Résultats de la recherche sur 'hotel a oujda'
-
Résultats de la recherche
-
Bonjour,
j’ai bien voulu écrire sur un sujet d’actualité plus intéressant, mais bon…
je souhaite préciser pour les jeunes filles et garçons que les premiers chanteurs du raï étaient pour leur majorité des ivrognes soulés envie de sexe et du vin qui chantent dans des cabarets et des lieus fermés (hotels, boites de nuit….), et qui ne chantent que le sexe et l’alcol. c’est de cette catégorie de gens qu’ont émergé quelques chanteurs tres connus.
le roi du raï cheb khaled, chanteur modèle du raï, il a utilisé souvent des mots très vulguères dans ses chansons, ça serait une honte si vous l’écoutez devant vos parents:
« 3tilha labbinina w zidha tfifi7a » (donne à elle une petite banane, puis rajoute une pomme)
« 3angui w garbi w 7adri w diri mah » = embrasse et approche et baisse et fait moi « mouah »je me contente de ses deux chansons du khaled, sinon ses autres chansons qui « glorifie » l’alcol et l’état d’ivresse sont innombrables.
ce khaled, a aussi déclaré sans scrépule à une chaine française que son choix pour passee le temps c’est regarder des films pornographiques.
sa vulgarité n’a diminué qu’après « Didi » dans les années 90, car après son succès il a commencé à faire attention à ce qu’il sorte de sa bouche.« darna lamour fi barraka mranka » = on a fait l’amour dans une baraque toute cassée, chanteur = hasni + zahwaniya
en parlant de zahwaniya, elle a des chansons très vulguères, pas besoin de les mettres ici, à l’époque où zahwaniya cartonait, ses chansons étaient écoutées dans la plupart du temps par des « skayriya » pendants leurs nuit de vin, je parle d’oujda et de ses quartiers, le reste du monde je connais pas.je penses que le premier qui a eu le succès sans tomber dans le piège de la vulgarité c’est Bilal.
enfin, en général les paroles du raï sont changées vers la moitié des années 90, car le public visés n’est plus des clients des cabarets et des boites de nuit, mais c’est devenu aussi une large majorité de jeunes (éleves, étudiants, …), mais aussi parcequ’il y a eu des chanteurs qui ont su se démarquer sans chanter le vin et le corp des femmes.
voilà, je dis ça pour évoquer l’origine des choses, sinon mon avis à moi je le garde pour moi-même (tout ce qui est dit « art » et « musique » est encouragé et utilisé pour endormir les jeunes).
Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.
Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.
Berkani d’adoption
Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.
Des commerçants solidaires
John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…Hassan Hamdani
Source: TelQuelSujet: SOUVENIRS et NOSTALGIE
Je découvre ce forum pour la première fois.
J’ai quitté Oujda en 1958 à l’âge de 16 ans. Je suis revenu au Maroc, mais j’ai évité les villes où j’ai vécu, car il y a trop d’émotion.
Nous habitions un imeuble qui est en face de la gare et qui fait un angle de rue à 2 pas de l’Hôtel Luttécia dont je ne sais s’il existe toujours.
Amitié à tous les oujdisSujet: hotel a oujda
bonjour
je pars cet été a oujda en juillet
qui pourait me dire le meilleurs moyen de se loger ?????
des adresses d hotels( pas trop chers lol !!! ) serais super !!!!!et d autres pars j aimerai savoir si il y a des lavomatics pour le linge ou une autre facon de laver son linge lol !!!!
merci a tousSujet: L’école Hotèlière d’oujda ??
En plus de la fac de medecine , l’ouverture d’une école hotelière a été prevu le debut de l’année scolaire en cours a l’EX – Hotel terminus ( Selon le site du CRI toujours
) ..
On a pu remarké des travaux de restauration de l’hotel cité , mais ces travaux ce sont arrétés juste kelkes semaines après ..
et kom d’habitude aucune justification n’a été fournie par les reponsables ..
Sujet: Tourisme Durable
Je pense que le tourisme peut bouger notre ville & notre région il y a :
la medina & ses boutiques
les murailles
hamam ben kachour
oisis de sidi yahya
………………………
sans parler de saidia ,zegzel…..je suis pour un tourisme respectable, pas un tourisme sexuelle à la marakchi ,casablancais ou agadiri
je pense qu’un bon site avec plein de fotos de curieusités régionale + des adresse d’hotel respectable peut deja aider à faire connaitre notre chere région qu’on veut tous la voir prosperer ,j’attend vos propostions
j’ai oublié il faut mettre en valeur notre cuisine à nous
Carane
Takenta
bekbouka etc& forza oujda
Sujet: recherche d’hôtel
bonjour,
je souhaiterais partit pour oujda pour 1 semaine avec 1 copine et nous rechervhons 1 hôtel qui se trouve a oujda, et qui soit assez accessible surtout pour la chambre et la salle de bain car je me deplace en fauteuil roulant
donc pouvez vous me renseignez svp
merci par avance