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Suite au message posté ici : documentaires-f28/topic-t3198.html et à la diffusion de ce film, j’ouvre le débat.
En effet, France 2 a diffusé mardi 27 janvier 2009 et mardi 3 février 2009, les deux volets du téléfilm réalisé par Jeand-Daniel Verghaeghe : » L’Abolition.
Je vous rappel le conexte :
La première partie du téléfilm de France 2 se concentre sur la façon dont un avocat d’affaires est devenu un ardent militant de l’abolition au point d’incarner à lui seul le combat, à la suite du procès pour meurtre de deux détenus de la prison de Clairvaux. Convaincu que seul l’un des deux accusés est coupable du meurtre, Badinter s’engage à sauver la tête de son client – « on ne tue pas celui qui n’a pas tué ». A l’issue d’un procès haineux et mouvementé, les deux accusés sont reconnus coupables et condamnés à mort. Ils sont guillotinés en 1972.La deuxième partie, partant de ce fait fondateur pour Badinter, retrace son combat acharné jusqu’à l’élection de François Mitterrand et l’abolition de la peine de mort en France. Combat loin d’être gagné d’avance, la peine de mort, fondée sur les instincts primaires de l’être humain, ayant longtemps été approuvée par une majorité de la population. Badinter estime que son abolition relève d’une « victoire morale de l’homme sur lui-même ».
Incarné par Charles Berling dans la fiction, Robert Badinter estimait qu’il était temps d’adapter son récit car l’abolition, désormais enracinée dans notre culture, appartient maintenant à l’histoire, et se trouve donc menacée d’oubli.
Une petite leçon d’histoire et de morale a donc été mise en avant concernant la peine de mort.
Alors, maintenant, c’est à vous lwaghech. 😀
Etes-vous pour ou contre la peine de mort ? (religieusement, philosophiquement, morallement…Je demanderai à tout ceux et celles qui trouveraient un prétexte à ce sujet pour balancer des trucs débiles, voire même qui n’ont rien à voir avec le sujet, de s’abstenir, s’il vous plait.
Motivons nos réponses, et allons vers l’essentiel.A vous. ➡
Un style musical tres noble et unique, qui a gardé ses racines a Oujda jusqu a mnt,,, generation apres generation,,
C’est la musique arabo-andalouse. C’est une pure création culturelle. Elle se résout et se dissout dans l’histoire, dans les belles lettres, dans la civilisation de tout le Maghreb. C’est toute sa structure qui remonte très loin dans l’histoire.
La musiqua abdalousiyya (Gharnatie), comme son nom l’indique est considérée comme un héritage arabe existant au Maghreb ; cette musique s’est organisée progressivement au début du siècle passé et la ville d’Oujda était tenue, à cette époque, pour le berceau de cette expression artistique puisque le professeur Mohammed Ben Samïl fonda alors (en 1921) en compagnie de Si Rahal Mohammed, la société de musique de chambre l’Andaloussia ou Al-Jam’iyya al-andalusiyya, première association du genre au Maroc.
Essentiellement mélodique et modale, la musique gharnathie(de Grenade) conserve une tradition orale, authentique.

L’Association Oujdie: ( AL-ANDALOUSIA ) en 1934…….
La musique gharnatie est une musique traditionnelle louant tes vertus de
l’amour, de la nature et de Dieu. Elle fut créée aux derniers siècles de
l’Andalousie musulmane. »il existe mnt a Oujda une Association Culturelle De La Musique Gharnatie , orchestre par Nassredine Chaabane le fils de Le Cheikh Mohamed Salah Chaabane

Le Cheikh Mohamed Salah Chaabane est né à Oujda en 1911.Très jeune, il fréquenta le monde de la musique traditionnelle dans différentes villes du Royaume (Taza, Fès, Rabat) ainsi qu’en Algérie (Tlemcen, Oran …).Son mariage avec la cousine de Abdelkrim Dali et Larbi Benasri, tous deux grands maîtres de musique gharnatie, va lui permettre un échange permanent avec différent cheikh algériens.
Reconnu par ses pairs, il reçut à son tour le titre de cheikh et entreprit la transmission de cet art traditionnel. Il forma plusieurs générations de musiciens et interprètes. Il excella dans un style qui lui était propre dit le « gharbi » ou le « malhoun oujdi ». Ses nombreuses compositions sont aujourd’hui méconnues du grand public aussi notre association tentera-t-elle de les faire découvrir prochainement.
Cheikh Salah et décédé en 1973 laissant à ses enfants la lourde charge de transmettre un patrimoine précieux. C’est ainsi que Si Mohamed et Nassreddine Chaabane ont pris le flambeau.
En restant fidèle à la mémoire de son père, Nessreddine Chaabane, prend en charge des élèves de plus en plus jeunes, créant une pépinière de laquelle émergeront peut-être les maîtres de demain.
1969 – Cheikh Salah en compagnie des grands maîtres de la musique
Gharnatie d’Oujda
Cheikh BOUCHNAK Benyounes / Cheikh KERZAZI Brahim / Cheikh HACHAMI / ZEMMOURI /
CHADLI / BENATTIA / CHAABANE Sidi Mohamed au piano et dans la 3ème rangée de bas
en haut, le 4ème à partir de la gauche : OUSTAD Nasreddine CHAABANE
Tantaoui(5ème de dr.à g./premier rang) et son association « Mawssiliyya » dans les jardins de Bab El-Gharbi,derrière les remparts mérinides/juin 2008

C’est une autre génération de l’association SALAM(paix).Les pères avaient fondé l’association en 1946:Cheikh Brahim Kerzazi…Werrad Boumdine…..Zerhouni….Zemmouri…Mehdi….Bouchnaq….Ben-Atiyya…Hachami…..Cheikh Saleh Chaâbane…Ghouti Achachi…Alaoui et autres.Et voilà le tour des fils ou petits-fils/juin 2008
Hakiki de Tlemcen/Oran à Oujda/juin 2008
Violoncelle, grand instrument de musique de tessiture basse de la famille du violon, tenu entre les genoux du violoncelliste. Il a quatre cordes accordées selon le schéma do sol ré la (do = deux octaves en dessous du do naturel ; la = la en dessous du do naturel). Sa tessiture s’étend sur plus de quatre octaves. Les deux violoncelles les plus anciens qui existent datent des années 1560 et furent fabriqués par le luthier italien Andrea Amati. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, le violoncelle était d’abord un instrument d’accompagnement qui jouait les lignes de basse et remplissait des structures musicales

a suivre…
tout d’abord je dedie cette nouvelle a tout qui ont lu mon histoire avec la schizo!:!! est surouuuuuttttttttttt pour toi touria!!!!
imagine ce qui c’est passé!!!!!
elle m’a appelé aprés une longue abssence! elle m’a demandé ou j’était e si he suis disponible; je lui répondu que je suis au boulot, elle m’a dis qu’elle va venir passer me prendre , car elle m’invite a dejeuner.
elle est venu avec sa voiture qu’elle a acheté dernierement, « megane doublvi ce que veut dire jdida » (y’a qui vont dire mais pourquoi il la decrit! !baghu ybane? mais aprés voir lu l’article jusqu’a sa fin il vont comprendre).
elle est passé au boulot , je suis aller avec elle manger dans un restau « dyal nass high class, donc labass aliha » elle m’a donné de ses nouvelles, qu’elle bosse dans une grande société a agadir comme chef d’enqueteurs marketing et qu’elle touche 10000 dh comme salaire mensuelle, et qu’elle pense toujours a moi, et qu’elle m’adord, et qu’elle va s’eloigner du vin, de la cigarette est tout!
elle m’a dit qu’elle va aller passer 3 jours a casa parcequ’elle est en deplacement et qu’elle veux la passer dans un grand hotel.
moi je lui ai dis tu peux la passer chez moi si tu veux! et rassure toi y’aura aucune chose « hram » entre nous! et que j’habite seul et ca sera me fera plaisir de l’inviter.
les 2 premiers jour on dejeunait et dinait ailleur et on entrais , elle a pris ma chambre a coucher, moi je me suis endormi dans l’autre chambre.
le 2eme jour avans de m’endormir j’ai cherché mon mp3 dans le tiroir de mon placard dans lequel je le gardait toujours! est imaginez la grande surprise!!! j’ai rien trouvé!!!! je me suis dis soit que c’est moi qui l’a perdu soit que quelqu’un que j’avais invité auparavans l’a pris! j’vfais douté d’un ami lointaint!! mais jamais j’ai douté d’elle. « tkhayal chi had labass alihe we makhassou khir bayete andak » we sbah l9ite 200 dh makaynach? ghadi tchak fihe? impossible!! « »
je me suis dis c’es pas grave car vraiment ca ne coute que 250 dh!!! c’est rien!:! si seulement il me l’a demandé je le lui aurais donné avec plaisir!!
le soir on était entrain de regarder la tv! je lui ai demandé « pourquoi tu met pas « sbagha dyal dfar » sur tes ongles!! imaginez ce qu’elle m’a dis « parceque mine kanatwada khas al ma yawssal dfar! rah 3la dak chi »
elle est schizo!:! mais soyont raisonable!! jamais je n’aurais douté d’elle! car elle fait la priere des retour a la maison!!
le plus important de ses trois jours c’est le dernier! on etait entrain de voir uin film! elle m’a demandé s’il te plais prend la clé de la voiture et ouvre le coffre tu va trouver mon sac ramene le moi s’il te plais! j’y sus allé avec plaisir! mais voila le desastre! quand je suis revenu! elle m’a demandée d’aller enssemble prendre un café et diner dehors car elle doit aller de bonheur le lendemain! je lui ai dis ok! elle m’a dis bon je vais changer mes habits!!
elle est entré dans la chambre! elle a changé:! je suis entré juste pour prendre mon carnet de cheque! soudain! un tiroir ouvert a attiré mon attention! normalement ce tiroir contenait « ma montre, une smme de 400 dh, et un ptit cadeau que ma mere m’avait offerte! j’ai rien dis! je lui ai demandé d’aller ramener la voiture prés de la porte car j’ai besoin de me changer! elle est sortie! est puisque j’ai comme principe « inna ba3da ddanni ithme » j’ai essayé de chercher même si j’etait sur que c’etait elle!
j’ai rien trouvé: je suis decendu en pijama, elle m’a demandé!! mais tu sort pas? je lui ai dis non! monte dans la voiture!
elle: quoi?
moi: tu monte dans la voiture et tu ferme la porte!
elle: tu veux quoi? pouquoi t’est enervé?
moi: t’a volée des choses pas precieuses! c’est domage!!! tu me donne mes truc « daba »
elle: mais t’est fou ou quoi? moi je vole!! moi je t’achete et j’achete toute casa ! et tu me dis que je suis voleuse?
elle a ouvert la porte est a commencé a crier! quand j’ai vu les gents venir voir ce qui ce passe! je lui ai dis!! monte mais t’est stupide ou quoi? je rigole!! elle est monté! on s’est eloigné un peu de la maison!
moi: arrete le moteur.
elle: quoi?
moi: t’est une voleuse!! est t’est malade va voir un psycho.
elle: t’est fou c’est toii le malade!! moi te voler!!! mais t’est bête ou quoi?
moi: on dis toujorus que je suis naif! mais domage suis pas stupide!!
elle a voulu crier et faire le scandale! je lui ai demander d’aller car je veux pas la voir, elle a démarée.
quand je suis revenu a la maison je l’ai appelé:
mi: allo
elle: oui
moi: regarde, ecoute ce que je dis et tout doucement et calmement! sans t’enerver et faire la comedie hysterique!! t’est une voleuse! tu m’a volé une montre, un mp3, 400 dh et un cadeau de ma mere! ce qui est le plus importrant c’est le cadeau de ma mere! mais quand même si tu calcule ce que t’a pris c’est : 2000 dh! mais faut savoir que si tu m’avait demandé de te la donner! je t’aurais donner 5000 pas 2000! mais comme c’est domage! une fille de ton type qui vole?
elle a voulu parler mais je lui répondu froidement:
moi: kimma kaygolo andena fe oujda ngoulek akhir kelma! madorich be jarti! j’ai coupépour ceux qui ont lu l’histoire!!!
une fille qui fait sa priere, qui a un beau avenir, qui a une famille riche, qui a une megane doublvi!! pourquoi elle vole ?
est ce que j’avais raison dans ce que je lui ai dis?
est ce que j’avais tord ?je suis enervé car j’ai étais stupide!!!!!!!
mes dents se grincent!!!!!tout d’abord je vous explique la raison pour laquelle j’ai créer ce sujet de discution! tout d’abord parceque je l’ai vécu en temp réel quand j’ai rencontré une fille ateinte de cette maladie et qui souffre actuelement! « pour savoir son histoire vous pouvez lire « Rencontre avec une schizophrène , il y’a 4 chapitres c’est sur « café oujdacity même ». deuxiemement car j’ai un ami qui m’est vraiment important car c’était mon ami intime dans l’enfance est qui est atteint aussi de cette maladie et c’est domage que seulement aprés 5ans de souffrance que ses parentsont su qu’il est ateint de schizophrènie!!.
iwa rah l’article twil sabrou m3ana we 9raweh ghadi yacherahelkom bezaf dyal lehwayej li kanou jayinkom bizzare!!
ngolkom haja oukhra « al mardi nafssani machi hbil wa inama marid nafssani » donc je vous ai donné cet article pour vous expliquer le tout sur cette maladie et vous corriger les fausses idées.bonne lecture:
Sortir la schizophrénie de l’ombre:
que cache réellement ce nom inquiétant ? Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? je vous fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.
Reconnaître les signes:
La schizophrénie débute généralement à l’adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées… Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu’il ne s’installe. Découvrez les symptômes de cette maladie.
Il n’y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :
. L’âge de début, entre 15 et 35 ans ;
. La diminution de l’élan vital ;
. La dissociation mentale ou la discordance : c’est une rupture de l’unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d’une charge émotionnelle ;
. Une inhibition de l’activité mentale (perte d’intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.La schizophrénie peut débuter de manière très différente d’une personne à l’autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des « états schizoïdes » qui permettent encore à l’individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L’entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une « crise d’adolescence ».
Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n’a plus d’élans affectifs, il s’isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.
Il arrive que l’adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu’il s’attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se « rassembler ». Mais il apporte dans cette foi une confusion d’esprit ou un rationalisme systématique jusqu’à l’absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.
Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s’installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l’impression d’être dédoublés.
Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n’achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d’une marionnette. Il croit qu’on lui dérobe sa pensée, qu’il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.Quelles sont les causes ?
La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L’origine du trouble serait donc multifactorielle.Quels sont les traitements ?
Il est souvent nécessaire d’hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d’aider le schizophrène.Reconnaître la schizophrénie
Comme de nombreux troubles mentaux, la schizophrénie est une maladie difficile à identifier. C’est souvent à l’entourage de reconnaître le trouble et d’en parler. Mais de nombreuses idées reçues circulent sur les signes et les manifestations de ce problème. Doctissimo fait le point sur les symptômes d’une maladie très étudiée mais encore mal connue.La schizophrénie est un trouble qui touche l’organisation de la pensée. Ses manifestations sont très diverses. Les principaux symptômes sont les suivants :
Des troubles de la pensée : Les pensées sont désorganisées, incohérentes, inadaptées, accélérés ou ralenties… Le malade ne parvient pas à hiérarchiser l’information et synthétiser ce qu’il veut dire.
Des délires : Les idées délirantes sont le fait que la personne croit des choses fausses. Cela peut revêtir différents aspects : croire que l’on est la réincarnation d’une personne célèbre, que l’on parle aux extraterrestres, que l’on est victime d’un complot… Il est extrêmement difficile de convaincre le schizophrène que ses idées sont fausses.
Des hallucinations : Il existe principalement des hallucinations auditives (entendre des voix ou des sons inexistants). Elles sont présentes chez 2/3 des patients. Mais il peut également y avoir des fausses perceptions au niveau sensoriel (impression d’être touché quand il n’y a personne par exemple), visuel, olfactif ou gustatif.
Des émotions négatives : On rencontre souvent une perte d’intérêt, un manque de volonté, une absence de motivation… Le malade se referme sur lui-même. Il peut y avoir également des émotions qui surviennent de manière inappropriée (rire sans aucune raison ou lors d’un événement dramatique par exemple).
Des troubles du comportement : Le malade peut avoir des moments d’agitation aiguë ou au contraire des états de stupeur. Il va avoir des attitudes ou des mouvements souvent exagérés. Dans les cas de crises aiguës, des agressions mineures et des actes violents peuvent survenir, mais restent rares. Des automutilations peuvent également survenir et le risque de crise suicidaire existe.
Tous les malades n’expriment pas tous ces symptômes, et l’intensité varie selon les personnes. C’est d’ailleurs pourquoi on parle de schizophrénies au pluriel.
De nombreuses idées fausses
De nombreuses idées reçues circulent sur la schizophrénie. Ainsi, on croit souvent que les malades souffrent tous d’un dédoublement de la personnalité. Or ce n’est généralement pas le cas. Il est également courant de penser que le schizophrène est violent et peut devenir dangereux pour son entourage. Pourtant, les problèmes d’agressivité surviennent rarement, et uniquement lors de crises aiguës. En outre, il est important de ne pas oublier que la schizophrénie reste une maladie, qui nécessite à ce titre une prise en charge médicale, et que la seule volonté du patient ou son changement d’environnement ne suffiront pas à résoudre les troubles.ECOUTER VOS PROCHES OU VOS AMIS ATEINTs DE CETTE MALADIE:
Quelques conseils pour l’entourage
Quelle attitude adopter avec une personne schizophrène ? Comment gérer la prise des médicaments ? Que faire en cas de crise ? Autant de questions auxquelles les proches des malades sont régulièrement confrontés. Doctissimo vous aide au quotidien.La famille et l’entourage représentent souvent le principal soutien des personnes schizophrènes. Ils jouent un rôle important pour aider le patient dans sa vie quotidienne. Mais ils doivent aussi savoir repérer les signes avant-coureurs d’une rechute et pouvoir faire face à des épisodes aigus.
Créer un environnement stable
L’attitude à adopter dépend du stade de la maladie et de l’état d’angoisse ou d’agitation de la personne. Lors des poussées, il est important d’assurer l’environnement le plus stable possible au schizophrène. Les disputes ou conversations trop animées doivent être évitées en sa présence. Au contraire il faut s’adresser à lui calmement et avec des mots simples, des phrases courtes, en expliquant simplement ce que l’on fait ou ce que l’on va faire.Il est indispensable d’essayer d’établir quelques règles concernant par exemple l’hygiène ou les cigarettes, et d’essayer de rythmer la journée par des activités routinières (toilette, repas, promenades…).
Discuter sans imposer
Ces règles faciliteront la vie en famille et aideront le malade à se structurer. Si ces consignes ne sont pas respectées, il faut les rappeler et essayer de discuter avec la personne de la manière dont elle préférerait que les choses soient organisées, sans le critiquer, ni lui donner le sentiment de lui imposer des actes. La préférence doit être donnée aux encouragements, plutôt qu’aux remontrances. Enfin il faut éviter des sollicitations excessives, par exemple, ne pas insister pour un repas au restaurant ou avec des invités, et lui laisser toujours une possibilité de se retirer au calme. Progressivement il sera possible d’encourager la participation aux activités quotidiennes de la maison ou aux loisirs et d’aider la personne à retrouver une certaine autonomie.A ce stade la vigilance s’impose encore. Il faut lui exposer clairement les risques de l’alcool, de la drogue et de la conduite automobile sous traitement et repérer des signes de dégradation qui pourraient suivre un abandon du traitement.
Rester à l’écoute
L’entourage joue un rôle important dans le respect des prescriptions et des rendez-vous médicaux. Si une autre personne, au domicile, prend un traitement, il peut être utile d’instaurer un moment en commun pour la prise des médicaments, afin de diminuer les risques d’oubli ou de négligence. Il est essentiel de rester toujours à l’écoute des plaintes de la personne schizophrène, de ne pas nier ni minimiser ses peurs ou ses doléances. Les effets secondaires des médicaments peuvent être pénibles. Certains sont transitoires, disparaissant après quelques jours de traitement, d’autres peuvent être corrigés par des médicaments ou doivent conduire à modifier le traitement. Enfin s’il faut s’efforcer de convaincre le malade de prendre ses médicaments, il ne sert à rien de le lui ressasser et il ne faut surtout pas essayer de l’obliger à les prendre, ni lui administrer à son insu.Que faire en cas de crise ?
Lors d’un épisode aigu, le schizophrène est souvent agité, angoissé, en proie à des hallucinations ou à des idées délirantes. Il faut tout faire pour éviter de l’effrayer davantage. Ainsi est-il préférable d’être seul auprès de lui, même si des personnes sont dans une pièce voisine, et d’essayer de le rassurer en lui parlant doucement de la manière la plus normale possible. Mieux vaut ne pas le toucher, le fixer des yeux ou être trop proche de lui, ni barrer les issues, pour éviter qu’il ne se sente menacé et pour vous protéger vous-même. Il faut lui témoigner de l’empathie en lui demandant ce qui ne va pas ou en commentant ce qu’il ressent (« Tu as peur ? »), sans multiplier les questions ou lui faire de discours. Les formules les plus simples, répétées de manière identique, risquent moins de le déstabiliser. Il faut tenter ensuite de le convaincre d’aller à l’hôpital ou dans un centre d’accueil et de crises (ouvert 24 h sur 24), ce qui n’est pas toujours facile. Tout sera plus simple si vous vous êtes renseigné auparavant auprès des médecins sur la conduite à tenir et les structures d’accueil proches de chez vous.A qui demander de l’aide en cas de crise ?
Cependant il n’existe pas de recette miracle face à ces crises, très impressionnantes pour l’entourage, qui se trouve souvent particulièrement seul dans ces moments. Obtenir la visite d’un psychiatre à domicile est, en règle générale, impossible. Les pompiers, voire le SAMU, accepteront rarement de se déplacer pour ces personnes agitées. Le médecin traitant ou une autre personne avec qui le malade a une relation de confiance pourront être d’une aide précieuse. Mais la police est parfois le seul recours lorsque aucune communication n’est possible et que la personne est violente. C’est une solution traumatisante, à n’utiliser que dans les cas extrêmes. Eventuellement il faudra réaliser une hospitalisation à la demande d’un tiers (si le malade a besoin de soins et n’est pas en état de donner son consentement) ou une hospitalisation d’office ( en cas de danger pour l’ordre public ou les personnes). Les services dits « de secteur psychiatrique », c’est-à-dire accueillant principalement les patients habitant dans un secteur géographique donné, sont susceptibles de recevoir à tout moment ces patients en crise.Déceler les signes de récidive
Des modifications du comportement doivent alerter sur la possibilité d’une récidive et conduire à demander rapidement un avis médical. Il s’agit souvent des mêmes signes qui ont marqué le début de la maladie : repli sur soi, insomnie, hallucinations, pensée incohérente, laissé-aller… Il est important de veiller à ces signes et d’expliquer au malade qu’ils doivent le conduire à consulter rapidement pour adapter le traitement.D’une manière générale, c’est par le fruit de sa propre expérience, en tâtonnant et en s’adaptant constamment à l’état de la personne schizophrène, que l’on finit par trouver l’attitude la plus adaptée. Cependant il est important de pouvoir bénéficier de l’expérience d’autres soignants et on peut regretter, à ce propos, le manque de soutien et de formation pour les familles.
khokom fe lah nizar
alakhotes harakom 3raftou wachta hiya cette maladie!! li ya3raf chi had mrid biha Y3awnou!!!
CETTE SERIE DE NOUVELLES A ETE ECRITE IL Y PLUS DE DIX ANS.J’AIMERAIS BIEN LES PUBLIER UNE A UNE DANS OUJDA-CITY.CE SONT DES HISTOIRES DROLES SUR UN PERSONNAGE QUE J’AI NOMME JELLOUL.IL Y A ENVIRONS 20 RECITS .
JE VOUS PROPOSE:LE LAPIN CHANCEUX TOUT EN VOUS SOUHAITANT BONNE LECTURE ET DES MOMENTS AGREABLES.
PS:SURTOUT N’HESITEZ PAS A VOUS ECLATER DE RIRE:hahahaaahaa…JELLOUL A UNE DISTRACTION FAVORITE:LA CHASSE.CHAQUE DIMANCHE,IL VA A LA FORET POUR CHASSER,MAIS IL REVIENT CHAQUE FOIS BREDOUILLE.
A VRAI DIRE,JELLOUL NE SAIT PAS MANIER UN FUSIL,QUOIQU’IL A TOUTES LES CHANCES DEVANT LUI POUR RAPPORTER BEAUCOUP DE GIBIER.IL SUFFIT QU’IL TIRE A VUE D’AIR ,AUSSITOT,UNE PERDRIX UN CERF OU UN LIEVRE S’ECROULERA DEVANT LUI.
TENEZ LA DERNIERE FOIS ,IL A VU UNE PERDRIX PERCHEE SUR UN ARBRE .IL A VISE PUIS IL A TIRE:PAN..PAN! POURTANT QUAND LE COUP EST PARTI,IL A FAILLI BLESSER UN CHASSEUR.
PAS LA PEINE DE VOUS DIRE QU’IL EST LA RISEE DES VILLAGEOIS.ON NE CESSE DE SE MOQUER DE LUI:GRANDS ET PETITS.NEANMOINS,JELLOUL EST DE MARBRE:IL NE SE MET PAS EN COLERE;IL NE SE FACHE PAS ,MAIS IL SOURIT.
IL FINIT QUAND MEME PAR AVOIR MARRE DE CES PLAISANTERIES.ALORS,UN JOUR,IL DECIDE DE LEUR MONTRER DE QUEL BOIS IL SE CHAUFFE.
UN DIMANCHE,IL SE LEVE DE BONNE HEURE.IL PASSE PAR UNE FERME ET ACHETE A UNE VIEILLE FEMME UN GROS LAPIN QU’IL EMPORTE AVEC LUI EN FORET.
ARRIVE SUR LES LIEUX,IL ATTACHE LE LAPIN A L’AIDE D’UNE CORDE A UN ARBRE.IL S’ELOIGNE DE L’ANIMAL DE QUELQUES METRES,PUIS LE VISE ET TIRE.
A SA GRANDE SURPRISE,LE LAPIN PREND LE LARGE.
JELLOUL VIENT DE CASSER LA CORDE PAR LES COUPS DE FUSIL.
UNE FOIS DE PLUS NOTRE CHASSEUR REVIENT BREDOUILLE[ Ajouter un commentaire ]