Résultats de la recherche sur 'le prix'

[msc de mtl]

bonjour tout le monde au debut j aimerai bien vous clarifier un principe qu on appelle le symbolisme. si je mets par exemple deux jackets qui ont la meme qualite dans le meme magasin puis je fais un signe une marque ou meme un symbole sur une et je laisse l autre sans signe le client lorsqu il vien il va demander le prix de la premiere jacket sans signe on suppose c est 200 dh et il va demander le prix de la deuxieme on suppose qu il est de 2000dh le client il va au debut commencer a poser des questions sur la marque est ce que c est (

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) la premiere ou (

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) la deuxieme puis il va se terminer a achetter son jacket avec la marque reconnu sans prendre en concideration la qualite qui est pareille pour les deux jackets car c est rare qu on vois un client en train de verifier les composantes du tessue ou du cuire. le client a pret a achetter son jacket avec une difference de prix egale a 1800dh. la question qu on se pose. pour quoi on est pret a achetter des choses qui sont trop cheres a nos budget juste parce qu ils sont des marques reconnus. ma reponse personnelle c est que la plupart de nous a un probleme psychique de superiorite car la plupart crois que cela donne une satisfaction psycheque chez l individu. puisqu il essaye de se distinguer des autres personnes de se voir plus supperiore ou que les autres son moin que lui. de meme notre population donne plus de valeur aux apparences que malheureusement cache la realite de la personne elle meme. ce que je dis est valable meme pour la nouriture etc……
revenant au sujet centrale sur le projet restaurant (

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). ma question pour quoi on est toujours pret a payer bcp d argent pour avoir juste la licence d utilisation du nom alors qu on est capable de choisir nos propres noms et nos propre specialites qui reviendra bcp moin chere que un tel projet. est ce que vous nous voyez pas que la plus part des marques et des noms ne sont pas les miennes et se sont d autre entreprise internationnales qui sont en train de vendre juste le nom d utilisent du symbole et qui sont en train de se developper juste parce qu ils sont le nom qui symbole de supperiorite et non pas necessairement de la bonne qualite que nous essayons de trouve tjs ce pretexte pour justifier nos chois.
quand est ce que nous alons retourner a nos propre valeur et principe. quand est ce que nous alons avoir des jeunes qui son capable de creer et non pas d imiter.
quand est ce que nous serons capable de developper notre pays alors qu au fond on est en train de developper l exterieur. puis nous essayons d immigrer meme clondestinement pour travailler dans d autre pays alors que c est nous le probleme qui a cree cet ecart entre nous et eux.
c est dommage d enttendre apres avoir poser les questions a un oujdi
qu est ce que tu fait dans ta vie, (rien).
c est quoi tes objectifs dans cette vie, je ne sais pas. (ghi allah yessehel lie fchi herga mnhade leblade).
mais pourquoi, (mabqa ma yedare we mabqa ma ye3ejeb). meme il sera pret a sacrifier son bonheur de cette vie qui la bonne femme (saliha) pour se marier avec n importe qui (une mauvaise personne soit de chez nous a cause de sa richesse ou de l exterieur a cause des papiers) car il pense que c est la solution a ses problemes.
vraiment je ne sais pas quand est ce que il y aura une bonne solution et comment. alors que avec le numerique cela est devenu plus grave en terme des exigeneces et en terme des reves.

[benahmed]

Avec qui prendre contact?
doit on payer une tva?comment est telle calculer?
un resortissant marocain combien doit il payer de tva?
une rumeur dit que pour un marocain resident à l’etranger,ne doit pas payer de tva?es vrais?
quelle est le prix du metreà oujda?

[Anonymous]

j ai travaillé 1 an au macdo aux EU. a mon avis c est pas tellement rentable dans notre region d oujda. vu qu il y aura bcp de concurence non pas du nom mais du menu car tu sera pas protegé compte aux autres restaurants qui vont faire la meme chose que les restes de macdo avec des prix bcp plus concurentiel que le votre (pas de couts des licences d utilisation du nom) de meme pour la difference tu sera obligé d importer les sauces de l exterieur. comme exemple que je vous donne les restaurants café a coté des frontieres. chaque fois qu’un en plus s ouvre, il prends toute la clientelle du precedent. ca si en suppose que tu reste la seule personne qui aura cette autorisation alors qu on faite si les autres trouvent que c est profitable. ils vont chercher a faire la meme chose que vous mais avec un macdo plus luxieux que le votre et dans endroit plus strategique
merci

[dahlia]

tu sais fadi moi je pense que le marché oujdi est imprévisible comme son climat d’ailleurs

je vais parler avec une facon très simple,réelle , comprise par tout,je ne vais pas employer ce jargon commercial qui explique cela de manière plus approfondie.

il y a un problème avant tout qui peut se poser si les gens connaissent qui est derrière le projet ,tu vas te faire des ennemis malheureusement dans notre région il ya toujours des « méhhssada » personne ne te veux du bien s’il voit que tu vas tirer du profit de ton projet,tu vas d’ailleurs sentir que ses réqctions et ses comportement changent et qu’il ferait tout pour casser cette volonté de fer que tu peux avoir.et c’est la qu’il faut etre intelligent et savoir maitriser l a situation
les gens ne vont pas se rendre sur ces lieux sous pretexte « lhhéme dial lhélloufe » ou « ces rapidos c’est juste pour casser lal croute » ,on peut pas s’y rendre en famille surtout si c’est cis au boulevard ,et qu’il y ‘a bien d’autres lieux ou tu pourrais manger bcp plus ,en famille etc…….

ils auront peut etre raison d’un coté….notre socièté n’est pas consommatrices ,ce n’est pas le cas des villes comme casa fes marrakech agdir rabat…les opportunités de réussite du projet sont énormes,leur désenclavement qui dure depuis des années,la composition des souches sociales ,qui engendre automatiquement des conséquences sur les besoins du marché notament dans la restauration,pour ces habitant ils soumis au temps ,pour eux il est précieux ,pour se nourrir il leur faut la qualité ,la proximité ,le meilleur prix,et la rapidité ,des mots clés qui caractèrisent bien la firme américaine(faut pas le nier)

bref ,j’ai bcp papoté la je dirai a mon avis que la cible serait surement les jeunes,les enfants et c’est deja pas mal (les memes problèmes ont rencontré en 1993-94 (année d’implantation au maroc )le developement du macdo a casa ,mais ce qui a vite fait redonné confiance aux consommateurs c’est la bonne stratégie marketing ,et bien sur la différence de la composition social (témma koulchi mkhélléte ) ya pas de pur casablancais ,en plus c’est grand

faut pas oublier FADESA aussi notre région devient attractive et il faut visé ce coté la et travailler dessus une demande de plus serait à envisager

[fadi]

Et d’ici une trentaine d’année, le prix de l’eau dépasera sans doute le prix du pétrole !!

[j_m_en_fou]

slt l’africained’europe
oui bien vu, je reformule vs savez prkoi ben parceke g eu le grand prix du bon reformulateur dans « perroquet magazine » je sais pas si t’as entendu parler de ce magazine.. au fait c un magazine bien vendu ds le milieu politique chez nous..parcontre labas chez vs on se base sur son propre style..on ne reformule pas mé on crée les idées..chose faite par sarkosy

[msc de mtl]

je parle d une consommation a 100% c est a dire que meme les touristes qui vont venir a certain moment ils vont devenir eux aussi des consommateurs des pdt algeriens a 100% vous avez la ville de bni drare comme example. alors c est quoi le gain si on consomme plus les pdt d algerie que les pdt du maroc au contraire c est une perte au niveau de la tresorerie et les reserve en devise de la banque centrale. alors moi je la concidere pas comme solution si on regarde pas les autres variables sociales qui sont lieés.
moi je ne suis pas contre le secteur informel puisque sans lui il y aura plus des problemes socio-economique mais je suis contre un develeppement mal ajusté. qui cree plus d inflation et d augmentation des prix de facon intolerable et la substitution de la consommation des produit interne par des produit externe alors que la consommation est la base du developpement plus on consomme plus on produit et plus on produit plus on investis et plus on investis plus on developpe notre pays et pas le pays voisin.
merci

[msc de mtl]

a court terme une repercution positives pour ceux qui possede assez de monnaie et qui sont capable de creer des projets. et a longue terme un impact negatif inflationniste pour la plupart des habitant d oujda. plus il y a de la demande sur les biens plus les prix augmentent.
actuellement Oujda peut etre la seule ville au Maroc ou le cout de vie est tres bas. j aimerai pas qu elle devienne comme casa ou agadir. je pense qu il faut une amelioration a tous les niveau commencant par l’augmentation du pouvoir d achat du consommateur par l’augmentation des salaires et les facilites des prets bancaires pour investissement.
sans oublier l’aide sociale par la creation des centres capables de collecter des vetements de la nouriture, et meme des fonds afin d aide les personnes. sinon il y aura un grave probleme a longue terme c est que les habitant d oujda vont devenir entierement des consommateurs a 100% des produits algeriens. ce qui pour avoir un impact negative sur le bilan de la banque centrale. donc ce qu on va gugner d’un cote on va le perdre de l’autre cote.

[msc de mtl]

Depuis plusieurs annees, les autorites marocaines ont ete forcees de placer la problematique de l’eau au centre de leur preoccupation. Un accroissement d’emographique excessif et persistant, une urbanisation croissante et des inegalites accentuees dans l’economie marocaine, telles que les subventions au secteur agricole, sont quelques-uns des facteurs qui intensifient les pressions sur l’offre de l’eau.
La variabilite spatiale du climat engendre des disparites importantes dans les apports en eaux des differentes regions. Nous pouvons repartir les diverses zones du pays en deux regions: le Nord et le Sud. Le Nord represente la region la plus favorisee alors que le Sud est la region la plus depourvue en eau.
L’equilibre ressource-emploi de l’eau est presentement positif dans la region nord et negatif pour le reste du pays. Des projections pour l’an 2020 indiquent que la balance des ressources hydrauliques sera alors negative pour l’ensemble du pays. Le deficit de la ressource devrait alors se chiffrer dans les environs de 200 millions m3 s’il y a une croissance continue de la demande de 4 % par an.
Afin de contrer les problemes de penurie, le gouvernement marocain a mis sur pied, au debut de la decennie, un programme ambitieux visant a construire un barrage d’envergure et de 6 a 10 petits et moyens barrages par an.
Cette politique devrait augmenter de facon signicative la capacite de stockage du pays dans le futur. Avec ces efforts de constructions et des investissements importants dans le domaine de l’irrigation, la part budgetaire des investissements publics relies a l’approvisionnement en eaux devrait passer de 25 % a 60 % d’ici la fin du siecle. Ces investissements massifs dans le secteur de l’eau ne peuvent cependant satisfaire a long terme la demande croissante de la ressource etant donne les politiques actuelles de gestion de la demande.
Actuellement les politiques marocaines de gestion de la demande sont quasi-inexistantes ou totalement inappropriees. Comme dans d’autres pays du Maghreb, la tarification discriminatoire de l’eau favorise les agriculteurs en leur accordant un tarif preferentiel; le prix de l’eau destine a l’irrigation est beaucoup plus faible que celui facture aux autres usagers.
Trois raisons principales sont generalement presentees pour justifier une telle politique. La premiere repose sur la gratuite traditionnelle de l’eau.
Sous ces conditions, l’inertie des habitudes rend tres dificile l’imposition de redevances a une population pour la consommation d’eau lorsque celle-ci etait auparavant quasi-gratuite. La deuxieme raison decoule d’un argument de lutte contre le chomage eleve qui sevit dans la plupart des grandes agglomerations et de l’accroissement de la population urbaine. L’augmentation du prix de l’eau d’irrigation aurait un impact negatif sur la production agricole et accentuerait la migration urbaine. Ce choc negatif inciterait un exode rural en liberant une population active jusqu’alors occupee dans l’agriculture qui fournit de l’emploi a 30% de la main-d’oeuvre active. La derniere raison repose sur des politiques d’auto-sufisance alimentaire poursuivies par de nombreux gouvernements. Une augmentation du prix de l’eau destinee au secteur agricole va a l’encontre des politiques d’auto-sufisance alimentaire. Il devient alors dificile de justifier une augmentation des prix de l’eau destinee a l’agriculture puisqu’elle viendrait contrecarrer les politiques mises en oeuvre afin d’accroitre la production agricole et atteindre ainsi l’objectif d’auto-sufisance alimentaire.
Pour ces trois raisons, la plupart des gouvernements, au prise avec une rarete croissante de l’eau, ont de la dificulte a s’attaquer a la gestion de la demande. Ils preferent s’attarder aux problemes d’offre en construisant des infrastructures dans le but de repondre a une demande croissante.
Depuis la fin des annees quatre-vingts et le debut de cette decennie, le gouvernement marocain a pris conscience de la gravite du probleme et revise son plan afin de concevoir des politiques de gestion de la demande. En general, les plans de gestion de la demande peuvent comprendre plusieurs volets.
On peut prevoir un programme de sensibilisation accrue afin de prevenir le gaspillage, instaurer des incitations fiscales ou utiliser des instruments de marche pour regler le probleme de discrimination tarifaire entre usagers.
D’un strict point de vue economique, et dans des circonstances normales, la tarification au cout marginal est un principe economique simple qui permet d’assurer une allocation optimale de la ressource entre tous les utilisateurs.
Selon ce principe, on obtient une allocation eficace de la ressource lorsque le prix de l’eau est egal au cout de produire une unite supplementaire. De cette facon, les consommateurs vont consommer jusqu’a ce que leur benefice marginal egalise le cout marginal de produire.
Un aspect qui merite egalement d’etre mentionne est le principe de tarification de second rang. Ce principe est tres utilise dans la tarification des services publics. Il consite a tarifer la ressource a un niveau superieur au cout marginal tout en minimisant les distortions creees en s’eloignant de l’optimum de Pareto. Le taux de majoration, represente par l’ecart entre le
cout marginal et le prix, resulte de la regle de l’elasticite inverse anticipee par Ramsey (1927). Selon cette regle, le taux de majoration est calcule en tenant compte de l’elasticite-prix de la demande de facon a considerer la sensibilite des consommateurs a une variation de prix. On appele les prix calcules a partir de ce taux de majoration des prix Ramsey. Dans le cas d’une politique de profit nul, ces prix peuvent etre interpretes comme les prix resultant de la maximisation du surplus des consommateurs sous la contrainte de profit nul.
Dans la mesure ou la tarification de l’eau est tres eloignee de son cout marginal ou du prix de Ramsey, une hausse soudaine des tarifs peut avoir des effets drastiques sur la production. Une stricte politique de ces tarifications pourrait donc entrainer une hausse importante du prix de l’eau d’irrigation et se repercuter sur les producteurs agricoles, sur l’emploi et la remuneration
des facteurs de production, tels que la main-d’oeuvre agricole. Ce choc peut alors avoir des consequences nefastes sur le bien-etre des menages et sur l’ensemble de l’economie.

[Alaa-eddine]

désolé mais je pense que FADESA c’est le premier projet serieux depuis des années dans la région, il vas créer des emplois certainement et amener des nouveaux investisseurs…. il y’a forcement des points négatifs (comme les prix de l’immobilier qui vont flamber), mais il ne faut pas cracher dans le soupe non plus.
depuis le temps que la population de la région crie au scandale, et demande des grands projets …..

[economiste]

On est toujours on train de jouer dans le pétrin, pour résoudre un problème il faut savoir sa cause. Nous ne pouvons pas trouver une solution tant qu’il y a un ministre des finances qui ne sait rien faire qu’un budget annuel déséquilibré.
Vraiment je ne sais pas comment rabi rah hafed dik leblad. Le malheur au Maroc c est qu il n y a pas des économètre, mais juste des économiste qui eux aussi ne savent rien faire que de la comptabilité (des entrés et des sorties).
On est encore en train de dire si cette année il y a de la pluie on aura un budget plus au moins stable sinon il sera déficitaire,
La solution est purement mathématique plus que prévisionnelle :
Le produit intérieur brut (PIB) d un pays est égale a la consommation des ménages plus la consommation des firmes plus la consommation du gouvernement plus les exportations nettes
PIB=C+Y+G+XN
C=consommation des ménages qui dépend du revenu disponible (salaire- IGR)
IGR=impôt général sur le revenu
Y=les investissements des firmes nationales et multinationales qui dépendent plus particulièrement (profits-IS)
IS=Impôt sur les société
G=les dépenses du gouvernement qui dépend plus particulièrement de l’(IS+IGR+DD)
DD=les droits des douanes
XN=l exportation nette qui dépend de la quantité et prix des produit exporté moins la quantité et prix des produit importé. Ces deux variable dépendent plus particulièrement au taux de rentabilité de l’investissement interne, le taux d’intérêt des banques commerciales et surtout au taux de change.
Donc pour augmenter le PIB (PIB=C+Y+G+XN )il faut augmenter soit C soit Y soit G soit XN. Pour augmenter la consommation il faut augmenter soit le revenu disponible des salariés ou augmenté la masse salariale. Sinon il faut baisser l’imposition des salariés l’IGR l impôt général sur le revenu. Mais cette dernière option n est presque impossible pour le gouvernement (il faut refaire la formation de la plus part des employés du ministère des finances en commençant par les enseigner les principes de base de la théorie d Ibn Khaldoun (trop d impôt tue l impôt connu sous l adage de l Afere)
Le Canada se base sur cette variable qui la consommation pour augmenter son PIB par l augmentation du nombre des consommateurs (l immigration)
De même pour augmenter le PIB nous pouvons utiliser la variable Y qui est l’investissement des firmes soit par l augmentation du nombre des firmes étrangères qui dépend en premier lieu des externalité positives (infrastructure de base) ou la création des nouvelles firmes nationales, cette dernière est dépendent de plusieurs variable commençant par les barrière administratives et bureaucratique jusqu’à les problèmes du corruption juste ce point la nécessite une thèse de doctorat pour le comprendre. Une autre alternative c est la baisse des IS mais je pense qui c est presque impossible de parler au maroc avec le gouvernement sur les baisses des prix ou des impôts, puisqu au Maroc il y a que l augmentation des prix et jamais une baisse.
Une nouvelle façon pour amélioré le niveau du PIB c est d’augmenter les dépenses du gouvernement sans rentrer dans le déficit budgétaire. C est a dire pas d exagération, ce point la nous ne pouvons pas le discuter il suffit de lire le budget annuelle pour comprendre les défaillances. C est vraiment très grave comme budget car premièrement il n est pas rationnel et deuxièmement il se base sur des approximations par rapport aux budgets des années précédentes. En fait, j ai pas en vie de commencer a critiquer la mauvaise gestion de cette variable.
Une dernière solution c est l augmentation des XN c est a dire soit d augmenter les exportations ou de diminuer les importations des biens étrangers, ces deux variables dépendent du nombre des firmes exportatrices et importatrices. Mais plus particulièrement dépendent du taux de change qui doit atteindre un niveau de fluctuation stable entre deux bornes fixe. Malheureusement, le taux de change du Dirham par rapport aux autres monnaies n’est pas a son meilleur stade a cause du fait qu on travaille encore au ministère des finances sur des logiciels qui permettent des estimations des variables avec une grande probabilité que les estimateurs soient biaisés.

rabi rah hafed dik leblade car il y a encore des personnes que rabi rah yestajeb doua ahoum

[benzerfa]

je suis d’acord avec vous que la vie d’un etudiant marocain à l’etranger est devenu tres tres difficile elle n’est plus passionnante comme celle que nos parents ont vecu auparavant c’est pour une simple raison c’est que meme l’europe vit pour le moment une crise economique mais elle refuse de l’admettre et je crois que tt les marocains qui vivent ici peuvent en temoigner. avant on pouvait travailler tout en etudiant sans avoir le moindre souci le travail etait partout et la valeur du marocain en general et de l’etudiant en principe etait tres tres elevé, il y avaist plus d’etudiants issus de famille modeste que de bourgeois maintenant c’est le contraire on voit tout ses fils et fille à papa qui attendent leur mandat chaque mois alors que toi tu te demerde et que la bourse reste un rêve impossible moi et mon frère et mes 3 soeurs on est des fils d’un prof notre maman est une femme au foyer et nous avons jamais toucher la boursse au maroc alors que javais dans la classe des eleves dont les parents depassaient les 20.000 dh et hironie du sort ils avaient leur boursse le probleme c que personne d’entre nous a pu decrocher la boursse c pour ça que j’ai jamais voulu rever davoir une boursse marocaine pour letranger mes 3 soeurs sont au classe prepas la ou la boursse un certain temps etait obligatoire elles ont pas le droit .
moi quand j’ai voulu aller en belgique je voyais la vie en rose mais helas tout s’efondrait devant moi petit à petit passant par la vie qui est cher à un point impossible et surtout le cout de l’inscription qui atteint les 2300 euros chaque année biensur si tu ajoute le pris du loyer ou l’etat n’intervient pas comme en france pour remboursser une partie une année coute en tout si vraiment tu serre la cinture à fond pas moin de 6000 euros à ce prix la vaut mieu faire les etudes à al akhawayn que ici, mais moi j’etait comme on dit ( mokrahon akhaka labatal ) je pouvaist pas compter sur mon père pour rester au maroc et l’attendre de diviser les misirable 3500 Dh SUR NOUS je devais comme on dit ndabar 3la rassi , il a fait credit le pauvre pour m’envoyer et me donner mon inscription pour la 1ere année et puis a moi de me debrouiller, c’est vrai que tout ça est passé y a maintenant 7ans de ça j ‘ai fini mes etudes je me suis marié et je travaille al hamdoulilah avec mon diplome mais il suffit que je rencontre un étudiant marocain et je commence a me souvenir toute ces nuits de soufrance que j’ai passé à la compagnies des mes frères etudiants ici .

[economiste]

c’est la premiere fois que je consulte un sujet necessitant une intervention de ma part.

votre sujet est tres interessant mais je trouve que vous n’avez pas clarifié ce que tu cherche exactement

d’aprés mes recherches sur ton sujet voila ce que j’ai trouvé

L’intérêt est présent dans un prêt dès que trois conditions y sont présentes :
1) il y a un surplus par rapport à la somme initiale (le prix fixé dans le cas d’une vente, ou la somme prêtée dans le cas d’un prêt) ;
2) ce surplus est la pure contrepartie du délai ;
3) ce surplus fait l’objet d’une condition dans la transaction (que cette condition ait été mentionnée explicitement ou qu’elle soit considérée comme présente à cause de l’usage).

Certaines personnes justifient l’intérêt en le présentant comme la contrepartie du service que constitue la location de la monnaie. Elles disent : « Vous dites qu’il est injuste que le propriétaire de l’argent touche une somme fixe et certaine sur la somme d’argent qu’il a prêtée, et que les risques de perte soient supportés seuls par celui qui a emprunté cet argent pour monter son entreprise ! Or vous autorisez bien le fait que les propriétaires d’immeubles, de machines, de camions, etc. touchent une somme fixe et certaine lorsqu’ils louent ces biens à celui qui monte son entreprise ! Pourtant, ici aussi celui qui a monté son entreprise et emploie ces biens pour la faire fonctionner supporte seul les risques de perte ; en effet, ceux qui lui ont loué ces biens touchent eux une somme fixe et certaine, que vous appelez un loyer et que vous autorisez. L’intérêt perçu sur l’argent est donc semblable au loyer perçu sur les immeubles, machines et camions loués ! »

Comment l’intérêt perçu sur les prêts d’argent pourrait-il être interdit quand, selon l’islam même, le bénéfice perçu sur les ventes de marchandises est autorisé ? Le (bénéfice perçu sur) la vente est après tout semblable à l’intérêt (perçu sur le prêt) ! »

La réponse est qu’en fait, non, les deux ne sont pas du même type. Celui qui vend une marchandise l’a soit lui-même fabriquée en assemblant et en travaillant des matières premières, soit l’a achetée toute faite à quelqu’un d’autre. Le bénéfice qu’il perçoit est, dans le premier cas, la contrepartie de la valeur qu’il a ajoutée aux éléments composant la marchandise, et, dans le second cas, la contrepartie du transport et de la prise de risque qu’il a supportées. Acheteur comme vendeur tirent donc profit de la transaction qu’ils ont réalisée, le premier en obtenant la marchandise qu’il va utiliser ou va revendre, le second en prenant un bénéfice

Aucune circonstance exceptionnelle ne peut autoriser la pratique du prêt à intérêt. Par contre, dans un cas de nécessité absolue (dharûra), une personne peut être amenée exceptionnellement à avoir recours à l’emprunt à intérêt

ce probleme s’applique plus aux immigrants qui achettent leurs maison moyanant un emprunt bancaire.

mon point de vue personnel c’est que dans le monde il y’a deux types d’economie une economie d’endettement qui est basé sur le systéme bancaire et c’est le cas de la plus parts des pays sous developpés ou en vois de developpement ou l’economie de marché basée sur la bourse comme moteur de developpement et c’est le cas des pays developpés,

ma question quant est ce que nous allons comprendre ce que notre Dieu a dit dans le Coran : « Dieu a permis la vente et interdit l’intérêt »

la ventre c’est une relation directe entre le vendeur et l’achetteur ou entre le debiteur et le crediteur ou encore entre la societe et l’actionnaire c’est a dire un systeme de marcher et de bourse. ce la explique pour quoi on est encore en retard.

l’intéret ou riba exige 3 personne morale ou physique le preteur la banque et l’emprunteur ou encore le debiteur l’intermediaire et la crediteur c’est a dire un systeme bancaire

maintenant c’est plus claire que nous somme en retard parce que nous avons rien compris de notre religion. ou on est pas necore capable d’interpreter le coran parce qu’il n’existe pas des olama specialisés en economie en medecine en science humaine ou en science de la terre et de l’univers c’est vrement domage.

et merci

[Anonymous]

supposone que tu dis la verité MAIS A KEL PRIX, de toute façon pour l’autoroute c’est pour FADESAA et LE FAC DE medecine et le Techno park d’oujda bref pour beaucoup de projets? et pour l’aeroport fau que tu sache ke oujda va supervisé tous les aeroport du nord (RAM).
pour conclure le temp nous revelra la verité Mr FADI

[Anonymous]

oui comme tu dit, à quel prix !!!!

mais que pouvions nous attendre d’un grand groupe comme mediteranea, qui cherche le benef avant tout ….

de toute façon on en est pas à la première ou deuxième fois …

comme en dit n arabe : YAA 7ASRATAH