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15 réponses de 256 à 270 (sur un total de 479)
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  • #234733

    En réponse à : La familia…Bekioui

    ratek84
    Participant

    avant t’été civiliser kan t’as parler en francais mharssa et en anglais
    et kan tu parle en arabe tu di en 3roubia,
    civilisation nta 3endek hia la langue,
    ecoute ça « l9arda teb9a 9erda wakha telbas l7rir » o wakha tehdar b l anglais

    BOUAYED
    Membre

    @Dr. Nouha Abdelmoula wrote:

    Je vous félicite Si BOUAYED pour ce forum et cet intérêt pour les origines des familles et des chorfas
    J’ai découvert ce forum en faisant des recherches sur les origines de la famille Bouayed
    En effet, je fais partie d’une petite famille (nom: BOUAYED) habitant sfax en Tunisie
    Cette famille est d’origine marocaine, notre grand père habitait au Maroc
    Je voudrais savoir si vous avez des renseignement concernant cette famille et ses origines ? a t-elle une relation avec EL ELBAIT
    Amicalement

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما

    Chère Madame et Chère Consoeur.
    Merci pour votre aimable intervention et je m’excuse encore une fois du retard pour vos répondre pour les raisons que j’ai déja expliqué.
    Maintenant j’essaie de répondre au forum et aux messages privés dans la mesure du possible et en fonction du temps libre que j’ai.

    En ce qui concerne le nom بوعياد en Arabe, il s’écrit de plusieurs façons en Français BOUAYED, BOUAYAD, BOUAYYAD, du moins pour ceux que je connais.
    Le nom de BOUAYED ou homonyme existe dans la tribu Ouled Sidi Ali du Maroc au sud d’Oujda dans les Hauts Plateaux mais on le trouve aussi à Berkane, à Fes, Tanger et dans le Souss Marocain. Le Nom existe par ailleurs en Algérie, à Tlemcen surtout.

    Je ne pense pas que le Nom de Famille soit en relation directe avec l’appartenance ou non à Ahl Albait à moins qu’i s’agisse d’une tribu ou d’une grande branche de cette tribu. Les Noms de BOUCHNAFA, BEN SIDI ALI, GHOUZAILI, AMRI ou BOURASSI pourrait correspondre au nom de la Tribu ou à une de ses branches du moins pour celles du Maroc Oriental et pourrait le plus souvent à la ratacher cette tribu. Il y a aussi beaucoup d’autres noms communs dont chacun est spécifique de telle ou telle fraction.

    Si vous pouvez nous donner plus de renseignements sur le lieu où vivait votre grand père au Maroc, on pourrait peut être arriver à trouver quelques choses.

    En attendant, Ramdan Moubarak Karim à vous et tous les vôtres avec toute ma sympathie.

    Bien à vous.
    و السلام علبكم و رحمة الله

    BOUAYED
    Membre

    @saosaudade wrote:

    Je suis la fille d’un couple algérien (miloua par mon père et méderbel par ma mère), immigrée en france dans les années 60. Comme pour la plupart de ces immigrés, il existe une véritable rupture avec l’héritage culturel issu du maghreb. Il s’impose à moi aujourd’hui par le plus heureux des hasards et je suis ravie de tomber sur ce forum d’une richesse inestimable… Merci infiniment à chacun de vous de partager le fruit de vos recherches et de vos trouvailles sur les itinérances et les valeurs de nos aïeux dont le rayonnement déborde le cadre nord africain.

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Chère Madame ou Demoiselle
    Merci pour votre intervention et cela me fait plaisir de faire la connaissance d’une Chrifa Idrisside Mchichiaa originaire d’Algérie et vivant en France.

    Voici ce que m’a écrit Mr Mchichi le 25/7/2006
    بسم الله الرحمان الرحيم و الصلاة و السلام على سيدنا محمد و غلى آله و سلم تسليما
    C’est avec plaisir et sans la moindre gène que je te donne cher cousin mon identité complète. Je m’appelle donc مولــع فوضيـــــل, (en écriture latine Foudil Miloua), et j’appartiens à la plus importante famille M’chichiaa, dans l’َََAlgérie occidentale (à 2 h de Oujda).

    Les noms de familles ont été introduits par l’administration coloniale française, au dix-neuvième siècle. Le but recherché n’était pas toujours louable, car l’intention réelle visée c’est de scinder les grandes familles en créant plusieurs noms. Le colonisateur à d’ailleurs réussit à trouver certains illettrés de la population locale pour effectuer cette « besogne ». Ce qui explique pourquoi beaucoup de noms ont été déformés, en plus du problème de transfert des noms de l’arabe dialectal à l’écriture latine en passant par la langue arabe. La problématique est très bien connue.

    Les autres noms de familles M’chichias de la région sont :
    مـــدربــل، دربــــــال، مــــلاح، نعار، مشيـــــش(نميـــــش)ء

    Le nom M’chich lui-même à été déformé pour devenir Nemiche.

    Les ((المــــولعة que nous sommes sont les plus nombreux, et sont ceux qui cultivent, le plus, le culte de l’identité M’chichia. Il existe des raisons objectives que je peux te les annoncer plus tard pour ne pas faire trop long. Nous possédons et conservons d’ailleurs soigneusement l’arbre généalogique authentique de la famille.

    Concernant notre nom(مولــع), l’explication et qui est simple, de l’origine qui m’a était avancée par les personnes instruites, est qu’un de nos ancêtres, de taille très grande, et vivant en plein Montagne de Tessala, était très habille en chasse, d’où le nom de مولع بالصيد Voilà, j’espère que j’ai réussi à te donner, cher Bouayade, un aperçu, simpliste et tout à fait bref de mon identité et de ma famille.

    السلام عليكم و رحمة الله
    مولــع فوضيـــــل (M’chichi)
    Sidi-Bel-Abbès.

    Ceci vous pouvez le trouver à la 5ème page de notre sujet.
    Et je vois (et je ne sais pas si vous connaissez bien la langue Arabe)
    que Mr Foudil Miloua cite d’autres familles Mchichiines : Mederbel, Derbal, Mellah, Naar, Mchich, Nemmich.

    On a perdu depuis le temps Mr Foudil Miloua et je suis sur qu’il suit les évenements de loin comme on le constate sur le nombre de personnes qui s’affiche et qui lisent notre rubrique.

    Je vous salue comme je salue Mr Foudil Miloua et toutes la Famille Mchichiine du Maroc, d’Algérie (je sais qu’il y en a dans l’Ouest Algérien et en Kabilye et peut être un peu ailleurs) et de France. Et à l’occasion du mois sacré de Ramadan, je souhaite à tous santé, bonheur et prospérité.

    Enfin, vous pouvez trouver le contenu de la Salate Machichia que l’on trouve dans le livre « Kitab Afdal Assalawat de ANNABANI »

    الصلاة المشيشية لسيدي عبد السلام بن مشيش رضي الله عنه
    اللهم صل على من انشقت الأسرار و انفلقت الأنوار و فيه ارتقت الحقائق و تنزلت علوم آدم فأعجز الخلائق و له تضاءلت الفهوم فلم يدركه منا سابق و لا لاحق فرياض الملكوت بزهر جماله و حياض الجبروت بفيض أنواره متدفقة و لا شيء إلا و هو به منوط اد لا و لا الواسطة لدهب كما قيل الموسوط صلاة تليق بك منك اليه كما هو أهله. اللهم انه سرك الجامع الدال عليك و حجابك الأعظم القائم لك بين يديك. اللهم الحقني بنسبه و حققني بحسبه و عرفني اياه معرفة أسلم بها من موارد الجهل و اكرع بها من موارد الفضل و احملني على سبيله الى حضرتك حملا محفوفا بنصرتك و اقدف بي على الباطل فأدمغه و زج بي في بحار الاحدية و انشني من اوحال التوحيد و اغرقني في عين بحر الوحدة حتى لا ارى و لا اسمع و لا اجد و لا احس الا بها. و اجعل الحجاب الأعظم حياة روحي و روحه سر حقيقتي و حقيقته جامع عوالمي بتحقيق الحق الأول يا أول يا آخر يا ظاهر يا باطن ، اسمع ندائي بما سمعت بها نداء عبدك زكرياء و انصرني بك لك و ايدني بك لك و اجمع بيني و بينك و حل بيني و بين غيرك الله الله الله. ان الدي فرض عليك القرآن لرادك الى معاد. ربنا آتنا من لدنك رحمة و هيء لنا من أمرك رشدا. إن الله و ملائكته يصلون على النبي يل أيها الدين آمنوا صلوا عليه و سلموا تسليما.ء

    توجد في كتاب  » أفضل الصلوات  » للنبهاني

    Bien à vous
    و السلام عليكم و رحمة الله

    #234088
    nediha_gawriya
    Participant

    @Alaa-eddine wrote:

    maintenant imaginez qu’on suprime les blagues sur les berkani .
    il faudra aussi suprimer les blagues sur les oujdis bien évidement
    … puis sur les soussi
    … puis sur les femmes
    … puis sur les français
    … puis sur les arabes
    … puis sur les américains
    … puis sur les hommes politiques
    … puis sur …. bein il reste plus rien

    :p

    sur ta liste ya un seul elment kié juste c les soussi pour les autres ❗ ❗

    j jamai entendu une blagu sur un homme wela une femme 😀

    é pour soussi on vise pa les gen du sous nonn on vise les gen radinnn

    é si tu trouve ke berkani doit etre dans cet liste donc tu aprouve ke les berkani sont des gens betes alors ke c fauuu

    en plus les gen de berkane sont de beni znassen donc tt personne ici de beni znassen é bete si je sui votre logik

    un conseil fermer ce sondage é areté de blessé les gens!

    #268380
    nediha_gawriya
    Participant

    @Alaa-eddine wrote:

    maintenant imaginez qu’on suprime les blagues sur les berkani .
    il faudra aussi suprimer les blagues sur les oujdis bien évidement
    … puis sur les soussi
    … puis sur les femmes
    … puis sur les français
    … puis sur les arabes
    … puis sur les américains
    … puis sur les hommes politiques
    … puis sur …. bein il reste plus rien

    :p

    sur ta liste ya un seul elment kié juste c les soussi pour les autres ❗ ❗

    j jamai entendu une blagu sur un homme wela une femme 😀

    é pour soussi on vise pa les gen du sous nonn on vise les gen radinnn

    é si tu trouve ke berkani doit etre dans cet liste donc tu aprouve ke les berkani sont des gens betes alors ke c fauuu

    en plus les gen de berkane sont de beni znassen donc tt personne ici de beni znassen é bete si je sui votre logik

    un conseil fermer ce sondage é areté de blessé les gens!

    #234079
    Alaa-eddine
    Participant

    pour moi aussi y a pas de mal à raconter des blagues que ca soit sur les oujdi sur les berkani ou autre … je ne comprends pas pourquoi ca crée tant de problèmes !
    @ayman : les blague n’entendent pas que les berkani sont moins intelligents que les oujdis pas du tout ! encore une fois ce sont des « blagues »

    de plus ce phenomène a toujours existé, existe et existera pour toujours, il y avait une epoque de blgues sur les soussi si vous vous en souvenez bien … ensuite l’époque de l maricani ou l fransaoui ou l maghribi ou le « maghribi » etait généralement le plus con (ou le plus intelligent parfois)
    en france ya les blagues sur les belges, sur les blondes …etc

    maintenant imaginez qu’on suprime les blagues sur les berkani .
    il faudra aussi suprimer les blagues sur les oujdis bien évidement
    … puis sur les soussi
    … puis sur les femmes
    … puis sur les français
    … puis sur les arabes
    … puis sur les américains
    … puis sur les hommes politiques
    … puis sur …. bein il reste plus rien

    à moins d’inventer le concepte de « blagues anonymes » 😆

    @Maya : le forum « blague » est ouvert on peut y créer des topics sur ce qu’on veux 🙂 je n’ai aucune opposition là dessus moi personnelement

    aya sa7a ftourkoum 😉 moi j dois retourner bosser :p

    #268371
    Alaa-eddine
    Participant

    pour moi aussi y a pas de mal à raconter des blagues que ca soit sur les oujdi sur les berkani ou autre … je ne comprends pas pourquoi ca crée tant de problèmes !
    @ayman : les blague n’entendent pas que les berkani sont moins intelligents que les oujdis pas du tout ! encore une fois ce sont des « blagues »

    de plus ce phenomène a toujours existé, existe et existera pour toujours, il y avait une epoque de blgues sur les soussi si vous vous en souvenez bien … ensuite l’époque de l maricani ou l fransaoui ou l maghribi ou le « maghribi » etait généralement le plus con (ou le plus intelligent parfois)
    en france ya les blagues sur les belges, sur les blondes …etc

    maintenant imaginez qu’on suprime les blagues sur les berkani .
    il faudra aussi suprimer les blagues sur les oujdis bien évidement
    … puis sur les soussi
    … puis sur les femmes
    … puis sur les français
    … puis sur les arabes
    … puis sur les américains
    … puis sur les hommes politiques
    … puis sur …. bein il reste plus rien

    à moins d’inventer le concepte de « blagues anonymes » 😆

    @Maya : le forum « blague » est ouvert on peut y créer des topics sur ce qu’on veux 🙂 je n’ai aucune opposition là dessus moi personnelement

    aya sa7a ftourkoum 😉 moi j dois retourner bosser :p

    #233934

    En réponse à : Ramadan .. Sur quelle chaine ?

    soulaf
    Membre

    salam
    moi c’est plus les chaines française car cette année ya pas grand chose sur les chaines arabes même pas nas mlah city 😥

    #233930

    En réponse à : Ramadan .. Sur quelle chaine ?

    nass
    Membre

    aucune chaine arabe..
    je n’ai pas changée mes habitudes!!
    toujours TF1,M6…et d’autres chaines françaises..
    et j’écoute beaucoup la radio.. 😉

    #233424

    En réponse à : chayelah a moulay l’msn

    nass
    Membre

    mais moi je ne comprends que l’arabe et le français!! 😳

    #231609
    nass
    Membre

    @MARLYN: hamdoullah 3la sslama.. fin kount ghaber!!!!!! 😉
    @VOUDAV : a sa7ebti ketbi lina
    en arabe wella en francais.bghina 7etta neffehmou m3ak!!!! 😉
    @HOULAKOU:c’est toujours un plaisir de te lire!!! PDT_Armataz_02_44

    #202918
    snp1975
    Membre

    Actuellement je travaille sur la mémoire des Marocains d’Algerie.
    En plus j’ai entamé un travail sur la mémoire des Algériens au Maroc.
    Je serai comblé si des algériens ou des marocains de la region de Oujda peuvent m’aider à comprendre l’histoire de ces algériens du Maroc.
    Merci.

    http://marocains-d-algerie.niceboard.com

    L¹immigration algérienne au Maroc à l¹époque coloniale (5/28/2006)

    Le cas de la communauté algérienne à Oujda

    1ére partie

    L¹émigration algérienne à l¹époque coloniale avait comme destination principale la France métropolitaine. Pour des raisons de proximité géographique, de liens familiaux et des relations culturelles et religieuses, le Maroc a été la première destination des Algériens fuyant la colonisation française, les Mouhajirin ou «exilés pour la foi». C¹était le début d¹une émigration qui prendra plusieurs formes et durera plus d¹un siècle (1840-1962). Ainsi, des dizaines de milliers d¹Algériens (100.000 environ pendant la guerre de libération algérienne) ont fait du Maroc leur seconde patrie.
    Cette communication tente d¹apporter un premier éclairage sur cette émigration inter-maghrébine, en attirant l¹attention des chercheurs en matière d¹émigration sur ce phénomène. Etant donné que la communauté algérienne habitait principalement Oujda et sa région, nous consacrerons cette étude aux Algériens de cette ville. Il s¹avère intéressant de signaler que ce thème n¹a pas encore fait, à notre connaissance, l¹objet d¹études sérieuses. Nous avons là une nouvelle page de l¹histoire de l¹émigration algérienne à écrire1.
    Grâce à sa colonie algérienne comptant 29.300 personnes, Oujda se plaçait en 1960 en deuxième rang au Maroc pour le nombre d¹étrangers après Casablanca. A la même date, la communauté algérienne du Maroc était de 95.000, soit 24% de l¹ensemble des étrangers (396.000). 50% des Algériens résidaient dans l¹oriental2.
    Cette émigration de l¹Algérie vers le Maroc concernait les Européens de l¹Algérie (les colons), tout comme les Algériens de souche, musulmans ou juifs. Notre étude concerne seulement les Algériens musulmans. (Š)

    Les sources historiographiques

    Comme déjà signalé, il n¹existe – à notre connaissance- aucune étude de synthèse sur le sujet. Cependant, il y a un certain nombre de documents de base permettant de se faire une idée sur l¹histoire de cette immigration, malgré les préjugés classiques du colonialisme3, et de suivre l¹évolution de cette communauté dans cette région frontalière du Maroc. Ils fournissent des données chiffrées sur les différentes vagues d¹immigration, sa répartition géographique à Oujda, ainsi que les activités professionnelles exercées par celle-ci. Il s¹agit notamment des quelques rapports et mémoires de C.H.E.A.M. 4
    – M. Lemaille (1937) : les Algériens à Oujda en 1937. Bulletin du Comité de l¹Afrique Française, n° 5, mai 1937, pp.255-260.
    – P. Decroux, (1938), Les Algériens musulmans au Maroc, condition juridique et sociale. Boulogne sur Seine.
    – « la vie sociale des Algériens au Maroc ». Bulletin Economique du Maroc. 1938, pp.20-25.
    – P. Azam (1951), sur l¹émigration temporaire au Maroc oriental, comporte également des données importantes sur les Algériens dans le Maroc oriental.
    – Le rapport du Contrôleur civil adjoint H. Lombard datant de 1953, intitulé « aspects de la situation et du rôle de l¹immigration algérienne musulmane dans la région d¹Oujda ».
    – Il y a enfin le mémoire de P. Depis (1962) sur le problème des réfugiés algériens au Maroc oriental (mars 1956- mai 1962).

    L¹histoire des vagues migratoires
    algériennes vers le Maroc

    -Les différentes vagues d¹immigration :
    L¹émigration algérienne à l¹époque contemporaine est un phénomène lié à la colonisation. C¹est l¹une des conséquences des grands bouleversements provoqués par celle-ci dans les sociétés maghrébines. Les Algériens sont arrivés par plusieurs vagues. Nous distinguons quatre vagues principales essentiellement dans la ville d¹Oujda et sa région. C¹est ainsi que le contrôleur civil adjoint H. Lombard qui consacra une étude à l¹immigration algérienne dans la région d¹Oujda, qualifie cette immigration d¹un terme différent qui correspond à chaque étape de son histoire. Immigration de l¹exil jusqu¹en 1907, immigration « appelée » de 1909 à 1926, immigration «favorisée» de 1926 à 1942 mais seulement «supportée» de 1942 à la fin du Protectorat.
    La première vague date de la période de l¹occupation française de l¹Algérie. Voyant leur pays occupé, beaucoup d¹Algériens fuyant cette domination, prirent le chemin d¹exil vers le Maroc. Il s¹agit des Mouhajirin (exilés pour la foi). Beaucoup ont accompagné l¹émir Abdelkader lors de son exil au Maroc en 1843-1844. Ils viennent surtout d¹Oranie : de Tlemcen, Nedroma et Mascara. Nombreux parmi eux, se posant comme concurrents des Fassis (originaires de Fès), vivaient du commerce en utilisant leur relation avec l¹Algérie pour leurs affaires. Du fait de l¹ancienneté de leur installation, à la veille du protectorat, ils étaient considérés comme Marocains. Selon plusieurs sources5 cette population suscitait chez les Oujdis (les habitants de la ville d¹Oujda) une certaine jalousie car le Cadi d¹Oujda fut souvent choisi par le Makhzen parmi les Algériens. De nombreux fonctionnaires du culte étaient algériens. Selon ces mêmes sources, cette animosité fut un facteur de maintien de la personnalité algérienne et un obstacle à la fusion totale. Cependant cette fusion se réalisa partiellement, «il y a lieu de penser qu¹au total ils n¹étaient qu¹à demi-étrangers» écrit Lombard. On trouve aussi les traces de cette première vague d¹immigration algérienne dans les sources marocaines qui parlent du bon accueil réservé par les Marocains à cette communauté d¹exilés. «Le Sultan marocain a donné ses ordres pour qu¹ils soient bien accueillis et logés.. »6 Dans son histoire de Tétouan, Mohamed Bendaoud raconte que dès le débarquement français à Alger en 1830, deux bateaux, à leur bord des familles algériennes arrivent à Tétouan en août 1830. Et en 1842 on recense à Tétouan plus de 700 algériens pauvres.7
    La deuxième vague remonte à l¹occupation d¹Oujda en 1907 et l¹établissement du Protectorat. Pendant cette période arrivèrent beaucoup d¹Algériens qui devaient jouer le rôle d¹intermédiaires entre les occupants et les Marocains. Ils étaient interprètes grâce à leur connaissance de l¹arabe et du français, greffiers, instituteurs et professeurs. Leur nombre ne cessait d¹augmenter. (Š). H. Lombard8 souligne que pendant cette première période, les Algériens musulmans formaient «une colonie annexe de la colonisation européenn ». En effet appelés par l¹Administration, par des frères déjà installés, par des cousins, et des amis, affluèrent de toute l¹Oranie et particulièrement de Tlemcen ou de Nedroma (véritables pépinière de fonctionnaires), par centaines, des familles entières qui croyaient à la pérennité de la présence française au Maroc (Š).9
    En effet, ceux qui étaient exilés pour des raisons religieuses lors de la conquête de l¹Algérie, n¹ont pas tenu, après l¹installation du Protectorat au Maroc, à se prévaloir de leur qualité de sujets français. Il leur importait peu d¹ailleurs de changer de nationalité puisque de toutes façons leur statut demeurait régi par la loi musulmane. Eux ou leurs descendants figurèrent désormais avec les Marocains dans les statistiques10. En 1907, ils formaient plus d¹un cinquième de la population d¹Oujda qui comptait quelque 6.000 habitants. Pour 1910-1911 Louis Voinot11 parle de 1.500 Algériens groupés en 300 foyers, mais le recensement de 1911 cité par Augustin Bernard12 n¹enregistrait que 200 Algériens sujets français. A vrai dire, il est difficile de se faire une idée non seulement du chiffre exact de cette population, mais aussi de sa position par rapport à la France. Surtout que le statut de « sujet français » n¹a pas toujours été facilement reconnu par l¹Administration française. Ainsi beaucoup d¹Algériens se sont trouvés «noyés dans la masse des Marocains, faute d¹avoir entrepris les démarches pour faire connaître leur origine algérienne et donc leur qualité de sujet français, ceci plus au moins volontairement»13. De nombreuses familles ont fini par avoir la nationalité marocaine. Telles que les familles Ben Mansour, Abdelghani, Ouled Sadouni…etc. D¹autres, d¹origine algéro-turque (Koulouglis) restèrent sans nationalité. H. Lombard explique qu¹il y avait des familles qui recevaient du Makhzen marocain l¹indemnité due aux Mouhajirin et prenaient la précaution d¹inscrire leurs enfants à l¹état-civil de Tlemcen ceci dès avant l¹occupation française du Maroc. C¹est le cas des Triqui et des Meziane. D¹autres ont préféré ne pas se manifester comme tels et passer pour des Marocains. Il remarque aussi que la présence des Algériens à Oujda représentait un atout pour la France. Il écrit : «dans ce Maroc étranger à la France, les Algériens qui vivaient même musulmans, même ayant fui la domination française et n¹aspirant qu¹à se fondre dans la population qui les entourait, servaient déjà l¹intérêt français commercialement et politiquement, le plus souvent involontairement» 14
    Cette participation massive des Algériens dans l¹administration du Protectorat leur a donné, aux yeux des Marocains, l¹image de gens qui se rapprochaient des Français et s¹éloignaient de leurs frères musulmans. Ainsi ils sont traités de «shab nçara» c¹est-à-dire «les amis des Chrétiens»15. Avec le temps, les Algériens sont devenus moins indispensables pour l¹administration française, ils furent progressivement remplacés par des Marocains pour les petits emplois. On réglementa leur admission au Maroc, surtout on changea le statut des fonctionnaires qui furent assimilés aux Marocains en 1926. L¹arrêté viziriel du 8 janvier 1926, déplaçait les fonctionnaires algériens musulmans du cadre français vers le deuxième cadre spécial marocain et assimilé. Les Algériens, à travers la Fédération des Algériens musulmans du Maroc, ont protesté contre cette réorganisation de 1926. Ils ont exprimé leur refus de cette confusion avec les Marocains, allant même jusqu¹à accuser la France de « racisme assimilateur ». La Fédération des Algériens musulmans du Maroc rappelle que « de nombreux algériens abandonnant leur situation en Algérie ou même interrompant leurs études, ont répondu à l¹appel de la France, se sont expatriés, ont donné au Maroc sa première armature et ont pu rendre au Protectorat de réels services… ; que la nationalité prime l¹origine et que le racisme assimilateur qui leur est opposé n¹est pas appliqué aux Israélites, le Juif algérien conservant un statut distinct et supérieur à celui de Juif marocain ».16 De même les salariés algériens ne pouvaient plus bénéficier de la législation sociale appliquée aux citoyens français. N¹étant pas des citoyens mais des «sujets français», ils ne pouvaient pas bénéficier de la majoration de traitement de 38% et du remboursement des frais de voyage en congé accordés aux Français.
    Malgré ces inconvénients, les Oranais continuaient d¹affluer vers le Maroc. Ils étaient 2471 en 1926, ils passent à 4594 en 1936. (Š) Oujda fut leur point d¹arrivée, plus de la moitié des Algériens au Maroc en 1936 vivaient dans cette ville (57,6%). Pourtant le Maroc aussi se fermait plus au moins à leur émigration, à cause de la crise économique. A partir de cette période, les conditions d¹entrée des étrangers au Maroc, donc des Algériens dans ce cas, sont devenues dures, avec le dahir du 20 octobre 1931, dont les dispositions furent renforcées en 1934, avec l¹obligation de disposer d¹un contrat de travail accordé par l¹employeur pour une durée d¹un an minimum. Ce contrat devait être visé par le Service du Travail de Rabat. Les Algériens protestèrent contre cette loi, surtout que l¹entrée des Marocains en Algérie était pratiquement libre subissant de ce fait une concurrence sur le marché du travail algérien sans réciprocité.17
    La troisième vague d¹immigration « supportée » et non pas « appelée », selon l¹expression de H. Lombard. Elle est composée essentiellement de travailleurs sans capitaux à la recherche d¹emplois et qui vont se confondre avec les prolétaires marocains. Ce caractère nouveau s¹est affirmé après la seconde guerre mondiale. A Oujda le nombre d¹Algériens passa de 4.813 en 1943 à 14.322 en 1951, leur nombre a triplé en l¹espace de huit ans. Cela concernait aussi les autres villes ou villages de la région orientale du Maroc comme Berkane, Ahfir, Taourirt. (Š). Ces immigrants sont majoritairement des ouvriers sans qualification. Un grand nombre s¹adonna à la contrebande qui régnait à Oujda. « Une population algérienne s¹est créée qui se compose de gens sans profession déterminée, instables, chômeurs… se rapprochant de la plus basse couche sociale marocaine tout près de laquelle ils vivent »18. A la fin de la guerre ce mouvement s¹intensifia, avec une foule de gens sans contrat de travail qui créait des petites boutiques et vivait avec les Marocains démunis dans des quartiers ou « villages » périphériques.
    Le dernier afflux est lié aux événements de la guerre d¹indépendance de l¹Algérie déclenchée en 1954. A partir de cette date des milliers de réfugiés algériens s¹installèrent à Oujda ; 6.386 en 1957 et 9.851 en 195819. (Š)

    #232600
    nass
    Membre

    je vais essayer de te les traduire,
    mais il te faudras un petit effort pour les lires!!…

    -JE NE COMPRENDS TOUJOURS PAS POURQUOI TU TE COMPORTES COMME CA DEPUIS QUELQUES TEMPS:
    mafhémtch 3lach katét3amél m3aya hakda, f’had al ayam al akhira

    -J AIMERAIS QUE TU ME PARLES! QUE TU ME DISES QUAND CA VA ET QUAND CA NE VA PAS:
    bghiték tehder m3aya! w tgoulli wach labasse wella machi labasse.

    -JE VEUX PARTAGER TOUS CES MOMENTS AVEC TOI, DIS LE MOI SI TU HESITES…:
    bghit net9assem m3ak ga3 had l’aw9at,goulli ila kount tétréddéd…

    -JE N ARRIVERAIS PAS A SUPPORTER CE SILENCE:
    mané9derch net7emmel had skat.

    j’éspere que tu sauras lire ces écrits..je sais que c’est difficile pour une française de prononcer certains mots en arabe..
    BON COURAGE

    #232281

    En réponse à : bac 2007 au maroc !

    dahlia
    Membre

    bon chance a tout ceux qui on tpassé le bac 🙂 puisque je suis venue en retard le souhaiter je souhaiterai nchallah de bonne surprises cotés notes et moyennes oulli bgha chi 7aja llah ijibhalou 🙂

    ca me rapelle mon bac a moi .aujourd hui ils ont de la chance de passer la moitié des matiere en 6 eme annee et le reste la derniere anne du bac .c’est du travail en moins et ca permet de se concentrer sur les matieres de la specialité. si on est scientifique ( sciences ,naturelles physiques et mathematique ..) donc bcp plus de temps pour plus d’exercises ce quon puvait pas faire nous avec l histoire go ,la philo larabe etc……. 8) mais bon koulchi daz hamdoullah on arrivait a s organiser 🙂 🙂

    SI c’etait a refaire :

    euuuuuh a vrai dire je ne regrette rien 🙂 j ai heureusment eu des parents qui ont su morienter ..a l’epoque je n’aimais pas trop ce qu’ils essayaient de me faire comprendre mais aujourd hui je les remercie innnnfiniment 🙂

    le jour ou j ai eu les resultats du bac je n etais pas vraiment satisfaite bien que j’avais eu une tre bonne notes et bien classée 🙂
    je savais que je pouvais avoir plus mais vu que je faisais partie de la promo des classes pilotes qu’avait instauré l ex ministre de leducation nationale BEL MOKHTAR  »A9SSAM AL MASSALIK ALLOUGHAWIYA » ,personne ne pouvait avoir plus de 15 en francais puisqu on faisait de la litterature francaise au lieu du programme qu avaient les autres classes de baccalauréat normal et qui eux pouvaient avoir jusqu’a 20/20 en examen fois le meme coefficient( »5 » ou 6 »je me rapelle plus ) ce qui fait qu’en ayant 14 de moyenne en option langue francaise on pouvait avoir 16 en option normal 🙂 et le piiiiiiiiiiire c’est que nous n avons pas eu le droit a la mention  »option langue francaise  » de nos diplomes de baccalaureat c’est a dire que nous n’avions pas droit de passer les concours de medecine architechture avec des moyennes allant juska 15 maximum.

    donc voila moi qui souhaitait faire des etudes en architechture ,ai fini par changer carrement de discipline et aller vers l’economie ….mais aujourd hui je ne regrette rien mon parcours a été riche et a la fin de mon parcours je me retrouve un peu dans ce qui m’a toujours interessé pas loin de l’architechture mais dans uen discipline bcp plus grande qui reunit architechture ,social ,economie ,communicatin ,etc…..) 😉 😉

    donc voila a travers ce message je dis a tous et a toutes  »MAT9ANTOUCH MEN RA7MAT ALLAH li FEL MOKTAB DIALOU CHI 7AJA RADI TJIHE  » NE dramatisez pas les choses prenez votre temps a bien reflechir dans ce que vous voulez faire evitez de faire comme un ami ,cherchez plutot les domaines ou vous serez capable de donner ,des domaines auxquels vous portez plus d’importance ,pour lesquels vous avez du penchant..sachez qu’un simple diplomé de la formation professionelle peut evoluer dans sa carriere et realiser des exploits ,et qu un diplomé de al akhayawn peut se retrouver en chomage 🙂 tout depend de la personne et de ce qu elle peut donner,ses competences et motivations. le diplome c’est juste un moyen pour parvenir aux buts pour se former et developper des connaissances 😉 ➡

    BONNE CHANCE A TOUS ET A TOUTES

    #232046

    En réponse à : nous les RME…..

    saidi
    Membre

    @nezouh wrote:

    Salam à tous,

    Voila, j’ai parcouru tous les titres des sujets sur le forum « débats » et je n’ai pas trouvé de sujet qui parle exclusivement de nous les RME. Comme l’on suggéré certains oujdinautes, je commence par celui-ci.

    Je pense qu’on a tellement de choses à dire, à chacun d’entre-nous, d’y apporter son témoignage ou son histoire, ou encore son point de vue.

    Losque je dis que j’ai parcouru les titres des sujets, je tiens à préciser que je n’ai pas pu lire les sujets écrits en arabe, puisque la principale raison qui m’a fait ouvrir ce topic, c’est l’handicap de la langue.

    Pour ma part, je suis extrêmement peinée de ne pas savoir lire l’arabe.
    Cela m’empêche d’accomplir beaucoup de choses.

    J’avais dans l’espoir, un jour de retourner vivre au Maroc. Malheureusement, je me trouve devant la barrière de la lecture et l’écriture de l’arabe. Et qu’on vienne pas me dire , qu’il suffit de s’y mettre maintenant à commencer à apprendre. Je n’ai pas vraiment le temps et encore moins la patience. Je ne saurais dire à qui la faute, mes parents, le système, ou moi. En tous cas, je suis totalement découragée, car en plus de savoir lire ou écrire, ce qui implique tout d’abord de connaitre l’alphabet (chose aisée), il faut aussi et surtout apprendre un nouveau vocabulaire. Vous devez certainement oublier que nous les RME (qui ne savent pas lire), nous connaissont que l’arabe parlé, celui de la « maison ». Il nous est demandé deux fois plus d’efforts, puisqu’il faut apprendre une nouvelle langue en plus de l’alphabet.

    Je voudrais vous parler de la première fois que j’ai appris des sourates, mes parents nous ont appris 4 premières sourates, par coeur, afin de pouvoir commencer à faire notre prière. Je précise que c’était du par coeur. Nous ne connaissions pas la signification de la plupart des mots que l’on disait. Mes parents voulaient parer au plus urgent, apprendre. Ensuite, dès que nous avions appris ces quelques sourates et que nous faisions nos prières, ma mère a enfin pris le temps de nous faire une sorte de traduction de ce que nous avions appris , en arabe parlé. Du haut de notre jeune âge, nous avons trouvé cela très compliqué. Il est vrai qu’il y a plusieurs mots qui se ressemblent, mais pas tous.
    Bref, la mission, à fini par être accompli, et mes parents étaient fiers d’eux et de nous.

    Plus tard, lorsque nous sommes devenu adultes, nous avons commencé par écouter des chansons en arabe (égyptiennes, libanaises, etc), et je demandais à chaque fois qu’on me dise les mots, sans les chanter, afin que je puisse les comprendre. Mais j’ai vite abandonné, je me suis contenté de fredonner et reprendre que les mots qui me parraissaient claires.

    Voila pour ce qui est de la langue arabe littéraire.

    Mis à part cet apprentissage des sourates, nous ne pratiquions presque pas l’arabe chez nous. Nos parents parlaient en arabe ( parlé, oujdi) et nous nous répondions en francais. Mes parents ont bien essayé de nous apprendre, mais nous ne faisions aucun effort. On pratiquait plus le francais que l’arabe. Et lorsque nous allions , tous les étés à Oujda, on revenais au bout d’un mois, en ayant appris juste quelques petits mots. Bien sur on se moquait de nous, mais comme nous étions, plusieurs frères et soeurs, cela ne nous dérangait pas plus que ca, puisque nous, nous étions solidaires et nous nous comprenions, nos cousins et cousines étaient comme nous, et nous passions nos vacances ensembles. On trouvait ça amusant, seuls contre les autres……..
    Plutard , lorsque nous avions grandi, nous avions quand même appris l’arabe, puis lorsqu’on partait en vacances, on arrivait à se débrouiller tout seul, mais l’accent nous trahissait. Les gens se moquaient toujours. Et au jour d’aujourd’hui, nous avons toujours cet horrible accent, ou ces fameuses phrases où les 2 tiers sont en arabe et se glissent quelques mots en francais. Du coup, on essaye quand meme de se faire comprendre, mais c’est plus facile aujourd’hui, puisque la plupart des gens à oujda, comprennent et utilisent le francais, bon grés mal grés.

    Je vais m’arrêter là, et vous laisser à votre tour raconter les difficultés ou anecdotes concernant notre « statut » de RME….. ou autre chose.

    Chère NEZOUH BON VOYAGE!

    Quand tu reviendra, je te prie de faire un effort pour te procurer deux tomes du Saint CORAN, je te comprends très bien, j’ai vécu la même chose que toi, un jour un ami averti, m’a conseillé un livre en deux tomes , si tu as la chance de te le procurer, je sduis sûr que tu ne le regrettera pas, avec celà, je t’assure qu’il m’est arrivé de de faire taire pas mal de gens voici les références:

    LE CORAN Edition bilingue Traduction et commentaires par le CHEIKH SI HAMZA BOUBAKEUR edition fayard.

    Je ne connais rien de cheikh HAMZA, pour que les choses soient claires mais je peux te dire que pour des gens comme toi et moi, celà me parâit être LA TRADUCTION QU’IL FAUT LIRE, tu as devant toi le coran écrit en arabe, tu as le contexte dans lequel les sourates sont arrivées les unes derrière les autres, tu as la traduction en français, tu as les différentes explications quand c’est necessaire, tu parfois de simples points d’interrogation lorsque le sujet devient épineux, tu as aussi un preliminaire de l’histoire qui n’est pas ininteressant! je te conseille vivement de te procurer ce livre tu ne seras pas décue.

15 réponses de 256 à 270 (sur un total de 479)
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