LA SCHIZOPHRENIE MALADIE …………..

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    nizarovicia
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    tout d’abord je vous explique la raison pour laquelle j’ai créer ce sujet de discution! tout d’abord parceque je l’ai vécu en temp réel quand j’ai rencontré une fille ateinte de cette maladie et qui souffre actuelement! « pour savoir son histoire vous pouvez lire « Rencontre avec une schizophrène , il y’a 4 chapitres c’est sur « café oujdacity même ». deuxiemement car j’ai un ami qui m’est vraiment important car c’était mon ami intime dans l’enfance est qui est atteint aussi de cette maladie et c’est domage que seulement aprés 5ans de souffrance que ses parentsont su qu’il est ateint de schizophrènie!!.

    iwa rah l’article twil sabrou m3ana we 9raweh ghadi yacherahelkom bezaf dyal lehwayej li kanou jayinkom bizzare!!
    ngolkom haja oukhra « al mardi nafssani machi hbil wa inama marid nafssani » donc je vous ai donné cet article pour vous expliquer le tout sur cette maladie et vous corriger les fausses idées.

    bonne lecture:

    Sortir la schizophrénie de l’ombre:

    que cache réellement ce nom inquiétant ? Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? je vous fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.

    Reconnaître les signes:

    La schizophrénie débute généralement à l’adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées… Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu’il ne s’installe. Découvrez les symptômes de cette maladie.

    Il n’y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :

    . L’âge de début, entre 15 et 35 ans ;
    . La diminution de l’élan vital ;
    . La dissociation mentale ou la discordance : c’est une rupture de l’unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d’une charge émotionnelle ;
    . Une inhibition de l’activité mentale (perte d’intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.

    La schizophrénie peut débuter de manière très différente d’une personne à l’autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des « états schizoïdes » qui permettent encore à l’individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L’entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une « crise d’adolescence ».

    Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n’a plus d’élans affectifs, il s’isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.

    Il arrive que l’adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu’il s’attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se « rassembler ». Mais il apporte dans cette foi une confusion d’esprit ou un rationalisme systématique jusqu’à l’absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.

    Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s’installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l’impression d’être dédoublés.
    Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n’achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d’une marionnette. Il croit qu’on lui dérobe sa pensée, qu’il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.

    Quelles sont les causes ?
    La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L’origine du trouble serait donc multifactorielle.

    Quels sont les traitements ?
    Il est souvent nécessaire d’hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d’aider le schizophrène.

    Reconnaître la schizophrénie
    Comme de nombreux troubles mentaux, la schizophrénie est une maladie difficile à identifier. C’est souvent à l’entourage de reconnaître le trouble et d’en parler. Mais de nombreuses idées reçues circulent sur les signes et les manifestations de ce problème. Doctissimo fait le point sur les symptômes d’une maladie très étudiée mais encore mal connue.

    La schizophrénie est un trouble qui touche l’organisation de la pensée. Ses manifestations sont très diverses. Les principaux symptômes sont les suivants :

    Des troubles de la pensée : Les pensées sont désorganisées, incohérentes, inadaptées, accélérés ou ralenties… Le malade ne parvient pas à hiérarchiser l’information et synthétiser ce qu’il veut dire.

    Des délires : Les idées délirantes sont le fait que la personne croit des choses fausses. Cela peut revêtir différents aspects : croire que l’on est la réincarnation d’une personne célèbre, que l’on parle aux extraterrestres, que l’on est victime d’un complot… Il est extrêmement difficile de convaincre le schizophrène que ses idées sont fausses.

    Des hallucinations : Il existe principalement des hallucinations auditives (entendre des voix ou des sons inexistants). Elles sont présentes chez 2/3 des patients. Mais il peut également y avoir des fausses perceptions au niveau sensoriel (impression d’être touché quand il n’y a personne par exemple), visuel, olfactif ou gustatif.

    Des émotions négatives : On rencontre souvent une perte d’intérêt, un manque de volonté, une absence de motivation… Le malade se referme sur lui-même. Il peut y avoir également des émotions qui surviennent de manière inappropriée (rire sans aucune raison ou lors d’un événement dramatique par exemple).

    Des troubles du comportement : Le malade peut avoir des moments d’agitation aiguë ou au contraire des états de stupeur. Il va avoir des attitudes ou des mouvements souvent exagérés. Dans les cas de crises aiguës, des agressions mineures et des actes violents peuvent survenir, mais restent rares. Des automutilations peuvent également survenir et le risque de crise suicidaire existe.

    Tous les malades n’expriment pas tous ces symptômes, et l’intensité varie selon les personnes. C’est d’ailleurs pourquoi on parle de schizophrénies au pluriel.

    De nombreuses idées fausses
    De nombreuses idées reçues circulent sur la schizophrénie. Ainsi, on croit souvent que les malades souffrent tous d’un dédoublement de la personnalité. Or ce n’est généralement pas le cas. Il est également courant de penser que le schizophrène est violent et peut devenir dangereux pour son entourage. Pourtant, les problèmes d’agressivité surviennent rarement, et uniquement lors de crises aiguës. En outre, il est important de ne pas oublier que la schizophrénie reste une maladie, qui nécessite à ce titre une prise en charge médicale, et que la seule volonté du patient ou son changement d’environnement ne suffiront pas à résoudre les troubles.

    ECOUTER VOS PROCHES OU VOS AMIS ATEINTs DE CETTE MALADIE:

    Quelques conseils pour l’entourage
    Quelle attitude adopter avec une personne schizophrène ? Comment gérer la prise des médicaments ? Que faire en cas de crise ? Autant de questions auxquelles les proches des malades sont régulièrement confrontés. Doctissimo vous aide au quotidien.

    La famille et l’entourage représentent souvent le principal soutien des personnes schizophrènes. Ils jouent un rôle important pour aider le patient dans sa vie quotidienne. Mais ils doivent aussi savoir repérer les signes avant-coureurs d’une rechute et pouvoir faire face à des épisodes aigus.

    Créer un environnement stable
    L’attitude à adopter dépend du stade de la maladie et de l’état d’angoisse ou d’agitation de la personne. Lors des poussées, il est important d’assurer l’environnement le plus stable possible au schizophrène. Les disputes ou conversations trop animées doivent être évitées en sa présence. Au contraire il faut s’adresser à lui calmement et avec des mots simples, des phrases courtes, en expliquant simplement ce que l’on fait ou ce que l’on va faire.

    Il est indispensable d’essayer d’établir quelques règles concernant par exemple l’hygiène ou les cigarettes, et d’essayer de rythmer la journée par des activités routinières (toilette, repas, promenades…).

    Discuter sans imposer
    Ces règles faciliteront la vie en famille et aideront le malade à se structurer. Si ces consignes ne sont pas respectées, il faut les rappeler et essayer de discuter avec la personne de la manière dont elle préférerait que les choses soient organisées, sans le critiquer, ni lui donner le sentiment de lui imposer des actes. La préférence doit être donnée aux encouragements, plutôt qu’aux remontrances. Enfin il faut éviter des sollicitations excessives, par exemple, ne pas insister pour un repas au restaurant ou avec des invités, et lui laisser toujours une possibilité de se retirer au calme. Progressivement il sera possible d’encourager la participation aux activités quotidiennes de la maison ou aux loisirs et d’aider la personne à retrouver une certaine autonomie.

    A ce stade la vigilance s’impose encore. Il faut lui exposer clairement les risques de l’alcool, de la drogue et de la conduite automobile sous traitement et repérer des signes de dégradation qui pourraient suivre un abandon du traitement.

    Rester à l’écoute
    L’entourage joue un rôle important dans le respect des prescriptions et des rendez-vous médicaux. Si une autre personne, au domicile, prend un traitement, il peut être utile d’instaurer un moment en commun pour la prise des médicaments, afin de diminuer les risques d’oubli ou de négligence. Il est essentiel de rester toujours à l’écoute des plaintes de la personne schizophrène, de ne pas nier ni minimiser ses peurs ou ses doléances. Les effets secondaires des médicaments peuvent être pénibles. Certains sont transitoires, disparaissant après quelques jours de traitement, d’autres peuvent être corrigés par des médicaments ou doivent conduire à modifier le traitement. Enfin s’il faut s’efforcer de convaincre le malade de prendre ses médicaments, il ne sert à rien de le lui ressasser et il ne faut surtout pas essayer de l’obliger à les prendre, ni lui administrer à son insu.

    Que faire en cas de crise ?
    Lors d’un épisode aigu, le schizophrène est souvent agité, angoissé, en proie à des hallucinations ou à des idées délirantes. Il faut tout faire pour éviter de l’effrayer davantage. Ainsi est-il préférable d’être seul auprès de lui, même si des personnes sont dans une pièce voisine, et d’essayer de le rassurer en lui parlant doucement de la manière la plus normale possible. Mieux vaut ne pas le toucher, le fixer des yeux ou être trop proche de lui, ni barrer les issues, pour éviter qu’il ne se sente menacé et pour vous protéger vous-même. Il faut lui témoigner de l’empathie en lui demandant ce qui ne va pas ou en commentant ce qu’il ressent (« Tu as peur ? »), sans multiplier les questions ou lui faire de discours. Les formules les plus simples, répétées de manière identique, risquent moins de le déstabiliser. Il faut tenter ensuite de le convaincre d’aller à l’hôpital ou dans un centre d’accueil et de crises (ouvert 24 h sur 24), ce qui n’est pas toujours facile. Tout sera plus simple si vous vous êtes renseigné auparavant auprès des médecins sur la conduite à tenir et les structures d’accueil proches de chez vous.

    A qui demander de l’aide en cas de crise ?
    Cependant il n’existe pas de recette miracle face à ces crises, très impressionnantes pour l’entourage, qui se trouve souvent particulièrement seul dans ces moments. Obtenir la visite d’un psychiatre à domicile est, en règle générale, impossible. Les pompiers, voire le SAMU, accepteront rarement de se déplacer pour ces personnes agitées. Le médecin traitant ou une autre personne avec qui le malade a une relation de confiance pourront être d’une aide précieuse. Mais la police est parfois le seul recours lorsque aucune communication n’est possible et que la personne est violente. C’est une solution traumatisante, à n’utiliser que dans les cas extrêmes. Eventuellement il faudra réaliser une hospitalisation à la demande d’un tiers (si le malade a besoin de soins et n’est pas en état de donner son consentement) ou une hospitalisation d’office ( en cas de danger pour l’ordre public ou les personnes). Les services dits « de secteur psychiatrique », c’est-à-dire accueillant principalement les patients habitant dans un secteur géographique donné, sont susceptibles de recevoir à tout moment ces patients en crise.

    Déceler les signes de récidive
    Des modifications du comportement doivent alerter sur la possibilité d’une récidive et conduire à demander rapidement un avis médical. Il s’agit souvent des mêmes signes qui ont marqué le début de la maladie : repli sur soi, insomnie, hallucinations, pensée incohérente, laissé-aller… Il est important de veiller à ces signes et d’expliquer au malade qu’ils doivent le conduire à consulter rapidement pour adapter le traitement.

    D’une manière générale, c’est par le fruit de sa propre expérience, en tâtonnant et en s’adaptant constamment à l’état de la personne schizophrène, que l’on finit par trouver l’attitude la plus adaptée. Cependant il est important de pouvoir bénéficier de l’expérience d’autres soignants et on peut regretter, à ce propos, le manque de soutien et de formation pour les familles.

    khokom fe lah nizar

    alakhotes harakom 3raftou wachta hiya cette maladie!! li ya3raf chi had mrid biha Y3awnou!!!

    #261078
    touria016
    Membre

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