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15 réponses de 16 à 30 (sur un total de 379)
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  • #207002
    dolph
    Membre

    Bonjour à tous,

    j’aimerais attirer l’attention de tous les internautes de ce site sur la grave situation du centre ville de la ville d’Oujda
    j’ai été surpris par le désordre généralisé et l’anarchie de la circulation et mm l’urbanisation de notre belle medina,
    a partir de souk elfellah et jusqu’a bab sidi abdelwahab ou on voit piétons et automobilistes sur les routes alors que les trottoirs sont squatés par les commercants. en plus ils ont contruit une toute nouvelle mosquée petite et pas belle du tout en plein centre centre de la place Sidi abdelouhab (ce n’est vraiment pas sa place) . je lance un crie de secour a tous les lecteurs de ce message pour interpeller les autorités compétentes surtt Mr le Maire Hjira et le Wali (fantome ) dont je connais mm pas le nom tellement il est inactif pour mettre fin a cette masscarade et ce crime contre notre belle medina . la situation du trasport urbain est une autre histoire .

    Bav

    Citoyen

    #279647

    En réponse à : LA CIGALE ET LA FOURMI

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    TEXTE AMUSANT MERCI

    MAIS ,

    VOUS COLPORTEZ A LA FIN DE CETTE HISTOIRE
    UNE CONCLUSION PARTIALE ET RACISTE ( CAFARDS IMMIGRES ).
    UNE DÉRIVE INJUSTE ENVERS LES IMMIGRES ET LEURS APPORTS POSITIFS
    ET UNE MORALITÉ DE FABLE
    POUR LE MOINS XÉNOPHOBE POUR RÉDUIRE LES IMMIGRES
    ET AVEC AMALGAME EN GÉNÉRALISANT
    A UN PEUPLEMENT DÉTESTABLE ET OPPORTUNISTE
    FAIT DE TRAFIQUANTS DE DROGUES ET DE TERRORISTES .

    CE TON EST CELUI DES PHILOSOPHIES NAZIS
    ET DES PRATIQUES POPULISTES RACISTES
    D’UNE EXTRÊME DROITE QUI DÉTESTE LES ÉTRANGERS
    C’EST A DIRE TOUT CE QUI N’EST PAS BLANC ET EUROPÉEN
    EN LE TRAITANT DE PARASITE ET D’IMPUR .

    NOTRE CULTURE DE OUJDA, TANGER A LAGOUIRA
    EST FAITE DE VALEURS HUMANITAIRES
    MALGRÉ NOS FAIBLES MOYENS .
    UNE CIVILISATION ÉPRISE DE MULTICULTURE ,
    D’OUVERTURE SUR AUTRUI
    ET D’ HOSPITALITÉ ENVERS LES ÉTRANGERS
    DR IDRISSI MY AHMED

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    TME SELLAM, T’ES OÙ MAINTENANT POUR VOTER ? EN DÉRIVE SUR UNE PATÈRE ?

    Les fils d’Oujda, de Nador, d’Al Hoceima, de Tétouan et de Tanger sont à deux pas de l’Europe. Ils tirent le Maroc vers le haut et l’Afrique avec ! Qui a écrit pour eux ? Bien des livres en fait. Mais qui songe à leurs morts ? Ce texte est dédié à l’un d’eux, Ba Sellam, qui ne pourra pas voter.

    On a écrit pour les empereurs et les princes, Machiavel, les économistes et les banquiers. Salut DSK, Ferry ! On a écrit pour les prêtres et les ministres et les communistes. Sacrés rêveurs, éternels incompris ! On a écrit pour les techniciens les médecins, les chimistes les ingénieurs et les scientifique de tous bords ! Le monde s’est enrichi de connaissances encyclopédiques qui défient tout humanisme d’exister ! Mais on apprend peu à gérer ses connaissances et à communiquer! Le savoir n’est pas le caractère ni la personnalité. Le savoir devient pouvoir et autorise rarement à communiquer ses secrets ! A moins qu’il ne les utilise pour vendre, acheter les consciences et dominer.

    La connaissance, la technique, le savoir faire deviennent ressources, commerçables aussi. A raison, certes, pour rester maître des choses, des gens et des lieux. L’accès des pays pauvres et des familles pauvres est bloqué. Les pays attardés, ayant quelques richesses exploitables en font les frais. Leurs avancées homéopathiques et en différée, se font donnant donnant, et jamais fifty fifty. Si la mondialisation donne des ailes à certains elle enlève les plumes aux autres. Ouvrant les issues aux premiers elle emprisonne les autres. Autrui est un danger ostracisé, pour sa couleur, sa religion, sa langue, ses misères son inculture !

    Ceux du Sud n’ont pas ou peu accès au Nord. Sinon dans les rêves et quelques satellites ! Voire aux rares besoins des guerres, des mines et autres travaux pénibles ! Seulement, la tentation persiste. Encore que les langues et les moyens d’accès, les langues restent pour la majorité, un frein. L’inconnu défie subjugue et repousse à la fois ! La télé, l’internet, les universités et leurs facultés ne s’ouvrent pas aux premiers venus ! Non seulement il faut bien parler la langue, ce qui est naturel, avoir les moyens ce qui est normal, mais aussi passer des concours, fortement sélectifs et discriminatoires, qui ne s’ouvrent qu’avec un quota, hyper restreint. D’où le caractère inouï de certains profs qui en reviennent. Leur morbide jalousie à s’ouvrir et communiquer avec les ‘’illettrés’’ qu’on leur confie, à leur retour ici ! Il faut croire et bien croire pour ne pas se leurrer. Un être qui communique mal, un malade, seul et/ou pauvre est incompris.

    Tu es revenu d’Allemagne, le Rifain ! Que te sert-il alors de voyager ? De savoir, de travailler, ô toi, l’Émigré ?! Tu es venu hier et aussitôt, une crise, on te transporte alors en clinique. Toujours en retard chez nous ! Celle–ci t’évacue ! Emmenez-le chez lui ! Mort ! Tu te savais malade, tu es venu faire tes adieux à ton pays, et prendre le bout de terre, qui te revient et auquel on te destine. Aujourd’hui, ou demain, parce que la morgue n’est pas ouvrable le dimanche et que les tiens ne sont pas encore arrivés au pays pour t’enterrer !

    Tu as élevé tes enfants, construit une maison, une petite fortune sinon quelques économies…une dote pour les vieux jours, un pneu de secours pour tes enfants. Voisin, tu as une résidence secondaire que tu loues en partie ! Gardiennage et rapports à la fois ! Je ne t’ai pas vu depuis un an ! Tu revenais de chez l’épicier ou de la mosquita voisine, on s’était salués ! Aujourd’hui, j’ai même oublié ton nom, Sellam !

    De quoi te rappelles-tu ? En dehors du corps délaissé, est-ce que nous aperçois maintenant de là où tu reposes ? De quoi te rappelles-tu ? De tes ultimes douleurs, de tes difficultés de vivre, de tes printemps ? Que reste-il comme joies de tes amours, comme parfums de ton bonheur ? Que reste-il de cette vigne que tu as plantée ? De ton figuier ? Cet arbre mitoyen dont je partage, les branches et le feuillage, les moustiques, les guêpes, les feuilles mortes et parfois quelques fruits ? Que reste-t-il de ton corps que la médecine allemande a été incapable d’en prolonger la vie ? Que reste-t-il du propriétaire, du gérant ou du porteur-porté, du conducteur de ce robot que fut ton corps et que l’on va enterrer !

    Une mémoire, un esprit une âme si ce n’est pas trop dire ? Veux-tu que l’on parle de ces trois réalités virtuelles ? Contrairement à l’agnostique qui me réfutera, pour parler de choses que je ne vois pas et dont il nie l’existence, je vais tenter de t‘en parler, même si tu ne m’entends plus, ou plutôt même si je ne te voies pas ! je ne parlerais pas du corps, qui dédié à la tombe, va rejoindre le chaudron de mère nature. Il alimentera, malgré soi, ou rendra au milieu ce qu’il a pris ou emprunté pour se conforter. Des vagues de virus et de microbes incorporés, des bataillons de larves et d’insectes y élèveront leurs progénitures qui iront le nettoyer…Curieux qu’il en reste des os !

    Comme je ne parlerais pas des feuilles mortes, que l’on ramasse du jardin et que vous êtes supposé enlever des rues pour qu’elles ne bouchent pas les égouts, monsieur le Président de la municipale de la ville de Kénitra ! Et vos savez que ça pue maintenant, notre ville ! Ça pue on suffoque ! Les pestilences scatologiques donnent la nausée à ses résidents et font détester la ville et ses régisseurs ! Je ne parle pas des corrompus. Je parle des rues et avenues sensu stricto. Je parle de l’atmosphère devenue irrespirable !

    Qu’est-ce qu’il y a de bien ici, pour délaisser l’Europe, l’Allemagne de Merkel, et venir y habiter ? Les racines, la proximité, une cure de nostalgie ? La vie facile ? La beauté de la ville, le climat ? Façon de parler, quand je fais allusion à notre pauvre ville ! Que serions-nous de plus que des feuilles ? Réduits à un corps en train de se déliter ? Nous sommes des composés chimiques, des éléments, capables de contribuer à reconstruire, ailleurs, des éléments sur un autre corps, des parties, ou de les remodeler et de les maintenir. Du consommable, inconsolable ! Les insectes qui vivent de ces ultimes composants et qui décomposent ces feuilles le savent-ils avant de faire à leur tour, un tour, dans les intestins des oiseaux et des bêtes qui les happent et les croquent ? Tout se recycle ou presque ! Et le hasard de la composition du milieu avec ses substances et ses êtres feront le reste. On nettoie ici dans cette vie. C’est une fonction des divers cycles vitaux de faire passer les éléments d’une classe à une autre, entre le milieu et les êtres vivants.

    Heureux qu’on enterre les morts des humains, monsieur le Président, vous qui n’arrivez pas à supprimer les nuisances ! Mais, il reste de cadavre de chat dont je vous ai parlé. Morts écrasé, à l’angle de deux artères, par un automobiliste aveugle ? Il est devenu plat on n’y reconnait à peine que la peau, assombrie et tannée par les pneus ! Le hic est que lorsque ce cadavre puait, personne n’est descendu de sa quate-quate pour le mettre dans un coin, question de pudeur, de morale, de culture ou de simple respect de la vie…Enfin, celle qu’il a perdue. Moi le premier qui vous en parle. Notre incivisme révélé par un chat. Mais ce n’est pas moi la Municipalité ni ses pouvoirs et service concédés ! Comme le dirait n’importe quel citoyen, qu’on ne respecte pas, même s’il paie des impôts !

    Et puis la municipalité n’habite pas ici ! Avez-vous dans votre des trous et des reliefs inutiles qui cassent les chaussées et les trottoirs comblés, qui repoussent les piétons sur le macadam ? Pour avoir sa place sur le trottoir, il faut être une pute, sauf leur respect, ou s’assoir au café pour scanner les gens ! Incroyable délaissement qui fait regretter à certains les colons d’autan. Ceux-là, tous secteurs confondus, ne savent pas faire leur boulot. Sans aucune marque de civilité ni de citoyenneté agissante, (pléonasme!), la ville devient, féroce, stupide, coléreuse, sale, inculte, incohérente, sans alternative de plaisance d’endroits de détente. Trottoirs et trous sont entre autres, les raisons des injures et des imprécations des électeurs. Et la ville, sa communauté est une patrie à sa façon. La désorienter et la décevoir, c’est dépiter et démotiver la communauté entière et ses électeurs, en faisant perdre sans recours des points au patriotisme comme aux partis politique et aux représentants de l’Etat ! Les trottoirs et les rues, c’est le cœur et la circulation de cet organisme urbain. Ne pas les soigner c’est faire porter l’irrespect et les injures aux régisseurs, toutes les parties confondues ! Vitrines de l’état, ce sont des marques de sous développement qui collent aux crânes des élites !

    Tu vois, le Chat et toi mon Voisin, morts ou vifs, vos corps, vos vies, n’auront servi à rien ! Ton corps n’aura servi à rien. Impropre même pour une greffe ! Ton corps n’aura surtout profité de rien ! Même d’un lieu hypothétique de détente ou de rencontre : une ville, un village que tu mérites et apprécie, après ton retour d’exil économique en Allemagne ! Je ne dis pas aimer ? Car personne n’aime cette ville. On a décomposé ce risque, il devient désuet et anachronique ! Et pire encore ce pays…Si ce n’était pour plaire au Roi, qui en cette période de printemps des pouvoir rencontre encore de l’admiration et force respect !

    Oui, je voulais parler de la chute des feuilles, du gouvernement, des partis, du parlement qui ont déconsidéré cette représentation et cette profession ! Je voulais parler des feuilles et de leur utile décomposition. Pas des sénateurs ! Ce ne sont pas des déchets les feuilles mortes, mais des composants élémentaires. Ce sont des décrets chimiques et physiques, climatiques et biologiques, qui décident de leur sort.

    Il en est de même des insectes, des moisissures et des micro-organismes qui s’en repaissent pour recycler leur corps et se multiplier. Ça, c’est la feuille de figuier, Voisin, qu’en est-il de ton corps maintenant. On ne va pas en parler. Ça ne te servirait à rien. A moins que tu ne m’entendes! Mais tu ne saurais me donner des conseils : je n’entends rien aux voix zombies de l’au-delà !

    Nous parlerons mémoire, sauf que la mienne c’est quasi fini, je ne retiens presque plus rien. La tienne c’est fini, je pense. Elle n’existe plus elle est anéantie. Celles de tes enfants, de tes voisins, de tes collègues, s’épuisent, comme un stylo chinois. Tu vivras cependant, en dehors de ton corps, dans l’intervalle de leur propre vie ! Un petit créneau, qui se souviendra même peu et rarement, de toi. Comme en souvenir de quelques bons gestes dont tu les aurais marqués…Quelques actions qui les auront concernés, intéressés ou irrités ! Tu vivras comme un souvenir dans ce qu’il leur restera eux-mêmes comme mémoire.

    Le but ce n’est pas de manger, Voisin. Même s’il est difficile, ce n’est qu’un moyen pour vivre. Le but de travailler est de gagner sa vie. Le but n’est pas de ramasser de l’argent; mais de l’utiliser. Ces constations primaires semblent renversées, paradoxales et contraires à ce qui est admis couramment. L’existence, ses valeurs, son but sont également inconnus. Elle est belle cette question. Je n’y ai jamais songé de ton vivant ! Questions qui demeurent sans réponses ni raisons cartésiennes! Je ne parle pas des réponses métaphysiques et religions. Elles sont ce qu’elles sont. On les avalise, quand on le sait, ou on les réfute, pour rester dans le questionnement. Oui, à quoi sert la vie, ici bas, sur cette terre ! Sur cette planète, dans ce pays, dans cette ville ! Avez-vous songé ou espérer vivre ailleurs ?

    Ailleurs, c’est le paradis. L’Eden que tu as cherché, TME, en allant en Europe, en, resquillant, en squattant, quitte à te noyer dans les eaux du Détroit ! Le Styx et l’Achéron des Olympiens, c’est notre Détroit de Gibraltar ! C’est mieux encore dans au-delà. L’Amérique, les States, le Canada. C’est l’indélébile idéal, l’éden espéré, dont nous formatent les livres, et les crédos fictifs, les dires et les radios. Tous sont d’accord qu’il fait mal vivre ici et qu’il faut quitter la misère et ces gens. Qu’il faut aller ailleurs à la source, aux pays des seigneurs, dans les anciennes métropoles des protecteurs et des conquérants. Exil économique, diaspora religieuse, appel surnaturel ou pour faire comme le voisin, qui est revenu fortune faite, ‘’plein de ressources et de raisons’’ !

    Vivre autrement, ailleurs ! Vivre autrement que la vie, elle-même, une autre option ! Criblée de peines et de maladies, d’indigences indécentes, qui rendent l’être inapte, infirme, impuissant, déstructuré, en perte de valeurs propres et d’image de soi, en dépression de sa propre valeur et de sa fierté devant soi! Autrement que dans ce pays, cette ville, ce globe !

    Vie et globe, extraordinaires rencontres, vies fantastiques, miracles qu’est la vie ! Et encore, on n’y a rien compris ! Au fur et à mesure l’homme dépasse son indigence ! L’homme ouvre les yeux et son intelligence se développe en faisant des progrès de jour en jour plus insolents ! L’homme reste inquiet dans ses faiblesses et son questionnement. Qu’est-ce qui maintient la vie, la crée, la menace et y met fin ? Comment et pourquoi ? Et à quelle fin tout cela ? Cette admirable éprouvette qui tournoie à une vitesse folle, et qui vogue avec son soleil dans un univers étoilé, qui s’étend sans fin…Bien sûr, ce n’est pas demain que les secrets nous seront livrés ou conquis. On partira nombreux avant et on restera sur notre faim. A moins que redevenus, des âmes, tout nous sera révélé, tout nous sera plus clair et transparent !

    Bien sûr je ne disserterais pas sur l’esprit ni sur l’âme ! Mais je me prends à penser que la mémoire, la vie, (qui restent sous la dépendance et le génie de la génétique) pourraient être en relation avec ce qu’on nomme ‘’l’esprit’’. Une synthèse, une commande chez l’homme, empreinte de ‘’conscience de soi’’, une entité, pour tout dire, qui se confond avec la personnalité, l’individu, le ‘’moi’’. L’esprit, quoique illisible et invisible, serait une émanation de quelque chose de plus éthéré et d’increvable, d’individuel mais de plus eternel, l’âme. Qui s’apparente le plus avec le vrai responsable de nous même ! Le réel moteur de la chose robotique, animale et minérale, l’homme !

    Et c’est ton esprit labile, qui fait fonctionner cette vie animale terrestre. L’esprit s’en détache à la mort. On se demande comment il colle ! L’esprit s’échappe, une fois que la mort survient. Alors, sans cette force de cohésion, l’ensemble de la commande de ce super organisme se désagrège. L’ensemble de cette immense construction de cellules, biologique et interactif, qu’est l’être vivant, s’arrête de fonctionner, cœur et cerveau, libérant tout ce qui le soude et se scinde. Tout ce qui est physique et chimique automatique chez le robot pensant, qui une fois né (et dès sa conception en fait), se répare seul, à force de consommer ce qui pousse et qui bouge, et de communiquer intimement, avec ce qu’il respire et ingère.
    C’est cette mémoire invisible, vitale, qui maintient la cohésion de l’être. Être toujours faible devant les contraintes physiques et sociales du milieu, ses nécessités vitales et individuelles. Être toujours faible devant les éléments extérieurs et ses propres structures. Celles qui composent son organisme et qui dictent ses besoins. Il est toujours faible devant ses institutions, ses instincts, sa culture, sa morale, ses nécessités et ses errements. C’est cet esprit, partie de cette âme, sa mémoire de soi-même, qui au final sera responsable de ce qu’il commet, et comment ses peurs, ses faibles libertés auront une influence sur sa vie, ses devoirs, ses droits et sur autrui.

    Vie sociale, morale, libertés, droits et démocratie, implication dans la politique-fiction, athéisme ou agnosticisme, adhésion à la religion autant de paramètres moteurs pour structurer la personne et l’enraciner dans ses convictions identitaires. Des fondamentalismes rigides aux extrémismes les plus outrés, les conditionnements dogmatiques des gouvernements et de leurs églises, interfèrent avec rigueur et sous pression pour former, diriger, planifier, moduler la bête et l’esclave. Finalement le but revient à stériliser l’individu et le formater selon un moule préconçu, adapté. Les états et les églises par la culture véhiculée dans les programmes ou prégnante dans les us et coutumes du milieu, asservissent et avilissent les personnes qu’ils sont sensés diriger et encadrer.

    Les enfants gâtés, les impénitents et les brebis galeuses vont à l’hôpital ou en prison, pour refaire leur coulage dans des moules adaptés aux normes en vigueur. Ainsi nous sommes responsables de ce que nous n’avons pas fait ! Nous-mêmes ! Notre biologie, nos instincts et notre personnalité ! L’éducation au sens large, la morale, la politesse, sont les premières constitutions qui établissent nos limites et nos droits. Ils établissent nos référentiels irrédentistes, creusent nos crédos persuasifs et les gravent pour plonger nos racines dans un continuum communautaire qui ne pardonne ni critique ni faille, encore moins la traitrise ou la félonie ! Si les laïcs et les athées se détachent librement de ces reliques et de ces contraintes religieuses et marques mystiques, dans certains pays du moins, ce n’est pas le cas pour les pays traditionalistes. C’est à croire que ce serait une marque de progrès de modernité et d’évolution que de se délester des croyances religieuses. Ou vice versa !

    C’est une impression sans certitude ni aval pour ma part. Seulement les laïcs respectent une autre morale. Celle de la dignité indue et du respect d’autrui, qui ne vont pas sans implications humanitaires, universelles. Une morale du ‘’bien gratuit’’, qui n’a pas besoin de la sanction d’un dieu ni d’une église ou de leur appréhension pour faire du bien. La charité, la solidarité n’ont pas besoin de credo pour humaniser la société. Ce n’est pas général et c’est discutable pour qui veut. Si les athées et les laïcs se détachent de la morale livresque ou biblique, c’est une évolution et un progrès à leur sens, sans doute. Cette liberté que l’individu s’octroie concède la même ampleur de libertés à autrui.

    Cette force morale spontanée est démocratique et égalitaire. Elle opère sans les contraintes des establishments religieux, des temples, des églises, des imams ou des ayatollahs. Elle est contraire le contraire du forcing des religieux. Les promesses ou les peurs des dieux, sont utilisées par les ecclésiastes, pour assoir leur pouvoir sur les fidèles assujettis et autres serviles zélateurs. L’institution religieuse persiste pour son propre compte, sa raison d’être, l’homme passe au second plan. La cause initiale est oubliée. Le pouvoir où végètent et s’enkystent les religieux, cloisonne les gens pour les maintenir comme les obligés pudiques et peureux, privés de libertés, brimés, astreints à la morale (policière). Une sorte d’inquisition en fait !

    Équation inégalitaire, perdue de vue dans l’histoire. Anachronique même, mais qui de nos jours se pratique, ici ou là, sans pudeur et sans freins. Comme si le bon dieu de la trinité ou les autres étaient différents. Les détenteurs des pouvoirs religieux se regardent en miroir, sans équivoque, parce que les contraires et les contradictions se savent et se comprennent. Chacun dans sa sphère géographique dirige les siens. Un minimum de respect, de nos jours, balise les frontières. Sauf dans les cas où des minorités, vivant sur des terres fertiles en pétrole ou en autres minerais, s’amusent à défier le pouvoir uniciste de leur communauté pour se l’attribuer afin de gérer (seuls avec le soutien de leurs amis et futurs clients de l’extérieur) qui vont exploiter pour eux les richesses tombées du sol ! La sécession n’est pas loin avec ses guerres civiles fratricides. Planifiées de loin…

    Sellam, comme toi Zahra et toi Hraga, et ces centaines de défunts chaque jour, que vous importe ce trou perdu qu’est devenue Kénikra ? Ses touristes à deux sous, ses ouvriers, ses RME et ses investisseurs ? Que vous t’importe-il, vous qui êtes à peine mort, de voter pour celui-là ou cet autre ? Que t’importe le référendum Salem, et ce qu’il octroie aux rifains et aux sahraouis comme privilèges de région et de langue ? Vous qui d’entre les premiers autochtones êtes sensés écrire différemment. Des signes curieux, une richesse du patrimoine, le tifinagh, qui ressemble à l’égyptien et aux hiéroglyphes ! Que t’importe la révision de la constitution, la réforme de la monarchie ou le reste du royaume ? Que t’importent maintenant Le Caire, ses pharaons et son Nil, que t’importent Tunis et sa Zitouna, Saleh et la reine de Saba, Damas et son cynique tyran ? Pour toi, le Printemps Arabe est un eternel hiver ! C’est vrai qu’on n’est pas très arabes et c’est pourquoi on a évité le pire, le chaos de justesse ! Nous sommes l’exception africaine ! Une île de fraicheur dans cette marmite qui flambe ! Pour les certains du moins, les perpétuels miraculés.

    Que t’importe Sellam, le sanglant tsunami sémite ? L’abattoir, l’autel, où Sion en vengeur de l’holocauste, vaporisera des âmes sémitiques, pour plaire au Seigneur et avancer Sa victoire et Son trône ? Si l’Apocalypse survient ce sera grâce aux activistes, aux activateurs extrémistes d’Israël et d’Amérique. Ça te profitera, mortel, tu ne resteras pas longtemps dans ta tombe en train de souffrir le néant et l’ennui. Tu ressusciteras plus vite. Résurrection rapide garantie pour le Jugement Dernier. Alors patience, fait un vœu, pour que ça éclate vite et tu seras réincarné avec les fanatiques des premières loges !
    Que t’importent Arafat, Saddam, Ben Laden, et comment ils sont morts ou été tués ! Que t’importent le Pape, Obama et Sarko, et comment ils gèrent la planète et ses hommes ! Que t’importe qui sera au gouvernement futur et sera comptable et responsable de la conduite des hommes !

    Que t’importe si le prochain ministre de la santé, soit une femme ! Une autre sémillante avocate ! Et si elle fera, sans répit ni respect, la chasse aux blouses blanches ! Et que faute de démissionner, elle restera ostentatoire encore aux affres des affaires ! Que t’importe Macchabé si les nouveaux ministres répareront les dols de leurs tristes prédécesseurs ! Les Humiliations subies par tous les stéthoscopes de la terre resteront un précédent incompressible ! Imputrescible, comme une haine atavique vitale, une marque d’irrespect au fer, que les générations future sauront hériter et transmettre ! Que t’importent les élections de l’Ordre, le service de cardio d’Avicenne, la énième chambre ou celles de ta commune ? Que t’importe si les hommes que tu choisis, vivants, soient déjà morts, qu’ils changent de sexe, de partis ou de programme encore, au gr des vents, pour vendre leurs voix, les tiennes, aux amis du surhomme ?

    Que t’importent Marrakech, Sodome et Gomorrhe ? Ses touristes, ses cafés et ses bars, ses hôtels, ses palmiers, ses serpents et ses singes d’une autre ère ! Que t’importe le sida, offert en cadeau aux enfants des hommes ? Que t’importe-t-il si des ministres étrangers ou des moins que rien d’ici ou d’ailleurs, débarqués des nues, comme des dieux, violent ce que tu as de plus cher, que la vie, le sable ou la terre ?

    Ô mortel, le bal des anges, la danse des cieux, la hadra de l’Olympe, son opéra de harpes et ses rires, ses nuages et ses tonnerres, t’importent si peu !

    Esprit en débâcle, esprit détaché de tout, va ! Tu n’as rien perdu, car il ne reste que les restes ! Rien qui ne soit plus cher que l’honneur que les restants ont perdu ! Ton corps repose là où il est, pour le rendre à la nature le recycler…Mais, toi tu t’es élevé, comme espéré, par delà les étoiles et la Lune ! Tu perçois le règne de Dieu, en partie certes ! Il est des étoiles qui sont mortes, leurs planètes et leurs êtres avec. Que resterait-t-il d’elles, si Dieu ne leur prêtait pas un bout de son âme ? Des trous noirs ? Des trous dans cet univers, vieux de milliards d’années, qu’on n’aperçoit que maintenant de la Terre ! Des vides négatifs, avides, qui avalent n’importe quoi pour le faire disparaitre et espérer renaître ! Tu vois le règne de Dieu, entre l’infiniment petit, les éléments subatomiques et grandes constellations. Tu l’admires ! Admirer de l’amour, l’essence de la piété et de la prière. Dieu n’a pas besoin de nos flexions, brutes, mais de notre admiration et de nos louanges peut-être, comme marque de respect et d’amour !

    Tu vois le règne de Dieu, alors que les restes de ton corps, ce bâtard dont chacun est jaloux, gisent sous terre ! Pourtant, tu n’entends rien, tu ne comprenais rien avant comme maintenant, si ce n’est pire ! Si tu m’entends et que tu voies mieux l’univers, sache que je ne t’entends point et que c’est dommage. Mais fais gaffe ne vient pas me hanter ! Ni, comme un spectre peupler mes cauchemars ou me donner des ‘’roueyates’’ yacyniques ! Ces visions mystico-religieuses, que je ne saurais utiliser pour exorciser le milieu !

    Là dans ton ‘’non-être’’, tu…, mais qui, que représente encore ce ‘’tu’’, ce Toi, ton ego et ton moi, cette Personne enfin que j’ai connue ? Là, tu as disparu, anéanti, il y a pour toi, comme un chaos ! Et pourtant tu étais là, tu as existé…Faut-il te remplacer par ce qui reste de tes œuvres, par de simples souvenirs ? Infimes et parcellaires, tant il est vrai et général, que tout est fragile et labile. On l’a fait, sans en avoir le choix !

    Ou même mieux, tu subsisterais quelque part ! Quelque chose de ce toi qui fut, de ‘’Toi’’? Maintenant que tu es ailleurs, là ou les lois physiques que l’on connait ne percent pas, garde-tu, es-tu un ‘’encore-quelque-chose’’? Là, dans ton trou noir, tu n’entends plus rien ? Dis ! Sens-tu les quelques pensées que l’on dirige vers toi ? Ce qui reste de toi, en dehors ces chairs en haillons, sentent-elles les anges et comprennent-elles leurs ordres ? Une communication entre inconnus ? Ou quelque chose du genre. Sens-tu la tristesse, le deuil, les pensées et la perte de ceux qui t’ont aimé et qui se trouvent devant ‘’rien’’ ?

    Non, tu es encore parti ! Toi le RME, pour aller trimer ! Toi le fugitif, l’explorateur, l’aventurier, l’exilé économique. Tu as laissé les tiens, par dépit, par défi, pour leur amour, pour aller ailleurs ! Sans cœur et même sans corps. C’est vrai que tu as été opéré et même enterré ! Tu t’es souvent sacrifié, vas-tu renaitre comme un phénix ?

    Tu as senti un appel, une nécessité, un devoir. Tu as défié l’ignorance pour aller vers la connaissance, la technologie et les sciences. Pas toujours dans cet ordre, car c’est dans le vignoble, le bâtiment, les mines ou les champs que tu as terminé ta carrière. Seuls les hommes peuvent se reconvertir et leur intelligence est là pour le dire ! Untel voulait être chercheur, il a terminé dans les bars ou la chaussure ! En train de cirer les pompes ou de ramasser les ordures. Et pourtant ce sont des sociétés étrangères de renom qui viennent ici se sucrer en ramassant les nôtres de ménagères ! Par nous-mêmes, il vrai, ils ne donnent que des ordres pour tirer des bénéfices. Les nôtres sont nuls, ils ne le savent pas ! Il n’y a pas de sots métiers, mais que de sottes gens ! Au point qu’il fut vrai que les communistes, communauté égalitaire exemplaire, payaient au même tarif le chirurgien, le pompiste, le militaire, le fonctionnaire ! L’autre, comme couturière, a estompé sa carrière. On les voit quels que soient leurs pays d’origine et leurs continents, sauter la barrière des espèces et aller vers les blonds. DSK se voit maintenant au tribunal, à force de tourner entre les pattes d’une femme d’étage, venue de nulle part, en Guinée ! Retournement de destins : on ne sait plus qui est la victime ! Passons !

    Tu as défié l’angoisse, la peur et les vagues. La solitude, le froid et la faim. Resquilleur, tu as défié le danger et la haine, le mépris, l’insolence, l’exploitation et ses risques. Tu as squatté, frôlé la pègre. Tu as défié les éléments dès le départ. Laissant ton village inculte et asséché, tu as mendié autour de toi et emprunté pour un passeport, un visa, un ticket. Ou comme des milliers d’autres irréguliers, tu as emprunté les patères. Ces frêles esquilles, pour traverser le bras d’océan et de méditerranée ? Le bras d’honneur ! La peur au ventre, si tu as échappé aux requins et au naufrage, tu ne savais pas si tu allais dribler les gardes espagnols et filer de leurs pièges. Pour aller où et vers quelles dérives ?

    Le terrain n’est jamais balisé ! Exilé ou émigré, tu es revenu, ici, pour partir. Tu es là depuis trente jours. Tu ne sors pas de ton lit. Les tiens ne sont pas avec toi. Tu es seul. Tu refuses de voir le médecin. Tu veux partir. Partir sans espoir de retour ? Le ver une fois devenu papillon ne revient pas à sa forme première et ne s’y reconnaitrait pas. Tu vas, quelle que soit la nature de ce que tu avais en plus du corps, errer ou fuser, te ranger ou émaner, là où ton chemin est inconnu. Tu vas l’explorer quasiment le premier, puisque rien n’a filtré de tes prédécesseurs ni des conquêtes des premiers hommes qui sont morts ! Connais-tu tes premiers ancêtres ? Les premiers qui ont peuplé l’espace et qui de leur espèce, discutable, ont peuplé la terre. Les reconnaitrais-tu, là où tu es en ce moment ? Arrêtons les questions sibyllines et de fiction. Celles qui demeureront sans réponse à ces vers que nous sommes et que seuls les papillons sauront. Curieux ton nom, il signifie la paix. Paix, à ton âme, Sellam !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Le 21 juin 2011
    Texte adressé en primeur avant correction sur : http://www.oujdacity.net

    #206872
    solare
    Membre

    Bonjour à tous les gens d’Oujda, 😛
    je m’appelle chaachoue ahmed,d’origine Meknès. jai 45 ans et père de 2 fils.
    je suis à la recherche d’un ami oujdi qui m’est particulièrement cher et qui s’appelle Hammouti abdelkader(si je me souviens bien, son frère ainé à l’époque travaillait à l’hôtel mamounia à Marrakech, comme directeur adjoint) .Nous avons perdu contact entre nous depuis plus de 25 années, dans des circonstances difficiles. 🙁
    En fait, notre histoire remonte à 1985-1986, quand nous étions encore des étudiants au cours préparatoires pour l’admission à l’école polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) en suisse.Hélas,le destin avait voulu changer le cours des choses et j’étais contraint ;pour des raisons purement financières( il me fallait 70 000 dh pour la carte de séjour); de revenir au Maroc pour un nouvel chemin dans la vie.
    Dans ces derniers temps,j’ai été sur place à Oujda mais le nom de hammouti semble appartenir à énormément de familles, ce qui ma compliqué d’avantage la recherche.
    Donc, après toutes ces années et à travers votre forum, je conjure toute personne connaissant mon ami de me renseigner sur lui.
    merci d’avance.

    #239957
    saidi
    Membre

    Abdelaziz bonjour,

    J’ai pu lire dans ton message que tu ne voyais pas le rapport entre ce qui est denoncé et ce que je formule comme questions concernant cette ou ce citoyen marocain pour ce qu’elle ou il a vécu chez MARJANE OUJDA.

    C’est bien dommage, car , ce que je craignais , était precisemment celà: Je me plains, donc j’ai raison, personne ne peut aller dans le sens contraire de ce que je dis. C’est cette assurance souvent mal placée avec laquelle on parle, on se plaint qui nous a toujours bloquée et continue à nous bloquer.

    Pourquoi, veux tu que je n’écoutes que ce que tu me dis toi et me solidariser systématiquement avec toi? tu ne me donnes pas le droit de me renseigner, d’écouter d’autres témoignages pour pouvoir juger comme je l’ai bien précisé dans mon message? Quand j’ai lu ta réponse, j’ai eu l’impression d’avoir commis la plus grande des erreurs devant tous les internautes qui nous lisent. Quelle erreur… Apprenez à accepter la discussion, apprenez à écouter les gens qui vous disent ce qu’ils pensent, apprrenez à savoir accepter les remarques et eventuellement, apprenez à accepter les erreurs si tel était le cas. Arretez d’être toujours les victimes par définition, personne ne peut prétendre qu’il a toujours raison, tout le monde peut se tromper et pour celà, il faut apprrendre à l’accepter.

    Mon dieu, je n’ai pas demandé l’impossible, si je me suis permis afin d’approfondir la discussion d’avoir demandé quelques renseignements de plus concernant cette pauvre personne qui s’est adressée au forum . Si, cette personne s’est adressée au forum, c’est parceque, il ou elle avait besoin d’aide matériel, morale, psychologique ou je ne sais quoi? Alors, si les questions que j’ai posées les mettent tout de szuite en position de défense et de victime non reconnue, où va-y-on?.

    Je répète mes questions, cette fois-ci avec quelques nuances: à savoir:

    – L’histoire du transport du personnel a toujours été un gros problème au Maroc et à tous les niveaux: privé, public etc… c’est un problème qui n’est pas facile a résoudre, il s’est toujours posé, il a fait l’objet d’une multitude de reflexions et d’essais de solutions, il est encore malheurreusement toujours pas résolu. A mon avis, le transport du personnel que ce soit privé ou public ne doit pas être assuré par des voitures de chaque chef de bureau, de section de je ne sais pas quoi, Les voitures avec plaque M ROUGE que nous avons tous vécu, qui consiste à voir des voitures appartenant à l’état qui roulent avec un carburant payé par l’état et ces voitures , nous les avons tous vu, circulaient les samedis et les dimanches en passant par les jours fériés et parfois les mois de congés occupées par des familles qui n’avaient rien à avoir avec le titre de fonctionnaire ou de locomotion de fonction, aller passer des WE à saidia, aller faire partie de cortèges de mariages etc… durant des jours fériés , ce n’est pas l’état qui doit les payer, car l’état, c’est ton argent et le mien. L’état Marocain ayant pris conscience de cette bêtise y a met fain depuis plusieurs années. Il a cependant gardé un moyen de transport pour les plus démunis, allez voir à Rabat, faites un tour au quartier des Ministères et vous verrez, que les voitures M ROUGE ne sont pas d’actualité. En attendant, les plus démunis, ceux qui attendaient les fameux bus de transport du personnel, on ne le a pas empeché du jour au lendemain de ce transport. petit à petit on essaie d’éradiquer ce phénomène, on a offert des primes de transport, on a essayé de faire des infrastructures pour assurer la mobilité de ces fonctionnaires. Tout n’est pas encore parfait, mais une grande partie du problème a trouvée sa solution.
    Vous me dites : ne comparez pas le Maroc à l’europe. Je n’ai jamais vu des groupes de fonctionnaires sortir de leur bureau, prendre un Bus qui appartient à l’état qui va faire le tour de tous les quartiers de n’importe quelle ville europeenne pour deposer et revenir le lendemain matin les reprendre pour les deposer à leur lieu de travail. Vous me direz qu’il ya des infrastructures de transport public qui permet à ces gens de rejoindre leur domicile facilement, c’est vrai, et le maroc est sur cette voie là .

    Me dire que chaque employé, ouvrier ou ouvrière de chaque ministère ou usine doit être conduit chez lui et aller le chercher le lendemain, ce ne sont pas des choses qu’on voit en europe. Chacun doit y mettre du sien, les employeurs doivent faire un effort dans des situations qui sont evidentes, les employés doivent faire un effort, quand ils se trouvent dans des situations évidentes. Je connais pas mal de gens en europe quelque soit les villes, qui partent très tôt le matin pour rejoindre leur lieu de travail et arrivent très tard chez eux après la journée de travail, il ne faut pas se leurrer, les pays les plus developpés de la terre vivent ces situations, je ne vois pas pourquoi le maroc doit être le pays exemplaire dans cette situation, c’est un phénomène vécu par toutes les sociétés dites industrialisées, évoluées etc… allez travailler à Paris et trouvez un logement près de votre lieu de travail et vous comprendrez de quoi on parle. J’ai l’impression que vous n’avez pas écouté la chanson intitulée « Lpassport lakhdar des annéees 60 et qui est encore d’actualité »

    – Vous nous dites que les employés de MARJANE travaille de 8h à 24h sans interruption. Je ne vous crois pas, car c’est trop gros pour que celà passe, vous nous dites qu’il n’ya pas de pause, en même temps, vous nous dites qu’ils doivent aller se reposer dans des salles insalubres. Alors? c’est quoi? il ya des pauses? ou il ya des pauses et les salles sont insalubres?, il faut être precis, quand on est syndicaliste et qu’on veut revendiquer des choses, mais de grâce, pas n’importe quoi….

    – Pour finir, je voudrais vous dire que chacun doit faire un effort de son côté. Hier, il n’yavait pas de Marjane à Oujda, il yavait des cômeurs. Aujourdh’ui, il ya MARJANE, MAKRO, ASSOUAK ESSALEM, …demain il yaura autre chose, et les chômeurs trouveront quelque chose à faire, si celà marche, les employeurs feront un effort, les employés seront demandés de plus en plus et l’état de tout le monde s’ameliorera dans cette région pour laquelle le ROI a fait tant de choses en si peu de temps. Pour celà, je vous demande une seule chose: un peu de bonne volonté.Cette volonté et le sens de citoyenneté qui manque malheureusement dans notre pays, je dis bien notre pays et pas comme certains spécialisés dans: tu es au Maroc, tu comprends, tu es en europe donc tu ne comprends pas. Arretez ce type de discussion stérile et qui n’a aucun sens quand tout le monde qui nous regarde sait que nous vivons de la même manière.

    Je voudrais finir par une anecdote: Quand le premier MARJANE a ouvert ses portes au Maroc, à Rabat-Bouregreg-Salé, j’ai eu la chance et le privilège de m’y rendre pour faire des courses, avec quelques amis, en se promenant dans les rayons, on s’est arrêté devant un comptoir de quelques marchandises: On a attendu plus de 5 minutes, devant nous dans une arrière petite pièce, porte ouverte, il y avait au moins 5 personnes en pleine discussions, rigolades, air heureux… ils nous ont reperé comme clients en attente d’être servis ou renseignés. personne n’a eu la conscience de se dire je vais aller voir et satisfaire les cliens. Ils s’en foutaient comme de l’an 40. L’un de mes amis, enervé par cette attitude, fait de grands gestes pour voir sortir du cagibi un jeune vendeur, pas souriant, plûtot l’air de nous reprocher de deranger le groupe en fête. Le jeune homme avait 25 ans a tout casser, il avait une barbe qu’il n’avait pas rasé depuis plusieurs jours, son tablier était dans un état de propreté indescriptible, qaund mon ami lui a demandé de nous servir 400 grammes d’un fromâge désigné du doigt, le vendeur lui a répondu: savez vous combien coûte ce fromage? avec un air de lui dire es tu sûr que tu veux avoir ce fromage avec un air hautain? C’était la dernière fois que j’ai été faire mes courses dans ce MARJANE, de nos jours, on va a HAY RYAD ou au MALL. eN ATTENDANT? marjane bouregreg AFFICHE COMPLET? hAY rYAD PLUS QUE COMPLET, les serveurs ont changé d’attitude, ils sont plus presentables, ils sont plus souriants, ils gagnent plus que ce que leurs collègues gagnaient , il ya un peu moins de chômeurs à Rabat et ainsi va la vie.

    #272006
    MCiste
    Membre

    Bonjour Haj Ali Belhachmi,

    Un grand Nom et beaucoup d histoire que porte ce nom et cette famille
    J’aimerai par contre te situer dans la famille belhachmi vu que je connais assez bien cette famille ainsi que la famille Miri
    qui leurs sont cousins par descendance depuis des centaines d’ années.

    A ma connaissance Si mustapha allah yarahmou birahmati allah n avait aucun frere mais plutot 03 Soeurs et que ces deux cousins les plus connus sont : Si ahmed et si Mohamed Belhachemi, tous les deux habitant a ce jour a Casablanca

    Ca serait aimable de ta part de m informer afin de pouvoir te rajouter eventuellement sur l arbre genealogique de cette famille dont je suis entrain de metter a jour son profil genealogique ,vu que cette famille de Resistance et de Sport a marqué l histoire de la ville millenaire d oujda.

    Cordialement,

    Mciste

    #274885
    abdelaziz
    Membre

    Je pense qu’effectivement mourad connait très peu l’histoire d’Oujda et de façon plus général celle de l’oriental.

    Jusqu’à un passé récent et pour ne pas le nommer, celui des années de plomb, l’oriental était considéré comme le Maroc inutile.
    On a cantonné le Maroc Oriental à un no mans land entre l’Algérie et le Maroc.
    La réaction des gens de l’oriental était l’union sacrée, l’union autour d’un symbole celui de la plus grande ville et il se trouve que c’était Oujda.
    Quand le mouloudia jouait, tout l’oriental se sentait mouloudi, quand Berkane brillait au Basket tout le monde se sentait Berkanais.
    Oujda n’est en fait qu’un conglomérat d’habitants venant de l’ensemble de l’oriental pour créer l’appellation oujdie.
    Oujda n’a pu connaitre son âge d’or qu’avec l’apport de tous ces gens de l’oriental, toutes les mines avoisinantes envoyaient leur flots d’ouvriers faire leur course à Oujda et participer ainsi à l’éclosion économique de la ville.
    D’autre part, les orientaux quand ils se rendaient dans d’autres villes du Maroc, il leur suffisait de prononcer un mot, pour qu’ils soient identifiés comme des Oudis, langage commun.
    C’est normal si mourad , quand tu es catalogué d’Oujdi , tu étais fier de l’être que tu viennes de taourirt ou de jerrada , de ahfir ou de Berkane , nous avons une histoire commune , un langage commun , un caractère commun et ce n’est pas toi avec une fierté mal placée qui viendra changer les choses.
    Enfin je te rappelle qu’il n ya pas si longtemps , l’ensemble des lyciens de l’Oriental venaient faire leurs études secondaires à Oujda, ça crée des liens , non ?

    Va dire à un figuigui comme BENAZI qu’il n’est pas Oujdi , va dire à un Berkanais comme elguerrouj qu’il n’est pas Oujdi , ils vont te riere au nez.

    #278394
    Pitchou
    Membre

    Tu pourras te référer à un très beau ouvrage du professeur Badr Almaqri en arabe:( Khitat Almaghrib Achcharqui),qui est un essai sur l’histoire culturelle d’Oujda pendant 10 siècles (vers 490 pages).Je crois qu’il y-a un chapitre sur la zaouiya de Haj Fadel.

    #262967

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    Bonjour Abdelaziz !

    ça fait plaisir d’avoir des nouvelles des anciens du Lycée ABDELMOUMEN.
    Biens sur que je me rappelle des noms des anciens que tu viens de citer.
    Etant au lycée de 1959 à 1966, d’abord en tant qu’élève interne, puis maître d’internat et enfin répétiteur, j’ai côtoyé ou surveillé la plus part d’entre eux et notamment BOUKARABILA et HAMDI, élèves en classe de troisième année secondaire en 1966 auxquels j’ai même dispensé des cours d’histoire – géographie en tant que remplaçant intérimaire de Mme COMBES en congé de maternité.
    Je n’oublie pas non Rahal TALBI, un grand sportif de haut niveau, ni BOUZIANE qui était maître d’internat avec moi, ni non plus BOUAICHA, un grand animateur de soirées à l’internat.

    A toi maintenant de me dire si tu reconnais quelques uns des visages des internes et externes que tu viens de citer et qui figurent sur cette photo prise au mois de mars 1966 à l’occasion d’une fête à l’internat du Lycée ABDELMOUMEN.

    A très bientôt

    #278231

    En réponse à : cherche solution !!

    moi j’ai entendu aujourd’hui une histoire sur des hommes habitants en europe (un oujdi et un berkani) qui allaient voire des hommes (fo9ha) comme on dit a oujda. c’ est vraiment bizare d’entendre de telles conneries.

    sinon pour les cas des deux femmes, et bien je pense que c’est le desespoir qui les poussent a faire tout cela.je ne sais pas et je ne veux pas savoir toute leurs histoires, mais je dis seulement: faites une salat istikhara et croyaient vraiment en Allah qu’il va vous aider et vous serez etonner de ce qui arrivera. que du bien incha Allah.

    #278198
    touria016
    Membre

    ..et dire qu’au départ on se réjouissait des créations d’emplois que ça pouvait provoquer ! 😕

    #278197
    karinas
    Membre

    Effectivement,j’ai constaté qu’il y a bcp de personnes qui partent ou quittent le travail à Marjane,chaque fois on remarque qu’il y a de nouvelles tête recrutés pourquoi ❓ Aucune idée.et puisque tu dis qu’il y a ce quelqu’un qui les pousse à démissionner,faut le dénoncer aux supérieur,sinon il continuera tjrs à saboter cette boite.

    #206619
    blanc
    Membre

    Quand les oujdis pense que marjane pour les jeunes de la ville, sont demandé a dieu de aider tout personne met sa main a ce projet…

    Mais aujourd’hui après trois ans de l’ouverture de ce magasin sur la terre de la ville d’Oujda pour les jeunes de FES, TAOUNAT, MARREKECH, TAZA, MEKNASE, CASA…etc.

    Mais le problème constaté que il y a un vagabond MARRAKCHI (CS), pousser les employées (oujada) a démissionné, pourquoi ? Est ce que pour ça il a venu de MARRAKECH à OUJDA ? C’est qui derrière cette personne qu’à donner le pouvoir pour faire ça ?

    LE VAGABOND dit : LES OUJDIS SONT PAS COMPETANT !!!

    Je ne suis pas contre aucune personne mais cette personne -VAGABOND- fait beaucoup de mal aux employés de Marjane Oujda, et ces le moment pour dire NON a ce Monsieur.

    Je veux raconter des histoires de Marjane Oujda.

    Mais a Les prochains jours
    Attend Moi

    MARCI

    #206563
    mailla
    Membre

    bonjour
    je recherche des informations,l histoire sur cette personnalité
    pouvez vous m aider
    merci

    #275876

    En réponse à : MARIAGE TUNISIENNE ET OUJDI

    benzerfa
    Membre

    je ne sais pas si le sujet est toujours d’actualité, mais je vais quand même donner mon point de vue sur la question, sœur tounsia, ce que tu es entrain de faire, est, ce qu’il y a de plus beau dans la vie, le mélange des cultures par le biais du mariage, et quel mélange !!! ne réfléchie pas trop sur la question de l’intégration dans la famille dans les deux sens, cherche surtout à découvrir ton future mari, car c’est avec lui que tu vas vivre 24/24, les parents de ton coté ou du sien ne seront que des intendants, tu vas avoir à les fréquenter dans les évènements et réunions familiales, donc avec le respect, et la compréhension chacun de vous saura comment faire sa place en bonne et dû forme. Sache aussi ma sœur, que même si dans le Maghreb on est trop loin l’un de l’autre, il me semble qu’on se ressemble beaucoup, tunisiens et marocains, l’histoire nous a montré que nous étions en faite un seul peuple avec peut être un accent diffèrent, mon expérience avec les frères tunisiens ici en Belgique m’a ouvert l’esprit sur les préjugés que la colonisation française a encré dans nos têtes, je ne te cache pas que un des meilleurs amis que j’ai, est tunisien et plus âgé que moi que je considère comme ami, père mais surtout un enseignant, quand je suis chez lui je ne me sens pas dans un autre monde, je suis accueilli à bras ouverts, et je me réjouie de cette chance que l’émigration nous a donné, rencontrer des voisins, des frères qui sont porte à coté mais peut être difficile de leur rendre visite ( frontière et conflits ) .
    Donc ne complique pas beaucoup l’histoire, et si tu es ( je l’espère de tout cœur ) pratiquante, fais la prière de consultation, elle te guidera par la grâce d’Allah vers le bon choix.
    pour la mentalité Oujdi, je vais te citer quelques traits mais sache que ce n’est surtout pas une science exacte, il se peut que ton prince charmant n’est surtout pas pas comme ça, ça pourrait peut être t’aider à faire une idée globale, le Oujdi est un homme franc, amical, amoureux ( mais ne montre pas facilement ses sentiments ) loyale, brave, nerveux ( c’est notre défaut majeur ) il n’est surtout pas rancunier, cherche toujours la différence ( c’est peut être la raison pour laquelle il t’aime ) c’est quelqu’un sur qui on peut toujours compter, donne trop d’importance aux traditions, très attaché à la famille !!!
    une autre chose statiquement, il a été claire que la majorité des Oujdi qui sont parti d’oujda pour ( études travail ou autres …) quand ils se marient, 90 % prennent des non oujdiyates ( j’en fais parti 😉 )
    je te souhaite tout le bonheur du monde ma sœur, et bienvenue chez les OUCHTIIII 😉

15 réponses de 16 à 30 (sur un total de 379)
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