Résultats de la recherche sur 'frontière algérienne'

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11 réponses de 61 à 71 (sur un total de 71)
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  • #213903
    Iznassen
    Membre

    Bonjour,

    Je commence par la province de Aberkane. Avant de commencer le mot Aberkane est tiré du nom d’un « wali » originaire du sud du Maroc du côté de Tafilalt. Ce « wali » est un vari Arabe qui s’est installée dans la plaine Trifa. Son tombeau est situé à côté du fleuve « chara3a » pas loin du pont qui relie les deux parties de la ville de Aberkane et sur lequel passe la route nationale « Aberkane-Nador ». Les habitants de cette région l’appelaient dans leur langue (Tamazight): Sidi Mhand Aberkane (Sidi Mohamed le brun /le noir).

    La province de Berkane est délimitée à l’Est par la frontière maroco-algérienne, à l’Ouest par le fleuve Moulouya, au sud par la Plaine d’Angad, et au Nord par la méditérannée.

    Deux grandes confédérations occupent ce territire : Les Iznassen (Beni Znassen) et les « Arabes » Trifa. Les anciens Iznassen qualifient les habitants de cette plaine  » Ihilalien » (Les Hilaliens càd Banou Hilal). Ce qualificatif se trouve souvent dans des histoires que les Iznassen racontent sur les habitants de cette plaine.

    La plaine Trifa occupée par des « darijophones » s’étend de la méditérannée au Nord jusqu’aux limites de la ville Reggada au sud (cette ville fait partie des territoires Iznassen), de la frontière maroco-algérienne au nord d’Ahfir jusqu’à la rivière Chara3a. La ville d’Ahfir et tous le territoire situé sur la rive droite de cette rivière appartiennet aux Iznassen.

    Au niveau de l’embouchure du fleuve Moulouya, sur la rive droite, ce petit territoire appartient à la confédération « Kebdana ». La quasi-totalité des territoires « Kebdana » sont sur le côté gauche du fleuve Moulouya et fait partie de la province de Nador.

    Les principales villes de la paline Trifa habitée depuis trés longtemps pas des « darijophones » sont : Saïdia, Café Maure, Madagh, Zraïb, La3tamna. Toutes ces villes sont de petites tailles, le nombre d’habitants varie entre 1000 à 5000 habitants. La plaine Trifa est trés riche et elle est connue pas la production de la clémentine et des argumes. Aucun propriétaire n’est originaire des Iznassen.

    « Trifa » est un vocable amazighe, c’est le féminin du  » arif » ou  » rif ». Le « Rif » signifie en Tamazight  » la côte » et « Tarifa/Trifa » signifie une plaine ou un territoire sur la côte.

    Le mot « Iznassen » est une déformation du  » Iznaten » qui signifie  » Znata ». Les « Iznaten » ou « Znata » est la deuxième grande branche des Amazighs. Les zénètes ont été appelés par les Historiens  » las Amazighs de l’Est puisqu’ils occupainet tous le territoire qui s’étend de la Lybie , Tunisie et le nord d’Algérie jusqu’au l’Est du Maroc. L’autre branche s’appelle  » Iznagen » et ce mot a été arabisé pour donner  » Senhaja ». Les Iznagen » ou « Senhaja » ont été qualifiés par les Historiens par  » les Amazighs de l’Ouest et du Sud. Ils sont actuellement majoritaires au Maroc, au centre de l’Algérie (Kabylie), la Maurétanie, le Sahara Algien et le Pays Touareg.

    Les Iznassen occuepent essentiellement les monts qui portent leur noms mais aussi des petites plaines au pied de ces monts qui s’étendent d’Ahfir jusqu’au Choui7iya au bord du fleuve Moulouya en passant par Aklim. Ils occupent aussi le haut plateau au sud de Tafoghalt ‘ Sidi Bouhriya, Rislane) mais aussi les plaines au peid des montagnes Iznassen côté de la plaine d’Angad(sud) depuis les territoires de  » labsara » jusqu »au « elgarbouz » en passant par « Ain Sfa ».

    La confédération des Iznassen est constituée de 4 factions :

    1-Ath Khaled ( Les fils de Khaled) du côté d’Ahfir jusqu »au Fezouane. Sur le territoire des Ath Khaled, les Mérinides ou Almariniyine ( « Ath Mrin » comme les appellent les Iznassen du 19ème siècle) ont construit une petite citadelle « casbah » dont les vestiges qui sont encore visibles mais qui sont à l’abondon !!!

    2- Ath Menqouch( Les fils de Menqouch) de la ville Reggada au nord jusqu »au Labsara au sud , de Fezouane jusqu’au Fleuve « Chara3a » qui traversse Aberkane. Les territoires de Ath Menqouch englobe aussi la ville de Aberkane.

    3-Ath 3tiq ( les fils de 3tiq) qui se situr entre le fleuve Chara3a jusqu »au Rislane en passant par Tafoghalt, Zegzel.

    4- Ath Waryamech ( Les Fils de Waryemech), ce sont les Iznassen frontaliers de la confédération  » Ath Bou Yehyi » et de la confédération  » Oulad Settout » de département de NAdor. Le chef-leiu des Ayt Bou Yehyi est  » Hassi Berkane » mais aussi « el 3aroui » sur la route Nador-Taourirt, et le chef lieu des « Oulad Settout » est Zayou.

    « Ath » qui est prononcé par d’autres Amazighs comme  » Ayt » et signifie en Tamazight : les fils de…

    En Tamazight « fils de  » au singulier se dit  » U » (lire « ou ») Au pluriel  » U » donnent  » Ayt » ou  » At »

    « fille de » se dit : ult ( lire « oult »). Au pluriel on obtient : Iss

    Exemple :

    U ma = fils de ma mère ===> mon frère
    Ult ma = fille de ma mère ===> ma soeur

    Au pluriel :

    Ayt ma = les fils de ma mère ===> mes frères

    Iss ma = les filles de ma mère ===> mes soeurs

    « ma » signifie  » mère » ou  » ma mère »

    #212468

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Iznassen
    Membre

    Bonsoir tout le monde,

    Je suis trés intéressé par l’Histoire de toute la région Nord et Est du Maroc càd la région qui s’étend de Tanger jusqu’à la frontière maroco-algérienne et même au delà; du nord-est jusqu’aux confins de Figuig; de Midelt chez Ayt Seghrouchen en passant par Taza, le pré-Rif et Meknassa jusqu’au Arzila (Azila).

    Je peux apporter mes connaissances sur toutes les tribus formants ce vaste territoire occupé par des tribus Masmouda, Senhaja, Zenata et Arabes.

    Bien à vous

    Iznassen
    Membre

    Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.

    Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.

    Berkani d’adoption
    Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.

    Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.

    Des commerçants solidaires
    John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…

    Hassan Hamdani
    Source: TelQuel

    #212393

    En réponse à : Oujda & Trabando!!!

    saidi
    Membre

    S’il vous plaît, arretez de faire de l’amalgame. Contrebande et oujda qui appartient à l’Algérie ou Tlemcen et le reste qui appartiennent au Maroc!!comment voulez vous debattre de la sorte? celà manque un de sérieux il me semble. alors si vous le voulez bien revenons à ce qui a été lancé comme sujet à debattre , la contrebande. Ce phénomène est très dificille à scerner pourquoi? parceque nous nous trouvons devant un cercle vicieux, je m’explique: L’origine de la contrebande provient de la fermeture des frontières, la fermeture des frontières est un problème politique entre le Maroc et l’Algérie, tout le monde le sait , ce problème politique lui même est un problème complexe, à première vue comme tout le monde le sait c’est l’histoire du sahara et le polisario qui serait à l’origine de la mesentente entre le Maroc et l’Algérie celà paraît évident quoique pour ma part, je ne suis pas certain que c’est la seule raison. Ne croyez vous pas qu’il ya aussi et peut être surtout une raison plus profonde par exemple qui va devenir leader en Afrique? le Maroc ou l’Algérie? pensez à l’axe ALGERRIE-NIGERIA-AFRIQUE DU SUD. Je ne vais pas plus loin dans cette discussion le temps nous l’apprendra peut être un jour. Revenons à la contrebande. Dans l’état actuel des choses on se trouve dans une situation qui ressemble à une impasse que j’ai appelé cercle vicieux, en effet, vu superficiellement, et à première vue, on a tendance à croire que la contrebande est benefique puisque lorsque j’interroge les gens sur ce sujet et d’ailleurs je le fais moi même, dans une région deshérité, pauvre où il n’ya pas de travail on a tendance à acheter la farine et l’esence a moitié prix pour ne citer que ces deux exemples parmis des centaines d’autres produits provenant de l’Algérie (façon de parler) car je ne suis pas sûr hormis l’essence que les autres produits proviennent réellement de l’ALGERIE. ils transitent surtout par l’Algérie. Vu sous cet angle là, on a tendance à croire que la contrebande est bénéfique. En réalité, elle ne l’est pas du tout, tous les économistes vous diront que c’est une aberration, comment voulez vous que la région va se developper? en principe c’est en créant de l’emploi, pour celà, il faut des investisseurs, qui est l’investisseur qui va placer des millions de dirhams à Oujda pour fabriquer de la levure, des produits laitiers, des boissons etc… en se promenant dnas le fameux souk el fellah, l’investisseur potentiel verra très vite qu’il ne pourra jamais s’aventurer à creer une quelconque usine à oujda puisque ce qu’il va fabriquer se trouve sur place via la contrebande et à moitié prix de celui que lui va devoir vendre le sien. Savez vous que la maison coca cola à Oujda est bord du gouffre depuis que le marché est innondé par le coca cola de la contrbande? Or cette usine fait travailler pas mal de gens( pour l’anecdote: j’ai un jour posé la question à une mère de famille dont le fils unique travaille dans cette usine de cocacola, elle était aussi pour la contrebande, quand je lui ai dit que si elle devait faire le choix entre acheter le cocacola à moitié prix et le licenciement de son fils puisque la maison va fermer, elle a vite changé d’avis). Alors quoi faire? Eh bien je dois vous avouer que je vois pas comment va-t-on sortir de cette situation; Ouvrir les frontières me paraît la meilleure des solutions mais comment y arriver quand on sait que cette frontière qui a été fermée par les Français depuis le début de la révolution Algérienne en novembre 54, elle n’a été réouverte en tout et pour tout queslques années. Vous allez me dire faisons en sorte et agissons comme si cette frontière n’existait pas et quelle restera fermée pour toujours, on va devoir se retourner vers d’autres horizons pour sortir cette région du marasme va-t-on continuer à constituer le reservoir de main d’oeuvre et fournir à l’occident des gens qui pourront toujours lui servir à un moment ou un autre? essayer de créer d’autres choses qui échappe à la contrebande? oui, mais quand vous voyez la reaction de negativisme de certain vis a vis du complexe touristique de saidia, les gens veulent avoir une plage pour eux, ils veulent avoir une plage pour les pauvres et pas pour les riches alors qu’il ya de la place pour tout le monde alors quand vous lisez celà sur le site saidia club vous commencer à vous mêler les pinceaux et ne sait plus quoi! le débat est ouvert qui a des propositions? je pense que c’est un sujet interessant, qui vaut la peine d’être debattu celà tombera peut être un jour dans les oreilles de gens style de ceux qu’on voit à la TV 2M « CHALLENGERS » qui pourront peut être nous aider. Une chose est sûre.Ce n’est pas le style de gens qui viennent s’insulter entre BERKANIS et OUJDIS sur ce site qui vont faire sortir la région de sa crise qui risque de durer plus qu’on ne pourrias le crôire. Merci pour votre patience et excusez la longueur de ce texte. Mes salutations à tous.

    #212069

    En réponse à : salle de mariage

    OUJDI_PUR
    Membre

    bonjour leila
    et bien la salle bensayla se trouve en dehors d’oujda presque 6 a 7 kilometres vers les frontieres algeriennes
    c’est une ferme ou on trouve une salle elle est un peu couteuse
    personnelemnt je ne ferais pas le mariage ds une salle je prefere stah darna !!
    bon courage

    #211150

    En réponse à : Oujda & la marginalisation

    mco91
    Membre

    @al-mansi wrote:

    @OUJDI_PUR wrote:

    mais il faut dire que 50% ont des origines algeriennnes

    @Oujdino wrote:

    une ville ou 50 % de ses habitants ont des origines algeriennes

    eh les gars !! vous plaisantez ? 😯

    et pourquoi pas l’inverse? pourquoi ne pas dire que la moitié des habitans d’Oran, maghniya et tlemcen sont des marocains?

    avec tout mon respect, révisez l’Histoire et vous saurez que l’algèrie n’a jamais existè que depuis 1962, la frontière tracée entre le maroc et la france après la guerre d’Isli va jusqu’à oued chlef, mais eux (les algèriens) ont pris toute la partie Ouset -oran, tlemcen- sous pretexte que c’est eux qui l’ont libéré…. et pour ajouter encore des détails, avant que Boumedien expulse les marocains après 1975, il y avait une grande majorité de marocains qui vivent à cette partie ouest, et quand ils sont revenu au maroc ils se sont installé à oujda, et là hélas, malheureusement on les prends presque comme des algèriens….

    et encore un détail, actuellement oujda est habitée par :
    – les originiares des tribus (comme ahl angad, beni znassen, beni oukil,….) et ces tribus ne sont pas algériens mes chers frères
    – des « marocains » 😀 venu de l’ouest et le nord (gerssif, berkan, …)

    où sont les algériens alors?

    ceci dit, je suis contre cette frontière que la france a tracé, on est un seul peuple du rabat jusqu’à islamabad et du dakar jusqu’à jakarta

    c calir khoya moi ils m’ont fé peur avec leur chiffre (avec tt mon respect à Mr oujdi_pur) jusk au point ke je sui parti demandé à mon pére si c été vrai, ms il ma di ke c été du n importe koi 50% 😯 😯 😯
    moi tt mes copains d oujda cad tt mon quartier aucun na de la famille à l algerie, et je conné aucun oujdi (personnelemnt) ki a de la famille en algerie 😉 !!!!!!!!!!!!!!!

    #211147

    En réponse à : Oujda & la marginalisation

    al-mansi
    Membre

    @OUJDI_PUR wrote:

    mais il faut dire que 50% ont des origines algeriennnes

    @Oujdino wrote:

    une ville ou 50 % de ses habitants ont des origines algeriennes

    eh les gars !! vous plaisantez ? 😯

    et pourquoi pas l’inverse? pourquoi ne pas dire que la moitié des habitans d’Oran, maghniya et tlemcen sont des marocains?

    avec tout mon respect, révisez l’Histoire et vous saurez que l’algèrie n’a jamais existè que depuis 1962, la frontière tracée entre le maroc et la france après la guerre d’Isli va jusqu’à oued chlef, mais eux (les algèriens) ont pris toute la partie Ouset -oran, tlemcen- sous pretexte que c’est eux qui l’ont libéré…. et pour ajouter encore des détails, avant que Boumedien expulse les marocains après 1975, il y avait une grande majorité de marocains qui vivent à cette partie ouest, et quand ils sont revenu au maroc ils se sont installé à oujda, et là hélas, malheureusement on les prends presque comme des algèriens….

    et encore un détail, actuellement oujda est habitée par :
    – les originiares des tribus (comme ahl angad, beni znassen, beni oukil,….) et ces tribus ne sont pas algériens mes chers frères
    – des « marocains » 😀 venu de l’ouest et le nord (gerssif, berkan, …)

    où sont les algériens alors?

    ceci dit, je suis contre cette frontière que la france a tracé, on est un seul peuple du rabat jusqu’à islamabad et du dakar jusqu’à jakarta

    #210023

    En réponse à : kolchi cha3al

    ymene
    Membre

    Je suis tout a fait d’accord que les gens de l’est ( après taza ) sont nerveux très nerveux meme et limité dans leur facon de penser! sans offencer les algeriens je pense que sa vien de chez eux tous sa! pke la culture algérienne a deborder sur ces villes la a l’epoque ou les frontieres etaient ouvertes! on retrouve ce comportement chez la plupart des algeriens. j’espere qu’un jour sa changera mais apparament sa les gènes pas d’etre aussi agressif ils doivent avoir sa dans le sang! je tenais a preciser que moi mème je suis oujdiya!

    #208192

    En réponse à : vive les berkanais

    Anonymous
    Membre

    Ecoute BGHAL d’oujdi, le médecin que j’ai consulté, il bosse chez ses maitres berkanais à berkane, tu n’as pas répondu à la question si le médecin oujdi est bon, alors moi ok, si lui pas bon alors moi je veux bien me soigner, mais cela veut dire que ta ville a produit des médecins tocards.

    Compris

    Devinette: Pourquoi on appelle le poste frontière entre oujda et maghnia: Zouj BGHAL(qui parle comme les algériens, les oujdis, qui rêve d’épouser une algérienne, un oujdi bien sur).

    Quand tu dis allah yahdik à moi, tu ne dois pas me dire qui t’a violé si vraiment tu étais un trés bon musulman, mais bon t’es oujdi et cela est bien suffisant.

    Bouras est le berkanais qui va destroy les oujdis et les rendre ridicules
    Fini les blagues sur les berkanais qui vous nourissent ya koum joua

    #208034
    Anonymous
    Membre

    Je m excuse de vous dire que votre sujet pourra vous créer bcp de problèmes envers toi même avant même qu ils soit avec les autres, premièrement car le fait de dire est ce que nous sommes des marocains ou des algériens, vous n avez pas de confiance en toi et en votre entité ou votre patrie, tu ne sais même pas qui tu es, et deuxièmement vous touchez les fondements sur lesquelles chaque ville et plus particulièrement votre ville d oujda était crée, il faut jamais dire que nous étions oubliés par le Maroc, car si vous posez une question a une personne algérienne qui habite juste a coté des frontière la même question il va vous répondre ta même réponse et vous dire c est normale que nous parlons comme les marocains car nous étions influences par la culture marocaine et pour lui le Maroc n est rien d autre que les oujdi et donc ta vision et sa vision des choses est très limitée, je vais vous donner juste un petit exemple si je vous dis que les personnes qui habitent bnidrare sont fortes, parlent fort et se stresses rapidement et qui sont très autoritaires envers leurs femmes est ce que ça vous dire pour toi que chaque fois que je trouve une personne qui possède les mêmes caractères, elle appartienne nécessairement à la région de bnidrare bien sur que non, donc il n existe pas dans ce monde un seul lieu la ou il y avait pas une évolution des culture, et tu sais c est quoi la différence entre un âne et un homme c est que le premier n a pas pu transmettre ses connaissance et sa culture a sa descendance. Au contre de l homme. Et si les personnes d oujda sont comme ça c est parce qu il y avait pour eux un cumule des cultures depuis longtemps, donc comme conclusion il faut jamais préjuger ton existence et l existence des autres par votre observation limitée.

    #201103
    TOUH
    Membre

    A PROPOS DE L’OUVERTURE DES FRONTIERES AVEC L’ALGERIE:JE DIRAI QU’IL FAUT APPELER UN CHAT UN CHAT.LA MAJORITE DES ALGERIENS ET JE SAIS DE QUOI JE PARLE N’ONT JAMAIS EU LE MOINDRE GRAIN DE SYMPATHIE POUR NOUS.LES FEMMES ALGERIENNES MARIEES A DES MAROCAINS SONT CONTINUELLEMENT CRITIQUEES VOIR INSULTEES!NOS VOISINS ONT HERITE D’UNE MENTALITE QUI SE RESUME DANS L’EGOISME LA TETE DURE ET L’AMOUR DE SOI!CES GENS AIMENT REGARDER LES AUTRES D’EN HAUT ILS SONT AVEUGLEMENT JALOUX DE TOUS CEUX QUI LES DEPASSENT DANS N’IMPORTE QUEL DOMAINE.CES VRAI QUE DES CALCULS POLITIQUES DES ENJEUX ECONOMIQUES INCITENT LES UNS ET LES AUTRES A UN CERTAIN ENGOUEMENT POUR DES RELATIONS AVEC CE PAYS VOISIN MOI JE SERAI PLUTOT POUR UNE REORIENTATION VERS D’AUTRES OPPORTUNITES ET DE NE PLUS ACCORDER TANT D’IMPORTANCE A CETTE QUESTION DE FRONTIERES…D’AUTRES RAISONS ET NON DES MOINDRES CONFORTENT MES PROPOS IL S’AGIT DE LA SECURITE DE NOUS TOUS TEMOIN L’ARTICLE DE PRESSE ALGERIENNE SUIVANT:LE MOIS DE RAMADN
    EST MARQUE A CONSTANTINE PAR UNE RECRUDESCENCE INQUIETANTE DE LA VIOLENCE(VOLS ET AGRESSIONS)?ET CELA PRATIQUEMENT AU NIVEAU DES QUATRES COINS DE LA CAPITALE DE L’EST.LES SIEGES DE LA SURETE DE DAIRA ONT,A CET EFFET,ENREGISTRE PLUS DE 200 PLAINTES POUR AGRESSIONS ET VOLS.CES DELITS ONT ETE COMMIS POUR LA PLUPART EN PLEIN JOUR,SELON UNE SOURCE SECURITAIRE QUI AFFIRME QUE CE CHIFFRE EST INSIGNIFIANT PAR RAPPORT AUX FORFAITS NON SIGNALES AUX SERVICES DE SECURITE.<>DE LEUR COTE ,LES SERVICES DES URGENCES AU NIVEAU DES DIFFERENTS HOPITEAUX DE LA VILLE RECOIVENT QUOTIDIENNEMENT EN MOYENNE UNE DIZAINE DE PERSONNES VICTIMES D’AGRESSIONS A L’ARME BLANCHE……SELON LE JEUNE INDEPENDANT

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