Résultats de la recherche sur 'la vérité'

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15 réponses de 121 à 135 (sur un total de 1,276)
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  • #275851
    houmidi59
    Participant

    La bûcheronne et la biche : 7 eme épisode

    Enfin vint le moment du départ. Le soleil venait à peine de se lever quand ils quittèrent le village. Nacira s’occupa des mulets ,tandis que ses frères escortaient le troupeau de bétail. Abderrahmane, lui, poussait la charrette de vivres et des provisions.
    A la mi-journée, ils arrivèrent devant un petit lac à moitié desséché.
    __ « On va se reposer quelque moments ici, décida Abderrahmane .Et puis nous mangerons bien quelque chose
    Aussitôt Nacira intervint : je vais préparer du café.
    _Et moi dit Jaber, je vais chercher du bois pour faire du feu
    _ Quant à moi conclut Khalil, je vais cueillir quelques fruits
    Ainsi, chacun d’eux savait ce qu’il devait faire .
    Le vieil homme les regarda avec fierté en ne cessant de dire : braves enfants, braves enfants
    Nacira remplit la bouilloire d’eau de la source ; tandis que Jaber allumait le feu avec les morceaux de bois qu’il venait de ramasser.
    Khalil traversa une centaine de mètres, quand il arriva devant une clairière .Il scruta de son regard les alentours : pas d’arbres ; donc pas de fruits. Il allait rebrousser chemin quand il entendit quelqu’un l’appeler : hé vous, vous cherchez quelque chose ?
    Il se retourna derrière lui : une jeune fille se tenait devant lui .Elle tenait en laisse une biche .Khalil s’approcha d’elle et la salua .Puis :
    C’est à moi de vous demander ce que vous faites là toute seule !
    Cette dernière sourit avant de dire : mais , c’est mon territoire et j’habite là depuis un certain temps
    Toujours étonné, Khalil reprit : vivez-vous seule ici ?
    _Bien sûr que non !
    _ Dieu soit loué ; mais…. Ou sont vos compagnons ?
    _ En vérité, je n’ai qu’un seul compagnon …plutôt une compagne
    Et de montrer de ses doigt la vie : d’ailleurs la voici ; elle me suit toujours partout
    Khalil caressa l’animal puis il regarda de nouveau les alentours .Comme s’il cherchait un habitat ou des traces humaines
    -Rassurez-vous, personne n’y habite cette contrée .Je vis seule ici depuis plus de deux ans ; enfin depuis la mort de mon père
    Khalil se contenta de lâcher : ah, bon !
    La jeune fille réalisa aussitôt qu’elle avait assez parlé et qu’elle ne connaissait rien du jeune homme. Aussi, elle le lui demanda gentillement.Ce dernier lui raconta son histoire .Quand il s’arrêta de parler celle-ci lui dit :
    _Le hasard fait bien les choses mais de manières différentes : moi aussi mon père était bûcheron. J’étais sa fille unique après la disparition de mon frère .Heureusement pour moi, je l’accompagnais dans la forêt pour couper le bois. Ainsi, j’ai vite appris à manier la hache comme lui.
    Deux jours après le décès de mon père, je suis montée dans le bois pour faire ma première cueillette .C’est ainsi que j’ai trouvé cette biche ; elle venait de naitre et sa mère venait de succomber à ses blessures .Des chasseurs avaient dû l’abattre et elle s’était sauvée de justesse pour mettre au monde son petit.
    Alors je pris le petit animal et décidai de l’adopter. Chaque matin, je coupe du bois que je vends à des fermiers qui habitent à trois kilomètres d’ici. Eux en échange, ils me donnent des vivres et des provisions .
    Khalil ne manqua pas d’admirer la bûcheronne : vous êtes vraiment courageuse et vous avez beaucoup de volonté
    Mon frère et moi hélas, nous ne savons rien du métier de notre père .A présent , je réalise bien combien on a été égoïstes et flemmards.
    Enfin, ce qui est fait et fait !
    Aussitôt, la bûcheronne pria Khalil d’aller chercher ses compagnons et la rejoindre dans sa petite demeure qui se trouve derrière la colline.
    Puis, elle le quitta

    A suivre…….

    #275849
    houmidi59
    Participant

    La bûcheronne et la biche : 5 eme épisode

    Le lendemain matin de bonne heure, Khalil repartit vers le village accompagné de sa sœur. Dès son arrivée, ils allèrent directement au poste de la gendarmerie .Là-bas, un gendarme les accueillit.
    _ « Je viens signaler la disparition de mon frère
    _ Quel âge a –t-il ?
    _ A peux près vingt ans.
    _ C’est une grande personne ; il sait ou il va, non ?
    _ Oui, monsieur le gendarme, convint Khalil
    Et d’ajouter :
    _ « Il était avec moi hier .Lui, il a pris une direction et moi une autre. Nous cherchions du travail. Le soir, je suis revenu chez moi .Je croyais qu’il m’avait devancé à la maison. Vingt quatre heures se sont écoulées, il n’est toujours pas revenu
    Le gendarme le fit entrer pour voir le responsable. C’est alors qu’il aperçut son frère dans un bureau :
    _ « Mais c’est Jaber, mon frère
    Et il accourut vers lui
    Ce dernier l’enlaça tendrement avant de dire :
    Je suis innocent, frère, je le jure ; je n’ai rien fait de mal
    Aussitôt, celui qui semblait être le chef dit à Khalil :
    _ « Qui es-tu ?
    Khalil se présenta et demanda:
    _ » quelles sont les causes qui avaient emmené son frère dans ces lieux ?
    On lui fit un bref aperçu de ce qui était arrivé .Aussitôt Khalil dit :
    _ « Jaber est innocent ; c’est mon frère et je le connais
    Puis se retournant vers son frère :
    _ Aies confiance ; bientôt la vérité éclatera et tu seras relâché.
    Avant de le quitter, Khalil sut par son frère l’endroit ou il avait porté le sac ainsi qu’une description des deux hommes
    Nacira était entrain de l’attendre près du poste de gendarmerie .Dès qu’il s’approcha d’elle, elle lui demanda ce qu’il l’avait tardé ainsi. Il raconta tout et il ajouta :
    « Eloignons-nous de cet endroit .Le mieux est de trouver l’ami de notre père
    Khalil et sa sœur repartirent vers la grande écurie .De loin, ils aperçurent le vieil ami de leur père.
    _ « On dirait que vous êtes arrivés en avance, les apostropha-t-il
    Khalil baissa son regard :
    – En réalité, notre père est mort
    _ Ah, lâcha-t-il, acceptez mes condoléances
    Et d’ajouter :
    – vous avez bien fait de venir .Vous serez mes invités jusqu’à notre départ.
    Khalil paraissait perplexe .Le vieil homme le remarqua :
    – « Qu’est-ce qu’il y a, dit-il, quelque chose ne va pas !
    – Oui, avoua-t-il, il y a mon frère Jaber qu’on a arrêté. »
    Et le fils du bûcheron lui raconta tout du début jusqu’à la fin
    -« Ne vous en faites pas mes enfants, dans une heure, il sera avec vous.
    -C’est sûrement un malentendu de la part des -gendarmes
    -Allez, je vous emmène chez moi ; puis, j’irai faire relâcher votre frère. »
    Il était midi quand les deux frères et leur sœur prirent leur déjeuner en compagnie de leur hôte. Bientôt, ils parlèrent de leur projet :
    -« Dans deux jours, incha Allah, nous prendrons le chemin vers une autre région moins froide.Etes-vous toujours décidés à m’accompagner ? Vous savez, vous n’êtes pas obligés à le faire. Au cas où vous voulez rester, je vous cèderai cette maison et je vous trouverai même du travail.
    Les enfants étaient catégoriques :
    – non, dirent –ils en chœur, on a hâte de quitter ces lieux
    Le vieil homme sourit :
    _bon, mais on est obligé de rester quelques moments. D’abord, je vais vendre quelques objets encombrants ; puis je vais acheter une grande tente pour nos déplacements et pour y passer la nuit.
    Dans ce cas, dit Khalil, on va t’aider
    _Braves enfants, conclut-il, je savais que je pourrais compter sur vous

    A suivre

    #275848
    houmidi59
    Participant

    La bûcheronne et la biche : 4 eme épisode

    En effet, Jaber arriva au village et se dirigea directement vers le souk. Soudain, deux gendarmes s’approchèrent de lui .Ils étaient accompagnés d’un homme qui montra du doigt Jaber et dit :
    _ »c’est lui qui a pris le sac . »
    L’un des gendarmes attrapa le jeune homme par l’épaule :
    _ » tu vas nous dire ou tu as caché le sac!
    _ Mais, monsieur répondit ce dernier, je ne suis qu’un porteur .Mais je peux vous emmener là ou j’ai porté le sac
    _ Alors, on te suit .Mais, attention, pas de faux pas ;on t’a à l’œil. »
    Les deux gendarmes et Jaber arrivèrent à la cabane isolée. Il n’y avait personne .L’un des gendarmes entra dans la demeure. Celle-ci semblait déserte et inhabitée depuis pas mal de temps.
    _ » Mais…mais bégaya Jaber, j’étais là, il y a à peine une heure .Un homme barbu y habitait encore!
    _ Oui, dit le second gendarme, il s’est sûrement enfui en nous voyant arriver.
    _ C’est cela reprit Jaber
    _ Parfait, puisque c’est ton ami, tu vas nous emmener vers lui
    _ Mais, je vous l’ai déjà dit ; je ne suis qu’un porteur et je ne connais personne…. »
    On conduisit Jaber menottes aux poignets au poste de la gendarmerie .A une centaine de mètres de lui, Khalil entamait ses recherches .Il fit tout le tour du souk : aucune trace de son frère. En fin de compte, l’un des habitants a du reconnaitre le frère recherché. Justement, dit-il, je l’ai vu porter un gros sac en compagnie d’un vieillard.
    « Voilà une bonne nouvelle : mon frangin a quand même trouvé du travail! »
    Aussi, Khalil prit la direction du retour tout en étant persuadé que Jaber serait sûrement auprès de sa sœur entrain de l’attendre.
    Et comme je le connais,pensa-t-il, il n’a pas manqué d’acheter des provisions et des médicaments pour notre père.
    Après deux heures de marche, il reconnut de loin la silhouette de sa sœur .Aussitôt son cœur se mit à battre la chamade .Il sentait comme un pressentiment d’un malheur arrivé .Toutefois, il ne voulait pas y croire. Alors, il courut à toute jambe vers sa sœur .Il allait la questionner au sujet du père quand celle s’agrippa à son cou en pleurant
    _ » Quoi, dit il, père est …
    _ Oui, sanglota-t-elle .De grosses larmes coulèrent le long de ses yeux enflés
    Khalil entra rapidement dans la cabane .Il s’approcha du mort et le baisa à plusieurs reprises sur le front puis dit : je suis arrivé un peu en retard .C’est ma faute père pas celle de Khalil ; excuse-moi, je n’aurais jamais dû te laisser seul Une seconde fois, il l’embrassa à nouveau.
    Après quoi, il se mit en devoir de l’enterrer comme le veut le rituel de l’islam.
    Nacira avait assisté à l’enterrement en silence .Cette fois, elle ne pleurait plus .Elle avait lu quelques versets et formulé des prières pour son défunt père.
    Soudain, elle se retourna vers son frère : _ »Ou est Jaber ? Il n’est pas avec toi?
    _ Non, dit –il, je croyais qu’il m’avait devancé
    Puis :
    _ je vais aller le chercher !
    Aussitôt sa sœur l’attrapa par l’épaule :
    _ s’il te plait frère ne me laisse pas seule ; bientôt, il va faire nuit et j’ai peur
    _ Tu as raison avoua-t-il, d’ailleurs Jaber comme je le connais il se débrouille bien
    Sûrement, il va passer la nuit au village. »
    Ce n’était pas vrai et Khalil le savait ; mais il voulait assurer sa sœur que tout allait bien. En vérité, il était persuadé que quelque chose serait arrivé à son frère. Demain, je ferai un saut au village et je saurai tout, finit il par se dire.
    Puis à sa sœur :

    _ »allez, sœurette, on rentre à la maison
    Il était environs huit heures du soir, quand Khalil raconta à sa sœur sa rencontre avec le marchand de bétail et le projet de l’accompagner vers d’autres régions .Nacira sourit timidement avant de dire : _j’espère que tu as accepté
    _ Bien sûr, dit-il
    Il se retourna vers la place jadis occupée par le bûcheron et ajouta :
    _ j’avais l’intention d’emmener notre père avec nous, mais le destin a agi autrement
    Que Dieu le comble de sa miséricorde conclut-il. »
    Sur ce, il dit bonne nuit à sa sœur, avant d’aller s’allonger dans un coin de la pièce.
    Nacira éteignit la lampe à pétrole et se coucha à son tour.

    A suivre ……

    #271402

    En réponse à : MOULOUDIA mchate m3a belhachmi

    MCiste
    Membre

    Cher Internaute Mr Najmi,

    Je respecte tes commentaires, et en toute objectivité tu dois apprendre a partager l avis de l autre et avec discipline mais je comprends que les vérités blessent

    Ceci dit , mets toi a la place de qui que ce soit de ce comité ou de n’importe quel oujdi intègre et raisonnable et tu vas t apercevoir qu’ en étant entouré d une bande de nullards qui prétendent sauver et diriger au futur le Mouloudia et qui sois disant défendent les intérêts du MCO en utilisant tous les moyens illégales et malhonnêtes pour nuire au MCO,il est quasiment impossible de s’attendre des résultas de quelques nature que ce soit

    Encore mieux on peut s estimer heureux que le MCO n a pas été relégué cette année

    Soyons logiques, le sport est une éducation, c’est de la discipline ,de l’intégrité et du travail dans un environnement sain et compétitif ,et il est de ton devoir, du mien et de tous les gens intègres de se mettre ensemble pour assainir cette situation .

    Si tu ne partages pas ma vision des choses, je comprends, c’est ton choix et je le respecte mais dis toi une chose c est qu’un vrai Oujdi n acceptera jamais ce qui arrive a notre club ni ces agissement qui durent depuis des années ( allah yarahmak a si Mustapha ) A cause d’une bande d incompétents.. et de voyous….connus de toute la ville D’Oujda

    Mciste

    #271399

    En réponse à : MOULOUDIA mchate m3a belhachmi

    MCiste
    Membre

    Le MCO est Sauvée, on Veut des Comptes……..

    J’attendais ce jour avec une telle impatience au point que je commençais a en douter….

    Depuis les matchs de retour du championnat, Les semaines passaient très lentement et les 90 Minutes de chaque dimanche sur les ondes radio étaient plus que de l’enfer… un vrai Calvaire

    Un grand Soulagement et avec un grand (S) a cette 35 ieme journée : le Mouloudia est sauvée et Malheureusement pour ceux qui creusaient des traquenards partout sans scrupule, ni le moindre remord, et ce, pendant des années et dans le seul but était de voir notre grand club en deuxième division puis en division d’honneur se sont vu leurs rêves volatilisés et se sont heurtés a un mur solide qui porte un grand nom : le MCO,

    Un grand club avec ces joueurs, ces dirigeants, ces supporters, ces sympathisants
    Bref tous les vrais oujdis honnêtes, sincères et courageux…….

    Ceci dit le temps aujourd’hui est aux comptes et chacun ayant participé de près ou de loin a cette situation doit rendre des comptes pour ce qui s’est passé, ne serait ce qu’au moins pour cette année, et le public oujdis doit connaître toute la vérité, et rien que la vérité afin de juger chacun pour ces actes, ne serait ce que par un regard de méprise a leurs égards, et Dieu seul sait le regard méprisant des vrais oujdis…….

    Venons en aux faits :

    Je citerai dans ce résumé juste quelques cas a dont j ai pu avoir connaissance et de personnes très neutres au vrai sens du terme…

    Un club, qui pour des raisons que tout le public oujdis connaît est relégué en deuxième division (je ne reviendrai pas la dessus pour le moment……), et les vrais oujdis pensaient que cette année serait une année de retour, Hélas, les satanés sont toujours la et ils veulent frapper très fort pour s’accaparer l’histoire de toute une ville.

    *En commencant d’abord par contacter des joueurs afin de corruption pour lever le pied dés le début du championnat ………..

    *Mieux encore et la c’était vraiment plus que flagrant, le match contre X , ou un arbitre corrompu par des opposants sis a Kenitra mettent le paquet pour la défaite du MCO
    ( L arbitre en question a été lourdement sanctionné…..)

    Et le plus drôle mais qui fait ENCORE plus mal au cœur et que des pseudo spectateurs oujdis qui assistaient a ce match et a d autres matchs s’embrassaient et sautaient de joie quand l’équipe adverse menait au score
    (Mon dieu ce ne sont pas des oujdis c’est tout simplement des vaux rien, et j ai vraiment envie de vomir a en parler)

    Alors les satanés commençaient a sortir de leurs macabres coquilles de part et
    D’autres, de Casablanca en passant par Kenitra et en arrivant a Oujda utilisant tous les moyens pour nuire a l histoire de ce club :

    (J’en cite quelques exemples flagrants, et ce qui se cache est encore pire, et ce
    N’est que le sommet d’un iceberg de mensonges, magouilles, corruption……….)

    *L’organisation des Soirées nocturnes par des sois disant supporters du club dont le seul et unique but était de faire en sorte que notre grand Club tombe par terre ( mais un grand club comme le MCO ne tombera jamais)

    *Des protestations préfabriquées afin d’impliquer les autorités locales pour faire
    de la pression sur le président du club pour démissionner,
    (Hélas la clairvoyance et la sagesse de certains grands responsables et du président du club , ont fait échoué ce traquenard)

    *le 31 Décembre 2009 date limite d’acceptation d’adhésion, une liste de 30 personnes est déposée via un huissier (quand on est un hors la loi on a pas le droit d utiliser un outil de justice messieurs ….) leurs condidatures d’adhésion pour un montant global approximatif de 75000,00 DHS
    (dont la source des fonds provient d une personne sans scrupules et connu du public oujdi
    Pensant qu avec son argent il pourra facilement incorporé sa bande de malfaiteurs, comme il se permettait la corruption des âmes faibles durant toute la saison)

    Hélas , une magouille vite détectée, le Mouloudia est et restera un obstacle infranchissable a ces actes nauséabonds et n’est pas non plus un jeu de loto a 75000,00DHS

    *des personnes impliqués avec l’entraîneur qui sois disant originaire du club la veille d’un match cruciale qui prendra part a une réunion avec le comité de l’équipe adverse pour négocier Le sort du match, le résultat tout le monde le connaît……..

    *des communiqués de presse a longueur d’année sans contenu ni raison de certains medias appartenant a des partis politiques afin de discréditer le comité et son président en pensant que le temps était venu après des dizaines d’années d’attente (Allah yarahmek a si Mustapha Belhachemi) afin de s’accaparer l histoire du club et l utiliser comme propagande électorales

    *Constitution d’un sois disant comité de rectification sans aucune légalité dont les membres et leurs historiques sont bien connus du public oujdi et de la ville d’Oujda

    *Utilisation de presque tous les medias locaux par des moyens illicites y compris un grand journaliste sur les ondes de la RTM que l’on croyait hors de tout soupçon et ce dans le but de discréditer le président

    ( Mr le grand journaliste tu es responsable de ces actes et tu dois penser milles et une fois a ce comportement irresponsable car le métier de journaliste est un métier noble et tu dois respecter un minimum d’éthique et d’équité de cette profession, le reste on le connaît………. ?????)

    *etc, etc,………………………………………….

    Alors à tous ces personnes, la population oujdi toutes catégories confondues,
    Nous demandons aujourd’hui des comptes pour toutes ces magouilles et ces actes qui n’honorent en aucun cas l histoire de ce grand club,

    Hélas vous n’avez aucune excuse et le public oujdi ne vous pardonnera jamais vos actes sataniques
    Vous etes responsables de vos actes et l’histoire écrira avec un grand (T), votre Trahison a la ville d’Oujda.

    Je reviens maintenant au président du Mouloudia et de son comité qui d’une part je salut leurs lutte contre ces actes abominables, mais auxquels je reproche de ne pas avoir su gérer un grand club comme le Mouloudia

    Mr le président, je m’adresse a vous en tant que supporter inconditionnel du MCO
    Et je vous demande des comptes sur ce qui c’est passé ne serait ce que cette année
    ,
    1-Qui fait quoi dans ce club ? L’incompétence de certains des membres du comité laisse à réfléchir sur leurs nominations et leurs responsabilités.

    2-Pourquoi l’anarchie complète règne au sein des dirigeants, entraîneurs et joueurs ????

    3-Qu avez-vous prévu ? Et quelle a été votre stratégie pur ce grand club durant
    L’année afin de se mettre a niveau et accéder au GNF1 ?

    4-Pourquoi vous vous etes toujours éclipsé de la scène médiatique pour donner des explications sur ce qui se passe au sein et aux alentours du club et éclaircir les choses a l’opinion public oujdi ??? Avez-vous des choses a vous reprocher ?????

    5- quels sont les résultats de l’école du club, qui est la base à long terme de tout club ayant une vision claire et saine pour assurer la relève. ?

    Etc etc ……………..

    Mr le président, il est venu temps que tu donnes des comptes clairs et objectifs
    Et je pense personnellement qu il est venu même le temps ou tu dois réfléchir
    Avec objectivité et sincérité a l’avenir et aux intérêts a venir du club comme tu l a fait auparavant

    Le Mouloudia est l’histoire de toute une ville et région, famille par famille
    Vous avez lutté et résister pendant une dizaine d années aux pires ennemis du Mouloudia, et personne ne discutera votre intégrité a ma connaissance,

    Et il est venu temps je pense de passer le flambeau a une personnes intègre, a un vrai oujdi qui defendera les intérêts de notre club âme et coeur qui prendra en charge les destinés de ce club pour lui faire redorer son blason d’antan, tout en restant un responsable d’honneur qui par ses conseils sera d’une utilité inestimable pour ce club et aussi afin de barrer la route a tous ces satanés de nuire a ce grand club.

    Je pense qu avec ces informations ces questions claires et objectives avoir fais mon devoir
    D’éclaircir l opinion publique du sort de notre club et de la situation ou il en est au juste

    Nous devons tous lutter et avec toutes nos énergies afin de barrer la route a qui que ce soit voulant porter atteinte a l histoire et l’intégrité de ce club et faire renaître notre prestigieux club pour des jours meilleurs a l avenir.

    #275560
    Marocain43
    Membre

    Je voudrais parler d’un sujet très interessant concernant les oujdis justement. Les Oujdis et les marocains de l’est en général ont l’impression de parler comme les algérois. C’est faux ! Le parler d’oujdi et le parler oranais sont quasiment les mêmes, et le parler marocain et celui d’Alger sont très très proches aussi. Vous allez sans doute être étonnés si je vous dis que le parler de Rabat et de Casa est plus proche de l’algérois que ne l’est le parler oujdi, mais pourtant c’est la pure vérité.

    Ex :
    -Au Maroc et à Alger, on dit 7bess pr s’arrêter. Vous dites Ryedd
    -Au Maroc et à Alger, on dit jrana pr grenouille. Vous dites 9er9ra
    -Au Maroc et à Alger, on dit b7ali/b7alou ou ki ana/kihouwa. Vous dites kifi/kifou
    -Au Maroc et à Alger, on dit hbett pr descendre. Vous dites houwwed
    -Au Maroc et à Alger, on dit mouss pr couteau. Vous dites 5oudmi
    -Au Maroc et à Alger, on dit s5oun pr chaud. Vous dites 7ami
    -Au Maroc et à Alger, on dit 9dder pr pouvoir. Vous dites 9ed
    -Au Maroc et à Alger, on dit rmi/lou7 pr jeter. Vous dites 9iss (qui veut dire toucher au Maroc et à Alger)
    -Au Maroc et à Alger, on dit tonobile. Vous dites l’auto
    -Au Maroc et à Alger, on dit rouida. Vous dites jerrara
    -Au Maroc et à Alger, on dit guer3a pr citrouille. Vous dites cabouya
    -Au Maroc et à Alger, on dit tsenna. Vous dites 9era3
    -Au Maroc et à Alger, on dit mfechech. Vous dites m9ellech
    -Au Maroc et à Alger, on dit beghrir. Vous dites 5ringo
    -Au Maroc et à Alger, on dit 3ayat. Vous dites lgha
    -Au Maroc et à Alger, on dit s5ana/s5ounia. Vous dites 7oumane

    Sans oublier qu’Adji (viens) est très courant chez les algérois âgés.

    La liste est longue..

    Vous allez me répondre qu’a Oujda, on dit mli7 ou bien ergod, comme en Algérie. Mais sachez que ces 2 mots sont très courants dans la campagne marocaine, c’est pas seulement oujdi !
    ou encore drouka ? drouka s’emploie très couramment au centre et au sud du pays, pas uniquement à l’est !
    ou encore ta9a ? ta9a s’emploie très couramment au nord aussi !
    ou encore el ghachi ? on emploie ce mot dans toutes les régions marocaines !

    En plus, d’après ce que j’ai vu, les oujdis ne connaissent pas trop le dialecte marocain. Par exemple, à titre d’info, des mots tels que letchine (orange), ga3 (tous) ou encore el bezz (les gosses) s’emploient très couramment partout ! donc…

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    DÉTENTE : CRÉATION SCÉNIQUE LITTÉRAIRE

    La résurrection de Mme Student

    Chapitre N°35 plus 1, Laps, lapsus et résilience,

    Fragilité

    C’est une toile d’araignée, non pas une épeire de jardin avec sa toile irisée reliant feuilles et fleurs, mais une de celles qui piègent des mouches aux toilettes ! Il faut de tout pour faire un monde. L’arachnide a ficelé l’insecte, une boule verte dans un sac invisible. Dès lors qu’elle a entendu les fluides gicler dans la cuvette, elle s’est éclipsée en dodelinant sur ses pattes à ressort. Tout à coup la sonnette du cabinet me clampe le viscère !

    Pensées Instantanées et furtives

    A ce moment, j’ai repensé en un laps de temps à une foultitude de problèmes et d’évènements dont la réminiscence est venue à la fois en trombe. Personne pour aller ouvrir !
    Aminatou, la grosse brunette aux yeux verts, stagiaire ingrate de son état, est devenue nerveuse. Elle a quitté le territoire en rugissant ostensiblement, dans le couloir, et sans dire au revoir, après des années de bêtises et de loyaux services ! L’éducation et la politesse, ça compte surtout dans les instants difficiles !
    Elle est partie comme elle est venue. Une sans papiers de plus entre deux frontières, celle de l’emploi et celle du chômage ! Ce sera non pas le ministre inconséquent, mais son mari, qui pris d’intérêt pour elle, enfin, cherche avocat pour la défendre face au prétendu renvoi abusif !

    Mais faute de papiers on jette les papiers ! Heureux que les demandes de stage de la procédurière restent jalousement en ma possession. Sinon, c’est un autre ministre qui allait être chassé, peut-être tout le gouvernement, à cause d’une femelle en marge des frontières ! Et pour reclasser un ministre ce n’est pas la porte d’à côté. Une sahraoui, volontairement bannie, qui revient avec son mal du pays, pour le duper et le trahir, c’est une infection résurgente pour une insurgée impénitente !

    Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour consolider ‘’l’affront’’ intérieur ! La nature de mercenaire, est ‘’indéfroquable’’ ! Elle peut perdre la face, sa virginité, sa famille, mais pas sa vigueur de combattante ! En cela elle est championne, même quand on la sait manipulée ! Quand on devient nobélisable, hissée par le pétrodollar, gonflée par les sensibleries claniques, grossie par les vagues médiatiques, on a des airs, on vole ! Même les titres et les distinctions ! Quel antibiotique, quelle prothèse utiliser, quel droits suivre, quand la bouffonnerie, la falsification, la sournoiserie, font partie des tractations diplomatiques et de la guerre froide ?

    A-t-elle appris quelque chose ? Ou va-t-elle rejoindre les rangs que la célèbre renégate ! Je ne pense pas qu’elle puisse être nominée au prix Nobel de la Paix, ni qu’elle ait une médaille espagnole de plus ou une place dans les sables, chez nos aimables pervers de voisins ! Elle sera mieux chez elle. Dans le territoire qu’elle a renié !
    Boundif, moins malingre qu’à ses débuts, après 33 ans de bonnes courses et ménage dans mes céans, véritable Basri de mon royaume, est partie avant terme ! Je lui souhaite une retraite utile, même si elle dit vouloir errer comme ses ancêtres rahala, en métropole, chez des amis, bienfaiteurs ou exploiteurs ! Elle a cultivé, grâce à son alphabétisation tardive, une bonne mémoire, faite de versets et de sentences, qu’elle invoque à tout moment. Bien qu’elle ait appris à écrire, il n’est pas certain qu’elle puisse publier un livre contre son royaume et ses écarts de régime ! Sûr qu’elle détestait faire des courses et qu’à regret d’apporter le manger commun !

    Les aléas

    Entre temps, il faut remonter tout de suite le linge intime et aller voir qui sonne, à la porte avec tant d’insistance, et d’insolence ! C’est de l’irrespect à cette heure-ci !

    Banalités répréhensibles

    Sauf qu’il faut se mettre à la place du malade pour le comprendre…Mais quand c’est juste pour remplir des mutuelles, avec des produits achetés spontanément en pharmacie, sans ordonnances ! Certains malades, sont tellement fidèles au cabinet, qu’il leur arrive d’appuyer sur le bouton de sonnerie, comme sur un accélérateur, pour vous faire venir dare dare et leur ouvrir au plus vite ! C’est vrai qu’il y a des symptômes fugaces qu’il faut montrer au médecin. Mais quand c’est le quinzième jour de maladie ou que l’on soit venu vous consulter après avoir ‘’palpé’’ bien des stéthoscopes ! Les nôtres ne savent pas attendre. Ils sont constamment pressés, fâchés, stressés et stressants ! Comme s’ils devaient prendre une fusée pour l’espace ou qu’ils avaient une audience avec un roi ! Et cette particularité se voit dans leur conduite automobile, dans la queue devant les guichets…C’est le conducteur qui vous double dans tous les sens, qui accélère sans signaler à gauche, pour stationner dans l’angle immédiatement après…Ils ont peur de rater une ombre, une course, une passante, un rancard !

    Angoisses

    Alors trêve de supputations et de récriminations ! Qui sonne ainsi et me sort de mes lectures, de mon repos et me descend de mon trône ? C’est peut-être le facteur avec un pli express ! C’est le concierge qui a besoin de savon et d’eau ?
    C’est peut être la police, venue apporter son petit billet de convocation bleu ou celle de mon procureur ? Un mandat d’arrêt international ? Des censeurs venus confisquer mes ordinateurs, pleins qu’ils sont de photos de paysages et autres images ! Ou que c’est simplement le fils Belghalia qui vient chercher son loyer mensuel ?
    A moins que ce ne soit le préposé de la régie des eaux. L’un des rares services restés encore invendus ! Ou que ce soit le «plombier » de la farce ! Y a pas de perroquet pour lui répondre « Qui c’est ? » jusqu’à extinction de voix !

    Al Bab ( La Grande Porte )

    Est-ce un tremblement de terre qui arrache la porte de ses gonds ? Si c’est le démon, il doit la traverser comme une ombre ou passer par en dessous ! La porte spatiotemporelle tremble ! C’est un dragon ? Echappé d’un film d’horreur… Parce que je n’y crois pas ! Ou que c’est le Moul Bab ? Celui ou de celle qui a pris la place du Mahdi El Mountadar. La rosicrucienne devenue bahâïste, pas baptiste ni baathiste. La maçonnique qui lance des effluves et des charmes ? Wikipédia, à l’aide, dis leur !

    La perquisition des Parques

    – Qui c’est ? Fis-je en regardant à travers l’œil de bœuf, devenu opaque comme le cristallin de mon bof !
    – Des Zaamiis !
    Répond une voix emphatique. Doublée ou triplée, amplifiée comme par un chœur. Je suis envahi ! Je perçois une pression, j’entends dans mon corps les vibrations de l’écho et la musique spectrale de ces films de terreur ! Je suis terrifié ! Le courage succède à l’angoisse pour faire cesser la panique ! J’ouvre puisqu’il faut ouvrir !
    – Hou !
    Quelqu’un cherche sciemment à me terrifier ! Vous l’avez compris !
    – Ha ! Fis-je tremblant, comme attendu ! Je suis envahi. A l’aide, on m’attaque, on m’envahi ! Alerte, des terroristes, monsieur le ministre de l’Intérieur ! Mais ces mots ne sont pas sortis ! Ils sont toujours dans la boîte noire. Je les ai encore dans le ventre !
    – Saaaalut Maidoc !
    – Ha… !!!! Un autre ha, pas le premier ! Haaa ! Pas possible, Mme Student ! Tu es revenue ?! Je te croyais morte comme le Dr Balbi, le docteur Castan, ton cousin le général Lyautey, Charonne et Arafat, Ben Barka, Oum Kaltoum et Oufkir !
    – Oui …..
    – Alors Tu as pu rencontrer mon grand-père et le sultan ? Cervantès, Hugo, Bonaparte, Voltaire et Delacroix ?
    – Arrête ton char, César ! Tu vas fatiguer les lecteurs et chasser les rares spectateurs de la salle vers d’autres théâtres !
    – Mais on n’est pas dehors, Mamy, tu es chez moi ! Chez toi ! Entre, entrez !
    – Suivez-moi !
    – Pas la peine de le dire…Hahaha !
    – Ah te voilà ma chère ! J’avais écrit tout un chapitre pour célébrer ton deuil. Student ! Ma Student, et te voici, là, devant-moi. Pas possible ! Je n’en reviens pas ! Dis, c’est bien le cas ? Je rêve de toi, alors que je suis mort et tu viens à moi…Ouah ! La classe ! Il y des rêves plus vrais que le réel ! Est-ce que je ne serais pas mort plutôt ?
    – Quiasse el kheir a Moulay ! Tu es vivant ! Que Dieu te préserve ! Il n’y a rien à foutre dans l’entrepôt et l’entretemps !
    -Ah bon ?
    – Et qu’est-ce que tu croyais ?
    – Mais, Darling l’autre monde est immense dans toutes les dimensions ! Et puis tu as rajeuni ! Je vais faire des projections sur toi…
    -Tu fantasmes sur des revenants maintenant ? T’as rien trouvé pour me remplacer ! Tu m’as ratée quand j’étais plus jeune ! Enfin, bien vivante.
    – Mais tu n’es pas mal ! Comment as-tu fait pour revenir ?
    – C’est que moi-même je ne le sais pas !
    – Ça c’est chinois ! C’est un tour de magie, un coup d’Indous ! Une exception !
    – Non je ne pense pas, il y a ces deux âmes avec moi…
    – Bonsoir ‘’mes-d’âmes’’ !
    – Salut ! Nous sommes ses garde- du-corps…Fais gaffe ! Cesse de lui tourner autour !
    – Les gardes côtes, oui ! Elle a tellement maigri chez vous, ma copine ! Il n’y a pas de restaus là haut ? Enfin, en bas, d’où vous sortez, quoi ! Et puis, que puis-je faire pour vous ? Il y a un malade à soigner ? Je vous adresse vers une bonne clinque pour vous restaurer…
    – On n’a pas faim ? Firent les bizarres accompagnatrices !
    – Je veux dire vous reprendre, vous rafistoler ! Parce que pour des dames que je vous pense être ! Il y a un certain travail à faire, au niveau du visage, du nez, relever les pommettes, gonfler les lèvres, muscler les mains et charger les pectoraux !
    – Docteur, laissez-comme ça ! Admirez plutôt toute cette sveltesse !
    – C’est le régime la haut ? Et vous l’avez gavée ou gonflée de Botox ! Elle n’a pas pris un seul pli…Vous l’avez repassée ?
    – Mais on nous a dit que tu es passé par là ! Hahaha !
    – Juste un incident…Une fibrillation cardiaque ! Je ne me rappelle que d’un fourmillement violent et rapide dans les extrémités…Et puis plus rien…Sauf par la suite des membres engourdis et douloureux qui pesaient une tonne…Et enfin cette impossibilité de respirer !
    – Vous étiez pratiquement chez nous ! Si ce n’était le déchoquage réussi !
    – Merci à ceux qui m’ont géré ! Me voilà debout, malgré les acouphènes et le torticolis !
    – Tordu au lit ? Alors prêt pour repartir ?
    – Foumouk lahsssou bouby !
    -Qu’est-ce qu’il a dit le Docteur, Mme Student ?
    – Ça ne se dit pas ! Taisez-vous donc vous autres ! Il est susceptible, ne l’agacez pas plus !
    – Vous me cherchez les sirènes ? Ou que vous soyez venues me chercher ?
    – Il est perspicace votre bonhomme ! C’est juste pour te faire peur qu’on est là !
    – Ah bon ? Il vous fallait me prévenir !
    – Tu te croyais increvable, malgré tes imperfections ! Les petits défauts, c’est ça nos avertissements ! Il fallait te préparer depuis longtemps !
    – A mourir ? Je touche du bois ! Penche un peu ta tête vers moi, Mamy !
    – Il est suspicieux et pusillanime ! Hahaha
    – Lâchez-le mes-d’âmes ! Vous êtes mes gardiennes ou mes porte-voix ?
    – Il nous plait, Sœur Student !
    – Comment ?
    – Bien cuit ! Hahaha….Hahaha !
    – Oublie-les, Mondoc ! Et vous, vous osez vous attacher à un vivant !
    – On s’amuse, on badine ! Hahaha
    – On le taquine, un petit chouya ! On n’a pas mission de l’emmener !
    – Il faut dire qu’elles me font peur tes copines, Mamy ! J’ai beau me détendre, je sens un froid dans le dos !
    – Et pas en bas ? Hahaha, c’est un symptôme, Docteur !
    – Arrêtez les filles ! Mais, Maidoc, comme je te sais large d’esprit, fantasque, les mythes et la mystique en verve, je sais que tu vas accepter de discuter avec une revenante !
    – Des revenantes ! Hahaha !
    – Oui, disons que je rêve et passons ! Toi une revenante, ça alors ! T’es morte c’est sûr ? Je te croyais encore attachée avec le David-Salomon LX ! DS, pour les intimes !
    – Tu ne rêves pas, Maidoc ! Tu peux me toucher, me pincer, me palper, m’embrasser…
    – Et le reste, la suite, aussi ?
    – La suite dans la suite….Mais pas devant ces-d’âmes !
    – Houhouhou ! Hchouma ! Ce n’est pas dans nos plans, Toubib.
    – Qu’est ce que tu reviens faire alors, après ton départ, Mamy ?
    – Je viens d’avoir une promotion…Un karma excellent…On m’a envoyée en mission…
    – Non, non pas de missionnaires chez-nous, s’il vous plaît !
    – Tu es devenu très susceptible ! Comme le disent ‘’les madames’’!
    – C’est que vous risquez de fâcher le Ministre du culte, son église et ses 7000 ecclésiastes !
    – Sa mosquée et ses maquisards ! Hahahah ! Ses Mosquéâtres, hahaha !
    – On dit âlem et au pluriel oulama, chez nous ! C’est fini les histoires de prêtres et de curés en train de faire ici ce qu’on interdit aux Verts, ailleurs
    – C’est juste de l’information…
    – A d’autres ! Dans les pays démocratiques, devenu laïcs, on s’interdit de répandre la religion !
    – Les pauvres !
    – La démocratie est matérialiste par essence ! Les états modernes sont devenus agnostiques ! La foi n’est plus entre les mains des gouvernements ! Les politiciens sont déliés des obligations cultuelles !
    – Tant mieux ! Mais c’est où, comment ça se passe ? Là-haut, là d’où vous êtes venues…
    – Ou d’en bas ? Hahaha ? Regarde ma sœur, le Toubib qui fait la moue !
    – Taisez-vous les nonnes ! On laisse le choix aux communautés autorisées de prospecter et d’enseigner !
    – On les chasse ces dernier temps. Leurs activistes font trop de prosélytisme ! Du terrorisme a-t-on déblatéré devant les agissements de 36 cellules où opèrent 202 missionnaires ! Tous sous couvert d’actions humanitaires comme paravent de leur activisme !
    – C’est comme pour nous, ils cherchent des âmes à sauver ! Hahaha !
    – Alors, la Student, non seulement tu as retrouvé la foi, mais tu reviens comme prophétesse flanquée de 2 motardes sur des balais ! Où as-tu trouvé ces sorcières ?
    – Ces deux sœurs sont mes témoins !
    – Ta charge ! Tes cerbères
    – Ces deux sœurs sont mes fidèles sentinelles ! Mes gardiennes, mes chaines et mes boules !
    – Mme Student, tu es prévenue ! On écrit, on note, on retient tout ce que tu diras pour le rapporter là-bas !
    – Que dois-je penser, Mme Student ! Ou dois-je t’appeler autrement ?
    – Pense au trou, Hahaha !
    – Ah, j’aurais pensé aux vôtres pour vous régaler ! Si vous étiez plus jolies, les filles je vous aurais comblées
    – Maidoc, oublie-les ! Pense au vide, au néant qui est devenu un univers ! Mais, penser est inutile quand il faut agir ! Même si agir est voué au néant !
    – Alors quoi faire, qu’attends-tu de moi ?
    – Tout est relatif sur toutes les dimensions ! Agir dans sa dimension, est une nécessité ! Le refus d’agir est lui même une action ! L’échec lui même est à valoriser ! Le néant lui même après la création est positif ! Le destin n’existait pas avant la création. La création a une fin, un but ! La création a une fin, le néant ! Et entre les deux une histoire, la destinée !
    – Alors, Mamy, c’était fatal de mourir ! Une fatalité que tu reviennes !
    – Non une exception !
    – De philosophe avertie, de préceptrice d’un prince juif descendant des prophètes, dans ton vivant, tu es devenue, un messie pour l’Au-delà ! On dirait que c’est ton ‘’stage’’ chez lui, en Israël qui t’a avancée pour faire ce boulot dans l’Au-delà. Tu as été pistonnée par Abraham et Moïse ?
    – Il y a de ça, mais c’est aussi une décision qui dépasse ma personne. Je ne suis qu’un instrument !
    – Un robot aurait pu te remplacer !
    – N’importe qu’elle femme ! Et comme je devais te voir, on m’a choisie en priorité
    – L’élue est là alléluia ! Alors tu es revenue pour moi, pour m’emporter ? Charmante attention ! Alors qu’est-ce que je fais ? Je ramasse mes bagages ? Je fais un colis ou je te rejoins plus tard ?
    – J’attendrais que tu deviennes plus vieux ? Je resterai, à l’ombre, à tes côtés !
    – Non tu vas me rappeler la chanson du chien de Jacques Brel…
    – Et ces deux gonzesses avec toi ? Non, non ! Tu repars, sinon je me sentirais menacé à tout moment ! Persécuté ! Ou que tu reviennes pour de bon et que tu quittes ces charmantes créatures ! Alors, là ce serait le miracle véritable et l’exception !
    – La messagère du troisième âge, va nous quitter pour rejoindre son mortel amant ! Houhou hou !
    – Taisez-vous les pleureuses ! Allez chanter aux oreilles des partants ! Mon ami n’est pas prêt, pour vous !
    – Enfin, une protectrice pour les vieux impénitents ! Hihihi
    – Les incontinents ! Hihihi
    – Enfin une prophétesse pour les handicapés et les démunis ! On en a marre du mutisme arrogant de ces Zoulikha, Yasmina et autres Nouzha !
    – Tu parles de quel pays et de quelle planète ?
    – Si tu apportes une religion nouvelle, alors ? Dis-moi ça se résume en quoi ?
    – Elles sont toutes identiques ! Hahaha ! Elle frime !
    – Oui, depuis que les femmes sont légalement les égales de l’homme, on m’a chargé d’instituer cette fonction et de tenir ce rôle !
    – Hahaha ! Et nous, on va tenir quoi ?
    – La chandelle ! Les vieilles mégères !
    – Le chandelier et l’encensoir ! Il faut les tenir allumées sous vos soutanes ! Ça fait plus joli, comme lanternes nocturnes dans une chambre à coucher ! Et très beau comme lance flammes et étoiles filantes ! Essayez !
    – Ah bon ! Mais ça va nous brûler !
    – Non vous êtes des créatures insensibles ! Ça va sentir seulement le cadavre cramé ! Mes-d’âmes !

    Morts de tous les temps, on vous ressuscite !

    – Au fait, nous te rappelons Mme Student l’essentiel de ta mission !
    – Dites, les terreurs !
    – Il faut ramener les corps de ceux qui ont été brûlés. Fit Nona
    – Il faut ramener les cendres des victimes des guerres ! Fit Decima !
    – Les produits chimiques de ceux qui ont été liquéfiés dans les camps, les forêts, les champs de guerres, les ghettos et les bagnes. Dirent en cœur les Parques !
    – Il faut ramener les poissons qui ont bouffé les noyés du Détroit ! Reprit Mme Student en ajoutant, les Indiens des Amériques, les esclaves de l’Afrique !
    – Il faut ramener les corps de ceux qui ont grillé dans les avions, Lech Kasinski ! Fis-je, pour noter les récents événements qui ont effacé le Gouvernement polonais et que des dizaines de chefs d’état honoreront de leur présence dimanche…
    – J’espère que vous serez honorablement représentés …Il y aura Obama, Sarkozy …Et vous ? – Les absent ont toujours tords. Reprisent en chœur les deux chipies venues de l’espace temps !
    – ? ! Nos traditions dans les cérémonies mortuaires….Hésitais-je
    – Passons ! C’est un exercice de langue de bois qui se prépare….
    – Nous, les Parques, nous apprécions bien ça ! Hihihi
    – Et pour les morts des Twin Towers, ma sœur Nona,
    – Et les victimes des gaz et de l’Holocauste, ajouta Decima pour ne pas faire d’oublis révisionnistes…
    – Ceux du Liban et de Gaza ! Ajoutais-je, en demandant aux Parques, les fileuses de la mort, si elles étaient sionistes ou seulement pro-juives ! Comme la plus part des pacifistes pragmatiques et clairvoyants…J’ai vu comme un tic…sur des lèvres déjà pincées des Parques…J’allais leur reprocher d’avoir fait trop de morts…sur des innocents….Et que la guerre, les guerres, c’est sordide !
    – Ceux des fosses communes, de la Shoah ! Ceux que l’on immole et que l’on brûle et calcine ! Firent-elles en chœur, d’une voix aigrelette et tremblante, comme celle du génie de la lampe d’Aladin !
    – Le pain et le poulet ! Hahaha. Ça me revient comme odeur, ma sœur ! Faut-il réchapper tous ces débris ! Je te souhaite du plaisir avec les poules et les poulets…À plumes et non à poil ! Hihihi
    – Oui, c’est ma mission, les Filles ! Ramener toutes ces âmes torturées et retenues dans le ciment, le feu, l’eau et les boues !
    – Il y en a du boulot, pour la Vieille, hahaha, qu’elle en oubliera son amour charnel pour le jeune vieux toubib qui n’a d’yeux que pour elle !
    – Je me demande ma sœur, pourquoi le Toubib de la Student, ne nous regarde pas avec le même désir dans les yeux ?
    – Oui, on est La Mort pour les mortels ! Mais ce n’est qu’un boulot, un ordre qu’on applique, un simple rôle, pas notre réelle nature de femmes ! Les êtres charnels n’ont jamais eu d’affections pour nous ! Les hommes n’ont pas à nous détester !
    – J’adore les hommes, fit l’une
    – Et moi les femmes, rétorqua l’autre
    – Nous complétons le travail des sorciers et des médecins ! Firent-elles.
    – On doit lui faire peur, n’est-ce pas ma sœur Morta ? Et pourtant nous sommes partenaires : chacun tient l’homme par un bout …Hihihi ! Le lecteur devine qui a ricané.
    – La troisième Parque venait de descendre de nulle part ! Elle vient de son Olympe ou de sortir du sol ? Du Plancher ? Du Fibrociment ? Bismi Allah Arrahmane Errahim ! Vade retro Sametal !
    – Salut mes sœurs, salut Student et vous Maidoc…bien dormi ? Vous ne faites pas la prière de l’aube ? Vous avez reçu ma lettre ?
    – Qui parle ?
    – J’ai votre signalement, mais pas d’ordre ! Je vous ai bâclé la dernière fois, aux urgences de l’hôpital Mohammed V, mais vous êtes sur mon calepin !
    – Elle me connait cette ombre houleuse ! Fis-je en moi-même, en sortant contre gré et serrement de gorge un timide et très stressé :
    – Bon après-midi, Ma-d’âme ! Ma voix devenant plus laryngitique que d’habitude !
    – Elle est apparu si brutalement que j’ai failli me boucher une autre coronaire ! A mon âge, avoir encore peur de la mort, de la maladie, des méchants ou des ombres, du tribunal des impôts ou des tabous, c’est de la lâcheté ! Je devrais être plus stoïque ! Oublier les envieux, les lâches, les truands, des ‘’ânemis’’ et n’avoir de haine pour personne ! Pour libérer mon esprit de toute entrave, décharger mon intellect, mon humeur d’une passion obsédante inutile !
    – Continuez, je ne veux pas vous déranger. Je vous suivrais de Là-haut !
    – Et les animaux que l’on sacrifie, les moutons, fis-je !
    – Les gens du peuple, ou ceux que vous bouffez ? Firent en chorus les ‘’Hahaha’’ !
    – Comptez-vous ramasser leurs corps et leur débris d’âmes ? Leurs protéines qui sont mes organes et ma chair ? Faire la course aux casse-croutes, faire la récup des viandes hachées et des saucisses ?!
    – C’est Brigitte Bardot qui s’en occupera, comme des dauphins, des baleines et des ours mal léchés, des renards et des vieilles filles, qu’on a délaissées ! Celles qui n’ont pas de copains !
    – Et courir les lapins ?
    – Des chauds lapins, surtout ! Hahaha, firent les spectres en plaisantant !
    – Je sais, ils préfèrent les emails, les Youtube, les trucs courts, la langue de bois ! La langue, l’esthétique du parler, la vertu du mot, la littérature sont soldées ! C’est la culture de l’image, de beaucoup d’images du son !
    – Du fric, du froc, des filles, des curés et de leurs enfants de chœur, hihihi
    Ça a été ainsi de tout temps ! Hahaha !

    Mémoire, retours et résilience

    – ‘’Mame’’ Student ? Dois-je encore te raconter ce qui c’est passé depuis que tu as quitté le cabinet des conseillers de la Ministre de la Santé ? J’ai saturé les forums, fatigué les lecteurs, déçu mes amis par l’incontinence verbale et l’irrespect aux décideurs ! Tu sais, je n‘ai plus beaucoup de temps pour mes loisirs et les gens ne lisent plus ! Tu regarderas sur les forums de La Nouvelle Tribune…Mes écrits résument la chronique !
    – Pschitt ! Effacés Maidoc de leur nouvelle maquette on-line !
    – Ah bon ! Que d’efforts perdus à jamais ! Mes empreintes sur le temps sont anéanties ! Mes idées sont aléatoires !
    – Ce sont les aléas du virtuel ! Que ce soit Al Bayane, l’Opinion, la Vérité, la Gazette, Jeune Afrique…Tout passe, rien ne demeure ! Même pas le souvenir ! Même pas les traces du souvenir !
    – On efface l’Histoire, les idées et par là on efface les gens, on les radie pour quelques malheureux disques durs…

    L’idylle des idoles

    – Darling, 13 heures sonnent sur le portable. Dites mesdemoiselles, c’est l’heure de prendre mes médocs. Je ne dois pas les prendre à jeun. Je vous laisse, je vais chercher un chawarma-panini-poulet, à côté…Et pour vous les végétariennes bien sûr, ce sera un ‘’Mac Do Vegetables’’ Coca, frites ?
    – Un toubiiiiib, un ! Saignant ou bien cuit ? Hihihi, fit la grosse Morta !
    – Eh Toubib, cesse de bouffer des médicaments ! D’abord tu ruines la Mugephar !
    – Tu nous fausses nos prévisions ! Fit la Morta. D’elle, le lecteur ne sait rien ! Elle sait tout de lui ! C’est la troisième, la plus vieille des Parques, qui tissent et coupent les cordons de vie, l’âme qui est relie le corps aux étoile !
    – On ne sait plus quand venir te chercher…Hahaha ! Reprirent Nona et Decima, pendant que Student avait des larmes qui lui coulaient sur les joues !
    – On ne mange pas Maidoc ! Nous des sommes des spectres ! Des hologrammes vivants ! Merci pour votre sens de l’hospitalité !
    – Nous sommes les anges de la mort. C’est nous l’interface entre les deux rives de la vie ! Vous l’avez deviné !
    – Alors on en reparlera…Je ne vous dis pas Adieu. Prenez ces fleurs avec vous, mes-d’âmes ! Mais laissez-moi ma Student ! Ramenez tous les os de vos clients, hommes et animaux, aux limbes, et vous-mêmes et remontez aux étoiles ! Ne partez-pas sans faire une bonne action ! Une hassana taybia ! Prenez plus tôt que prévu, les opportuns, les inopportuns, les hypocrites et ceux qui m’embêtent !
    – Et oubliez-nous un moment encore, les Fileuses ! Fit la Student, rénovée, en s’approchant de son vieux Bassou, sa joue contre sa poitrine ! Admirez l’image, romanesque, lecteur !
    – Allez dansez maintenant avec votre avatar de Student! On vous surveille de là-haut ! Jouissez…de la vie ! On prend des photos !
    – On fera un film sous vos yeux !
    – On mettra les voiles…
    – Non, on les enlèvera !
    – Je t’appellerais Hamada…
    – Et même morte, je ne quitterais plus My Doc !

    DR IDRISSI MY AHMED,
    13 04 2010, MME STUDENT CHAPITRE 35 ET PLUS,
    aamm25@gmail.com

    #209671
    nass
    Membre

    « Parce qu’il y a toujours un peu de vérité derrière les « je rigole » ..
    un peu de « curiosité » derrière les « je demandais juste » ..
    un peu de « savoir » derrière les « je ne sais pas » ..
    un peu de « mensonge » derrière les « je m’en fous » ..
    un peu de « souffrance » derrière les « ça va merci »

    #271382

    En réponse à : MOULOUDIA mchate m3a belhachmi

    MCiste
    Membre

    Depuis quelques Années je me posais la question suivante :

    Comment ça se fait que ce grand club avec tant d’histoires vit une situation pareille ??
    Qui est le responsable ou plutôt quels sont les responsables ?

    Et je pense aujourd’hui avoir trouvé une part de la vérité si c’est pas toute la vérité et je me fais un devoir d’éclaircir certains points aux vrais oujdis qui aiment le Mouloudia pour le Mouloudia

    Et cet opinion ne s’adresse surtout pas a une catégorie de pseudo oujdis qui guettent la moindre occasion pour faire du mal au Mouloudia

    En effet le MCO et depuis quelques années et plus précisément depuis la disparition du père Mustapha Belhachemi(Allah yerahmek ya si Mustapha ) attire la convoitise de différents protagonistes auxquels si Mustapha faisait face avec ardeur, dignité et courage.

    Ces responsabilités incombent a ces acteurs ensemble :

    *Je commencerai par ces présidents qui après sa mort ont trouvé le champ libre pour lui succéder avec leurs appartenance politiques ( parti Istiqlal, ou RNI ) afin d’assouvir leurs besoins et utiliser le Mouloudia comme un outil politique

    *En second lieu , ces opportunistes que je nommerai voyous du football qui ont crée la zizanie et continuent a ce jour et ce depuis des années autour du Mouloudia et dont la bassesse est arrivée au point de corrompre certains des joueurs pour que le MCO soit reléguée en deuxième division ou essayer par tout les moyens de transférer des joueurs sans la connaissance du comité ( Feu Si Mustapha Belhachemi en a payé le prix fort par sa propre santé et c’était une des causes de sa disparition ( allah yakhoud fikoum alhak bande de voyous).

    *La responsabilité incombe a ces nouveaux riches qui magouillent de part et d’autres en corrompant les voyous et ce dans le but de faire du Mouloudia un Tremplin pour assouvir leurs objectifs politiques ou de reseautage pour s’enrichir encore plus ou espérer avoir des postes clés a l’avenir

    *Aussi au public : Le vrai Public Oujdi et le meilleur de tout les publics au Maroc par reconnaissances des grands du football marocain, a aussi sa part dans cette décadence en restant les bras croisés devant ces agissement de voyous et pseudo_politiciens ,
    cette neutralité par absence totale des terrains, ce n’est pas ça le public Oujdi quoi qu il arrive si tu aimes le Mouloudia tu dois la supporter car c’est ton club c’est ton identité

    *Je reproche a comité directeur en place en la personne de Mr Lehmami de laisser les failles a certains soi-disant dirigeants de jouer le double jeu et tout le monde sait de qui et de quoi je parle

    *Par contre j’apprécie en Mr Lehmami d’être une personne intègre avec reconnaissance de tout le monde et qui continue la vision de (Si Mustapha Belhachemi allah ya rehmou)
    En s’opposant a ces voyous et pseudo politiciens et tous ces renards et ignorants qui veulent s’accaparer l histoire de toute une ville .

    Enfin je dirai a tous ces minables et bande d’incompétents
    D’aller chercher ailleurs d’autres proies car le Mouloudia qui fait partie intégrante de chaque famille a Oujda et par son passé, , son présent et son futur , par son public, sera protégé par ces hommes intègres qui malheureusement restent neutres ou en tant que spectateurs

    Le Mouloudia ne vous donnera jamais l’occasion de faire partie de son histoire car vous n’etes pas digne de cet honneur

    Je demanderai au public Oujdi de se mettre a coté de leur club et des joueurs qui souffrent enormemnt de ces agissement et de traquenards de ces voyous

    Je demanderai aussi par l’occasion a Mr Lehmami a résister a cette vague indécente de ces voyous tant qu il peut , ne serai ce que pour la mémoire de Si Mustapha Belhachemi , père du Football Marocain et Oujdi .

    Ni Si Mustapha Belhachemi( allah ya rehmou), Ni les ex présidents, Ni Mr Lehmami Ne sont Eternels……..

    Le Mouloudia par contre est Eternelle……….

    Un vrai MCiste

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Ecrire tout un livre pour dire que je ne veux pas publier ?

    Bonsoir, tu m’as écrit ce 12 mars 2010 : « My Ahmed, Bravo. A quand la publication de tes écrits ? ». Cher ami, veux-tu une réponse longue ou courte ? Dois-je t’écrire tout un livre pour te dire que je ne suis pas tenté de publier ?

    Ecrire est une chose, mais publier, c’est pour qui, c’est pour quoi ? Ici au Maroc d’abord écrire en français, pour un lectorat réduit est un défi au bon sens commercial de la chose ! Mais ça se défend pour les professionnels qui ont un nom sur les étalages de la culture. Les écrivains qui ont un label qui les distingue, les introduit et les avantage auprès des critiques, pour les consacrer chez les éditeurs. Voire de l’oligarchie francophone, ‘’lisante‘’ et luisante, seyante et sémillante, commerçante et bien pensante, sise sur l’axe cérébrospinal des deux capitales utiles ! Le reste, lisant et écrivant plus l’arabe, lit autre chose sur les cartes, son destin suspendu et son utilité discutable !

    Ecrire pour parler des amours de ma grand-mère, de mes jeux naïfs de mon enfance, passée près des palais, rythmer dans un poème le vol nuptial des papillons, sous le chant des cigognes et les râles des grillons, parler aux roches volcaniques de la couleur du vent qui les fait fantasmer avant leur éruption? Inventer pour le plaisir d’en sortir ou de faire peur, une évasion de terroristes ! Ou celle qui fera un film rocambolesque de mercenaires ou d’intégristes échappés aux fers des chez les matons ! Avorter des crimes des rescapés, éventer des révolutions châtrées dans l’un des pays chauds ? Vendre de l’exotisme, chargé de doutes à la xénophobie avérée ? Faire palpiter le lecteur en espérant passer un jour son œuvre au cinéma ? Ou simplement des errances politiques des partis et des hommes de mon pays et comment dicter aux décideurs mes stupides conseils et autres suggestions ! Ça c’est bien moi en fait ! Mais ça fait l’objet de lettres particulières ou de rares articles sur les journaux, pris à témoins ! Et non pas d’éditions !

    Ecrire pour éclairer, pour se définir et pour s’identifier. Ecrire des balivernes plaisantes sur soi, des contes pour adultes, en guise de passe temps ! Ecrire pour militer et défendre. Ecrire pour former et informer ! Pour écrire il faut un but, une raison de plus pour publier ! D’ailleurs, qui voudrait me publier quand je taquine les colons et médis des ses alter ego ! Ce n’est pas aux frais de l’ambassade ou de l’état, que des mots perceptibles comme blessants, pourraient voir le jour ! Admettre des actes répréhensibles, ou leur simple allusion, la critique et la mise au point, vous fâche déjà un homme. Il faudrait que les ‘’ bienfaiteurs‘’ soient masochistes pour accepter la diffusion de ce qui les indispose et blesse ! La transparence n’a pas cette couleur la reconnaissance des faiblesses passées non plus !

    Nos livres n’intéressent pas la vieille métropole ni les pays qu’elle a connus, même quand ils lui restent ombiliqués ou confédérés ! Les amateurs de votre belle langue, qui lui restent entichés, n’ont qu’à ce taire sur le plan de l’esprit ou de l’écrit ! Les écrits de ces ‘’ provinciaux ‘’ d’une autre nature, sont imbibés des relents d’un terroir qui semble plus étranger que jamais ! Notre français emphatique, imagé ou prolixe, date de votre dix huitième siècle ! Vous parlez autrement et vous lisez autre chose !

    Ecrire pour une minorité, une élite, publier à fonds perdus, juste pour timbrer les colis de votre livre dédicacé que vous vous devez d’adresser à des gens qui ne l’auraient jamais acheté. Mieux vaut chercher leurs emails pour les aviser, si ce n’est les importuner un peu, pour récolter en retour, quelques mots condescendants, si ce n’est rien du tout ! Car les gens sont braqués sur la parabole.

    Leur temps, ne suffit pas pour étancher cette soif immense de connaître le monde. Là, c’est un monde d’images qui les attire, les révolte contre les leurs, les invite puis les dissuade, et les interpelle constamment. Une relation d’amours pervers, chargée de symboles, de rancœurs violentes, de dépit et d’attirances ! Un monde, à peu de frais, qui si proche, n’est guère soumis à la quête des visas.

    Ces murailles en papiers, qui freinent l’émigration et que ne peuvent franchir que les plus motivés. Ce, au bout de parcours marathoniens, des aventures souvent mortelles ! De vrais chemins de croix pour les survivants qui espèrent vider cette patrie, cette poubelle l’Afrique. La marâtre arriérée qui les assume si mal et qu’ils répudient, même en y restant chevillés, surveillés par des mâtons.

    Si ce sont nos pays, ce ne sont plus nos terres ! Nos drapeaux, nos symboles, nos hymnes, nos frontières, ne collent pas aux limites de nos tribus ! La notion historique et large de Nation, s’est perdue dans les âges et dans l’entrechoc des religions et des civilisations, au profit de barrières et des douanes, qui ligotent les gens et assiègent les hommes !

    Pas bouger !! Un exode qui les déboutent et dissuadent l’Afrique de son virtuel paradis européen ! Chemin faisant, dans ma réflexion, sur le livre, la connaissance et la curiosité, je me retrouve en train de rouvrir le sujet galvaudé de la majorité des romans marocains ! L’exode économique. La quête stérile du Graal et ses tristes déboires. Cette volonté instinctive de quitter les lieux pour un motif vital, la recherche du travail, n’importe lequel est débouté ! A raison ?! Pour protéger l’espace, le sanctuaire privé des dieux, l’intimité des idoles et maîtres européens !

    Je disais donc, question ouverture sur les cultures, voilà donc un monde, parabolique, mais qui a tué le livre. Ecrans dans les deux sens, la télévision est suivie par des milliards d’individus. Un outil, mais aussi une attache passionnelle. Ce média universel, axe cérébral de la globalisation, qui reste néanmoins attractif et intéressant. Seulement sa profusion ahurissante dépasse l’imaginaire. Et cette occupation tue le temps de la lecture au point de se demander pourquoi écrire si l’on peut créer des images qui parlent ! Et là, Youtube répond à ma question !

    Les gens d’ici ont des difficultés avec l’épicier, la quête de nourriture et de médicaments, s’ils connaissent parfois le marchand de journaux, ils ont perdu l’adresse des libraires ! On vient d’en tuer un de ces ultimes résistants à Casa. Adieu, Jacob Chriki, tu me rappelles mes libraires du Mellah de Fès. Tous partis ! Qui en Israël ou Palestine, qui au Canada ou en France, qui chez le bon Dieu, Yahvé le père, à la bonne adresse, maintenant !

    Crime pour de vrai, dans une affaire banale et crasse. Celle d’un pommé, armé d’une barre de fer ou d’un couteau, peu importe ! Drogué ou pas, vol et non dérive raciste extrême. C’est le principal, rassure-t-on. Personnellement, je ne sais pas si la peine de mort se justifie encore dans de pareils cas ! Mais, il doit y avoir un salaire pour le crime.

    Là je serais, au conditionnel, pour appliquer la loi divine plus que le pardon humaniste ! La vengeance sociale impartiale pour l’exemple dissuasif et le châtiment ? Le ‘’talion’’, la justice. En un mot ‘’équitable’’, à hauteur de la biblique mesure du ‘’dent pour dent, œil pour œil’’ ! Et le pardon et la résipiscence, les remords et l’excuse, le regret et le pardon, qu’est-ce qu’on en fait, Docteur ! Seul celui qui a été tué ou Dieu, pourraient le faire ! J’ai horreur d’en parler !

    Toi, par exemple cher ami, que retiens-tu face aux criminels, aux monstres, qui gomment des vies comme ça. Que ce soit sous forme artisanale à l’unité, en série ou industrielle ! Je suis contre toutes les formes de guerre, contre la peine de mort, mais je suis déchiré devant des horreurs pareilles ! Au point d’invoquer d’autres consciences que la mienne, pour ne pas dériver dans mon jugement !

    Mais l’amalgame, le doute soufflé, à demi mot, pour qui veut tancer est vite fait. On incriminera la religion ou le terrorisme, le racisme, l’antisémitisme, pour instrumentaliser, sans dignité ni respect, l’épouvantable assassinat ! Ailleurs, quand c’est quinze mercenaires qui gomment un Hamas, les agents sortent avec des décorations et beaucoup d’argent, certainement. Un autre nom, une cachette, un boulot tranquille ou un autre passe, le temps qu’on tourne la page et qu’on efface de la mémoire l’événement !

    Ceci est un exemple où donner son avis, vous classe dans un registre de façon rigide et définitive, ou dans un autre où on se complait à vous flatter. On vous chasse ou on vous considère, selon l’audience et les partis pris !

    Ecrire et réagir, c’est souvent faire face à une démoniaque distorsion des événements et de la vérité. C’est donner son avis pour essayer de comprendre une trame opaque, les tenants et aboutissants d’un événement, d’une propagande. La réalité est dribblée dans les périphrases de discours programmés, dans des réactions de défense préétablies, pour justifier l’indicible, endoctriner les plus récalcitrants, désinformer ceux qui sont neutres, ou des mesures lénifiantes pour congratuler la tribu ou le clan !

    Ecrire, plus sobrement, c’est la recherche des mots et des actions susceptibles de faire resurgir la vérité, c’est clarifier son opinion.

    Ecrire est une artillerie offensive ou offensante. Une arme psychologique, dialectique, rhétorique, qui cherche à persuader ou contraindre, à confondre ou défendre, à humilier ou glorifier ! Ecrire, c’est aussi souder son opinion, sa compréhension des choses avec celle d’autrui. Publier, c’est tenter de les partager avec le plus grand nombre. C’est une recherche d’harmonie, de reconnaissance ou de soutien. C’est une façon de mesurer vos opinions, de leur donner un corps en les comparant à ce qui est admis de tous !

    Ce n’est pas un mystère au Ministère de la Culture, où maintenant à la place d’une actrice, poussée comme une héroïne sur le théâtre de notre composite gouvernement, nous avons un philosophe ! Pire que le sport, ce domaine que l’on a raté dans tous les championnats, son département, polyglotte à peine, ne dispose que de peu de moyens, pour conjurer la situation.

    Chez nous, la Culture ne nourrit pas son homme. Beaucoup de peintres y auraient du faire dans le bâtiment. Question de subsister, tant leurs huiles n’ont pas fait d’eux de gros légumes. Bien des acteurs, débarqués des planches, crèvent la dalle avant d’y plonger dessous ! Ou de recevoir anté mortem, par charité, des soins hospitaliers, en guise d’ultime reconnaissance, avant leur dernier sacrement !

    Penses-tu que ces mots seront lus ? Et sur quel journal fais-tu le pari pour les publier demain ? Toutes fermées ou presque ! Je ne parle pas des grosses gueules ! Faut-il dire et te préciser qu’il n’y a presque plus de salles de cinéma au Maroc ? Antan, certaines servaient de scènes et de tréteaux à ces troupes apocalyptiques !

    Ecrire, serait-il devenu une faute après avoir été un crime ? Faute de doctorat et de magistère, peu de gens de chez nous, osent écrire et bien moins encore s’aventurent à éditer ! Publier est une gageure ! Car, n’étant pas un acte d’indifférence, mais d’engagement solitaire. Un acte suspect de lutte ou de pertinence. Ecrire peut être interprété comme une offense ou une caricature. Oser être c’est publier. Publier pour devenir soi-même ! A condition de mesurer son courage face aux risques. Le courage de ne pas rester, muet, quand rien ne vous oblige au silence ! Ecrire quand on a la chance de vivre, de vivre encore, publier quand on a la chance d’écrire et de savoir écrire et la perception, l’intuition, des choses utiles à dire. Je dis ça pour parler et réfléchir à ce que je viens de dire !

    En dehors du fait de vouloir parler de soi et de ses expériences, parce que le livre, c’est vous, et ce du fait qu’il porte votre nom, il donc le risque de produire des banalités. A une dame, médecin versée dans la communication et devenue éditrice de son état, qui me traitait de Victor Hugo, en plaisantant je suppose, ce que j’ai quand même gardé comme un réel compliment, je disais ‘’ je ne veux pas écrire de choses qui ne seraient pas utiles pour l’humanité. Un peu prétentieux mais c’est la seule chose inutile que je neveux pas courir ! Ecrire, oui si on a des choses importantes à dire…Autrement écrire pour soi, son journal, ses poèmes, sa prose de tiroir ! Au lieu de tuer des arbres et de crever ses yeux pour rien ! Le même défi que tu te tiens pour terminer mon texte, cette chose !

    C’est pour qui, finalement, c’est pour quoi qu’on écrit et qu’on se doit de publier ? Ou contre qui ? Ça dépend d’abord des compétences de l’écrivain, de sa valeur et de sa vanité ! Ça dépend des sujets qu’il fricote. Des cohortes d’où il sort ! Ses écrits seront bannis ou honnis, censurés ou acceptés, utiles, odieux ou stériles ? Et puis, le thème doit varier avec les préoccupations du moment et des lieux où il réside. Encore que ‘’la mode’’ écrire n’est pas suivie chez nous ! Quand vous avez une grande partie de la population qui est analphabète dans nos cinq langues ! Nos gens ont peu de moyens, en fait, pour s’offrir des livres.

    Ecrire devient, s’il ne l’était, comme nos urnes un motif suspect, vidé de son contenu, de son utilité ! Les gens, minimisés, oubliés, outrés ou abusés durant des siècles, se méfient des nouveaux prophètes et des parvenus ! Les plus motivés ne bougent pas ! Les plus conscients refusent d’aller aux urnes qui ont si souvent été manipulées. ils se méfient des nantis comme des opportunistes, qui demain vont encore les oublier. Elire ou élever au dessus de soi, Ces deux verbes sont presque voisins, peut devenir dangereux. Les électeurs retirent rarement leurs cartes. Ils se retirent avec dignité du struggle qu’ils considèrent encore soumis aux lois de la fausseté et des tripatouillages permissifs !

    Avec ce que je viens de dire, écrire est un dialogue, différé, autant qu’un déballage ou un aveu ! Une auto confession que l’on veut partager. Que font les écrivains, pour répondre à leurs ‘’ouailles’’, à leur lectorat ? Que font-ils des critiques ou des louanges, pour que ces avis et ces compliments ne restent pas vains ? Ils écrivent d’autres livres en réponse ! Ecrire est un jeu accompli qui se suffit à lui même ? Une analyse, une confidence aux schizophrènes qui nous habitent ! Ces parties de soi, qui dorment en nous, symbolisés par le Ça et le Surmoi ! Espoirs ou défis, écrire est un désir, une plainte ressassée, contenue. Publier est un désir, muet, caché et inhibé, mais une vraie et belle action quand ça a la chance d’avoir lieu.

    D’abord les romans me rebutent. Je déteste les longueurs, en faire c’est autre chose ! Punissez-moi ! Je suis simplement paradoxal ! A contrario, écrire des nouvelles, me serait-il plus aisé ? Je me le demande ! Vu mes contraintes professionnelles et obligations sociales et/ou vitales ? Vous y adhérez ! Des nouvelles courtes, ça m’irait. Et puis, j’accuse mes engagements multiples, qui me laissent peu de temps pour ouvrir les romans, les livres ou pour en faire !

    Je digère mon temps de façon sauvage ! Le résultat comptable est ruineux ! Je ne sais pas ce que je fais…Oui certes, je travaille et je sors peu de mon cabinet, du moins de son ordinateur ! Je ne suis pas ce que je suis ! Je ne me suis pas encore découvert. La vie et sa suite, je ne sais pas…C’est venu pour partir ! Ça vient comme ça ! Peut-être en moins amusant, du fait des péripéties de la santé péripatéticienne, (je parle de la mienne de santé pas de la publique) et des contraintes diverses, sinon communes à tout homme !

    Ensuite, les romans d’inspiration sociologique, judicaire, policière, avec leurs sous-bassements sexuels, leurs fondements bassement matérialistes, m’inquiètent sur mes capacités. Je me crois incapable de créer ce monde et de gérer ce climat ! Régurgiter aux lecteurs les tensions psychologiques, qu’ils ont lues ou vues ailleurs; relater des scandales aguichants, pour forcer l’envie de lire et pousser la vente ? Je fais allusions aux macabres affaires judiciaires qui fleurissent sur les pages des quotidiens et qui ne laissent pas neutres ! La pulsion de savoir, de connaître, la curiosité, font de nous des voyeuristes en puissance. Ne serait-ce qu’à compulser des pages ou de tourner des feuilles ou des images ! Etudier des humeurs ou le profil d’un assassin, son propre héros, tenter de le tuer ou l’emprisonner à la fin du livre ou de la série, parce qu’il est devenu quasiment vivant, parce qu’il est devenu obsédant ? Elucider des crimes déjà féconds dans le cerveau qui les imagine ? Ce sont quelques questions qui me viennent en tête !

    Toute une gymnastique, que ces péripéties et suspens que chacun aime parfois voir dans un film, n’est pas à la portée du médecin ! Je connais un lettré qui a versé dans le livre noir. J’ai connu de nom, sans le connaître un commissaire qui s’est versé avec engouement sur ce genre de polars !

    Se mettre, psychologiquement à sa place du protagoniste, dans le rôle du méchant ou du héros…Assis sur sa chaise, s’exercer au vol, au viol ou verser dans le crime, imaginaire à deux pas des phantasmes, pour ‘’déguster’’, ressentir des sensations fortes, à l’ombre de ses virtuels malfrats et personnages de création… Et pour les décrire, se mettre dans la peau de la victime ou à la place de l’assassin ? Pour le servir et l’asservir ? Pour le faire vivre dans un roman, au départ tout juste alimentaire ! Ecrire pendant des décennies afin de conquérir une renommée, pour se faire un nom de vivant, grâce des spectres subliminaux ? C’est grisant certes, de vivre la célébrité, grâce à des fantômes qui n’ont jamais existé !

    Autre façon d’écrire, c’est lorsqu’on s’intéresse à ce qui s’agite autour de nous ! Le journal et la télé, qui comme de véritables hôtes vivant chez nous, nous prennent trop de place, au dépens de notre vie, de notre temps. Ces émissions de télé nous dirigent et influencent sans nous le dire, nos humeurs, nos achats et nos comportements ! Du coup les infos nous donnent du grain à moudre. De la réflexion et des idées d’écriture, pour peu qu’on se laisse aller. J’ai déjà parlé de la propagande de l’intox, publicitaire, alimentaire ou autre, qui nous influence et nous détermine en conditionnant en influençant nos achats, nos jugements et nos comportements !

    Ecrire donc, en retour et se centrer sur les informations du monde où nous vivons est déjà un gisement inépuisable de sujets. Sauf que cette matière abonde déjà. Sur la presse elle même ! J’ai l’impression, pour ma part, qu’écrire dans ce registre, saturé déjà, serait inutile et improductif ! Inutile de parler des choses dont on a ras-le-bol ! Par ailleurs, faire dans l’événementiel, écrire pour fantasmer sur les mondanités, inaccessibles, louer la brillance des parvenus et leur ‘’bling bling’’, ce n’est pas pour moi !

    Je ne peux pas faire dan les essais, non plus, sur quoi que ce soit, n’ayant pas le temps de faire des recherches ni d’aller aux profondeurs des choses…Non pas que ce soit un tort ni un manque d’intérêt de ma part, mais ce serait un défaut de spécificité, un manquement  »cultivé », voire choisi, pour étendre une vision la plus large possible, au lieu d’un simple accès fenêtré. Une paresse ? Une paralysie de la concentration ? Seulement, pour être vraie et objective, toute vision doit être à la fois totale et profonde. Et là, ça creuse et défie mes limites. Je ne regarde pas à travers une lucarne ni à travers le créneau d’une meurtrière !

    Je pense que mon tort, tel que déformé par la vision généraliste qu’on colle à mon métier, effaré par l’entreprise immense de celui-ci, que je préfère côté information, fureter le plus largement possible, pour m’aviser d’abord, afin de ne pas passer à côté de ce qui est important, quitte à m’y entendre après pour approfondir le sujet.

    Dès lors, réagir ou ‘’vrombir avec les évènements’’, me semble plus vivant et assez opportun, interactif comme on dit depuis. Et c’est là finalement, j’investi mon écriture, il me semble ! Une sorte d’engagement, ‘’à fonds perdus’’, inefficace, mais qui ne rapporte rien. Si ce n’est pas lucratif, n’est-ce pas simplement ou malheureusement ludique ? Or, ne me censurant que peu, j’assume ma part de libertés et mes parts de perte et de risques, à jaser, critiquer, louer ou maudire !

    Un avis est une expression de vie et d’existence ! Un acte relatif mais bénéfique, même s’il est infime et ténu dans le village global. L’expression est une participation civique, à ce qui est universel ou communautaire. Une manifestation d’une certaine citoyenneté de base. C’est élémentaire, mais il faut pouvoir le faire ! Autrement, sur le plan social, c’est vivre en objet, en commensale.

    C’est ce qui donne l’impression de ’’batailler’’ parfois, en ne donnant son opinion. Les forums qu’il m’a été donné de parcourir, sont férus d’animosité première ! La critique et la chasse à autrui, au nouveau intimidé, confond rancune e réserves ! Certains forums comme dans certains groupes sociaux, sont fermés aux opinions, non grata, préférant brasser dans les idées partagées, dans le calme des redondances conservatrices et stagnantes !

    Je disais qu’affirmer son opinion, vouloir la discuter, la publier, la confronter est un exercice paradoxal ! Parce que autrui et son avis restent parfois indifférents, hermétiques ou suffisants ! Parfois on a affaire aux professionnels des lettres, des armes et des lois, des partis ou de leurs milices, jaloux de leur entité et de leur exaction, riches en complexes, qui vous reversent des salves dès que vous percez du nez ! Avec leurs travers perceptibles d’entrée, ils conjuguent le mépris avec l’arrogance, analysent votre personne avant vos phrases. Sans mesurer ni le lexique ni les idées, ils vous font un procès sur votre existence.

    Les gauchos, les ‘’imprécrators’’, militants prédateurs, sévissant sur les forums du Net, vous font déjà un PV d’intention, parce que vous vous appeler Untel ! Avec une particule, Dr, ‘’De’’ ou ‘’My’’ collée par habitude à votre nickname ! Vous devenez subitement, l’image et l’emblème de l’aristocratie stipendiée ! Un ersatz, un zombi, un avatar de la regrettable histoire, qu’on leur a appris à détester. Ils détestent en vous l’extraction, la fidélité atavique à votre pays, à votre famille à vos valeurs à votre religion !

    Vous n’avez pas à exhiber votre prénom usuel et familier ! Votre origine, les snobe et les irrite ! Ils vous conspuent avant de lire vos idées ! Et cette malheureuse méprise, excipée comme un militantisme clanique de base, comme une affiche de leur antimonarchisme primaire, est supposée vous dissuader de parler sur les forums tribaux, devenus malsains et triviaux, vous forcer à abandonner les débats, ou simplement vous trainer comme un malpropre dans la poussière pour vous faire quitter l’arène où ils se complaisent ! C’est plus que le nom qui les inspire, une supposée bourgeoise de votre ville d’origine, qu’ils détestent, synonyme pour eux d’une aristocratie, d’une classe honnie ! Peut-être une réminiscence de l’agneau de la fable dont ils veulent bien être, les loups !

    Ou simplement parce qu’une idée, parmi tout le fatras de huit pages, (qui vous aura couté votre temps et vos yeux), détachées de son contexte, est discutable et qu’elle les aurait exaspérés ! Mal émise ou qu’il manque une virgule pour entrer dans leur cerveau !
    Alors, si cet emportement antipathique est le révélateur, ludique et virtuel, d’une dissidence qui dit ouvertement son nom, qu’en serait-il devant des livres et des pages en réel papier ? A quoi bon écrire me dirais-tu, si c’est pour perdre des clients et me faire des ennemis à cause de propos fâcheux !

    Seulement le journaliste, l’homme politique, le militant, monsieur tout le monde, s’il tient à la liberté, doit pouvoir oser ses libertés sans lâcheté ni pusillanimité ! Savoir jouer sa quiétude, ses intérêts, accepter de blesser son orgueil, afin de dire ce qu’il pense, pas forcément pour blesser, mais juste pour communiquer, donner ton impression, dire ses propos, s’affirmer ainsi pour exister !

    Autrui, n’est pas votre ego ni votre égal ! Il est différent ! Autrui est volontiers une muraille en ciment. Sûr de ses principes et convictions. Ses certitudes lui vont comme un cuir de pachyderme. Au total, autrui comme vous est souvent subjectif ! Essayez de parler à un cadre ou à l’un de ses sbires, à un juge ou au préposé au commissariat ! Je donne cette image pour percevoir l’animosité première le doute et la décontenance qu’on vous oppose en premier ! C’est tout comme vous par rapport à cet Autrui qu’on critique et qu’on charge depuis le début ! Vous êtes dangereux pour lui, vous voulez tromper l’Etat, prendre plus que de droit, lui ôter ses droits…Passons, pour avancer malgré les terroristes du verbe !

    Pourquoi autrui résiste-t-il ? Parce qu’il se méfie, parce qu’il a peur ! Peur de l’étranger que représente chacun pour lui ! Pourquoi on ne veut pas enlever ce masque et laisser percevoir le fond de sympathie première ? De peur d’être trompé et abusé ! Cet instinct est le propre de l’être vivant ! On ne se découvre pas ses défenses devant l’inconnu, assimilé à l’ennemi et au prédateur. Parce que le temps et l’expérience sont les meilleurs révélateurs pour corriger les opinions, pour peu qu’on accepte de le faire ! Mais cette étape de prise de confiance, nécessite le temps de connaître l’autre et de découvrir ses intentions.

    Alors que faire devant les inopportuns, les méfiants, les adversaires vulnérants, qui ne ménagent pas autrui et qui l’empêchent de s’exprimer ! Tenir, oser se mouiller, accepter d’être critiqué injurié, déçu puis repartir ! J’ai eu l’occasion sur le forum de présenter des excuses à des visiteurs qui s’étaient inscrits pour se moquer et plaisanter, apparemment, alors que ce n’était pas le lieu, ou que j’avais mal jugé de leurs intentions, sur le vu une simple erreur, portée sur leur âge ! Et ça m’est arrivé d’être refoulé du fait de mon métier d’autres forums, ou pour des propos d’emblée considérés comme contradicteurs. Faut-il persévérer, s’entêter tenir ? Tout dépend du temps et de l’épaisseur du derme qu’on appelle fierté d’un côté et tolérance de l’autre !

    Faut-il écrire ? Oui, ne serait-ce que pour dénigrer ! Ce qui nous semble illogique ou irrégulier, évidemment. Dussions-nous nous tromper, on ne doit pas censurer nos opinions ni nos questions. Évidemment il y a la manière ! La politesse, la psychologie ou la diplomatie, pour ne pas blesser inutilement, ceux auxquels nous nous adressons ! Des gens qui pensent autrement, qui potentiellement nous écoutent, avec des dispositions diverses allant de l’intolérance à l’opposition !

    Que ce soit dans l’écrit ou dan l’oralité, rien n’empêche de se rattraper humblement, loyalement et sans hypocrisie, si on a commis une faute à l’adresse d’autrui ! Faut-il encore qu’il vous pardonne ! Faut-il encore sentir cette force du caractère, cette joie et ses effluves qui résultent de la grandeur d’âme ! Retrouver cette sérénité et cette chaleur qui vous enveloppent est un réel plaisir quand la controverse et l’altercation sont apaisées. Et là vous avez gagné l’un l’autre l’estime et dignement vous êtes comme amis, chacun ayant échangé les propos qu’il jugeait libres et bons !

    Ecrire de façon avenante, policée première, est de bonne facture. Seulement les lecteurs n’aiment pas les propos arrondis et lénifiants ! Il leur manque le côté bagarreur, ‘’disputatif’’, le côté excitant et trash ! Ecrire avec correction, pudiquement ? Non pas par crainte, mais par prophylaxie des entêtements inutiles et de la faillite, de la fermeture du dialogue ! Cependant, il faut verbaliser le mécontentement. Le bonheur et la joie se communiquent et se partagent, parfois. Dès lors, pourquoi taire leur contraire, le mécontentement et dire zut virilement ? Si ça ne va pas, il faut le dire ! L’homme a un parler, une langue, un verbe écrit ou oral, une conscience de son individualité et de ses libertés, asservie à sa personnalité. Il faut qu’il se libère, mais intelligemment. Il y a une dose de sel et d’épices dont il ne faut pas se départir.

    Ces dispositions étant signalées, dans nos réflexions et dans nos écrits, dans la réception de l’information d’où qu’elle provienne, l’acception doit être relativisée ! Ne pas tout accepter, discuter, comme accepter le fait que l’on doute de nos assertions ! Ainsi, question de vérités, le doute s’impose. Il faut rester circonspect. Faut-il douter de tout à en tomber malade ? La croyance, la confiance sont des états de repos et de paix. Le doute automatique, la méfiance créent l’inquiétude, la tension et le manque de repos ! Et là, c’est la pathologie !

    Seulement entre les vérités, la vérité et la réalité, il y un prisme déformant ! Et chacun voit à travers son propre prisme et son degré particulier de culture de compréhension ! Un mot ne signifie pas la même chose chez tout le monde ! C’est le premier écueil du dialogue. Allez traduire, allez penser dans une langue et vous exprimer dans une autre. Ce qui m’arrive étant né et formé, comme la plupart de mes concitoyens entre plusieurs langues et deux rives de civilisations ! D’un autre côté, l’information et l’intoxication, on en use et abuse ! L’enseignement, l’éducation, les us socio-familiaux, les préceptes religieux, les convictions et les crédos les plus fermes, les convoitises, ne sont pas à l’abri des manipulations et des influences.

    Le lavage de cerveau, son formatage, la remise à neuf n’est pas disponible pour notre usage ! Même si les vérités, les informations, les pratiques sont scientifiques, parfois ces connaissances ex cathedra, se révèlent être erronées ! La crédulité serait d’admettre que nos méthodes médicales, nos traitements, soient précis et qu’ils soient définitivement et perpétuellement justes et avérés ! Hélas, ou tant mieux, ces vérités d’un moment, ces techniques, ces médicaments nouveaux, sont sujets à caution. Il n’y a nul crime de révisionnisme à critiquer les anciennes méthodes de thérapie, au profit des données récentes et des pratiques nouvelles.

    Je ne veux pas parler de la chienne politique, telle qu’on la pratique de visu, de ses errances et de ses a priori, avec son côté mordant et son cynisme hypocrite, je ne veux pas parler des dogmes, du droit ni des droits, des lettres ou de la littérature et de ses fictions, mais de la médecine !

    Je ne sors que le cas de la grippe et de ses monumentales et cochonnes perversions ! Vous avez vu comment les plus ‘’hautes sommités’’ de l’OMS se sont trompés, ont trompé dans une OPA ignoble. Comment des milliards d’individus ont été trompés et leurs gouvernants abusés. On a parlé de virologues de renom, de leur mèche avec les industriels des grands laboratoires de médicaments !

    Comme hier, cette sortie à l’ONU du Secrétaire d’Etat américain sur le charbon ! ‘’Les images d’un Colin Powell agitant une fiole pleine du mortel bacille a fait le tour du monde’’. Ou ladite menace nucléaire de Saddam Hussein et de ses ADM. Des affaires manigancées, instrumentalisées pour entreprendre avec la bénédiction de l’ONU une guerre économique, mondialisée au frais des pays alliés galvanisés pour en payer la facture ! Des frappes chirurgicales ! Mon œil, dans ce travers, seul Chirac aura été un homme !

    Le but sordide était et reste, d’enrichir les promoteurs industriels américains, sous prétexte d’exportation de démocratie dans le même package. De liquider en passant un autocrate, félon puis leader, un somptueux tyran, devenu un triste assassin. On a trompé et abusé le monde entier, après l’affaire des Twins. Des articles contradictoires nous poussent à nous poser des questions sur les dirigeants du monde, sans savoir vers où on va et à quels saints il faut se vouer !

    Les States des Bush, ont embarqué bien des jeunes, liquidé toutes traces de cette civilisation. Au nom de quoi en fait et pour protéger quels affreux partenaires et frondeurs assassins ? Et nous avons vu en retour la grande déflagration monétaire et la faillite des banques en 2009 ! Qu’est-ce qui nous attend et qui nous viendra encore demain de l’oncle Sam et de ses virulent protégés ? Des Hiroshima racistes ? En tout cas la santé physique de la terre, son climat, son exploitation la détériorent à vue d’homme. L’habitacle est sujet à bien des violences, où la pollution de l’atmosphère, des rivières et des océans, du ciel et de ses couches, est cause par les grandes puissances ! Des exemples à suivre !!

    Explorer les informations et les dires, c’est aller pour les journalistes du moins, les politiques et financiers d’entre eux, devant des vérités pas toujours bonnes à dire ni à entendre.

    Ainsi, en allant au fond choses qui nous concernent tous, que reste-t-il dans chaque cas à découvrir ? Des ‘’entités remarquables’’ à élucider ! Faire le procès des monstres qui nous mentent et qui nous dirigent ? Faire à chaque fois, avec effarement la démonstration de la tromperie ? Et après ?

    Pour ce qui nous touche à notre petite dimension, que dire de ces médicaments qui manquent et qu’une fois rentrés sur le marché, ils doublent presque de prix ? Et quand on sait que cela concerne une population fragile et des produits incontournables, les mots tels que exploitation des souffrances, celles d’otages obligés et de chantages, nous viennent immédiatement à l’esprit. Nous n’avons pas cessé de parler de souveraineté de notre pays, à nos dirigeants, de disponibilité des médicaments cruciaux ! On ne nous écoute pas on crie pour rien, on se fâche. Forcément impliqués dans de couteux et importants projets, ils ne sont plus là ! Ils n’ont prévu personne pour s’occuper de nos cas ! Elémentaires !

    Les minorités, les maladies rares et orphelines, leur traitement, leur prise en charge, sont la face cachée de ceux qui doivent cacher la leur ! Et les intempéries politiques qu’on nous assène du voisinage, celles du climat qu’il faut affronter, les pluies qui abattent les minarets à leur tour, les pluies qui rasent les villages, les barrages qui risquent de céder sous le déluge, la population ruinée, à la merci de la famine et des maladies, que l’on secoure du mieux que l’on sait faire. Voilà l’autre face du programme urgent, qui occupe les nôtres de cadres, des officiels que l’on critique, quand ils ne peuvent pas nous aider !

    Nous râlons, nous, qui restons couverts et au chaud, sans rien donner de nos biens, de nos sous, à titre de solidarité avec les victimes ! Dans toutes les contrées du monde, là où les infrastructures sont relativement fragiles, destructions et épidémies, chômage et misères plus profonde encore, emportent des milliers de personnes chaque année ! En plus des maladies graves, qu’il est inutile de citer ici ! L’humanité saigne ! Vivement qu’on enseigne le ‘’civisme universel’’, le devoir de solidarité international, dans les écoles au même titre que la culture et les fondements de la morale et du civisme local !

    En ce qui me concerne donc, cher ami Henri, comme tu t’en est aperçu dans cette dissertation, c’est cas par cas que je donne mon opinion. Ça ne vaut pas la peine d’en faire des tartes ni des livres. Un poème par ci, un texto comme celui-ci par là, pour m’expliquer, au fur et mesure que les événements m’interpellent ou que la muse accepte de ‘’glousser’’ des semblants de poèmes avec moi !

    Merci l’ami de tant de sympathie et d’encouragements. Je m’excuse, si pour exprimer mes idées, à propos de l’écriture, j’ai dérapé ou fait dans l’amalgame, en interpelant des évènements, discutables et récents, qui non résolus à ce jour, suscitent intérêts, contradictions et passions !

    Dr Idrissi My Ahmed

    #206388
    mourad.oujdi
    Membre

    Salut Tout le Monde,

    Savez vous que le mariage est à Oujda est parmi les plus chers au Maroc, ce que veut dire moins d’engagement ou dans le cas positif un vrai début cassé pour le nouveau couple 🙂

    A Rabat, ou à Fes par exemple, la dote est toujours moins couteuse qu’à Oujda, et encore plus on fait une seule fête, en général c’est la femme qui organise la fête, l’homme quand à lui il achète l’ameublement (ce qui est tout à fait logique), et tout calcul fait, pour un couple de cadre à Oujda le mariage coutera pour l’homme vers les 80000 dhs, alors qu’à rabat ou fes, il ne dépassera pas 50000 dhs (sans oublier le grand féminisme de la femme 🙂 lol je rigole);

    J’évoque ce sujet car sur une clique oujdie de 10 amis, avec un age moyen de 29 ans, (ingénieurs et médecins), 5 ont pris une fassia, 2 une casaouia, 1 une merrakchia, et un autre cherche aussi une qui soit pas de la région d oujda, et je reste moi et un autre ami (lui il est très triste depuis 6 mois, sa famille a refusé d’accepter une fille de casa);

    Bon c’était juste une petite remarque, pour que nos filles d’Oujda présente un bon cahier de charge, sinon les meilleurs cadres de notre chère ville ont tendance à préférer autre option 🙂

    alors plus de féminisme et moins de couts (laissons les grandes dépenses aux « Immigrés » « facancia », ils ont assez d’argent pour l’été, et beaucoup moins d’argent pour le reste de l’année 😉 ) lli bghah ga3 khallah ga3

    On change beaucoup d’idée reçues quand on côtoie les gens et pas les idées
    Personnellement j’ai trop changé, et je vois les différentes régions du Maroc autrement
    Y a des vrais musulmans partout, et le grand chemin de la vérité commence par l’autocritique

    Salutations!

    salutations!

    #273552
    Alaa-eddine
    Participant

    VB et Windev c’est l’avenir … biensure … Si tu le dis 😆

    de toute façon tu détiens la vérité absolue on ne peu te contre dire 😉

    #273542
    Alaa-eddine
    Participant

    @Farida : Encore une fois, si tu appuis tes raisonement sur des extraits vidéo, des copier/coller d’autres sites, des avis pré fabriqués… et ensuite tu viens prétendre que t’as une pensé libre ?! tu me fais franchement marrer 😆 😆

    Celui qui nait aujourd’hui en France ou en Suisse, crois tu qu’il a le droit de demander de revoter les lois sur la laicité ou l’interdiction des minaret ? c’est voté, c’est adopté, c’est fini !
    et puis en plus tout celà on s’en fout … comme je t’ai dis, il n y a pas qu’une seule vérité, et il n y a pas de vérité absolue.
    si tu es musulmane vraiment (j’en doute fort) et que tu doute de ta foi, c’est simple, change de religion.
    Si tu es Marocaine et que tu considère que les lois Marocanes ne te conviennent pas, c’est simple aussi, va en europe et vie la démocratie …

    maintenant si tu cherche vraiment la vérité (ce dont j’en doute également), arrête de chercher la vérité sur google et va lire des bouquins, ca te fera beaucoup de bien, ca te permettera de penser par toi même, et ça te fera oublié le copier/coller …. quand tu aura trouvé ta vérité, à ce moment là, on pourra avoir une discussion constructive .

    #273538

    Bonjour
    Mr Mourad_oujdi
    Tant mieux pour vous l’essentiel c que vous etes heureux et convaincu.
    quand à moi quand je vois une vidéo pareille je doute que nos oulamas ne nous disent pas la vérité.

    http://www.youtube.com/watch?v=k0l5u2Whnjo

    #273537
    mourad.oujdi
    Membre

    Bonjour,

    Naitre musulman, juif, chrétien, etc.. et ne pas chercher la vérité c’est de la religion héritée et ce n’est pas de la vrai religion je suis d’accord avec vous Farida;

    Mais heureusement à un moment de ma vie, en cherchant cette vérité, j’ai trouvé que la vérité était déjà en moi, que l’islam est le meilleur moyen de révéler cette vérité de mon existence et répondre à mes Grandes questions;

    la vérité que je cherchais était une chose loin du matérialisme et du gain social, j’ai pas cherché comment on doit gérer une nation, ni comment faire de la démocratie, car tout cela n’était qu’une facette de mon matérialisme, mais j’ai posé la grande question existentiel qu’a posée les grands penseurs de tous les temps: QUI SUIS-JE? COMMENT SUIS-JE Là? C’EST QUOI CETTE VIE QUI FINIRA PAR LA GRANDE VÉRITÉ QU’EST LA MORT?

    Pour la question du jeune, faut préciser c’est quoi une loi divine, et c’est quoi une loi citoyenne, sinon pour le vote, je t’assure Mme Farida, que vous allez être surprise, les marocains vont pas seulement voter pour l’islam, mais fêtes attention ils vont même dire oui à l’islamisme aussi, et c’est là le paradoxe de la liberté d’expression « accepter tout ou accepter qui nous arrange »

    salutations

15 réponses de 121 à 135 (sur un total de 1,276)
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