Résultats de la recherche sur 'origine d un nom'

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15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 341)
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  • tachafine
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    parfois je me pose la question sur les vrais origines des blagues sur quelques villes et ces habitants , jusqu’a present je n’est pas trouve les vrais raisons et origines sur la proliferation de ce phenomene dans notre pays,

    apres les blagues entre sale -rabat ; fes-meknes ; tetouan-tanger … maintenant c’est le tour de berkane-oujda ,

    est ce que personne ne s’est jamais pose la question des origines de ces blagues , j’aimerai bien pose cette question …,? meme si je n’est pas trouve une reponse pour ce phenomene ..

    des blagues qui font rire mais qui donne une autre idee sur des gents qui sont des sujets des blagues ..uniquement parcequ »il appartiennent a une ville… il y’en a qui accept ces blagues et les autres n’acceptent pas …

    et est ce qu’on ne peut pas rire sans donne le nom de la tribu ou la ville ou la region que peut porte le sujet de la blague ….

    mourad
    Membre

    Les Arabes vus par Iben Khaldoune

    La moqaddima de Iben Khaldoune

    …Précurseur de la sociologie moderne, Ibn Khaldoun est une référence incontournable dans le domaine de la réflexion sur l’histoire sociale des peuples et civilisations méditerranéennes. En réponse aux arabo-staliniens et aux arabo-intégristes, qui érigent les arabes et leurs « civilisation  » en modèle « universaliste « , nous publions un extrait d’ « AI Muqaddima » d’Ibn Khaldoun qui parle, justement de cette civilisation arabe et des arabes. Notre objectif est de lutter contre l’amnésie et permettre à nos lecteurs de se faire leur propre opinion. Ce serait ainsi que les arabistes seront invités à davantage de modestie et de relativisme, à se remettre en question et à se situer « objectivement » dans le concert des civilisations. …

    En raison de leur nature sauvage, les arabes sont des pillards et des destructeurs. Ils pillent tout ce qu’ils trouvent sans combattre ou sans s’exposer. Puis ils se replient sur leurs pâturages au désert. Ils n’attaquent ou ne combattent que pour se défendre. Ils préfèrent éviter les forteresses ou les positions difficiles: ils ne les attaquent pas. Les tribus que protègent d’inaccessibles montagnes sont à l’abri de la malfaisance et des déprédations des Arabes. Ceux-ci ne franchiront pas de collines ou ne prendront pas de risque pour aller chercher les montagnards.
    Au contraire, les plaines sont livrées à leur pillage et en proie à leur avidité, si leur dynastie est faible ou qu’elles n’aient pas de troupes pour les défendre. Alors- les Arabes y fond des incursions, des pillages, des attaques répétées, parce qu’il s’agit de territoires accessibles. Les habitants peuvent succomber et devenir les jouets des changements de pouvoir, jusqu’à ce que leur civilisation disparaisse. Dieu est tout puissant!

    Les Arabes sont une nation sauvage (umma washiyya), aux habitudes de sauvagerie invétérées. La sauvagerie est devenue leur caractère et leur nature. Ils s’y complaisent, parce qu’elle signifie qu’ils sont affranchis de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette attitude naturelle est incompatible (mund-fiya) et en contradiction (munâqida) avec la civilisation (‘ùmrân). Toutes les habitudes des Arabes les conduisent au nomadisme et au déplacement. Or, c’est là l’antithèse et la négation de la sédentarisation (maskûn), qui produit la civilisation. Par exemple: les Arabes ont besoin de pierres pour leurs foyers et leur cuisine -ils les prennent aux maisons, qu’ils détruisent dans ce but. Ils ont besoin de bois pour leurs tentes, pour les étayer et en faire des piquets: ils abattent les toits, pour en tirer le bois dans ce but. La véritable nature de leur existence est la négation de la construction (binâ’), qui est le fondement de la civilisation. Tel est, généralement, leur cas. De plus, c’est leur nature de piller autrui. Ils trouvent leur pain quotidien à l’ombre de leurs lances (rizqu- hum fi zilâl rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre le bien d’autrui.

    Que leurs yeux tombent sur n’importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s’en emparent. S’ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n’y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite.
    D’autre part, étant donné qu’ils font travailler de force les artisans et les ouvriers, le travail leur parait sans valeur et ils refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le fondement du profit (al- a’mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n’est pas apprécié, s’il est fait pour rien, l’espoir de profit disparaît, et le travail n’est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline. Autre chose encore : les Arabes ne portent aucun intérêt (‘inâya) aux lois (ahkâm). Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l’ordre public. Ils ne s’intéressent (hammu-hum) qu’à ce qu’ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d’impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s’occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n’aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l’amende est insignifiante. En régime arabe, les sujets vivent sans lois, dans l’anarchie (fawda). L’anarchie détruit l’humanité et ruine la civilisation. En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l’homme. C’est lui qui garantit l’existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ’). On a déjà vu cela au début du chapitre.

    Et puis, tout Arabe veut être le chef : Aucun ne veut s’effacer devant un autre, fût-il son père, son frère ou l’aîné de sa famille. Il ne s’y résout que rarement, et parce qu’on lui fait honte (-ayâ’). Aussi y a-t-il, chez eux, beaucoup de chefs et de princes, et les sujets doivent-ils obéir à plusieurs maîtres – pour les impôts et pour les lois. C’est ainsi que la civilisation décline et disparaît. ‘Abd-al-Malik reçut un jour une délégation arabe. Il questionna un nomade (a’rabî) sur (le gouverneur) AIhajjâj, en escomptant en entendre un éloge pour sa façon de commander et son oeuvre civilisatrice. Mais l’Arabe répondit :  » Quand je l’ai quitté, il était injuste tout seul!  » On remarquera que la civilisation s’est toujours effondrée avec la poussée de la conquête arabe : les établissements se sont dépeuplés et la terre devint toute autre que la terre (tabaddalati l-ard ghayra l-ard). Le Yémen, où vivent les Arabes, est en ruine, à part quelques villes. La civilisation persane en Iraq est complètement ruinée. Il en est de même, aujourd’hui, en Syrie. Quand les Hilâliens et les Banû Sulaym ont poussé jusqu’à la Tunisie et au Maroc, au début du Xie siècle, et qu’ils s’y sont débattus pendant 350 ans, ils ont fini par s’y fixer et les plaines en ont été dévastées. Autrefois, toute la région entre la Méditerranée et le Soudan était peuplée, comme le montrent les vestiges de civilisation, tels que monuments, sculptures monumentales, ruines de villages et d’agglomérations.  » Dieu hérite la terre et tout ce qui vit sur elle. Il est le meilleur héritier  » (XXI, 89).

    En effet, en raison de leur sauvagerie innée, ils sont, de tous les peuples, trop réfractaires pour accepter l’autorité d’autrui, par rudesse, orgueil, ambition et jalousie. Leurs aspirations tendent rarement vers un seul but. Il leur faut l’influence de la loi religieuse, par la prophétie ou la sainteté, pour qu’ils se modèrent d’eux-mêmes et qu’ils perdent leur caractère hautain et jaloux. Il leur est, alors, facile de se soumettre et de s’unir, grâce à leur communauté religieuse. Ainsi, rudesse et orgueil s’effacent et l’envie et la jalousie sont freinées. Quand un prophète ou un saint, parmi eux, les appelle à observer les commandements de Dieu et les débarrasse de leurs défauts pour leur substituer des vertus, les fait tous unir leurs voix pour faire triompher la vérité, ils deviennent alors pleinement unis et ils arrivent à la supériorité et au pouvoir royal. D’ailleurs, aucun peuple n’accepte aussi vite que les Arabes la vérité religieuse et la Bonne Voie, parce que leurs natures sont restées pures d’habitudes déformantes et à l’abri de la médiocrité. La sauvagerie peut être surveillée et s’ouvrir aux vertus, car elle est restée dans l’état de religion naturelle (fitra); loin des mauvaises habitudes qui laissent leur empreinte sur les âmes. Selon la Tradition:  » Tout enfant naît dans l’état de religion naturelle. « 

    Les Arabes, plus qu’aucune autre nation, sont enracinés dans la vie bédouine et s’enfoncent profondément dans le désert. Ils ont moins besoin, pour leur vie rude et dure, des produits et des céréales des collines. Ils peuvent donc se passer des autres. Il leur est difficile de se soumettre les uns aux autres, parce qu’ils sont un peuple sans loi, à l’état sauvage. Leur souverain a donc le plus grand besoin des liens du sang (‘asabiyya), nécessaires à l’autodéfense.
    Il est forcé de gouverner ses sujets en douceur et d’éviter de les heurter. Sinon, il aurait des difficultés avec l’esprit tribal, ce qui causerait sa perte et la leur. D’autre part, cependant, la monarchie et le gouvernement demandent une poigne de fer, seul gage de durée.

    Comme les Arabes; par nature s’emparent des biens d’autrui, de même, ils s’abstiennent de tout arbitrage et de maintenir l’ordre public. Quand ils ont conquis une nation, leur objectif est d’en profiter pour s’emparer des biens de celle-ci. De plus, ils se passent de loi. Ils punissent parfois les crimes par des amendes, pour accroître les revenus du fisc et en tirer, financièrement, avantage. Mais ce n’est pas là un frein pour le crime. Ce serait même plutôt un encouragement, car le mobile d’un crime doit être assez puissant pour compenser le simple paiement d’une amende insignifiante. Ainsi, les méfaits deviennent de plus en plus nombreux et la civilisation décline. Une nation dominée par les Arabes est dans un état voisin de l’anarchie, où chacun s’oppose à l’autre. Ce genre de civilisation ne peut durer: il court à sa perte, aussi vite que l’anarchie elle-même.

    Toutes ces raisons éloignent, naturellement, les Arabes de la monarchie. Il faut que leur nature soit profondément transformée par une structure (sibgha), religieuse, qui les amène à se modérer et à maintenir l’ordre public. C’est ce que montrent les dynasties arabes musulmanes. La religion a soudé leur pouvoir temporel à la loi religieuse et à ses prescriptions, qui -de façon explicite ou implicite- sont dans l’intérêt de la civilisation. Les califes suivirent cette voie. La monarchie et le gouvernement des Arabes devinrent grands et forts. Quand Rostam vit les Musulmans rassemblés pour la prière, il s’écria: « ‘Omar m’a rongé le foie! Il apprend aux chiens les bonnes manières!  » 2.

    Plus tard, les Arabes furent écartés des dynasties régnantes, pour des générations. Ils négligèrent leur religion, oublièrent la politique et retournèrent au désert. Ils ignoraient le rapport de leur esprit de clan avec la dynastie régnante, car l’obéissance et la loi leur étaient redevenues étrangères. Ils redevinrent aussi sauvages que dans le passé. Le titre de  » roi  » cessa de leur être appliqué, à l’exception des califes de race (jîl) arabe. Après la disparition du califat, le pouvoir sortit de leurs mains : des Barbares s’en emparèrent. Les Arabes restèrent alors Bédouins au désert, ignorant la monarchie et la politique. La plupart ne savent même plus qu’ils ont régné autrefois, ou qu’aucune autre nation n’a rayonné autant que la leur. Avant l’Islâm, ce furent les dynasties de’ Âd et de Thamûd, les Amalécites, les Ijimyarites et les Tubba’; depuis, les Mudarites, les Omayyades et les Abbâsides. Mais, quand les Arabes oublièrent leur religion, ils n’eurent plus de rapport avec la politique, et ils retournèrent à leur désert originel. Farfbis encore, comme au Maroc actuel, ils dominent des dynasties trop faibles, mais leur supériorité ne peut conduire qu’à la ruine de la civilisation. Dieu est le meilleur héritier (XXI, 89) !

    Notes:
    1. Autre passage célèbre sur les Arabes nomades, destructeurs de civilisation. Or pour Ibn Khaldun, celle-ci est liée à la culture sédentaire. Ces considérations font, aujourd’hui, vivement critiquer Pauteur par certains nationalistes, qui voient en lui le pourfendeur des Arabes, alors qu’il s’en prend seulement aux méfaits des nomades.

    2. Il est toujours difficile de rendre, en arabe, J,’le mot  » structure « . Aujourd’hui, la langue hésite entre bunya, bind, tarkfb, niâm, jihâz et surtout haykal. Ici, Ibn Khaldûn emploie sibgha.  » Teinture, coloration « , qui reviendra souvent, dans ce dernier sens, dans son texte.

    saidi
    Membre

    Bonsoir,

    Maintenant,, si vous le voulez bien, on va entrer dans le vif du sujet:

    1. Qui peut nous dire pourquoi sur le plan social politique, economique , du côté marocain, il était tellement beaucoup plus difficille d’avoir un passeport que d’avoir aujourdh’ui un visa pour un pays européen? avis aux spécialistes

    2. Savez vous comment à cette période là, malgré le parcours du combattant pour avoir le passeport, il restait encore une épreuve à franchir et qui n’est pas des moindres?

    a) bien sûr, qui peut douter de nos combinards rifains de se retrouver du jour au lendemain à PARIS? bruxelles mais surtout DUSSELDORF? c’est ce que naivement notre amie a appelé le regroupement de cousin à cousin! tiens regroupement? celà sonne déjà sujet d’actualité!

    b) Une autre question qui peut paraître stupide. Pourquoi , après avoir obtenu ce fameux passeport LAKHDAR, les gens ne pouvaient pas quitter le pays? et croyez moi, on ne le quittait pas facilement, qui jouait en ce temps là à la filtration de l’émigration? il n’yavait ni barbelés autour de Melilla ni tranchées, ni policiers fermes! C’est les autorités marocaines qui faisait la besogne ! pourquoi? pourquoi, elle le faisait à ce moment là, et pourquoi elle ne le fait pas aujourdh’ui? voilà une question qui peut occupper nos parlementaires pour les empecher de ronfler sur leurs chaises au parlement aujourdh’ui dès qu’on leur parle de ce problème!

    c) Pourquoi, les autorités espagnoles, dès qu’on est en possession de ce passeport (sans parler de ceux qui ne l’ont jamais eu ) ont toujours permis à ces gens de passer cette frontière qui est devenue aujourdh’ui comme la porte entre le paradis et l’enfer pour beaucoup de gens, y ajoutant des miradors, barbelés voir electrifiés, tranchées, gardes volantes faisant sans arrêt le circuit de quelques kilomètres faisant office de frontière, cette enclave est devenue tellement hermetique qu’elle a crée des scandales qie tout le monde a vu sur les écrans de TV 5POUR NE PAS Y REVENIR° POURQUOI, POURQUOI UNE LAXIT2 EXTR7ME 0 UNE 2POQUE ET UNE FERMET2 EXTRËME AUJOURDH4UI,

    Voilà des questions politiques que tous les jeunes boeurs doivent poser à leurs parents, je suis sûr que ces parents sont en mesure de leur répondre et de leur donner les explications judicieuses.

    Je n’ai toujours pas parlé de DELINQUANCE!! parceque je ne suis dans mon parcourt toujours pas arrivé à définir ce qu’est la délinquance en europe?

    Dans mon prochain message, je vous poserais la question de savoir pourquoi tous ces gens veulent quitter leur pays , partir à l’aventure la plus extraordinaire qu’elle soit, pourvu qu’ils partent!!!

    Je pense qu’avant de parler de la délinquance de nos RME chère Madame et avant de se pointer sur un plateau de TV pour défendre la délinquance RME, il faut revenir un peu en arrière, savoir d’ou viennent ces RME, pourquoi, il continuent à venir malgré le fait qu’ils savent que ce n’est pas tout rose,

    Poser la question aux responsables des origines de ces candidats à l’émigration comme on dit, Leur demander comment des pays aussi riches tant en matière de richesse de leurs sous sols, en matière de leurs produits naturels souvent explooitables à ciel ouvert, en matière de climat qui fait une difference psychologique que tout le monde est prêt à témoigner pour dire que vivre sur une terasse dans le sud de l’espagne au Maroc, au senegal ou ailleurs fait le bonheur de beaucoup de gens qui sont venus s’installer sous la grisaille perpetuelle, le froid et les stress des pays occidentaux. Je suis sûr d’une chose , que si la population dite emigrée, trouve dans son pays natal les conditions de vie qu’elle trouve en europe toute proportion gardée bien sûr, je suis sûr, que demain l’europe va pleurer, je suis sûr que demain LEPEN VA PLEURER PCQ il n’y aura personne pour faire la besogne et que tous ces africains qui vivent en euroope le font parcequ’ils n’ont pas le coix.
    la prochaine fois je vais tenter de vous dire comment je vois des solutions à ces problèmes, c’est promis

    #228279
    saidi
    Membre

    Bonjour,

    Oublions ce qui s’est passé en espagne sauf si nos amis internautes veulent y revenir. Je voudrais simplement ajouter quelque chose qui paraîtra plutard interessant. Au moment du grand exode des marocains vers l’Algérie, je dois ajouter deux choses:

    1. Une grande partie d’espagnols (les rouges comme on les appelaient et combattaient le faschisme de FRANCO en alliance avec HITLER ET lussolini) ont dû subir le même sort, ils ont pour la plupart d’entre eux émigrés en ALGERIE ( je le dis pcq tu comprendra plutard pourquoi la majorité de ce que nous avons et continuons a appeller pieds noirs c’est à dire les anciens colons d’Algérie et que tu cotoye sans le savoir peut être tous les jours de nos jours en france, LEPEN BRUNO MAIGRET? henrico macias etc…, tu seras certainement d’accord avec moi pour dire que celà vaut la peine de rappeller quelques éléments de l’histoire car il ya à boire et à manger dans ce domaine). Pour finir avec cette histoire d’espagne, j’ajouterais simplement que beaucoup de marocains , au moment où nos compatriotes comme des fourmis partaient pour l’algérie, il yavait aussi et comme encore de nos jours, des gens sans scrupules qui se sont transformés en passeurs( pour l’anecdote, pas mal de passeurs, ont fait passer beaucoup de juifS à partir de MELILLA pour qu’ils puissent se rendre en ALGERIE) Celà expliquera peut être si tous les internautes sont d’accord pourquoi, la majorité des européens qui vivaient en ALGERIE étaient soit espagnols d’origine soit juifs(juifs pcq ils vivaient à MELILLA voir même des juifs qui ont quitté l’espagne, rejoindre MELILLA dans le but de se faire passer de l’autre côté, puisqu’ils étaient menacés par HITLER jusqu’à MELILLA qui aurait crû celà, mon père me l’a raconté, il l’a vécu cette tragedie(il m’a cité des noms qui vivent toujours de nos jours qui ont joué aux passeurs de juifs de la zone espagnole vers la zone française et ensuite l’ALGERIE. jE n’ai pas résisteé un jour de poser la question à mon père pour lui demander s’il ne faisait pas partie de ces passeurs, il a détourné la question, il ne m’a jamais répondu).

    Je pense que j’ai terminé avec cette étape de l’histoire, mais, sachez que si j’ai tenu à la raconter, c’est parceque c’est une histoire très récente, que par la suite surtout, elle va devenir interessante lorsqu’on va rentrer dans le vif du sujet. Les emigrés en France, c’est qui? c’est les marocains, les espagnols? les juifs? or tout ce monde là est dieu merci encore vivant pour la plupart d’entre eux voir même qu’ils occupent des postes qui font les lois sur l’émigration en France et ailleurs, voilà pourquoi, je tenais à faire ce bref rappel de l’histoire. La prochaine étape, Je vous parlerai du début de l’émigration « récente » et qui va nous concerner tous et je suis sûr qu’on va tous s’y retrouver. Celà nous fera debattre du problème de la délinquance RME j’entends, d’une façon peut être un peu plus à l’aise, puisque partant sur des éléments de base qui ne sont malgré tout pas aussi loin que cela dans l’histoire puisque les premiers qui ont quitté le pays sont encore et heurreusement toujours vivant pour la plupart d’entre eux, ils pourront peut être nous rectifier si l’on s’égard!

    #228222
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Cher AYMAN BONSOIR,

    J’ai bien lu ton post concernant cheikha rimiti, et je te remercie pour les informations que tu m’a fournis. Je voudrais en attendant, te dire que ce qu’i écrit à notre ami VOUJDAV? C42TAIT CE QUE JE POSSEDAIT COMME INORMATION concernant cette défunte dame. je ne connais pas l’histoire de cette dame, je me suis simplementcontenté de répéter ce qui a été dit par certains producteurs de musique algérinne  » l’histoire du rai » qui m’ a entre autre influencé, je l’ai utilisé comme argument pour expliquer ce qu’st ce mythe de RIMITI.jje n’ai pour ma part aucun argument fiable ni convaincant pour te répondre. J’ai simplement écouté certains producteurs algériens nous raconter l’histoire du rai et par la même occasion, ils ont inclus l’histoire de RIMITI, je n’ai fait rien d’autre que de répéter à VOUJDAV en espagnol ce que j’ai en ma possession enregistré de la part de nos amis algériens qui ont raconté cette histoire. Maibtenant, Si vous estimez que ces gens n’ont pas raconté la vérité, il vous appartient de le contrer, pour ce qui me concerne, la seule chose que je peux faire c’est de vous faire écouter et lire ce qui a été dit à propos de RIMITI par les professionels de musique algérienne. point terminé.

    #228203
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Bonsoir AYMAN,

    Merci pour les informations que tu m’as adressées, je les ai bien lues, J’avais une autre interprétation de l’histoire de cette défunte, que j’ai expliqué à VOUJDAV en espagnol, non pas pour dire que maitrise la langue cestellane mais simplement pour lui faire plaisir à elle aussi qui se sent un peu malmenée dans la langue française et arabe qui n’oubliez pas, relisez les archives si vous voulez savoir qui a commencé avec celà, vous y trouverez des gens qui revendiquaient l’utilisation de la langue arabe et rien d’autre sur ce site! ces personnes se rendent compte aujourdh’ui qu’ils étaient à côté de la plaque puuisque le principal c’est de communiquer avec n’importe quelle langue et n’importe quel dialecte avec ou sans fautes pourvu qu’on se comprennent. Il n’ya pas longtemps, j’ai lu sur ce site certains internautes revendiquer l’exclusivité de la langue arabe, je m’aperçois aujourdh’ui qu’ils se sont rendus compte qu’ils doivent se soumettre ou se tailler comme moi, je le fais en langue arabe, je fais un effort pour comprendre ce que les gens écrivent en arabe et j’ai tout le loisir de répondre dans la langue qui me paraît être la plus facile de me faire comprendre. Voilà, c’est aussi simple que celà et je ne pense pas qu’il ya là de quoi fairre un monde et en tout état de cause, si j’ai écrit des choses déplacées qui ont blessées l’un ou l’autre des internautes, je les prie de m’excuser. bien à toi

    #228192
    ayman
    Membre

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    #229257
    oujdi12
    Membre

    La fin du matérialisme

    Le matérialisme du 19ème siècle, qui est le fondement de la théorie de l’évolution, a suggéré que l’Univers a existé éternellement; c’est-à-dire qu’il n’a pas été créé et que le monde organique peut être expliqué par les interactions de la matière. Les découvertes effectuées au cours du 20ème siècle ont complètement réfuté ces hypothèses.

    L’hypothèse que le monde a toujours existé a été complètement réfutée par la découverte que le monde est apparu après une grande explosion (appelée Big Bang) qui aurait eu lieu il y a environ 15 milliards d’années. Le Big Bang démontre que toutes les substances physiques présentes dans l’Univers sont apparues à partir du néant: autrement dit, elles ont été créées. L’un des grands défenseurs du matérialisme, le philosophe athée Anthony Flew reconnaît ce qui suit:

    « Tout le monde sait que la confession est un salut pour l’âme. Je commencerai alors par dire que l’athée stratonicien doit être embarrassé par le consensus cosmologiste contemporain (Big Bang). Car, il semble que les cosmologistes fournissent une preuve scientifique. que l’Univers avait un début. »
    Le Big Bang démontre également qu’à chaque stade, l’Univers était formé par une création contrôlée. Ceci apparaît clairement dans l’ordre établi après le Big Bang, qui était trop parfait pour avoir été formé par une explosion incontrôlée. Le célèbre physicien Paul Davies explique cette situation:

    « Il est difficile de ne pas céder à la tentation que la structure actuelle de l’Univers, apparemment si sensible aux petits changements dans les nombres, a été plutôt soigneusement planifiée. la concomitance apparemment miraculeuse des valeurs numériques que la nature a attribuées à ses constantes fondamentales restera certainement la preuve par excellence d’un élément d’une conception cosmique. »

    Cette même réalité pousse George Greenstein, un professeur américain d’astronomie, à déclarer:

    « Lorsqu’on passe en revue toutes les preuves, il nous vient immédiatement à l’esprit qu’une sorte d’action surnaturelle – ou plutôt une Action – doit être impliquée. »

    Ainsi, l’hypothèse matérialiste qui clame que la vie peut être expliquée uniquement en terme d’interactions de la matière s’effondre également face aux découvertes de la science. En particulier, l’origine de la formation génétique qui détermine tous les êtres vivants ne peut en aucun cas être expliquée par un facteur purement matériel. L’un des défenseurs les plus ardents de la théorie de l’évolution, George C. Williams, reconnaît ce fait dans un article qu’il a rédigé en 1995:

    « Les biologistes évolutionnistes ne se rendent pas compte qu’ils ont affaire à deux domaines plus ou moins incommensurables: ceux de l’information et de la matière. Le gène est un ensemble d’informations et non pas un objet. Ceci fait de la matière et de l’information deux domaines distincts de l’existence, qui doivent être traités séparément, selon leurs propres termes. »

    Cette situation prouve l’existence d’une sagesse supra-matérielle qui fait que l’information génétique existe. Il est impossible pour la matière de produire de l’information à l’intérieur d’elle-même. Le directeur de l’Institut Fédéral Allemand de Physique et de Technologie, le professeur Werner Gitt, déclare:

    « Toutes les expériences indiquent qu’un être pensant qui exerce volontairement sa propre volonté, sa cognition et sa créativité est nécessaire. On ne connaît pas de lois de la nature, ni de processus ni de séquence d’événements susceptibles de permettre à l’information d’apparaître par elle-même dans la matière. »

    Tous ces faits scientifiques démontrent que l’Univers et l’ensemble des vivants sont créés par un Créateur Qui dispose d’une puissance et d’un savoir éternels, en l’occurrence Dieu. Quant au matérialisme, Arthur Koestler, l’un des philosophes les plus célèbres de notre siècle déclare: « Il ne peut plus prétendre être une philosophie scientifique. »

    #229256
    oujdi12
    Membre

    je suis pas du genre a eviter de debattre comme toi alain t’as fait , je me dis que ça fait pas de mal de dialoguer ds le calme et sans manque de respect .
    alors , pour ce qui est de la définition du matérialisme ?
    La philosophie matérialiste est une pensée très ancienne. Sa caractéristique principale est la croyance absolue en la matière. Selon cette philosophie, la matière est infinie et toute chose est composée de la matière et uniquement de celle-ci. Cette approche rend évidement impossible toute croyance en un Créateur. Aussi, le matérialisme a-t-il été pendant longtemps hostile à toute croyance religieuse en Dieu.
    Il s’agit donc de savoir si le point de vue matérialiste est correct ou non. Pour vérifier cela, il convient d’effectuer une recherche au niveau des croyances scientifiques de cette philosophie en utilisant des méthodes scientifiques. Par exemple, un philosophe du 10ème siècle pouvait prétendre qu’il existait un arbre divin sur la surface de la Lune et que tous les vivants auraient grandi sur les branches de cet énorme arbre, tels des fruits, puis seraient tombés sur terre. D’aucuns peuvent trouver cette philosophie attirante et finissent par y croire. Or nous sommes au 21ème siècle et l’homme a marché sur la Lune, il n’est donc pas possible d’avancer une telle philosophie. L’existence de cet arbre peut être déterminée par des méthodes scientifiques, c’est-à-dire par l’observation et l’expérimentation.
    Nous pouvons donc effectuer des investigations par des méthodes scientifiques sur ce que prétend la philosophie matérialiste, en l’occurrence que la matière a existé éternellement et que celle-ci est en mesure de s’organiser par elle-même et engendrer la vie sans avoir besoin d’un Créateur supérieur. Lorsqu’on procède ainsi, nous remarquons que le matérialisme s’effondre tout de suite puisque l’existence éternelle de la matière a déjà été réfutée par la théorie du Big Bang, celle-ci ayant démontré que l’Univers a été créé du néant. Prétendre que la matière s’est organisée par elle-même pour donner naissance à la vie est la base de la théorie de l’évolution – cette théorie s’est également effondrée.
    Cependant, si on fait partie de ceux qui persistent à croire au matérialisme au dessus de toute autre chose et n’abandonnent pas le matérialisme même lorsqu’ils voient que la science réfute l’évolution, c’est qu’on est « principalement matérialiste avant d’être scientifique ». Ces individus tentent donc de sauver le matérialisme en défendant l’évolution à n’importe quel prix. C’est la situation fâcheuse où se trouvent les évolutionnistes aujourd’hui.
    Il est édifiant de remarquer que ces personnes reconnaissent ce fait de temps à autre. Un généticien reconnu qui revendique clairement son adhésion à la théorie de l’évolution, Richard C. Lewontin de l’Université de Harvard, reconnaît qu’il est « d’abord un évolutionniste puis un scientifique »:
    « Ce ne sont pas tellement les méthodes et les institutions de la science qui nous obligent à accepter une explication matérielle du monde, mais au contraire nous sommes forcés par notre adhésion a priori aux causes matérielles de créer un appareil de recherche et un ensemble de concepts qui fournissent des explications matérielles, même si cela semble contraire à l’intuition et laisse perplexe le novice. Et qu’en plus le matérialisme est absolu et que nous ne pouvons pas laisser le pied divin franchir la porte. »
    Le terme « a priori » employé ici par Lewontin est très révélateur. Ce terme philosophique renvoie à une présupposition qui n’est basée sur aucune expérience. Une pensée est « a priori » lorsque vous la considérez correcte même en l’absence d’information confirmant sa véracité. Comme l’évolutionniste Lewontin le reconnaît sans ambages, le matérialisme est un « a priori » et les évolutionnistes tentent d’adapter la science à celui-ci. Puisque le matérialisme exige une négation de Dieu, les évolutionnistes adoptent la seule alternative disponible, en l’occurrence la théorie de l’évolution. Peu leur importe que la théorie de l’évolution ait été réfutée par des faits scientifiques puisque les scientifiques considèrent « a priori » qu’elle est correcte.
    Ces préjugés entraînent les évolutionnistes à croire que « la matière inconsciente s’est composée par elle-même », ce qui est contraire non seulement à la science mais également à la raison. Robert Shapiro, professeur de chimie à l’Université de New York et expert en ADN, explique cette croyance des évolutionnistes et le dogme matérialiste qui en est la base en ces termes:
    « Un autre principe évolutionniste est ainsi nécessaire pour nous aider à franchir la faille qui sépare les mélanges de simples matières chimiques naturelles du premier reproducteur efficace. Ce principe n’a toujours pas été décrit en détail ni démontré, mais plutôt anticipé et appelé évolution chimique et auto-organisation de la matière. L’existence de ce principe est prise pour un acquis dans la philosophie du matérialisme dialectique, comme l’applique Alexander Oparin à l’origine de la vie. »
    La propagande évolutionniste dont regorgent les principaux organes de presse occidentaux et les très « respectables » revues scientifiques est le résultat de cette nécessité idéologique. Puisqu’on considère l’évolution indispensable, celle-ci a été transformée en un tabou par les gardiens du temple de la science.
    Il existe des scientifiques qui se voient contraints de défendre cette théorie invraisemblable ou du moins d’éviter de prononcer la moindre critique à son encontre pour préserver leur réputation. Les académiciens des pays occidentaux sont obligés de publier des articles dans certaines revues scientifiques pour atteindre et préserver leur « chaire ». Toutes les revues de biologie sont sous le contrôle des évolutionnistes et ces derniers ne permettent pas la publication du moindre article réfutant cette théorie. Ils font également partie de l’ordre établi qui considère l’évolution comme une nécessité idéologique qui justifie une défense aveugle des « coïncidences impossibles » .

    Les aveux des matérialistes
    Le biologiste allemand, Hoimar Von Dithfurt, un évolutionniste célèbre, est un bon exemple de cette compréhension matérialiste fanatique. Après avoir cité un exemple de la grande complexité de la vie, Dithfurt évoque la possibilité de l’apparition aléatoire de la vie en déclarant:

    « Est-il possible qu’une telle harmonie apparaisse de manière aléatoire? C’est la question élémentaire de toute l’évolution biologique. Répondre à cette question par « oui, c’est possible » reviendrait à tenter de vérifier la foi dans la science moderne de la nature. Pour être critique, nous pouvons dire que quelqu’un qui accepte la science moderne de la nature n’a nulle autre alternative que de dire « oui », parce qu’il tentera d’expliquer le phénomène naturel par des moyens compréhensibles à partir des lois de la nature sans avoir recours à l’interférence métaphysique. Toutefois à ce stade, expliquer tout par le biais des lois de la nature, en l’occurrence par les coïncidences, est un signe qu’il n’a nulle part où s’échapper. Car, que peut-il faire d’autre que croire tout simplement aux coïncidences? »

    #227933
    houl
    Membre

    @ratek84 wrote:

    ce k a di Mr « hichemtaourirt » machi kolchi kdoub il existe des vérité f dak chi li gal
    est ce que vous pouvez me dire f la fin des année 80 et debut 90 chkoun kan se donne pr la prostitution f l’EST, ce sont des filles marocaines MAIS machi m l’EST du maroc , et il a raison non??

    bessah pr machi ga3 gharraybo se prostitue a si « hichemtaourirt » 3achenahom hetta homa fihom o fihom

    MR ratek desole de te dire que la prostitution existe depuis l indepence a OUJDA,peut etre tu es encore jeune pour juger OUJDA ,Tu parle des annees 80 comme references?moi je te dira que les annees 70 ne manquaient pas de talent dans le monde de prostitution et des oujdiyat qui pratiquaient,c est normal a oujda on trouve les casawiyat et autre origine des villes Marocaines en meme temps les oujdiyat pratiquent dans autre villes du Maroc,une fille ne peut pas exercer dans sa ville natale c est tt normal.
    la prostitution c est un phenomene qui touche tous les pays de monde,c est le plus ancien metier,donc arretons nous de traiter les Marocain et les Marocaines HADA GHARABOU,HADA CASAWI ..ext un jeune instruit doit viser haut ,viser l avenir de soit meme et de notre cher pays,qu il soit CASAWI .,RBATI OUJDI,JRADI, ON VEUT UN PAYS UNI……..

    #202650
    oujdi12
    Membre

    « Le matérialisme ne peut plus se proclamer comme étant une philosophie scientifique. »

    Arthur Koestler, célèbre philosophe en matière sociale 1

    Comment l’univers infini dans lequel nous vivons fut-il créé? Comment l’équilibre, l’harmonie et l’ordre de cet univers furent-ils mis au point? Comment se fait-il que cette Terre soit si bien ajustée pour permettre d’abriter la vie ?

    Ce type de questions a attiré l’attention de l’homme depuis son apparition. Les conclusions auxquelles sont parvenues les scientifiques et les philosophes, par la voie de l’intellect et de la raison, sont les suivantes: La conception et l’ordre de cet univers sont les preuves de l’existence d’un Créateur Suprême qui dirige l’univers tout entier.

    Il s’agit d’une vérité que nous pouvons saisir grâce à notre intelligence. Allah affirme cette réalité dans Son Livre Saint, le Coran, qu’Il a envoyé à l’humanité comme guide il y a de cela quatorze siècles. Il y déclare qu’Il a créé l’univers dans un but bien particulier, de la même manière que tous les systèmes et les équilibres favorisant la vie humaine.

    Allah invite les gens à observer cette vérité dans les versets suivants:

    « Est-ce que votre création est la plus difficile ou est ce celle du ciel? Il l’a pourtant bâti. Il l’a élevé très haut et l’a organisé dans un ordre parfait. Il rendit sa nuit obscure et en sortit son plein jour. Et la terre, après cela, Il aplanit sa surface. » (Sourate al-Nazi’at, versets 27-30)

    Dans un autre passage du Coran, il est déclaré que l’on devrait considérer tous les systèmes et les équilibres de l’univers car ils ont été créés pour nous par Allah. Nous avons donc des leçons à tirer de ces observations :

     » Il soumit à votre service la nuit et le jour, le soleil et la lune et les étoiles vous sont de même soumises sur Son ordre. Il y a là certainement des signes pour des gens qui comprennent » (Sourate al-Nahl, verset 12)

    Et encore dans un autre verset du Coran:

     » Il imbrique la nuit dans le jour et il imbrique le jour dans la nuit. Il a soumis (à votre service) le soleil et la lune; chacun court vers un terme prénommé. Tel est Allah, Votre Seigneur-et-Maître. A lui appartient le Royaume et ceux que vous invoquez en dehors de lui ne possèdent même pas la très fine enveloppe du noyau de la datte. » (Sourate al-Fatir, verset 12)

    Cette vérité évidente est affirmée dans le Coran ainsi que par un bon nombre de fondateurs célèbres de la science astronomique moderne. Galilée, Kepler et Newton ont tous reconnu que la structure de l’univers, la conception du système solaire, les lois de la physique, et les états d’équilibres furent tous créés par Allah. Ces scientifiques ont atteint cette conclusion par le biais de leurs propres recherches et de leurs observations.

    Le matérialisme: une tromperie du 19ème siècle

    La réalité de la création dont nous parlons fut ignorée ou rejetée par le « matérialisme », une approche philosophique du 19ème siècle. Cette philosophie, formulée à l’origine par certains penseurs de la Grèce Antique, a resurgi par la suite dans d’autres cultures, et a été ainsi reformulée. Cette philosophie soutient l’idée que la matière existe d’elle-même depuis une éternité. Sur la base de cet axiome, elle affirme que l’univers a toujours existé et qu’il n’a donc jamais été créé.

    Mis à part cette idée de l’éternité de l’existence de l’univers, les matérialistes avancent qu’il n’y a ni but ni finalité dans l’existence de celui-ci. Ils insistent sur le fait que tous ces équilibres, ces ordres et cette harmonie sont le fruit d’une pure coïncidence. Cette « coïncidence » est également avancée pour expliquer l’apparition des êtres humains sur Terre. La théorie de l’évolution, communément appelée Darwinisme, est une autre conséquence du matérialisme.

    Comme nous venons de le voir, un bon nombre des fondateurs de la science moderne sont fidèles aux enseignements du Coran, car ils reconnaissent le fait que le monde ait été créé et organisé par Allah. Cependant, au cours du 19ème siècle, un important changement s’est produit à ce sujet dans la pensée scientifique. Le matérialisme a été délibérément remis à l’ordre du jour de la science moderne par différents groupes. Les conditions sociales et politiques du 19ème siècle favorisant la re-émergence du matérialisme, la philosophie qui la sous-tendait s’est considérablement répandue et fut par conséquent grandement acceptée par la communauté scientifique.

    Néanmoins, les découvertes de la science moderne ont démontré à quel point les affirmations avancées par la philosophie matérialiste étaient fausses.

    Les découvertes de la science du 20ème siècle

    Commençons par rappeler les deux affirmations matérialistes concernant la création de l’univers. Premièrement, l’univers existe depuis une éternité et, puisqu’il n’a ni début ni fin, il n’a pas été créé. Deuxièmement, tout ce qui constitue l’univers n’est que le fruit du hasard et n’est en aucun cas le produit d’une conception volontaire, d’un plan d’agencement ou encore d’une vision précise.

    Ces deux idées furent ardemment avancées et sans cesse défendues par les matérialistes du 19ème siècle qui n’avaient recours, évidemment, qu’à leur connaissance arriérée et limitée de leur époque. Pourtant ces deux notions furent réfutées par les découvertes scientifiques du 20ème siècle.

    La première de ces idées à avoir été enterrée fut celle de l’existence éternelle de l’univers. Depuis les années 20, il a été démontré que cette affirmation était fausse. Les scientifiques sont aujourd’hui certains que l’univers a vu le jour à partir du néant à la suite d’une explosion reconnue sous le nom de « Big-Bang ». En d’autres termes, l’univers a vu le jour ou plutôt a été créé par Allah.

    C’est aussi au cours du 20ème siècle que la seconde idée prônée par le matérialisme est tombée en désuétude: le fait que la création de l’univers est le fruit du hasard et non le résultat d’une conception volontaire. Les recherches menées depuis 1960 ont solidement démontré que tous les équilibres physiques aussi bien ceux régissant l’univers en général que ceux propres à notre Terre ont été minutieusement conçus de manière à rendre la vie possible. Des recherches approfondies comme celles qui ont mené aux lois de la physique, de la chimie et de la biologie, ainsi que les forces fondamentales telles que la gravité ou l’électromagnétisme et jusqu’aux détails de la structuration des atomes et des éléments de l’univers, furent tous élaborés dans une juste mesure pour permettre la vie des êtres humains. Aujourd’hui, les scientifiques appellent cette élaboration extraordinaire le « principe anthropien »: ce principe stipule que tout ce qui existe dans l’univers, jusqu’au plus petit détail, est soigneusement arrangé pour rendre la vie humaine possible.

    Pour résumer, le matérialisme fut rejeté de fond en comble par la science moderne. Important au courant du 19ème siècle, le matérialisme tomba en désuétude durant le 20ème siècle.

    Comment aurait-il pu en être autrement? Ainsi qu’Allah nous l’indique dans le Coran Sacré:

     » Nous n’avons pas créé le ciel, la terre et ce qui est entre eux en vain amusement. C’est ce que pensent ceux qui ont mécru. Malheur à ceux qui ont mécru pour le feu (qui les attend) » (Sourate Sad, verset 27)

    Il est erroné de penser que l’univers a été créé en vain. Une philosophie telle que le matérialisme, ainsi que toutes les conceptions basées sur celui-ci, étaient inévitablement vouées à l’échec dès le début !

    NOTE

    1 Arthur Koestler, Janus: A Summing Up, New York: Vintage Books, 1978, p. 250.

    #225555
    Isly
    Membre

    Bonjour,

    Il sera intéréssant que que vous nous éclaircissiez sur le phénomène « Zouiya Boutchichiya » : Origine, historique, lien avec la France pendant la période coloniale, son lien actuel avec le makhzen, sa vision de l’islam, sa position sur Abdeslam Yassine, l’autre chef islamiste, qui a connu cette Zaouiya.

    Il paraît que « Boutchichiya » vient du mot « Tchicha » qu’un ancêtre de Abbas donnaît aux pauvres.

    Merci

    signé: Iznassen

    #228326
    saidi
    Membre

    @Yamouni Abdelaziz wrote:

    Les citoyens à la traque des terroristes

    Encore une fois, la mobilisation des Marocains :Citoyens et forces de l’ordre, a été au rendez-vous dans la lutte contre le terrorisme. Hier, un groupe de jeunes de Hay Al Farah à Casablanca ont été à l’origine de l’arrestation d’un individu qu’ils ont soupçonné d’appartenir au groupe de terroristes activement recherchés par les forces de l’ordre. De nombreux habitants ont été sommés de quitter leurs logements, les magasins ont fermé leurs portes et les éléments de la police, sur les dents, mettaient en place des barrages.

    Jamal Bougrine, un habitant de la maison où se cachait le présumé kamikaze (une maison voisine de l’appartement où avaient été localisés les terroristes mardi dernier), raconte que ce dernier l’avait menacé de se faire exploser s’il ne le laisse pas s’échapper.

    Face à ce chantage, Bougrine lui ouvre la porte, mais dès que ce dernier eut fait quelques pas à l’extérieur de la maison, Bougrine a fait appel aux autres jeunes du quartier qui ont traqué l’intrus jusqu’à son arrestation. Selon les habitants, le présumé terroriste se cachait depuis deux jours sous un lit à cette maison, dont la seule occupante est une femme âgée.

    Un autre individu a d’ailleurs été interpellé dans le même cadre.

    La Haute sollicitude Royale envers les citoyens blessés dans les actes criminels du 10 avril dernier à Hay Al Farah représente également un autre message fort. On ne le répétera jamais assez, le Maroc crie haut et fort que les fanatiques ne finiront jamais par déstabiliser le pays. Les Marocains sont tous contre le terrorisme et ils sont prêts à payer de leur sang cette conviction, affirment plusieurs citoyens.

    Rien qu’en regardant la mobilisation positive et spontanée des citoyens lors de la traque aux kamikazes en cavale, on sera convaincu, et à jamais, du refus catégorique de céder à la terreur et à l’intimidation de quelques groupuscules extrémistes aux idéaux idéologiques qui prônent la barbarie.

    Quelle est hautement significative la scène d’un jeune du quartier de Hay Al Farah, armé d’un couteau et bravant le danger, partant à la recherche des kamikazes sur les terrasses des maisons du quartier.
    Quoi que gênant, méthodiquement parlant pour les éléments de la police, l’acte en lui-même est plein de sens. « Pas de terrorisme chez nous », lance-t-on dans le quartier.

    Les efforts déployés par tout le monde sont à saluer. Spécialement les services de sécurité qui ont coordonné entre eux depuis des mois et qui poursuivent leurs efforts en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme d’une manière professionnelle, efficace et exemplaire.
    Les autorités avaient arrêté 31 membres de cette bande. Seuls trois ou quatre individus liés aux événements du 11 mars dans le cybercafé à Sidi Moumen, sont en fuite mais ils sont activement recherchés

    Les éléments de ce groupe, identifiés et traqués depuis les attentats du 11 mars, ont réalisé qu’ils n’avaient plus d’issues. Désespérés et déstabilisés, ils se sont fait exploser .

    La guerre contre ceux qui menacent les valeurs authentiques du Royaume et son projet sociétal ne se fait, malheureusement pas, sans dégâts. Outre la mort du feu Zindiba, les malheureux événements du mardi dernier ont fait plusieurs blessés (21 dont six graves).

    Lors de la perquisition de la maison où habitaient les terroristes, les agents de sécurité ont saisi des matières éventuellement destinées à la fabrication d’explosifs, des armes blanches et des outils informatiques et de communication. Ceci étant, l’organisation des groupes terroristes reste loin d’être professionnelle. Ce qui écarte toute connexion avec les réseaux terroristes étrangers

    Chèr Yamouni bonsoir,

    Je suis tout à fait d’accord avec ce que tu viens d’écrire. Je pense comme toi que cette affaire est une affaire de tout le monde. Caque citoyen marocain devrait se sentir responsable et avoir le devoir de lutter à sa manière contre ce fléau. Parmis tant d’autres moyens qu’il faut utiliser pour laisser ce pays qui nous est chèr à tous, vivre en paix, il ya quelque chose que je voudrais proposer:

    1. Les responsables de ce site devrait s’octroyer le droit de censurer tout ce qui peut nuire à la stabilité du pays en particulier ce phénomène de kamikazs. Je sais qu’ils ont les moyens de le faire puisque il ya eu des précédents de censure claire nette et précise concernant certains messages que j’ai lancé sur le site parlant de tout autre chose et pour lesquelles je ne me suis d’ailleurs pas manifesté pour le bien être de tous. Raison de plus, nous nous trouvons aujourd’dhui devant un problème beaucoup plus grave que certains puissent penser même si on essaient de tout faire pour minimiser ce qui est d’ailleurs une bonne chose. Je voudrais simplement dire, qu’il ya a peine quelques semaines, on lisait sur ce site des messages envoyés par certains internautes(qui se sont tus depuis quelques jours comme par hasard) messages dans lesquelles on trouvait tous les ingrédients pour pousser certains égarés à faire ce que nous vivons aujourd’hui à casa et que nous risquons de vivre dans d’autres villes marocaines si tout le peuple marocain ne s’unit pas autour de ce fléau qui risque de nous plonger dans une situation que peu de gens calculent les conséquence. Commençons par ne plus laisser passer des messages qui appellent presque ouvertement à commettre des actes tels que ceux qu’on vient de vivre à CASA. Merci cher ami pour ton sens de responsabilité citoyenne car je crois que la meilleure manière de lutter contre ce fléau c’est de se dire que nous avons un pays que beaucoup d’autres jalousent par sa tranquilité, par sa sagesse, par son esprit bon belliqueux, c’était le cas du règgne de feu SM. LE ROI HASSAN II qui nous a laissé un pays avec peut être beaucoup de problèmes sociaux, mais un pays paisible tout de même, c’est la voie qui est suivie par SM. LE ROI MOHAMMED VI, alors essayon de l’aider mais pas en faisant n’importe quoi et en racontant n’importe quoi sur les sites. Il faut se sentir reponsable être ou ne pas être d’accord avec ce que certains nous balancent sur le site et les contrer pour leur dire que vos pensées ne sont pas les nôtres, votre façon de vouloir organiser et voir le pays prendre une voie que vous vous voulez n’est pas la nôtre. Voilà un tout petit quelque chose qui est à notre portée et que nous devons utiliser pour nous exprimer. bien à toi

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Les citoyens à la traque des terroristes

    Encore une fois, la mobilisation des Marocains :Citoyens et forces de l’ordre, a été au rendez-vous dans la lutte contre le terrorisme. Hier, un groupe de jeunes de Hay Al Farah à Casablanca ont été à l’origine de l’arrestation d’un individu qu’ils ont soupçonné d’appartenir au groupe de terroristes activement recherchés par les forces de l’ordre. De nombreux habitants ont été sommés de quitter leurs logements, les magasins ont fermé leurs portes et les éléments de la police, sur les dents, mettaient en place des barrages.

    Jamal Bougrine, un habitant de la maison où se cachait le présumé kamikaze (une maison voisine de l’appartement où avaient été localisés les terroristes mardi dernier), raconte que ce dernier l’avait menacé de se faire exploser s’il ne le laisse pas s’échapper.

    Face à ce chantage, Bougrine lui ouvre la porte, mais dès que ce dernier eut fait quelques pas à l’extérieur de la maison, Bougrine a fait appel aux autres jeunes du quartier qui ont traqué l’intrus jusqu’à son arrestation. Selon les habitants, le présumé terroriste se cachait depuis deux jours sous un lit à cette maison, dont la seule occupante est une femme âgée.

    Un autre individu a d’ailleurs été interpellé dans le même cadre.

    La Haute sollicitude Royale envers les citoyens blessés dans les actes criminels du 10 avril dernier à Hay Al Farah représente également un autre message fort. On ne le répétera jamais assez, le Maroc crie haut et fort que les fanatiques ne finiront jamais par déstabiliser le pays. Les Marocains sont tous contre le terrorisme et ils sont prêts à payer de leur sang cette conviction, affirment plusieurs citoyens.

    Rien qu’en regardant la mobilisation positive et spontanée des citoyens lors de la traque aux kamikazes en cavale, on sera convaincu, et à jamais, du refus catégorique de céder à la terreur et à l’intimidation de quelques groupuscules extrémistes aux idéaux idéologiques qui prônent la barbarie.

    Quelle est hautement significative la scène d’un jeune du quartier de Hay Al Farah, armé d’un couteau et bravant le danger, partant à la recherche des kamikazes sur les terrasses des maisons du quartier.
    Quoi que gênant, méthodiquement parlant pour les éléments de la police, l’acte en lui-même est plein de sens. « Pas de terrorisme chez nous », lance-t-on dans le quartier.

    Les efforts déployés par tout le monde sont à saluer. Spécialement les services de sécurité qui ont coordonné entre eux depuis des mois et qui poursuivent leurs efforts en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme d’une manière professionnelle, efficace et exemplaire.
    Les autorités avaient arrêté 31 membres de cette bande. Seuls trois ou quatre individus liés aux événements du 11 mars dans le cybercafé à Sidi Moumen, sont en fuite mais ils sont activement recherchés

    Les éléments de ce groupe, identifiés et traqués depuis les attentats du 11 mars, ont réalisé qu’ils n’avaient plus d’issues. Désespérés et déstabilisés, ils se sont fait exploser .

    La guerre contre ceux qui menacent les valeurs authentiques du Royaume et son projet sociétal ne se fait, malheureusement pas, sans dégâts. Outre la mort du feu Zindiba, les malheureux événements du mardi dernier ont fait plusieurs blessés (21 dont six graves).

    Lors de la perquisition de la maison où habitaient les terroristes, les agents de sécurité ont saisi des matières éventuellement destinées à la fabrication d’explosifs, des armes blanches et des outils informatiques et de communication. Ceci étant, l’organisation des groupes terroristes reste loin d’être professionnelle. Ce qui écarte toute connexion avec les réseaux terroristes étrangers

    #225801
    saidi
    Membre

    @ahmed wrote:

    @saidi wrote:

    @ahmed wrote:

    الهجرة بالنسبة لي ما هي إلا منفى إختياري . عند وصولي إلى أرض المهجر لأول مرة أحسست أن سفري لم يكن في المكان فقط بل كان سفر في الزمان . تألمت كثيرا لفراق الأحبة و تألمت لتخلف بلادنا العزيزة . أنا شخصيا لم ولن أندم أنني هاجرت ، لأنني أفضل أن أعيش غريبا في بلاد المهجر على أن أكون غريبا في مسقط رأسي . هذا لا يعني أنني أشجع شبابنا على الهجرة ولو أنني أنصح الجميع بالقيام بالدراسات العليا بالخارج .

    Mon cher AHMED bonjour ou bonsoir celà dépend de ta situation aux USA.

    J’ai déjà eu l’occasion de discuter avec toi sur ce forum avec beaucoup de courtoisie, c’était un plaisir.

    Je doit avant tout te dire que je t’envie et je suis même jaloux de voir que tu t’exprime en arabe à partir des USA, alors, que moi à 3h de vol d’Oujda, j’ai des difficultés pour faire la même chose que toi. J’espère comme je l’ai demandé à d’autres amis internautes que tu m’excuseras si je m’adresse à toi en français et toujours pour les mêmes raisons que j’ai avancé auparavant.

    Sans vouloir entrer dans les détails de la discussion pour les mêmes raisons que j’ai avancé à nos autres amis internautes, je voudrais tout de même te dire que tu seras j’espère, dans la discussion qui suivra lorsque tout sera mis en ordre, un internaute d’une importance capitale. Pourquoi? Parceque j’ai compris que tu vit aux USA . Dès lors, d’une part, celà confirme ce que j’ai dit à nos autres amis, c’est à dire qu’il ne faut pas se précipiter , et entrer d’emblée dans le vif du sujet avant que tous les internautes qui ont quitté le maroc pour une raison ou une autre n’aient eu l’occasion de se prononcer sur l’utilité ou l’inutilité de continuer à discuter de ce sujet, d’autre part, celà aurait été une erreur de ma part de demarrer la discussion sans avoir les rudiments les plus élémentaires pour discuter. Dieu merci, voilà que ce jour, nous avons parmis nous un internaute qui va discuter de l’émigration d’une façon tout à fait différente que celle qui sera discutée par ceux qui vivent en europe. Les USA conaissent ce problème de l’immigration mieux si pas plus que celui qui est connu par les pays occidentaux. Les problèmes de l’immigration que vit l’amérique du nord est certainement plus épineux que celui vécu par les pays européens, la situation à laquelle doivent faire face les émigrés en amérique du nord est certainement différente que celle qui est vécue par les RME des pays europeens alors que nous avons tous la même étiquette RME pour notre pays d’origine, pour celà nos compatriotes internautes qui vivent au maroc feront un effort pour distinguer et essayer de comprendre qu’il ya une grande diversité dans les RME. C’est celà qui fera certainement la richesse de la discussion qui aura lieu je l’espère. bien à toi cher AHMED et j’espère te lire bientôt sur ce site pour le débat.

    أخي سعدي ، يسعدني أن أشاركك في هذا النقاش . لن أسبق الأحداث لأترك لك المبادرة لتسيير هذا الحوار المفتوح . أعدك أنني لن أبخل عليكم بتذخلاتي ، إقامتي بأربا لمدة ثمانية سنين و تسعة سنين بأمريكا ، تسمحلي أن أشارككم لفهم هذه الظاهرة . وأخيرا شكرا على هذا الموضوع و للحديث بقية

    Mon cher AHMED, bonjour,

    Je te remercie pour ta réponse à mon message et je te remercie aussi pour la façon avec laquelle tu as formulé ta réponse, c’est un plaisir!

    Tu auras certainement remarqué que je me suis tu pendant quelques jours, celà est dû tout simplement à une discussion que tu as certainement suivi sur le topic LAUWJADA HASSADA, comme je suis quelqu’un qui a comme principe qui est d’ailleurs de nos jours à la mode c’est la transparence, c’est ce qui explique ce retard. Je ne suis pas du genre à raconter, fantasmer, m’amuser sur le site et disparaître, si j’ai disparu pendant quelques jours c’est pour des raison importantes. Il est vrai, que je dois vous avouer que je me suis posé la question à un certain moment, de savoir s’il fallait continuer à dialoguer sur ce site ou bien mettre un terme, vous saluer et disparaître, pour le respect que j’ai pour les internautes qui ont répondu à mon message, je me suis dis que mon devoir c’est de continuer. Dans quelques jours, je vais vous soumettre un sommaire comprenant les sujets qui me paraissent être abordés en faisant attention à ce que celà puisse interesser le max. de gens. Ce sommaire sera soumis à tout les internautes, chacun pourra y apporter son point de vue, une fois fixé. On l’arrête et on demarre la discussion qui sera je suis sûr longue, longue, longue, bien à vous et je vous remercie de votre intervention.

15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 341)
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