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novembre 4, 2006 à 1:26 #211075
En réponse à : al maghrib gayer annafiaa
MEHYAWI
Membrescottlies wrote:Vous voyez les cousins, Oujda est une des villes marocaines qu’a trop d’argents dans les banques, et que l’état marocaine l’exploitent beaucoup, et automatiquement il faut en prendre soin, par contre on voit des routes ont des trous qu’on desends par des escaliers, ou des quartiers Sombres, parceq’aucune maintenance des lampes, et si vous voulez eclairer v………………………….
salam wachrak ya scote;oui tu as tts a fais raison car des fois ont se demende si ont ai vraiment marocain car ont rien en comun avec les marocain apart la carte d identite ou pasport lol.novembre 3, 2006 à 5:57 #201801Sujet: Oujdi résidant à "l’etranger"
dans le forum Le site OujdacityOujda Lover
Membresalut tout le monde
c’est mon premier message sur ce superbe forum, j’ai vraiment aimé!!!
j’ai remarqué qu’il y’as bcp d’oujdi sur le forum qui reside hors d’Oujda(normale avec la marginalisation… c’est devenu la ville à fuire par excellence !!!)
j’ai pensé à créé des rubriques par ville, on peut commencer par les villes ou il y’as bcp d’oujdi(Casa Rabat ).
comme ca on peut se donner des tyaux pour mieux s’installer ….octobre 17, 2006 à 9:41 #207824En réponse à : saidia est belle
saidi
Membresoussou bonjour,
J’espère que tu as bien dégusté ta harira après avoir sorti tout ce qui te restait dans le ventre après une journée de jeun sur ce pauvre monsieur OUJDI PUR qui, je suis sûr que c’est son estomac qui prenait les commandes sur le cerveau en fin de journée de jeun. Je suis tout à fait d’accord avec toi pour ton indignation et ta révolte quand oujdi pur a parlé de SARKOSI ) ceci pas pour te dire que tu as raison, mais simplement pour te dire que ce n’est pas le moment d’en parler, laissons passer ces quelques jours du mois de ramadan et l’on pourra revenir sur ce sujet. Une chose est sûre chère soussou, le mérite de oujdi pur c’est d’être nerveux, c’est ainsi qu’il arrive à débaler des choses que pas mal de gens préfèrent jouer à la politique de l’autruche en se cachant derrière des pseudonymes parfois frolant le ridicule. Il le fait parfois maladroitement et je suis le premier à le lui avoir fait remarquer avec politesse et il s’empresse de s’excuser. Il t’a parlé de la saleté de saidia que tu as evoqué, tu dois savoir que tu n’es pas la première à le remarquer( promène toi sur le forum et tu t’apercevra que ce sujet à déjà été évoqué entre oujdi pur et moi même avec d’ailleurs beaucoup de politesse). Tu veux savoir qui est plus sale? les autochtones ou les RME moi? on peut en parler.
Tu veux absolument nous faire croire que saidia est la plus belle plage du monde, pas mal de gens t’ont fait comprendre que tu n’as pas beaucoup voyagé pour dire celà c’est mon avis aussi.
Tu nous dis que les RME apporte à SAIDIA je ne sais quelle richesse
Tu es d’accord de voir que tu file à 150Km/h dans une decapotable sur la route de benidrar-el guerbouz où le RADAR t’a capté sans aucune discussion et le gendarme fait semblant de ne rien avoir vu, alors que celui qui te suit avec une peugeot 404 à 85 Km/h doit se mettre sur le côté et payer une amende pcq il n’est pas RME? MOI? en tant que RME celà me fait beaucoup de peine et je me sens gêné d’être RME . D’ailleurs, et celà prouve je crois que tu ne voyage pas beaucoup et donc mal placée pour pouvoir comparer les plages, les villes, les sites les monuments etc.. Sais tu qu’à partir de Fes en prenant l’autoroute FES-rabat par exemple, il existe six postes de contrôle RADAR. sais tu qui se fait pieger comme des bleus et ne discute pas pour payer, eh bien c’est les RME. pose toi la question de savoir pourquoi dans tout le maroc en été les RME se font coincer par les contrôles RADAR et doivent payer la somme que tout le monde connait sauf dans la région de l’orientale, rien que cette remarque me fait penser que les RME et particulièrement dans la région de l’orientale sont sous estimés voilà ce que moi j’en tire comme conclusion et pas une faveur de me laisser jouer avec la vie de beaucoup de familles quelle soit autochtone ou RME en se pemettant la liberté de filer avec des voitures ou tout autre engins qui n’ont pas leur place labas à des vitesses qui cachent souvent le vide de la boite cranienne. Avec tous mes respects chère SOUSSOU
SAIDIoctobre 17, 2006 à 11:33 #207817En réponse à : saidia est belle
OUJDI_PUR
Membrea semm3i A DIK LIMIGRIYYA LEMOUSKHA
moi je suis mrabbi 3la ahlak
c ‘est pas une sale immigrée comme toi qui va me faire le morale !!
qui t’as dit que je jette la poubelle
et qui t’as dis que je vais a saidia surtout en ete ou ces RME ne ceseent pas de jeter des poubelles
vous faites comme ca en france
vous claxonnez en plein boulevard a paris ??? VOUS JETTER VOS SALETES SUR TERRE EN FRANCE COMME VOUS LE FAITES A OUJDA OU SAIDIA EN ETE !!!
A SOUKLKTI KARRAHTOUNA F SAIDIA MNIN TJIW YA MALHOUFINNE !!EN CE QUI CONECERNE SAIDIA EST PARMI LES PLUS BELLES PLAGES J AI DIS ET NON LES VILLES ????
SAIDIA COMME VILLE C EST NULL !!!
EN FIN DE COMPTE SARKOZY A RAISON !!
octobre 11, 2006 à 10:13 #216237En réponse à : vive berkane
Anonymous
MembreSi toutes les villes au maroc pouvaient produire des personnalites tellement importantes dans l’histoire du pays comme l’a fait cette petite ville tellement marginalisee tout le long de l’histoire et jusqu’a maintenant. Le Maroc aurait pu etre un endroit les immigres des temps modernes pourront y venir, travailler et vivre comme il leur plait. Le premier ministre apres l’independance du Maroc Mr. Bekkay etait un Berkanais, le champion du Monde d’athletisme Mr. Guerrouj, etc…..
octobre 3, 2006 à 6:03 #216491En réponse à : Sebta et Melilia
dahlia
Membre@fadi wrote:
@dahlia wrote:
je dis ca sans contester le fait ke les villes precités tanger tetouan et saidia sont des facteurs ou plutot des moteurs de la relance de leconomie marocaine…mais une relance dans l immédiat seulement .
c est a dire que je suis tout a fait d accord avec toi lorsque t as avancé que saidia tanger tetouan sont des facteurs du developpement regional ,mais qu en meme temps le revers de la medaille c est que c malaheureusement un colonialisme economique… 🙄
bref historikil faut savoir que l ouvertre de notre economie est venu suite a notre crise economique .
le seule voie etait de solliciter des financements du fond monetaire international ou la banque mondiale pour remedier aux problemes. financiers….mais le probleme est que ces dettes etaient conditionnées ..
les pays pauvres pour avoir acces a ces financement internationnaux devaient comme meme s engager dans des programmes de restructuration economique ,tout en liberalisant leurs economies ,en augmentant les devises etrangeres et en diminuant les depenses etatiques…pour permettre le paiement des dettes et des importations …..tout ces facteurs font que les pays en developpement comme notre pays dependent directement des pays industriels pour les importations et fragilisent leur economie etroitement liée aux marchés mondiaux …..
autrement dit , et ce aui est du cas du maroc nous assisetons a la mise en place de zones franches et d un immense programme de developpement touristique ou plutot l industrie du tourisme ….
quand j ai parlé d une relance dans l immédiat .je parlais surtout du tourisme.parcequ il faut etre convaincue ,qu il n est guére dnvestissements plus rentables a terme ,et plus urgents dans l immédiat que ceux effectué ds le secteur touristik ….
il est l heure de al iftar .bonne appetit a tous .
octobre 3, 2006 à 4:30 #216490En réponse à : Sebta et Melilia
fadi
Membre@dahlia wrote:
je dis ca sans contester le fait ke les villes precités tanger tetouan et saidia sont des facteurs ou plutot des moteurs de la relance de leconomie marocaine…mais une relance dans l immédiat seulement .
Tu peux bien expliquer d’avantage Miss Dahlia, parce que je n’arrive pas a saisir la dernière partie de ton post ..
octobre 3, 2006 à 12:20 #208683En réponse à : cherche plan de la ville de oujda
dahlia
Membretu sais fadi j te raconterai wa7ed la7chouma locale 😆
je suis allée une fois au CRT puis a un autre organisme attaché a ce CRT qui se trouve ds le meme batiment que le CRI….je voulais avoir douk les guides que tu peut te procurer dans toutes les villes marocaines et qui sont edité par l office nationale du tourisme dans les langues espagnol ,anglais francais et je pense meme arabe …
photos et petits commentaires ca donne vraiment envie decouvrir …..
mais….un monsieur qui palipitait en me repondanz et faisant semblant de chercher dans les tirroires ..em disant :
nooooon a bentiii mab9awlnache…kanou 3endi chi jouje hna yamkane 3tawhom l chi nssara ….
je m attendais a cette repnse ,chay2oune 3adi 🙂
quelques moi apres j ai chargé ma soeur plus jeune que moi de le faire ,
jra 3liha matchoufe tri9 😆
gallha on n a pas dial oujda ar contre si tu veux ceux de tanger ,tetouan ,essaouira …etc…hahouma …il en avait des tas .
alors daba c est la faute a qui ❓ ❓
au CRT , A L OFFICE NATIONALE DU TOURISME , AU HCP ,ou chkouuuuune 😥
octobre 3, 2006 à 12:43 #216489En réponse à : Sebta et Melilia
dahlia
Membre😕 c est une colonisation economique fadi qu on le veuille ou pas et elle nous a été imposé on ne peut pas y fuir comme d ailleurs grand nombre de pays en developpement ki souvrent a l economie mondiale…..
je dis ca sans contester le fait ke les villes precités tanger tetouan et saidia sont des facteurs ou plutot des moteurs de la relance de leconomie marocaine…mais une relance dans l immédiat seulement .
🙄
octobre 2, 2006 à 2:19 #201700Sujet: Sebta et Melilia
dans le forum Débatsfadi
MembreLa situation des deux villes « marocaines » restent encore un peu delicate ..
Villes théoriquement marocaines, mais pratiquement espagnoles ..
Pourquoi le Maroc ne prend pas au serieux le dossier de ces deux enclaves ?
Pourquoi le maroc n’ose méme pas en parler dans les assemblées politiques internationales ?
Pourquoi on a peur de revendiquer nos droits à ce point ?Débat Ouvert, à vos claviers ➡
octobre 1, 2006 à 10:43 #214815En réponse à : jm trop Berkane!!!
tachafine
Membre@zhm wrote:
mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
relis ton poste stp !c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;
si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhmBERKANE L’HISTORIQUE
La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.
la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.Données géographiques : des reliefs contrastés
* Relief
Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
* La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
* La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
* Climat
Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
* Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
* Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.LE POTENTIEL TOURISTIQUE
La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia
La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.Plage – Soleil
Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.
Infrastructures et Animation
Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).Le tourisme vert
Les monts de Béni Snassen
A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.Vallée de Zegzel
Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.Sites archéologiques et historiques
Grotte des pigeons
La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.Grotte du chameau
Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.Le tourisme écologique
Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.Site de la cigogne blanche
A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.Le Thermalisme
La source de Fezouane
merci a http://said35.chez-alice.fr/
La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.La source thermale de Chouihiya
Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.
L’héritage culturel
Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.
Artisanat
Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.
Chants, musiques et danses traditionnelles
Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.
😉 😉 😉 😉
septembre 23, 2006 à 11:46 #216226En réponse à : vive berkane
dahlia
Membre🙂
c est vrai , ca ne sert a rien de s acharner sur ce genre de choses.aprés tout ce sont des blagues … 😉
sapristi!!! il faut pas se laisser avoir encore une fois!!
laissez dire 😉de toute facon il m est apparu essentiel de rappeler que notre cher maroc dans ses fameuses nouvelles stratégies a décidé de ne séparer oujda de berkane ,ni berkane d oujda 😆
il s agit du developpement du bipole oujda=berkane…. 🙂 que vous le veuillez ou pas il en est ainsi 🙂oujda ne peut exister sans berkane ,berkane ne peut exister sans oujda ,iwa reveillons nous , le sort de touuuute notre région orientale repose sur les efforts concertés de ces deux villes … 😉
septembre 23, 2006 à 2:06 #216225En réponse à : vive berkane
Alaa-eddine
Participant@OUJDI_PUR wrote:
et oui tu as raison on est tous des freres et on doit se respecter
c’est pour ca que je propose au webmaster mr allae de supprimer tous les messages qui contient des blagues sur berkane ou sur oujda
le problème c’est que j’évite au maximum d’utiliser la loi « des ciseaux », j’essai de garantir une liberté d’expression sur ce forum tant qu’il n’y a pas d’attaque personnelle claire . . .
et puis il faut arreter aussi de se prendre la tete pour ses choses là, les blagues entre pays, villes ou quartiers ca a toujours exister et ca continuera à exister, c’est un peu bête de prendre ça au 1er degrés
septembre 19, 2006 à 12:35 #214109En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
Anonymous
Membreبسم الله الرحمان الرحيم و الصلاة على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
Merci cher Bouayad de Tlemcen de toutes ces précisions fort utiles et pas tout à fait inintéressantes, il me semble impératif et primordiale de garder un pond entre les villes de Fès et Tlemcen (jumelage des deux villes, partenariats universitaires, échanges culturelles, recherches arbres généalogiques des grandes familles, etc.). J’essaye de le faire et à une échelle très modeste dans le cadre d’échanges universitaires avec l’université de Taza dont laquelle j’ai réussit à tisser des liens très importants, j’étais également témoin de quatre mariages mixtes (algéro-marocains) de gens de mon entourage (d’ailleurs le mot mixte n’est pas bien approprié, puisque il s’agit de mariages entre des gens de même culture).Une information qui peut être utile pour vous, l’existence du nom Bouayad à Fès et en nombre, je suis quasiment certain qu’ils ont des liens avec Tlemcen, j’ai rencontré également la famille Marsaoui à Taza originaire de Tlemcen et qui sont installés à Taza.
Je dois finir pour ne pas sortir de sujet, en disant qu’à notre niveau, c’est la seule chose que nous pouvons faire pour éviter que le fossé se creuse entre les deux pays, et c’est ce que cherchent les ennemis de notre identité, et je suis persuadé que les bonnes volontés existent et existeront toujours au Maghreb, quelque part entre …« Rabat »… et……..« Alger ».
و السلام عليكم و رحمة اللهFoudil (M’chichi)
Sidi-Bel-Abbès.septembre 17, 2006 à 4:44 #215204En réponse à : Pour faire décoller Oujda & Région
chrif
Membrevoici quelques informations sur le potentiel de notre region de l oriental , il ne faut pas exclure les villes avoisinantes d oujda si on veut vraiment parler d un decollage :
http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_709/PDF/Page28et29.pdf#search=%22potentiel%20agricol%20a%20oujda%22
cela peut vraiment nous donner un optimisme pour voir les choses plus calires, alors ou sont les investisseurs et les bonnes volontés pour realiser d ‘autres objectifs. -
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