur et moi même avec d’ailleurs beaucoup de politesse). Tu veux savoir qui est plus sale? les autochtones ou les RME moi? on peut en parler.
    Tu veux absolument nous faire croire que saidia est la plus belle plage du monde, pas mal de gens t’ont fait comprendre que tu n’as pas beaucoup voyagé pour dire celà c’est mon avis aussi.
    Tu nous dis que les RME apporte à SAIDIA je ne sais quelle richesse
    Tu es d’accord de voir que tu file à 150Km/h dans une decapotable sur la route de benidrar-el guerbouz où le RADAR t’a capté sans aucune discussion et le gendarme fait semblant de ne rien avoir vu, alors que celui qui te suit avec une peugeot 404 à 85 Km/h doit se mettre sur le côté et payer une amende pcq il n’est pas RME? MOI? en tant que RME celà me fait beaucoup de peine et je me sens gêné d’être RME . D’ailleurs, et celà prouve je crois que tu ne voyage pas beaucoup et donc mal placée pour pouvoir comparer les plages, les villes, les sites les monuments etc.. Sais tu qu’à partir de Fes en prenant l’autoroute FES-rabat par exemple, il existe six postes de contrôle RADAR. sais tu qui se fait pieger comme des bleus et ne discute pas pour payer, eh bien c’est les RME. pose toi la question de savoir pourquoi dans tout le maroc en été les RME se font coincer par les contrôles RADAR et doivent payer la somme que tout le monde connait sauf dans la région de l’orientale, rien que cette remarque me fait penser que les RME et particulièrement dans la région de l’orientale sont sous estimés voilà ce que moi j’en tire comme conclusion et pas une faveur de me laisser jouer avec la vie de beaucoup de familles quelle soit autochtone ou RME en se pemettant la liberté de filer avec des voitures ou tout autre engins qui n’ont pas leur place labas à des vitesses qui cachent souvent le vide de la boite cranienne. Avec tous mes respects chère SOUSSOU
    SAIDI

    #216635
    dahlia
    Membre

    met un beau morceau de citrouille ( guer3a 7emra) cuire dans un peu d eau .

    egoutte le morceau de citrouille apres ebullition
    passe le au mixeur avec du lait et du fromage

    mets dans une petite casserole ou marmite et laisse mijoter pendant 15 minutes sur feu doux en ajoutant su sel et un peu de poivre noir..c leger ,vite fait et tres bon.

    bonne appetit 🙂 jespere k ta le mixeur sinon tsselfo 3la jirane 🙂

    #201702
    manara
    Membre

    Pour juger sur pieces, voici ce texte

    Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?

    par Robert Redeker

    Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.

    L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.

    Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?

    Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.

    Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

    Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

    Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.

    Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».

    D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».

    Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.

    De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.

    Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.

    La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.

    Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.

    Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.

    Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein

    😥 😥
    c le texte de ce philosophe
    à qui le tour la prochaine fois
    et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
    racistes personne n’en parle
    les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
    😥 😥

    #207419
    saidi
    Membre

    Bonjours à tous,
    Ce débat sur la situation économique et sociale non pas de la ville mais de la région orientale du maroc m’interesse beaucoup, c’est un sujet sérieux, capital et peut être à l’origine de tous nos problèmes si on arrivaient à le scerner. Seulement, voilà, il est difficille de debattre d’une sujet à travers le site sans se trouver devant quelqu’un qui vous répond des choses qui n’ont rien à voir avec le sujet, ceci, je l’ai déjà dit crèe un amalgame, une confusion, un désordre dans le débat tel qu’il me semble être la meilleure manière de ne jamais arriver à dégager quoi que ce soit de concret: ce que je constate, c’est qu’un oujdi qui a un problème personnel à régler avec un berkani, il s’éclate, quelqu’un qui en a marre de vivre à oujda et veut se diriger vers l’ouest du maroc va rencontrer sur son chemin qu’elqu’un qui habite Rabat et qui va le traiter de tous les noms, quelqu’un qui est loin du maroc, qui veut tenter une aventure pour investir au maroc va butter contre des organismes officiels qui ne lui raconteront que des choses qu’il connait déjà par internet, quelqu’un qui est un mordu de l’écologie va essayer de tout faire pour faire capoter tous les projets touristiques qui pourraient s’installer dans la région va rencontrer quelqu’un qui n’est pas de son avis et la discussion risque de s’éterniser etc… ceci, je l’ai déjà dit à plusieurs reprises n’est pas une façon qui nous permettra d’avancer. Nous voilà à peine parti pour ouvrir ce site qu’on se perd dans des sujets tels que la prostitution, l’implantation de cactus, la cuisine marocaine, l’industrie lourde, le trabando, le fromage algérien qui vient à notre secours etc.. Permettez moi de vous dire encore une fois que ce n’est pas la bonne méthode. Pour pouvoir essayer à ce que chacun apporte sa pierre pour aider cette région à sortir de la situation dans laquelle elle se trouve il faudrait changer de méthode de débat: tout le monde sait que les différents intervenants le font à partir de régions pour ne pas dire pays divers. J’ai déjà dit pour me limiter seulement à nos compatriotes marocains de l’intérieur, que nos compatriotes vivant à l’extérieur ont dans la plupart des cas une fausse idée sur ce qui se passe au Maroc et en particulier dans notre région. Pourquoi ne pas diriger à partir du maroc les débats même s’il faut les orienter, les diriger, les interdire de diffusion losque c’est necessaire car parfois c’est necessaire qaund on voit certains internautes inconscients interviennent surtout pour s’amuser d’une situation qui est dramatique eh oui malheureusement celà existe et j’ai eu l’occasion de lire quelques uns. Celà confirme s’il faut encore le confirmer qu’il existe toute une frange de population qui n’est pas de ce monde, elle n’attend qu’une chose de traverser la mer pour l’europe. Cette population mérite elle même une attention particulière car elle fait partie intégrante de notre société, elle vit avec nous, on vit avec elle mais si on s’aperçoit qu’elle est à côté de la plaque, il est de notre devoir de le lui faire comprendre puisque c’est l’argument que les autorités vous avancent neuf fois sur dix lorsque vous discutez avec eux avec des arguments sérieux et irréfutables, ils se cachent toujours derrière cette frange de population perdue. Je vous propose un schéma de travail:

    1. que les convaincus qui résident au maroc commencent par s’organiser, se tenir au courant de tout ce qui se passe non pas pour recenser les pauvres tout le monde le connait, mais par nous dresser des listes des potentialités qui existent dans la région et qui pourraient interesser non seulement les rme mais aussi les autochtones qui ne sont la plupart du temps au courant de rien, adressez vous aux différents organismes gouvernementaux à des ONG loxales, à des universitaires spécialisés en la métière, à des organismes culturels, sportifs pour vous guider dans votre travail vous dresser un tableau de la situation. C’est ce qu’on appelle faire le diagnostic. Par exemple lorsque vous vous adressez à un organisme public, vous ne devriez pas vous contenter de sortir du bureau avec un tas de papiers qui vous disent voilà ce qui existe. Il faut discuter avec ces gens là, avoir des précisions, des promesses formelles pour ce qui est de la réalisation de tel ou tel projet, ceci évitera à linvestisseur étranger un rme en l’occurence de venir en coup de vent se voir servir des tas de papiers et le laisser tourner en rond jusqu’à épuisement de son temps et se dire qu’il vient avec une mentalité de là bas, cà, ce sont des choses qu’on a souvent entendu dans ces différents bureaux lorsqu’on vient pour une affaire bien précise avec un dossier bien ficellé, ce n’est pas tout d’avoir des bureaux à guichet unique qui s’occupent des rme, encore faut-il avoir derrière ces bureaux des gens compétents, qui comprennent ce que l’on veut, si celà n’est pas possible, on peut prévoir des stages à l’étranger pour ces employés pour bien comprendre la situation des rme et leur façon de penser et de travailler. Donc le travail doit obligatoirement se faire en étroite collaboration avec les autorités locales responsables et compétentes. Une fois cette structure mise en place, on peut passer à la deuxième étape: interpeller les rme et d’autres investisseurs pour les mettre au défi, leur expliquer qu’il existe dans cette région des projets précis, que se sont des projets porteurs, viables et bénéfiques pour tout le monde. Ainsi on pourra peut être lire dans certains de nos journaux nationaux comme le matin du sahara qui dans son édition de ce jeudi 13 septembre publier un article sur la réunion qui se tient actuellement à NEU- YORK sur les flux migratoires dans le monde et qui cite avec une certaine fierté que le record des résidants à l’étranger est tenu par le Maroc sans oublier d’ajouter que celà rapporte je ne sais combien de milliards au pays Celà me paraît une politique périmée, qui bientôt n’apportera plus ses fruits, il faudra penser à autre chose qi l’on veut ques les rme reviennent au pays pour investir sinon quel gâchis!!!
    saidi

    #208139
    saidi
    Membre

    Chèr fadi bonjour. Dès que je serais en mesure de te faire parvenir les moyens de te procurer ce fameux cd dont j’ai parlé et qui s’intitule LALLA HALLOUMA? Tu comprendras pourquoi ce CD m’a interpellé: parmis tous les cd saisonniers que j’écoute pendant les deux mois d’été(juillet-août), je n’entemps que des jeunes qui aspire à traverser la mer pour rejoindre sa promise ou son promis de l’autre côté de la mer(ettayyara mchet ou khalletni, el babord quallaa ou khalla ni etc;;;) c’est la première fois que j’entends un jeune vivant dans son pays, avec les moyens qu’il a a envie de se marier mais cette fois avec une marocaine qui vit au maroc comme lui (je vous assurer que celà est digne de faire appel à un sociologue pour nous expliquer ce que ce jeune a envie d’exprimer). ceci mis à part, ce qui m’a emmené à vous écrire ce jour c’est le fait d’avoir lu plusieurs messages sur la musique et l’organisation des festivals . Je rejoint tout à fait fadi, qu’il ne faut pas valser toujours et toujours dans l’extremisme, il n’ya pas que le rai qui est digne d’une organisation de festivals, il ya bien d’autres choses de notre région qui méritent d’être mises en reliefs et la façon de le faire, me paraît comme le dit fadi simple, ce n’est pas la place qui manque pour organiser des festivals pour chaque catégorie de personnes, une fois la publicité assurée pour savoir ce qu’on va y vivre, la responsabilité income à tout un chacun. Pour citer la réponse de DAHLIA 0 OUJDI PUR, sachant ce qui se déroule à ESSAOUIRA? sachant le type de musique qu’on va y écouter ou vivre, libre à tout un chacun de faire son choix d’y aller ou de s’abstenir. Ce qui est mauvais et qu’on doit absolument enlever de nos esprits chez oujdi pur c’est de s’octroyer d’office le droit de critiquer voir d’interdire les choses avec lesquelles on est pas en accord même si celà se passe à des milliers de km de chez soi (vous vous souvenez cher oujdi pur qu’il ya peu de temps, qu’il existait des fils barbelés sur la plage de saidia qui séparaient les hommes des femmes ?) où sont ces fils barbelés? ont-ils encore une raison d’exister? arretez de jouer à la politique de l’autruche, vous le condamnez, allez y a fond et dites le, vous estimez que c’est du temps révolu? alors, avouez le. Vous critiquez vous, Mr. oujdi pur et Mr. hafid la musique rai, vous la comparez avec l’ancienne et avec une certaine nostalgie. Savez vous messieurs que signifie RIMITI, nom de la célèbre chanteuse que tout le monde connait et qui je pense est à l’orine du bouleversement des moeurs depuis qu’elle s’est mise à chanter et danser en public?, savez messieurs, que le mot RIMITI vient du mot français REMETTEZ, celà voulait dire remettez-moi la dose de vin qu’elle buvait lorsqu’elle chantait et dansait dans les soirées algériennes devant un public algérien qui venait acclamer avec stupéfaction ce phénomène, phénomène crée de toute pièce par les anciens colons de L’algérie lorsqu’elle était française à ses débuts ? D’autre part, vous me donnez l’impression de gens donneurs de leçons, si tel est le cas, je vous invite à jeter un coup d’oeil sur le forum et vous allez certainement y découvrier quelque chose qui j’espère n’a pas échappé à votre vigilance, avez vous vu le nombre de visiteurs qui se sont branché sur ce site, il bat le record A pertir du moment où vous prenez conscience de ce phénomène, je pense qu’il est de votre devoir de vous poser une question qui est triviale? Pourquoi tant de monde qui s’interesse à ce sujet alors qu’il en a d’autres qui sont tombés dans la désuétude comme par exemple le résultat du bac 2006? retourner un peu en arrière et analysez les réponses et le nombre des interessés pour chaque sujet, faites vous aider d’un sociologue si necessaire car celà vaut la peine, d’ailleurs cette question j’en profites pour l’adresser à nos responsables du site.Pour finir, estimez vous normal que sur deux mois que vit saidia ses mois les plus forts, que les festivals qu’on y organise depuis maintenant deux ans si pas plus est normal? Pour ma part, j’ai posé la question à certaines gens compétents, ils m’ont répondu: La culture ne peut pas dépendre du domaine du privé, c’est quelque chose d’aussi important que la santé, l’éducation nationale, elle doit dépendre du domaine du public et il paraît que ce n’est malheureusement pas le cas. C’est peut être là, qu’il faudra aller crreuser pour trouver d’éventuelles solutions. merci, saidi

    #201646

    Sujet: betisier de l’histoire

    dans le forum Débats
    samir.m
    Membre

    un peu d’humour ne fait de mal a personne 😉 Le bêtisier
    Les assurés écrivent



    Courriers reçus par des compagnies d’assurance.
    Extraits

    Vous me demandez si j’ai fait jouer l’assurance scolaire quand Pupuce a renversé la voisine ; mais je vous rappelle que Pupucen’est pas mon fils, c’est mon teckel !
    Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis, Mr X. Car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.

    J’ai signé le constat mais, ça compte pas ; j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.
    J’ai bien reçu la fiche de mon épouse : je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
    Circonstances de l’accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l’opération Portes Ouvertes de l’entreprise.

    Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
    J’ai été victime d’un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier.

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    Je suivais la voiture qui me précédait qui, après que je l’ai dépassé m’a suivi. C’est alors qu’elle m’a choqué en plein derrière et m’a forcé par choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
    J’ai heurté une voiture en stationnement et me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire.

    Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j’ai dû vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
    Vous me dites, que d’après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c’est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.

    En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant, j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j’ai renversé un cycliste avec ma portière. C’est tout ce que j’ai à déclarer aujourd’hui.
    Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique ; tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
    Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d’un accident ?

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées
    sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    J’ai été blessé par une dent de râteau qui m’est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.

    En qualité du plus mauvais client de votre agence (9 accrochages en 1 an), je vous demande d’avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d’échéance.
    Mon assureur m’avait téléphoné pour me dire qu’il m’envoyait un avenant. Le lendemain, j’ai reçu la visite d’un inspecteur de la compagnie, pas avenant du tout.
    Je vous témoigne mon grand mécontentement : vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c’est toujours avec celui d’avant que je paye les dégâts de celui d’après.

    J’ai touché une femme en arrière et moi j’ai perdu tout l’avant.
    Vous me demandez de renvoyer le certificat sur l’honneur, mais je l’ai perdu depuis longtemps.

    Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche à suivre.
    Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sur de ne rien oublier, j’ai fait des croix dans toutes les cases.
    Vous m’écrivez que le vol n’existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme.

    J’ai lu dans mon contrat auto que vous ne me remboursez pas les frais de réparations de ma voiture si j’ai causé un accident en état d’ivresse. Je suis prêt à payer ce qu’il faudra pour que vous supprimiez ce paragraphe.
    Vous n’allez pas encore me faire chier avec votre connerie de fric. J’ai envoyé une lettre recommandée pour annuler mon contrat.

    C’est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de M. X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.
    Ils m’ont trouvé 2,10 grammes d’alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu’on a dans le corps, vous avouerez que c’est pas tellement (personnellement, j’aurais cru que j’en aurais eu plus).
    Vous me dites que Mlle X. réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu’elle a été légèrement défigurée après l’accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer, que même avant l’accident, cette malheureuse n’avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.

    Je n’avais pas vu la voiture arriver, et quand je l’ai vue, je n’ai plus rien vu.
    Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n’est pas ma faute si j’ai renversé ce cycliste : je ne l’avais pas vu !

    L’accident est survenu alors que je changeais de fille.
    Nous avons bien rédigé le constat, mais pas à l’amiable du tout.
    Je conduisais depuis 40 ans lorsque je me suis endormi au volant.

    Au carrefour, j’ai ralenti et j’ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d’ailleurs il n’y en avait pas ; alors j’ai avancé et j’ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j’ignore. J’ai heureusement freiné et c’est alors que le choc s’est montré sans réticence.
    Je ne suis pas du tout d’accord sur le montant que vous m’allouez pour les bijoux. Ça ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils.

    Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n’avais pas vu venir la voiture ; vous pensez bien que si je l’avais vue, je me serais arrêté.
    Je débouchais d’un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L’arbre m’a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j’étais sorti avec.
    Par la présente, je vous signale que mon fils a cassé un carreau de la fenêtre de l’un de nos voisins, M. X. Celui-ci habite au même étage que nous, mais juste au-dessus.

    Excusez pour la gribouille de ma déclaration ; mon crayon marchait pas, j’ai plus de stylo-bille ; n’est ce pas, quand on part, on ne pense jamais avoir un accident, sans ça on prendrait ce qu’il faut.
    À votre avis, est-il préférable d’acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens, mais protégera ma maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou ? Je vous pose la question, parce que de toute façon, c’est vous qui paierez les pots cassés : soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.

    Je ne vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l’autre ne savait pas conduire non plus.
    C’est trop facile de dire qu’il n’y a pas preuve : vous n’avez qu’à en constituer, je vous paye pour cela.
    J’ai signé le constat, mais ça ne compte pas : j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.

    Je me trouvais en 2e vitesse quand ma voiture fit un tête-à-queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j’avais l’intention d’éviter cet accident malgré ce que vous dites. Je ne suis nullement responsable. Soulignez que je suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
    Dans un virage à gravillons, mon derrière a chassé dans une bouche à pompier.

    La Citroën avait priorité, c’est un fait, mais je ne l’ai pas vu ; d’ailleurs à la façon qu’il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c’était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu’aurait venu par la gauche), il l’emboutissait pareil. Donc il n’y a pas de motif de s’arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d’importance.
    J’étais bien à droite et en me croisant, l’adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m’a heurté, et maintenant il profite de ce que j’avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement, est-ce qu’il faut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche ?
    Je suis entrée en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m’ont paru terriblement limités. J’ai donc eu de la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m’est particulièrement favorable. Je pense que vous m’en saurez gré.

    Depuis l’accident, la culotte est plus mettable ; elle est à votre disposition, je voudrais savoir qui c’est qui va la payer. Je l’ai dit à l’agent mais sur son papier il a pas mis de culotte et il faudrait que vous lui en fassiez mettre une.
    Sitôt l’accident, le témoin a été mangé. Ce qui explique qu’il n’a pas signé.

    Je vous dis que la demoiselle n’a rien : ses bas ne sont même pas filés ! Alors elle n’a pas à se plaindre de ses jambes. D’ailleurs j’ai bien vu quand on faisait les pourparlers que ses jambes ne l’empêcheraient pas de marcher.
    Après l’accident, j’ai du être transporté à l’hôpital Laënnec pour me faire penser. Ces soins n’ont pas été donnés par le professeur Laënnec lui-même, mais seulement par un interné. Le professeur me verra demain.

    Voulez-vous bien noter mon adresse qui est maintenant dans la rue juste à côté de celle d’avant.
    L’accouchement était particulièrement difficile : il a fallu frayer un passage au chasse-neige.
    Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait, je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance-vie.

    Voulez-vous me dire le prix de l’assurance si j’achetais une voiture, alors que je n’ai pas le permis de conduire ?

    Étant un peu dur d’oreille, je n’ai pas vu le cycliste arriver.

    J’ai doublé un cycliste qui circulait à vélo …

    Je ne connais pas les parents du petit garçon que mon fils a renversé avec son vélo. Je sais simplement que son père est aveugle et que sa mère est voyante.
    Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.

    En tentant de tuer un moustique, j’ai heurté un poteau téléphonique.

    Je croyais que ma fenêtre était baissée. Mais je me suis aperçue du contraire lorsque ma tête est passée au travers.

    Malgré ma fracture au poignet, j’ai pris mon courage à deux mains.
    Je n’ai guère eu le temps de voir le piéton, car il a immédiatement disparu sous la voiture.

    Le piéton ne savait pas quelle direction prendre. Alors je l’ai écrasé !

    J’ai vu le vieil homme et son visage triste lorsqu’il a rebondi sur mon capot.

    L’homme prenait toute la rue et j’ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres avant de le frapper.

    Pourriez-vous me dire si mon assurance-vol garantit le vol des antivols ?



    Textes intégraux

    Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. J’avais bu à cause de la chaleur deux blanc cassice. J’ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d’uriné. Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d’unta de pierres et de materiau rapport aux travos eczécuté mintenant pour l’élaictricitai. Jé commencé à uriné et en fesan ce besoin, jé, en maniaire d’amuzement, dirigai mon jai en zigue saque à l’entours.
    Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui était par terre au lieu d’être accroché au poto. Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m’a raipondu dans le fondement et dans les partis, que lotre medecin y appelle tête y cul. Je me suis évanouille, et quand je sui revenu dans la connaissance, jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé à la braguette.
    Je sui assuré par votre maison et je voudrai être un demnisé. Jé droit à ce con m’a dit et je vous demande votre opinion. Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. Ma verge est tuméfié, gonflé et violacé. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
    Au jour d’ojourd’hui, je ne peux plus m’en servir que seulement pour uriné, mais pour le reste, à seul fin de remplir mes devoirs conjugo avec ma femme qui a le sang chot, il n’y fot plus compter.
    A vous lire, je vous salue empressement.

    Je suis entré dans la terrasse d’un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j’en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
    – 3 tables (pas tellement bien),
    – des chaises (en mauvais état),
    – un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d’arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l’arbuste si),
    – il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c’était pire.
    Le restant que j’ai eu en dommage, c’est pas au café, c’est la grille d’un jardin public qui est à la commune ; c’est comme le banc et le feu rouge … il y avait un chien aussi, mais comme il s’est sauvé aussi vite et on l’a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c’est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
    En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
    PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c’est rien : le docteur y a mis des infectants.

    Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m’est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j’ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l’une ne traverse pas l’autre, celle qui est la plus petite doit s’arrêter la première. Donc il n’y a pas de priorité qui tienne. C’est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.

    Monsieur,
    Vous avez surement vu au journal l’accident qui s’est passé au lieu-dit le Harnel, vous m’avez surement reconnu, c’est moi qui a la dauphine bleue que vous assurez depuis 1965. Il y a eu des degats de matériel comme c’est marqué au journal, la demoiselle qui a été emmenée à l’hopital, ça va, y a rien.
    Vous serez bien aimable d’arranger cette affaire parce que je peux pas avoir d’histoire.
    Je vous affirme mon fidèle devouman.

    Je viens d’acheter un camion en remplacement de mon ancien qui est décédé sur la table d’opération de mon garage local. La cause est un cancer généralisé qui s’était développé dans la transmission, l’embrayage et les freins. Il est mort à l’âge respectable de 11 ans et 338424 km parcourus (sans accidents) et laisse dans le deuil, outre son propriétaire, les nombreux clients qui n’ont pas été livrés à temps. La dépouille sera exposée en arrière du magasin pour environ une semaine ; après quoi, elle sera écrasée.

    L’automobile a freiné devant moi. J’ai ralenti. Il a stoppé. J’ai freiné. Il est reparti. J’ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J’ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi.
    Tout ça pour vous dire que j’ai fini par le heurter à l’arrière.

    Lorsque le feu a pris dans ma cuisine, mon mari n’avait pas terminé ses travaux de peinture : il y avait deux murs blanc sale, un vert propre et le dernier moitié sale, moitié vert propre. La fumée a noirci le vert propre et l’eau des pompiers a fait des traces jaunes sur le blanc sale et le plafond (de couleur indéterminée).
    C’est maintenant toute une histoire de choisir une couleur qui ne jurera pas trop avec le reste.
    Pouvez-vous en toucher un mot à l’expert ?

    Je dois vous dire que les gendarmes m’ont posé des questions indiscrètes, du genre : D’où veniez-vous ? Où alliez-vous ? Avez-vous bu quelques verres ? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour ? Votre passagère est-elle un membre de votre famille ?
    Vous avouerez que c’est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n’ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j’ai bousillé un pare-choc.

    Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
    Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

    Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s’est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s’est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d’un verre sur les genoux de mon mari qui s’est coupé en le rattrapant.
    Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.

    J’ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l’eau de mon balcon tombe sur le sien, or c’est l’eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s’en est aperçue et l’a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c’est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l’inondation au 2e.
    Qu’en pensez-vous ?

    Je vous renvoie le papieds avec lequel on peu se torcher le quu car je vous avet envoulier une lettre recommander il y a longtemps et jai plut la voiture non plut et je informe que mon règlement vous sera fait à Niort avec du 6×35 à répaitision car vous êtes une bande de gangstaire et je vais vous maitre entolle.
    Recevez monsieur mes condoléances.

    saidi
    Membre

    bonjour chèr ALAIN,

    Le fait de reconnaitre que tu as commis une erreur de répondre à un individu à travers ce forum confirme bien ce que je pensais de toi et de tes idées. Cela confirme aussi que tu as compris que ce que je voulais transmettre comme message était bien arrivé. Tu comprends bien, cher ALAIN, que si je ne lisais pas à travers tes propos que tu es quelqu’un qui s’interesse beaucoup à ce pays et pas de n’importe quelle manière, je ne me serais pas donné la peine de te répondre. En effet, tu dois savoir qu’à travers le message que je t’ai adressé, je voulais toucher beaucoup d’autres personnes par la même occasion, seulement voilà, les choses sont telles qu’elles sont, nous, les marocains, nous avons une suceptibilité très souvant mal placée qui fait que, dès qu’on les interpelle, ils te sauteront dessus comme si tu étais un intrus, désinteressé de tout et qui ne s’interesse à ce maroc que par intérêt personnel, celà fait malheureusement partie de notre patrimoine culturel, il ya bien d’autres grands politiciens, philosophes ou historiens qui l’ont déjà décrit. Pour résumer, il ne faut surtout pas croire qu’éà travers mon message, je ne comprenais pas ce que tu as envie d’exprimer, bien au contraire! mais c’est parceque tu m’a donné l’impression de quelqu’un qui s’interesse vraiment à ce pays, que je me suis donné la peine de te répondre. Des gens comme toi, nous en avons besoin, vous pouvez nous aider, nous apprendre des choses que nous ne connaissons pas(il n’ya aucune honte à celà et il faut le dire). Ce que je voulais transmettre à tous les participants, c’est d’arrêter de se gargariser d’être marocain et de défendre une seule culture et une seule religion qui est la supprême, qui est la meilleure parmis toutes les autres, sinon on passe aux insultes, à la vulgarité de langage etc… ceci doit disparaître de nos esprits. Nous devons assumer la responsabilité de pouvoir accepter n’importe quelle discussion, sur n’importe quel sujet, sans celà one fera que perdre son temps et celui des autres. Pour finir, je t’invites personnellement à une discussion que celà plaise ou pas, celui qui veut intervenir, il est le bien venu, celui qui a le sentiment qu’il est depassé, il n’a qu’à se retirer, celui qui ne possède que des futilités comme arguments se fera juger par les autres participants. Je te laisse le privilège d’aborder un sujet de ton choix et on peut le discuter, comme je l’ai déjà dit de façon seraine, courtoisie, amicale et surtout constructive. Bien à toi et j’espère à bientôt
    signé: saidi

    #207807

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    Bonjours chère safae, lorsque vous dites que saidia est la plus belle plage du monde, je trouve que vous allez un peu trop vite en besogne.
    Pour ma part, après avoir passé un bon moi cet été à saidia, j’ai j’ai relevé plusieurs choses que je peux résumer ainsi:

    1. il ya le boulevard des poussières, qui se trouve le long des eucalyptus en s’engageant dans saidia venant du rond point d’entrée et qui se dirige vers le quartier dit « dallas »(Les gens qui déposent leurs assiettes sur les tables sur leur petite terrasse, en allant chercher les couteaux et les fourchettes à la cuisine, en revenant, ils trouvent une couche épaisse sur leur sauce!

    2. il ya le boulevard du vacarme situé en deuxième position après la digue. Les camions semi remorque de FADESA, la circulation automobile mixte (autochtones et RME, les RME QUI FRIMENT AVEC LEURS ENGINS TOUT TERRAIN y font régner un bruit entre 13h et 16h à faire réveiller les morts et tout celà devant les policiers impassibles (eh oui il parait qu’on ne peut pas parler aux RME).

    3.Le troisième « Boulevard » qui n’est autre que le sable de la plage c’est le boulevard du mazout pulsé par divers engins jet sky etc.. sur le visage des baigneurs et sur celui des gens qui veulent se reposer sur la plage pour respirer un peu d’air pur.

    Voilà ce que j’ai observé durant un mois à saidia. Si vous appelez celà la plus belle plage du monde, je pense que ton avis n’est pas partagé par tout le monde
    avec toute ma considération
    saidi

    OUJDI_PUR
    Membre

    C’est tellement vrai …
    voici, en exclusivité, ces règles que tout le monde doit avoir à l’esprit lorsqu’il regarde le Journal Télévisé le soir, ou quand il lit son journal le matin. Tout deviendra simple.

    Règle numéro 1 : Au Proche Orient, ce sont toujours les arabes qui attaquent les premiers et c’est toujours Israël qui se défend. Cela s’appelle des représailles.

    Règle numéro 2 : Les arabes, Palestiniens ou Libanais n’ont pas le droit de tuer des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.

    Règle numéro 3 : Israël a le droit de tuer les civils arabes. Cela s’appelle de la légitime défense.

    Règle numéro 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l’appellent à la retenue. Cela s’appelle la réaction de la communauté internationale.

    Règle numéro 5 : Les Palestiniens et les libanais n’ont pas le droit de capturer des militaires israéliens, même si leur nombre est très limité et ne dépassent pas trois soldats.

    Règle numéro 6 : Les israéliens ont le droit d’enlever autant de palestiniens qu’ils le souhaitent (environ 10000 prisonniers à ce jours dont près de 300 enfants). Il n’y a aucune limite et n’ont besoin d’apporter aucune preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il suffit juste de dire le mot magique « terroriste ».

    Règle numéro 7 : Quand vous dites « Hezbollah », il faut toujours rajouter

    l’expression « soutenu par la Syrie et l’Iran ».

    Règle numéro 8 : Quand vous dites « Israël », Il ne faut surtout pas
    rajouter après : « soutenu par les Etats-Unis, la France et

    l’Europe », car on pourrait croire qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.

    Règle numéro 9 : Ne jamais parler de « Territoires occupés « , ni de résolutions de l’ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève. Cela risque de perturber le téléspectateur et l’auditeur de France Info.

    Règle numéro 10 : Les israéliens parlent mieux le français que les arabes. C’est ce qui explique qu’on leur donne, ainsi qu’à leurs partisans, aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 9). Cela s’appelle de la neutralité journalistique.

    Règle numéro 11 : Si vous n’êtes pas d’accord avec ses règles ou si vous trouvez qu’elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c’est que vous êtes un dangereux antisémite.

    #212664

    En réponse à : wacha srra lhad lamdina

    houl
    Membre

    je reponds a son excellence monsieur Teyous,tu as un autre sujet a parler que .
    c est quoi ce niveau de dialogue? si tu ne veux pas vivre avec comme tu dis ,il te vaut mieux chercher une cage pour vivre seul, ca d une part ,dautre part la question des filles personne n a t obliger de regarder a ses filles ,et je m en doute si une parmi elles t invite et ta reponse sera negative.
    tout le monde parle des filles aaryante ,mais nous passons notre temps a les chasser…
    revenant au sujet: tu veux dire quoi?
    allah ynajina min had al afkar dyalak…lahawla wala qowa illa bi allah..je m arrete la

    Anonymous
    Membre

    Salam à tous les frères , salam aux frères Bouayed( cette fois je me suis appliqué pour le nom ) et Mchichi.

    – Bouayed : N’oublie pas les chorfas de l’oriental descendants de sidi Mohamed ben Ahmed , des chorfa Beni-oukil, chorfa draouch, des oulad ben abdrahman, des idrissi des rif ( peux tu confirmer que Abdelkrim El khatabi fils d’un Qadi de droit musulman est bien un cherif Idrissi)… etc .. Et bien sur les liens qhistoriques où familiaux qu’ils ont pu avoir avec tout les autres idrissi du maghreb ( Exemple les chorfa Idrissi Qnadssa ( de Qandoussi ) établie dans l’oriental et qui ont une zaouia Mère en Tunisie , et des lien fort avec l’Algérie et le Maroc . Il sont appelés les chorfa Ziayna de Zaiani établies vers Outat el Hajj) a l époque du début du reigne des alaoui au Maroc ….

    – Frère Bouayed, merci infiniment , prend ton temps pour apporter des réponses , je ne veux pas non plus t’achever ….t’es trop précieux !
    En Outre , je m’interroge sur les liens qu’il avait entre ces differentes familles : en plus d’etre des idrissis donc lien de sang , les liens purement spirituels qui existaient entre les differents cheikhs me semblent singulièrement fascinants ( beaucoup étaient à la tête de confréries intégrés dans leur environnement rural ou citadin et y avaient une autorité morale incontestable auprès des gens ). Je lit souvent qu’il existait un profond respect entre eux et que chacun connaissait l’autre, et il a avait des échanges spirituels intenses .A+

    – Mchichi et Bouayed: on m’a dit que il y a un idrissi qui enseigne le droit musulman ( il est chercheur aussi ) a la fac au Maroc ( Oujda : j’espère qu’il y est toujours ) et que j ai perdu de vue , il fait des recherches généalogiques pour des familles parfois. Je vais essayer de retrouver ses coordonnés exacte , vous pourrez correspondre avec lui je pense car c’est quelqu un de très ouvert , mais j étais à ce moment la passé en coup de vent à oujda . Laissez moi un boite Mail pour que je puisse vous l’envoyer.
    Comme je ne suis pas très arabisant ( je fais des efforts pourtant ), je pense que vous pourrez avancer plus vite avec lui .

    – A Mr Idrissi : je te ferais remarquer que le Japon est entrer dans l ère moderne GRACE ET AVEC sa culture multi millénaire et avec à sa tete un empereur . Donc faut arreter les préjugés.
    La  » noblesse  » musulmane est très differente de la noblesse européenne ( souvent totalitaire ) , et de la noblesse asiatique . Les idrissis sont nobles par leurs qualités morales et spirituelles , et c’est le peuple qui les a mis a leur tete grace a leur éruditions et leurs qualités humaines . Même après la fin de la dynastie idrissi , ils sont restés incontournables, ont fusionné avec le peuple , et partagent leur conditions matérielles aussi dures soient -elles . Et ça c’est une preuve d ‘intégrité morale.

    Salam alaykoum
    [/u]

    #208387
    samix
    Membre

    IV- L’islam et l’homosexualité

    Selon l’Islam, l’activité sexuelle entre gens de même sexe est un péché. Mais cette condamnation explicite ne suffit pas à expliquer l’homophobie musulmane. La consommation d’alcool, par exemple, est également condamnée par l’Islam ; pour autant, elle n’entraîne pas de réaction phobique à l’encontre de ceux qui s’y adonnent. C’est donc que l’homophobie musulmane ne tient pas seulement à des raisons religieuses.

    Quoi qu’il en soit, dans le Coran apparaissent plusieurs épisodes qui semblent justifier l’homophobie. L’histoire de Loth par exemple, est rapportée entièrement ou partiellement dans 13 chapitres différents : 7:80-84, 11:69-83,15:51-77, 21:71-75, 22:42-43. 25:40, 26:159-175, 27:54-58, 29:28-35, 37:133-138, 50:12-13, 54:32-40, 66:10. Ces surates décrivent les forfaits du peuple de Loth, débauche sexuelle, mais aussi vol de caravanes et viol des passagers. Les crimes sexuels du peuple de Loth ne concernent pas seulement l’homosexualité, car ils avaient des rapports sexuels avec les  » créatures mâles « , comme l’indique la surate 26:15, terme générique désignant les jeunes garçons, les bébés, voire les animaux de sexe mâle. Même les actes strictement homosexuels semblent toujours accompagnés de violence. Ainsi, ces hommes de luxure tentent de forcer les hôtes du prophète à avoir des relations sexuelles avec eux. La réprobation qui pèse sur ces pratiques concerne donc à la fois la débauche et la violence sexuelles. C’est pourquoi le peuple de Loth fut détruit par Dieu, qui ensevelit la ville sous un déluge de pierre.
    Dans les termes du Coran, les  » actes du peuple de Loth  » ne sauraient être désignés par le terme homosexualité tel que nous l’entendons aujourd’hui, lorsque nous désignons une relation réciproque entre deux adultes de même sexe, sur la base de l’amour, du respect et de l’égalité. Lorsque les musulmans d’aujourd’hui assimilent les homosexuels au peuple de Loth, ce qu’ils redoutent en fait, c’est d’être violés ou sexuellement manipulés, ce qui n’a rien à voir avec la prohibition religieuse de l’homosexualité masculine ou féminine. Cette prohibition apparaît dans un autre passage du Coran, qui n’évoque pas le peuple de Loth, mais  » la turpitude  » (fahisha) 7 : 33. L’homosexualité est condamnée d’un point de vue théologique, mais ne reçoit pas de sanction terrestre.

    En effet, la réprobation générale qui pèse sur les relations homosexuelles se fonde sur la spiritualité, et n’a pour les individus qu’une valeur éthique. Cette valeur éthique demeure une affaire entre le croyant et son Dieu. Il ne devrait donc pas y avoir de conséquences pratiques ou de punitions terrestres pour les actes homosexuels. Il en va de même pour tous les actes qui transgressent la loi, sans pour autant causer de tort à une autre personne. S’opposant à cette approche libérale, il existe des interprétations selon lesquelles les homosexuels doivent être lapidés. Cette sanction est choisie à dessein, car on veut voir dans les homosexuels d’aujourd’hui une sorte de réincarnation funeste du peuple de Loth : Dieu a fait tomber une pluie de pierre  » céleste  » sur le peuple de Loth ; c’est pourquoi, de même, les homosexuels doivent être lapidés.
    Au-delà du Coran, l’homosexualité semble être condamnée également par le Prophète Mahomet. De manière tout à fait significative, il utilise les termes même du Coran, évoquant ainsi  » les actes du peuple de Loth « . C’est dire encore une fois que ce dont parlent les textes saints n’est pas ce que nous désignons aujourd’hui sous le terme  » homosexualité « .
    Mais au fil du temps, les termes utilisés pour désigner ces réalités subissent une évolution notable. Alors que Mahomet parle des  » actes du peuple de Loth « , les interprétations médiévales comme celle de Al Fakhr Ar-Razi parlent de Liwat. En réalité, l’homosexualité n’est pas toujours condamnée dans les traditions musulmanes. Lorsque les commentateurs anciens évoquent les  » actes du peuple de Loth « , ils condamnent sévèrement le viol homosexuel, mais ils sont bien moins sévères à l’égard de l’homosexualité de deux adultes s’aimant mutuellement. Bien qu’un grand nombre de pays musulmans aient une législation relativement  » tolérante  » à l’égard de l’homosexualité, il est certain que le Coran et les textes islamiques peuvent toujours être utilisées de manière opportune pour condamner l’homosexualité.

    De nos jours, les associations homosexuelles en pays musulman sont rarissimes. En revanche, dans les pays d’émigration, plusieurs organisations se sont constituées comme Al-Fatiha, groupe multi-ethnique basé aux Etats-Unis et en Angleterre, Kelma, en France et en Belgique, ou Yoesuf aux Pays-Bas.

    (Source : mask.org.za)

    Anonymous
    Membre

    salam à tous, salam aux frères Bouyed et Mchichi.

    UN PEU DE LECTURE POUR MCHICHI: ( article du journal Maroc Hebdo sur un illustre Mchichi ( idrissi ) de kénitra, descendant de Moulay Abdeslam Ben Mchich.

    « Mustapha Mchich Alami, LE SAINT MECENE »

    Mustapha Mchich Alami fait de l´aide aux autres sa raison d´être. Il uvre aussi pour mettre en valeur le patrimoine historique du Gharb. Cela s´est traduit par une série de conférences dans les villes de cette région, des visites guidées, un repérage des sites et un ouvrage qui les recense.

    Par Abdellatif EL AZIZI

    Le personnage est attachant. Malgré les 65 ans et les cheveux gris, la démarche est alerte. Beaucoup d´humour et une conviction à toute épreuve. Un contact chaleureux, désarmant.

    On m´avait souvent parlé de lui. Témoignage de proches ou opinion intéressée? C´est que l´argent et le souci de l´autre sont en général incompatibles.

    Là l´exception est flagrante. Chez Mustapha Mchich Alami, l´humanitaire est une façon d´être, un souci de l´autre poussé à l´extrême. Une tradition familiale héritée de longue date. Difficile d´oublier l´autre quand on a vécu dans une maison qui fonctionnait comme une zaouia, porte ouverte, partage et bienfaisance.

    Haute facture
    Un humanitaire pratiqué le plus naturellement possible, sans flonflons ni trempette dans la plus pure tradition islamique: construction et restauration de mosquées, de lieux de culte mais aussi aides régulières aux nécessiteux, aux sinistrés des inondations, approvisionnement en eau des centres ruraux, prise en charge des malades démunis.

    Des actions nombreuses qui ont nécessité la création d´un établissement structuré, pour canaliser tout cela: la Fondation Sidi Mchich Alami qui rappelle le nom de l´ancêtre, le saint Moulay Abdessalam Ben Mchich El Alami.

    La construction d´écoles ou les travaux de réfection d´établissements scolaires et l´intérêt de la Fondation pour le secteur éducatif ont amené le ministère de l´Éducation nationale à s´intéresser à cette ONG. Cela a débouché sur la signature d´une convention entre la Fondation et le MEN, le 21 février 1997.

    Tous les domaines sont investis par la Fondation Mchich Alami, du revêtement du sol de certains quartiers populaires à l´organisation de manifestations sportives en passant par la promotion d´activités culturelles de haute facture. Là c´est peut-être le cursus universitaire du personnage qui est déterminant.

    Un des premiers ingénieurs de l´École supérieure des Ingénieurs pour l´agriculture de Paris en 1945. En 1963, le doctorat en sciences économiques, le fameux Ph.D de l´Université Georgetown lui ouvre toutes grandes les portes de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) à Washington.

    Depuis, malgré les innombrables postes de responsabilités occupés au sein d´établissements publics ou de structures privées, Michich Alami n´a pas coupé les ponts avec les instances internationales, consultant international de l´organisation des Nations Unies pour le développement international (ONUDI), il demeure, en matière d´ingénierie, un expert de renommée mondiale. Ce qui lui a permis d´occuper le poste de président de plusieurs associations professionnelles du secteur.

    Passion
    Mais le plus curieux dans tout cela, c´est l´intérêt que porte le personnage à l´archéologie en général et aux sites historiques du Gharb en particulier. Dès qu´il aborde le sujet, ses yeux bleus deviennent extrêmement brillants et la passion qui l´anime est visible.

    Ce natif de Kénitra, dont la fondation revient à son père qui fut le premier locataire de cette ville créé artificiellement pour les Français sous le protectorat, est profondément attaché au Gharb. Aussi bien à l´aise au milieu de campagnards en djellaba qu´au sein d´industriels en smoking, il a souvent choisi comme interlocuteurs les premiers chez qui il apprécie un certain attachement aux valeurs.

    C´est en particulier à eux qu´étaient destinées les diverses conférences portant sur l´histoire du Gharb, à travers ses sites et monuments. Une manière de faire prendre conscience aux Gharbaouis de la richesse du patrimoine historique de la région.

    A l´origine de cette passion, une anecdote racontée avec beaucoup d´humour: &laqno;il y a quelques années, j´étais en vacances en Grèce. Comme la plupart des touristes étrangers, je voulais visiter les inévitables sites touristiques. Le site choisi, je devais payer un ticket d´accès dont le prix était conséquent. Cela donnait droit à une visite guidée. Il fallait escalader une colline qui donnait sur la mer. On s´attendait à trouver un monument ou du moins des ruines. On n´a trouvé que le vent qui soufflait sur la falaise. Pourtant le guide continuait à nous raconter comment un certain chef de guerre avait pris le départ de cet endroit-là pour aller contrer l´ennemi au large».

    De retour à Kénitra, notre bonhomme se jura de faire tout ce qui était possible pour mettre en valeur le patrimoine historique du Gharb. Cela s´est traduit par une série de conférences dans les villes de cette région, des visites guidées, un repérage des sites et un ouvrage qui les recense.

    Stupéfaction
    On y apprend des choses stupéfiantes, et on y découvre un nombre inouï de sites historiques dans la région. Sites pour la plupart abandonnés ou dans un état déplorable. Pourtant si l´on s´en tient à une période récente, pas moins d´une dizaine de colloques internationaux ont traité des sites romains du Gharb depuis 1970, de Rome à Montpellier en passant par Grenoble.

    Jusqu´à présent, M. Mchich Alami frappe à toutes les portes pour mener à bien un projet exceptionnel où le culturel le dispute à l´économique. L´idée d´un tourisme culturel générateur de richesses et d´emplois est inscrite en filigrane dans le projet. La Fondation a d´ailleurs déposé plusieurs demandes de classement de sites historiques auprès du ministère des Affaires culturelles qui est constamment sollicité sur la question.

    Priorités
    Personnage public, Mustapha Mchich Alami est aussi un homme politique, vice-président de la commune de Kénitra-Maâmoura, membre de la communauté urbaine de la même ville, il avoue – presque gêné – son appartenance naturelle au Parti de l´Istiqlal, non pas par désaveu du parti mais parce que comme dans les autres partis, tout n´est pas rose.

    Néanmoins, nationaliste convaincu, il réitère son allégeance aux principes de l´Istiqlal, ceux qui ont vu son adhésion et celle de son père qui fut un proche des maîtres fondateurs.

    De son expérience communale, il retiendra toujours un souvenir qui n´est pas très heureux: lourdeur, bureaucratie et une mauvaise volonté évidente. Quand l´ensemble est assaisonné d´analphabétisme, cela donne un tout explosif. Il a fallu faire avec, quitte parfois à mettre la main à la poche pour des projets qui sont du ressort des pouvoirs publics. Mais là encore, c´est le mécène qui a le dessus sur l´homme politique.

    Dans la charte de la Fondation, il s´agit là d´une priorité: l´article trois est explicite en ce sens: &laqno;aider au développement communautaire dans ses aspects multiformes, eau potable, habitat décent, infrastructure de base, électrification, assainissement, etc».

    Un mécénat qui peut paraître de prime abord excessif, parfois même douteux mais que seule la foi profonde du personnage peut expliquer, des principes religieux immuables sans barbe ni gandoura.

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