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Sujet: MUFFINS AU CHOCOLAT
INGREDIENTS :
150 g de semoule de maïs
50 g de farine
100 g de sucre en poudre
20 g de cacao en poudre
1 pincée de sel
1 sachet de levure chimique
1 oeuf
70 g de beurre dont 20 g pour les ramequins
20 cl de lait
8 carrés de chocolat noirMATERIEL :
1 saladier
1 cuillère en bois
8 ramequins
1 cuillère à soupe
1 gant de cuisinePREPARATION :
Préchauffez le four à thermostat 5 (200°C)
Mélangez la semoule, la farine, le sucre, le cacao, le sel, et la levure.
Faites un puits et cassez l’oeuf dedans
délayez un peu en ajoutant le beurre fondu ainsi que le lait
Beurrez les ramequins
Dans chacun, versez une cuillerée à soupe de pâte, puis posez un carré de chocolat et recouvrez avec une autre cuillerée de pâte
Enfournez et laissez cuire 20 mns
Sortez vos ramequins du four
Mettez un gant (pour éviter les brûlures) et passez la lame du couteau sur le pourtour des muffins pour les décoller des ramequins
Démoulez les et retournez les sur la grille
Servez tièdeA PROPOS DU MOT MUFFIN :terme anglais qui désigne une sorte de petit pain au lait ou brioché.
CHACUN DE NOUS, APRES DES MOIS DE TRAVAIL ET DE RUDES LABEURS , MERITE DES VACANCES ; NE SERAIT CE QUE POUR QUEQUES JOURS ?
EN EFFET NOTRE CORPS COMME NOTRE ESPRIT A BESOIN DE REPOS ET DE DETENTE ,SANS POURTANT PERTURBER LA NATURE DE LEUR FONCTIONNEMENT.
LE CERVEAU, LE COEUR, LES POUMONS, LE FOIE, L’ESTOMAC…….TOUS LES ORGANES DE NOTRE CORPS , CHACUN D’EUX FAIT SON TRAVAIL.SEULEMENT NOS PROPRES EFFORTS NOS EXCES ET NOTRE INSOUCIANCE FONT QUE CES ORGANES TRAVAILLENT DAVANTAGE.AUSSI ON FINIT PAR :DEVENIR FATIGUE, ESSOUFLE ,LAS ET PEUT-ETRE MEME MALADE.
OR DANS TOUS LES CAS UN SEUL REMEDE :LES VACANCES
AUSSI AVEC CE TEST QUE J’AI MOI MEME PREPARE , VOUS ALLEZ SAVOIR SI VRAIMENT VOUS PROFITEZ DE VOS VACANCES TOUT EN PENSANT A VOTRE CORPS ET A VOTRE ESPRIT1) DURANT LES VACANCES VOUS VOUS COUCHEZ :
a) un peu tard
b) comme d’habitude
c) juste après le dîner
2) VOUS VOUS REVEILLEZ :
a)un peu tard
b) comme d’habitude
c) vous ne vous réveillez qu’à l’heure du déjeuner.
3) LA JOURNEE DES VACANCES :
a) vous allez au café
b) vous faites du bricolage
c) vous somnolez
4)APRES LE DEJEUNER :
a) vous faites la sieste
b) vous écoutez de la musique douce
c)vous regardez la télé
5) LA SOIREE :
a) vous allez au cinéma ,au jardin….
b)vous retournez au café revoir les amis
c) vous restez à la maison
6) QUAND VOUS ETES DANS UN CAFE:
a) vous discutez avec vos amis
b) vous lisez un journal ou une revue
c) vous contemplez les passants
7) QUAND VOUS PARTEZ EN VOYAGE:
a) vous prenez le car ou le train
b) vous prenez votre propre voiture
c)vous ne voyagez jamais
8) QUAND VOUS PARTEZ VERS UNE VILLE QUE VOUS VOYEZ POUR LA 1ere FOIS:
a) vous visitez les musées et les jardins
b) vous visitez les monuments historiques
c)vous cherchez un coin pas cher pour manger9)EN VACANCES:
a) vous mangez souvent des sandwichs
b) vous mangez normalement mais vous évitez le dîner
c) vous vous goinfrez , puisque vous êtes en vacances!10)QUAND LES VACANCES SONT FINIES:
a) vous commencez à les regretter
b) vous êtes prêt pour le travail
c) vous vous sentez de plus en plus fatiguéPS :MES AMI(E)S JE VOUS DONNE 48 HEURES POUR REPONDRE A CE TEST .LE RESULTAT LE LUNDI VERS 18 H
Sujet: l’arbitrage
Certes si à la fois un élément essentiel dans le sport, il est aussi une partie intégrante dans les jeux sportifs codifiés et également un complément exclusif donnant la physionomie réelle des sports collectifs régis par une loi.
A présent, plusieurs sciences ne cessent de contribuer pour sophistiquer davantage soit le matériel technique vu alors amener le sportif vers une meilleure utilisation de ses potentialités, donc vers un résultat optimal et meilleur.
Les chercheurs auront pu se pencher sur le côté «arbitrage» et créer par exemple un appareil sophistiqué pour mettre terme aux doutes qui peuvent se produire au cours d’une rencontre sportive ; seulement par respect à l’être humain et pour éviter d’inclure les dix acteurs dans un contexte ordinateur qui ne pourrait s’adapter aux différents niveaux techniques des joueurs. Ces chercheurs ont préféré bien au contraire de laisser à part ce domaine non seulement pour favoriser davantage le phénomène d’interactions, mais développer également chez ce duo, l’inter relation vers une interprétation des règles suivant les situations, chose qui ne pourrait à mon sens à aucun appareil envisagé de respecter.
C’est ainsi et quelque soit le sport pratiqué individuel ou collectif,
l’arbitrage se caractérise par :
1. La signification des règles.
2. L’arbitrage et l’environnement.
3. Le comportement et la personnalité de l’arbitre.
4. Les règlements comme moyen d’évaluation et de contrôle.
5. Le rôle éducatif de l’arbitre.
La signification des règles :
C’est un ensemble de lois protégeant le sportif en lui donnant ses droits, comme elles l’obligent à respecter ses devoirs. Ceci implique de la part du sportif une connaissance plus ou moins profonde des règles afin qu’il s’acquitte convenablement et sportivement de sa tâche lors d’une rencontre et à la fois faciliter la mission de l’arbitre.
L’arbitrage et l’environnement :
Afin de s’acquitter convenablement de sa tâche, l’arbitre outre sa préparation physique est censé prendre en considération, et ce à chaque match, un certain nombre de phénomènes qui déterminent l’environnement à savoir:
• L’état du terrain et son environnement.
• Les conditions climatiques.
• Les deux équipes en confrontation.
Il va sans doute dire que ces phénomènes qui diffèrent d’un match à l’autre influent énormément sur le comportement des joueurs surtout s’ils ne sont pas préparés en conséquence d’où la nécessité d’une préparation psychologique de la part de l’arbitre afin d’être à la hauteur d’une justice exemplaire.
Très rare où le public accorde une bonne prestation à l’arbitrage à la fin de la rencontre pour la simple raison que la fidélité et les sentiments de ce public envers ses équipes dépassant de loin le degré de la logique, traduisant autrement la majorité de cet homme en gris et le mettent le plus souvent en difficulté et le transforment en bête.
Le comportement et la personnalité de l’arbitre :
L’arbitre est non seulement la personnalité importante et obligatoire, mais pour son honnêteté il donne une image d’une rencontre sportive. Ses actions loyales et ses décisions objectives, tout au long du match aboutissent à une confrontation sportive exemplaire entre les deux équipes et ce jusqu’à la fin de la rencontre. Comme c’est le cas contraire en cas de mauvais arbitrage ; ce qui laisse entendre et dire qu’un arbitre modèle doit :
– Etre objectif, loyal, honnête, calme, non impulsif.
– Avoir une connaissance profonde des règles du jeu , une bonne condition physique , une bonne perception centrale et périphériques bien développés, une bonne intelligence, une conscience morale, une bonne personnalité et un vécu dans l’activité.
– Savoir : agir intelligemment, prendre toute décision en peu de temps et peu d’espace.
En dépit de ces qualités, on a l’impression qu’il y a moins de précision et d’objectivité lors d’un jugement de l’arbitre dans telle ou telle situation. Ce jugement subjectif est à l’origine du conflit qui puisse se développer entre le public et l’arbitre.
Pourtant du principe que l’erreur est humaine on ne doit pas partager le point de vue du public pour la simple raison que l’arbitre depuis la première jusqu’à la dernière seconde de la rencontre, ne ménage aucun effort pour donner à chaque action sa valeur en fonction de l’intention du joueur, son adversaire et la situation elle même.
Donc nuance de croire que l’arbitrage est une chose facile puisque les qualités précitées ne sont pas d’ailleurs à la portée de n’importe qui.
Les lois du règlement comme moyen d’évaluation :
Tout dépend du sport pratiqué, puisque la feuille de marque de football par exemple ne représente nullement pas un moyen d’évaluation comme c’est le cas du basket-ball où la feuille de marque rapporte fidèlement toutes les phases de la rencontre, ce qui fait qu’à l’issue du match le manager responsable technique peut à la base de cette feuille entamer ses entraînements afin de mettre en évidence les lacunes commises le jour du match et préparer en conséquence le match suivant.
Néanmoins la majorité des entraîneurs et au cours de leur entraînement négligent le respect du règlement à tel point qu’ils tolèrent l’existence des fautes réglementaires qui ne sont pas d’ailleurs dans l’intérêt ni du joueur ni de l’équipe, ce qui va gêner en quelque sorte l’évaluation du joueur, puisque l’arbitre quant à lui, ne peut pas se permettre une telle attitude et que par conséquent il est censé veiller sur la bonne exécution du règlement, état de chose qui rend l’arbitrage comme moyen efficace d’évaluation et de contrôle.
Le rôle éducatif de l’arbitre :
Il existe un équilibre de complémentarité entre l’éducation en générale d’une part et le sport d’autre part et jouissent d’une parfaite coordination, qui agisse sur l’individu dans sa totalité pour contribuer en commun accord à la formation et l’épanouissement d’une personne équilibrée ; qui met en évidence que le joueur sur le plan éducatif n’est que le reflet de son entraîneur, mais l’image de marque de ses parents et de l’école et que l’inverse est vrai c’est à dire que sur le plan technique le joueur est l’image réelle de son entraîneur. Donc à la base de cela nous pouvons dire que l’évaluation du sportif est à la base de trois forces qui se complètent entre elles et que l’arbitre n’est là que pour cristalliser l’action triangulaire en faveur du joueur.
C’est ainsi que le rôle éducatif de l’arbitre consiste à supprimer toute source d’anti-jeu ou infraction à la règle tout en essayant de se mettre à la place du fautif avant de prendre une décision quelconque.
Il est appelé aussi à négliger complètement tous les différents liens d’ordre affectif qui peuvent le lier à un joueur ou un dirigeant et non tous les joueurs du même œil sans aucun privilège, pour qu’il contribue par son impartialité et son calme à l’évaluation de la technique et de l’esprit du jeu.par Hamid CHAFIK
Professeur d’EPS
Lycée LARBI ELHOUSSAINI
Les hommes ont-ils peur du mariage ?
Les femmes rêvent souvent de robes blanches et d’enfants alors que les hommes ne voient dans tout ça que la corde au cou. Vivre ensemble, se marier, avoir un bébé… autant de preuves d’amour et d’engagements que les hommes ont du mal à prendre. Vrai ou faux ? Et si c’est vrai… qu’est-ce qui leur fait peur, à la fin ?
Vérité ou légende ? L’homo maroquinus est-il sujet à un refroidissement de ses gènes ? On a vérifié les statistiques : moins de mariages et plus de divorces. Nous sommes allés vérifier sur place auprès de ces messieurs. La partie immergée du fléau confirme la tendance sociale : le modèle “mâle” du mariage s’effondre, du moins prend un virage à 360° ! A quarante ans, Fayçal, biceps gonflés à bloc et dernier édito de Marianne en tête, lorgne sans cesse les femmes et soupire de ne pas avoir -encore- trouvé chaussure à ses pieds. Avec trois fiançailles rompues en poche et une multitude d’amourettes, Fayçal résume l’air du temps : “J’ai peur du mariage ! Malgré toutes les rencontres faites jusque-là, je n’ai jamais fait le dernier pas.” Blondes aux yeux de mer, brunes d’Arabie aux yeux de jais, taille mannequin, taille rondelette, universitaire travailleuse ou oisive glamour, Fayçal aura tout aimé. Sans comprendre pourquoi, un beau jour, ses engagements sentimentaux se dégonflent pour des raisons mystérieuses… Blocage psychologique ? Mode sociale pour faire in ? Un autre homme, Ahmed, la trentaine bétonnée de principes, voit l’affaire autrement : “C’est un choix ! Je ne suis ni angoissé ni torturé par l’idée du mariage. Je n’en veux pas par conviction personnelle. Capito ?” Les hommes sont-ils devenus allergiques aux rites de la fertilité matrimoniale ? Pour Nawal, trente-cinq ans et quelques ex qui ont filé à l’anglaise : “On ne sait plus comment aimer les hommes, ni ce qu’ils attendent finalement de leurs moitiés. Je crois qu’ils sont eux-mêmes un peu perdus !”.
Les théoriciens de la modernité
Etre moderne, c’est ne plus se marier sous les auspices des parents. C’est leur permettre de dire “oui” (et plus rarement) “non” à un fait établi et un lien déjà là. C’est choisir sa campagne au gré des déambulations sentimentales, avec plus de liberté et de manœuvre. Un itinéraire qui démystifie l’amour, l’éros et sépare dans le mot nikah ses deux acceptions linguistiques : acte de mariage et acte sexuel. “Lors de mes premières aventures amoureuses, se souvient Fouad, je me comportais comme si j’allais me marier à chaque fois avec mes conquêtes. C’était inévitable dans ma tête. Au fil des ans, j’ai appris à dissocier la relation amoureuse de l’objectif mariage.” Les sentiments, la sexualité des hommes, autrefois dépendant du lit conjugal, ne sont plus des institutions. Ce que résume Adil, la quarantaine : “Je ne veux pas me marier pour le sexe. Si dans les campagnes, il faut se marier pour faire l’amour, dans les grandes villes, la tendance est d’abandonner cette vision des choses.” Décryptage : L’homo maroquinus regarde un peu plus loin que le bout de son nez devant la devanture féminine. Il s’intéresse de plus en plus à la cavité cérébrale des femmes, à leurs projets professionnels et carrières, leurs idées du couple et de la vie. Le mariage lui-même demande un gros investissement de personne, de temps et d’argent et certains le placent en seconde ou troisième position dans leurs objectifs vitaux. C’est le cas des hommes qui intellectualisent l’existence et préfèrent vivre selon des principes idéalisés : “A quoi bon se marier se demande Tahar, la quarantaine ? Pour l’amour ? Il disparaît au bout de quelques années ! Pour le partage ? Je n’aime pas cette forme d’exclusivité où l’on se dit faussement : je suis à toi et toi tu es à moi ! Pour les enfants ? Je n’en veux pas, du moins pas pour les élever selon nos traditions ! Alors, je préfère rester seul. J’aime la solitude, finalement.” Un autre intello explique sa hantise du mariage par l’impossibilité de tisser un lien amoureux vrai dans notre société : “Je n’ai jamais rencontré de femme qui sied à ma mentalité et mes idées sur la vie. Se marier chez nous, c’est épouser la belle-mère et toute l’escorte qui veille à la tradition.” Quant à Abderrahim, quarante-cinq ans et pas de mariage en vue : “Je refuse d’être instrumentalisé par notre culture. Je me suis fiancé, il y a une dizaine d’années. L’achat d’un appartement est devenu une condition sine qua non pour vivre ensemble. Le comble, c’est que le grand-père de ma fiancée nous a proposé de nous acheter un appartement que nous payerions petit à petit. Et bien, la belle famille est intervenue pour confisquer l’appartement en question et le garder pour elle. Vous parler d’une vie construite à deux ?”Les freins économiques
Où en sommes-nous des valeurs matrimoniales au Maroc ? Confronté à une vie sentimentale et sexuelle plus riche, l’homme accepte plus facilement le concubinage ou la relation suivie sans lendemain matrimoniale. Une réalité qui explique pourquoi les hommes sont moins empressés de fonder un foyer. Pour Samir, trente-quatre ans, “l’homme est plus libre sur le plan de la conception matrimoniale. Peut-être pas dans d’autres domaines de la vie à deux, mais il est plus affranchi lorsqu’il s’agit de projet intime et de lien avec l’autre.” Pour Rajae, la trentaine, “même libérée, la femme a besoin d’un homme qui la protège. Une sorte de père. C’est une constance malgré les bouleversements socio-économiques que nous vivons.” Soit. L’homme a aussi besoin de mamelles maternelles. S’y rajoute la hantise du pourvoyeur de fonds qui surfe seul avec les exigences financières du couple. Un sujet que bien des hommes évoquent comme un frein majeur à leur épanouissement matrimonial. Pour Mohamed, trente-cinq ans : “Les choses ont beaucoup changé lorsqu’il s’agit d’argent au sein du couple. Mais quoi que l’on dise, c’est le mari qui reste la pierre angulaire de l’édifice financier.” Et d’ajouter que “le mariage reste une symphonie qui se joue à une seule main !”Le problème de l’argent, un dilemme dans notre culture dans la majorité
des cas ? Dans l’exemple de Abdelhak, trente ans : “Même avec son salaire, ma fiancée ne voulait rien entendre. J’étais l’homme dans le sens sonnant et trébuchant du terme”. Les salaires modestes, les risques de chômage et les difficultés matérielles liées à la préparation du mariage stoppent net toute envie d’envol individuel. La cérémonie est jugée trop chère. Le nid du couple doit être préparé avant terme. La prise en charge (partielle ou totale) de la belle dulcinée doit être visible. L’homme doit aussi apprendre à se confectionner une image d’être aisé ou riche à faire valoir hypocritement devant les autres. Et aussi une image d’homme-père-surhumain-infaillible à créer de facto pour compenser le vide phallique de sa promise. Azeddine, quarante-deux ans : “C’est cher payé ! Ce qu’on demande à l’homme est inhumain. Un homme, c’est pas un tiroir à rêves.”Lorsque la peur est profonde…
Pour d’autres hommes, toute décision, dans la vie, est difficile. S’engager est pour eux un supplice qui cache un profond malaise. Ce sont les hypocondriaques irascibles de l’hésitation et du déséquilibre sentimental. Certains ont vécu une histoire d’amour dont ils gardent un souvenir amer sur certains points. Ceux-là craignent peut-être de revivre ces moments déplaisants. Certains ne sont pas mûrs pour se lancer dans une difficile aventure. Des vagues de crise d’identité balaient la psyché masculine et la désarçonnent. Des problèmes sexuels naissent des avatars de l’urbanité cahotante. La régression des hommes est recherchée vers un nirvana inaccessible que décuple l’agression permanente des images télévisuelles. Une soupe moderne constipante que certains érigent en philosophie de vie pour mieux s’adapter à leur condition de célibataires endurcis.D’autres vivent mal cette attente éternelle et ont parfois de bonnes raisons de désespérer. Amal sort d’une cure chez un psychologue. C’est son fiancé qui doit prendre sa place, mais ce dernier a fui le psychologue, le projet de mariage et la relation qu’il entretient avec Amal depuis deux ans. “Je ne sais pas pourquoi il a peur de me toucher. Nous n’avons que des relations éphémères et je suis la plus demandeuse des deux.” Le mariage est parfois angoissant pour les hommes parce qu’ils ont peur de dévoiler certaines vérités intimes: homosexualité refoulée, problèmes d’érection, instabilité émotionnelle qui remontent à la surface à l’heure du choix décisif. Rachid, trente-sept ans : “Je n’ai jamais pu garder un lien et mener à bien un projet matrimonial. Après quelques mois paradisiaques, commencent les malentendus, l’escalade, la rupture qui se dessine au loin. Je ne sais pas gérer ce qui m’arrive.” Les mariages heureux sont bâtis sur la confiance et l’amour inconditionnel. Deux choses qui ne peuvent cœxister avec la peur. La peur endommage le mariage parce qu’elle rend défensifs. Pour Salah, hyper timide à quarante ans : “Nous détestons admettre nos faiblesses ou nos fautes. La peur que ma conjointe s’aperçoive de mes faiblesses me place sur la défensive.” De même, l’insécurité déstabilise l’homme et mène aux luttes de pouvoir. “Afin de prouver ma compétence, confesse Salah, j’ai toujours agi en dictateur. Le résultat est qu’à chaque relation, j’entretiens un état de conflit perpétuel qui provoque mes ruptures.”
Le rôle conciliateur de la femme
Le dédale civilisationnel brouille et redistribue les valeurs de la vie à deux. Entrechoc des genres qui se repositionnent au coude à coude pour tracer leurs nouvelles frontières. Vécus des hommes qui explosent en une myriade d’expériences sexuelles et redéfinissent la vie. Nouveaux styles de vie célibattante qui s’imposent avec leurs libertés et leurs contraintes. Fini le mythe de Platon où chacun quête sa douce moitié ? Bientôt, un monde sans pères ni mères et des enfants conçus sans sexe ? Pas si sûr et en attendant l’humanité du troisième type, restons zen et pratique. L’amour sans concession est celui qui se vit pleinement. Sans (trop de) calcul et dans la seule perspective de construire quelque chose à deux. Les angoisses sont souvent partagées mais la femme doit ici jouer un rôle de réconciliation et les tempérer via la communicationet une montagne de compréhension. Selon Jamal, trente-sept ans : “C’est ma femme actuelle qui m’a aidé à résoudre mes dilemmes internes et d’aller de l’avant.” Leur couple n’en est sorti que plus renforcé.
En périodes de crises sociales, de bouleversements dans les repères et objectifs, les hommes ont besoin de mains tendues pour dépasser les obstacles moraux et financiers et aller de l’avant dans le couple. Les notions principales de liberté, d’espace de vie, de partage des responsabilités, de participation active au foyer, d’investissements pécuniaires restent des notions modelables. La fête de mariage, les valeurs de l’éducation à transmettre aux enfants, les choix liés à la tradition sont aussi malléables. Il ne s’agit pas de savoir comment chacun a envie de vivre, mais comment l’homme peut dealer avec la lourde responsabilité sociale d’être définitivement avec l’autre – même si cet autre est adoré.
Sujet: FADESA en faillite !
La nouvelle vient de tomber le plus gros groupe immobilier espagnole vient de déclarer faillite !
sachant que ce géant de l’immobilier a signé pas mal de projet au Maroc (Saidia n’étant qu’un parmis d’autres)
Comment voyez vous cette nouvelle ? plutot bonne ou plutot mauvaise ?
sachant que le groupe ADDOHA avait déja racheté presque la moitié des projets fadesa au maroc l’an dernier, et qu’il a vue son action monter en flèche (artificiellement? ) à la bourse de casablanca ?
ci dessous l’article de l’AFP :
La crise immobilière espagnole fait sa première victime d’importance
Il y a 1 jour
MADRID (AFP) — La crise immobilière espagnole a fait sa première grande victime, le promoteur Martinsa-Fadesa qui s’est placé dans la nuit de lundi à mardi en cessation de paiement faute de pouvoir obtenir un prêt de 150 millions d’euros.
Le conseil d’administration du groupe réuni lundi soir, a décidé de « présenter une demande de cessation de paiement pour éviter une aggravation de la crise qui pourrait devenir irréversible et avoir de graves répercussions sur ses créanciers et sur l’intérêt de tous ses actionnaires », selon un communiqué.
C’est le premier grand groupe immobilier à se placer sous la protection de la loi depuis le début du retournement du marché immobilier espagnol en 2008. Retournement auquel s’ajoute la crise financière qui rend difficile l’accès au financement pour ces entreprises.
Après des années de très forte demande, d’envolée des prix et de construction à tout crin, alimentée par de l’argent bon marché en raison de taux d’intérêt bas, la pierre espagnole est en train de s’effondrer avec des ventes en chute libre et des prix qui marquent le pas.
Le stock de logements vides gonfle et des promoteurs se retrouvent avec des projets en chantier sur les bras et pas d’acheteurs.
Un autre grand groupe immobilier, Colonial, s’était retrouvé dans la tourmente au début de l’année, mais finalement, les banques créancières en avaient pris le contrôle, en se partageant les actions du groupe qui avaient été gagées chez elles.
« En dépit des innombrables efforts » de Martinsa-Fadesa « et de ses actionnaires », l’obtenion du prêt de 150 millions d’euros a été impossible, et le groupe se trouve confronté à « un manque de trésorerie pour faire face aux créances imminentes ».
Banco Popular et Caja Madrid, deux établissements financiers espagnols, ont annoncé mardi avoir provisionné un total de 350 millions d’euros en prévision des difficultés de Martinsa-Fadesa.
« Face à la demande de cessation de paiements de Martinsa-Fadesa, Banco Popular, conformément à sa stratégie prudente et transparente, annonce qu’elle a anticipé les conséquences éventuelles en provisionnant au premier semestre » un total de 100 millions d’euros, selon un communiqué du groupe.
« Cela signifie que la banque n’aura pas à faire de dotations supplémentaires à cause des risques sur cette entreprise au cours de 2008 », selon la banque, qui a toutefois refusé de dire le montant total de sa créance. Selon des informations de presse, elle serait de 400 millions d’euros.
Le titre de Banco Popular était particulièrement malmené mardi à la Bourse de Madrid, perdant plus de 7% alors que l’Ibex-35 reculait de pas loin de 4%, chatouillant ses plus bas niveaux depuis 2006.
Une autre institution financière, la caisse d’épargne Caja Madrid, a reconnu qu’elle avait une créance de 1 milliard d’euros, et qu’elle avait passé des provisions pour 250 millions d’euros.
La caisse d’épargne catalane La Caixa, a elle reconnu une créance de 700 millions d’euros, sans préciser si elle avait passé des provisions.
Martinsa-Fadesa avait annoncé le 7 mai avoir trouvé en plusieurs étapes un accord de refinancement pour 4 milliards d’euros de dette, décalant le paiement final à 2011. Cet accord était conditionné au fait que le groupe obtienne un prêt de 150 millions d’euros avant le 7 juillet.
« Les efforts réalisés avec l’Institut du crédit officiel (ICO, un organisme de financement dépendant du gouvernement) et d’autres entités de crédit n’ont pas porté leurs fruits », précise Martinsa-Fadesa, dont le patrimoine total est estimé à 10,8 milliards d’euros répartis dans des sols à construire, des projets en construction, des terrains de golf et des immeubles construits.
Fernando Martin, le patron du groupe, ancien président de Real Madrid, est emblématique de ces nababs de la pierre espagnole qui n’ont pas réussi à se diversifier ou à abandonner à temps le secteur avant le retournement.
A la tête d’une petite entreprise non cotée, Martinsa, il a lancé une OPA sur Fadesa, figure de l’immobilier espagnol. Mais il l’a fait en 2006 alors que l’immobilier espagnol avait déjà atteint son apogée.
Ce parcours est identique à celui du patron de Colonial. Luis Portillo, à la tête d’Inmocaral a lancé, lui aussi en 2006, une OPA sur le vénérable Colonial. L’acheteur réalisait un chiffre d’affaires 178 fois plus petit que sa cible.
Contrairement à eux, plusieurs autres acteurs de l’immobilier avaient anticipé l’éclatement de la bulle immobilière tel Manuel Jove, patron de Fadesa qui a vendu sa part au prix fort à Fernando Martin, ou bien les grands groupes de BTP comme ACS et Acciona qui ont investi dans l’énergie, secteur plus sûr, en prenant des parts dans les groupes Iberdrola ou Endesa.
Sujet: parfums / deodorant
salut les filles
c’est quoi le meilleur deodorant à votre avie
et est ce que vous etes comme moi : vous aimez changer de deodorant ou de parfum à chaque fois
j’en ai vite marre de l’odeur meme si ça sent bon !
et des fois on remarque qu’il y a des parfums ou deodorant qui sent bon chez les uns mes les autres quand ils le mettent ca donne pas le meme effet
( kayen lli yji m3ahoum kayn lli mayjich m3ahoum 3la 7asab la peaux ) meme si c’est le meme deo
pour moi j’ai aimé Rexona Bamboo ( couleur verte )
pour les parfums :
Amor Amor zwiiiiiiiiiiiiiiina bzza7 mais elle est un peu forte
donc je peux pas la mettre ( yb9aw nnas ytmachaw o ychammo fik haha )
lacoste htta hiya zwina bzzaaaaaf o khfifa j ai adoré