Résultats de la recherche sur 'pas mal'
-
Résultats de la recherche
-
Sujet: Humanité où es-tu ?
Réponse @Luc-Laurent Salvador de Agoravox
Merci de votre lecture et de la portée de votre opinion, qui me sauve, face aux crimes horribles et bouleversants que nous servent nos maîtres à penser, sans fatigue ni arrêt.
Vous me rassurez sur l’usage emporté de mes mots, ce dont je n’ai pu encore ici me défaire. Je vous remercie de votre approche des idées nouvelles, intimidées ou cachées. Des idées qui pour mon bonheur, ou selon mon analyse, sont des vôtres quasi similaires. Si j’ai bien compris.
Humanité où es-tu ?
Devenus des tyrans universels, ces démocrates fortunés (sic), qui des suites de la Shoah et par vengeance déplacée se sont transformés en assassins notoires des foules désarmées. Et ce, dans des camps de concentrations, fortement emmurés. La pire des colonisations et de l’apartheid réunis !
C’est un forfait épaulé par l’Occident et celui-ci le renforce ou l’aurait oublié. Car, on le voit, les méfaits se sont multipliés. La tribu de Dieu, ces dernier colonialistes véreux, est soutenue dans ses tristes et cruels forfaits.
Dans ou sur ce bastion américain, le porte-avion surarmé nommé ‘’Israël’’, on parle de 200 ogives nucléaires, qui avaient commencé pour viser l’URSS, avant sa déflagration ! La cible s’est islamisée !
Depuis bien des années, surarmés donc et plus que épaulés dans ses sinistres méfaits, Sion justifie ses bavures et ses excitions sur le cousin sémite.
Elle contraint ses amis et les autres, par presse, medias et cinéma, interposés à accréditer ses bavures, obligeant les gens à croire, à confirmer et à souscrire à leurs vérités.Voire à colporter ces références des textes et des temps anciens, sur le champ politique contemporain, comme autant de témoignages avérés et de justificatifs de leurs exactions actuelles.
Façon, sourde et brillante, pour eux d’accréditer leur message de fin du monde. Ce monde qu’ils veulent exploser, un cataclysme universel, dont eux, les bénéficiaires promis, émules des Cavaliers, seraient bien protégés, afin d’accéder, seuls, à leurs profits édéniques.
Ce sont là des idées crues et cruelles par trop avancées ! Mythes ou réalités ? Idées ou culture que les mêmes dits-adversaires ataviques des Juifs, respectent, sans pour autant vouloir anticiper l’Apocalypse.
Devants ces mythes ou ces prophéties, la raison et la modernité en prennent un sacré coup, aux antipodes de celles-ci !
Humanité où es-tu ?
Tuer, prendre la vie des gens, différents de crédos ou d’idées, les assassiner frontalement et même quand ils sont à terre, affaissés, et ce sans merci, est intolérable, même pour les consciences juives ou judaïque, qui se sont réveillées ou révoltés !
Est-ce de bonne guerre ou un est-ce un crime contre l’humanité pratiqué, en non stop, par les émules de Yahvé ?Ces raisons tribales, cette usurpation des textes bibliques, sont elles justifiées et raisonnables pour déchirer les peuples, les pays et les états de la région, par Israël et les gouvernements et partis pro sionistes ?
Comment dénoncer les excès et la fausseté des raisons et des menées ethnocidaires ? Comment arrêter les ruineuses guerres faites sur le dos des palestiniens ou de leurs sympathisants arabes déchirés ou ces musulmans anéantis et neutralisés de la région.Sautons sur le pétrole à pomper et les armements à vendre et à écouler, là sur un territoire névralgique, où se mêlent l’histoire antique, les races et les religions.
Là, vertement, sur la terre, ou sur les terres d’autrui, ils tuent autrui, afin d’accéder à l’Eden des pères et des premiers zélotes bibliques.
Pourquoi faire ce deal et ces guerres après avoir créé l’enfer sur cette la terre d’autrui et tous les autres que cette patrie des multiples nations et pères avoisine?
Tu parles des mythes fondateurs ! C’est à devenir incrédule envers les livres saints ou suspicieux !
Humanité où es-tu ?
Sur le plan de la raison, de la justice, de l’éthique ou des droits, voire de la diplomatie, c’est de la foutaise ! Plus grave, des mensonges de l’intox, qui trouvent hélas des suiveurs et des acolytes, prêts par fourberie contagieuse à tromper, en faux témoins, l’univers entier !
Ces balivernes, portées au ciel, à la honte de leurs promoteurs et des crédules, se renforcent de par les comportements séniles et archaïques.
Je n’accuse pas les pro-évangélistes américains et autres occidentaux pour leurs croyances, mais pour les haines racistes et xénophobes propagées et non stoppées !
Cette superbe de certaines identités fait beaucoup d’émules et de victimes. Cette suprématie de l’argent et de l’Amérique sur le monde, influe sur le premier imperator de la terre. Ce riche et cher Trump, qu’ils se sont choisis avec leurs célestes banquiers et sémitiques souteneurs pour nantir Jérusalem comme capitale de son empire élargi.
Pour terroriser et créer plus d’injustice entre les riches, les forts, les puissants et les autres démunis, ceux qui loin de cet égrégore, qui n’aspirent, à travers le monde et les pays encore arriérés, qu’à un peu de culture, de paix, de libertés et de démocratie.
L’Armageddon, le combat final entre le Bien et le Mal, n’a jamais cessé.
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 23 Mai 2018https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/parodie/article/tangos-sataniques-et-duels-de-maux-204481
De Luc-Laurent Salvador 23 mai 09:19 à My Ahmed Idrissi
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/parodie/article/tangos-sataniques-et-duels-de-maux-204481Vous portez témoignage de la violence faite aux Palestiniens et c’est non seulement légitime, c’est nécessaire. Donc bravo, élever la conscience du bon peuple est la première chose à faire si l’on souhaite changer la donne.
Ceci étant dit, les opinions du bon peuple de France, d’Europe, d’Afrique ou du monde, Israël s’en bat l’oeil comme on dit chez moi. Ils n’en ont aucune peur car, comme disait de Gaulle, c’est un « peuple sûr de lui et dominateur ».
Qu’ont-ils à craindre dorénavant ? La troisième guerre mondiale pourrait démarrer à cause du développement de bombes atomiques par la Corée ou l’Iran alors que nul média n’est censé informer le bon peuple qu’Israël possède une ribambelle de bombes atomiques et qu’il n’a JAMAIS signé aucun traité de non prolifération ou d’arrêt du développement de nouvelles armes nucléaires.
Nous sommes dans un monde de mensonge permanent où l’on voit bien la haute main sioniste tenir les rennes du pouvoir médiatique.
C’est alarmant au possible et je ne vois malheureusement aucune issue. Les palestiniens vont boire le calice jusqu’à la lie et, ensuite, ce sera notre tour, quand viendra le conflit (armé) des (prétendues) civilisations que ces élites nous concoctent depuis des décennies.
L’Apocalypse nous y sommes, mais Armageddon est seulement sur l’horizon. Il est encore à venir, mais ne saurait tarder, je crois.NAKBA Tangos sataniques et duels de maux
Tangos sataniques et duels de maux
Idées en l’air sur des étangs de sang
Outrages au sens de l’Humanité ! Déni universel de la moralité ! Hypocrisie en tous genres, au mieux et rarement sous les aspects d’une diplomatie palimpseste ou de masques hypocrites prêts à trahir et tout emporter. Conflits depuis que le monde est monde, les grands prédateurs ne sont pas tous fossilisés. La fête des 70 ans est un paragraphe de l’Holocauste de plus, gravé sur le dos courbé, des innocents de Gaza et de toute la vestigiale humanité..
La guerre est une cause perdue. La guerre une contrainte narcissique de puissants, qui n’ont pas su engranger plus qu’ils ne voulaient ni le faire dans la paix. La guerre est l’absence de correspondants et d’idées de partages pour laisser vaincre la paix. C’est ainsi que les guerres se sont ennoblies du nom prestigieux et idéalisé et rassembleur des religions. Un opium, qui les cimente et qui les pousse à les faire et à les supporter.
Ce ne sont pas des prières ni des larmes d’orties. C’est une parodie de danses. Un film en papier carbone parcouru de lettres de sang. C’est une danse de courage sur les vestiges macabres des pairs. Ces tués de partout, pour les libertés volées, par de riches démocrates outrageants et des religieux, aux rites avortées par les zélotes de la ‘’divine tribu’’ !
Paragraphes sans titres
C’est une placide romance sur la barbarie des puissants, leurs crimes et leurs violences. Ce n’est pas un pamphlet ni une lettre de diffamation, lancée à messires Trump et Nathan. C’est un trait de flèches pour indexer la suprématie aveugle des puissants. Quels qu’ils soient. Ces champions, ces titans, ces terroristes, ces tyrans ! Et qui guerroient pour maintenir leur suprématie, cette position impérialiste avec leurs agressives pressions colonialistes. Ceux qui commettent toutes sortes d’injustices par égocentrisme et qui ciblent l’orgueil, la fierté, l’indépendance des états pauvres ou leur autonomie, pour profiter de leurs richesses minières !
Afin que d’autres Hachachines prennent les libertés de tuer leurs ataviques et iso-sémitiques proies des mêmes terres prophétiques ! Les résidents millénaires, attardés sur les terres spoliées espèrent la vie en vain et les libertés naturelles comme d’autres, sur leurs terres ancestrales.
Les uns, le Palestiniens qui n’ont pas fui et qui ne se sont pas exilés affrontent ce dilemme ! Dois-je mourir prisonnier pour ressusciter libre dans une autre vie ? L’espoir est aussi fort que le crédo. Et la volonté, qui manque au sinistre ennemi, je l’ai, leur dira chacun !
Les autres font mine de croire en Dieu et s’unissent dans un état félon, usant de Son nom par hypocrisie ! Mais ils ne croient qu’en la puissance de l’argent et des armes reçues des maîtres de l’univers qu’ils manipulent et élisent comme des poupées. Les américains…Et pas seulement !C’est un poème pour la délivrance des démunis. Démunis de leurs droits et de leur vie. Preux marcheurs, détenus inermes de nature, désarmés de fait, ils crient sous les balles de Sion. L’armée surarmée épie les marcheurs pour les cueillir, sans bavures, un par un.
Cris, fumées, des morts et des pleurs
Les cibles crient dans l’ombre des fumées leurs libertés confisquées. Apatrides, prisonniers sur leurs terres ancestrales, là où ils sont séquestrés depuis dix ans devant les justiciers de l’Onu, les démocrates d’Europe, d’Amérique et d’Asie ! Des garanties qui leurs allouent le droit de procéder…Comme ils veulent sur les vilains ‘’Arabes’’ ! Ce sont des cibles que tirent les fils de Sion, dissimulés et surarmés, vaillants gardiens des camps de l’apartheid le plus ignoble qui soit. Celui des pogroms, antichambres du carnage sioniste, de leurs holocaustes sur la terre des prophètes et des ancêtres de ces mêmes palestiniens ! Les Israéliens de Moïse n’a jamais débarqué sur une terra nulius !
La presse en est témoin et vous avez tout vu. Là, devant les yeux du monde ahuri ! Y compris celui des puissances qui applaudissent les libertés retrouvées de Sion. Israël, puisqu’il faut appeler les choses de par leur nom. Or l’état chéri des puissants et de Yahvé fait dans la barbarie la plus carnassière et dans des crimes aussi abjects que ceux des Nazis ! Yahvé les regarde faire sans encore bouger. Dieu décide, mais il ne veut pas interférer (encore) sur le destin des criminels notoires, ni intercéder. Après 5 millénaires et ces derniers 70 ans, leur laisse-t-il une chance de s’amender librement, de se réviser, avant de les condamner aux flammes éternelles ?
Les sanglots entretiennent le cynisme et les gémissements accroissent les plaisirs et les sarcasmes des assassins. La morale est hors programme. Les exactions, l’impéritie des puissants et leurs inepties atteignent la cime de leurs joies et de leurs profits dans les guerres et les assassinats programmés. Les maîtres du temps, les impérialistes l’ont manifesté depuis l’antiquité. Conquistadores et colons, l’histoire est pleine d’exemples de tortures, de drames et de tragédies.
Ils ne croient ni les hommes des pays conquis, des avatars décimés ou zappés, ni en leurs dieux folkloriques ou leurs propriétés. Rien ne sert de les attendrir ou de les raisonner. Ne comptent depuis des siècles que les profits et ceux-là, ces Saigneurs, sans métaphore, n’ont pas d’amis. Ont-ils un dieu, s’ils n’ont ni éthique envers ces ethnies ni morale ? J’entends, comme on le voit actuellement, le respect des accords tenus, les réserves envers les droits gens et la dignité, le respect des autres chefs d’états et la sauvegarde de leurs libertés et de leurs pays.
De la Nakba ! Exode tragique ! Il ne sert à rien de sangloter sur les résistants, tués çà et là pour la liberté des leurs, ni de se lamenter sur celui des milliers de blessés ! Ni encore de s’apitoyer sur les manifestants. Ceux de partout, morts ou en prison, pour rappeler leurs existences éphémères. Pour analyser les erreurs des cadres qui les humilient et les négligent. Ou de regretter les silences placides de leurs hiérarchies de maîtres. Ces colons télépathes ou ceux des canaques proches des leurs. Les martyrs ont des convictions et un credo. Ils se sont libérés des carcans et des chaînes de leurs ‘’brillants et illustres’’ ennemis. Les snippers qui les tirent de loin ou ces beaux éphèbes, qui d’une directe dans la tête, les explosent, alors qu’ils sont affaissés à terre ou juste blessés !
Les anges les pleurent et font l’audit des uns et des autres. Des criminels et des victimes. Tous sont déterminés par les us et les croyances, les mythes et l’argent ou leurs contraires. L’esclavage, l’humiliation et la pauvreté structurelle sont là pour les aliéner ! Même dans les pays où, relativement, il y a la paix, mais aussi des menaces de guerres sur celle-ci. Les terroristes ont poussé partout ! Tous se ruent dans la folie pour accomplir un deal sanguinaire, faute de programmer la paix.
Projets de paix ou cauchemars ?
La tolérance, la compliance entre les branches sémites qui sont condamnées à vivre côte à côte, depuis que les alliés ont décidé de les installer en Palestine colonisée, pour se débarrasser des Juifs d’Europe en premier ! La vie à deux, avec les autochtones qui n’ont ni argent de longue date, à l’instar des juifs, ni protecteurs armés, pour les faire respecter ! La vie à deux états, respectueux des accords antérieurs passés, entre palestiniens et juifs, attentifs les uns aux autres et assagis, capables de faire l’avenir par l’estime, dans le cadre des libertés et du compromis. Malgré les graves erreurs du destin et des conflits de leur histoire enchevêtrées, le plus souvent en aux antipodes.
Car, les Palestiniens, encore vivants, sur place et qui n’ont pas été chassés, n’ont nulle part où aller. A contrario des Juifs qui savent l’importance et la force de l’entraide universelle et historique qui les lient. Des sémites, acteurs pugnaces, sortis de l’histoire et de la ‘’ cuisse de Jupiter’’, Abraham, qui savent de toujours profiter des situations de leurs coreligionnaires hébraïques, partout bien installés et souvent très aisés !
Paragraphes titrés
Genèse. Exemples de leurs libertés dans leur démocratie sauvegardée, une étable, une écurie, un abattoir sanguinaire, sur un sol volé ! Les dit-arabes de la place, les descendants de ces palestiniens, y vivaient bien avant que Moïse n’invite les fils des dits-esclaves israélites à les envahir et d’habiter à leur place…David abattit le philistin Goliath. Il laissa son fils Salomon, devenu prophète, y construire un temple dédié à Yahvé. Ce, un moment avant que Rome, l’impériale, ne les pousse à l’Exode. Un phénomène civilisationnel universel qui leur a ouvert les portes du monde entier qu’ils ont envahi. Ils ont appliqué un des versets de la Genèse…Celui de se répandre sur la Terre pour la conquérir…Est-ce afin de porter la voix de Dieu ? Seulement ?
Seulement…Cette vieille civilisation aura donné des particularismes douteux, une éthique de souplesse et un caractère de patience et d’adaptation. Une intelligence faite pour l’adaptation.
Avec une dérive…Fourbes et sournois, menteurs, faibles ou puissants. Ainsi, par ses meurtres et ses mensonges, l’armée la plus morale au monde, du pays le plus démocratique d’Orient, avec Trump et Netanyahoo, prépare l’Armageddon.
La transe des assassins
Génocide ! 70 ans ! 60 morts, 2400 blessés. Pour Satanyahoo, c’est un « jour glorieux » !
Vous, les Occidentaux libres, vous avez raison de crier face à la horde des vrais barbares et de dénoncer les fourberies criminelles des atroces colons, partout sur le Net et les journaux !Danses macabres
Tango derrière les flammes et les fumées, et face aux balles en libertés. Celles qui tuent et qui massacrent, pour vilipender, mentir et trahir, après les meurtres, les tueries, les châtiments sur ceux qui osent espérer droits, retour sur leurs terres et simples libertés. On leur coupe les vivres, l’électricité, le ciment, les médicaments, les dons et l’eau !
Tango des démocrates universels, en face des cibles que représentent ces ados qui dansent, qui courent et qui crient, le nez dans les pneus qui brûlent !!
C’est la faute de Hitler ! C’est lui qui les a tués par milliers, montés, exaspérés et démonisés pour l’éternité. C’est la faute aux Anglais et aux alliés, celle des pervers et des meurtriers, qui pour réparer les dols des Sémites, ont commis l’impair sur les pays colonisées et les nations qu’ils ont fracturées.
Que des pleurs. Des plaintes inlassables et impuissantes qui ne font que des morts !
Et qui irritent les monstres, et les font mentir, donnant d’autres raisons à leurs souteneurs pour continuer sous leurs yeux complaisante à commettre des excès et des impairs. Des crimes sur les prisonniers de leur terre ! Laissez les assassins faire leur boulot d’hyènes ! Laisser les souiller de leurs danses macabres, de rapaces et de vampires, les tués qu’ils aiment faire ! Ils brilleront leurs ados surarmés de jouir, de la danse des enfants, qu’ils destinent à la mort.Laissons les maquignons œuvrer dans leurs sinistres boucheries. Ils pourront toujours dire qu’ils ont des Nobels, des inventeurs, et des démocrates, des acteurs, des chanteurs, des riches et des banquiers des politiciennes qui servent l’humanité à travers les gouvernements amis qui maîtrisent la terre.
La danse trahie reprend. Les oligarques sont trop puissants. Ils lisent les destins à travers les nuages du Net. Ils visent les marcheurs au travers des fumées. Ils influent sur le destin des chiens morts et des absents, appelés hommes !
Ce sont des boissons qu’on ne vend pas encore. Même si on le produit, le sang des martyrs en bouteille pour vampires avisés. A Gaza il en reste encore ! Aidez Sion à les boire et vider et exporter !
Que manifester hors du temps, face aux destins contraire, est un droit et une peur à chasser, une chance pour rester digne et debout.
On rampe on ploie, on hurle pour rester vivants. Les Palestiniens ne savent pas le faire. Manifester nus, pour la liberté, face aux balles que l’on tire, est digne et courageux. Que tirer par-dessus ou par derrière, à travers les barreaux, à balles réelles, des prisonniers, est un acte de courage pour les soldats snippers ! Sion est puissant, il a une armée de soldats richissimes et bien aguerris.
Dieu, préserve-nous des crimes odieux des traîtres, des vils et des ingrats, dont tu avais chéri les ancêtres, les pairs de Moïse, par charité et amour, après leur esclavage égyptien !
Epargne-nous de ceux qui veulent ternir l’image de Dieu et qui poussent aux crimes et au sang des nôtres ! Eloigne de nous leurs séides, leurs matons gardiens et leurs souteneurs et soutiens, leurs maîtres-esclaves, violents et incrédules.
Des gouttes de mots
Corps. Cette limace qui me colle au col et qui se prend pour une âme et un cœur, me mène au précipice faute de cieux plus brillants à gravir. A cause de cette bouffonne, je m’aplatis pour exulter. Et je me meurs à commander en subissant les pires ! Les avanies mécaniques de cette superbe brouette, quasi autonome, que j’appelle le corps.
Ame ! J’ai reçu une âme sur ce corps donc, que je dis être le mien. On me dit que je suis palestinien et que, à l’instar des autres j’ai le droit de vie et d’existence, comme je suis et là où se je suis. Je parle et j’entends des mots. J’ai des sens et des sentiments. Je suis ! En fait ! Et je sens le besoin d’être, d’agir, d’avoir et de posséder, mon identité ! Or je sens et on me dit que je ne suis pas libre, que je n’ai rien et que je suis né prisonnier. Aussi écrasé et vulnérable qu’un esclave, condamné à mort s’il tente de crier ou de bouger.
Amis ! Dieu est déçu des sectaires, des mécréants, des riches de parmi les suzerains des rois, ces tyrans impérialistes et impérieux qui exultent de leurs ‘’identités supérieures’’, sous d’autres drapeaux et oripeaux. Je suis en sursis face à ceux qui ont oublié d’avoir une âme dans leurs corps. Il me semble. Ces gens et ces gouvernements aux nationalités superlatives ! Ces êtres dits supérieurs, menaçants, moqueurs, surarmées et inlassablement impérieux, sanguinaires voraces.
Yahvé. Dieu, regrette de leur avoir donné la vie et lancé la liberté au Diable sur la Terre. Satan et ses derniers fils, Trump et Nathan, sont-ils donc des pervers ? Des démons ? Des élus, des gens en fait, qui au nom des religions qu’ils ont trahies et déviées, sont devenues des fléaux guerroyeurs et corrompus. Ils usent et ont usé, comme leurs prédécesseurs, de l’amour de leurs enfants et de leurs partis politiques, pour multiplier les morts sur les terres de paix au Moyen-Orient, entre autre !
Ursalam. Ils ont trahi le nom de cette ville spirituelle, vouée depuis des millénaires à la paix, dit-on encore, dans une région qui a connu des prophètes sans compter ! Ur, Urs Salam, la cité est devenue la vallée de la mort, le mont des pleurs et la cime des agonies ! La mer morte des âmes spoliées. C’est Satan, le féal, qui est devenu Nathan à Sion. C’est lui qui a tout fomenté. Pourrait-on dire ou croire…Mais assez de mythe, regardons les faits en face. Ils sont affaire d’humains. D’assassins égocentriques, vaches et puissants ! Ils sont désolants et maléfiques, certes ! Pourquoi cacher leur pouvoir, celui du plus fort des états américains ?
Danse macabre. Valse du vol des âmes, tango des cris des terres spoliées. Des peuples reculés sont vaincus, leurs terres sont spoliées. Sans états d’âmes ! Leurs civilisations, leurs libertés et leurs droits, sont reniés et oubliés, depuis les explorations et les conquêtes. Les dites colonies et découvertes, par-delà les guerres qui ont laissé des traces de tueries et de sangs depuis l’antiquité, concluent en faveurs d’une triste moralité. Les cavernes des premiers primates, d’entre les humains, sont remplies de cendres et de traces de feu, avec des coquilles d’escargots…Les peuples les plus faibles, sont hélas ainsi, des proies aisées, quand ils n’ont ni dard ni dents pour se défendre, mais que des ventres mous et de la bave pour glisser et ramper.
Apres l’Armageddon, l’Apocalypse ! Mais rien ne leur rendra ni leur corps ni leurs âmes inassouvies. Ils ont transformé le sol, la terre, en enfer et des humains, ils ont gâché leur avenir sur terre et leur vie. Ni leur terre jaunie et polluée, ni la justice dépravée, ni le droit honni, ni la paix consumée ne justifient autant de haines et de guerres, au nom d’un dieu, qui ne peut être qu’unique…Il leur a toujours dit. En vain ! Armes, injustice et tueries, attestent de leurs mensonges à la face de Christ et de Yahvé !
Se battre. Le slogan d’une Terre qui tourne et les voit se battre tout en continuant de les nourrir et de les protéger au lieu de les jeter dans le vide, avec cette force et cette vitesse dont elle tourne sur elle-même et autour de ce Soleil ! Pourquoi alors se battre ? Dites-leur de ne pas réveiller le Mal en faisant plus de morts, au lieu de plus aimer Dieu ! Dites-leur de cesser de sacrifier des innocents pour se venger d’autrui ! De châtier l’histoire et de se venger du passé…sur des ‘’gosses’’ en mal de libertés.
Tuer pour jouir. Les prouesses de la malice, les puissances du mal, les richesses corrompues, les actes de cruauté gratuits, exultent de soif d’enfants innocents ‘’ à occire pour jouir’’, pour nourrir leurs âmes démoniaques, de pleurs, de haines, de meurtres et de sangs innocents. Tuer pour jouir des biens d’autrui.
Le Démon. Satan vit du mal commis sur cette terre et sur autrui. Sur les justes et les faibles, sur les impuissants. Il laisse courir la violence et savoure les vanités des vivants qui le servent. Lors des crimes sur les justes et les innocents. Dans le sang et la terreur, par le pouvoir par la peur. Israël et les terres alentours, ses guerres provoquées sur chaque pays, son affiche, son souk, son empire et son marché !
Israël tue par peur des autres envers lesquels elle refuse de faire la paix, craignant qu’ils s’unissent ou s’insurgent contre elle. Paradoxes, quiproquos, méfiances cultivées !
Guerres des religions. Une logique, une raison un motif exact de Yahvé ? On tue les hommes qui croient en Mohamed. On épargne ceux qui s’attachent au Christ. Ce Jésus qu’ils ont liquidé ! Qu’ils pensent avoir tué ! Et par sa prophétie, non admise par ses coreligionnaires juifs, le Messager aurait péché ! Il méritait selon eux le calvaire et la crucifixion publique ! Aux yeux des Chrétiens et par cette dite mort sur la croix, Israël aurait tué Yahvé ! Israël est déicide aux yeux des Chrétiens ! Selon le concept très chrétien, après le meurtre du fils de Yahvé par les Juifs de l’époque. Depuis Israël s’en prend à ses frères sémites. Ces sémites arabisés qui se sont trouvé, encore, un autre prophète auquel croire !
Une remarque banale. Sous le règne du Dieu unique, maître des mondes et du destin, qui a tout créé et qui décide de tout…Que de confusions et de vérités ou d’idées contradictoires sur le Créateur ! Contresens des sémites, en tous genres, qui se sont répandus avec leurs concepts et leurs crédos et qui partout ont semé des haines inutiles, héritées et colportées du passé !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 20 Mai 2018
Fin de boycott, reprise de langue et de consommation
Vous dites sur le journal en parlant du commerce, des prix, du boycott et des Marocains que » Par chaque prêt contracté, par chaque » euro »…!
Heureux, ceux qui parlent ainsi de nos dirhams et qui se font payer en euros ! Leurs bénéfices et leurs économies sont faits ici mais portés ailleurs. La fuite, l’exode pour la protection et la sécurité ! Les bénefs sont exilés, déportés et quasiment disparus. Ça dépend pour qui ? Mais il semble qu’ils n’en profitent jamais assez !
Peu importent les actes, pourvu qu’ils aient leur paradis ! Fiscal ou réel, juste ici ! Peu importe, vous alliez dire, leur argent est à eux, même s’il provient du chanvre, de la coke, du pavot ou d’une manigance magistrale d’un prestidigitateur averti !
Mais, ici le » taon » est différent …Un ton de parasites, africains, des piqueurs qui transmettent et collent les trypanosomes. Des parasites microscopiques que les mouches tsétsés injectent aux humains quand ils les sucent. Ces vampires causent la maladie du sommeil. En sommes-nous tous atteints et affectés, nous autres ‘’Madawikhs’’ ? Pour avoir été piqués de ces nobles surnoms et titres péremptoires que sont les qualifiants ‘’M’khalfines’’ et les Jiânines !
Par-delà ces vecteurs, ces parasites et ces mouches tueuses…Un petit mot de sagesse ou de réflexion respectueuse, malgré les ires et les remugles des parias et refuzniks face aux sbires injurieux que sont les notables et riches notable de parmi nos chefs indigènes !
Sans être sinistres ni cyniques et sans vouloir pourfendre quiconque ceci. Dépassons les cris et les illustres insanités, parfois abjectes ! Localement, suspendre ses achats, électivement; vous vous mènera-t-il, vous menace-t-on, de prison ? Non ! A en croire le héraut de notre bon, massif et épais gouvernement, on n’en est pas encore là !
Qu’en sera-t-il du choix des élus ? Ceux de demain, aux partis nombreux, aux deux parlements qui plus est au vaste gouvernement ? Les urnes mènent-elles au violon ? Ça dépend de la maîtrise de ceux qui y pataugent. Cela étant, nos élus zélés, de parmi les jeunes novices d’hier, des parvenus méritoires, sont devenus de célèbres dirigeants et en sont innocents. Sauf qu’en guise de libertés conquises, ils imposent le mutisme maintenant !
Si diriger les ministères n’est pour eux que respecter les privilèges népotistes des nantis et la mainmise des puissants, on se demande s’il faut continuer encore aller voter. Et l’on se trompe d’ère en menaçant les gens, en leur intimant le silence et les peurs. Cette relique illustre des forfaits moyenâgeux d’hier !
Qui me demande quoi manger ou quelle marque de fromages m’enfler ? Ou de pastèques m’assouvir, quand je regarde avec regret tes pommes vertes ou avec envie tes plantureux melons de Souihla ? Et de quel droit m’abreuver de cette eau-ci ou de celle-là ? Est-ce constitutionnel que de me forcer à rouler avec ce pétrole ou dans cette voiture-là ? Ouste, les mesquins !
Consomme donc, brûle ô peuple, et consume-toi gentiment ! Ferme-la, si tu as compris, les ordres des super ministres ! Sois cool et zen est leur sage message en attendant que tu te calmes vraiment durant la diète du Ramadan ! Afin d’être en paix avec ton âme et pour obtenir la bénédiction divine des puissants, va prier sur les nattes au lieu de crier dans le vent ! Sinon gare, et on te poursuivra, quoique tu fasses, jusqu’aux dernières branches où tu te caches, macaque chagrin ! Et la piaule aux barres de fer t’attend.
On dit que nous sommes infiltrés par des activistes et des saboteurs venus de’ pays ‘’pas très amis ‘’…Ça c’est dangereux et devrait nous faire cesser chez chamailleries pour le moment…
Ok, soit ! Mais, je vous jure, maître-à-penser ou maître-à-dire et mettre à mesurer tout court, qu’insidieusement j’ai pris mon Danone ce soir ! Par une déformation cultuelle mienne de consommateur, aveuglément et depuis mon enfance, j’appelle le yoghourt ’’, Da Noune’’ ! Comme j’appelle l’épicier du coin, le serviable Soussi, Da Ahmed. Brahim et Lhouine pour certains ! Avec respect, reconnaissance et toujours sympathie, pour son utilité et sa proximité ! On devrait cultiver nos épiciers comme nos pharmaciens !
Si donc pour un adulte, il ne contient rien ce ‘’lait pressé ou tassé’’, il n’est ni plus mauvais ni plus consistant que les autres pâtures du même gabarit. Idem pour les laits qui ne représentent plus rien pour un adulte, sur le plan diététique ou sur le plan des besoins organiques du moins !
Monsieur le professeur, vous le ministre qui avez fait dans la chimie, dites-nous, un humain, de plus de deux ans, combien doit-il boire de litres de lait de vache, pour que ce soit utile pour son organisme, à lui ? Whatsapps m’a dit ‘’ 3 litres d’eau courante chaque jour, pour ne pas tomber malade ‘’ !
Faut-il croire en ces paradoxes ? Cette paranoïa, cette schizophrénie, cette hystérie, ces silences coupables ou ces erreurs des industriels, des cadres, ou des médecins encore ? Des balivernes ou des arnaques ? Des déments dépassés, qui ne sont qu’obédience et assujettissements ostensibles, des délices feints, pour des habitudes alimentaires. Ceux des produits, des marques ou des façons, des us et des copiages, qui ne sont que suivismes sans utilités aucune ! Ou presque, pour apporter de l’eau à mon vin….courant ! Sans abuser personne ! ‘’ Ça tout le monde le sait ! Des ministres et des chefs d’états me l’ont dit !’’
Menacer du haut d’un ministère ou d’un magistère, d’une chaire, est une marque de suffisance, doublée d’autorité, quasi dépassée ! Quelle que soit la notoriété de celui qui menace le Peuple, c’est une formule peu psychologique, outrée ou outrageante, forclose et désuète, totalement chaotique! Une pagaille, un artefact, une bavure ou une erreur simplement, même si elle provient du haut du Parlement.
Ce signe de faiblesses est un syndrome de suprématie, usurpée ! Une vacherie inopportune décalée, surannée ! Un vent, un écho, qui appellent la tempête et le chaos ! Changer de voix et de voix eusse dû ou pu être plus opportuns ! Un délire qui menace de boucler les droits et les libertés et de supprimer les libertés…Durement acquises !
Les libertés ? Celles alimentaires des consommateurs ou des esclaves ? On ne sait plus ce que nous sommes et si Israël, Al-Qods et Ghaza sont loin du patelin où je gère ma retraite et où je reçois à mon âge, tant de violences verbales, colonialistes et de coups au ventre, provenant de karatékas, assurément des vendus !
Les libertés sont-elles aux prix du silence ? Sont-ce des libertés encore réelles…Si elles sont tues ? Quand on nous dit : ‘’ Koul Hada ou Chroub Hadi, bessif’’ ! ‘’Paie et pleure’’, serait-ce l’actuel slogan de la présente administration ? ‘’Paie et pleure’’ comme slogan d’élections ? ’’Pour un avenir radieux ! Un cadeau des Messires Untel au peuple fidèle du Ramadan !
Consomme ô bon peuple, sans gémir ni jaser ! Consomme en silence et sans parler ! Un pléonasme, ma sœur ! Ainsi le veut-on ma chère! Les orgues du vent ont parlé et ce ne sont pas des boniments. Mais des orgues de Staline qui font la Chaabana ! Entends-tu la colère des éléments ? La comprends-tu vraiment ? Ecoutons le Parlement, trop vidé de ses bancs ! Ecoutons ses sentences et ses dires, ses enquêtes sur les usufruitiers du pétrole, ses usuriers et ses avenants. Ça sent le soufre et les fils cornus et à queue des démons. Les Super Héros du dernier film de Marvell débarquent sur leurs stations de fiction et dans nos magasins de métal pour nous solder leurs liquides magiques !
Sortons du film de fiction pour des frictions plus vraies et des silences de morts ! Les leaders se sont tus ! Éclaboussés, ils se la ferment et la font fermer à autrui, pour durer … Sauf que ça fermente et ça monte après avoir caillé ! A quoi servent les milliards qui assoiffent le peuple, à le faire gémir ou à vendre son âme ? A rendre les rarissimes super-milliardaires, d’ici-bas, plus heureux qu’ils ne le sont ? Pourquoi ne pas ramener ce bazar ici et l’investir là ? Si on aime son pays encore des fois et qu’on n’ait pas peur de son Administration ?
Le drame est que leurs silences, leur sagesse muette, faites dans le cadre de la meilleure gouvernance qui soit, leurs expériences; augmentent hélas, les cris. Simple constatation de ma part, mais tu les entends grossir, mon fier et respectable Ami !
Quelles leçons en tirer alors ? Et quelle prospective pour demain ? Et quelles solutions pour aujourd’hui, afin de calmer les esprits irrités et leur donner raison ? Les écouter avec patience ces boys-cutters ? Une ingérence d’un spectre nébuleux sans tête connue, une ombre virtuelle qui manque de corps ! A l’instar des leaders du Net. Rendre justice à tous, après avoir longtemps écouté ces torts ? Ce grâce à ‘’un fantôme du Web’’ plus que vivant, qui n’a pas beaucoup tort ?
Comment trouver un consensus qui entre dans les prérogatives de l’Etat ? Les prix, du pétrole, du gaz, du pain, ceux de l’eau et du lait, doivent être surveillés et fixés par l’Etat. Constamment, et avec tact et mesure, pour ne laisser personne de parmi ceux qui boivent et qui mangent fâchés se révolter contre les industriels.
Autrement dit, le Libéralisme à roue libre, devenu par compliance ou coalescence et de fait sauvage, doit faire son autocritique ! Ses outrances et ses privilèges menacent la paix d’aujourd’hui et les promesses de demain ! On l’a vu ! Que la leçon serve à tous, en ces temps de fragilité et d’effervescences belliqueuses et de fissuration des états, des pays et de la Nation !
La prospérité de cette voie, qu’est le Libéralisme, individualiste ou unilatérale, menace pars ses excès peu amène, ce pays ouvert, calme et serein, qu’est le tien. Un état qui lui est voué, avec espoir et intérêt, sans contraintes, librement.
Il faut oser écouter le Peuple, qui a mûri, et lui rester ouvert et courtois. Dignité et orgueil ne sont ni malice hypocrite, ni charité profuse ! Amour et respect sont-ce des valeurs que pourraient utiliser les Politiques et les Industriels envers les Clients et les Votants ?
Pour mieux le guider, certes et le diriger, ce Peuple et cette Nation, contre toutes les menaces, violentes, qui le jalousent ou qui veulent l’accabler ou se l’accaparer.
Bonne lecture
Heureux les riches, ils ne font rien gratuitement !
Les coursives de la pensée entre les êtres et les chosesLes chroniques différées de Mme Student. Résumé de la situation.
Vannes et boycott
La kabbale des protestataires spontanés ou le boycott des refuzniks légitimes. Les prix excessifs et usuraires, finissent par nuire au développement, comme ils handicapent les progrès, en versant dans l’irrespect des droits et de la dignité des citoyens.
Sahara, libertés, premier Mai et Ramadan ! Dans les coulisses de la médisance stérile et des vannes dédaigneuses, dans les ravins des bidonvilles des ‘’massaquines’’ et les corridors des ‘’affamés’’, de superbes ‘’Jiânines’’ braient face aux prestigieux milliardaires ! Et les dites ‘’mauviettes’’ hermétiques du Net, logiques et vraies, hurlent poliment et avec constance, en dénonçant et les infamies usuraires et les prix exorbitants !
Le peuple du Web, ces petits consommateurs, mais grand râleurs, avancés et intrépides, face aux saigneurs, usent d’une arme nouvelle, le Web ! Une formule nouvelle de lutte et d’appels, pour un boycott, ô stupeur, quasi généralisé ! Une excroissance difractée et polymérisée, qui pénètre par les phones enflammant tous les foyers !
Et les richissimes cadres et ministres n’ont que leur bonne bouche pour braver et rétorquer ! Les illustres cadres, blessés dans leur amour propre, menacés dans leur recettes et autres rentes permissives, veulent sécuriser leurs statuts sans rien céder ! C’est naturel ! Comment il leur faut-il, en tant que ministres concernés, apaiser le souk qui hurle sur la Toile et les renie ! Al Hoceima et Jérada ont servi de modèles aux hordes déchainées, avec les risques publics et les peurs nationales que l’on sait !
Avec qui leur faut-il palabrer, dans cette ombre ombreuse ? Avec qui, quels syndicats, quelles associations, quels partis dissimulés ? Parler dans le vide, après avoir raillé et insulté ? Dialoguer et composer, mais où ? Car il faut le faire vite, avant que ça ne se dégrade ou que ça ne s’amplifie.
Qui ramasser par leurs amis du Makhzen ? A fortiori, pour leur sécurité et dans le cadre de la rigueur sereine et respectueuse de ce Makhzen, si nécessaire, mais souvent accusé. Le Pouvoir, dont ils sont les gardiens, les élus, les zélés, les ailes économiques et les bonnes issues !
Qui arrêter, qui juger pour troubles de l’or particulier et de l’ordre public ? Ce alors que la ‘’rue’’ virtuelle impacte ou sabote l’économie dans le réel et pour de vrai et qu’on la stipendie et vilipende, sans arrêt ! Comme autant de ‘’troupeau’’ et de ‘’mdaoukhines’’. Des déments ou des drogués ?
On peut relever des paramètres socio-anthropologiques, dignes d’analyses diligentes et de décisions urgentes, mais aussi ces miasmes putrides, ces mots ces injures, qui viennent d’en haut et qui sont si bas, qui sont si néfastes et certes, à condamner ! Mars, le dieu romain de la guerre cherche en ce mois de Mars la guerre en Maurétanie Tingitane ! Que de siècles d’erreurs et de progrès humains oubliés !
La prodigalité, les faveurs, les dépenses s’opposent aux sacrifices de ceux des classes médiocres ou moyennes qui enrichissent ceux-là mêmes qui appliquent aux produits de base, des tarifs abusifs voire outrés ?
Le Net réveille, le Net parle, le Net boycotte, mais personne avec qui discuter ! Il faut donc que les correctifs proviennent des usines et qu’ils soient établis, sous le regard des services autorisés, actifs et vigilants de ce gouvernement, où les concernés ont leur digne place ! En urgence, afin de convaincre et d’apaiser, et qu’ils soient établis en parallèle avec le benchmark et les prix standards, ailleurs usités.
Ce geste d’adaptation des produits visés par le boycott se doit d’intéresser par la baisse de tous les autres produits de leurs séries ! Il devra toucher les légumes et les fruits, les viandes et le poisson, pour aller de l’épicerie, au médecin et à la pharmacie et surtout prix des régies d’eau et d’électricité !
La paix sociale, le civisme, le patriotisme, sont à ce prix, car, nous sommes guettés par les actes de dépit des chômeurs que de guerres, tant face aux terrorismes divers que d’avec les maestros et les agitateurs du Polisario ! Oui messieurs, dames des parlements, des partis et du gouvernement ! On n’a pas participé à la Marche Verte pour laisser péter le pays et la nation, à cause de l’eau, du lait ou du pétrole !
La baisse des prix ne doit surtout pas être une plaisanterie, de quelques dirhams, trop vains, trop mesquins, trop insuffisants, pour convaincre, mais assez ostensibles et pompeux, pour tromper sans jamais apaiser.
Or, le risque de créer un précédent, peut devenir une mauvaise habitude chez les consommateurs. C’est à croire que ce serait antinomique des conduites de gestions habituelles précédemment usitées. La bonne gouvernance, comme elle a cours et qu’elle se produit, se doit aussi d’évoluer, même si les principes psychologiques, sociologiques et sécuritaires antérieurs sont stricts et aguerris.
Constitution, démocratie, libertés, transparence nouvelle, Constitution, importent localement et dans le regard des autres pays qui nous attendent ou qui nous surveillent avec acrimonie, comme ils interfèrent avec nos propres critères et notre gestion de nos libertés, qui plus est sur l’intelligence et l’évolution de nos cadres respectables et hautes autorités.
Ce spectacle est déplorable. Silence et sagesse d’un côté et en face les paradoxes industriels et commerciaux d’autre part, dans un théâtre de schizophrénie politique et médiatique qui s’opposent, sans baisser ni le ton ni les armes ! Une partie du Peuple, engagée avec spontanéité, comme si elle n’attendait que ça ! Une logique, vraie, défensive à juste titre contre les excès sur les prix et dans les dires. Un ensemble d’ingratitudes et de cris, blessants par endroits, mais qui restent respectueux de la Constitution et des valeurs de notre nation.
L’abus de privilège et de monopole, le trafic d’influence et le népotisme, le libéralisme sauvage, sont des formes d’opportunisme et d’asservissement des masses. Ces procédés déloyaux, prédateurs outranciers, sont décriés par les médias pour être contraires à la libre entreprise et à la justice sociale.
Ce conflit d’intérêt existe, il est patent. Il est massif et ubuesque et exorbitant. Il se situe entre les businessmen, détenteurs de portefeuilles ministériels et d’amitiés au sein du Gouvernement et le peuple du bas. Un milieu nutritif, un marché réservé, sur lequel s’appliquent leurs prix, quasi monopolistiques ! Qui plus est, leurs directives, leurs amitiés fortes et leurs lois.
Des dérives et des exactions, des profits exacerbés du genre colonialiste empiré, seulement ! Ce sont des excès à corriger pour la Patrie, car ce Pays n’est pas une jungle, réservée pour la peau des lions ou le cuir des éléphants. Voilà la leçon du boycott et de la morgue qui lui est réservée. Et des impressions, logiques ou subjectives, que je veux émettre par acquis de citoyenneté !Les petits et grands maux selon les propos de Mme Student
Et à ce propos, voici ce que la revenante, Mme Laure Student vient appuyer de sa douce France. Son Eden jalousé, sa patrie civilisée des droits de l’homme, voire de trouble-fêtes ou de troublions de l’Otan, impénitent guerroyeur d’Orient et à Trump actuellement affiliés ! Malgré cela voici ses mots !
Les entreprises, les usines et les banques, ont tellement poussé dans nos villes qui s’étendent comme les galaxies de l’univers ! Les immeubles asphyxier, rues étroites qu’ils cachent le ciel et obstruent l’espoir…Qu’en est-il chez vous les maghrébins qui avez un long parcours encore à faire. Spécialement dans les villages encore rustres et les villes bidonvillisées ?
Il y a du boulot pour les grandes entreprises mais où sont vos revenues ? Vos créations, vos productions concurrentielles, où sont-elles pour vendre et briller ? Vous ne faites que boire et manger ! Encore que ! Vos dettes sont importantes, malgré les dons de vos mais ! Et vous êtes, côté crédits lourdement handicapés, car vous êtes en guerre pratiquement depuis vote indépendance ! Et vos adversaires ne cessent, face à vous, de se suréquiper et vous dépasser et vous vous sentez menacés !
Et vos gourous, vos entreprises libérales et ouvertes, certes, qui plus est vos ministres aussi élogieux soient-ils, chez vous ou chez nous, augmentent les prix de vos premières nécessités et denrées ! Eau, viandes, légumes et lait ! Pourquoi ? Malgré sa baisse à l’International, votre pétrole se hausse des fois plus que chez nous !
J’ai lu vos plaintes et entendu parler de la vague du Net qui crie et vous fait insulter ! Comment expliquer que 80 % des vôtres veulent émigrer ? Ou ceux des nôtres qui veulent venir vous visiter souvent ? Les faits sont paradoxaux. Celui d’habiter ou d’exister encore dans ces beaux lieux, est un deal ! Là, sous les insultes publiques et l’emprise richissime et vultueuse de ces braves gens qui nous représentent ! Qui devant nous vous représentent mais qui vous traitent comme du rebus. J’ai entendu de vous être un peuple ‘’m’khalaf’’, de ‘’m’dawakhines’’ et de ‘’Jiânine’’, des affamés, en sortes attardés ! C’est pénible à entendre pour la prof de français que je fus chez vous !
Un ‘’troupeau’’ d’électeurs, des ‘’ apaches ‘’de ‘’l’Istihmar’’, des ‘’ânes’’ patentés donc, qui se doivent de boire leur pétrole, leur eau et leur lait de vaches ‘’attardées’’, afin d’évoluer dans leur fermes, ou leur basses-cours, en toute liberté. Et de voter pour eux ! Là, la française que je suis, nièce du maréchal Lyautey, fille de Voltaire, Racine, Molière de Rousseau et de Montesquieu, ne peut admettre qu’on dise cela de mes vieux amis marocains, si prospère, si propre et beau, si intelligent et huppé de parmi les grands soit-on !
Et pourtant, mes chers, la Démocratie est là, avec ses Urnes, ses Parlements et son Gouvernement, ses syndicats et ses associations, qui doivent protéger le pays et ses gens ! Certains en suffoquent et sifflent les partitions infâmes, au lieu de respirer cet air de paix et de libertés, de bonheur, de fierté et d’aisance, qui sans être les leurs, les leurrent, malgré le jihad économique qui fleurit ici, mieux qu’ailleurs !Mic mac autour du Sahara
Une fois de plus, le sérieux, la crédibilité et la prééminence s’imposent contre les adversaires. Le premier ennemi est l’ignorance, le second l’égoïsme, le troisième l’injustice. Aggravés qu’ils sont par l’arrogance, les passe-droits et le mépris. Beaucoup reconnaîtront ce qui se passe en nous et autour de nous, allant de la sociologie à la philo et de l’histoire à la géographie. Si vous avez pensé à quelque chose ou à quelqu’un, vous avez raison.
Perfidie et incompréhension : « Le Maroc rompt ses relations avec l’Iran. Car le Hezbollah, allié de Téhéran, soutient militairement le Polisario ». Et si on devait généraliser cette conduite ? Poussez le raisonnement un peu plus loin ! Enfin, juste à côté ! Beaucoup en seraient heureux. Le Dernier Jugement avant l’Apocalypse !
Heureusement que des groupes de pays, avec une surprenante vélocité, se sont immédiatement distingués en se solidarisant avec le Maroc, face aux menaces de ses adversaires. A citer les groupes arabes, islamiques et africains qui se sont prononcés pour nous appuyer face aux dérives bellicistes envahissantes de nos contradicteurs et de leurs commanditaires.Les dire des petits Muppet Show
Entre temps ma petite fille Nour, me dit que si l’on arrête de boire de l’eau, du lait et des dérivés du lait, et d’utiliser du pétrole que c’est un deal improbable et que les riches qui les produisent ne céderont pas pour garder la mains sur les consommateurs qui se lasseront d’une lutte, d’une guerre ringarde et inégale et que ce concours de bras de fer finira par être gagné par les gens riches et puissants qui dirigent l’administration et le gouvernement. Elle n’a que dix ans. Est-elle bien informée ou que déjà otage et prisonnière du phone et des produits de consommation, sa combativité est ramollie ou vendue.
Adam, lui, refuse l’assistance de la maîtresse. Cette étudiante, qui vient lui expliquer deux fois par semaine ses leçons scolaires. Résister, lutter pour arriver, travailler pour comprendre les difficultés et les dépasser. Réussir finalement, est comme un sport difficile, tel celui des alpinistes qui grimpent les montagnes élevées malgré tous les reliefs. Et là, on a besoin d’un guide, d’un soutien, d’un coach pour nous instruire et nous expliquer ou pour nous accompagner durant ce combat qui nécessite volonté, concentration, mémoire et persévérance. Pour peu, il la mettrait sur la liste des liquides, des choses et des gens boycottés ! Eau, lait, pétrole, maîtres, ministres, valets !Tandis que Coco, le beau coq gaulois, qui est bien un envahisseur, est un infiltré du même gabarit que ses congénères ! Si bien adapté aux nôtres, il me fait les mêmes coups que ceux de la basse administration. Moi qui lui ai donnée, puis livrée, les pattes liées, une poule brune ! Une femelle, une jeunesse intacte, bent darhoume, qu’il a conquise et éclatée en lui faisant pondre douze d’œufs, en moins d’une semaine ! De quoi la foutre dans un coin, un réduis, une cachette, une cage naturelle finalement, derrière les tiges des bignones de la clôture, pour la forcer de couver sa progéniture ! Sa descendance ! Un rôle de femelle que beaucoup des nôtres respectent pour la bonne répartition du travail entre hommes et femmes ! Pour la culture, l’élevage, l’éducation, et pas pour l’héritage égalitaire ! Allez les filles, allez sur le Net, vous aussi pour râler ! Les awacs des Awkafs se souviendront des révisionnistes de nos textes sacrés !
Mais voilà que l’infâme picoreur, au bec de vandale, est en train de faire le zouave, le seigneur, l’émir du Moyen-Orient en faisant une descente sur mes terres fleuries ! Pour peu, il en appellerait à nos chanteuses et autres danseuses du ventre pour ses fêtes interminables dans nos permissives, lubriques, luxurieuses et sardanapalesques villas ! Je fais appel à Nabil Ayouch, à ses Much loved Loubna Abidar, ses nouvelles lubies fantasques et crédibles à la fois, afin de tourner des films vrais, crus mais pas très visibles par les pudiques et les schizo-fanatiques de la culture cinématographique, sans salles de cinéma ! Alors qu’il n’y a rien d’érotique à glaner là-dedans et que le pire est ailleurs, avec plus de frasques et d’obscénités. Là, dans nos impasses, sous nos platanes et au bord des trottoirs de nos avenues !
Il ne les déshabille même pas, le ptérodactyle. Il les bouffe mes pauvres fleurs, cet effroyable ogre d’Occident. Une razzia sur mes plantes ! Oui, celles-là mêmes que je viens d’acquérir et de planter. Des fleurs locales, bien plus chères que les vaniteuses et ostentatoires plumes du Coq faussement hexagonal! Que faire face à ce touriste, obscène sauteur de mur et sans visa ? Ce volatil qui fraie sur mon dos qui a élu domicile chez moi ? Le renvoyer lui et ses gauloiserie, loin de ma cour, à son tas de fumier d’origine? Le mettre au panier ! Le couvrir d’une gouffa* locale et le donner aux dieux lares, en offrande à Jupiter, avant l’Aïd et le Ramadan?Le coq, symbole de la fable de Student
Univoques et inéluctables protecteurs, ils sont souvent comme cela nos célèbres et riches amphitryons. Ils agissent comme en pays conquis, à l’endroit de leurs hôtes indigènes ! Ils foutent de la merde, comme dirait monsieur Trump, comme si de rien n’était, et ce même dans les endroits propres ou les lieux saints ! Comme si des affaires succulentes et prospères pouvaient monter là-dessus ou pousser là-dedans ! Le problème reste posé à Al-Qods et dans bien des régions de cet Orient ou d’Afrique que les grandes puissances, d’essences impérialistes aux relents coloniaux, qui le bras long, manipulent, fomentent, faisandent, fermentent et formatent et font ployer les nations et les états, pour leurs étroits et égotistes profits, qu’ils disent et vendent comme ‘’ civilisateurs, démocratique et humanitaire’’ ! Sic !
Tel est encore le cas des richards repus et contestables, qui veulent me déloger de mon boulot et toi de ton île grecque ou de ton bout de désert que tu appelles Syrie ou Sahara ! Bientôt de ma ville, de mon pays, de mes passions et de ma religion ! Et toi de la surface de la Terre ! Parce qu’ils sont riches et aptes à faire des affaires sur nos propres destins et nos vies intimes ! Que de couples se sont formés dans les nouvelles sociétés crées chez vous Grâce à l’ouverture de notre pays, de son hospitalité tolérante et à son sens de la coopération win-win. Du coup de quoi suis-je responsable devant Dieu ? Si n’importe quels Hachachines ou pétro-arrivistes démontent, dénaturent ou obvient mon propre cursus dans la vie en interférant radicalement mon destin !
Ils ont les moyens de bouleverser les habitudes et les destinées de chacun, et puis de se jouer de l’existence de milliers de gens ! De déclarer la guerre, leur usufruit, et d’envoyer les fils des prolétaires sur les fronts. Partout où ils veulent et que cela leur rapporte ! Surtout là où leurs affaires pourraient se crisper devant de simples règlements ! Des idées, des actes qu’une dose de bonne psychologie, appelez ça diplomatie, pourrait les sortir de l’intrigue ou de l’impasse où leurs affaires sont parties prenantes !
La dépendance avisée ou l’Afghanistanisation*! Parlant de nos pays et par extension, du coup les planètes iront chercher d’autres ‘’astres protecteurs’’ que leur Soleil, ailleurs dans une autre galaxie !
La loi locale est l’alliée de ces sublimes et extatiques amis de nos crésus ! Les riches bandes et régions de ce lit-berceau qu’est notre monde. Elle, (la loi ou le devoir), leur obéit, d’autant qu’ils siègent dans le Labyrinthe ! Pas loin de Zeus qui a changé d’Olympe ! Comprenez leurs Onu et Otan, comme maîtres décideurs indécrottables et parrains exigeants ! Ils végètent là et ils sont les vampires et les flambeaux. Ils sont les éditeurs uniques et les prescripteurs jaloux du nouveau livre de Nicolas Machiavel. C’est dans leurs coursives où l’on décide de nos politiques et de nos destins, de qui doit aller au paradis ou qui doit rester là ! Leur emblème est justement ce Coq qui devrait être hissé, en statue guerrière et conquérante, sur les frontons des malls, pour illustrer leur insatiable mais étroit panthéon.Les leçons des gosses
Regarde Nour, ces rangées et ces files qui bougent sur le balcon. Des fourmis qui, à la queuleuleu et sans arrêt, traversent murs et jardins, allant des abords immédiats de nos chambres à leurs fourmilières.
Ils sont omnivores comme nous ma fille ! Leur menu…Des tiges des fruits, leur queues, qu’ils grignotent pour faire tomber les pommes, les poires ou vos avocats, aux insectes et autres bêtes, la chair qu’ils grignotent et qu’ils ramassent pour alimenter les-leurs.
La reine invisible, la belle qui sans roi, ‘’enfante’’ en silence! La reine discrète qui met bas et qui pond des œufs, sans arrêt ! De futures fourmis qui grouillent comme des larves dans les bas-fonds et les souterrains. Là, sous tes pieds, lecteur. Ou là, sur les draps et le corps de cet homme mourant… A la cité, près de la mosquée aux cigognes, non loin des cimetières des trois religions…Et de la prison où vivent logés, nourris, blanchis et bien gardés, des voleurs et de grands criminels ! Des assassins, mais aussi encore des opposants.Des fourmis aux bulles d’air, en effervescence. Elles flottent avant de s’éclater. Elles prennent toutes les libertés pour exploser, dans un désordre apparent. Et ça bouillonne à fleur de verre, dans la bière, le vin, le jus ou la bonne eau ! C’est un peu comme la vie la société, l’économie, la politique et les passions. Les anciens l’ont dit, tout passe. Mais où sont-ils déjà, nos sages ancêtres ? Edéniques, fils du fratricide Caïn, primates évolués, guerriers barbares, complotistes ou quels qu’ils soient ?
Appel du cœur à une grande dame
Ô Meriem, arrête tes abus ! Laisse les boire à leur soif de ta bonne eau ! En te remerciant, je te suggère, par respect, vu ton travail, ta carrure sympathique de cadre avertie, ta calme dignité, d‘oser la première et de faire un brave geste. Car tu n’as besoin de rien pour bien vivre ! Ça se voit, comme pour ma cousine du Souss…L’Akwa ? Je le sais !
Trop de fric nuit à la santé des propriétaires ! Et trop d’argent, dis-moi, ça sert à quoi quand on jouit de tout ? Mais, quel est le pays d’origine, l’essence, de ceux qui ont sorti le slogan qui relie l’Ona au lait binational et à l’eau de source ? De grandes sociétés, respectées ou vénérées, sources de bienfaits et de nécessités, sont brutalement indexées et jalousement traquées ? Question de prix pratiqués ! La nouveauté, c’est le Facebook, quasi virtuel, qui s’attaque à la réalité ! Sans attaches politiques pour ses débuts, il voit des partis connus, chevaucher la vague tsunamique du mécontentement, pour le renforcer, le formater et le crédibiliser ! Les sociologues ont du pain sur la planche et les grands Partis des choses, des tactiques et des méthodes nouvelles à apprendre !Un petit coup de métaphysique
De la spontanéité banale naissent la philosophie, le programme et l’action.
Insectes en tous genres, bulles, eaux et leurs hôtes microscopiques, intention, vies, utilités et buts ? Combien sont-ils ? Les premiers insectes, qui ont à mon souvenir de fac un poids d’acides nucléiques et de protéines considérable, dépassant la masse de tous les êtres humains. Compare-les aux sphères d’air et/ou de gaz suivantes, qui éclatent dans le nez ou sous les yeux.
Que dire de leurs consciences, d’êtres, aussi insectes élémentaires et primitifs soient-ils ? De leur propre vie, comparées aux nôtres, aussi prince arabe que Trump soit-on ? Que dire de leurs de leurs buts et consciences ? Celles de chacun, de leur but collectif, eux qui vivent depuis des milliards d’années ? Bien avant les vertébrés, ces ‘’humains’’ et ces ‘’bêtes’’, qui cumulent les deux appellations ! Des actes individuels, les trajets courus, les fins visibles ou pas, dépassent le but de chacun de ces ‘’pointillés’’ mouvants et hyper mobiles que chacun a pu écraser, nonchalamment un jour !
Sinon à coup d’insecticides. Et on en vend de par le monde, des supers armes et des ‘’produits homicides’’ ! Des armes de tous genres pour pousser les parasites et ou pour laisser les bêtes inférieures s’entretuer…Afin et pour ne pas envahir les meilleurs !Des bombes sur les insectes
Ces êtres sont dits inférieurs, mais on est toujours les inférieurs de quelqu’un ! Demandez aux impérialistes ce qu’ils pensent de ‘’l’homo ridiculus’’ d’Afrique ou du Moyen-Orient ? Ces bons à gazer pour les dégager de leurs gaz et pétrole, avant qu’ils ne deviennent, selon eux, des revanchards, dangereux pour leurs cousins sémites. Ces riches et intelligents et évolués cousins, tels que réinjectés, après Hitler, sur les terres de litiges, évacués des leurs !
Est-ce aussi important que nos actes farfelus, nos guerres, nos jeux désuets, ou nos jouets pervers dans cette vie ? Celle dont chacun jouit ou qu’il endure, et qu’à ce qu’il lui semble, il n’aurait pas choisie ! Des ‘’vies’’, là dans ces navettes de passage, ces corps fongibles, maladifs ou beaux, ces gadgets appelés, ‘’ corps ’’. Mon corps, comme le perçoit chaque humain durant sa vie. S’il n’y ajoute pour le compliquer et sans les voir, ni les montrer, un esprit, une âme et peut-être plus de spectres résidents, mais invisibles ! En moi, en eux et en toi !Comme toi pour ton argent, bloqué ici ou ailleurs, dans les paradis fiscaux, ces banques d’outre mers et océans. Paies-tu des timbres de quittance dessus ? La bourse, elle aussi est dans la poche, libre de toute pression et aucunement taxée ou timbrée.
Mystique et déontologie
Je suis dans le même état que toi, concernant mes patientes et en accord avec le code de déontologie. Je ne veux pas donner des noms, ce serait comme un délateur ! L’éthique et la protection de l’intimité dans le cadre du respect des libertés !
Ça existe encore des vétérans qui croient en ces dix versets et bout de parchemin ? Cette table fossile de Moïse qui pour certains qui ne représente plus rien !
Concernant les idées miennes, même si je suis navré par de telles réglementations et lois, je lutte, je m’explique et me défends, sachant même que le résultat sera souvent consternant.
Nos idées, nos pages, nées par-delà la diatribe et l’inconnu, on ne sait comment, s’envolent hors du temps. Un prodige net de Saint Web !C’est ainsi que je sens en moi l’envie d’écrire, mais l’énergie, le déclic, le starter ne viennent pas. Ils sont hors de ma portée, même si elles m’appartiennent et que je les ai en moi !
Sont-ce les éléments dramatiques et secrets dont on ne parle pas ? Le mutisme qui se joue des ‘’ qu’en-dira-t’on ’’ ? Les maladies cachées que l’on ressent ou pas, en plus du dégoût patent de certaines actes et de certaines gens ? La désillusion, la vacuité et la vanité, le dégoût de la vie est-ce compris dans cela ?
Toujours est-il que, par allusion à vos richesses, Crésus, des kilos de notes sont déposées, çà et là. Mais, il me manque l’envie de les couler en textes et en argent ! Tu parles, mon pote ! On ne lit plus ! On se phone seulement et même le majuscule Trump fait dans le simple ‘’ tweet’’, sa politique du monde présent !
L’envie de reprendre les fœtus dans l’œuf, de rattraper le temps, ce souk de notes ou d’écrits sur brouillons qui sont autant qu’un musée d’ors absents ! Des actes ratés, usés et hors du temps. Un anachronisme patent, fait de pensées silencieuses, fâcheuses ou insipides, de chroniques tues et de réactions muettes…Une passivité circonstancielle, envers le décours des actes ? Non pas qui snobe, mais timide et pudique, l’autre nom de l’autocensure et du respect ! Le temps d’y réfléchir en fait, ce qui les rend détachées de leur époque de leur opportunité et de leur temps…Un révélateur de nos vertus virtuelles de nos passions qu’absorbe l’oubli et la course du temps.Confidences
Non, je ne suis ni de Mars ni de Neptune ! Ni de Marrakech ni de Taroudant ou de Rachidia. J’ai des enfants bruns de peau, comme beaucoup et leurs larges narines, je les dois aux Faquirs et aux Gnaoua. Qui sont ces Wahhabites qui m’ont poussé à faire la queue chez les fakirs aux roquias et autres charlatans-pécheurs en mal d’arnaques sur le dos des gens ? La crédulité fait partie de nos mœurs ataviques, aussi cultivés et scientifiques serait-on !
Pour la gloire du pays et de ses sahraouis
Et de ce fait je ne sais pas d’où est venue, comment est née, cette diatribe, fébrériste, civilisée, aussi opportune ou populiste soit-elle, et que l’on attribue à un parti local ou à un autre activiste étranger ! Elle pousse au boycott des produits de consommation et ça emplit a les saturer les pages de Facebook. Cette manif hors des rues est-elle judicieuse ou injuste ! Les prix pratiques sur les dérives du lait, du carburant et de l’eau minérale sont trop chers comparés au revenu des marocains et aux prix pratiqués en Europe.
En conclusion, vous les Riches, faites gaffe à notre Nation !
Alors que l’Etat n’a pas encore épongé les problèmes soulevés par le Hirak d’Al Hoceima et les marches anthracites de Jérada, voilà que cette affaire du boycott viral du Net qui fait dans les fractales épidémiques !
Devant les tambours de guerres et les collusions dangereuses, la société se divise ! On rappelle le primum movens des augmentations du prix du pétrole qui avait connu une baisse à l’International pourtant, et de la casse de la Caisse de Compensation, en inculpant des personnages qui en fait appliquent et ne décident, tout seuls, de rien !
Seuls nos adversaires coalisés riront de nos bévues et de nos échecs et ils salueront l’arrogance têtue des riches exploitants comme les bavures des sociétés boulimiques qui n’évolueront pas patriotiquement, en persistant dans le mensonge égoïste et les crâneries hautains, voire l’entêtement désadapté des premiers de listes, qu’ils sont pourtant.
Pour le Sahara et que ce soit bien clair, pour la bonne gouvernance et face aux gaucheries des notables, des excuses et des mises à niveau des prix s’imposent, afin de d’établir des prix locaux adéquats pour chaque chose ! Pour encore plus de consommation et de bénéfices des producteurs, grands et petits, pour la paix du front intérieur et son renforcement, ce face aux velléités de guerres de soumission impérialistes et face aux actes belliqueux et sordides des factions insoumises, créées par les voisins pour des raisons dépassées depuis entres les deux blocs et la haine établie face à notre régime souverain.
In fine, la paix des prix s’impose face aux lâches qui veulent casser le travail serein du gouvernement des coalisés et le faire éclater dès à présent. Place à celui pacificateur, raisonnable et diplomatique de l’ONU. Attention aux pressions irresponsables et aux gaucheries sociales, très mal gérées, alors que se joue entre guerre et paix l’affaire, existentielle pour tous, de Notre Sahara !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, les 03-06 05 2018Sujet: TANGO POUR UN AVATAR
TANGO POUR UN AVATAR
Un ange et sa lyre, aux plumes qui riment,
Du haut des nuages sourit aux éléments.
Je veux acheter cette fresque sublime,
Œuvre divine, destinée aux seuls rois !Tableau vivant, qui parle et qui aime,
Qui chante et qui danse en riant.
Mais je n’ai ni force ni voix ni argent,
Pour te ravir et dire au régent
Harbach, sir bhalek, va-t-en !Sans voix, qui puis-je élire comme sultan ?
Mon luth s’est éteint et mon violon
A cassé ses cordes depuis longtemps.
Mon corps étique et ma flûte livide
Ont perdu leur souffle d’antan.Et le chef d’orchestre, rendu fou
Est parti comme un dément,
S’il ne se pend dans le fracas
De tes sillons en se lamentant.Chœur de déesse aux charmes ardents
Ta jeunesse brille, Circée, de belles dents.
Tu changes en pourceaux les hommes
Qui te désirent et t’admirent,
Et en sirènes, les reines et leurs démons !Tes joues de lumière embrasent le soleil
Tu défies le ciel de ton front étincelant.
Le croissant de lune s’étire et s’efface
Pâle devant la morgue de ton menton.Méduse, quand tu secoues tes mèches,
Ton haleine aux parfums d’éden
Jaillit de tes boucles d’ébène
Et tu paralyses celui qui t’entend
Tuant d’envies folles le mâle qui te sentDe ton cou de marbre opalescent,
Des vagues de verdeur roulent sur les flancs
Du bateau ivre au mât vacillant.
Ô princesse sort tes voiles maintenant
Et vogue au loin en m’emportant !Bercé par ta vue, je croule littéralement
Asphyxié dans le vertige des vagues
Qui déferlent et me hissent, ô misère,
Jusqu’aux courbes taboues du firmament.Dans les vallées de ton Olympe d’airain
Tes dunes diaphanes, en torrents bouillonnants,
Ivres de rosées suaves et de givres salins,
Cascades d’ambroisie et de nectars
Inondent de sueurs les replis de tes reins.
Pour que me prives-tu de mes aliments ?Ô privations, ô miracles, ô détresse des saints !
Mais qui donc est ton prince, Déesse,
Ou ton Cerbère pour m’ignorer autant ?Tes divines ondées giclent en glissant
Sur le mont vénusien de tes printemps
Rien ne reste pour inspirer tes aèdes,
Tu as mangé tous tes amants !L’âme et la vie, le bonheur et le temps,
Réaniment d’espoirs mes souvenirs de manant.
Enserrées de tabous ; tes méninges closes,
Exilent au néant mes fols entêtements.Appendus à tes lèvres, lié au serment,
Attaché comme Ulysse à l’artimon,
J’espère le privilège de tes châtiments !Ô cruelles épines serties de piquants,
Où sont les perles où sont les diamants ?Roses en bouton, cactus ou asphodèles ?
Orchidées, tulipes, œillets, clivias,
Amaryllis, dahlias, Eve ou Zahra ?Une fleur coupée ne saurait durer tant,
Quelle que soit l’élue déifiée qui la sent !Mais tu n’es qu’une image de légende,
Un mirage pervers, osé et turbulent,
Bonne à te jouer du barde et de sa raison,
De ses bouquets fleuris et gluants sentiments.Un jour mes vers te sortiront de la fiction.
De ton harem, de ton jeûne, de ton ramadan,
De l’écran obscur où zappe ton avatar d’aura.Et je te donnerais ton esclave Bassou,
Comme illustre amant pour te délivrer
De la tombe cynique ou tu te plais tant.DR IDRISSI MY AHMED
https://www.poeme-france.com/auteur/maidoc/texte-153608Annales pêle-mêle et pensées décousues
Les chroniques différées de Mme StudentErrance et détente
Animaux pas bêtes
Confidences animalières cocasses. Je sais pourquoi Coco, le coq décampe et me fuit. C’est parce que, tantôt je l’appelle ‘’poulet !’’, tantôt il sent que j’ai mangé du poulet. Cannibale que je lui parais ! Et ça le chagrine, certes, que je mange de ses compères. Attention Coco, leur corps entre dans ma chair ! Je suis un peu ton cousin, depuis. Sauf qu’il me manque les ergots, les ailes et les plumes ! Il chante quand je le siffle depuis. Et il hante en maître, ce jardin que je remplis de fleurs alors qu’il le salit. Paradoxes existentiels, n’a-t-il pas profité de la poule que je lui ai apportée ?
Djo a fait la même chose avec le chaton tigré de gris qu’il vient de récupérer de la rue, alors qu’il a failli l’écraser, devant une poubelle, cette nuit. Lui, son fils Adam et leur ami Ali, ont été littéralement conquis par le minois et la sympathie de ce petit bout de fauve. Perdu, mais propret, il ne refuse pas les câlins de ces trois humains. Où le mettre donc, par cette nuit, alors qu’ils ne sont pas chez eux, pour décider, non plus ? Il y un problème de logistique évident. Vite un carton, plus un tapis que je lui ai donné. Il les place devant la porte…Et le silence fut.
Ce matin, de leur côté, le chat boiteux et la chatte borgne du jardin crient et miaulent, ils se guettent et se jaugent, face à face. ‘’On sait pourquoi’’ comme dirait monsieur le ministre. Moi et la chatte, ou toi le chien et ta paonne, entre ruts et coïts, on est une seule et même personne pour elle. On se complait dans cette physiologie schizophrène alterne. On ne comprend et on ignore qu’on aime cette anatomie commune ! Versatile. Chacun son tour, sans savoir trop pourquoi.Bêtes humaines
Sont-ce le côté matériel, la liberté, les voyages, l’argent, la force ou la puissance et la persévérance des harcèlements? Dans ce charivari et ces échanges, autrui devient un bien. Autrui un complément qui appartient à la première et même personne. Et vice versa. Parfois en plus fort. Parodie des genres : hommes et femmes, s’aiment et s’attirent, pour se tirer dessus ! Alerte aux coups, aux viols, aux crimes et aux suicides !
Les icônes que nous admirons, ceux qui nous enchantent ou nous défendent, nous montrent que les principes et les préceptes, sont sinon virtuels, très vulnérables ! Les prestations des arts qu’ils colportent, tels les bruissements et la musique des pipis, ne les préservent pas des dépassements. Oubliées, trop faibles ou trop fortes et insupportables, moralité et lois, sont à leurs yeux, quasiment faites pour les autres. Et que face aux instincts, elles deviennent de décevants barreaux que ces aèdes et ces tribuns, ces artistes et ces politiciens, doivent scier pour se libérer ! Devant Diane, Eros est trop faible. Question de flux d’androgènes. Comme Thémis, la déesse des lois, qui face au pactole que lui tend Crésus, perd ses forces et ses prémisses. La justice, le pouvoir et l’argent, font bon ménage, malgré la morale et les droits.
Éthique, devoir, démocratie, ça rate souvent donc, par là. Forfaitures ou forfait ! Solitude…Exil social de la personne, en solitaire dans la cohue des 7 milliards de bipèdes que nous sommes. Regarde par le balcon les passants et les voitures dans le croisement de ces deux avenues…Ils sont nombreux, les humains ! Chacun se sent seul, tantôt idiot, muet ou vain, tantôt stupide, timide et casanier ou tribun plus bavard…Mais, il ne se l’avoue pas. Il est des hommes qui persistent et persévèrent ! Salut à Benky en passant. Le yoyo en somme, après avoir été un génie intelligent, on s’assagit et on repart de plus belle. Et tout autour, il y a un tas de gens. Un peuple qui bouge et qui attend ! Un peuple qui circule, qui affronte l’adversaire, qui travaille ou qui chôme, mais qui n’arrête pas d’espérer ! Un peuple plein de qualités et de petits défauts, qui juge ceux des autres et qui attend.Contingences du soi
A contrario. L’échec d’une vie, d’une philosophie, d’un programme, d’un individu et de son âme, n’est pas l’échec de soi ni de son sort ou de sa personne. C’est celui de son enfant, unique ou pas, de sa fille quand elle éclate sa famille et qu’ils optent pour la fonte et la fuite des corps éparpillés aux quatre vents des hasards et des rencontres. Parallèlement, l’échec c’est celui d’un Parti, de ses éléments les plus en vue. Echec qui par-delà celui des individus entache celui du Parti et de son chef, voire du pays.
C’est à l’instar des guerres des ménages, entre couple ou entre pays voisins. On s’agite militairement sur les sables de la zone surveillée par les forces de l’ONU, depuis des décades. On va voir ce que fera le couple algéro-polisarien contre les pays du Maghreb, leur sagesse et la quiétude de leurs bonnes gens.
Ça laisse de part et d’autres d’éternelles haines, de la misère dans les couches des peuples et des orphelins. Regardez, le jeu des grandes puissances, du Pakistan à la Libye, avec tous ces pays de valeur et de longue histoire, qui flambent…Et attention, vigilance, prudence aux pays de notre région. Regardez l’après-guerre ce que ça peut donner entre cousins ou voisins ! Avant de commencer les taquineries et les belligérances ! Avant les tueries et les meurtres des bêtes du bon dieu que nous sommes !
Revenons à Sofia, la philo, pas la fille ! Salut à mon prof de terminale, dont j’ai oublié le nom pour le moment, salut à ce motoriste qui laissait sa voiture pour venir au cours ! Une pensée à celui qui m’a fichu un zéro pour le sujet libre que j’avais choisi comme option à traiter en sujet d’examen pour cette dissertation de philosophie. Paix à lui, qui a attribué la première note à la fille Sebti. Cette redoublante qui m’avait harcelé, pour lui souffler les questions de cours ! Grâce lui soit rendue pour m’avoir laissé quand même me défendre et disserter durant une heure au tableau pour expliquer mon opinion.
Je ne sais plus ce que j’avais dit, mais j’admire la pédagogie, la sagesse et la tolérance de ce philosophe frnçais ! Pourvu que notre Chef de Gouvernement, qui partage le même profil ou les mêmes visions, en étant psychiatre, soit de même tendance, de la même sérénité, avec plus de vertus et de sagesse encore. Ce afin de gérer les problèmes hérités des gouvernements précédents et de faire face aux bravades, au bellicisme du Polisario, de ses parrains notoires et leurs visions péremptoires. Une bataille encore, un péril de plus, pour le suicide d’une nation, sa fracture, son asservissement, la fin de son histoire et de sa civilisation. Je parle de nation islamique, si des fois elle avait existé, malgré son patchwork originel !Jugements et aspects critiques
Je suis tel le cristal ou le diamant taillé entre de multiples prismes et facettes. Certaines brillent quand d’autres restent en cachette. Et cela dépend des regards et des obliques de ceux qui scrutent ou les voient. C’est sur leurs yeux et sur leurs cœurs, en miroir, qu’ils resplendissent, parfois. C’est de là qu’ils envoient leurs couleurs, leurs formes et parfums, en y jetant leurs désirs et leurs émois.
Cette terre est un abattoir où les bouchers tuent et mangent tour à tour le bétail et leurs proies qui disparaissent pour se recycler d’autres jours dans la chair de leurs assassins. Ils se mangent pour se métamorphoser, un mélange des chairs et des espèces, que l’homme s’épuise à multiplier, pour couvrir la terre de déchets, de fèces et de sang. Nous sommes ce que nous avons au ventre, comme contenu, contenance et courage ! Notre cœur, si symbolique, est un viscère, sans plus !
Trois de nuit et une au réveil ! La pine sait encore mouiller et entrer là où se trouve la bouche. La plume sait encore s’exprimer. Foi de reins, de mictions et d’ouverture d’urinoir. Demain je t’emmènerai consulter un urologue, mon petit. Je parle des libations naturelles, et de leur réceptacle de nuit, l’urinoir, de ces urines, ô ma tendre virgule ! Et non des relations de lit et autres rapports sur ta couche, ma chère vieille chair ! Il n’y a pas que toi pour avoir une bouche et te permettre de tiquer de la sorte ! Ou une tête pour errer encore dans les orifices virtuels et les caniveaux du doute. Et pour philosopher ? Sois simple et cool, ma grande ! Chacun a des viscères qui le nourrissent et qui doivent se vider, sinon il gonfle, pour de bon et il éclate.Philo du vide ou philo vide
Qu’est-ce qu’un rien, fait de douleurs et de faiblesses, d’impotence physique et matérielle, labile et mortel. Et qui plus est, peut demander quelque chose pour durer en vie ? Un bout de néant qui perdure, un rien qui s’éternise. Surtout si son credo est douteux ou limite et qu’il ne croit guère ou pas du tout ! Un fœtus de paille qui n’a rien demandé pour être en vie, n’ayant ni entendement ni espoir pour plus, ici, ni envies pour se porter mieux et plus, ailleurs. Il végète le temps de rejoindre la terre sans regrets ! Philo du vide ou philo du rien ? Ou dépit et regret d’avoir eu une conscience et d’avoir existé pour partir au néant s’effacer.
Peut-il demander quelque chose, avoir une idée, une hypothèse, un credo dont il ne sait rien ? A contrario, Dieu merci, pour ceux qui ont une croyance puissante et des convictions très fortes et pour eux assurées.
L’un pense à l’inutilité de la vie. Voire celle de la Terre entière, de l’univers, de tout ce qui bouge dessus ou dedans. Il voit déjà le Soleil cesser de briller et dans un trou noir aller s’éclater. L’autre ne voit qu’un test de passage, pour plus et mieux ailleurs, dans l’Au-delà, le lumineux, l’immatériel, pour pallier à la vanité, quasi virtuelle, de la vie.
Je vois parler du coq et laisser l’immatériel, l’avenir et le destin à la philo ! Je l’ai laissé entrer dans mon havre de paix, si coûteux et privé qu’il est. Je lui ai montré comment prendre le pain du bec et lui ai donné chaque jour à manger. J’ai toléré malgré moi ses crottes et bataillé pour les faire enlever et laver. Cette eau abondante pour dégager des fientes n’est pas gratuite, non plus. Je l’ai nourri comme d’autres dorlotent un chat ou un chien. Choyé sans attendre de cajoleries de reconnaissance de sa part. Comme vous le diriez, de celle-ci ou de celle-là, qui est ou qui fut à côté de vous !
Ingratitude d’autrui ou insensibilité ? Et puis voilà qu’outre la bouffe et ce nirvana, le jardin qu’il parcoure et laboure de ses griffes aux ergots menaçants, je lui ai fait un cadeau. Je lui ai cédé cet espace, dont le jardinier prend soin, sans me faire payer, d’une part. Mais, voilà que sa solitude me touche, par transfert, et qu’il me prend de vouloir la lui calmer.
Je lui ai trouvé, disais-je précédemment, une jeune femelle, nubile à peine adulte, gratuite, n’ayant pondu que six œufs à peine, avant ! Une poule fraiche, à lui tout seul. Je le vois dès le lendemain, la quérir et la chérir pour la posséder. Par courtoisie, il la sert et s’en sert souvent et sans arrêt. Le long de leurs promenades, ils s’arrêtent par moment et ‘’font des relations sexuelles’’, comme le dit le jeune Adam, qui a observé cette gymnastique à deux.
Le nourrir, le soigner, le garder et le protéger, (cela me rappelle ce qu’on fait pour les prisonniers) puis le choyer en lui apportant une femelle sans dot payer ! Ça fait réfléchir et ça tient des actes du père Noël ou des miracles qu’opèrent les anges envers certains d’entre nous ! Dieu merci, je suis disposé ! C’est ce que les âmes régénérées ou en transit, réincarnée et en métempsycose, souhaiteraient de mieux !Le soupir des vents
C’est curieux comment le vent sait faire chanter les feuilles et danser les branches, alors que les oiseaux, intimidés et peureux, se taisent ou se parlent tout bas. C’est bizarre comment le vent sait soulever les voiles…Et faire le vide des dîners lourds, pour les envoyer errer loin de leurs berceaux et de leurs tombes troubles. Loin des tempêtes ou malgré les tornades, les voiles au vent, nous creusons nos sillages dans les mers du hasard pour emprunter les voies de nos destins.
Famille, rue, écoles nous tracent et nous forment. Toi et moi, par nos études et nos diplômes, dirions que nous exerçons notre profession. Et, je m’y active, en vivant du plaisir de mes actes et du bonheur que j’apporte. Mon salaire et les joies que me procure mon travail sont une culture qui orne mon œuvre et façonne ma personnalité. Ainsi soit-il, pour tous les citoyens ! Chacun son genre, son plaisir, ses moyens ou son calvaire, au hasard des naissances, des lieux, dans cette famille, cette époque ou cet état.Abus de pouvoir, corruption
Et coercition ! Outre la philo et la mystique, il faut bien parler des choses terre à terre et aussi des actes et faits qui nous ennuient. Abus de pouvoir, corruption et coercition, ces infractions infâmes, sont aujourd’hui les chefs d’inculpation des chefs d’état d’hier ! Lula au Brésil, Park Geun Hy en Corée du Sud. Ils iront pour leurs frasques et excès en prison, tout en restant vivants ! Combien de chefs d’états de pays infradéveloppés, sont morts ou ont fui, avec leur magot, laissant un pactole de milliards de milliards, perdus, confisqués dans les banques étrangères. D’autres sont tués avec les leurs, leurs palais, pillés, ou mis en prison à vie. Leurs pays stagnent en états de guerres incessantes, ultimes réalisations de ces potentats devenus de cruels tyrans !
Leurs pays, déchirés, fracturés, entre massacres et carnages, baignent dans la haine, l’horreur et le sang des guerres imposées. Celles des luttes pour le pouvoir, des luttes tribales et des guerres de religions. Voulez-vous des noms ? Et à l’affiche, Messieurs les imperators, qui seront les prochains proscrits, de parmi nos chefs, et dont vous voudrez les têtes ? Leurs enfants sont déchiquetés, calcinés sous les bombes et les explosifs, lancées d’en haut.
Leurs jeunes s’exilent ou fuient, voire bannis comme des parias par centaines, sous les huées fortement médiatisées, des pays de passage et de leurs haines grandissantes de la faune envahissante des misérables sous-hommes. Et c’est le pire couronnement de leurs odieuses et hypocrites interventions. Banques, pétrole, industries de guerre, vols des terres, apartheid et expropriations, sont les motifs de ces boucheries qui ôtent toute humanité à ces dites démocraties, développées et aisées, qui se targuent de civilisations. Après avoir été des colons inflexibles et implacablesBlockhaus et bastions
Par-delà le mur de la honte d’un peuple captif de celui de Moïse…Alors que les juifs commémorent la fin de l’esclavage en Egypte et l’exode vers la terre d’Israël, à Pessah, et que les Chrétiens fêtent leurs fêtes de Pâques, les Palestiniens s’expriment et protestent le long de la frontière de Gaza. Ce vendredi 06 Avril 2018, est un jour dramatique pour eux. Les tireurs d’élite, les snipers de Nathan Yahoo, y commettent plus de 10 morts. Comme ils font plus de 1000 blessés, dans le pays du Christ, Jésus le sémite ! Un cadeau du chef recherché pour corruption par la justice de son pays ! Ce après qu’ils aient tué 25 autres, une semaine avant. Ne parlons pas des milliers d’autres ‘’ bravement’’ éliminés auparavant.
Ils manifestent à l’ombre des nuages de pneus qu’ils brûlent. Ils sont là pour rappeler leur droit au retour dans leur pays spolié, face à Israël qui s’est approprié leur terre. Depuis 1949, combien de milliers de Palestiniens se sont ajoutés aux victimes juives des holocaustes d’Hitler et de ceux des français sémites, vendus par le régime français de Verdun à son maître SS et acolyte ?Une rengaine de plus
Voici ce que dirait Ahed Tamimi, la jeune palestinienne blonde, en face de l’armée d’Israël qui l’a emprisonnée. ‘’ Enceinte de la honte et de la peur, de la prévention ou de l’offense, cette barrière rappelle l’apartheid et le mur de Berlin. On nous implose dans nos murs, on décrète et nous inspire la différence et l’excommunication, la marginalisation et l’expulsion ! Face à notre identité au milieu de nous-mêmes et en notre fort intérieur, face à notre culture et nos valeurs, de partages et d’hospitalité, on nous inspire la suffisance l’arrogance on nous impose l’horreur dans le mépris du savoir vivre, loin de toute démocratie, nous vivons l’assujettissement, la servitude sous les mitraille et les baïonnettes, dans des camps d’esclaves, à l’état de peuple de mendiants, de malades et de démunis ’’.
Et son alter ego…
Ailleurs, en toute liberté, hautaine et suffisante dans sa manière d’être et de s’exprimer, la superbe râleuse n’hésite pas à critiquer et de lancer ses piques de déesse hellénique, sur toute humanité. Intoxiquée par le pouvoir olympien qu’elle a sur ses gens, colérique et offensante, égotiste et individualiste, démesurée, son ‘’nif’’ et son orgueil relèvent du syndrome d’Hubris.
Pas facile à vivre ni à soigner ! C’est dans ton cas, mon fauve, que courir les filles devient licite et religieusement recommandé ! Quitte à en faire quatre aimables ou toute une pépinière dans un harem ! Toi ma brune rasée à la mode, la razzia de dépensière, la radine noire, que j’ai idolâtrée ! Toi, mon rêve de cauchemars, qui ne tolère ni copains, ni libertés vestimentaires, ni famille ni invités ! Toi, ma peste, ma criarde et multiple maladie ! Je dis ‘’ma’’, car de toi, mon destin et mon karma, dessinent ma peine et tracent mon chemin de croix ! Je ne puis me passer de toi, ma gorgone, ma Méduse, au point que les médecins peinent à soigner mes handicaps et mes peines, de surcroît. Ô anges de la paix, délivrez mon home et ma toile de ces guerres intimes d’araignée ! Ô miséricorde divine, épargnez moi les conflits intimes de mon pays et des guerres qui proviennent des terres fraternelles et voisines !Le karma symbolique de nos peines
Radine et dépensière, toi qui veut hériter comme les hommes, que veux-tu faire de mon vivant de ma fortune ? Que disais-je de la brune ? La sublime virago et riche mégère, fixée de façon parano, hystérique et pérenne sur mes affaires. L’économie, le calcul, et l’usine ! La propreté, sinon l’orthographe de mes tenues et la grammaire de mes habits de fortune ! Elle a bien des qualités, malgré son grisant caractère. C’est pour cela que je l’aime ! Mais elle les perd pourtant, à cause de sa voix aigüe de matrone qui tonne à réveiller les morts ! A croire que c’est la Résurrection, l’Apocalypse et la voie des enfers, quand elle m’appelle, ici, au travail ou au phone.
La bienheureuse, n’es pas bienséante ! Je la redoute d’autant que dans sa sourde volonté de suprématie, la maîtresse est une artiste de haute couture ! Un maître-chanteur, à force de cris ! Une enchanteresse, une magicienne hypnotique, qui croit avoir raison sur tout, même sur ma conduite auto ! Pour un peu, ce serait elle qui hèlerait la police pour m’arrêter ! Elle est pire que ces pays entêtés, ces colons de l’époque, qui dominent ma langue, ma sphère, mon boulot et mon identité.Ivre, il pisse face au mur,
Je ne parle pas de Domino, ce dalmatien des voisins ! Il pisse face au mur, à le faire fondre pour et disparaître afin de reconstruire le temple de ses aïeux, à la place de la mosquée brimée ou incendiée, de mes pères ! Un deal, une dette, un rêve atavique ! Faute d’y prier, il se lamente en déposant un talisman en guise de courrier à Yahvé ! Trois de nuit et un coup au réveil, foi de reins qui fonctionnent, la plume sait encore mouiller. La pine, oui c’est elle, de tout à l’heure, qui sait encore exprimer les résidus du corps.
Il a trop bu au bar, diabétique qu’il est. Je parle des mictions bien sûr, voire des relations, des rapports de lit, ma vieille. Il n’y pas de quoi tiquer, ni douter, après que vous ayez trinqué ! Quel intérêt pour les doigts de lisser les crevasses et les plis de ces vieux corps. Habitude ou fidélité ? Ou de pleurer sur ce mur mouillé ? Si ce n’est par compassion ou par tendresse ? Des fois que la nostalgie de ses sources ressort ! L’amour des murs est aussi celui de la mère, de l’essence, divine, de l’identité et de la patrie. Salomon, n’était-il pas un ravisseur de reine, Saba la belle brune ? Et son père David, un berger, un casseur de Goliath, mais aussi un poète et un compositeur ? De parmi les fils des envahisseurs, venus avec le prophète libérateur, l’homme des Tablettes de la Loi, Moïse, à leur sortie d’esclavage après la fuite d’Egypte, l’Exode.Et on l’entend se confier au mur invisible et lui dire… ‘’ Ça me gêne de parler de mon âge, de dire d’où je viens, où je vais et de révéler mon crédo et mes amours à n’importe qui. Je me dois de gérer mes fils et mon boulot. L’ignorance n’est pas de mon fait, elle est universelle ! Origine, évolution, destin et finalité des vies ! Qu’en sais-je ? Le travail est ma drogue ainsi que l’ouverture aux autres, de mon cœur, à ceux que je guide et Tu soignes ! J’y oublie de mes peines et de mes douleurs, de leur réalité, même ! Face à mes oublis et à mes questionnements existentiels, que je chasse, je m’implique et je persévère, pour rester un peu plus, le mieux qui soit, le meilleur qui soit et que je suis encore. Grâce te soit rendue !’’
Dr Idrissi My Ahmed, le 10 avril 2018
Il faut absolument défiscaliser toutes les maladies des Taxes sur les médicament
Dr. Moulay Ahmed Idrissi, président de l’Association des Amis des Myasthéniques du Maroc : « Il faut absolument défiscaliser toutes les maladies des taxes indirectes qui sévissent sur les médicaments et les soins »
La solidarité englobe les actes et le principe moral et éthique, de s’occuper des plus faibles et des démunis, non d’exploiter leurs faiblesses, durant la maladie, pour leur soutirer des taxes sur leurs fièvres et leurs douleurs.
Pour le président de l’Association des amis des myasthéniques du Maroc, il faut supprimer les Taxes de Douane et de TVA sur les maladies. Toutes les maladies, sans discrimination aucune entre elles, ni pitié ou charité, mais par simple devoir moral et actes de bonne gouvernance.Démocratie, équité et impôts sur les maladies, vont-ils de pair selon vous ?
Dr. Moulay Ahmed Idrissi : Notre association, l’AAMM, vouée aux maladies neurologiques, est concernée par la santé des citoyens. Elle s’active depuis plus de 15 ans dans ce domaine. Nous pensons que le sujet des « taxes sur les médicaments » mérite votre attention, parce qu’il vous touche tous ! Non seulement en tant que tributaires des soins, mais en tant que médiateurs, capables d’éclairer loyalement les instances régaliennes les plus hautes de l’Etat.
Ce qui veut dire que vous devez agir, mus par esprit d’équité, afin de prendre conscience de vos droits et de demander à l’Etat marocain et aux lois en vigueur d’évoluer pour mieux vous protéger ! Disons-le franchement et sans tergiversations, il y a une situation paradoxale, kafkaïenne ! Il y a des règlements antinomiques des progrès humains, des lois surannées, qui ravagent les malades et les exploitent, uniquement parce qu’ils sont malades !
Il faut aux médias prendre conscience et montrer aux décideurs, qu’il y a des sollicitations constructives qui peuvent provenir de la base ! Médecins et malades s’intéressent de près à l’accès aux soins et au coût de la santé. L’INDH, l’AMO, les ministères de la Famille, la Ligue contre le cancer, doivent être les promoteurs naturels de cette réforme, que nous appelons comme une grâce de SM le Roi !Ce sont là des généralités. Qu’en est-il en pratique ?
La santé, c’est une partie de la vie, que chacun, de la personne à l’Etat, est censé protéger. La santé va du plus petit rhume au cancer du sein, en passant par la neurologie et la psychiatrie et les multiples affections que chaque spécialité englobe. De la fracture osseuse aux maladies de la prostate, de l’amygdalite qui empêche l’enfant d’aller en classe, à l’angine de poitrine, qui terrasse l’adulte, si une reperméabilisation de ses coronaires n’est pas entreprise !
Je dirais qu’il faut défiscaliser toutes les maladies. De l’hépatite virale qui peut tuer son porteur et son conjoint, si un diagnostic tarde du fait de réactifs onéreux, ou si une thérapie n’est pas administrée aux affections les plus communes et les plus rares. Tout retard appelle des complications et les handicaps ternissent les espoirs de réhabilitation, de réinsertion, de travail et de progrès humain ! La santé est d’un intérêt vital et vaut bien une réforme royale !Quel genre de réformes préconisez-vous à ce propos ?
Je vous réponds en usant de la maïeutique ! Qu’en est-il du coût du diagnostic qui nécessite des appareillages souvent très lourds et qui consomment des réactifs ? Les intrants importés, alourdis de taxes de douane et de TVA, augmentent le prix des médicaments. Quelles sont les taxes que l’on peut revoir et bannir ? Que faut-il faire de ces textes vieillis qui arnaquent les seuls malades et qui préservent (heureusement !) ceux qui restent en bonne santé ? Sinon de les soumettre au bistouri du Guide et du Législateur. Toute loi qui apporte la misère ou qui profite de la déchéance est une loi scélérate !
Je mesure mes mots et mes actes avec tact ! Laisser perdurer ces lois déraisonnables et iniques est contraire à la démocratie la plus élémentaire, à la solidarité, et à toute justice sociale ! On ne peut pas parler de civisme, quand les maladies sont frappées de taxes, comme des produits de luxe ! Il est impérieux de réveiller les législateurs des deux Chambres, pour redonner dignité et espoir aux malades cannibalisés.
Soulager les pauvres et les handicapés est un acte de civisme novateur, tel qu’il a été administré à la conscience publique par SM le Roi ! Profitons de son illustre exemple pour balayer les lois perverses et abjectes ! Les responsables doivent défendre le Droit des malades afin de mieux gérer l’AMO.Ils le font puisque la CNSS va prendre en charge les maladies ambulatoires !
Sauf que tous les Marocains ne sont pas tous bénéficiaires de la CNSS ! Ou qu’ils ne travaillent pas pour y être affiliés ! Il y a nombre de problèmes qui bloquent l’accès à la santé.
Il s’agit en fait d’un problème de communication et d’aspirations. Laissez les gens dire en public ce qu’ils attendent de leurs ministres et de leurs cadres est une approche louable à développer ! Dans le cas qui nous retient, l’État doit entamer une réforme. Libérer l’accès aux soins, éliminer les barrières qui limitent leurs efforts, leur espérance de vie, leur sécurité sur tous les plans. Du dispensaire, à l’hôpital, de la pharmacie au spécialiste ou à la clinique !Le but de votre appel concerne-t-il bien la seule réforme des soins ?
Non ! C’est seulement celle des taxes illégitimes sur les maladies ! Je ne parle pas des impôts sur les bénéfices que les industriels, les cliniques, les pharmaciens et les médecins se doivent de payer ! La chose que je voudrais évoquer et sur laquelle je veux, avec respect, interpeller l’État, ce sont ces lois scélérates qui obligent les malades à payer des taxes, quand ils sont malades ! Je vous parle de l’exploitation sordide des douleurs et des fièvres, quelles qu’elles soient ! De la dîme et de la gabelle, telles qu’elles se sont maintenues ici, en plein XXIème siècle !
L’escroquerie est inconsciemment perçue. Le pire de cette inconscience est que les Finances prennent 24 % sur la prise en charge de la maladie et que cela semble à certains tout à fait naturel et que ça perdure ! Est-ce naturel d’imputer une charge fiscale sur les maladies et cela envers les seuls malades ? Répondez-moi, s’il vous plaît !
Ce taux est généralisé sur l’infrastructure technique et les intrants chimiques des laboratoires. Il s’applique tant sur le matériel industriel, pharmaceutique, clinique, que celui des hôpitaux des secteurs militaire, public et privé. Tant sur les réactifs que les produits de base, destinés à fabriquer des médicaments, que ceux-ci soient destinés à la consommation directe des particuliers ou des services hospitaliers ! Tous les actes pharmaceutiques, médicaux, de laboratoire, de clinique ou d’hôpitaux sont finalement grossis de 27 % de charge, maintenant, sous forme d’impôts indirects. Merci à qui ?Sauf exception ….?
Nous ne parlons pas des exceptions sur les rares médicaments détaxés. Nous voulons généraliser la défiscalisation sur tous les médicaments, sur les intrants et les étapes diagnostiques, qui concernent toutes les maladies ! Il n’y a pas de maladie qui rende son porteur heureux ! Au point d’être content de payer des taxes dessus, comme pour un objet de confort ou de luxe !
Nous souhaitons à l’AAMM qu’il n’y ait nulle discrimination entre les maladies ! Nous voudrions que ce ne soit pas la pitié qui enlève leurs « taxes sur la valeur ajoutée » aux cancéreux ! Que ce soit le droit de la personne de ne pas être punie par des taxes, quand elle est malade. Et que la réforme, la détaxation sollicitée de Sa Majesté, puisse toucher tous les secteurs en rapport avec l‘état de la maladie, quelles que soient ces maladies !Qui a conçu ces aberrations ?
On les a héritées ou importées des colons ! Douane et TVA sur la maladie sont des indélicatesses, en contradiction de fait avec l’éthique religieuse, sociale ou libérale. Profiter des malades pour prélever des taxes est inique, malpropre et odieux ! On ne doit pas imposer les calvaires !
Vous pensez à des solutions particulières ?
Il faut absolument chercher ailleurs des ressources fiscales ! Auprès des personnes les plus saines, quand elles sont économiquement actives, pour dispenser les malades légers, graves ou chroniques ! C’est cela le civisme et la solidarité ! Cependant, il faut bien que le Trésor public soit à la hauteur de ses engagements et de ses dépenses ! Aussi pour pallier le manque à gagner de l’Etat supprimer la rubrique douanière, autant chercher à remplacer dès maintenant ce manque à gagner, mais ailleurs, que chez les malades, par des taxes plus adéquates !
En effet il n’y a nul civisme à pénaliser ceux qui souffrent ! Ni à leur faire payer, comme un produit de luxe, qu’ils n’ont pas, des royalties sur leurs maladies ! La santé n’est pas une limousine de luxe, un tissu de soie, une cave de liqueurs, encore moins un coffre de parfums ou une boîte de cigares ! La santé est aussi essentielle que le livre ou le pain, qui sont pratiquement libres de taxes et de frais de douane ! La santé est primordiale à leur vie, à leur dignité, pour qu’ils puissent se relever afin de rester des citoyens, fiers de leur pays, loyaux et productifs.OK pour les sentiments, mais pouvez-vous mieux les étayer par des chiffres ?
Si chaque médicament ou réactif paie 17 % de taxe de douane plus 7% de T.V.A, (qui vient honteusement de passer à 10%,), cela représente le quart du prix dont on prive les malades et qui va iniquement au fisc ! Iniquement ! Et cela grève toutes les étapes et cascades des soins. Injustement, c’est un obstacle que représente la Douane pour l’accès aux soins. C’est le rançonnement d’un passage obligé.
Et pour la TVA ?
Quel prophète méphistophélique et quel économiste véreux ont suggéré à notre pays de faire payer aux siens une T.V.A sur leur santé amputée ? Par quel cynisme et quel oubli de conscience, demain, l’Etat pourrait-il regarder en face ses fils malades et les exploiter dans leurs douleurs et dans leurs fièvres ? Alors que les accords de l’OMC annonçaient que la barrière douanière était censée tomber en 2010 !
Les arnaquer, sans leur dire ou leur expliciter qu’ils paient des taxes sur leurs maladies, et seulement parce qu’ils sont malades, est également lâche ! Et c’est un paradoxe du fait que ceux qui sont en bonne santé, ne paient rien au fisc ! C’est une forme de reniement de l’équité fiscale, de l’éthique et de la démocratie, qui ont des vocations égalitaires ! Un non-sens, religieux et humanitaire, une honte, impartiale et inique, une tare rédhibitoire, qu’il vous faut condamner courageusement, comme les excès des années sombres ! Et opter avec courage et humanitarisme et prospective, à la réforme fiscale des soins et des médicaments.Propos recueillis par Mohamed Sakhi
Samedi 11 Avril 2009Source :
https://www.libe.maComédie
Madame Student, préceptrice de métier, est une revenante habituelle , elle hante avec son Prince DS le cabinet de Maidoc .
Texte
Je veux un rencard avec le roi, Maidoc !
M : Maidoc, médecin, scribouillard par moment, la reçoit en son cabinet.
DS : David-Salomon 6Oème, est le prince d’Israël. Il attend son heure pour diriger, en mieux Israël, avant l’apocalypse et la résurrection.
Madame Student entre chez le docteur Maidoc accompagnée de son filleul et élève, le prince héritier d’Israël, David-Salomon 6Oème, dont elle est la préceptrice depuis des décades. Voir ses chroniques différées sur le Web.
M _ Tu commences à devenir grand. Tu as apporté ton carnet de santé ?
DS _ Non, juste un passeport d’Israël !
M _ C’est pour un conseil de santé ou un avis politique, que tu débarques, mon prince ?
S _ C’est un rappel à l’ordre Maidoc, pour le prix d’un rappel de, de, de vaccination !
DS _ Non Mamy, ce n’est pas çha !
M _ C’est quoi que tu veux alors, dans mon cabinet médical, Altesse ?
DS _ Je veux un rencard avec le roi ! C’est tout !
M _ C’est un sacrilège, Prince que tu soies ! On débarque, parachuté de nulle part. On désire, on exige de voir le roi, juste comme ça ? Est-ce parce qu’il est cool, sympa et populaire, comme pas deux, malgré qu’il soit un grand Roi !
S _ Prince David-Salomon, le docteur a raison ! On souhaite une entrevue, on sollicite une interview, on aspire à une réception, à une médaille, quand on a fait un acte valeureux ou que l’on prie et souhaite une bénédiction, pour forcer les miracles !
DS_ Non un privilège ! Je veux ce privilège, je n’en suis pas indigne, Prince que je suis, c’est un droit !
M_ Comment ça ?
DS_ C’est un devoir ! Par respect pour Israël et pour l’importance de vos anciens sujets qui vivent dans mon pays !
M _ Ah bon ? Je n’en reviens pas ! Ne devaient ils pas rester au lie de s’exiler ailleurs ?
S _ Ce n’est pas la première fois, Mondoc ! Il est devenu étourdissant, le Prince !
M _ Machiavel ?
DS_ Je vous dis que c’est un devoir, donc un droit sacré ! Je veux voir le roi ! Point !
M _ Comment ça ? Ta rengaine époustouflante ne va-t-elle pas cesser ! Et pourquoi donc, ce harcèlement ? Cette hystérie, cette paranoïa ? Est-ce pour un boulot ? Un conseil ? Une plainte ? Un don ?
DS _ Tes questions docteur, c’est pour un individu normal…
M _ Je m’en rends compte ! Je le crois !
DS _ Tes questions docteur, et ne m’interrompez pas, c’est pour un individu normal et même pour un ministre, Moi, je suis le prince d’Israël !
M _ Aha ! Un petit pays ! Qui n’existait même pas sur la carte avant le déchirement de la Palestine en 49 ! Un îlot juridique, obtenu en compensation, un forfait, une forfaiture, un forcing sur les valeurs d’une autre nation ? Un cadeau colonial ! Une exubérance raciste ! Avec un doigt d’honneur, face à la gueule de toute l’humanité !
DS _ Rien de çha ! Hay ? Mais, c’est un petit pays, grand par ses financiers, ses Nobels et ses gens biens ! Les autres ? Je ne te garantis rien !
M _ Je te laisse divaguer, mon cher prince !
DS _ Quand tu dis ‘’cher’’, est-ce par respect, par amitié ou par hypocrisie ?
M_ Par politesse, seulement ! Je te disais que toi, qui de surcroît a échappé de justesse à l’Holocauste nazie et aux pogroms russes, tu viens nous faire le roi en terre sainte de Palestine ! Et narguer le reste de l’humanité ! De quel droit, Prince, veux-tu devenir le Roi dans cet endroit ?
DS _ Je suis le descendant ultime des rois prophètes, David et Salomon ! Pour te confondre, j’ai les papiers pour attester de cet héritage-là. Lis donc la Bible, l’Ancien Testament ! Je te fais grâce du Talmud.
M _ Messire Prince, tu nargues les autres, ceux du reste du monde, qui ne sont pas assez humains, pour toi !
MS_ Dois-je en être pénalisé pour çha ?
M _ Passons ! Ça vaut mieux pour les lecteurs, innocents qu’ils sont de tes allégations.
DS _ Je ne passe pas comme ça, Toubib ! Docteur Maidoc, c’est comme ça que tu reçois tes amis, tes invités ou tes patients ? Docteur Maidoc, je te dis pour ne pas sortir du sujet, que je veux un rencard avec le roi.
M _ Jolie ritournelle ! Et tu persistes, comme si c’était moi qui cache et qui tais ses secrets publics ou particuliers ! Tu as quelque chose d’utile ou d’important à lui proposer, au roi ? Un tableau, un livre, un message des Grandes Puissances qu’elles t’auraient demandé de transmettre, à ta façon ?
DS _ Non ! Pas de çha !
M _ Alors, une ambassade ? Un investissement important ? Un nouveau mariage princier, le tien, à célébrer au Maroc ? Ce pays qui aime les tiens. Ou que tu aies des richards et des gens bien à lui présenter ! Un portefeuille de choix !
S _ Mais allez, Prince, parle ! Dis-lui !
M _ Ou que tu veux voir Trump, qui arrive ici, pour se réunir sous nos murs, avec Kim Jung-un ?
DS _ Ou nous annoncer que c’est nous qui allons organiser le Mondial en 2022 ? Et non pas les States, le Canada et le Mexique réunis ?
DS_ Arrêtez vos questions ! Moi, Je veux voir le Roi !
M _ C’est pour lui apporter la baraka de Jérusalem, spoliée par les tiens ? Pour lui offrir un habit de jeunes, m’ferkess, dont il n’a pas besoin ! Ou, une djellaba de l’aïd pour les cérémonies ? Il en a tout un musée…
DS _ Non rien de tout ça !
M_ Alors crache ! C’est pour un fermage en Israël, une maison à Jérusalem ? Mais, tu te tromperais lourdement, SM n’a pas besoin de ces services-là !
DS _ Allez Doc, pas de banalités ! Je suis un Prince et non pas un agent immobilier, un courtier es-bâtiment ! Les courses et le commerce, je ne saurais y briller dans ces métiers-là !
M _ Pourquoi alors, Prince d’Israël, veux-tu le voir, Le Roi ? Pour lui souffler une idée politique brillante, un investissement quelque part dans le monde ? Partout en Afrique, où il faut du fric pour relancer la coopération et les progrès des nations de ce continent !
DS _ Je pense qu’à ce jeu-là, tu dis des banalités !
M _ Faites, un effort, mon prince ! Dites ! Votre suspens a trop tardé !
DS _ Tu me sors des fantaisies de fiction, Mondoc !
M _ Est-ce une plainte confidentielle ? Un secret à faire peur au sérail et à faire trembler les ministres de céans ? Une connerie que tu veux avouer et faire pénitence en tant que juif, pensant que le roi arabe peut faire office de prêtre ou de curé chrétien ?
DS _ Bo, Boh ! 3la8e ana boubou ? Suis-je un monstre, au point de faire peur aux super-cadres et aux Conseillers ? Ou un hypocrite, pour accepter, la plonge dans le caniveau, l’exil, le désert où l’on humilie les braves gens de nos amis ? A devenir des proscrits, déchus disgraciés, limogés, exilés. Chassés, à se demander pourquoi en fait ? Et ce qu’ils ont fait de répréhensible ou de grave et que les suivants se doivent d’éviter ? Impuissants à ne plus pouvoir sortir de chez-eux ! Le sort, ‘’ la malédiction d’Al Hoceima’’ qui les a frappés les poursuivra à jamais.
M _ Là, ô illustre fils de Moshé, tu parles de ce qui te dépasse, Prince que tu es ! Et s’ils sont coupables, en même temps qu’ils sont les causes des retards vécus par Al Hoceima ? Qu’aurais-tu à ajouter ? Jérada et quelle autre ville encore, si on poursuit dans ce raisonnement ?
DS _ Coupables par apathie ! De par leurs silences négatifs et leurs indolences respectueuses des désinvoltures et des léthargies des autres décideurs et entreprises ! A devenir les impuissants facteurs des réactions ralenties et des actes morbides qui se sont intensifiés et qui retardent les progrès de votre pays !
M _ Sont-ils les seuls paramètres négativistes, qui se révoltent au Rif et qui se sont succédés ailleurs ? Faut-il se taire, envers les autres coupables et les respecter comme des sages dans le silence des braves !
MS _ Moi, Prince que je sois, je le comprends ! On gère comme on peut, même quand on est chef, ministre ou roi ! Nous n’avons pas tous les paramètres ni tous les moyens requis en main, pour juger logiquement. Il y a le hasard et il y a les hommes. Parmi eux des saboteurs, des usurpateurs et des opportunistes, ceux du printemps, qui renaissent ou qui apparaissent, et ce, au mauvais moment et aux mauvais endroits.
S _ Messieurs, je tiens de mon collègue, le professeur Salvan, cette escalade qui mène aux révolutions. Car, parallèlement aux marches autorisées et pacifiques, des manifestations interdites se produisent, les soulèvements se suivent et font taches d’huile pour faire que les révoltes éclatent et que des vandales en profitent.
DS _ Le b, a, ba, Mamy, les préliminaires les plus simples des révolutions que les détracteurs fomentent et amalgament ! Les négationnistes et les nihilistes, contestent les efforts les plus importants et les plus opportuns comme les plus rapides des corrections s’ils ne réchauffent les consciences et les intoxiquent pour se rebeller.
M _ Et si les cadres et les cadors n’ont plus rien à donner ? Ou qu’ils se terrent, cyniques et narquois ou dans les silences, souvent ou parfois ? Par sagesse et par expérience ! Dis-nous, toi la prof, à quoi s’en tenir et vers où ça mène ? Si ça foire et que ça prenne d’inattendues dimensions.
S _ La plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a ! Vielle que je suis, je n’y peux rien pour moi, que puis-je pour un prince ou un roi ?
M _ Que m’as-tu donné, Femme ?
S _ Je ne suis pas à toi, Homme !
MS _ Taisez-vous, Diane ! Taisez-vous, Cupidon ! El Hoceima et son stupide poisson, puis, Jérada, ses mines noires qui par glissement et copie, sont des caricatures et des loupes grossières qui n’avaient pas à se produire, en ces temps-ci, dans ce beau pays !
S _ De véritables dérives, des actes de sabotage de votre affaire existentielle du Sahara et des efforts faits envers l’Afrique pour obtenir sa conversion et sa reconnaissance logique de vos droits historiques, réels et justes !
M _ Merci de ton témoignage. Alors tu es de droite ? Et même de travers, la Professeure ?
DS _ Toi, Mamy, reste de côté ! Laisse le Doc parler tout seul ! Et, laisse-moi offrir un rendez-vous au Roi !
S _ Offrir ? Tiens ! Ecoutez, vous deux ! Moi, la Prof du médecin-commandant Moulay Youssef ? Moi, ta préceptrice, Prince, Me taire ? Moi, qui viens de si loin et de là-haut me la fermer ? Moi, l’agrégée de français, la nièce du Maréchal loyauté me taire ? Et puis quoi encore ?
M _ Sombre destinée !
S _ Ote-toi de mon chemin Toubib ! Ne m’interromps pas, même si je te coupe la parole ! Moi, Prince, qui t’ai donné des cours de français, au collège Honoré de Balzac, dois-je me taire pour vous plaire, en tant que femme !
DS _ Misère ! Comment la faire taire maintenant cette maîtresse-fantôme ?
S _ Que marmonnes-tu, Prince, encore ? Un coup d’état ? Qui se préparerait en Israël ?
M _ Hé, la Revenante, arrête sinon, c’est le château, la forteresse, le bagne qui regarde le Sebou qui t’attend !
S _ Chut ! Pas de censure ni de menaces, Toubib ! Tu travailles dans les renseignements ? Depuis quand déjà ?
M _ Non, non ! Je travaille après ma retraire encore, ici, devant toi, là, chez moi !
DS _ Encore ? A ton âge !
M _ Je n’arrive pas à décrocher de ma drogue, malgré mon arthrose et mes névralgies !
DS_ Ta drogue ? Alors, c’est le médecin-malade ou le toubib malgré sa drogue ? Qu’est-ce que tu sniffes ou que tu piques ? Ta drogue, pouf, c’est la fin du monde, par là !
S _ Moi, Prince David-Salomon, tu me demandes de me taire ? Moi qui ai vécu 50 ans dans cet établissement, qui fut créé antan, par mon cousin le Général Lyautey, et ce d’abord, pour moi !
DS _ Tu me demandes de me taire ? Moi qui ait fait planter la moitié des vieux arbres de la ville, avant qu’on ne les enlève ! Avant que des imbéciles ne reproduisent le ‘’Mur de Berlin’’’, ici à Port Lyautey !
M _ Tu veux dire à Kénitra ou quelque part en Allemagne ou en Israël ? Je ne te comprends pas ?
S _ Oui ! Un mur de l’apartheid sioniste, en plein centre-ville, de votre ville de Kénitra ! Pas de quoi être fier les élus ! Un fief, un fort, un bastion, ou un bagne ? Une prison, cernée d’une muraille haute et ferraillée sans grâce !
M _ C’est pour la sécurité, Mamy, je suppose ! Celle des lieux et des enfants ?
S _ Il ne lui manque que les fils barbelés ! C’est immonde et inconvenant pour un établissement historique de cette jeune ville qui fut créée, avant la guerre, pour la défense des libertés et la sécurité des gens, par Lyautey, mon fiancé et mon cousin !
DS _ Calme-toi, Mamy Student, on n’est pas revenus pour ça ! Qu’ils se débrouillent là, entre malades et vivants !
S _ Tu imagines ? Enseigner et apprendre, puis se sentir cloitrés, dans un bastion, sur une île interdite, cernés de murailles, c’est Alcatraz ! La Bastille, dans ce bel établissement, qui a fait école, dans l’ouverture des esprits et des gens et qui a professé la tolérance entre les peuples et les nations. Ah mon dieu ! Je soupire. Aidez moi à les supporter ces barbares et ces gens !
M _ Oui Mamy, j’ai eu le même sentiment, le même ressentiment, en regardant ça, en allant à la Clinique des Os pour visiter Driss El Haïk, qui s’est cassé une jambe…
S _ En sautant du mur ?
M _ Non en glissant dans sa salle de bain !
S _ Le pauvre ! On ira le voir.
M _ Inutile, Madame Student, il a peur des spectres et des revenants, même s’ils sont des amis sympas !
S _ N’empêche !
M _ N’empêche que je pense…
S _ Ah, tu penses !
M _ N’empêche que je pense, comme toi.
S _ A la bonne heure !
M _ Oui, je pense comme toi, que ce mur est une offense affreuse à la dignité et à l’esthétique ! Une bavure architecturale odieuse, plus que coloniale et qui amoche la ville des bons ministres de ce gouvernement !
S _ Oui, de nos jours et malgré la Résistance qui couvait, on ne s’enfermait pas derrière de pareilles murailles ! Les plus arriérés des indigènes de l’époque, auraient mal vu ces murs hideux, à deux pas de leur Médina.
DS _ Et autre Mellah israélite, Mamy !
M _ Vive la France ! Qui se démocratise et qui commet des bêtises ! Pires que celles de l’époque, sur ses anciens assujettis ! Mais alors, pourquoi avoir cassé Kadhafi et la Libye ? Et la Syrie ?
DS _ Des ordres et des désordres qu’elle exécute ! Mais, que viennent faire les guerres et leurs victimes ici ? Qui laisse alors, commettre tant de bavures ? Ce, dans un pays libre, dans une ville ouverte aux étrangers, qui y investissent, mais, qui leur offre en retour, de pareilles ordures et désastres architecturaux ! Aux antipodes de la culture, de l’esthétique et de la civilisation. Défaut
M _ Tu es devenu fou, Messire. A t’entendre proférer ces mots, ces critiques et ces injures, on va te prendre pour un Arabe, d’ici !
DS _ Quoi ! Quoi ? Ah, non !
M_ Oui, quand tu sors des idées pareilles et que tu appuies des reproches comme ça, les Français vont te détester et puis te faire des ‘’gentillesses en représailles’’ ?
DS _ Non point, Mamy ! Et non Maidoc, je n’en veux à personne. Je n’ai rien dit ! Je veux juste un rencard avec le Roi…
M _ Si c’est pour une confidence discrétionnaire, ou que c’est pour diffamer divulguer, dénigrer, je ne suis pas ton homme, Prince David ! Barra !
DS _ Non, pas ça ! J’y suis j’y reste. Je n’attaque personne. Comme je n’accuse personne ! Je veux être l’ami de tous !
M _ Si c’est pour dénoncer et accuser, dans le bon sens, c’est autre chose. C’est positif ! C’est un devoir de délation de ta part. Et ça, ça se récompense et ce n’est point une trahison…
DS _ Alors je peux voir le Roi ?
M _ Non plus ! Rien de ça ne pourrait l’intéresser et ce n’est pas à lui qu’on doit raconter ça ! Tu insiste Prince pour voir le roi. Est-ce pour une photo à deux ? Une dédicace ? Une demande de 3 milliards de centimes ? Comme on le fait, pour s’amuser, souvent !
DS _ Non c’est différent et bien plus important !
M _ Non, mon Prince ! Je ne comprends que tu t’adresses à moi ! Je ne suis personne ici ! je fais des ordonnances pour acheter des médicaments, taxés ou pas, mais aucun document pour se présenter au roi. Je ne suis pas habilité à le faire. Tu le comprends.
DS _ Alache, hamiche que tu dises çha ! Comment ça, un Docteur, ‘’kad dounia’’, qui ne veut pas intercéder ! J’en suis touché et éberlué à la fois !
S _ Et dire qu’on vient de si loin pour ça !
M _ Je ne comprends pas et pour quelles raisons valables et qu’il veut essentielles, qu’un type qui vient d’Israël veut voir le roi ? Alors et que le Mac Donald de Trump vient de ‘’capitaliser’’ Al Qods comme partie d’Israël en y installant son ambassade !
DS _ Tu le connais ?
M _ Bof, pas vraiment ! De Visage. Il fait la chronique et le buzz au tweeter !
DS_ et moi ?
M _ Toi ? Je te présente. Voici donc, Lecteurs, un ponte de l’espace-temps, un Prince anachronique ! Il est dopé par la présence de madame Student, qui l’accompagne ! Une vraie revenante du Barzakh, qui vient parfois pour des missions de résipiscence. Quand il s’agit de redonner à quelqu’un qui est mort, une chance de corriger son karma, c’est-à-dire de revivre pour refaire sa vie, en mieux, et pour le repos de son âme.
S _ Oui, à votre service, Mondoc, je suis là !
M _ Oui, merci ! Je ne comprends pas, disais-je, pourquoi, l’un de ces millions de Juifs du monde,…
DS _ Ça, c’est important comme privilège !
M _ Ou n’importe quel énergumène de parmi les 7 milliards de terriens, qui voudrait voir le Roi ! Celui d’un pays étranger qui n’a même pas de consulat ici ? Et qui veut que j’intercède, alors que je n’ai aucun entregent dans ce sens !
DS _ C’est important, mon ami ! Je veux voir le roi. Et je ne veux pas, je ne peux pas vous dire pourquoi !
M_ Que j’intercède, alors que je n’ai personne comme intermédiaire pour le faire…Foutaise de fiction !
DS _ Je veux voir le roi, car c’est important !
M _ Aura-t-il le temps, la volonté, le désir de céder à ta folle lubie ?
DS _ C’est juste pour le voir et pour qu’il m’entende ! Je ne vais pas lui demander des ‘’grimates’’ ni quoi que ce soit. Ni bouffer de son temps de surcroît !
M _ C’est déstabilisant et loufoque à la fois à ! SM le Roi va t’entendre, pour lui dire quoi ? Il suffit à chacun de s’occuper de ses tâches et ses problèmes !
DS _ Tu un censeur et un cerbère !
M _ Non, on bavarde seulement. Je suis curieux d’une pareille lubie. Etonné, déstabilisé ! Mets-toi à ma place !
DS _ Je ne peux pas. Je suis le prince héritier et le pressenti roi de l’Etat d’Israël. Surtout que Netannyahou a été rattrapé par les affaires…Et que ça va démocratiquement accélérer mon accession sur le trône de mes divins ancêtres !
M _ Malade qu’il est, je sais ! Rattrapé la main à la patte, il va te tendre la main pour monter sur le trône…
DS _ Le pauvre ! N’est-il pas mon futur sujet ?
S _ Je ne vois pas le besoin de rappeler au roi cet attachement pathologique, ou pathétique, mon Bon Prince. Ni l’attachement que tu portes à cette personne ! Pardon, à cet individu ! Il faut trancher et choisir ton clan ! En fait, tu es au dessus des clans et de leurs diatribes !
M _ Bravo maîtresse !
S _ Merci tout court.
M _ Et toi, Prince, ce n’est pas une raison pour utiliser ton verbe, ou tes ‘’ je veux ‘’ pour tancer les rois ! Des injonctions qui ressemblent à des ordres qui viennent d’en haut. La volonté est plus hautaine que le simple vouloir, la suggestion ou l’espoir ! C’est au-delà du permissif, du possible ! Il est loin, le Roi, il n’entend pas ta requête !
S _ Ce n’est pas habituel ni sain ! Et il la latitude de refuser et de ne pas entendre, ce genre de délire ! Emanent de n’importe quel gusse !
DS _ C’est une volonté, une demande qui ressemble à une exigence une décision qui vient d’en haut !
M _ Comment d’en haut ? Quels que soit la simplicité et le côté populaire d’un chef, il ne fait pas attention à ces rêves et ces mirages virtuels, à ces illusions, à ces délires et balivernes des simplets ! Des bruissements de fourmis impossibles à monter jusqu’aux cieux ! Et je pense à plus haut encore ! Le ciel et l’univers, nos prières de petites créatures et à Dieu !
DS _ Maidoc, je veux voir le roi et je le verrai coûte que coûte ! Que tu intercèdes ou pas !
M _ Cette exubérance terrestre, ce vœu, est analogue à la prière la plus céleste ! Celle du délire qui énonce « Je voir Dieu pour y croire ».
S _ Une logique parallèle au théorème et à cet adage qui énonce : « Qu’il faut voir pour y croire ! »
M _ Fantasmer, divaguer est-il le propre de l’homme ? On sait que les animaux rêvent, mais, leur arrive-t-il de laisser l’imaginaire interférer avec le réel, au risque de se déstabiliser devant et face aux autres bêtes et fauves, au péril de leurs vies ?
S _ Parallèlement, on peut rêver qu’il faut à celui-là, votre ami, de faire des prières salutaires et des actes de charité afin de repousser les risques réels ou cauchemardesques, le mal et les sorts, qui peuvent le toucher. Vous pouvez rêver de quelqu’un qui vous manque et vous libérer de l’oppression de l’absence, de l’obsession du manque, en allant le visiter et le voir de visu ! Mais le quérir comme ça, de par la volonté, ça pose questions !
M _ Si Dieu est inconnu et loin de la vue des humains, il est omni présent et ‘’partout où que vous soyez ’’. Vous lui adressez vos prières, souvent pour lui demander des faveurs, la santé, l’amour, le pèze et la longue vie. Parfois pour le louer, l’admirer et le remercier. Sinon pour implorer sa justice, là sur terre, pour vous venger…
S _ Il a des anges pour nous surveiller, pour comptabiliser nos actes, pour nous protéger et pour l’informer. Peut-être pour agir, quand ils y sont autorisés.
M _ Peut-on dire qu’il ne peut pas habiter dans un monde matériel, un univers qu’il aura créé ? Un espace qui n’existait pas avant sa conception, au tout début.
S _ Cette philo dépasse mon mandat, Maidoc. Je suis une morte, une revenante en mission.
M _ Un dieu immortel, unique et présent partout dans l’univers, peut-il se permettre de mourir ? Là sur la terre, sur la croix, un jour, une seule minute Sans que sa déité d’immortel ne soit entachée par la mort, cet instant !
S _ Ah !
M _ Dieu, mort, ne serait-ce qu’un instant, afin que les juifs et les romains, croient en lui, c’est grandement suspect ! Ce, par compassion pour les humains et pour la démonstration, face aux incrédules, c’est déconcertant ! Les crucificateurs, les impérialistes de l’époque et les assassins d’antan, croient qu’il est mort, sur la croix, et qu’il s’est ressuscité. Et qu’il est, malgré ce fait macabre, ô miracle, le dieu de l’univers ! Le principe vital et eternel, de la création. Mort sur la croix, juste pour convaincre de son existence les 300.000 juifs de l’époque ! Que ferait-il sur les autres planètes, si elles sont habitées ? Se laisser crever, sur chaque astre, pour démontrer qu’il est le dieu, l’éternel ?
S _ L’univers et ses galaxies, ses milliards de milliards d’étoiles et de planètes, est certainement habité par d’autres êtres que nous. Cet espace qui s’étend, encore et toujours, dit-on, est tel un meuble qui occupe un espace infini, un règne au-dessus duquel Dieu trône. Ceci est une représentation, un essai de compréhension, de l’architecte horloger, qui est au dessus ou par delà son œuvre crée…à
M _ Si de très haut et du Très Haut nous sommes aussi petits que nos atomes, que représentons-nous pour vous, Chefs ? Des riens utilitaires, des êtres asservis, des biens, ou des bêtes de somme ?
S _ Ou du consommable, à l’image des laines et de la chairs, de la viande que les fauves apprécient chez leurs proies ? Douze Palestiniens tués lors de la célébration de la Journée de la Terre, ce 30 mars 2018. Qu’ont-ils fait, sinon de crier liberté chez soi ? Où est la conscience universelle des nations libres du monde développé ? Tu ne dis rien David-Salomon ! Et tu veux toujours voir le roi ?
DS _ Je n’ai pas cessé de geindre et de me plaindre.
M _ Que sommes-nous pour vous, les Chefs ? Vous qui commandez à nos pays et qui influez sur leurs primats, leurs primates, sur les propriétaires, sur les protecteurs et les simples gardiens !
S _ Pour vous, une ruche, une fourmilière, des étrons et des parias ? Des parasites nosocomiaux, ni remarquables, ni importants ni essentiels. Dès lors, plus enfermés et sourds, vous ne m’entendrez pas ! Tu aurais dit ça, comme ça, Maidoc ?
DS _ Je n’ai pas cessé de geindre et de me plaindre. Du plus simple des êtres aux autorités. J’ai embêté les diables et les anges, même si pour vous, ils n’ont jamais vécu ni existé.
M _ Mes écrits quant à moi, mon Prince, sont des manifs et des marches, des révoltes, des pleurs et des cris. Des apostrophes, des réquisitoires et des PV incompris !
DS _ Abraham, fut-il une simple légende, un mythe biblique, sans tombe connue ni temple en souvenir, témoin et reliquat à la fois ? Il aura quand même donné naissance à deux peuples sémites, devenus bêtement ennemis. L’hébraïque, de sa femme Sarah et de son fis Itzhak et son alter ego, Ismaël de Hajar, devenu arabique. C’est mon message, vous en êtes, Mondoc, le relais. Même si je ne suis qu’un spectre inventé et ma requête de voir le Roi, un mirage.
M _ Je comprends qui tu es maintenant et ce que tu veux faire ‘’ Israël, Azraël ou Azrine l’ange de la mort ’’ ! Tu t’es mis dans la peau du prince David Salomon, pour nous jouer un tour et partir avec nos âmes et celles de ceux qui nous respectons et aimons et qui nous sont importants et chers ! Non, je refuse, si je ne te présente personne, mais ton message est déjà écrit !
DR IDRISSI MY AHMED, Kénitra, le 30 mars 2018
Le conte du coq et de la paonne
Voici les leçons du coq et de sa poule, la Paonne. L’envoyé du ciel, de la gente ailée, me vient des voisins ! Seul dans cet éden, nourri de mes mains, je l’ai vu prendre des couleurs et changer de plumage souvent. Morte en hiver, la paonne quant à elle, m’aura couté peu, mais son départ fut pénible, philosophiquement. Ainsi, fut la poule de paon, un ersatz temporaire, mais qui avant de mourir, venait égayer mon jardin. Parfumer les jasmins, embellir les amaryllis et s’épandre devant les clivias. Tiens, je dois en commander au jardinier, pour demain !
C’est aussi le moment d’en commander pour fêter l’anniversaire du 8 mars, la Fête des cœurs sauvés et celui du printemps. Le monde appartient aux femmes. Celles qu’on harcèle des fois et que l’on épouse ! Parfois, pour faire plus simple ! Ne sont-elles pas les divinités lares des foyers chez les romains. Les hommes se révoltent, quand ils ne le savent pas ! Venus de l’espace, ces êtres, vivent sur la terre, comme deux espèces imbriquées, corps, esprits et âmes.
Voici donc les leçons du coq et de sa poule, la Paonne. Que lui fallait-il d’humain et de nostalgique des septièmes cieux, à ce solitaire de céans ? Lui, ce coq furtif, sympa et fier, qui de temps en temps retournait chez les siens. Ici, il venait récolter quelques grains de plus que mes vers. Façon de me plaire et de repartir en sautant le mur, le gésier plein de pain. Faute de gâteaux et de chocolats, comme la paonne. Pour un peu, il me demanderait des cours de médecine, la sécu et de l’argent.
Ici, il retrouvait mon admiration et plus, de la tendresse, ce que de ses dieux possesseurs ne lui donnèrent pas. Les proprios du coq en question et qu’ils sont ! Ces grossiers propriétaires, aux gros chiens, qui vinrent du rural pour développer la ville, habitent avec leurs bêtes dans une belle villa. Ils ont besoin de cerbères comme gardiens. Ces hurleurs méchants, qui sur la terrasse, aboient de jour et de nuit, devaient lui faire peur, à notre coq, si sympa. Leurs bruits irritants, leurs aboiements, doublaient de par les échos que renvoyaient les immeubles du Bar Lev. Là, en face de ma chambre.
Des malades, malgré eux, urinent sur les bords de la vasque du WC. Cette bonne dame de passage, si versatile de ses choix, était comme ces clients qui me laissaient faire le ménage des toilettes après leur passage ! La propreté est un devoir, surtout après les moments de passion. Peut-on espérer des consultants qu’ils fassent leurs ablutions et se savonnent avant d’aller consulter les médecins. Ça non, ils sont malades. Mais, beaucoup le font, on le perçoit à travers leurs vêtements.
Tels les zélotes des faquirs, les nouveaux adeptes en noviciat, qui pour être admis parmi les sages oulémas, devaient dominer leurs fiertés et maitriser leurs egos. On en parlera.
Le client est roi ! Et vice versa, pour les bonnes choses. L’option du coq, pour ses habits de plumes, brillants et trop changeants, vient du fait qu’il veut épater les femelles, en faisant le paon ! L’inconscient, zélé, me laisse donc nettoyer son écurie. Et pour un peu lui curer les ergots et lui faire le champoing ! Seulement, à cause de ses ergots et de son bec, je ne m’en approcherais pas, quelle que soit la beauté de son pennage.
Les bordures cimentées de mon jardin, c’est là l’extension de son domaine de roi de la basse-cour ! Les coulisses et les coursives de son labyrinthe, sont le secret de la réussite. Comme dirait Adam. Lequel vient de découvrir le sens de ces mots. Au lieu de répandre les biens de ses entre-fesses sur le gazon, le poulet laisse ses fèces et ses déjections sur le ciment blanc ! Merci pour les engrais ! Ils sont de trop, messire coq, et ça fait très sale, par là ! Demandez à Jean de La Fontaine, qui en matière d’oiseaux et de plume, sait encrer la sienne !
Ce stage d’humilité, est une épreuve pour les soufis. Il était important de commencer par les toilettes publiques des mosquées et des medersas. Nettoyer les salles d’eaux, servait de butée psychologique, afin de permette aux quémandeurs, aussi imbus de leurs richesses fussent-ils, de compter parmi les soufis de Fès. Ceux d’antan, servaient de modèles aux postulants. Ils gitaient dans les mosquées périphériques et venaient prier au Mausolée de Moulay Idriss ou sous les arches de l’université Qaraouiyne !
Coco est heureux en retour de mes soins, mais qu’il n’appréhende pas. Il me le montre par son altruisme, autrement, comme on le verra ! La neutralité et le profit, est un paradoxe dont il use, même si c’est instinctif et qu’il ne le comprend pas. Seulement il a le sens du partage sans passer par whatsapps. Lisez la suite !
Coco est une école. Il a perdu la peur, cette émotion handicapante, si propres aux bêtes et aux humains. Il est adopté, mais libre à la fois ! L’altruisme et le respect sont l’essence de la morale. Celle écrite sur le tableau noir de notre passé scolaire et en début de chaque cours. Le tableau de bord pour la vie et la morale du citoyen. Voire, celui de l’éthique civique, universelle, si vous êtes agnostique sur ce point-là !
Loin d’être gourmand et égoïste le Coq est un exemple. Le voilà qui prend du bec un bout de pain. Il le relâche en bruissant. Coco recommence à picorer le même bout d’aliment. Et le laisse encore, en lançant des appels sous forme de glouglous et de gargouillement. Des cris doux et insistants pour appeler la nouvelle femelle, tombée du ciel aussi, grâce à moi ! Il veut l’inviter et lui donner de la pitance en se privant ! Offrir à celle qui vient d’arriver. Un cadeau alimentaire à la femelle qui vient l’accompagner. Ses appels pour offrir et partager son grain, (vous avez lu gain, c’est tout comme !). Ce partage, ce don à sa nouvelle compagne ! C’est là sa leçon aviaire. Saurait-on en profiter ? Elle s’approche en caquetant. Satisfait, Coco, s’avale quelques bouts du pain restants.
Vous avez deviné. La poule est une offrande d’un patient. Il me l’a donnée pour la garder, comme ce fut le cas de la paonne ! Pour la manger ou pour profiter de ses œufs ? Mais là, je la libère, la poule. Est-ce un geste de compassion face à la passion ! Une réminiscence mienne doublée d’une espèce congratulation à Coco. Le coq solitaire, dont je comprends et la solitude et le besoin non exprimé d’avoir de la compagnie ! Je lui libère les pattes entravées par plusieurs tours de corde. Elle est un symbole. Je vais m’en passer, car elle doit vouloir s liberté ! Je la libère sachant que je la laisse à un coq, un mâle poulet agité, mais de son espèce ! Depuis qu’il bave dans mon jardin, ça va faire un an que ce coq devait en rêver !
Depuis que j’ai su son existence, j’ai compris son véritable besoin, par-delà la croûte effritée et la mie de pain que je luis servais souvent. Son deal, c’est de prendre la poule, comme amie ou comme femme. Et me chier, tous les deux, sur mon balcon de salon !
Malgré les ordures et que je sois fâché, je réchauffe un petit-pain. Un sneak, qui était congelé comme cet autre-là ! Je le casse et je lui tends une partie, jusqu’au bec. Il ne l’avale pas. Il la traîne, la triture, lance de petits cris pour appeler sa Coca de poule, afin d’y gouter. La dulcinée est ravie du présent et elle le suit là où il va !
Je viens donc d’offrir cette noiraude, que j’ai appelé Coca, par assonance, allitération ou homonymie, et pour leur symbiose ! Un écho ! Coco et Cola, ça fait bien ! Faute d’ego ou pour plus d’égo, Coco le coq est aux anges, il a donc sa Coca. De belles brunes on en voit, surtout ces derniers temps ! Les coqs pâles ne font pas l’affaire de ces noires qui vivent ici, en communautés fermées. Elles mangent, étudient et font des enfants, sans aucune tendance des nôtres de les évacuer et de les verser par camions aux frontières, comme certains pays qui l’ont fait ! ‘’ Ça on le sait ! Des chefs d’états me l’ont dit. ’’
Tu vas l’égorger, Papy ? Me fit Adam, d’un geste de lame sur le cou ! Lui qui ne voit que des films violents…Et ils vont faire des relaxations sexuelles ? Me demande-t-il. A son âge, on a appris tout ça en sciences à l’école ! Et ils ont des contrôles là-dessus, les mioches ! Dès lors, voir ça dans un film ou dans la vie, ça fait comme des exercices scolaires, en attendant les applications des sciences infuses et le réveil des hormones et des instincts.
Stupéfiant pour les ringards et les timides d’essence, comme moi. Nous étions frappés à notre époque par les chiens, longtemps collés à deux, après leurs coïts et par les ruts éléphantesques des ânes. Les mulets et les mules stationnaient là, avec leurs maîtres et cornacs. Ces fumeurs de calumets de la paix, le kif innocent et libre de l’époque et moins cher que le tabac. De braves vieux, originaires des environs. Ils s’adossaient, accroupis, aux abords de notre atelier, la Makina, ou de l’usine voisine. Ils attendaient là, tranquilles et patients, de transporter le bois brut ou les meubles travaillés, les pièces de bois sculptées, pour la maintenance des mosquées, dans les coursives et les ruelles, les gorges de notre labyrinthique médina de Fès !
Revenons à la nouvelles recrue aviaire. Le risque pour la poule, comme ce fut pour ma paonne le cas, ce sont les chats vagabonds. Ces excités criards des bars, comme des spectres de moribonds, qui souillent les femelles du jardin. Tels des hyènes affamées qui bouffent les restes de souris et de rats, ces rapaces et ces vampires risquent de bouffer la poule noire pour l’offrir aux chattes de l’endroit.
Le risque morbide et le pire des trépas qui soit, est pour la femelle noire, de devenir veuve, une veuve noire dans le théâtre de cet emplacement. Un drame juste après ses noces dans cet éden de jardin et de perdre les amours du bellâtre blond. Coco, le Trump du quartier, qui s’est entiché d’elle si rapidement !
Et c’est cela la théorie du tagine ! Le risque de voir le maître cruel du destin, mon paysan de voisin, devenir hospitalier subitement ! Le jour malséant où il recevait à l’improviste un invité et qu’il voudrait l’honorer, comme dans la légende du cheval arabe, en lui offrant son beau coq. Un bien lugubre plat. Un stupide trépas.
Ils stationnaient avec leurs maîtres et cornacs. Ces fumeurs de calumets de la paix, le kif innocent et libre de l’époque et moins cher que le tabac. De braves vieux, originaires des environs. Ils s’adossaient, accroupis, aux abords de notre atelier, la Makina, ou de l’usine voisine. Ils attendaient là, tranquilles et patients, de transporter le bois brut ou les meubles travaillés, les pièces de bois sculptées, pour la maintenance des mosquées, dans les coursives et les ruelles, les gorges de notre labyrinthique médina de Fès !
Dr Idrissi My Ahmed
Kénitra, le 25 Mars 2018
Du coq à l’âne, ou les prédateurs et les proies
LES ‘’ CHRONIQUES MISCELLANEES’’ DE MME STUDENT
Question de force et de faunes
Trois avions sont tombés ce jour, bien loin des champs de guerres, des fusées, des gaz toxiques, des bombes, de leurs explosions et de leurs feux. Combien de morts faut-il encore commettre sur les enfants et les civils ? Là en Syrie, en Iraq et en Palestine ? Et pourquoi que ça se tue encore entre humains ? Dites ! C’est compliqué ?
A tous les zombis contemporains
A tous les zombis contemporains et autres robots charnels aux organes détraqués ! Cette terre est une véritable boucherie où les êtres, animaux qu’ils sont, se mangent et se tuent pour disparaître sans se recycler. Maladives, fortes et puissantes, les espèces se sont multipliées. Sans retour aucun ni solutions pour l’avenir, l’homme pollue et épuise la terre, de tout ce qu’elle a engrangé depuis des millénaires ou des milliards d’années.
‘’ J’ai gâché mes plaintes et caché mes souvenirs. Depuis, je les ai oubliés. Que dire de leur mémoire chez autrui ? Je souffre de douleurs à faire pleurer de joie mes ennemis et je gère des faiblesses implacables outre mes coutumières paralysies. Ma reine, Chefs, le cœur insatisfait ou opéré, je sais ce que c’est, car il regorge de bonté ’’ Dixit Ghandi !
Réveils et verbiages inutiles
Mais, par-dessus la honte et les incapacités, rien ne vous empêche, glorieux Chef et vous, les Mahatmas, de travailler et de regarder d’en haut ces Trumps, ces Netanyahous, leurs zélotes et leurs consorts hébreux, et si actifs de partout ! Non qu’ils soient minables ou puissants, ou amusants et méchants, à la fois ! ‘’… ‘’Ça, tout le monde le sait ! Et des chefs d’Etat me l’on dit !‘’
Pontes et complices, exagèrent pour enfoncer leurs adversaires ou pour plaire à leurs suppôts et compères ! Une caricature où excelle le virulent et truculent, Ssi Messahal Abdelkader que je viens de citer plus haut. Leur morale est à genou ! Allah yarham Belkacem Mellab qui a fait irruption ici ! Lui, qui est parti trop tôt, il doit gigoter dans sa tombe. Ressuscité par la colère, car j’aurais fait parler, ici, son lubrique MAE, qu’on dit être marocain, mais qui est issue de la même ville d’Algérie !Les jeunes, des assassins ou des fusibles ?
Mais là, parlant de hauteur, je suis à la renverse ! J’ai appris le cas de la jeune étudiante qui s’est suicidée. Ce drame va rendre folle sa pauvre mère. Une parmi d’autres ! Cela me rappelle le fils de son voisin et libraire. Et encore ce grand malade qui a tué et découpé la même nuit, et son père et sa mère ! Et le lendemain, ce fut ce technicien-télé, qui fut poussé par les bourrasques de vent de la terrasse où il travaillait. Là, par-dessus la parabole qu’il voulait réorienter ! Hier encore, une princesse arabe s’est jetée d’un balcon pour se suicider ! On est loin du pétrole, du prestige, de la civilisation et des mille et une nuits.
Arrête de parler de ces incidents mineurs, regarde la Syrie, le Proche-Orient que les rapaces déchirent en causant des milliers de milliers de morts ! Parle des battues sur les Rohingyas, un nettoyage ethno religieux de plus, que les Birmans opèrent sans gène devant le monde entier ! Parle des camps de concentration et des murs de détention, des pogroms des palestiniens et de leur apartheid et mortelles exactions racistes ! Parle de la pression acolyte erronée et inlassabledes zélotes, puis de celle ‘’des pays démocrates, avancés, si aisés et pleins de gens bien’’ ! Parle des enfants, entend les jeux de tirs des soldats sur les manifestants palestiniens ! Non ! La guerre et l’humiliation, le vol de la vie de quiconque, ce n’est pas humain ! Et moins encore divin, pour quelque peuple, religion ou civilisation que ce soit !Braconniers
Là, mon moral est à genou ! Ils sont tels ces gibiers et ces fauves dont les braconniers exposent les dépouilles comme des trophées de guerre, après les avoir abattus au cours de leurs safaris en Afrique ! Distractions féroces pour les touristes aisés, qui après les conquêtes terrestres d’hier et l’esclavage antique, se tournent vers les bêtes qu’ils tuent pour leur simple plaisir et pour s’amuser. Pour frimer ou pour se distinguer ? Un commerce de la violence et des armes aussi, est sous-jacent dans ces exotiques pays ! Le tourisme en savane ! Ce sont des chefs d’états, des présidents qui y ont été pris à ce jeu carnassier ! Les persiffler, les indexer de qualificatifs outrageants et plus que barbares, est inélégant. Inutile, politiquement négatif et contre-productif sur le plan de la morale politique ou de l’éthique banale ! On mange bien de la viande ! Nous tous ! Dis-moi, BB ? Alors laissons les grands et les grosses légumes tranquilles pour ne pas bouleverser la carte politique du monde et le destin des peuples en voie de développement !
Tact et mesure
Si politiquement, il faut user de balance dans les propos, si psychologiquement il ne faut pas jeter l’opprobre sur les grands richards, pour les vilipender et les indexer, à quoi sert-il alors de de livrer son opinion et de penser différemment ? Alors un sermon faute de les sermonner ! Certains amis parmi-eux sont encore vivants, soit ! Mais que feront-ils des peaux de bêtes ainsi tuées ? Où les mettre à leur départ ? Par terre, au salon, à l’entrée pour remplacer les tapis du sol, sur les murs de leurs bureaux ? Vont-ils les emporter avec eux, si leur départ était proche ? Hélas rien d’ici n’ira vers l’Au-delà. Ni peaux de bêtes, ni ustensiles, ni mobilier, ni costumes !
On ne peut pas couvrir nos âmes, une fois morts, avec des peaux de panthères noires ou de tigres zébrés ! Rien ne profite, même pas l’objet du crime, rien ne sera exporté vers l’au-delà ! Une certitude pour ceux nombreux qui espèrent et qui croient au paradis. Mais cette sagesse, si banale et commune, qui prospère chez les gens crédules et les croyants, ils s‘en fichent ! Eux ! Ils sont si grands. C’est leur face, non pas athée, mais simplement insouciante, riche ! Et, ces meurtres, ce ne sont que des jeux ! Un ‘’privilège’’ donné aux pays noirs, une chance, pour se développer et pour donner à manger aux leurs, grâce au tourisme étranger, qui leur apporte beaucoup d’argent !
On a tellement de paraboles, de phones, d’écrans, de parasols et de parapluies que nous n’avons plus d’espace dans cette maison où les caser ni dans ce pays où les disposer. Et ces symboles des gens puissants et prospères, ces décideurs influents et écoutés, il faut les ménager dans tous les cas de figure ! Quand on a besoin de les utiliser, ils sont perdus, bloqués ou cassés, faute de les entretenir et de bien les ‘’ranger’’. Pour nos progrès et notre résilience, la bonne maintenance, la fidélité, entre amis, est de bonne gouvernance. N’est-ce pas Chefs, que c’est indispensable pour persévérer dans la voie de l’amitié et de la paix ?Quid des arbres et des trottoirs ?
Encore ! Alors si l’hypocrisie remplace la critique et chasse la guerre, c’est que tout va bien avec tous nos amis ! Et que l’on saura y faire avec ces boss, en singeant les psy coaches, sur ce chapitre discrétionnaire et lors des conduites et des comportements diplomatiques de mêmes ressorts !
Avant-hier, à Kénitra, il aura fait 10 saisons en moins d’un jour. Avec ces changements de temps, rien ne peut être prévu. Les platanes centenaires et les faux-poivriers, laissent les oiseaux sans nids et nos regards se perdent sur les horreurs des façades et des constructions hideuses que leurs branches, jusque-là, nous masquaient ! Ils vont vous apporter de ces palmiers dits-américains, hauts de 6 à 8 mètres et très couteux, qui ne portent que 4 palmes en haut de leurs affreux troncs, si horribles et disgracieux !
Aujourd’hui, Kénitra ressemble à Casablanca ! Feu le roi Hassan II, dont l’esprit est toujours prégnant parmi-nous, l’avait prédit pour son développement. Seulement maintenant, c’est le revers de la prophétie qui se réalise. Cela s’est passé ce matin, non loin de la gare TGV et de ces espaces industriels de la zone franche, là où l’industrie internationale trouve sa superbe expansion. Les pilonnes électriques, du moins les poteaux d’éclairage, ces hauts lampadaires, sont tombés comme une avalanche sur les toits des autos !
Ce n’est pas la faute au vent qui les aurait fait choir et qu’il faille incriminer ! Les habitants ne sont jamais informés par la presse ni par leurs élus de ce qu’ils font, les élus et les municipaux, sous leurs fenêtre et dans leur rues. On ne va pas leur souffler ce que veut le vent. Domaine terrien sacré, domaine terrestre sucré, les espaces et les investissements sont du domaine secret, réservés aux puissants de parmi les proches. On ne va pas crier à la promiscuité avec le pouvoir divin, ni gronder ceux qui se les premiers officient dans le délit d’initiés de par le monde. Le copinage et le népotisme…Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Corruption, compromission, concussion, malversation, cherchez l’erreur !Nostalgie arboricole ou végétale
Syndrome du colonisé. J’ai souvenir de ces eucalyptus centenaires qui furent plantés du temps du général Lyautey et qui embellissant la ville, sans entraver l’espace ni gêner personne ! Les assassins des villes et des espaces verts, portent-ils un nom dans la juridiction ? Ah si les pontes pouvaient changer aussi vite, ou en mieux seulement ! Tels ces trottoirs avec leurs carreaux craquants, neufs, mais vite brisés sous les pas, que l’on dégage maintenant pour élargir cette avenue, dont on a dévasté les arbres ! Une artère dédiée après son meurtre au militant de la lutte pour l’indépendance, l’istiqlalien Diouri ! Et quelle indépendance ? Avec tellement de bonnes coopérations et de crédits internationaux ! Mais, on n’a pas le choix.
Revenons à nos pénates et aux dieux lares. Sont-ce ses héritiers ou ses neveux qui comblent les espaces vides de cette bonne ville ? Afin de loger au mieux les nouveaux venus. Et l’on assiste à une invasion de voitures, le centuple en dix ans ! Les R’batis vont être ruralisés. La campagne se venge sur les capitalistes !
Ni expos ni conférences suffisantes, ni vitrines aguicheuses sur les reliquats d’avenues, plus de théâtres ni de cinémas ! Ça, plus jamais ! Pas même des arbres pour contrebalancer la nudité, la hideur de certains coins, ou pour aérer l’atmosphère embrumée par ces fumées insanes pour leurs vieux poumons de fonctionnaires, rétrécis.
Ce sont de nombreux couples refugiés, malades ou à la retraite, dans notre largissime patelin, aux normes perdues. Ils viennent ainsi d’avaler notre province aussi ! Longtemps connue comme une Willaya pour son espace vital, ses cigognes, son port, son chabel, l’alose, cette espèce disparue depuis, sa plage, maintenant rétrécie, sa Kasbah, en ruines, attendant la résurrection du Sultan alaouite, My Ismaël, pour la ressusciter, ses prisons célèbres de par leurs hôtes distingués, ses bases, adieu les States et l’Oasis, ses forêts qui ne glandent presque plus rien, son agriculture, qui espère depuis les récentes pluies de meilleures années !Le ciel de l’olympe
Le ciel de l’olympe est plein de riches, de suzerains, de héros et de demi-dieux, aux pouvoirs suprêmes ! ‘’Gardons sa grandeur à l’Amérique’’ ! Vous pouvez apprendre, puis adhérer et appliquer à vous ce nouveau slogan de Trump ! Attention, il nous copie. Il chasse aussi de ses ministres ! Adieu Tillerson !
Je suis riche comme Crésus dit-on, les jaloux ! Mais plus puissant encore ! Comme Trump, pour ceux qui le connaissent un peu ! Chef de Parti, propriétaire de banques et d’assurances, des fermes et des usines, des mines et des gisements. A moi seul, je vaux un pays au moins ! Je suis son Président, à vie, comprenez son propriétaire et son empereur à la fois.
Mais je suis peiné pour vous, car je ne suis qu’un être humain ! Je passe ! Le néant m’interpelle. Je suis périssable, même si je suis très beau et sympa, volubile et loquace. Attention vous autres, mind ma princesse, je suis encore attirant et toujoursorgueilleux. Si je philosophe pour vous amuser, je ne suis ni timide ni gonflé é, et pas périmé pour autant !
Les femmes et leurs branle-bas de combat m’offusquent grandement, si elles vous taquinent devant les juges messieurs et dans la presse, un peu !
Mon Dieu, je n’ai pas besoin de les harceler, moi ! Ce sont elles qui viennent au secours de mon âme ! J’ai grand cœur ! Le cœur dans la main ! Et je sais faire…la charité ! C’est un bon placement pour investir dans l’au-delà !
L’au-delà, ce sont des milliards de milliards d’étoiles et de planètes. Et il faut les combler, les Stars ! Les habiter, y investir et les faire marcher. Je suis leur homme. Et cela en tolérant les diables, les anges, les autres créatures et celles qu’on rencontrera ! Tout en respectant les droits de l’homme, sur les armes, les femmes et les minorités, les usages américains de la démocratie et de l’argent, comme on sait les pratiquer, ici dans Mon pays. Soyons tolérants !Chacun son chemin de croix
Hymne à Mister Trump ! Mais d’ici là, je suis las. Le cœur, encore une fois ! Quand je pense à la fin, je refuse de vieillir et de passer l’arme à gauche. Pour l’âme, je ne sais d’où elle provient, si elle est là et où elle ira ensuite, quand le robot de chair que je suis, fondra dans la poussière ou que ses cendres s‘envoleront ! Aussi, je fais comme si j’étais éteint et éternel à la fois. Je laisse une dynastie : mon simple nom suffit à la pérennité terrestre et par-delà la nuit ! Ne suis-je pas le Président, le roi de l’Amérique et celui du monde ? Oué ? Presque ! Celui du bas monde ! Certes ! De la High society ! Yes !
Comme tu le dirais, lors de ton sermon d’investiture, archevêque Cristobal, il nous faut rester zen et tolérants !
Mais, il y a ce chinetoque de coréen Kim Jong-un ! Il pétarade impunément et menace les States, leurs amis et leurs statures ! Je n’aime pas cette fantasia.Je le défi et je lui donne-rendez-vous en Avril prochain. Ce n’est pas un poisson d’Avril ! Mais un poison à traiter chimiquement…Avant qu’il ne me fasse un Tchernobyl ou un Hiroshima ou qu’il me coule mes porte-avions ! Ils sont fous ces chefs d’états arrivistes ! Des jeunots et ces ‘’trop vieux’’ ! Des mutants ou des pharaons à stériliser ! Vengeurs hargneux, ingrats qu’ils deviennent avec le vol de nos technologies et leurs usages fous, de vrais démons qu’il faut purger !Délits et délectations ; attention aux hormones
Tentative d’analyse psy. Attention aux droits et au respect des gens. Le sexe sans peuret ses braconniers impénitents. La testostérone est devenue une hormone de la violence ! Essai de compréhension du désir de chair, féroce ou violent des partenaires hasardeux masculins.
Engouements pour les interdits, le sexe affole l’homme, la femelle en devient seulement sa proie. Il n’est nullement question de partenaire, ni d’entente nécessaire, souvent. C’est le cas de la femme mariée, la dame du couple, qui refusant l’acte sexuel avec son mari, et qui en est ou qui se sent violée ! L’homme, le mâle, est un pécheur-né. Incapable d’accepter le refus et l’échec, quand il n’arrive pas à obtenir le sexe ni à mériter un amour naturel, ou son expression physique, directe et partagée. Il perd de sa contenance et sort de ses gonds. Devant le désir de sexe, celui qui s’impose à lui lors d’une simple rencontre fruit du hasard, il se déclenche en lui, un coup de foudre. Une véritable explosion, un désir fou, une tempête dans son ego. Ce stress, égoïste ou maladif, est amplifié et exubérant. Il en devient une force une forme de terreur, quand il reste sans échos de la part de la présumée partenaire. Synonyme de refus, l’opposition déclenche chez ce mâle malheureux, la folie et la guerre !
Voire la déchéance de la personnalité, de son surmoi devant les réserves, le refus ou la pudeur de celle qui l’a rebuté et empêché d’obtenir le fruit précoce d’un amour exigeant, physique, indésirable et insupportable pour elle ! Sa morale virile et son sens du respect des droits, se perdent devant la montée de ses hormones et de ses désirs effrénés. Il ne perçoit qu’une solution pour satisfaire son désir. Celle de sauter sur sa victime et de la surprendre. Il en devient une bête, un fauve, un délinquant souvent, un criminel parfois.La suite profane
Viol et violences. Le paresseux qui vagabondait dans les sinus et les coulisses du sexe se transforme en bête assoiffée de sexe. Devant le défi, celui du ‘’non pas ça’’ de la femelle visée, le mâle va aimer et oser pratiquer la chasse prohibée. Lors de ces jeux dans les bois imaginaires, en se marrant, il va sentir un bonheur interne. Une extase préliminaire qui provient du défi suscité en lui et qui augmente lorsqu’il en snobe les frontières, les limites et les lois. Prendre par la force et carrément voler le sexe, forcer celle même, ‘’qui ne lui appartient pas’’, tel en devient là, son défi existentiel, sa pulsion. Une gymnastique faite de hasards et de surprises, de bravades et d’égos boursouflés.
Le chasseur de sexe, insiste dans sa besogne et harcèle sa cible sans répit. Il désarçonne sa proie qui perd de ses moyens et qui devient de fait ‘’sa’’ victime ! Sa propriété, sa raison de vivre, son but et son obligation d’agir. La porteuse de sexe, est une entité ciblée qui n’a pas le droit de dire non, ni de réagir! Un défi vital s’impose à lui où il perd toute réserve et toute volonté, toute retenue, toute logique. Un entêtement où le dément perd sa boule. Il perd le respect et la pudeur, certes, qui plus est, il ignore et bafoue les droits et il dépasse la peur.
La ‘’bête amorale’’et sans vergogne prend le dessus sur l’homme, devenu, sans freins ni crainte tel un fauve en colère’’. Le violeur est devenu un assassin immonde que la justice entend et se doit de punir et de juger.
Ce, quels que soient la réalité du deal, les cas où les politiciens le piègent et où les victimes oubliées sont recherchées afin d’être alignées pour ester en justice. La profondeur du crime, le désir de la dame lors des préliminaires, son hésitation, sa volonté changeante par la suite, son refus bouleverse la donne et change le mâle en monstre, irrespectueux et peu amène !
La variance des scènes, l’oubli ou la revanche, la justice ou le silence dépendent alors des unes et des autres. Le vacarme social, le fracas du coït imposé, celui de l’orgasme volé auront des incidences spectaculaires, dégradantes et punitives. La renommée et le métier que professent, le ‘’sombre héros’’ seront entachés de mépris après le scandale. Le cinéaste, le philosophe, le journaliste ou le futur et potentiel président, seront bafoués et avilis à vie.L’ego sauvage
Le plaisir immédiat de l’une des parties n’est ni envisagé ni considéré et le fric immédiat non plus. Ce sont de gros sous pour les réparations juridiques en plus de la réputation et de la sanction pénitentiaires, la prison après le procès, la perte du boulot et de la renommée, perdue à jamais, qui vont être arrachés au carnassier impénitent. La mondialisation de ses affres et de ces affaires, la presse fouilleuse, yeuxteuse de coutume et celles du Net, sont Insidieusement embrigadées dans ces affaires de sexe. Des cascades de partages, virales, fuitent. Embrasées pour faire empirer le verdict et pour obscurcir le destin du faune entêté. Le bonhomme est verni, terni à jamais, fini pour toujours, sans possibilité de pardon des siens, de la société ni de résilience aucune.
Les cas patents
Introït. Apropos d’Avril, n’oubliez pas le poisson, les locaux ! N’oubliez pas, vous les Amérocains*, d’ajouter 1 heure à vos horloges pour le changement d’horaire estival, cela avant le Ramadan.
La date, la montre, l’horaire, c’est juste pour l’introduction. Et ce à propos de Ramadan…De Bouachrine et de Lamjarred ! J’oublie les autres qui sortent du propos !
Qu’est-ce que ça donne à la fin cette vague de harcèlements et de viols ! Tout est politisé ou presque. Et on passe de la guerre des culs, de celles qui acceptent et qui refusent, à la guerre des religions ! On n’en est pas loin chez Tarik Ramadan.
Les dames de circonstance, mentent parfois, ou exagèrent, pour se venger ainsi de l’homme indélicat, ce criminel érotomane et violeur outrageant. Elles forcent sur l’empathie et les sentiments pour attendrir la Justice, son sceptre et le poids de ses sanctions ! Elles parviennent, en rendant ainsi la justice plus politisée qu’elle n’est matérialiste ou équitable. Elles parviennent en poussant à l’erreur la police, lors des plaintes et des PV, en tendant de mouiller les officiants et de les rendre complices de leurs délires. De leurs vengeances, de leurs droits au respect à la réparation ! Ainsi-est-il de la sortie extraordinaire du Procureur de Casa, dans l’affaire de Bouachrine.
Les sanctions sont très lourdes ! Les Médias paumés, par sympathie, envers les unes ou les autres des parties en conflit, en deviennent exubérants devant la Justice. Ils lui emboitent le pas, à cette justice, lente, dans les relents et arcanes de leur 4ème pouvoir. La presse se met à influencer la justice, les juges et les autorités, en publiant ses propres thèses, ses jugements, ses enquêtes parallèles et ses opinions. Dans l’affaire Bouachrine, on passe de l’acte monstrueux, comme dixit l’un des avocats des plaignantes, aux déclarations erronées et trompeuses ! Un parjure volontiers sur PV, et ce devant la police. C’est ce que l’une des femmes, engagées, commence à avouer, donc !Le tour des filles et des enfants
Après les gamins, les actes pédophiles sur les enfants de chœurs, dans les églises, voici ici et là, le tour des femmes et des filles ! A la sortie des boîtes de nuits, au journal, dans les directions voire aux ministères ! Partout, tout devient un lit !
Pour ces évêques, pour ces cinéastes, ces ministres de partout, pour DSK, que représente l’objet du désir ? Un flirt, Inconséquent, un objet pour vidange urgent, une pissotière ? Avec plus d’énergumènes, ce sont des razzias sur les femmes indociles, des atteintes à leur honneur, à leurs vies certes, et pas seulement la satisfaction d’une une lubie, féroce, ou fallacieusement romancée, celle d’un court instant.Alternatives
De la piaule sanctuaire, de la planque au violon, quelles que soient les paroles des chanteuses insatisfaites, qui elles, font dignement chanter les mâles impudents ! Après les avoir aguichées et émoustillés, évidemment, souvent ! Le cas de Lamjarred est patent.
Un peu de tenue pour les protéger, c’est de les mettre sous clef et sous les hijabs, chez elles ! Non et non ! Le ciné, les boites de nuit, seront interdites aux filles ! Le boulot réservé aux seuls hommes…Ils n’auront qu’à se débrouiller entre-eux, comme des grands. Mais attention aux mineurs les homos ! Arrête ton délire, c’est sale ! Les postérieurs ne sont pas physiologiquement faits pour ça ! Le monde et sa morale, ses libertés, ici et là, sont en délire, et souvent opposés d’un pays à l’autre.
Et puis zut, il y a partout du savon ! Qu’on leur apprenne l’onanisme et d’en user en solitaires ! Par prophylaxie sociale et prévention ! Ce avant d’aller couiner au boulot ou de sortir pour voir ou perturber les gens ! Avant de citer des acteurs, des metteurs en scène, des artistes célèbres ou des ministres, en fonction ! Mais, les responsables des excès, des délits, doivent rendre compte, partout, quels qu’ils soient ! Sont-ce des indications médiales ? Je ne pense pas. Il faut inventer un logiciel, une application, un refuge, une conduite, une éthique, un prix, pour revisiter ces positionnements-là !Trumpologie en retour
Que faire pour le désamorcer, le shintoïque de Corée ? Je sais que d’ici là, il fera la Chaêbana et qu’il allumera une fusée et un cigare en se passant la main sur sa houppe de cheveux noirs ! Cliché ! Avec un sentiment succulent de satisfaction et de suffisance, Trump se trempe les cinq doigts de sa large la main droite dans sa toison capillaire blanco-blondasse, gonflée on ne sait comment.
On verra pour les barbus de l’Iran. Les autres arabo-musulmans, les Islamopathes*, comme les palestiniens, ils sont défaits, quels que soient leurs chefs et leurs griefs, depuis des civilisations ! Je n’en parle pas, je ne les vois pas…Je les emmure pour ne pas les laisser déferler sur le monde ? Semble-t-il dire à Nethan ! Lequel, comme les grands, serait plongé dans des affairés de flousse, et de lucrative corruption !
Je ne les conçois pas, les Orientaux ! Comme se dirait le Mec Donald ! Sauf quand ils peuvent versent 500 milliards de dollars pour mon soutien et mes émoluments ! Ce n’est pas à la portée des premiers venus que je me déplace ! Ma Mecque, c’est moi ! Mon sourire vaut des milliards ! Ma présence, cent fois plus ! N’est-ce pas madame. Toi, ma lubie, ma Poutine, ma grande charmeuse de soviétique ? Comment va-ton Pote, depuis ? Il ne s’est pas calmé en Syrie, hein ! Il me cherche, n’est-ce pas ? Il est tenace et prétentieux, comme toi ! Mais ça ne fait rien. Sa moisson d’arabes est à saluer ! Un havre de paix pour nos fervents amis et souteneurs, les enfants de Ssion* ! Vous m’en voulez pour cette nouvelle sortie ? Un clash, une vanne lubrique ? Ce que je dis est-il faux ? Faut-il jouer aux hypocrites ? Même quand on est Le riche Président des Etats-Unis ?Synthèse symbolique
Les entreprises et les ministères ne suivent plus. Ça vous apprendra à vouloir sauver les limaces et les escargots, de votre éden, de nuit ! Au lieu de les faire bouillir comme dans les cavernes de vos ancêtres Néandertaliens !
Souriez ! Ces habits vous vont bien, mon vieux ? Achetez-en encore ? Vivez ! Dites qu’il fait beau, pour encourager les jeunes et pour leur redonner espoir dans leur vie et leur pays afin de cesser ces Hiraks impromptus ! Levez les 2 bras ! Vous pouvez tirer la langue ?
Ok ! Pas de neuro-lésion ni d’AVC ! Ce n’est pas une attaque neurologique cérébrale ! Vous êtes sauvé Papy ! Juste un Alzheimer qui débute et un paquet de névralgies ! Ah, ce sont vos nombreuses arthroses du cou ! Non ! Une simple déchirure des tendons musculaires du bras ! Les beaux ménages et les gros muscles ne tiennent plus ! Et les méninges ? C’est le principal ! Et le petit muscle ? Disparu ? Non ! Alors rien n’est fané ? A la bonne heure ! Vivez !
A suivre…Dr Idrissi My Ahmed,
Kénitra, le 15 Mars 2018