Résultats de la recherche sur 'frontière algérienne'

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15 réponses de 46 à 60 (sur un total de 71)
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  • #217381

    En réponse à : frontière algérienne

    Anonymous
    Membre

    Bonjour à tous,

    Quelqu’un peut-il nous éclairer sur cette nébuleuse affaire du refus qu’ rencontré JAMEL DEBBOUZ pour se rendre en ALGERIE pour y présenter avec ses collègues le film « les indigènes » alors que la majorité de la population algérienne l’attendait avec impatience et qui se sont très vite manifesté pour dénoncer cet acte? saidi

    #217379

    En réponse à : frontière algérienne

    Mchichi
    Membre

    Pour étayer vos propos, cher fadi qui sont vraiment touchantes ; car en plus je pense exactement la même chose que vous. Lundi, prochain je vais justement prendre, l’avion Oran-Casa, ensuite je vais revenir à Meknès pour assister à des conférences sur les Sciences des Matériaux ; alors que par la route c’est très proche et surtout moins onéreux. Voilà l’exemple même du gaspillage et de gâchis entraînés par une frontière fermée. Pour ces conférences de Meknès il y’aura des dizaines de scientifiques qui vont venir d’Algérie et de la même manière (tant qu’à faire). c’est tout à fait aberrant. Et on se pose ensuite la question pourquoi le Maghreb se vide de sa matière grise.
    M’chichi
    Universiatire Algérien
    Sidi-Bel-Abbès.

    #217377

    En réponse à : frontière algérienne

    Anonymous
    Membre

    FADI bonjour,

    Loin de moi de douter de ton ouverture d’esprit que j’ai apprehendé depuis longtemps. je te prie de m’excuser pour ce malentendu, il vient de moi car j’ai voulu jouer au malin en voulant cliquer sur quote et celà a donné ce que tu as lu et qui ne ressemble pas à grand chose. je ne le ferais plus, j’utiliserais la voie classique. ceci étant dit, je voudrais te dire ce qui m’a fait bondir sur ce sujet, c’est d’abord pcq personne n’a voulu répondre à hinda qui a entretemps disparu de la circulation mais surtout pour te livrer quelques reflexions que je me fais souvent:

    A chaque année, quand je me trouve à oujda, je fait un saut jusqu’à la frontière que tu connais bien. Je m’arrêtes quelques instants, je contemple ces barrières, je regarde les deux drapeaux nationaux qui flottent à quelques dizaines de mètres, je regarde la belle route qui mène d’Oujda à la frontière et que j’appelle la route de l’UMA. subitement et à chaque fois, je ressent un sentiment de frustration, pourquoi? parceque je suis les evennements d’assez près concernant l’union europeenne. Pour moi, tout ce chahut, tout ces va et vien de chefs d’états , de ministres de différents pays qui n’arrêtent pas de se reunir tout près de chez moi car figure toi que j’habite dans un quartier à Bruxelles qui n’est pas bien loin de tous ces bureaux qui habritent le personnel de ces differents pays qui constituent l’union europeenne, quand je vois tout celà, j’en tire une conclusion parmis tant d’autres mais pour moi, la principale elle est économique. On bombarde des pays très pauvres avec des milliards d’euros pour elever leur niveau de vie, creer ainsi un marché pour pouvoir leur vendre une fois devenus consommateurs, voilà pour moi la politique essentielle de l’union europeenne. Mais quand je vois que ces milliards d’euros prennent toujours la même direction à savoir les pays de l’est c’est à dire qu’on le veuille ou non des gens qui ont beaucoup de chose en commun dans leur culture. et le sud? dans tout çà? eh bien je pense sincèrement qu’ils s’en balancent comme en l’an 14 si j’ose m’exprimer ainsi. Bien au contraire, pour ce qui est des pays d’Afrique, non non on ne les oublie pas, mais on leur envoie de temps à autre un emissaire qui va les voir individuellement surtout quand il s’agit de pays où ils voient qu’il ya de quoi faire travailler leurs entreprises, là, ils n’hésitent pas. C’est ainsi pour revenir à notre problème de frontière qu’on voit des dirigeants européens aller voir un Bouteflika, lui tenir un langage concernant le problème du sahara selon ce qu’ils vont signer comme contrats, puis aller dire quelques mots aux pays d’afrique noir pour les calmer un peu quand ils sont excités comme disait le Général de Gaulle dans son temps, puis ils iront voir un autre et ainsi de suite, toujours dans le but de vendre, de vendre, d’exporter, d’exporter vers ces pays en attendant que ceux de l’est relèvent leurrs niveaux et commencer à les bombarder avec leur marchandise. Celà mon cher FADI, je me dis que si les pays de la soit disant UMA le voulaient, ils ont tout ce qu’il faut pour faire même mieux que ce que font les europeens vers les pays de l’est. nous avons un immense marché, nous avons une main d’oeuvre qui est enviée par tous ces pays d’europe, nous avons des richesses naturelles qui ne demandent qu’à être exploitée, nous avons la possibilité de travailler en complémentarité d’une facilité deconcertante etc…. hélas, on ne voit rien venir de tout celà et c’est pour celà qu’à chaque période vacances d’été je vais voir cette frontière pour me remettre celà en mémoire, car ce sont des choses inoubliables, ce sont des choses qu’on peut difficillement qualifier. Quand on voit toutes ces possibilités, quand on voit l’exode de nos amis, marocains, algériens, tunisiens, lybiens, mauritaniens, africains du sahel, venir balayer les rues et nettoyer les bureaux des buildings europeens dont beaucoup sont issus des universités, je me dis que l’histoire jugera sûrement les coupables qui comme tout le monde le sait vivent dans des fastes qui depassent toute immagination voir aller jusqu’à faire sourir pas mal d’europeens quand ils observent celà. C’est criminel. voilà, cher FADI, merci de m’avoir permis de me défouler . bien à toi saidi

    #217375

    En réponse à : frontière algérienne

    Mchichi
    Membre

    Point de vue :
    Mon point de vue à moi concernant le problème de la fermeture de la frontière, je l’ai déjà exprimé plusieurs fois sur le forum d’Oujda city. Je suis profondément attristé par la fermeture de cette frontière. Une frontière doit d’être ouverte et non fermée. Et, nous ne pouvons en aucune manière aller chercher des prétextes inutiles pour expliquer une situation qui en soit est anormale. En plus, il y’a faut-t-il le rappeler le lien de l’histoire, la religion, la langue, etc. En outre une frontière fermée est un handicap pour les universitaires que nous sommes pour pouvoir se rencontrer et faire des échanges scientifiques, nécessaires au développement et à l’épanouissement des individus. Et je suis souvent triste de voir que les réactions des mes compatriotes algériens sont un peu terre à terre et qui montrent le degrés d’ignorance chez certains.
    M’chichi.
    Universitaire Algérien.

    #217372

    En réponse à : frontière algérienne

    saidi
    Membre

    Bonjour M. OUJDI NET.
    J’ai lu avec beaucoup d’attention ton message concernant la frontière algérienne, j’espère que notre ami internaute HINDA est à l’écoute, car c’est celà que j’avais qu’elle reçoive comme réponse et pas un mutisme total.
    Pour ce qui est de votre réponse, j’ai a peu près tout compris et je pense que nous ne divergeons pas beaucoup sur ce problème. Je trouve votre analyse très cohérente et réfléchie, cependant, comme il ya quelques phrases que je n’arrive pas à traduire comme il se doit , par ex. le rôle du sahara, le rôle de l’économie, je dois donc relire attentivement avant de vous répondre et vous exposer ma façon de pensée. En tout cas, j’ai trouvé votre analyse très instructive et je vous en remercie. saidi

    #217370

    En réponse à : frontière algérienne

    Anonymous
    Membre

    Mon cher FADI bonjour.

    J’ai lu ta réponse à propos de la frontière algérienne. Il ya eu probablement une interference dans les post. J’ai lu ta réponse et en même temps, j’ai lu une réponse de quelqu’un qui écrit à partir de l’algérie. ce qui fait que je me suis un peu melé les pinceaux. Je laisse de côté celui qui nous parle des avantages que les marocains tirent de l’algérie et qui y vivent toujours. s’il veut se demasquer, je suis prêt à ouvrir un débat avec lui. Je reviens à ta réponse à toi qui m’interesse beaucoup plus. FADI,il me semble que tu n’as pas bien répondu. Je te le dis franchement car je sais que tu es un homme non seulement de dialogue, ouvert d’esprit mais aussi que tu es l’homme de demain, dès lors, je crois que tu n’as pas le droit de t’exprimer de la sorte envers l’algérie car celà ne peut faire que du mal aux marocains. Je te prie de changer de ton en parlant de ce sujet oh combien important! et on peut lancer une discussion avec nos voisins algériens qui le désirent. Tu peux compter sur moi pour faire équipe car, je ne te cache pas que j’ai pas mal d’expérience dans ce domaine. Je pourrais de déballer pas mal de choses vécues de surcroit concernant l’algérie, si tu me promet d’être sage!!! je suis partant avec toi pour cracher le morceau comme on dit. salut vieille branche comme on dit en belgique, saidi

    #217982
    saidi
    Membre

    Bonjour à tous

    1. Permettez moi de vous dire que ce forum manque un peu de structure au sens large du terme. En effet, excepté une discussion menée par M. BOUAYAD, M. EL KADIRI et certains d’autres concernant un sujet d’histoire qui me semble être très interessant et mené avec beaucoup de courtoisie, le reste me paraît un peu desordonné, un peu brouillon, je ne vise personne, je pense pas avoir raison, peut être que je me trompe.
    2. Je m’adresse à DAHLIA : Il ya une internaute qui a posé la question de savoir si la frontière algérienne est ouverte? personne ne s’est donné la peine de lui répondre et DAHLIA dans l’un de ses derniers post nous parle de l’UMA! quel contraste!!!
    3. je m’adresse à FADI: je commence à connaître ton franc parler, mais je trouve ton sujet certe interesant, mais n’apportera rien comme bénéfice, la preuve , au lieu de s’ouvrir sur le monde on se chamaille entre nous (j’espère qu’on n’arrivera pas à suivre ce que nous avons toujours critiqué à savoir les politiques menées par les différents pays arabes vis-à-vis de l’occident)
    4. Je m’adresse à M. OUJDI PUR: C’est bien et de défendre les valeurs islamiques, mais je t’en supplie ne tombons pas dans le piège qui consiste à passer notre temps à nous faire des croche pieds entre nous avec la religion et négliger ce qui se passe dans le monde, c’est peut être un piège que certains occidentaux nous ont volontairement tendu pour nous occuper pendant qu’ils font passer des choses d’importance capitale.

    5.Celà me fait de la peine quand je vois les discussions que vous menez sur les oujdis, les rbatis, les marrakchi etc… Alors qu’au même moment, la turquie se demène pour faire son entrée dans l’union européenne et qui se trouve devant un barrage quasi généralisé, ne me dites pas que je melange tout, je vous assure qu’il ya là une similitude triviale.

    6. je voulais aussi vous dire que lorsque vous utilisez le mot racisme dans vos discussions, celà me chagrine beaucoup, car celà me fait croire que le rbati, le bidaoui, le marrakchi voir les berbères tous marocains ne sont pas de même race!!! Ici en europe, on nous a appris à faire bien attention avant d’utiliser ce terme pourtant c’est ici qu’il a sa véritable place pour ne pas dire aux USA et en afrique du sud.

    7. Pour finir, je ne vous ferais pas l’injure de vous rappeler que nous sommes à quelques mois des élections législatives. Ne croyez vous pas que c’est le moment de lancer des sujets de discussion sur ces élections pour faire face à tous les gens que vous n’avez pas arrêté de dire qu’ils sont responsables de nos malheurs quelque soit la ville du Maroc. Commençons par poster quelques sujets concernant notre région et essayons d’y denoncer tout ce qui ne vas pas et eventuellement citer les partis politiques qui ne nous conviennent pas. ceci dit au passage, j’ai remarqué que pour ce qui est de parler des partis politiques celà ne fait pas le fort de ce forum, on se demande bien pourquoi? mes salutations

    #217367

    En réponse à : frontière algérienne

    Anonymous
    Membre

    Bonjour hinda,
    Non, la frontière algérienne n’est pas ouverte, à mon avis tant que le problème du sahara marocain n’est pas réglé, elle restera fermée.
    J’ajouterais que si l’on compte le nombre de jours où cette frontière s’est ouverte depuis 1962 (l’indépendance de l’Algérie), on se rendra compte que malheureusement ils sont insignifiants. Paradoxalement, cette frontière a été tout le temps ouverte durant la colonisation Algérienne par la France, c’est aberrant mais c’est comme celà allez comprendre!

    #217239
    sherine
    Membre

    salam ou alikoum lorie

    je me permet de te repondre car g fait mon mariage a oujda dans une salle qui s’appel BENSAYLA c une grande salle magnifique prés de la frontière algérienneet elle nous à couté 800€ mais seulement parce que un membre de la famille à mon mari connaissait le gérant sinon les salle se trouvent pratiquement toute prés de la frontière algérienne et quand je cherchait des salles il nous ont tous dit entre 1000 et 1800 € aprés si ta des personne qui sont sur place demande leur de se renseigner et fais une demande vite car aprés ils montent vite les prix et ya beaucoup de demande. Voila j’éspère que j’ai répondu correctement à ta question si ta d’autres questions n’hésite pas je suis la. 🙂

    #201822
    Anonymous
    Membre

    la frontière algérienne est-elle ouverte?

    #216936

    En réponse à : تونس و الحجاب

    manara
    Membre

    Tunisie – Qatar : Al Jazeera provoque le clash
    Tunis a fermé son ambassade pour protester contre la ligne éditoriale de la chaîne

    jeudi 26 octobre 2006, par Saïd Aït-Hatrit

    La Tunisie a rappelé mercredi son ambassadeur au Qatar pour protester « contre une campagne hostile » de la chaîne Al Jazeera. Les autorités tunisiennes n’ont pas apprécié les sorties de l’opposant Moncef Marzouki sur la chaîne d’informations et sont fatiguées d’y voir la pratique religieuse nationale brocardée. Depuis sa création en 1996, la chaîne à gratter qatarie irrite autant le Etats-Unis que les régimes arabes.

    Al Jazeera est regardée dans les pays arabes autant qu’elle est abhorrée par leurs régimes. Mercredi, la Tunisie a fermé son ambassade à Doha, au Qatar, pour protester contre la chaîne d’information internationale. Le cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, émir de la péninsule pétrolière, en est le principal actionnaire. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères accuse Al Jazeera de tourner « le dos à la vérité et à l’objectivité, chaque fois qu’elle aborde l’actualité en Tunisie », et de « mener une campagne hostile destinée à [lui] nuire ». Le 14 octobre dernier, les autorités tunisiennes avaient rappelé leur ambassadeur après que la chaîne ait diffusé l’interview de Moncef Marzouki, l’un de ses plus virulents opposants. Le chef du Congrès pour la République, un parti non reconnu, y appelait la « population » à « une résistance civile en utilisant tous les moyens pacifiques ». Etabli depuis cinq ans en France, il est rentré samedi à Tunis sans être inquiété, malgré une convocation devant le juge d’instruction pour « incitation de la population à la désobéissance civile ». Al Jazeera a diffusé quelques heures après son arrivée une seconde interview dans laquelle il déclare refuser de répondre à la convocation.

    Tunis a également été irritée par la manière dont Al Jazeera a couvert l’actualité religieuse nationale depuis plusieurs années. La CNN arabe a récemment organisé un débat autour de la question du voile islamique, en Tunisie, dans laquelle les autorités ont été accusées de « violation des droits individuels ». Au début du mois, elles se sont prononcées pour l’application d’un décret de 1981 condamnant le port du voile dans les lieux publics. Le président Zine el-Abidine en personne, suivi par ses ministres, s’est prononcé contre les voiles « d’inspiration sectaire importés de l’extérieur ».

    La Tunisie « indexée » par les religieux

    « Ici, Al Jazeera est très regardée. Les gens regardent notamment les programmes où la parole est donnée aux islamistes, car leurs partis sont interdits en Tunisie, et c’est l’occasion de les connaître », explique un journaliste basé à Tunis. « Mais il ne s’agit pas seulement des islamistes, poursuit-il. La Tunisie est en avance sur tous les pays arabes en matière de liberté de la femme et de modernité de la société. Et les religieux qui interviennent sur Al Jazeera ont tendance à indexer la Tunisie sur ce point. Les autorités nationales se plaignent du fait que la chaîne qatarie ne donnerait la parole qu’à ses opposants ».

    « La Tunisie, qui respecte et exerce la liberté d’opinion et d’expression, et qui apprécie à sa juste valeur toute information honnête, a fait siennes ces nobles valeurs », indique un peu exagérément le communiqué des Affaires étangères, dans un pays souvent rappelé à l’ordre pour des violations de la liberté d’opinion. « Cependant, poursuit le document, par ses prises de position délibérément malveillantes à l’égard de la Tunisie, Al Jazeera a dépassé toutes les limites et transgressé les règles morales sur lesquelles repose la pratique journalistique. »

    « Pas d’agenda politique contre la Tunisie »

    Jeudi, Waddah Khanfar, le directeur général de la chaîne, a assuré ne pas avoir « d’agenda politique contre la Tunisie ou contre une quelconque autre partie. Nous regrettons la décision tunisienne et réaffirmons que nous nous engageons à fournir une plateforme à des opinions différentes », a-t-il déclaré à l’AFP. Tunis avait déjà rappelé son ambassadeur en 2001 pour contester contre la couverture de la Tunisie par Al Jazeera. La république n’a jamais permis l’ouverture d’un bureau de la chaîne à Tunis, ni accrédité son correspondant sur place.

    En juin 2004, ce sont les autorités algériennes qui ont fermé le bureau de la chaîne à Alger, prétextant une réorganisation du travail des correspondants de la presse étrangère. Selon Reporters sans frontières, ce gèle serait consécutif à la diffusion d’un débat où des « opposants avaient critiqué les généraux algériens ainsi que la politique de réconciliation nationale du président Abdelaziz Bouteflika ». Seul le Maroc, dans le « petit Maghreb », accueil aujourd’hui une officine de la chaîne à gratter qatarie. A partir du 15 novembre, elle va lancer un « journal du Maghreb » d’une durée d’une heure depuis Rabat.

    #214815

    En réponse à : jm trop Berkane!!!

    tachafine
    Membre

    @zhm wrote:

    mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
    stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
    relis ton poste stp !

    c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;

    si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
    une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhm

    BERKANE L’HISTORIQUE

    La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.

    la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
    La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.

    Données géographiques : des reliefs contrastés
    * Relief
    Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
    * La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
    * La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
    * Climat
    Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
    * Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
    * Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.

    LE POTENTIEL TOURISTIQUE

    La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
    En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.

    Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia

    La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
    Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
    Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
    Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.

    Plage – Soleil

    Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.

    Infrastructures et Animation

    Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
    Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).

    Le tourisme vert

    Les monts de Béni Snassen
    A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.

    Vallée de Zegzel
    Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.

    Sites archéologiques et historiques

    Grotte des pigeons
    La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.

    Grotte du chameau
    Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    Le tourisme écologique

    Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
    Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
    L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.

    Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
    Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
    Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
    Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.

    Site de la cigogne blanche
    A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.

    Le Thermalisme

    La source de Fezouane

    merci a http://said35.chez-alice.fr/
    La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
    Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.

    La source thermale de Chouihiya

    Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.

    L’héritage culturel

    Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.

    Artisanat

    Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.

    Chants, musiques et danses traditionnelles

    Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.

    😉 😉 😉 😉

    #207431
    saidi
    Membre

    Chère SOUMYA, bonjour.

    J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.

    Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.

    Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
    Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutations

    #211291

    En réponse à : Tourisme Durable

    OUJDI_PUR
    Membre

    bien venue mr GERARD
    moi je te conseille de visiter saidia(plage) > cap de l’eau(plage+grillades de poissons frais) > zegzel(montagnes et foret)> fezouane(source d’eau naturelle ) > oujda (medina et ses perifiriques (vers les frontieres algeriennes il y a des cafes telque fontana , escales , gala …)
    pour l’hotel je te conseille de reserver a hotel moussafir IBIS pres de la gare c’est plus calme
    je te conseille de manger KARAN et la bekbouka
    je te deocnseille d’aller au night club meme si tu aimes la vie nocturne car vraiment tu vas le regreter il n y a que de voyous !!

    une autre fois bienvenue

    #213909
    Iznassen
    Membre

    Si ça vous intéresse je peux vous détailler tous les groupements de la province du Nador. Sinon, est-ce que vous voulez qu’on approfondisse plus les Tribus Iznassen?

    Ci-dessous quelques informations sur Iznassen :

    LES SOURCES :

    1- Source  » Sefrou » , abondante, fraîche, d’une limpidité de cristal

    2- Soure  » Ain Sfa  » ( lire « 3in Sfa ») soure de la purté

    3- Source « Beni Atig » ( au nom de la troisième fraction des Iznassen)

    4- Source « Beni Moussa »

    les principeaux ruisseaux :

    1- Ruisseau Beni Ouryammech, connu sous le nom du  » Ruisseau « Tagma » ( Ruisseau de la vallée)

    2- Ruisseau « Zegzel » ( ruisseau des terrains grantiques), roulant ses eaux limpides au milieu d’une végétation superbe

    3- Ruisseau  » Beni ouaklan  » ( lire  » waklan ») ( La rivière des enfants des esclaves), par sa réunion avec la rivière « Zegzel », un ruisseau important, le plus grand affluent de la « Moulouya » dans le Rif »

    4- Ruisseau  » Sefrou »

    5- Ruisseau « Beni Khaled » connu sous le nom de la rivière  » 3ajroud » (rivière des épis rabougris)

    6- Ruisseau Kis (rivière de la bourse) —> cette rivière constitue actuellement la frontière maroco-algérienne..

    Quelques noms de tribus :

    Je commence par la première faction qui se trouve à l’Est à une dizaine de Km de la frontière maroco-algérienne et je finirai par la quatrième faction à l’ouest qui borde le fleuve Moulouya…

    A- Fraction des  » Ayt Khaled »


    > Enfants de Khaled

    1- Aghbal —-> Le défilé

    2- Taghejjirt —-> Garou

    3- Ougni ( Ugni) —-> la plaine

    B- Fraction des  » Ayt Menquch »


    > Les enfants de ciselé

    1- Ayt Waklan—-> Les enfants des esclaves, dans le sens adorateurs de Dieu

    2- Sefrou —-> « Ils devinrent jaunes »…La légende raconte qu’un prison se trouvait dans cette localité et où les prisonneirs ne sont libérés qu’après que leur peau devienne jaunâtre suite aux mauvais traitements…

    C- Fraction des  » Ayt Atig »


    > Les enfants de « l’Affranchi »

    1- Tazaghin —-> Les sèches

    2- Zegzel ( en Tamazight ( Zeyzel) )


    > les terrains garnitiques

    3- Ayt Moussi—-> Les enfants de « Moussa »

    Mouly Idriss —-> La légende raconte que le fondateur de la dynasitie Idrisside, Idriss 1er, est passé dans ce village

    4- Oulad Ttayeb —-> Les enfants de Tayeb

    5- El 3tech —-> On prétend que ce village a reçu le nom qu’il porte parce que ses habitants ont la spécialité de fabriquer des  » 3attouch » ( palanquin de chameau)…

    6- Souk El HAdd —-> marché de dimanche

    D- Fraction des  » Ayt Waryemmech »


    > Les enfants du « Groupe »

    1- Ayt Ali Chbab —-> Les enfants du bel « Ali »

    2- Tagma


    > la vallée

    3- Ayt ElBachir Ou Mesaoud —-> Les enfants de « Elbachir » fils de  » Mesaoud »

15 réponses de 46 à 60 (sur un total de 71)
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