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Malika, les deux malotrus et moi
Hier, comme d’habitude, je suis allé à mon club préféré pour savourer un verre de jus d’orange. Généralement, j’y vais juste avant le crépuscule.
Comme ça, je fais ma prière avec les habitués de ces établissements.
Pour une fois, je n’avais rien à faire chez moi; alors, je suis arrivé vers 6 heures du soir. Bien entendu, le club paraissait aussi vide qu’une école après la sortie des élèves. Donc, j’ai décidé de faire un tour dans le boulevard, histoire de rencontrer quelqu’un de mes connaissances.
Contrairement au club, le boulevard est animé .Il y a du remue ménage .Croyez-moi les amis, ça crie de partout ; on dirait que nous sommes entrain de regarder un match de football.
Autour de moi, des couples de jeunes qui arpentent le boulevard, bras dessus, bras dessous .Au même moments, des groupes de jeunes filles avec des tenues loin d’être décentes entrain de rire ou de chanter ; comme quoi, elles sont heureuses de se retrouver au pays.
Quant aux cafés, ils sont pleins à craquer .On y entrant, une bouffée de fumée et des odeurs transpirantes de sueur vous étouffent sur le coup.
Alors, j’ai opté pour un jardin .Là, je me reposerais et je sentirais l’air frais des fleurs et la fraicheur des arbres.
Je ne vous cache pas que j’ai été déçu sur le coup. A peine arrivé, j’ai remarqué que tous les bancs étaient occupés. Même les pelouses semblaient envahies par des personnes qui n’avaient hésité à faire de cet espace vert un lit d’herbe!
Mais ce qui m’a choqué c’est de voir les ordures : papier, boites, sachets ainsi que les épluchures de fruits et de graines éparpillés partout.
A croire que ces visiteurs n’avaient pas remarqué la présences des poubelles accrochées à chaque extrémité du jardin !
J’ai vu avec amertume que le carrelage n’avait pas été épargné .la plupart des carreaux sont endommagés.
Si je vous qu’ils n’ont pas plus de trois mois à être posé sur le sol.
C’est vraiment désagréable de constater que nos jeunes enfants jouent avec des patins à roulettes au risque de blesser les passants ou de se blesser eux même.
A moment, je voulais traverser l’avenue; là c’est un autre problème. Des files de voitures qui ne respectent pas le code de la route et le droit des piétons. J’ai du attendre un bon quart d’heure pour le faire.
Aussitôt, j’ai pensé que le mieux est d’acheter un journal .Aussi, je me suis dirigé vers le premier kiosque sur mon chemin. En arrivant, j’ai remarqué que lui aussi ne manquait pas de monde. La plupart lisait les gros titres et les détails sous le regard inquisiteur du vendeur des journaux.
Donc, j’ai rebroussé chemin pour aller à la mosquée la plus proche. En effet, il y en a une près de la place des pigeons. En m’approchant, j’ai constaté qu’elle est encore fermée.
Un vieillard m’a fait savoir qu’elle ne serait ouverte que juste un quart d’heure avant l’appel de la prière. Je regardai ma montre : 7h 30minutes.
Presque une heure d’attente ; ça ne me disait rien. Aussi, j’ai opté pour la marche quoique celle -ci paraissait impossible du fait de l’encombrement des gens.
Toutefois, j’ai emprunté des ruelles dans le but d’éviter d’être piétiné; mais en courant le risque d’être agressé par des « arnaqueur » ou des vagabonds.
Soudain, j’entendis un cri de détresse derrière mon dos. Je me retournai: une fille poursuivie par deux méchants individus. Elle s’approcha de moi et me dit:
_ » S’il vous plait aidez-moi; ces deux veulent me faire du mal.
Je dévisageai les deux inconnus: ils sont costauds et leurs gueules n’étaient pas loin d’évoquer qu’ils avaient récemment séjourné dans la prison .Devant telle situation, tout homme a deux choix: ne pas se mêler des affaires de son prochain ou bien prendre ses jambes à son coup. C’était difficile de choisir ; je crois aucun des choix ne m’a plu.
Alors, j’ai pris la main de la fille et en la serrant assez fort je lui ai dit:
_ » Malika, qu’est-ce que tu fais par là; on te cherche partout
Puis:_
_ Allez, viens ; ne les faisons pas attendre!
Tout d’abord, « Malika » m’avait regardé d’un air surpris. Aussitôt, elle réalisa que j’étais entrain de lui venir en aide. Alors, elle m’embrassa tout en m’entourant de ses bras :
_ » Ah, c’est mon oncle Larbi ; quelle joie de te revoir à nouveau parmi nous.
Dis-moi, t’es arrivé quand de Fès ?
Je jouai la comédie:
_Depuis deux heurs seulement
Pendant ce temps, les deux malotrus se regardaient en se demandant s’ils n’étaient pas entrain de visionner un feuilleton égyptien. Finalement, ils se déguisèrent en courant d’air ou tout simplement à la quête d’autres victimes.
La jeune fille m’accompagna quelques centaines de mètres sans piper mot .Au fait je lui tenais toujours la main. Soudain, je lâchai prise sa main. Celle-ci rétorqua:
_ » Excusez-moi de vous avoir dérangé; je crois que je vais partir chez moi.
J’optai pour son idée:
_ » Oui, et sans tarder; d’autres malfaiteurs referons le même manège avec toi.
_Vous avez raison, monsieur. Puis de nouveau, elle me serra la main .Avant de partir, elle me dit:
_ » Au fait, je m’appelle Malika .C’est une coïncidence n’est-ce pas ?
_Peut-être, ai-je répondu; seulement moi je ne m’appelle pas Larbi
_Dommage, lâcha-t-elle en me quittant
Sur ce, je suis retourné à mon club .En arrivant, j’ai constaté qu’on venait à peine de terminer la prière d »elmagrib »; quant à mon ami, il est parti après m’avoir attendu presque une heure.
Quand même, j’ai bu un jus d’orange …à votre santé, à celle de mon ami…Et à celle de MalikaFin de l’histoire.
PS: cette histoire est réelle à 99% ; vous devez bien convenir que je ne vous révèlerai pas le nom de la fille.
Aussi toute ressemblance avec la fille ne serait qu’un honneur pour moi.Le chanteur de raï a été reconnu coupable de tentative d’avortement forcé sur son ex-compagne.
Cinq ans ferme. Vendredi, au tribunal correctionnel de Bobigny, Cheb Mami, chemisette blanche, visage fermé, a été reconnu coupable de tentative d’avortement forcé sur son ex-compagne. Ecroué depuis lundi à la prison de la Santé à Paris, après deux ans de fuite en Algérie, il devrait avec les remises de peine recouvrer la liberté dans un peu plus de deux ans. Une peine moins sévère que les sept ans requis la veille par la procureure, et en dessous de la peine maximale dix ans encourue. «Je regrette tout ce qui s’est passé. Je lui demande pardon, je regrette», avait lancé Cheb Mami jeudi après-midi, reconnaissant sa responsabilité mais soutenant avoir été «piégé».
L’ancien manager de la star du raï, Michel Lecorre, alias «Levy», a pour sa part été condamné à quatre ans d’emprisonnement et arrêté à l’audience pour avoir organisé le voyage de la victime en Algérie. Les deux exécutants algériens, Abdelkader Lallili et Hicham Lazaar, ont écopé respectivement de six et trois ans d’emprisonnement. Absents du procès, ils restent sous le coup de mandats d’arrêt internationaux décernés à leur encontre durant l’instruction.
Parce qu’il ne voulait pas de l’enfant que portait sa compagne, Cheb Mami, qui aura 43 ans le 11 juillet, a donc été reconnu coupable d’avoir orchestré un avortement forcé dans l’une de ses villas. Coupable d’avoir livré la jeune femme, étourdie par un jus d’orange drogué, à ses trois bourreaux, une nuit d’août 2005. Une opération qui échouera : cet automne, leur fillette fêtera ses quatre ans.
Les parties «soulagées» par le jugement
«Nous n’allons pas faire appel», a déclaré Claire Doubliez, avocate du chanteur, affirmant que ce dernier avait accueilli sa condamnation avec «soulagement parce que tout ça est fini, mais aussi avec angoisse parce qu’il va devoir passer 5 ans en prison». Un soulagement visiblement partagé par la victime, satisfaite «de voir qu’à travers ces peines d’emprisonnement, le tribunal a compris les violences qu’elle a vécues».
Chroniqueur judiciaire au Figaro, Stéphane Durand-Souffland estime que le tribunal a infligé des peines «relativement clémentes» au chanteur franco-algérien et à ses coprévenus, mais a décidé d’allouer d’importants dommages et intérêts à la victime, à hauteur de 95.000 euros. De quoi permettre à la victime de s’occuper de sa fille, et décourager les prévenus de faire appel, afin de «clore définitivement cette affaire».
Sujet: WAMPUS !!
Nous avons créer ce topic pour un membre très apprécier ici et qui fait parti de notre Grande famille Oujdacity
à savoir : Wampus.Voilà, wampus, comme ça fait longtemps que tu n’as pas donné signe de vie, on aimerait savoir si tu vas bien.
Sache que le forum est vraiment vide sans toi et ça se voit ..
Netmennaw maykon ghir el khir inch’ALLAH.Allez, espèce de barbeau, donne vite de tes nouvelles, on t’attend.
A bientot inch’ALLAH
PDT_Armataz_02_05Salam voici quelque Info très Utiles, que j’ai pêché pour vous sur le net pour vos Entretiens.
SECRET DE RECRUTEUR ET ENTRETIEN
– ce qui leur met la puce à l’oreille –
A la recherche du moindre indice, les recruteurs prennent des allures dinspecteur Columbo quand vient le temps de lentretien. Le but de leur enquête : lire entre les lignes pour débusquer le candidat idéal.
1) Testez votre curiosité
Le recruteur : Florian Mantione, directeur du Florian Mantione Institut (Réseau international de conseil en ressources humaines)Ce quil cherche à déceler : la curiosité des candidats
Pour Florian Mantione, un bon candidat est un candidat curieux. Celui qui sest vraiment renseigné au préalable sur lentreprise et sur le poste aura donc toutes ses chances de plaire. Selon lui, un candidat doit aussi sintéresser à lenvironnement et à lévolution récente de son métier. « Vous nêtes pas de simples exécutants, explique-t-il. Avoir un avis sur les grandes problématiques de votre secteur est primordial lors dun entretien. »
Ses méthodes :
Le dada de Florian Mantione ? Le nom de votre lycée « Vous étiez au lycée Lamartine ? Mais qui est Lamartine au juste ? » Lobjet dune telle question : tester votre curiosité, mais aussi observer votre réaction lors dune situation inattendue. Ensuite, plus classique, attendez-vous à être questionné sur lentreprise et sur le poste que vous convoitez : quels sont les clients de lemployeur ? Ses fournisseurs ? Ses concurrents ?
2) Tester votre adéquation au poste
La recruteuse : Karin Gaudillat, chargée de recrutement chez Adecco Experts
Ce quil cherche à déceler : lépanouissement du candidat
Selon Karine Gaudillat, que ce soit en période de crise ou de plein emploi, les demandeurs demploi en France accordent beaucoup dimportance à leur futur environnement de travail. Ainsi, lors de ses entretiens, vérifier si le candidat pourra sépanouir au mieux dans son poste est sa priorité. « Notre objectif est de réussir à 100 % lintégration du candidat au sein de lentreprise », insiste-t-elle.
Ses méthodes :
Dans quel type dentreprise voulez-vous travailler ? Souhaitez-vous avoir des collaborateurs à manager ? Quelle amplitude de travail avez-vous lhabitude davoir pour la réalisation de vos missions ? « Toutes ces questions me permettent de détecter efficacement si les attentes du candidat sont en adéquation avec le poste ou pas », raconte-t-elle. Par ailleurs, si ce dernier semble douter de ses aptitudes, des tests dévaluation en ligne sont proposés par Adecco Experts pour laider à sauto-évaluer.
3) Mesurer votre conviction
La recruteuse : Catherine Dervaux, directrice de lagence de recrutement Men Way, Paris/Ile de France
Ce quil cherche à déceler : le relationnel
Catherine Dervaux ny va pas par quatre chemins : « avant même quun nouvel embauché soit en poste, la première chose que nos clients jugeront, cest son relationnel. » Aucun entretien ne déroge donc à la règle : enthousiasme, pro-activité, souplesse, bonne humeur tout est sondé. Et si ces conditions sont remplies, mais que les diplômes ou lexpérience professionnelle font défaut, son cur peut balancer.
Ses méthodes :
Tout au long de lentretien, Catherine Dervaux est aux aguets pour déceler « ce qui fait bouger » le candidat. « Montrez que vous êtes content dêtre là, souriez, réagissez rapidement, soyez présent, investissez-vous ! » Regarder la table sans conviction est rédhibitoire
4) Estimer votre motivation
Le recruteur : Frédérick Airès, responsable Développement et Innovation RH chez Teleperformance Centre Ouest
Ce quil cherche à déceler : la motivation et lenvie de se former
Chez Teleperformance, 95 % du recrutement concerne des postes de conseillers clients. Leur quotidien ? Répondre aux demandes des clients, et faire preuve de tact et de politesse à chaque appel, des missions plutôt délicates. « Il faut donc une certaine dose de ténacité et de motivation pour réussir dans ce métier », précise Frédérick Airès.
Lenvie dapprendre est tout aussi importante chez Teleperformance : « tout nouveau collaborateur qui nous rejoint bénéficie dun parcours de formation, afin de devenir un conseiller clients efficace », explique Frédérick Airès.
Ses méthodes :
Après le test de culture générale et daptitude, les motivations du candidat sont passées au crible. Exemple : « si un candidat ne souhaite pas travailler sur la plage horaire du centre pour lequel il postule, il réduit considérablement ses possibilités dembauche, estime-t-il. À contrario, un candidat, qui se révèle flexible et prêt à sinvestir saura retenir notre attention. »
Enfin
Question incontournable pour Frédérick Airès : « seriez-vous prêt à suivre une formation ? ». Or, surprise, bon nombre de candidats semblent réticents : « pour beaucoup, lécole est déjà loin derrière eux. » Et elle ne leur rappelle pas que de bons souvenirs… Dommage, car cette motivation se révèle déterminante pour le recruteur.
Pauline Tissot -copyright Keljob.com – juillet 2009











, mais quand méme tu merite tout respect d’avoir oser dire ce que tu a vecu !! PDT_Armataz_02_02