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juin 16, 2006 à 6:33 #201518
Sujet: urgen urgen
dans le forum Café OujdaCityAnonymous
MembreBonjour,
svp qui peut m’envoyé un exemple de rapport de stage de fin d’etude car j’en ai vrm besion
et merci d’avance;juin 16, 2006 à 1:10 #213634En réponse à : Après Sebta,Mellilia et l’ilot de Layla : le tour de Saidiya
Alain
MembreRéponse à samir :
je ne doute pas une seconde de ce que tu dis à propos des devices des RME, je voulais juste y ajouter ce compément par le tourisme.
Pour l’orthographe, ne sois pas inquiet, je fais pas mal de fautes moi aussi…. demande à dawi qui les a bien repérées 😳 en toute amitié de sa part j’en suis convaincu.Pour fadi :
avant toute chose : félicitation pour tes efforts à rendre tes posts plus lisibles, merci, car c’était parfois VRAIMENT difficile de te lire 😯 😯 😯 😯
Si tu as l’adresse de sites qui donnent des infos sur le budget de l’Etat, merci de bien vouloir faire signe 💡juin 16, 2006 à 11:58 #209844En réponse à : تدمير موقع الفيلم الفاسد MAROCK
samir.m
Membresalam mr fadi
excuse moi et sans vouloir te commander eceque tu peut ecrire en ortographe un peut plus clair parceque ta façon d’ecrire « sms » me donne du mal a comprendre encore je comprend que tu l’utilise sur mobile par defaut d’espace mais franchement sur pc c’est un peut comment dire stressant d’autant plus que c’est une insulte pour la langue française.
merci de le prendre bien .juin 15, 2006 à 6:10 #212649En réponse à : Le musée unique d’Oujda !!
fadi
MembreA ma connaissance, le projet Oujda City Center ne comporterait aucun musée, parcontre trois musée verrons le jour prochainement – D’après M le wali de la région toujours – ..
Il s’agit bien d’un musée d’archéologie, géologie et ethnographie, d’un autre consacré à l’histoire des chemins de fer, de deux galeries d’arts contemporains et d’exposition.
Kant au projet Oujda City Center, ki s’etendrait sur 50 ha sur la friche de l’ONCF, il comporterait un centre d’affaires, pôle résidentiel, hôtelier et commercial, bureaux …juin 15, 2006 à 5:45 #213863En réponse à : doute sur mon mariage????
sherine
Membresalam
je te remercie mohamed pour tes conseils surtout que c’est exactement ce que je ressent tu la trop bien décrit oui je sais que mon futur mari comblera le vide et je me sens trop bien avec lui mais des fois tellement je me pose des question que j’arrive a meme douter de notre amour mais bon sa c’est a force de trop penser et il faut que j’evite en tout cas chocrane pour ta reponse et Allah i 3aounék. 😀
juin 15, 2006 à 5:42 #213862En réponse à : doute sur mon mariage????
Anonymous
Membresalam
je te remercie mohamed pour tes conseils surtout que c’est exactement ce que je ressent tu la trop bien décrit oui je sais que mon futur mari comblera le vide et je me sens trop bien avec lui mais des fois tellement je me pose des question que j’arrive a meme douter de notre amour mais bon sa c’est a force de trop penser et il faut que j’evite en tout cas chocrane pour ta reponse et Allah i 3aounék. 😀
juin 15, 2006 à 2:58 #213889En réponse à : الاختلاف في تحديد المصطلحات
ahlam
Membremerci!!!
شكرا!!!juin 14, 2006 à 12:45 #213804En réponse à : Soyons clair : héros ou assassin ?
Alain
Membre@dawy wrote:
9ABBAHA ALLAHO SA3YAK.AL ISLAM BARIOUN MINKA WA MIN AMTHALIKA.
WALA TAMOUNNOU 3ALAYA ISLAMOKOM.dawi, merci e traduire STP pour un meskine chibani qui manarfe arabya…. c’est très approximatif 😳 et ça fait presque le tour de mon vocabulaire 😯
J’ai trouvé un site à Casa où il y a une tentative de dico darija/français, mais uniquement dans ce sens là
juin 14, 2006 à 11:22 #213883En réponse à : Immigration subsaharienne au Maroc : Berkane l’Africaine
dawy
MembreSalut SAMIR,
Merci de le rappeler.Les BERKANIS ont toujours fait preuve de noblesse.
Je n’en suis pas un mais il faut rendre à cesar……………..
La tentation de la chasse aux sorcières est omniprésente ,partout, meme dans les pays riches ou dits développés.
Encore une fois merci.@Alain,
bonjour,ca va?.
Si le coeur t’en dit on pourra de en temps faire ensemble des parties de literati (cousin du scrabble).L’invitation est destinée à tous les oujdinautes .juin 13, 2006 à 4:14 #213880En réponse à : Immigration subsaharienne au Maroc : Berkane l’Africaine
dawy
MembreBonjour à tous mes amis de berkane.
Je suis persuadé que vous allez prouver encore une fois votre sens de l’hospitalité envers des personnes qui sont venues de loin,et geographie oblige sont contraintes de traverser votre région.Parfois pour un court sejour.
Soyez à la hauteur et ne répondez pas aux sirènes des racistes.
En leur noms je vous dis merci. La roue tourne on ne sait jamais.Un jour,peut etre, on aura besoin d’eux.juin 13, 2006 à 4:13 #213879En réponse à : Immigration subsaharienne au Maroc : Berkane l’Africaine
dawy
MembreBonjour à tous mes amis de berkane.
Je suis persuadé que vous allez prouver encore une fois votre sens de l’hospitalité envers des personnes qui sont venues de loin,et geographie oblige sont contraintes de traverser votre région.Parfois pour un court sejour.
Soyez à la hauteur et ne répondez pas aux sirènes des racistes.
En leur noms je vous dis merci. La roue tourne on ne sait jamais.Un jour,peut etre, on aura besoin d’eux.juin 13, 2006 à 11:59 #201510Sujet: doute sur mon mariage????
dans le forum Café OujdaCityAnonymous
Membresalam ou 3alikoum à tous
J’ai un probléme et je ne peux pas en parler à ma famille ni aux gens autour de moi car il ne me comprendraient pas et on dit que c’est plus facile de se confier aux personnes que l’on ne connait pas donc voila je vous raconte je me marie en été inchallah et le souci c’est que je ne sait plus si j’ai vraiment envi de me marié ou pas je n’ai que 22ans et la plupart des gens me disent que tu est trop jeune j’avoue que le mariage demande énormément de responsabilité et je me sens pas préte a vivre tout sa j’ai encore besoin d’être autour de ma famile ma mere mes freres et ma soeur je me dit que je n’ai pas encore profité d’eux et vice versa et il y a un tas de chose qui me trotte dans la tête et je ne sais vraiment plus quoi faire pourtant l’homme avec qui je vais me marier est bien gentil adorable attentionné mais c’est pas suffisant pour enlever ce doute qui me pése lourd dans mon coeur donc s’il ya des personnes qui on déja vécu ce cas s’il vous plait répondez moi merci et bien sur les autres avis seront aussi les bienvenus chocrane à tous ceux qui ont lu mon message. Et ceux qui compte polluer ce post abstenez vous merci car c’est sérieux. 😉
juin 12, 2006 à 5:58 #213852En réponse à : شاهد // الصور واللقطات التي هزت وجدان العالم بالأمس !!
mco91
Membremerci pour ton do3ae mon frére
juin 11, 2006 à 5:30 #213329En réponse à : Un Maroc Laïc ..
Iznassen
MembreLa laïcité, un choix nécessaire pour la construction d’un Etat démocratique au Maroc ou La nécessité de constitutionnaliser le principe de la laïcité
Moha AREHAL
Cet article se propose de donner des réponses à des questions largement posées chaque fois que le débat sur la laïcité est ouvert, soit entre les Amazighs ou avec d’autres mouvances de la société. Il s’agit entre autres des questions suivantes :
Qu’est-ce que la laïcité ?
Pourquoi la laïcité dans la constitution marocaine ?
Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?Préambule
La charte amazighe pour la révision du texte de la constitution, dans ses objectifs, met l’accent sur le principe de la laïcité comme un atout pour la construction d’un Etat de droit. Ce principe est loin d’être accepté par tout le monde.
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En 1914, un décret légalise « les coutumes » dans les territoires dits « berbères » sans aucune réaction des oulémas ou des salafistes, dont le leader à l’époque était vizir de la justice « Ya hsra ». Ce n’est qu’en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs. Cette politique, non-déclarée d’ailleurs, a été encouragée par les autorités coloniales françaises. Aucune école « berbère » de l’époque française n’a enseigné la culture amazighe, contrairement aux écoles franco-arabes et franco-musulmanes qui ont fait de l’arabo-islamisme le cursus des « indigènes évolués », ceux devenus « nationalistes ».
La constitution marocaine de 1962, bien qu’elle soit inspirée, Ya hsra, de la constitution française de 1958, a fait de l’islam la religion de l’Etat, et des Marocains des musulmans par défaut.
Au Maroc, l’enfant est né, de facto, musulman. Le code de la famille est basé sur la chariâ humaine, qui conditionnait la vie des habitants de l’Arabie au temps du prophète, il y a plus de 15 siècles, alors que les Arabes de l’époque enterraient vivants les bébés de sexe féminin. Ces même principes ont été repris dans le code de la famille marocain. Le Ramadan est une obligation par force de la Loi, le jeûne doit être observé en public. La liberté de croyance n’a pas de cité dans notre pays. L’islam fait partie des trois lignes rouges à ne pas franchir au Maroc, on peut parler de tout sauf de la religion musulmane. Choisir sa religion au Maroc est considéré comme un crime. La changer par une autre, c’est encore pire. Droits de l’Homme ?
Qu’est-ce que la laïcité ?
Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’idée même de laïcité est presque impensable en Europe : Le pouvoir politique, qui est supposé émaner de Dieu, ne peut se passer de l’appui du clergé, même si à partir du XVIe siècle, les rois de France et d’ailleurs ont cherché à développer l’autonomie du pouvoir temporel. Les philosophes du XVIIIe siècle, en remettant en question les fondements de la société au nom de l’esprit critique, contribuèrent à ébranler les liens qui unissent la religion, l’Etat et la société.
Au XIXe siècle, l’héritage de la Révolution française conduit à l’affirmation d’une société laïque dans laquelle la religion devient une affaire purement privée, disjointe de l’autorité politique. Le courant anticlérical, porté par les idées rationalistes et positivistes de la seconde moitié du XIXe siècle, conduit même à une pratique militante de la laïcité, dont la France constitue le meilleur exemple. Cette pratique s’illustre tout particulièrement dans l’institution de l’école laïque par laquelle les fondateurs de la IIIe République entendent affranchir le système d’éducation de la tutelle du clergé.
Après la lutte acharnée, le combat en faveur de la laïcité aboutit en 1905 à la loi de séparation des églises et de l’État, à l’exception des colonies. Au lendemain de ce triomphe, l’apaisement du conflit place la France dans la situation de la plupart des grands pays de démocratie libérale. La pratique de la laïcité s’accorde aux principes fondamentaux du droit : égalité des cultes, liberté religieuse et séparation complète des domaines spirituel et temporel, ce qui implique le caractère non confessionnel de l’Etat et son incompétence dans le domaine religieux. Si elle a cessé d’être un enjeu aussi crucial qu’au siècle dernier, la laïcité continue toutefois de susciter des polémiques, notamment dans le domaine scolaire. L’immigration de populations de cultures différentes notamment nord-africaine, souvent mal attachées à leurs cultures d’origine (ne sont-ils pas arabes pour la France ?), pose ainsi une question délicate : Comment concilier la citoyenneté avec la fidélité à des croyances ? Si les démocraties garantissent l’exercice de tout culte dans la sphère privée, elles observent toutefois des attitudes différentes, suivant leur histoire et leur conception de la citoyenneté, devant l’ostentation d’insignes religieux dans les espaces publics ou le prosélytisme de certains groupes extrémistes. Alors, que savons-nous sur les Amazighs et la laïcité ? Comment peut-on expliquer l’existence d’un droit positif, Azerf, dans nos sociétés pré-coloniales aux cotés des institutions religieuses ? Azerf que la tradition juridique coloniale a réduit en « coutumes » ?
Pourquoi la laïcité?
Le développement spectaculaire de nouvelles sectes musulmanes et le caractère transfrontalier de leurs structurations, nous interpelle pour protéger notre pays par un arsenal juridique approprié, qui permet à l’Etat et au citoyen de vivre leur religion et leur vie sociale en toute tranquillité.
Le crime perpétré contre la nation le 16 mai 2003 à Casablanca est la suite naturelle de la politique religieuse suivie par l’Etat depuis des décennies. En fait, pour contrecarrer les idées gauchistes et des panarabistes, les services de l’État, services secrets et non secrets, ont nourri une nouvelle idéologie aussi étrangère à notre histoire que celle qu’ils voulaient combattre : le wahabisme, idéologie terroriste gérée et financée de l’extérieur par les barons du pétrole.
Ce n’est qu’à partir de cette date que les Marocains ont vu le danger que représente cette idéologie au Maroc. Les islamistes ont créé des mosquées un peu partout, tout endroit libre est une mosquée potentielle. Les pancartes se sont multipliées sur toutes les artères des villes et villages pour demander des dons aux bienfaisants pour construire une mosquée. Les associations d’islamistes n’ont délaissé aucun domaine, elles occupent tout le champ social et se substituent à l’État. Pourquoi ne pas faire des collectes pour construire des hôpitaux, des crèches, des internats, des maisons du peuple, des écoles, des maisons de cultures et autres infrastructures sociales ? Sidi Rbbi reconnaîtra sûrement les siens.
Depuis son émergence sur la scène politique et sociale, le mouvement amazigh a fait de la laïcité un principe fondamental pour un Etat de droit et de démocratie. Cependant des âmes mal-intentionnées, panarabistes et soit disant gauchistes ont mis ce mouvement dans leur point de mire. Le mouvement est ainsi qualifié de francophile et de sioniste, qui vise à diviser la nation. Étrange gaucherie à la sauce marocaine…
Le régime marocain, qui par bonne ou mauvaise foi a favorisé le développement de la religiosité dans le pays, s’est trouvé face à sa propre création, le 16 mai 2003, alors que le Maroc était considéré comme une exception dans le monde musulman. Les officiels ont compris que ce mouvement doit être contrôlé. Des voix démocratiques et le mouvement amazigh ont demandé de déclarer le caractère laïc de l’Etat marocain dans le texte constitutionnel. Sans cette décision, aucune force ne peut actuellement combattre l’offensive régressive menée par les porteurs du discours anti démocratique et anti-moderniste.
Les personnalités amazighes qui n’ont cessé de revendiquer ce principe pour le véritable éveil démocratique dans notre pays n’ont jamais été entendues. Lors de la révision constitutionnelle de 1996, le mouvement amazigh a fait savoir que ce principe est important si le Maroc veut se démocratiser. Sauf que toutes les propositions du mouvement sont restées sans réponses !
Actuellement, et en vue de la révision attendue par tous, le mouvement amazigh revient à la charge avec des propositions qui permettront au Maroc de se concilier avec lui-même. La proposition de la laïcité n’est pas nouvelle ou importée de l’extérieur. En fait, chez les tribus amazighes, le spirituel et le profane sont séparés. L’amghar ou l’amqran sont élus pour gérer les choses d’ici bas, le culte est assuré par ceux qui gèrent l’au-delà. A chacun son métier et son rôle.
Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?
Cette question peut paraître énigmatique. L’analyse du mariage entre l’Etat et la religion est due à l’usage de la légitimité religieuse dans un pays caractérisé par la supposée dominance du religieux dans la vie des gens. Les zawiya et les saints sont omniprésent sur tout le territoire marocain. Cependant, la religion dans les tribus n’a jamais été un fait de société mais plutôt une affaire personnelle entre l’être humaine et son dieu. L’imam de la mosquée était toujours étranger à la tribu, il ne siège jamais dans l’assemblée annuelle, il exerce ces fonctions d’imam dans un cadre contractuel connu sous le nom de Chart. A vrai dire, c’est un fonctionnaire de la tribu. En cas de désaccord, la tribu peut recruter un autre imam selon d’autres conditions. Les zawiya et les saints marquent bien la séparation des sphères.
Cet état de fait démontre que la société marocaine était toujours une société laïque.
Ces vérités nous conduisent à proposer l’adoption du principe de la laïcité dans la constitution marocaine. Ces mêmes vérités historiques et sociales ont été à l’origine de l’intégration de la constitutionnalisation de la laïcité comme l’une des revendications de la charte amazighe sur la révision de la constitution.
La constitutionnalisation de la laïcité doit donner aux citoyens marocains les droits suivants :
Liberté de croyance : le citoyen a le droit inaliénable de choisir sa religion.
Le citoyen a le total droit d’exercer sa religiosité comme il le veut en toute liberté.
Innocence des nouveau-nés : les nouveau-nés naissent innocents et sans religion. Leurs parents ont le droit absolu de leur choisir le prénom de leur choix, en toute liberté.
Egalité des citoyens, quelles que soient leurs croyances, devant la loi, y compris pour l’héritage. La constitution n’est-elle pas le Coran suprême de la citoyenneté ?
L’Etat, étant un percepteur des impôts payés par les citoyens, s’interdit le financement ou la construction d’édifices religieux de toute nature. Il garde seulement le droit de contrôle sur les groupements religieux et sectes pour éviter tout débordement. La France et l’Espagne nous ont bien laissé une administration des Habous, bien modernisés et suffisamment riche (merci nos ancêtres) pour rendre aux édifices religieux ce qui leur appartient.
Ces droits doivent se traduire dans la législation marocaine par le changement, l’amendement ou l’abrogation pure et simple des textes qui sont en contradiction avec ces droitsjuin 11, 2006 à 9:31 #201502Sujet: "la nuit de l’ereur"
dans le forum DébatsIznassen
Membre« La nuit de l’erreur » est une pratique qu’on trouve chez certains habitants de l’Oriental.
Est ce que vous la connaissez ? De quoi il s’agit exactement ?
Si vous avez des informations, n’hésitez pas à nous les donner
Merci
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