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DR IDRISSI MY AHMED,
DE LA MERCANTILISATION DES CLINIQUES PRIVEES
LETTRE PLAIDOYER OUVERTE A TOUS NOS DECIDEURS ET CADRESL’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins est une bavure.
Respectables Ministres et Conseillers de SM le ROI du MAROC
DE LA MERCANTILISATION DES CLINIQUES PRIVEES
LETTRE PLAIDOYER OUVERTE A TOUS NOS DECIDEURS ET CADRESMes compliments vont à votre constance et votre ténacité dans le combat pour développer le pays et le Peuple malgré les artefacts, les insuffisances qui nous inhibent et les dangers infiltrés et qui nous guettent.
Votre défense acharnée et jalouse continuelle de la dignité des droits des malades, de la détaxe des produits de santé, voire du corps médical, méritent cette écouté, fortement espérée de mes propos. Si vous mercantilisez les cliniques, malgré les oppositions démocratiques et que vous leur forciez la main, demain le kif, devenue thérapie licite, malgré les nos réticences, finira par anesthésier le peuple.
Voici un mot, que je vous prie d’écouter sereinement, ce après lecture d’un article de presse, où l’on parle de la ‘’cession’’ forcenée de la médecine libérale aux non-professionnels pour y placer leurs investissements. Et de ces autres où l’on parle des lobbies médicaux pharmaceutiques ! Vont-ils, ces chevaliers du bénévolat, localiser leurs milliards dans les zones sous-médicalisées ? Ou les parachuter dans les régions pauvres et autres déserts financiers ? Populisme ou simple jactance démocratique ? Vus l’aspect jurisprudentiel de l’innovation et l’effroi qu’elle jette sur les médecins. Des professionnels cultivés ou formatés de longue date par la présence de deux secteurs complémentaires et légitimes. Celui de la Santé Publique et cet autre aussi important de la Santé Libérale.
« Toute innovation est outrance » en matière musulmane de droit canonique. Mais là, vos excellences, c’est un canon inique !
Je ne suis pas chirurgien, je n’ai pas de clinique non plus et je ne compte pas en créer pour appréhender une quelconque concurrence. Je suis assez âgé et malade pour ambitionner quoi que ce soit de matériel au Maroc et ce dans n’importe quel domaine. Toutefois je ne suis pas détaché de ce que j’estime être le bien de mes confrères et de mes concitoyens, en matière de santé, de légitimité, de droits et de prérogatives pour leur avenir. Ayant débuté comme représentant des étudiants à la Corpo de Médecine, en 1965, je demeure motivé par cette médecine-là.
J’estime qu’il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins, récemment élu, qu’on lui permettre de donner librement, en temps opportun et sans contrainte suprême, son avis sur la question. Car, côté gouvernance, cette néocréation si elle devait soulager le Ministère de la Santé, eu égard à ses obligations constitutionnelles, il n’a qu’à les créer lui-même ses hôpitaux, avec des crédits extérieurs, afin de répondre aux besoins et à la couverture sanitaire de ses ressortissants. Amen !
Une révolution bouleversante des habitudes et des prérogatives des médecins, importe peu si l’on doit écraser leurs droits naturels, arguant leur appartenance à des lobbies. Foutaises ! Ces professionnels que vous avez contribué à former et que le Ministère de la Santé se doit d’en rester le meilleur avocat et le premier partenaire, pour les défendre, eux et leurs syndicats, au lieu d’haranguer les médias pour en médire et les jeter aux ordures !Et cette option et ces avis des professionnels, se doivent d’être publiquement partagés et expliqués, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, ne serait pas démocratique. Ce serait un diktat !
Elle fera le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et celles des médecins ne se seront pas prononcées ! Si les hauts Commanditaires de l’Etat, le Gouvernement, les Parlements, les Partis et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et là, plus rien ne pourra plus changer leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat néo-sanitaire, serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des passe-droits et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et les paradis terrestres, en mal de placement financiers.
On ne leur demandera point : ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent le-leur, est propre, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes grâces du Seigneur, comme coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère que l’on ternit de déficience. Suppléance ou bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ménagera le Ministère de la Santé en lui permettant indirectement de satisfaire les gens ! Peut-on lui demander d’investir plus, à ce Ministère, à ce puits sans fond, si le Gouvernement n’en a pas les moyens ? Parce qu’il a été hier, incapable de prévoir l’avenir et de saisir l’ampleur de la demande en cadres et en moyens, l’évolution des techniques et des hommes, en somme !
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est ou a été ainsi lancé aux parasites et aux colons ! Ça étonne, ce retour au protectorat, qui nous regarde de si haut et nous minore ! Les détenteurs des techniques, des sciences et de l’argent, sont sollicités afin de sauver le bon peuple, impuissant de ses maladies honteuses et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous de nos auto-anticorps ! Nous sommes vastement ouverts aux gens, même à ceux des pays les plus fermés au nôtre. Et dans notre culture, nous ne faisons point de discriminations. Bienvenus leur dit-on, l’argent n’a pas d’odeur !
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir. Pourtant, les doyens, les directeurs, les ministres ont fait ce qu’il était humainement et matériellement plausible de faire !
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) du pays ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changer d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ni pour les indigents. Mais pour le baroud ! Certes, ces investisseurs-là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petits payants iront se faire déplumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce seront eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux cliniques déjà en place. Comme ils décourageront les jeunes à faire de longues études, ils obéreront les horizons universitaires. Ils dissuaderont les jeunes médecins marocains de toutes velléités et courage pour investir dans leur secteur. Investisseurs univoques potentiels d’un domaine où ils sont sensés exceller, ils seront chassés de chez eux, par des fortunés beaucoup plus puissants et féroces ! Marginalisés, sous-estimés, repoussés du seul pays où ils pouvaient travailler avec dignité et honneur, ce Maroc qui s‘offre béatement aux autres !
Mais, qui peut en vouloir aux richissimes investisseurs, de venir sauver le pays de ses dégâts sanitaires ? Même s’ils ne viennent que pour le lucre seulement ! Cependant et dès lors, quand viendront-ils, nos aimables sauveteurs, pour suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, ces privatisables aussi, monsieur le Législateur ! N’est-ce pas ? On les attend comme des messies, là en libéraux, sur ces chantiers aussi ! Car au pays, on est vachement ouverts aux étrangers ! Et si largement encore ! On peut nous expliquer que là aussi, c’est pour la cause du Sahara que la diplomatie économique, nous oblige à de telles concessions…
S’ils restent vivaces dans tous les secteurs, les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, les réformateurs des lois, les népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là ! Me diriez-vous, quelque peu blasés, de l’avoir constaté bien avant et mieux que moi !
Nous allons vivre une autre édition du la kabbale fantasque et négative que fut la Harka du Basri et du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite ces unités de soins, et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables, leurs passe-droits, leurs népotismes et leurs concussions ! Mais, ça ne serait que des racontars ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, ces hospices, pour nous en débarrasser ? Mon idée est que le Ministère les prenne, au dirham symbolique, pour élargir les CHU, éliminer partiellement le TPA frauduleux et sauver par la même les cadres, les murs et les gens qui y travaillent ou s’y soignent, très correctement encore.
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique, par un anesthésiste de métier ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, le Réanimateur, notre admirable doyen et champion, est en train de nous mettre le masque… pour nous faire inhaler des bouffées d’oxygène salvatrices.
Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed
RESUME
A propos des cliniques, l’aventurisme des investisseurs, transparait à travers, la manière passionnée et la pugnacité de cette menace. La déontologie et la gouvernance préventive, peuvent se révéler sans efficience aucune ni garanties, face au capital étranger qui se profile derrière cette invasion.
Le danger de l’ouverture des cliniques médicales, au capital non médical, est un préjudice matériel et moral, face à l’université marocaine et aux droits indus de ses lauréats. Un forcing d’acier et des passe-droits, d’une époque concussionnaire et ostentatoire, semblent se profiler derrière cette procréation.
Non à la création d’un secteur mercantiliste dans les cliniques médicales libérales ! Puissants et féroces d’entrée, qui défendra les médecins et les malades contre les appétits exogènes ? Stop aux dérives anti citoyennes. Pour une tarification progressive transparente des actes dans tous les secteurs.
RAPPELs
Taxes de Douane et de TVA nécessitent une réforme fiscale humanitaire et une détaxe générale totale du matériel médical et des intrants pharmaceutiques, afin de stimuler les investissements en santé publique et libérale pour ménager les Caisses et les foyers en matière d’accès aux soins.
Er puis les infirmiers, les techniciens, les médecins et les spécialistes il faut en former et vite !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 05 Juillet 2014
_________________A PROPOS DES PROPOS SUR LA FEMME LANCES AU PARLEMENT PAR BENKIRANE ..
SES MOTS ON ETE DEVOYES, ET SORTIS DE LEUR CONTEXTE DU MOMENT , PAR SES ADVERSAIRES POLITIQUES, POUR EN FAIRE LA RISEE , UNE FOIS DE PLUS, AFIN D’AMUSER LA GALERIE DES LAIQUES ET DES MODERNISTES, OU PRETENDUS TELS .HENRI , UN FRANCAIS , M’A ECRIT CECI :
» J’ai toujours été du côté des femmes qui défendent leurs droits. Je suis surtout hostile aux cultures rétrogrades qui placent la femme sous la coupe du père ou du frère, puis du mari. Ces cultures, sous couvert de religions, servent l’homme, c’est à dire le mâle. » La femme n’est pas un objet qui appartient à l’homme. Dans nos banlieues de grandes villes, on voit bien que les jeunes filles d’origine maghrébine, sont « souvent » sous la coupe du père ou du frère qui les obligent à porter le voile. Parfois plus, sans parler des excisions . . . Oui, je suis du côté des féministes. Résolument. »
JE LUI AI REPONDU EN CES TERMES :
» Le sexe est une malédiction ? La liberté est une erreur ?? Nietzche aurait pu dire ces mots. Fantasmes et cultures, romances et egos, font faire aux »hormones » des déviances libertaire chez hommes. Les mâles ont peur pour leurs filles et épouses. La protection devient séquestration. Et pour sa dignité, l’homme perd en liberté .Celles de celles qu’il veut et qu’il se doit de protéger. Les interprétations et les intolérances font dire ou faire, aux uns et aux autres, l’antipode de leurs principes, de leurs idées ou de leurs actes. D’où les dérives et les extrémismes. Si le fond des choses est sincère de part et d’autre, les dérives montrent que partout les excès sont intolérables. Quand je vois ce que l’on fait subir aux jeunes aux filles les violeurs en Inde….Des monstruosités, loin des besoins, de l’amour et qui sont de vrais crimes anti humanitaires! Et ce, partout dans le monde, chez des criminels, des drogués qui perdent leur contrôle et toute morale limite, avec. Les mafieux qui exploitent les sexes et les faiblesses humaines, pauvreté et chômage en recherche d’une situation chez certaines, narcissismes, privations et orgueil poussés à l’extrême, chez leurs clients, pour les vendre, au détail, plusieurs fois par jour, véritable boucherie, à ceux qui par malchance ne sont point assouvis . Partout, mon ami HENRI, quel que soit le culte initial, la culture où ils ont été plongés, il y a des criminels qui poussent les plus sages ou les plus fragiles aux extrêmes. Et ceux-ci, pour sauvegarder les-leurs des abus des criminels du sexe, s’enfoncent dans des refuges, culturels ou cultuels, pour défendre les leurs.
PS : LES PROPOS DE ABDELILAH BENKIRANE ONT ETE MAL INTERPRETES…IL EST TOUT LOUAGES ET RESPECT A LA FEMME ET A SON ROLE PRIMORDIAL QUOIQUE PRIMAIRE , IL EST ESSENTIEL. Et ça ne veut pas dire réclusion au foyer ! Docteur My Ahmed IDRISSI »
LE TEXTE EN QUESTION :
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/50052.shtml
LA VIDEO AU PARLEMENT : considération pour la femme et son rôle sacréDR IDRISSI MY AHMED,
NOTE A SON EXCELLENCE
MONSIEUR LE PROFESSEUR EL HOUSSEINE LOUARDI,
MINISTRE DE LA SANTESujet :
L’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins.Intervention à propos de :
»La vigilance attendue du conseil de l’Ordre ».A Monsieur le Ministre
Sur un plan d’exercice démocratique et du côté de l’aspect et du respect jurisprudentiel voici un mot. Il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins soit élu, afin de lui permettre de donner librement et en temps opportun son avis sur la question !
Et ce, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, n’est pas démocratique. Elle fait le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et des médecins ne se sera pas prononcée ! Si les hauts Commanditaires, le Gouvernement, les Parlements, les hommes de peine et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et, plus rien ne pourra plus changer plus leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des diktats et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et paradis terrestres en mal de placement financiers. On ne leur dira pas ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent est le-leur, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes actions, comme des coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère, celui de notre Santé, hier si fortement déficiente. Bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ne fera pas forcer le Ministère de la Santé à faire son devoir pour soigner les gens ! Lui demander d’investir plus, il n’en a pas les moyens ! Parce qu’il a été incapable de prévoir l’avenir, hier, et de saisir l’ampleur de l’évolution.
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est lancé aux parasites et aux colons. Ça étonne ! Les détenteurs de techniques, de sciences et d’argent, sont sollicités, afin de sauver le bon peuple des maladies et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous ! Nous sommes vastement ouverts aux gens (même les plus fermés) et nous ne faisons pas de discriminations.
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir.
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changeront d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ou les indigents. Maos pour le baroud ! Certes, ces investisseurs là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petit payant iront se faire plumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce seront eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux cliniques déjà en place. Comme ils décourageront les jeunes à faire de longues études, ils obéreront les horizons universitaires. Ils dissuaderont toutes velléités, aux jeunes médecins marocains investisseurs dans leur secteur, à investir chez eux, dans le seul domaine où ils sont sensés exceller ! Dans le seul pays où ils pourront le faire, ce Maroc, qui s‘offre aux autres !
Mais, qui peut leur en vouloir, aux richissimes investisseurs, sensés venir sauver le pays de ses sanitaires dégâts ! ? Même s’ils ne seront là que pour le lucre, seulement ! Mais alors, quand viendront-ils nos aimables sauveteurs suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, eux aussi, monsieur le Législateur, n’est-ce pas ? On les attend. Nous sommes vastement ouverts !
Les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, réformateurs des lois et népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là !
Nous allons vivre une autre édition du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables et leurs passe-droits ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, pour nous en débarrasser ?
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, l’anesthésiste-réanimateur est en train de nous mettre le masque pour nous faire inhaler des buées d’oxygène, progressistes ou périmées.
Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, 20 mai 2014
Sujet :
L’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins.Intervention à propos de :
»La vigilance attendue du conseil de l’Ordre ».
Sur un plan d’exercice démocratique et du côté de l’aspect et du respect jurisprudentiel voici un mot. Il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins soit élu, afin de lui permettre de donner librement et en temps opportun son avis sur la question !
Et ce, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, n’est pas démocratique. Elle fait le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et des médecins ne se sera pas prononcée ! Si les hauts Commanditaires, le Gouvernement, les Parlements, les hommes de peine et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et, plus rien ne pourra plus changer plus leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des diktats et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et paradis terrestres en mal de placement financiers. On ne leur dira pas ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent est le-leur, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes actions, comme des coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère, celui de notre Santé, hier si fortement déficiente. Bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ne fera pas forcer le Ministère de la Santé à faire son devoir pour soigner les gens ! Lui demander d’investir plus, il n’en a pas les moyens ! Parce qu’il a été incapable de prévoir l’avenir, hier, et de saisir l’ampleur de l’évolution.
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est lancé aux parasites et aux colons. Ça étonne ! Les détenteurs de techniques, de sciences et d’argent, sont sollicités, afin de sauver le bon peuple des maladies et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous ! Nous sommes vastement ouverts aux gens (même les plus fermés) et nous ne faisons pas de discriminations.
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir.
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changeront d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ou les indigents. Maos pour le baroud ! Certes, ces investisseurs là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petit payant iront se faire plumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce sont eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux clinques déjà en place. Comme ils qui dissuaderont toute velléités des jeunes investisseurs et médecins-marocains à investir chez eux dans le seul domaine où ils sont sensés exceller ! Dans leur pays !
Mais, qui peut leur en vouloir, aux richissimes investisseurs, sensés venir sauver le pays de ses sanitaires dégâts ! ? Même s’ils ne seront là que pour le lucre, seulement ! Mais alors, quand viendront-ils nos aimables sauveteurs suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, eux aussi, monsieur le Législateur, n’est-ce pas ? On les attend. Nous sommes vastement ouverts !
Les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, réformateurs des lois et népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là !
Nous allons vivre une autre édition du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables et leurs passe-droits ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, pour nous en débarrasser ?
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, l’anesthésiste-réanimateur est en train de nous mettre le masque pour nous faire inhaler des buées d’oxygène, progressistes ou périmées. Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, 20 mai 2014
QUAND ON N’A PLUS DE RESPECT POUR SOI NI POUR SES DIRES…
PROPOS , PROUESSES CIVIQUES ET REVOLTES PHILOSOPHIQUESQuand on n’a plus de respect pour autrui ni de dignité encore, et que l’arrogance et l’offense servent aux plus rustres d’entre-nous, défiant les usurpateurs et les voleurs qui siègent, anoblis aux timons de nos devenirs…
Quand, en guise de courage, la fuite et le mensonge nous inspirent, mettant à nu les promesses, les crédos, l’amour prétendu, l’estime, la foi en l’avenir…
Quand en guise de loyauté, on use de faiblesses et de lâchetés, de traîtrises ou pire encore…
Quand, faute de qualités, on s’illustre par ses défauts et on les exhibe comme un défi, une avancée, voire comme des qualités à mimer, opportunes…
Quand, faute d’éthique, les tares épuisées, leur noblesse trop commune, on se targue de mentir pour s’amuser des défauts des plus crédules et des plus naïfs des honnêtes personnes dont on se joue…Je reste ébahi et ça me laisse perplexe !ET DIRE QUE NOUS SOMMES DES HUMAINS
PROPOS SCATOLOGIQUESDes surhommes équipés d’engins de mort, tracent sur leurs cartes militaires le destin de nos vies. La cartomancienne devine par hasard l’avenir du ministre qui la consulte. Il sort les larmes aux yeux et dans sa bouche des cris de haine. C’est dans la merde qu’on retrouve les amis. Si les meilleurs en échappent, les plus fidèles vous secourent. Là, ses frères l’ont renié et lâché ! Lynché, peut être ! Et essoré, jusqu’à lui faire sentir le besoin, de vomir de partout ses viscères et de leur chier ses vérités ! Voyance et avenir, identité et morales se lisent donc sur les omoplates, sur les cartes et dans la crotte. Que sont-ils en fait ? Des substrats alchimiques qui traversent les corps et les humeurs pour les nourrir et les garder en vie…Mais que l’on répand sur le chemin d’autrui !
Là, c’est une crotte de gecko domestique qui vient des hauteurs. Que la coprologie vienne nous aider de ses lumières ! Il vit collé au plafond et aux murs. Insectivore utile, il nous débarrasse de ce qui pique et qui vole !
Nous sommes des humains, malgré nos crottes et nos cousins fossiles. Je parle de ces lézards blancs qui collent aux murs. De petits crocodiles inoffensifs ! Issus des leurs cousins culturels des bords du Nil ! Ceux aux référentiels imbus de l’étoile rouge-vermeil, russe. Sissi, le général félon, est le cousin rouge, lui aussi, de Poutine ! Nous sommes si près de Néfertiti, de Cléopâtre, de ses amis Antoine et César et leurs conquêtes des sept cieux avec la belle alexandrine. N’avons-nous pas Juba II, le roi de la Maurétanie, auquel on fit épouser Cléopâtre Séléné ? La fille de Cléopâtre et de Marc Antoine ! Ahh ! C’est dire la parenté de cette Afrique du Nord, si désunie maintenant à cause des scories et des miasmes vicinaux. Si proche, vue d’ici, des ancêtres de Berlusconi ! Ces latins de Rome, quand ils sont arrivés à nous ramasser et nous unir, alors que nous fûmes si loin hier de ce que nous sommes aujourd’hui.
TRAÇABILITE STERCORALE
Et dire que cette crotte de reptile, a chuté de nuit des hauteurs, du plafond, pour se coller là, sur le bord de la vasque. Le siège des toilettes, le trône présidentiel, qui écoute se lamenter vos viscères et souffrir en sortant. Oui, le centre des besoins ultimes, le PC commun à toute l’humanité, qui nous fait réfléchir par delà les exigences sur ce que nous sommes. En quête de connaissances, de réflexions et de culture, allons de ce fait explorer ce que nous avons de pire. Les déchets qui sortent des ténesmes du meilleur d’entre nous. Allons pas de modestie, allons, pas de fausse pudeur, analyser les nôtres à travers ce que nous avons d’infâme ! Traçabilité stercorale par écrit ! Osons reconnaître ce que nous sommes, des cannibales, des carnassiers, qui catabolisent autrui pour se construire et qui se lâchent…dans la nature.
Ce fauteuil rampant qui vous sert de gite et de trône, bouffi d’intimes souvenirs et de spécieux combats, ce trône constipé qui reçoit de vos humeurs les plus dures repères, est un fauteuil qui ne doit rien aux urnes ! Les résidus repus de vos tables de vampires, s’étalent ou nagent. Les tributs broyés dans l’amertume, relevés de haines ou de pleurs, alors que ceux que vous mangez, ce que vous catabolisez, devaient crier de terribles colères.
Et dire que cette crotte de reptile bouge encore, en son fort intérieur, même si elle ne sent plus les malfrats, ces moustiques ineptes, qu’elle digère.
Et dire que cette crotte de reptile, un gecko pour ne pas vous apeurer…Ça vous rappelle les chiens et leurs tas d’ordures, alors que vous payez les édiles. Ces chacals, ces hyènes, ces élus qui vous pillent encore et qui vous vendent à leurs maîtres. Vassaux et acolytes, qui sévissent sur terre…Sans réparer ni soigner ce qu’ils appellent, la rue, le trottoir ou la ville.Et dire que cette crotte de reptile grouille et bouge de l’intérieur. Ses réactions de chimies admirables et de leurs complexes calculs, devraient vous interpeler !
Et dire que cette crotte de reptile remue des restes indigestes et fourmille. Entre les pétales de roses et les parfums de pollens, les odeurs orientales de jasmins…Ce sont des ailles de papillons irisées et le jade des os miniatures qui percent et qui brillent. Et ces restes de viscères indigestes, la chitine des pattes hérissées de piquants, ces épines qui remuent, se délitent là et se dilacèrent…Quel spectacle ! Aussi intense que la grandeur de l’univers, la Voie Lactée et la pleine LuneElle roule et remue de l’intérieur, forte de ses molécules indestructibles et de ses électrons immortels, indélébiles…
Et dire que cette crotte impénétrable et intense, foisonne de vies encore ! De reptiles ou d’humains, quelles différences à faire, y a-t-il ? D’animaux asservis, que religieusement l’on s’octroie aux abattoirs, de prédateurs que l’on achève en forêts ou sur les champs…Des morts nécessaires pour nous servir dans leurs douleurs inutiles ! Sévices civils, tueries citoyennes, des morts serviles, livrées cuites dans nos assiettes. Temples civiques, ce sont des boucheries assassines, mes frères ! Tiens, je délire dans ce sermon !
Alors que nous sommes tous en prison sur cette barque du Styx. Les uns nettoyeurs des autres nous nous noyons sur notre île…La Terre qui nous abrite nous voit décapiter en bourreaux affamés les êtres, dit inférieurs! Nous nageons dans la vie, habillés des cuirs et des chairs de nos proies, véritables assassins, en état constant de guerres, inégales et injustes ! Oui, nous sommes pires que ceux que nous consommons. Nous cultivons la mort en sacrifiant nos proies ! Au lieu de changer notre alimentation pour évoluer, moralement spirituellement, nous continuons chasses et élevages en montrant à nos enfants, que sur l’autel de la restauration nécessaires, les bourreaux sont supérieurs à ceux qu’ils peuvent occire. L’art de la guerre et le sport du crime sont passés par là ! Théorie, qu’il est absurde de dénoncer et que personne ne comprend ni espère !
Et dire que cette crotte impériale est du sang généreux d’illustres corsaires. Austère apatride, exhaustif adultères, prophètes des séides, un dard dans la gorge, une dague dans le dos, une flèche avide de cœur. Tuer pour se nourrir, est affaire d’humains, de lézards et de crocodiles !
Et dire que cet homme, parangon de ce qu‘il mime et qu’il veut exploiter, est un riche pourfendeur, féru de libertés. S’il pue d’orgueil et exhibe ses libertés, il vit sur le reste et des restes des vampires. Je vais vous dire de quel champion il s’agit, et de quelles fanges il veut nos débarrasser, pour mieux les remplacer…Crottes imprononçables et gadoues putrides salissent le texte, alors qu’on a à faire avec des super hommes ! Quand on parle de linge sale à laver en famille, on n’a pas besoin de nos yeux d’étrangers pour le voir !UN PRINCE MACHIAVELIQUE
Et dire que s’il n’est plus le maître de céans. Hier, il était superbe. Altier il détient de son illustre oncle la manière altière et le bagou. Le roi défunt dans sa faconde princière déjà, colonisé encore, savait dans leurs propres maux les emmerder, car de leurs propres mots, il adorait les exciter, aimait les irriter, pour les épater et les charmer afin de s’en faire admirer.
Et dire que cette vieille branche, écorce du chêne impérial, fière de ce qu’elle est, allait produire un résistant au sens fort. Une croûte en relief dans une belle peinture, une mèche rebelle sur une vieille perruque, saillant du fez rouge, notre traditionnel tarbouche ! Richissime idéologue, défenseur féru de ceux qui souffrent, intelligent et juvénile, il a un vrai cœur d’enfant…Gâté sur les bords! Réparé du cœur et des artères, on n’a qu’une vie, il veut la rendre plus brillante et utile. Mais il est encore jeune pardi, il se bat. Et cela lui permet de se battre et de combattre mieux encore.
Il ne lui faut qu’un ténor, un parrain et des armes. Il y en a chez nos ennemis ! Et, et toujours en jachère. Les indigènes y croient toujours, il leur faut un héros qui les pousse et qui les attire. Faute de prophète divin, un champion méphistophélique, un démon peut faire l’affaire. Un ponte qui les envoûte ou un tribun qui les leurre ! N’a-t-on pas vu Abdelkrim se faire un nom illustre de résistant et rester en vie ! Une aura méritée dans son exil ! La célébrité universelle ! Armé de valeurs allemandes, défiant dans son Rif d’avant le kif, deux autres puissances coloniales, ténors de la Seconde Guerre Mondiale !
Et dire que cette crotte de reptile, parangon de ce qui pue, use des restes des vampires et des succubes, pour les domestiquer…Je parle du gecko et des fourmis. Les fourmis sont des travailleuses tenaces, admirables !Et dire que cet illustre idéologue défie les rites millénaires, leurs complexes faisandés et toutes les idéologies surannées. Son propre statut en fait lui remonte comme un reflux qui l’estomaque ! Il éructe et se gargarise de ses propres mérycismes ! On devine ses états d’âme.
Et dire que cet illustre dénégateur, nihiliste, refuznik ou agitateur, est un fallacieux exilé ! Auto exilé, fuyard politique, repus de cette vie princière inutile, ce paradoxe poussé au paroxysme le déçoit, sauf qu’il est zappeur paroxystique, zélote prédicateur à l’instar de Cheikh Yassine. Electron libre en fait, il est libre de revenir chez soi ! Ou d’aller partout où la curée affairiste l’interpelle. Ce n’est pas une honte d’être riche quand on est prince de sang d’une vieille dynastie que l’on respecte ! Il est aussi un virulent et ostensible interpellateur. Apostropheur impénitent, il s’adresse au roi quand il parle aux élites ! Snipper es-politique, réformateur moderne, il se place au summum de la fatwa politicienne. Leader sans parti, il sème à tout vent, le doute scientifique et vous désamorce de vos convictions, les plus fixistes. L’invocation au changement l’excite. Dans son spleen, il en parle, quitte à aller aux charbons et à user apparemment ou en douce, de séditions élégantes et de troubles borderlines !
La valse de la fitna l’enchante et le gagne. De la révolte réformatrice, même en théorie, à la révolution, il n’y a qu’un pas ! Va-t-il le franchir ? Le chérif est un Che, sans casquette ni ostensible cigare. Il voudrait prendre l’initiative, sans trop se mouiller, tant la pudeur du fier alaouite respecte la vénérable famille alaouite, dont grassement, il hérite. Il irrite, poils au nez de la vénérable institution. Ce capital marocain identitaire, trois fois centenaire, l’attire malgré sa volontaire répulsion ! Avec en affiche Lui, SAR, comme prosélyte et réformateur. Sincèrement démocratique ou révisionniste pour son propre compte, du passé critique de ce makhzen avachi et de la complaisante ou moqueuse constitution.
Sauf que pour le moment ce ne sont que des projections poétiques et imaginaires insanes ! Il n’y a nulle puissance pour l’épauler, en se cachant derrière lui, pour le conduire le bon prince à commettre un pareil et mortel impair. Notre sémillant prince n’est ni un fanfaron ni un pro des crimes es-majestés. C’est un beau rêveur, qui charme de par son statut et qui fait rêvasser certains, de l’extérieur.
HERITAGES ET FAUX ATOUTS VICINAUX
Que croire ? L’Algérie, la France, l’Amérique ne sont ni des atouts clairs ni une belle affaire. Du moins pas mûres, ni pour lui, ni pour l’instant. Il n’a pas l’ombre d’un traître pour vouloir bouleverser son pays et provoquer une guerre civile, et ça, on peut le jurer ! Car il a pour lui cette innocence claire ! Cet homme est au courant de tant de secrets…Il est mécène de son état et amis des médias, il est bien informé ! Il a vu autour de lui des pays périr, leurs nababs tués, des peuples déconstruits, dégommés, affamés, dépassant les pires périls humanitaires ! S’il représente pour la gauche de la Gauche, pour les gauchos, une alternative ? On peut le croire, sauf que ce trublion, trop visible, ne représente pas un danger, une machette aveugle ou une aventure de cinéma ! Un facho, ringard, une obsolescence du passé, une new-wave de mercenaire, un passif dans une vitrine qui a perdu de sa dorure. Sont-ce des qualificatifs justes, réels et vrais pour étiqueter le prince rougeoyant ?
Il est fils de princes déchus et appauvris, revenus au pays après leurs études et leur exil. Exil utilisé par les milices et les résistants d’hier, par tous les partisans de l’indépendance, pour anoblir leur roi, en faire une image d’union. Passons sur les profiteurs, on n’est pas nés d’hier. Cette famille, fut une image, un emblème du pays, un phare pour l’indépendance et le combat. Un symbole, quasi déifié, qu’on voyait, femmes et enfants, sur la Lune et sur les murs.
Je me rappelle de ce muret de la cour du CE3 de l’Ecole Européenne de Bab Riafa, près du jardin public de Boujeloud. Ses rivières, ses bassins, ses poissons, ses barques, ses norias, ses ponts fleuris, ses bambous et ses arbres, ses statues, ses fontaines et ses fleurs, tels que avalisés, protégés, avec leurs voisinages palatins, par la pimpante altesse et impériale rouquine.Et dire que cet illustre reliquat des rois, devenu fil des pontes, hissés par les militants et les prédateurs, sévit à l’ombre et depuis à la lumière encore.
Que comprendre ? De quoi est mort son prince Abdou de père ? Secret de famille, secret médical ? Secret d’état ou secret d’alcôve ? Lutte pour le pouvoir ou maladie borderline pour l’époque, trop infamante pour la monarchie, ou concussion militaire. Il ne dit rien de sûr, il profère !Et dire que le divin fanfaron, à l’image par la presse servile, avilie ou ébréchée, semble ignorer nos droits au Sahara…Glamour avec l’adversaire fielleux, amalgame ou idiotie ? Quand on sait le culte du Sahara, les sacrifices matériels et humains de nos soldats. Un fondement patriotique, uniciste, tel que inculqué depuis des siècles et des décennies. Cette conviction est pour les masses fidèles, un culte, un endoctrinement et une passion. Une certitude politique, une religion, hautement intégrée et dignement cultivée par la plupart ! Connivence ou idiotie du Prince de l’avoir dans ses principes, éludée, larguée ou foirée?
Si la fanfaronnade médiatique, laisse faire les jaloux et les médisants, si l’essayiste de l’exil aidé de ses nègres ou pas, place ses milliards ailleurs, il n’est point le seul mauvais exemple. Pardi ! Beaucoup des nôtres, singeant ce qui se passe chez les têtes les plus huppées du monde ont vendu non seulement leurs bourses, mais aussi leur mental, leur nationalité et leurs âmes.. Le panthéon des dénégateurs est une partouse mondialisée, rempli d’apatrides, très sincères !
Et ne restent pour nous morfondre que les murs et les barbelés entre frères brimés et lésés.Les tyrans et les usurpateurs se sont ligués de toujours avec les maquignons et les pillards de la morale. Représentants de leurs dieux sur la terre, ils assujettissent ceux qui ploient du dos et terrassent les opposants et les repentis. Est-ce là, le message dans son Livre aux exilés de la patrie, qui sont restés marginalisés, sans moyens aucuns ou carrément démunis, mais chez eux ? Des salons actuels aux noualas de l’époque, tous les apaches indignés et les indigènes fiers d’hier, l’appréhendaient ou le savaient.
UN GEANT OLYMPIEN, DIVERGENT, NOUS INTERPELLE
Bravade existentielle du prince ? Le devoir de réserve dépassé, si la pudeur intimide et inhibe, la fierté décuple le courage et renforce.
Prométhée pour nous autres ! Il nous contemple dans son extase, pas solitaire du tout. Il nous lorgne de sa hauteur de vue olympique et de ses alentours épiques. Les nuées de nains, de singes et de pantins qui l’admirent et qui l’entourent, applaudissent. Ils vivent, ils existent, ils sont ! Ils entrent dans la scène, là, en bas, sous les cieux où il a vécu en prince et en seigneur. Il voit le champ des manœuvres, la place des combats de coqs que sont ces humains, ces acteurs qui tombent pour hisser leurs champions. Les élus des dieux, leurs sbires et leurs acolytes. On n’est pas loin des combats où les infidèles, les croisés, les titans, les animaux de la jungle, se livrent des batailles légendaires. Des épopées épiques contre des peluches fabuleuses, des ombres de sorciers, des démons sataniques ou des zombies mythiques pour le plaisir des fils de Zeus. Cinéma des dieux qui adorent les humains qui meurent pour leur complaire en jouant.PRIMOFORFAITURE
Qui a parlé d’héritage et de lignage ? Des fonctions de l’aristocratie régnante et des situations de la noblesse ? Que le premier enfant soit le roi ! Une idée, une pratique, qui l’écarte et le déçoit ! Primogéniture ? Quel barbarisme, quelle sombre et égoïste gageure ! Par dépit, le prince rouge s’assombrit et devient tout noir. Il lutte à en devenir malade ! Un jeu d’échecs cavalier, pour tenter de déloger les héritiers en place, en instillant le doute dans l’esprit des simples humains que nous fûmes. Ces sujets pervertis qu’on appelle des hommes ! Des idées curieuses et graves, des questionnements pervers ! Les règles sont des inventions humaines ! Oui, un sordide calvaire. Et toutes les constitutions, ne sont-elles pas le fait des hommes ? Ce sont eux qui écrivent doctement les règles et les obligations, pour assoir leurs profits tranquillement, assurément, pour rendre les pantins des jouets plus dociles. En confiant aux dieux terrestres leurs destinées et leurs sorts
Et dire que fatigué encore, il fait œuvre de charité et pousse les renégats, les sbires et les déçus et orphelins du système, à écrire pour lui, dit-on, un Livre. A dessiner un tableau noir, un pamphlet pour dénigrer le machin, le makhzen, le palais pas si zen. Machinations tirées au clair et anecdotes dopent le livre de banalités bues et de curiosités souvent connues à l’extérieur comme des proches. Souvenirs et crachats sur cette soupe qui l’a rendu prince et en a fait un homme ! Des pages de scènes privées ou à peine ! Rien ne filtre qui soit secret ou privé ou qui sorte de l’ordinaire ! Rien de surprenant ou de fameux qui soit encore secret et formellement relaté dans les faits dans ce film élogieux et facétieux sur ses misères princières ! Rien que des choses humaines, des plus grandes aux plus basses. Mais rien que du beau monde. Presque pas d’hommes, dans sa suite.
Par delà le Livre de l’exil, par delà les générations sultanesques, chasser du trône l’opportun, ou l’inopportun est-ce là, la devise ultime des seigneurs et des hommes ? La vue et le jugement changent selon la face du prisme où nous sommes ! Qu’on révise les textes et qu’on le déloge ! Semble-t-il suggérer aux plus proches de ses aventuriers ! Ça devient délicat et grave pour nous autres communs que de comprendre cette altière prouesse ! Les foudres vont tonner là où nous sommes. Même Jupiter devrait craindre pour ses burnes !
QUE RESTE-T-IL DES FEUILLES ?
LE CROTTIN SE RECYCLE AUSSI !Que reste-t-il des feuilles de l’arbre quand il est mort et que de son tronc l’on fait des lattes ou des allumettes ? Du feu pour brûler les buches aux cheminées ou de la cellulose pour faire des livres et des feuilles pour imprimer ce papier ?
Et dire que le crottin se recycle aussi ! Mais où se cachent nos souvenirs des mauvais jours et ces pages de voluptés ?. Et quand on vieillit où vont nos souvenirs ? Et pire, quand on meurt, avec ou sans Alzheimer, où case-t-on nos secrets ? Ceux qu’on a commis à l’insu de nous-mêmes, nos souvenirs qui n’ont pas de transcripteur ? Notre mémoire est pareille à ces feuilles d’arbres. Tout revient à la terre et chute sur son sol, pour rentrer de nouveau dans le cycle que la matière opère.
Tout le personnage, fut-il prince, ses restes futiles, ses plaisirs vains, ses ambitions, ses promesses, ses prouesses, à jamais le soldent et nous fuient. S’il reste quelque chose c’est par delà le verbe et les mots. Plus invisibles que les photons eux-mêmes et la chimie de la lumière. C’est par delà ce qu’on comprend e t par delà ce qu’on ignore qu’il faut chercher les âmes ! Et ce qu’on sera demain.
Est-ce qu’on sera demain ? L’homme, nanti ou pas, belligérants infâmes, mécènes et travailleurs, rois, princes comme manants, s’ils mangent et qu’ils chantent dans le bonheur, s’ils s’habillent bien ou voyagent loin, s’ils, cumulent spolient plus ou qu’ils volent des fortunes, dont ils oublient les origines, ou qu’ils vivent dans la maladie et le besoin, tout revient au zéro du départ. Alors, minus, papillon !
Même nos audacieux champions ne sont des hommes. Matière superbe ou frelatée, tout s’en va, tout est vain…Que reste-t-il des festins et des hauteurs, des crottes de geckos, remplis des restes de pattes de blattes? Et j’ai vu ces chiens, qui hier étaient de compagnie, venir salir ma rue de couches de bébés. Des pochettes froissées et éclatées, qu’ils subtilisent des sacs d’ordures. Des mets exotiques dont ils raffolent de leurs crémeuses diarrhées ! Comme nous des glaces au nougat et autres chocolateries.
MAIS QUE DIRE ? QUE CONCLURE ?
Et dire que le crottin, une fois apaisé, comme les feuilles des arbres se mélange à la terre dont la faune et la flore microscopiques se saisissent pour s’en nourrir et le recycler aussi ! Que reste-t-il des hommes et des princes, de leurs excès, de leurs querelles et de leurs légalités ? Que reste-t-il des champions et de leurs médailles ? Et des riches ? Des livres de comptes ? Des bibliothèques de titres immobiliers, du béton et des héritiers ? Que reste-il de leurs noms et de leurs prestiges bourgeois ? Que reste-t-il des martyrs et des tués sur ces champs d’honneur ? Des noms de stades ou des plaques de rues que l’on fera vite de changer une fois la paix rétablie !
Et que dire du bol, de la vasque qui nous entoure les fesses ? Là d’où j’ai raclé les fientes du lézard qui ne sentent rien mais qui inspirent. Que dire du bol de soupe qui tourne et qui nous sert de nef ? De berceau, et de tombe et de ferme aussi ! La Terre qui tourne sous nos pieds sans qu’on s’en détache, malgré sa très grande allure ! Il faut qu’elle tourne très vite, sinon elle tombe et si rien ne l’attire. Elle nous retient et nous attire en nous emportant dans le sillage cyclique de ses vents.
Et dire…Mais que dire cette Terre frelatée et de sa ponte ? De cette vermine qu’elle nourrit de son corps et qui grouille, en rampant sur sa carapace. Une ombre risible et nous donc ? La Terreur. La race prophétique, la race prolifique, la tribu préférée, la race évoluée qui ravage et qui tue pour manger toutes les autres ? Les guerres de toutes sortes, exodes, exils, terreurs nettoyages ethniques ! Racismes divers, xénophobies, haines, massacres et vols ! Politiques fallacieuses, tromperies de faussaires ! Où êtes-vous donc, mes tristes et déloyaux débiteurs ?
ô Terre, toi et les tiens, si superbes soient-ils ! Un caillou jeté dans l’espace froid ! A peine visible de ce Soleil éloigné mais immense, qui exulte, qui la chauffe et qui l’illumine. Afin de voir ces poux et ces puces, qui la grattent et la sucent, en lui perçant le corps !
Et que dire de ce petit reptile, qui a laissé sa crotte là, sur les toilettes, pour me faire réfléchir ? C’est un dragon miniature, un reste de sauriens dix fois plus grands que les ours et les dromadaires ! Un souvenir perspicace et pérenne, évolué et impertinent de ses ancêtres effacés, les dinosaures !
Mais que dire alors des vrais reptiles, les pervers ? Si chers à Benkirane ? Ceux qui rampent et empoissent, ceux qui empoisonnent les êtres qu’ils avalent dans la glue collante de leur traines.Pour lui, les crocodiles, ce sont point des cousins ni des repères. Que des prête-noms, des voleurs de surnom et de nomenclature. Des copies difficiles à interpréter, tant le lézard ne mange que pour vivre, jamais pour entasser ni pour grossir, comme ces ‘’humains’’ qui le pourchassent et qui polluent notre atmosphère ! Ceux-là, ils ont de grosses crottes et d’épais cuirs ! Des pachydermes difficiles à dompter. Une espèce de rapaces qui gomment ceux sur lesquels ils fusent. Rien ne repousse ni persiste après leurs razzias. Herbes vertes et bêtes inférieures disparaissent, c’est l’extinction de leurs races et de leurs espèces.
J’ai deux ou trois télés et des yeux pour regarder les hommes. Je ne retiens d’eux que le spectacle sombre des rues, où ordures et zizis me montrent où nous sommes ! Des scories où l’on peut y lire nos travers anéantis et notre destination.Nous sommes des humains, malgré nos crottes, nos dents et nos viscères. Mais surtout, parce que nous avons une âme qu’on ne peut ni tuer ni déloger. C’est pour cela que je Te prie et que j’espère en Toi.
DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 04 MAI 2014
A ALAIN ET HENRI DE VOIX-BRISES
LA PHASE DE PASSAGE :
LA BONTE ENTRE LES GENSMerci de tant de poésie
Et de psychologie appliquée
Entre pairs et partenaires
Qui s’admirent et se retrouvent
Par delà les phrases et les phases et les tirs
Et les mots-dits, entre frères…Après une franche question,
Une simple demande qui doute
Ou je vois l’exercice spontané
De la simple liberté,
Je vous offre ces pensées.Des réponses fines de clarté, entre amis,
Des excuses élégantes de gentlemen, sincères,
Il y a eu un moment, une phase très belle.Celle du pardon délicat des prélats
Des grands sages et des seigneurs
Et un moment vertueux
Sur ce parchemin…Ce forum virtuel, nôtre,
Mais bien franc et vrai,
Qui demain sera effacé.
Il n’en tient qu’au moteur,
Forumactif et ses gestionnaires.C’est le monde du rêve,
Chaleureux et futile
Qui se confronte à la raison
Du questionnement pur et dur
Mais si spontané, enfin !Et quand je vois autour de moi,
A chaque instant de la vie réelle,
Comme dans un délire cosmique
Où je me perds,
Nos destins d’hommes farfelus
Et de malades frêles ou en jachère…Des gens, curieux de leur santé
Combattants en milice,
Un faisceau de mains,
Une lanterne dans un labyrinthe,
Un flambeau dans un marathon,
Pour leurs destinées et leur avenir…Quand je vois, ces razzias
Nos crocodiles et ces prédateurs,
Défiant les pays où ils prospèrent,
Défiant nos issues et calvaires…Quand je vois nos célèbres émules,
Ces élégies, ces avatars,
Ces princes bannis, ô Sagesse,
Leurs critiques, affables par moment,
Ou hautaines, des hautes sphères…Quand je vois, leurs voluptés oubliées,
Hélant les royales splendeurs,
En saints hommes, innocents,
Vaquer à leurs universelles affaires,Puis, en artistes et amateurs,
Prophètes ou agitateurs,
Défiant la paix séculaire,
Cette grâce ingénue des innocents,
Faire la mouche du coche,
Pour les sortir de leurs lenteurs
Et oublieux sommeils millénaires,Quand je vois la rue en détresse,
L’école sur la grève,
Ses hooligans et sa presse
Ses syndicats, ses partis déchus,
Leur paresse ou leurs prouesses.Quand je vois
Ces frontières inhumaines
Où se déchirent et peinent incompris,
Nos ministres et régisseursOù sont donc nos droits
Où se terrent nos tribuns
Où sombrent nos libérateurs !Quand je vois ces méchants
Et ces menteurs et ces profiteurs
Ces parasites et ces tueurs
Qui depuis la nuit des temps
Nous aliènent sans libertés aucunes
Ou presque
Pour être reconnaissant pour certains
Ou simplement
Pour la plupart, sincères !Là, dans ce trou béant,
Cette bleue et belle Terre…
N’est-ce pas là, La Résurrection,
La Réincarnation, le Jugement ultime
Et les plus hautes peines ?N’est-ce pas là, l’Enfer ?
C’est triste pour certains !
N’est-ce pas là, le Paradis ?
C’est moins triste pour d’aucuns !Quand je vois que la cime des arbres
Qui dépassent la profondeur des abysses
Où nous sommes,
Mes amis et mes frères,
Et ces distances que nous parcourons
Blottis, épinglés, fixés,
Sur ce berceau qui tourne…Là, sous nos pieds,
Sous les chaleurs cosmiques
De ce Soleil qui flambe
Et qui regarde brillant en s’éclatant,
Notre bien petite Sphère…Quand je vois avec mépris ou envie,
Mes atomes volés, ignares et vides,
Je reste apeuré, étonné, avide
De ce qui passe là-haut.Là haut quand il fait beau,
Là, suivez mon index de guide,
Par delà le cosmos et ses nuées d’étoiles
Avec leurs tornades d’énigmes.Le temps, la création, l’inconnu,
L’ignorance, m’interpellent et me noient.
Je ne suis rien,
Je ne suis personne.
Je me rends au vide !Ce qui fait que je pardonne,
Et que je me remets en question,
Avec mes doutes et mes troubles
A chaque instant, à chaque mot,
A chaque sens, à toute sensation,
Ayant le sentiment d’une particule,
Celui d’un caveau futur
Où le robot ne sent plus rien.A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois donc rien
De ce qui me façonne,
Ni ce qui me fait agir et tourner
Sur ce monde et ses mystères
Dans cet immense univers
Où je ne suis que matière…A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois rien de ce qui me façonne
Comme bien, à part entière,
Ce ça, ce rien ne m’apparient guère,
Ce masque, ces vêtements, cette chair
Comme ce moi, ces relents de l’égo,
Ce moi-même, ma personne,
Je pardonne à autrui…A cet autrui factice
Et ses actes futiles,
Cet acteur gratuit qui s’ignore,
A ses extrêmes fâcheux,
Que j’endureComme les images d’un film
Comique, gai ou terrible
Avec ses revers tragiques
Ou ses instants de bonheur
Qui fusent à regret
Ou dans l’amertume…Je passe par-delà le ton usité
Et l’erreur bonnement induite,
La question innocente et frêle
Ou la judicieuse curiosité.Je préfère l’oubli au souvenir,
Le renforcement de cet Autrui,
Mon Frère, auquel je pardonne.
Autant qu’à ma personne
S’il y consent, sincère !Je me préfère, ainsi !
Chassant le mépris et la haine
Chantant l’instant et buvant la vie
Comme autant de germes,
Dans les deux sens que nous sommes !La vie, en phase avec le cosmos
Et à l’intérieur de moi-même !Je ne garde comme chaleur
Que le doux du fruit qui passe,
Laissant cet arôme sur la langue,
Le miel sacré de l’indulgence,
L’arbre de la charité : L’amitié.L’amitié, c’est elle
Ma religion et mes vœux.
C’est à elle, les liens sacrés,
Que je noue avec vous et tisse
Pour tolérer et aimer,
Par dessus les contraintes et les vices
Les vertus, qui ont fait et incarné
Hommes et femmes !Elle seule, l’Amitié,
Elle seule, la Bonté
Elle seule, la Femme,
Lui seul, l’homme !
Barrez la mention inutile,
Si vous en doutez…Elles seules,
Me valent tous les rites,
Les piétés diverses ou inutiles
Dans la simple splendeur
Des mets délicats et de la nudité !J’ai osé déshabiller ainsi
La franchise, la liberté et la dignité
Si vitale et si naturelles pour la personneCes actes de compréhension et de sollicitude,
Ces richissimes actes, ces sublimes prouesses,
Ces extrêmes exploits de l’insecte humain,Cette fleur aux parfums
De sainteté, est la Bonté,
Mes frères et mes sœurs
HumainsDR IDRISSI MY AHMED
KENITRA 13 04 2014
DEFENSE ET ILLUSTRATION DE M. SALADIN MEZOUAR. DETENTE SEMANTIQUE POLEMIQUE
‘’Pratiques élégantes et enseignements de la politesse : la diplomatie, une école de respect ’’
EXTRAIT DU ‘’MANUEL’’ AFFABLE’ D’UN PRESIDENT ‘’NORMAL’’, HADJ HOLLANDE DE FRANCE :
1-Changer de ‘’partenaires’’ le plus souvent, en gardant un faible pour les plus fortes de caractère. Huum ! Quitte à les reprendre, la Royale en tête. Remembrer son harem élyséen en vue d’une plus belle entente.
2-Changer de ton et de chef d’orchestre, le Premier de Maquignon en cas de ratés et renvoyer le héros disgracié, l’Ayrault, à sa Nantes…pour plus de rentes.
3-Opter pour le rythme des VALLS. Je parle des danses et non des pastilles de menthe.
4-Faire danser ‘’nu’’ dans la halqa du Charles De Gaule notre basketteur des affaires étrangères, Saladine Mezouar, le chef RNIste himself , d’un gouvernement ‘’ami ‘’, zaâma, c’est une honte !
On a vu sur la personne de notre ministre des Relations Extérieures, M. Mézouar, comment on déshabille les fidèles d’entre les dignes fils de la ‘’partenaire facile’’, ‘’La’’ Maroc, avant qu’ils ne pénètrent au sein de la douce France…A mini-stre serein, maxi stress en colère !D’ABORD UNE QUESTION LOGIQUE :
Que pouvait cacher le ministre Mézouar en allant chez les ultimes Gaulois ? Dans ses poches, dans ses basques ou sous son slip ? Une arme de destruction massive par trop proéminente, une cigarette roulée dans le kif, des diams ou quelques malheureux euros ?Si j’étais à la place de notre Ministre des Relations Extrêmes ou de Jamal Desbouses, qui ont subi la même plaisanterie, la même épreuve, cette sorte de bizutage de carabins, j’aurais opté pour l’une des conduites suivantes, voire pour elles toutes. Debbouze Jamal en piquera une pour sortir une de vannes, à moins que notre princier maroquin, Gad Elmaleh, n’en fasse l’une de ses ‘’coquinades*’’ sémites et bien salées au goût des marrakchis !
Une mesure de rétorsion. Ou de retro torsion ? Entrer ‘’nu’’ à Paris ! Un ministre nu, c’est adorable à voir gigoter sur les Champs Elysées ! Un homme peinturluré comme des Femen, c’est d’un chic parfumé pour la ville lumière, l’avenue de la Paix, le Moulin Rouge, la Comédie Française, le Panthéon, empalé sur la Colonne Vendôme, l’Obélisque ou la Tour Effel, face au Sénat ou au Père Lachaise. C’est la reconnaissance internationale, l’Arc de Triomphe, l’Oscar du Nobel, la célébrité mondiale. Ou directement la psychiatrie, jusqu’à ce que ‘’maure’’ s’en suive !
Et je leur laisserais mes hardes et mes fringues dans le caniveau de déshabillage. En cadeau mes babouches et mes chaussettes sur la ‘’banquise’’ qui leur sert de cœur ! Parce que ça doit sentir des pieds les Sudistes, après un si long voyage. Surtout qu’il venait juste, le Ministre, de serrer la patte du beau brun, notre ami Barak Obama. Cette mesure de prophylaxie, propre au Charles De Gaule est nécessaire pour chasser les mouches du tarmac. Elle permettra de dissuader les touristes malvenus, ceux aux identités remarquables, les mulâtres et les noirs d’Afrique. Comme elle devra instruire ceux d’Orient. Ces péteurs de pétrodollars, qui n’ont rien à foutre auprès des humaines et des blondes des pays démocratiques, modernes et civilisés.
Une riposte aussi et un mea culpa. Démissionner pour ce Ministre, obligé au dénuement devant les voyeuristes, s’auto éjecter du Ministère des Affaires ‘’Etranges’’ ! Du Gouvernement marocain et du Parti RNI par la même ! Car si un ponte de ces mensurations-là, s’il n’est pas capable de traverser les frontières, avec respect et dignement, c’est qu’il n’a ni couverture diplomatique, ni amis importants, ni c..illes ouailles! Mais aussi par compassion et solidarité, faire démissionner en bloc le Gouvernement RNI-PJD de notre pieux Benkirane. A moins qu’une fatwa ne vienne demander aux ministres marocains d’aller en France, vêtus dans leur simple appareil ! Nus, dorénavant, afin d’éviter les fouilles inélégantes et intempestives ! Ils porteront serti, un anuscope enserré au rectum pour vérifier si leur colon ne contient ni devises, ni poudre, ni dynamite.
Déchirer le passeport et ses visas schenguinolents et vaseux, tout comme cette corvée des empreintes et des coulisses aux consulats ! Comme si nos pays ne pouvaient pas se communiquer nos estampilles digitales, au besoin des polices internationales ! Zut ! Que fait notre Intérieur pour nous faire respecter à l’extérieur ?
Rester chez soi, faire la queue, tout seul ! Rigoler seul pour Jamal, parce que ça ne sert à rien de faire rigoler les reliques des Gaulois qui vous rendent mal vos ‘’sorties’’ et vos entrées sur leur, votre devenu territoire et patrie natale ! Ça ne sert à rien, non plus, que ces épousailles françaises avec une journaliste célèbre et mère de son enfant. Et la nationalité acquise à coup de zizi par un Zarabe, ça compte pour du Beur ! Ça se comprend enfin, c’est une nationalité, d’emprunt, une couverture, un masque, une guenille !
Ou, pour le Ministre Saladin Mézouar, revenir aux basques des Séides pour les embrasser. Ça les réconforte, ça les rend forts. Leur cirer les pompes aux pontes qu’il est allé voir, afin de péleriner en toute quiétude aux hauts lieux civilisés, où il aurait était invité et bien reçu ! Certes, non, c’est difficile!
Ou se recycler à cause de cet échec correctif cuisant ! Retourner au basquet, son sport favori de l’époque, afin de ‘’se marquer’’ d’autres paniers aussi époustouflants qu’incongrus. D’autres buts que la niaiserie politique, qu’il défend si mal, en se laissant palper et peloter à la douane policée de Paris ! Pas assez policée ni polie, en fait ! Fête ou défaite ? Réputation surfaite pour les doux agneaux que nous sommes ! Devant les vaches ! Car le dol ou la honte est nationale. De qui perdre son étoile verte ou ses couleurs rouges en casser sa hampe au drapeau devenu soudain fané !
Marquer cette journée d’un drapeau noir alors ! Comme ce témoin que l’on érige sur les ‘’plages interdites’’ ou dangereuses ! Preuve des mauvaises vagues inattendues ? à venir, d’un tsunami sentimental prévu. Voire comment célébrer cette date infamante comme journée internationale de la dignité. Une façon de graver de hontes notre histoire. Et de dénoncer la face hypocrite et mal cachée de cet irrespect organique envers les bougnoules et du manque de diplomatie envers la pute, pardon, la ‘’respectueuse attitrée’’ qu’on est obligé de défendre ! Comprendre, interdire pernicieusement l’accès de ses fils à leur matrice culturelle !
Pour des maîtres es-diplomatie, nos enseignants francophones, nos parangons, ceux des Relations Extérieures ou mieux des affaires étrangères, (très étrangères), c’est la fin du cycle francophile. Le repoussoir est arrivé à la fin de sa vis d’Archimède. A la fin de sa vie ou à son vice de forme ! Trop c’est trop !
Défendre son ministre, c’est aussi défendre sa propre fierté, devant ces excès et face aux erreurs, des dits-premiers-partenaires et grands amis ostensibles du Maroc. Mais le petit peuple, lui, est sujet aux exactions régulières. Et c’est un fait d’inégalité et de xénophobie, qui rappellent sans hypocrisie une autre époque. Ce qui met en doute toute la littérature et tout le blabla qui enjolivent nos relations. Des relations intimes, fidèles et étroites, de dépendances multiples et de promiscuité, entachées malheureusement de manques d’égards manifestes. La preuve est sortie de la bouche de cet ambassadeur onusien …Passons.
Comme le cœur, la vessie est pleine. Pleine d’assentiments au point d’éclabousser malgré la prostate les murs de la honte, ceux du silence, celui des lamentations et du Web, la coupe est pleine. Ras le bol, le passeport diplomatique est un leurre, une foutaise bien établie. C’est de la scatologie diplopique !
Il vaut mieux rester chez soi, loin de la police et des douanes, même des nôtres. Elles, qui reçoivent complaisantes et hospitalières, sans visa, sans chicaner, toutes les minois du Nord, riches ou me..diques mesquins, sans racisme, sans ostentations ni suspicions maladives. Sans enfreindre aux lois de la bienséance et sans atteintes aux droits de l’homme.
Demain, il faudra donc un régime spécial à l’endroit de nos hôtes de France, de Hollande et de Navarre ! Déshabiller les ministres et les politicards, à leurs entrées comme à leur sorties. Ça s’appelle en diplomatie, rendre la politesse par la pareille. Et alors, un gentil ministre, en porte parole officiel ou en catimini, pourra toujours crier sur les journaux et embuer le Net : ‘’ Merci de nous excuser, pour cette nécessité sécuritaire vitale, empreinte de déférence, mais hélas applicable démocratiquement à tous nos illustres visiteurs ’’. A la manière de Fabius ou des fables de La Fontaine.
On reçoit ces jours-ci le Secrétaire d’Etat américain, alias Ministre des Affaires Etrangères des States. Que faire et quel rite observer, sur quel rythme nudiste danser avec ce John Kerry ? Quand on pense, Sahara oblige, à ses cousins pro-Polisàriens et à leurs effervescences lobbyistes et ennemies de notre entité et cause première, ce sera la valse Kerry ? La Walkyrie ? Le déshabiller, notre super hôte, lui chercher des poux‘’ dans’’ la tête, des morpions, parce qu’il est descendu chez la sœur Algérie ?
Non, non France, que tu soies ‘’ gauche’’ ou plus adroite, corrige ton français ! Parce que si c’est notre langue d’ouverture et d’échanges, de sciences et de diplomatie, elle restera celle de politesse aussi ! Et c’est ça la francophonie, une civilisation !
Dr IDRISSI My Ahmed, le 1er Avril 2014
MISCELLANÉES RAMADANESQUES, PENSÉES ET RUMEURS
EXTRAIT DE CARNET DE NOTES :
LES CALCINES DU CAIRE
Les calcinés du Caire fument encore, celui-ci garde encore ses lunettes sur le nez. Sa barbe n’a pas flambé. Cet autre s’agrippe à la barre, autre croix du Christ qui doit encore pleurer ! Brûlés pour avoir manifesté pour leurs droits légitimes et leur foi en la démocratie. Râ brûle au lieu d’éclairer le Nil. Pharaon est effaré qu’on ait négligé les urnes. Oum Kaltoum, Abdelwahab, Farid, Asmahane et Abdelhalim, doivent se morfondre dans leurs tombes et vouloir changer de nationalité.
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Animaux que nous sommes, oiseaux de proie, bêtes de somme, dites, combien d’heures, combien de journées nous reste-t-il avant que la « panne », la vague finale, à jamais, ne nous emporte ? Si ce n’est pas la fin du monde, serait-ce celle de l’homme, de par les mains l’homme ?
PLAISIRS HÉDONISTES, HOMO HEDONICUS
1- EXISTER
Vous avez un moment pour regarder par la fenêtre et puis disparaître ! Fin de match, le sifflet, avant le son du cor, l’olifant céleste ! C’est un ordre, une loi ! Et votre conscience vous en fait souffrir. Mais, c’est le sort de la vie et sur terre, des vivants ! Le destin incontournable, le sort des animaux, en particulier celui des humains.
Dès lors pourquoi tant d’empressements, d’arrogance de haine et de mépris, entre les primates que nous sommes ? Quand on sait la galaxie immense de ses milliards de soleils et de planètes, et que les plus forts des reptiles, les sauriens vécurent bien avant nous. Qu’a-t-on de plus qu’eux, la langue, une conscience plus aigues ? Des découvertes, des conquêtes, la science, la culture, le goût des plaisirs, le sens de la religion ?
Et puis après ? Tout passe et nous sommes des vétilles, labiles. Sauf qu’il y a tant à faire et tants de choses auxquelles on tient. ‘’A peine montée dans le car, le préposé me dit qu’il faut descendre ‘’dit souvent Khity. Ok, pour le stage, le périple, mais où est donc la vie ?
Son sens ? Il y a tant de choses à voir et à connaître, à avoir et qu’on veut posséder, que c’est pour toujours qu’on veut rester. Ici ! Sauf que c’est très court et que même s’il y a l’amour, parfois, il y a la vieillesse et les maladies, la richesse ou le dénuement. Tenir à la vie, ça dépend pour quelles gens, où et à quels moments. La tristesse de dégager, reste le plus gros problème. Y penser constamment vous rend fou !
Alors on s’invente une âme, un esprit et un dieu, au point de lui parler, sans le percevoir. Certains y arrivent, d’autres encore pas ! Et la religion, parallèlement à son côté moral et civisme, apporte le programme, avec la certitude de sa réalisation. Tant mieux pour les fidèles et les croyants. Pour les autres, quelle tristesse que ce néant imparable, ne justifie pas assez l’amour de la vie! L’utilité de la vie… Mais, passons !2-POUR JOUIR
Pour les musulmans dans cette première proposition de la sentence du prophète, à propos des conduites : ‘’ Fais pour ce monde comme si tu devais vivre éternellement… Une permissivité qui laisse songeur. Mais elle est vite tempérée par la suivante qui la complète.
‘’Deuxième partie de la citation du prophète Mohammad ‘’ Et pour l’Au-delà, fais comme si tu allais mourir demain’’. La boucle est close. C’est le paradoxe du juste milieu, de la philosophie et de la conduite sensées être pragmatique des musulmans. Un juste milieu, un frein contre les extrémismes et les dérives fanatiques de toutes sortes.
Dans le sens pratique. La veille, en attendant la rature, le dégommage, faut-il éviter les excès, les friandises de toutes sortes, les plaisirs et les joies ? Ou au contraire en profiter, en consommer, en abuser, larga manu, plus qu’à satiété ? Leurs suppressions, leurs fins, sans être au bout de la corde, ternissent nos jours et nous dépriment sans fin ! La suspension, la cessation de cette drogue que sont les plaisirs des sens, assombrit le bonheur qui va avec. Et c’est le stress consécutif et la dépression mortelle qui s’ensuit. La psychose, l’hystérie ! L’addiction, les habitudes contrites, qui peuvent augmenter les peines, la tristesse et le désarroi. Ne serait-ce que du fait de leurs simples retards ou de leurs arrêts momentanés ! Un seul plaisir vous manque est toute la vie est à condamner ! Non pas mourir de plaisir, mais mourir par manque de plaisirs !
Est-ce un sport psychique dès lors, que de délaisser ces agréments hédonistiques, ces agréments et ces bonheurs ? Ce confort, quand il existe ! Ces plaisirs, auxquels on se livre par culture ou par instinct et sans relâche, afin de ne pas cultiver les peines ni s’en soucier le jour de leur perte !
Faut-il s’appliquer une cure préventive ? S’auto-recommander un processus préventif d’évitement des joies ? Aux fins de s’éviter tout risque d’échec dans la recherche du bonheur ! Les délaisser le bonheur avant que ne nous fuient les joies ? De peur de laisser impromptus, les plaisirs nous manquer. Une précaution, automutilation masochiste ! Autocensure pour s’éviter les peines et les tristesses qu’occasionne le déplaisir. Ne rien avoir pour ne rien regretter? Las, la philosophie du dénuement, n’est pas marocaine ! Un gourou hindou nous y conseillerait en nous guidant avec plus de professionnalisme ! Des racontars ! Mais heureusement Épicure convole dans le juste contraire ! Mais pas pour beaucoup ni pour toujours pour cette minorité !3-ERRER OU BÂTIR
Les majdoubs* et les heddaouis*, ne font plus d’adeptes, quoique nos rues soient pleines de déments armés et d’autres errantes personnes plus pacifiques. Des SDF, les fous sont largués sur les villes ! Pour les désorienter encore plus qu’ils ne le sont dans l’esprit et les dévitaliser de toute humanité. Faute de place dans les hospices, faute de soins et de suivis, faute d’humanité en fait ! Faute d’encadrement et de réhabilitation, faute de gîtes, faute de politique psychiatrique en fait. On s’occupe des pauvres économiques, depuis SM Mohammed VI et de son chantier de règne. L’INDH est là pour sauver ceux qui sont à la limite de l’exclusion, sur les marges de la pauvreté, par le travail péri-associatif, dans divers secteurs, de l’artisanat de l’agriculture ou de la pêche, autour des coopératives ! Pourquoi pas ne s’occupe-t-on point des fous ? Et des ères !
S’ILS N’ONT PERSONNE POUR LES DÉFENDRE ?
Ceux qui ne peuvent rester adaptés à la vie sociale. On s’occupe bien des aveugles, pourquoi pas de ceux et celles, qui ont une cécité cérébrale ? Les victimes qui ont flippé du fait de leurs échecs dans la vie. Ceux repus de drogues et en manque ou ceux qui, saturés de problèmes, deviennent désadaptés à la société ! Étrangers à la famille, aux familles fragiles, qui repoussent ces ‘’déments’’. Des fous et des désaxés, partiels ou temporaires, il y en a partout. Ils réagissent en plaçant leur cerveau, au repos. Et leur intelligence dans les poubelles ou au frigo ! Trop trash ! Là, où ils cherchent pitance pour s’alimenter aux yeux de tous. Chez nous, c’est frappant. ô musulmans que nous sommes ? Et même traumatisant pour les croyants, car où est passé l’Islam ? Avons-nous un cœur, une conscience, une quelconque dignité ? Adieu civisme, adieu les religions, adieu socialisme, adieu humanité. Ceux qui doivent vous sauver sont absents, occupés, aveugles et sourds.
REVENONS AUX AMOURS
Aimer, c’est tenir à quelque chose qu’on apprécie. Par prophylaxie, apprendre à se détacher du mal des choses et de celui des hormones ! Par prévention, éviter d’aimer pour ne pas être choqués par les pertes d’amour et les déchéances de celui-ci ! J’ai entendu cela d’un patient, fort misogyne. C’est encore théorique. Car qui pourrait contenir les maladies d’amour, la perte de ses sentiments, de ses biens, de son argent et sa fortune ? Peu peuvent relativiser les décrépitudes physiques et les admettre de bonne foi ! Ainsi en est-il des maladies nerveuses consécutives aux pertes de la motricité et des organes des sens, l en va de même de l’angoisse, des délires et des colères, les peurs et les haines, tiennent les records . Tiens, c’est un sermon de prêtre-là !
C’est probablement une variante de sadomasochisme, conjuguée à la première personne ! Une auto flagellation, que je vous relate ici. Une punition préventive, autodidactique, qui immunise contre des méfaits plus graves. Ceux que les circonstances inattendues apportent. Qui sait si ça vous prendre, vous convaincre et vous intéresser. Il faudra mettre ça sur papier et essayer ! Chiche, on commence par vous ! Cessez d’aimer ! Apprenez à vous délester de vos biens et de vos réactions, égoïstes ou brutales, afin de garder le self contrôle, en ne s’attachant qu’à ce qui essentiel. Et avec le doute que rien n’est sûr ni constant ! Ne vous attachez à rien pour des lendemains radieux ! Rien pour l’avenir, rien pour les enfants ? Rien pour soi, non plus !? De pareilles écoles existent, même si ça vous effraie ! Inscrivez-vous chez le plus proche gourou !
FOURMI AILÉE OU MOUCHERON ?
1- LE DÉFI DE LA VIE
Sais-tu que le petit moucheron, fourmi ailée qu’il était, qui voletait au raz de la table de salle à manger, en ce ramadan cet été, s’est posé sur mon poignet. Ce Moucheron-fourmi qui me prend pour un aérodrome, a fini par se poser sur le toit de la tour. La salière dont il a rapidement sondé les trous pour s’envoler et reprendre pied sur une fleur. Ils étaient ainsi trois ou quatre, d’un genre que je n’ai jamais vu auparavant.
Sait-il, ce miracle de la nature ailé, d’où qu’il provient et où il va aller ? De quoi il est fait et ce qu’il sera demain? Que ses ailes minuscules et cendrées deviendront d’infimes poussières. Avalée par un prédateur, un gecko, l’un de nos crocodiles et autres démons, ou écrasés comme ces mouches d’Irak, ces cafards du Nord ou de Libye, ces frelons de Syrie et ces scarabées d’Egypte ?
Tous les cancrelats, riches ou pauvres, des plus puissants aux plus nantis, extrémistes ou laïques, seront recyclées dans la terre par les plantes et les micro-éléments. Espoir ou vengeance des pauvres ou des démunis, des analphabètes comme de ceux qui ont la science infuse, qu’ils ne partagent pas en toute démocraties ! Comme qui dirait que les cycles de la nature, ces mécaniques vitales, d’assimilation, de biochimie et de physique, dont nous sortons et dont vous vivons, les uns des autres, nous rendent quasiment égalitaires et démocratiques. Néanmoins, il y a de petites proies et de grosses bêtes.
Sait-il cet autre moucheron, de 1 millimètre au plus, avec sa cervelle supposée et ses viscères nécessaires, ses quêtes de satisfactions multiples et de vie, d’instinct ou mécaniques ? Sait-il où il va quand il vole autour de moi ? Et notre fourmi ailée, que sait-elle de ses organes et ses cellules, de ses atomes et ses molécules, lesquels si fragiles n’ont jamais été à elle ou à lui ? (Parabole ou parallèle pour parler de nous). Sait-il donc, que ce sont de gros systèmes, analogues aux constellations ! Comme les galaxies du cosmos qui peuplent l’espace. Sait-il qu’il contient des analogues des sphères célestes et des étoiles, de l’univers, en plus petit ? Avec ses électrons qui tournent, relativement de loin et qui gravitent très vite autour de leurs noyaux, dans ses atomes, ses molécules, ses cellules, ses tissus, ses organes ! Certes, non !
Il sait peu, par rapport à ce qu’il ignore, comme vous et moi ! Tels ces hommes du palais, les conseillers de toutes les cours des émirs, les empereurs enrichis des hautes sphères, les anges et les démons des légendes et des mythes. Et ceux qui le croient pour de vrai ! Les amis des présidents et des émirs, les gros banquiers, les multinationales qui sont les vrais rois ! Avec plein de stress existentiels et dynastiques, en moins !
2- PS
Sans rien ajouter en corrigeant cette note. J’ai écris ceci avant l’éclatement du David-Galvangate. Cet espagnol de nationalité, espion irakien exfiltré, est un pédophile qui a sévi à Kénitra en abusant 11 jeunes enfants de 2 à 14 ans. Il fut condamné à 30 ans de prison. Sa grâce, parmi celles de 48 espagnols, s’est produite après une belle visite de Juan Carlos au Maroc. Cette relaxe a choqué le monde et surtout indigné les Marocains.
Galvanisés, ils ont manifesté malgré le reflexe pathétique des gourdins.
Cet incident sur une affaire immonde a montré au bon Roi qu’on abuse de Sa confiance, autour de Lui ! Les Partis étant restés muets, il faut le rappeler, ainsi que le Gouvernement Benkirane du PJD, qui était aux abonnés absents, occupé à se refaire avec le RNI, depuis la défection chabatique de l’Istiqlal. Le fera-t-il ou démissionnera-t-il pour provoquer d’autres élections qui consolideront les Frères, toutes tendances confondues, et qui fragiliseront le Maroc qui tente de percer, de surnager, malgré les crises mondiales qui l’entourent de leurs ruades et les adversités malveillantes et contraires…CULTURE DE L’IGNORANCE ET INFLUENCE SUR LES DESTINS
L’IGNORANCE
On sait peu et comme dit l’autre « On nous cache tout ! « Que sait on des forces qui régissent l’univers, son devenir et le nôtre ? Hein ? Sont-ce des délires quand on sait ce que représentent le moucheron et nous-mêmes ? Des idées, des questions qui dépassent nos têtes et pour lesquelles, vous avez vu juste, on n’y peut rien ! Alors pourquoi en parler ici ou ailleurs ? Pourquoi stresser avec ce qui est inutile, vous et moi ?
Ces questions et leurs impossibles réponses, dans le réel, présentement, ou dans notre future, dépasseront toujours notre condition d’humains d’insectes ou de mammifères ! Et notre entendement. Mais à quoi servent les chercheurs s’ils n’explorent pas l’univers en nous apportant, en vous apportant dans le futur, moins de doutes, plus de sérénité et d’explications. De quoi rejoindre les dires des sages et des prophètes, les illuminations des penseurs, des inventeurs ou des créateurs de fictions!
Phrase, expression démocratique pour n’évacuer personne. Pour pouvoir entendre librement toutes les idées critiques. Même celles des délirants et des illuminés, des extrémistes de tous les bords, en incluant pour le sport didactique, les paroles acides des nihilistes anonymes et des détracteurs invétérés.
Sauf celles des jeteurs de sorts ! Ces odieux disciples de Satan qui polluent les murs, les marches, les portes de leurs maléfices, mais aussi les tribunes et les rues de leurs imprécations !Es-maîtres des traîtrises et des félonies, perfides sorcières, ignobles manipulateurs et abjects persifleurs, ils se sont alliés au Diable, leur père, pour trahir et piéger les humains. Nous en avons vu de ces impeccables généraux et autres sémillants leaders ! Leurs rejetons excrémentiels polluent nos jours, nos villes et nos vies. Faites un tour dans votre quartier et regardez le laisser-aller. Aucune marque d’ignorance ou de paresse, aucune bavure, pas de turpitudes, ni de corruption ou de partialité ! Hum ! Juste le contraire partout dans nos pays ! Rien que des immondices. Ça c’est le bien commun, la cité, la bourgade et les citoyens.
Sur le plan des idées et des faits, c’est plus abject que ça n’en a l’air. Je parle de ceux qui polluent nos caractères, influencent nos idées, nos conduites et nous perturbent. Je parle de tous ceux qui font l’opinion, des politiciens aux journalistes, sans objectivité. De ceux qui relatent les mensonges, qui créent la rumeur, formatent ou décident… Ceux qui pire, influencent les conduites des plus grands et qui forcent les destins des gens, en agissant sur le ‘’marché des idées’’. Je parle des financiers flamboyants, oui ceux d’ici et surtout d’ailleurs. Je fais allusion aux puissants lobbies et aux multinationales. Les faiseurs d’émis et d’empereurs, les tombeurs de président. Ils font la mode, créent le besoin et façonnent les comportements, ceux des gens simples, consommateurs et électeurs. Ils dictent les peurs et les décisions à leurs agents ! Aux chefs politiques eux-mêmes et à leurs représentants ! Ils décident de notre sort, de nos droits, de nos libertés et de notre destin, en fin de parcours.
ALLONS VERS LE CIEL QUI NOUS GUETTE !
Comme des nuages donc, les électrons étoffent les noyaux et leur donnent leurs propriétés chimiques, leurs pouvoirs et leurs propriétés ! Ce à la vitesse de la lumière sans éclater ! A moins que l’homme ne les pousse pour produire cet effet.
C’est prodigieux et décourageant à la fois, admirable et faramineux. Il n’est pas nécessaire d’être un astronome ou un islamiste pour s’extasier devant le ciel. Même un athée est droit et en devoir de trouver l’univers grandiose ! Ainsi quelles que soient notre culture et ses profondeurs, quels que soient la place, le mérite, la force et la grandeur de nos supposés chefs et maîtres, l’univers qui est en face de nous nous perturbe et nous défie, nous confondant tous à rester infimes, inquiets et si faibles. Tous autant que nous sommes.
NOTRE PLACE COSMIQUE EST…
Mais c’est bon d’avoir une idée de sa démesure et de notre place de démons ou d’anges, de cochons ou de crocodiles. Qu’on soit sujets de Sa Majesté, leaders, chef des chefs ou dirigeants. Des niaiseries si vraies qu’elles ne manquent pas d’incrédules ou de sardoniques moqueurs, de caustiques satires et de sarcastique râleurs. Une aura cosmique de détracteurs? La galerie du Net qui s’amuse sur Youtube, Facebook, Twitter, aime les plaisanteries et les vannes ! Elle a ses gangs de hackers et de hooligans et de bons amateurs. Pour se protéger du mauvais œil, des printemps zombies, ils s’offrent des séances photos avec à la main ou dans les méninges, des roses, des œillets ou du jasmin. Peut-être des encens aux églises du santal dans les mosquées, espérant s’approcher les sympathies divines ? Pour protéger leurs amitiés romanesques avec le bon Dieu !
Parabole. Afin pour d’aucuns de sauvegarder leurs privilèges, de se fabriquer des comme soldats pour leurs défenses conjointes et comme des sénateurs pour se fabriquer des lois à l’instar des plus belles démocraties. Réactions de justesse, c’est humain, face à cette « plèbe » subversive, qui râle et qui menace, depuis l’époque des Romains.
Et bien avant les Latins, chez les Grecs et les Egyptiens. Oui, les militaires qui ont enfermé, on ne sait où leur Morsi de président dans une pyramide inconnue. Vont-ils le planquer dans un sarcophage ? Pour le montrer aux touristes dans 5 millénaires L’embaumer ou l’abîmer ? Le transformer en martyr ou en saint ? On a besoin de miracles à la façon dont ça tourne chez les Frères et leurs martiaux matons !
SUR LES CHAMPS DE MARS,
En passant, si la guerre civile est nette en Irak et en Syrie, et que c’est criminel de les laisser persister, on laisse ou on pousse les Égyptiens à commettre l’irréparable et à clasher* leurs civilisations, leurs arts, leur musique et leur arabité, dans la guerre civile ! On défend son opinion bec et ongle, ses droits et ses libertés, ses biens et les siens, son foyer sa patrie, mais plus que ça, la dignité des uns et des autres summums des valeurs de la personne les poussent aux exacerbations existentielles.
Les haines et les meurtres, quand il n’y a plus de concordance ni d’écoute. Conflit et guerres civile, fractures, séparatisme et sécession. Si ce n’est pas face aux voisins, qui s’infiltrent dans vos affaires et vos causes, suscitent et encadrent vos opposants, les financent et les manipulent, pour se forger le statut de ‘’partie concernée’’. En tant que quoi ? A quel titre ? Libérateur de l’Afrique ? Et pour quelle raison et ambitions ? Ce que je rejette et dénigre totalement.Alger, de partie ‘’intéressée’’ au conflit, en sait quelque chose, pour avoir conçu son avorton polisarien, avec la complicité de Kadhafi et de ses semences…financières. Elle agite depuis 40 ans son Muppet’s show, pour déstabiliser le Maroc et le morceler. La pétreuse et militariste cousine, devenue richissime égérie sous ses mâles émirs, hyper galonnés, veut par la même, socialisme de sous-développé oblige, jeter barra la monarchie anachronique. Ce régime millénaire antinomique, représente un obstacle devant sa volonté, à elle. Celle de libérer les peuples du Maghreb et d’y étendre sa pax algériana ! Vive, selon elle, la république marocaine ! A bas son ciment fossile et ses charges monarchiques ! Le roi à la mer, veulent-ils nous imposer, pour s’installer sur la côte atlantique, en suzerain prussien.
Initiées et poussés de l’extérieur, les milices sécessionnistes du Polisario, gonflées par l’endoctrinement, fanatisme, matraquage, endoctrinement importés et prosélytisme à profusion. Valeurs au goût du jour et à la mode, contagieux pour certains. Échaudés par les rêves altruistes, humanistes, démocratiques, louables espérances, on véhicule ces théories et Alger en instructeur, instille ces valeurs républicaines, volontiers chez les voisins ! Les opposants, renégats serviles, sécessionnistes, servent de mercenaires et de causes à défendre pour donner aux ambitions des maîtres tyrans, un sens existentiel ! Eux, les militaires qui ne tiennent pas appliquer ces ‘’valeurs démocratiques’’ chez eux, les premiers ! Alors on échauffe les oreilles des subversifs sahraouis. On les arme et leur donne un front. Puis une république, pour affronter comme ennemis leurs frères marocains. L’OUA éclate sous la vindicte et la corruption.
Ailleurs et de l’intérieur de leurs pays, d’immondes factions de sunnites et de chiites, entre-tuent, sans honte, pour illustrer la voie de l’islam et la grandeur arabe, les carnages insoutenables et odieux, horribles tares des guerres, qu’on ne peut accepter ni supporter ! Là, au Moyen-Orient, sous le regard amusé ou cynique de leur adversaire, atavique. Là, dans le sang, les cris, les pleurs et les explosions de dynamite, des milliers de blessés, des milliers de meurtres, des corps horriblement éclatés, dans les anciens pays du front, contre l’extension d’Israël, là chez la nation de Dieu. Allah, Allah, je suis triste et déçu de tes musulmans chéris ! Raisons : le pouvoir, les amis d’Israël qui cherchent à annihiler les menaces et à casser les moindres velléités de risques pour Israël. Pour le pétrole, certes, mais aussi pour leur primauté dans la région, face aux meneurs de l’ancien duo du bloc socialiste, là de mèche, les Chinois et les Russes ! Concurrents néanmoins des States, quoique aujourd’hui assagis, malgré la chute du mur de Berlin !
Des opportuns donc, des méchants au sens biblique ou satanique du terme, qui clachent leurs démons sur leurs avoirs et leurs gains et qui veulent les en chasser pour les déposséder, point ! Et les jaloux, ceux qui veuillent les déloger de leur privilèges indus et de les expulser, barra ! Les Privilèges sont toujours, irréguliers, indus sinon ce sont des primes qui corrompent et qui fabriquent des mercenaires. Mais ce sont des moteurs des mobiles, des arrhes et des garanties, qui asservissent les bons amis ! Qu’est-ce qu’on ne peut pas faire pour développer les richesses, starters de l’économie, afin de développer les commerce et l’industrie, conditions du progrès dans le pays. Amen
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Superstitions, malédiction ! La fin du monde arrive ! Et c’est le dire-vrai des sociétés hermétiques qui se justifie. La prophétie des et des extrémistes de tous les bords qui se vérifie ! Dépêchez-vous de croire de demander pardon et de regretter ! C’est d’abord les tsunamis et les tremblements de terre. L’eau va noyer les terres. C’est tout. La terre polluée pompée, vidée, déchiquetée, assombrie de nuages et de sangs, va avorter ses créatures. Ils l’on bien cherché!
Non ce sont vos yeux qui ternissent et votre cristallin qui s’opacifie. La Lune est encore ronde, vous pouvez lever les yeux au ciel ou y aller la vérifier ! Tiens ça fait longtemps que les astronautes n’y ont plus mis les pieds. A en croire sceptiques et les détracteurs de l’épopée américaine! Les astronautes nous ont menti ! Les péripéties racontées là-dessus ne furent que mensonges, mises en scène pour monter au monde qui si les expéditions russes de ancienne URSS ont envoyé une chienne, Laïka, les Américains eux, en labo ou de vrai ?
Eux, les êtres supérieurs qui ont sauvé l’Europe et l’Asie des deux guerres, eux les maîtres du monde actuel, avec beaucoup de dette et de crédits, y ont mis le pied dans les années 60 déjà ! Allez comprendre et vérifier ! Autant que les mythes! Les histoires fantastiques, de science fiction, de vampires, de revenants et de sorcières ! Pourtant la Lune nous ensorcelle encore. Littérature colportée qui nous inonde, façonne nos pensées, en nous berçant, dès jeunes, de mystères, de fantasmes ou de fantaisies ! Que des aimer et ma regarder encore scintiller surtout si vous êtes amoureux, plongé dans le spleen romantique ou simplement déçu !
CHAIR, OS, VISAGES ET MESSAGES
Mechidia ! Fouilles archéologiques des héritages et de la mémoire conspuée, savamment pollués par tant de conspirations. Rien que pour dégager un squelette, ça demande de l’argent et du temps.
Que dire d’une fosse commune, d’un charnier ? Qui plus est l’exhumation des idées que l’on se doit d’extirper de la gangue des manipulations, des oublis, des négations, du néga-sionisme*, des haines héritées, des clanismes divers et des guerres insatiables ? Il faut réveiller les humains du néant, de leur Alzheimer recherché qui prospère dans toutes les têtes et les cités. Les sortir des saumures de la peur, des censures organisées par les encenseurs et les partis pris ! Les libérer des prisons virtuelles ou réelles où les gens se cachent, par leurs craintes exacerbées, devenues des préceptes de morale civique et des principes de sagesse héréditaire. Des opinions stigmatisées et des vérités obviées par le pouvoir, les polices et les militaires ! Programmes enseignés, prosélytismes divers, écoles dans lesquelles ils ont été produits, modélisés, endoctrinés, nourris d’idées étanches, rigides et renfermées. Personne ne sera épargné, si on ne s’attaque pas aux idoles du passé qui nous ont formatés. Autrement, nous n’aurons à faire qu’à des extrémismes belliqueux, hermétiques et fanatisés.
Mechidia . Ce n’est ni de la fiction, ni des approximations ni des excès. Ces paramètres, ces machiavéliques manigances, ces manipulations exubérantes sont des méthodes de gestion que les pouvoirs publics, locaux ou étrangers, ont sur les gens, pour les endiguer et les guider. Sociologues et anthropologues vous le diront mieux que moi.
HÉRITAGE DES ANCÊTRES.
ÉLÉGIE DU PR BENSOUDA MOHAMED.
Il était l’un des plus jeunes et plus beaux de la promotion, , brillant professeur de chirurgie, compétent anatomiste, d’extraction bourgeoise et andalouse, pas très riche mais riche d’une haute alliance, celle d’une belle nièce, devenue princesse ! Il vient de partir pour prospecter l’Au-delà ou s’y reposer! Entre les mains de Dieu, Amen ! Ses connaissances se rappelleront de lui.
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Elle a une bosse comme sourcil, une calotte, je la vois bien ! C’est du n’importe quoi ! Instantanés, des flushs momentanés. Les étoiles peinent à sortir du déchirement et du délire pour briller malgré les épaisses nuées.
Le gris du climat est tel qu’on enterre sans visa de sortie, mais rien n’est gratuit. Est-ce qui je ne suis plus là ? Je me rends compte que je n’ai rien fait de notable, pas assez utile, rien fait qui puisse et qui puisse durer de quoi désespérer ! Est-ce que je ne suis plus là. C’est à peine si je devine que je suis encore là. Ce qui me réconforte encore malgré les soucis et les doutes ! Et que c’est de ma tombe que je vous interpelle, par anticipation.PUB POUR MME STUDENT
Lisez mes nouvelles sur Mme Student et sur le Net. C’est gratifiant et gratuit. Hélas fictif et subjectif. Mon héroïne, dans son délire mythique et mystique, ou le mien peut-être, qui dans ses chroniques différées aura fait de l’enseignement son métier. Après les affres de la politique elle part. De retour après l’Apocalypse elle fait une réapparition comme messagère divine ! Avant la Résurrection et le Jugement Dernier, un dernier recours par la grâce de Dieu. Il en a les moyens. Un retour pour réformer les vivants avant qu’il ne soit trop tard. Une prophétesse, plus une revenante pour refaire le monde et l’épurer de ses crimes et chagrins.
CYNISME ET DÉLICATESSES:
CHRONIQUES SENTIMENTALES DES VISIONS FLOUES.Ce n’est pas qu’il soit impoli le vendeur de journaux qui m’a vu et ne m’as pas salué c’est peut-être qu’il vend les salamalecs aussi ou qu’il attende comme de coutume que ce soit ceux qui arrivent qui saluent les premiers ! Culture qui incruste des normes civiles, égalitaires dans la démocratie. Et même les vieux n’ont pas de privilège quand aux bonnes us! C’est peut-être qu’il vend de bonnes nouvelles qui marchent et qu’il n’a pas besoin de marketer dans ce genre de politesse et de civilités ! Ou que depuis l’inondation du Web, il n’a plus rien à ajouter. S’il paraît gonflé, ce n’est du fait de ses propres papiers! C’est peut-être parce qu’il me respecte, comme vieux voisin ! Qui sait s’il m’aime pour m’éviter ainsi. C’est pour ne pas m’augurer de quelques mauvaises nouvelles, en ces temps de canicule, de ramadan, de grosses dépenses et de bas revenus !
MON STYLE EST PROSAÏQUE,
Certes ! Il peut être de ce fait emphatique ou ampoulé ! Je n’ai pas que des laudateurs de parmi mes confères et autres aimables inconnus rencontrés sur le Net ! Un détracteur de surnom « Elchi » sur Yabiladi, a trouvé mon »texte », » Combat des titans des leaders politiques »» écrit à propos des dernières sorties des leaders politiques, au Maroc. Son jugement péjoratif méchamment gratuit, a été posté en rajout à un écrit de Mohammed Ennaji. »
L’Ellechie de service, l’étiquette et le taxe « d’une lourdeur incroyable » ! « Il conseille au Dr Idrissi s’il est l’auteur de ce texte », signé Maidoc25, » d’aller s’auto soigner » ! Merci donc de son conseil indigeste et méchamment intéressé ! Je répondrais, offusqué mais sans médire ni insulter, car loin de là, ce n’est pas mon style, que je ne sais pas écrire comme lui ! Et que pour m’exprimer que de cette façon-ci, classique, il faut le dire, j’espère et je requière le respect et la dignité !
Je suis le résultat de mes professeurs. Voyez-vous, je n’ai pas dis »profs » tout court ! Et le sobre objet des influences, peut-être, des lectures au programme d’antan. Celles qu’ils m’avaient ordonnées et conseillées ! On ne s’invente pas, mais on peut évoluer si on nous indique, de meilleurs sens, pardi. Etant classique et d’un certain âge, donc, n’ayant pas vécu en France ni fait littérature en faculté de Paris, je n’ai pas eu l’opportunité de me faire, dans les quartiers de France, où l’on parle plus vif, parce qu’ils sont chauds ! Je manque de légèreté, c’est un fait.
Pour ce qui est de critiquer, c’est mieux d’être un professionnel, afin d’être raisonnablement écouté ! Il faut s’éviter toute colère et toute célérité, sous peine de méjuger et de médire en passant lamentablement à côté ! Pour s’imposer critique crédible et s’imposer comme nettoyeur du Net, il faut faire preuve de ces capacités ! Oui c’est une façon de dépolluer le Web en décourageant les textes les plus lourds, les remarques désobligeantes ou les textos inappropriés. Encore qu’il faille donner ses preuves, en matière de qualité propre, et apporter quelque chose de récent. Non pas à l’inverse, faire office de censeur, parasite, pour se payer le plaisir malveillant, de pouvoir médire licencieusement, en toute impunité, afin de conforter son ego de maton.
La libre expression est positive ne matière de Web. Sauf que, écrire pour moi, je le dis à son enseigne, est déjà une cure de liberté. Celle de m’exprimer librement. Et ça, je le revendique ! Cette façon de me soigner est contagieuse. Je la lui souhaite. Aussi inviterais-je sans insistance ni cynisme, le détracteur importun et inopportun, fâcheux et gratuit, ‘’à venir’’ et non point ‘’d’aller’’ se faire soigner ! Pas une ligne pour contrecarrer M. Ennaji. Aucune référence ni sur quelle ligne et par quelle phrase, j’aurais été lourd ! Les mots et les tournures, n’ont de sens que si on les lit et qu’on les mette dans leur contexte pour les comprendre et se les interpréter. N’est-ce pas ? Mon style est prosaïque ? Il peut être emphatique de ce fait ou ampoulé ! « ElleChie » n’a pas menti ! Qu’il me lise ou pas, je ne le fais pas payer et je ne veux en rien lui imposer mes idées.
ANIMAUX QUE NOUS SOMMES,
Animaux que nous sommes, oiseaux de proies, bêtes de somme. Combien d’heures, combien de journées, nous reste-t-il avant que nous emporte à jamais ? Pour toujours, et de sombrer malgré nos espoirs, pour de longs et sombres oublis ? Eviter les friandises, faire la gym, ne pas fumer, éviter les excès ! Eviter les plaisirs et le stress et vice-versa ! Les soucis et les peines et même les joies et ne doivent pas nous influencer ? Les droits, les libertés c’est pourquoi faire?
Que faire quand on ne les a pas et qu’il faille les demander. Et l’agent et le travail, qu’en dites-vous de plus ? Entre les privations et les maladies, les délires et les peurs, les sanctions et les critiques des râleurs et des protestataires, des parents, des maîtres, des clients et des fournisseurs, ne faut-il pas montrer quelques courroux ! Etre soi, un peu et défendre son ego, de droit ou à juste titre ? Que reste-il des jours grevés de souffrances et de douleurs, chez ceux qui sont partis ? Gommés, délogés, morts en gémissant ! Ou sous le coup fatidique des rancœurs, des acrimonies et des colères ? Que reste-t-il de nos heures comptées, de nos belles heures ou de nos si importantes occupations ? Des leurres ! Qui sommes-nous, pour représenter quelque chose de durable ou d’important ? Un être distinct, qu’il faille réveiller un jour, sous de meilleurs habits ? Pour lui donner des ailes brillantes et une âme éternelle, épurée !
CRAINTES ET PEURS,
La peur de tout laisser, même ce qu’on a jalousé le plus, ce qu’on a de plus cher, son corps. Soi-même, son identité, sa personne particulière, sans rien emporter avec soi et pour ne plus exister ! A moins que ce soit temporaire et que le retour soit certain pour les plus sûrs ! Crainte du retour, craintes pour le sable et les cendres, crainte d’être jugés de nouveau et pas seulement sur terre et c’est plus rigoureux et plus dur encore ! L’âme en peine sans en être si sûr!
L’âme en peine pour ceux qui ont fauté et qui sont certains des sanctions éternelles! Vous n’allez pas partir, Monsieur le Président et vous messieurs les ministres sans rendre compte ! Ne serait-ce qu’un peu, par discrétion, par pitié, par complaisance ! Au moment où tout s’en va, partir, sans demander pardon aux gens que vous avez « bouffés », engloutis ou détruits ? Ignorés ou leurrés ! Sans corriger vos erreurs, afin de ménager un peu votre âme ? Vous n’en auriez pas ? Peut-être bien, je vous crois !Sans demander pardon à l’Eternel ! Vous vous mentez, en ne craignant plus rien, vous chassez ainsi votre responsabilité! Si vous ne croyez en rien, si vous ne croyez pas avoir une âme, qui fait vivre votre esprit et votre corps, alors vous n’êtes pas comptables de vos erreurs. De rien bien sûr, ailleurs que sur terre ! Vous ne faites rien, tout s’en va, et l’instant est rare, sauf l’instant existant du moment.
BALIVERNES, POUR LA MAGIE DES MOTS,
Astuces et valses des idées, tangos des retournements, pour le pouvoir entre les factions. Droite, gauche, milieux avec leurs terribles nuances, leurs faux compromis, les compromissions égoïstes, complots! Promesses des hommes politiques, prestidigitateurs en mal d’imprécations, manœuvres des politiciens, de la justice, des votes des élections ! L’ensorcellement des enfants de chœur que nous sommes ! Dogmes universels, justice pour tous, lois, vérités, rigueur et sanctions, pour la liberté et la justice. De qui se moque-t-on ? Il ne manque que la santé et les soins, les routes dans les montagnes, et les forets, les gouffres et les déserts à ce programme pour les élections. Sauf que les doutes montent avec les faussetés et les apparences la réalité des nantis et celles des appauvris et des exclus ! La grosse masse de la terre ! Les exclus ont parfois des satellites des Infos, pour admettre la fausseté des dires, vues leur conditions. Quand on voit la faim dans le monde et les excès, des nanti, autant ailleurs que pour d’autres ici, les injustices fréquents et les inégalités, les discriminations entre les hommes, les classes et les nations, les prédations et les exploitations, des plus faibles, des affaiblis souvent.
SERMON POUR LES GRANDES NATIONS
La suite, en fait. La théorie du complot n’est pas une invention, c’est la seule certitude et la plus sordide. Qu’on regarde l’Irak décomposée, la Syrie qui se déchire, qu’on retourne en Libye, chercher le mobile et l’arme du crime ! Un mot pour la Palestine, mouton sacrifié, le cousin et le frère, sur l’autel d’Israël, en répartition des pogroms d’Europe et des crémations d’Hitler ! Injustice féroce ! Le calvaire, la croix du Christ est portée par les enfants d’Orient et leurs vieux pères ! Pour réévaluer l’histoire et le mobile, le motif, le modus operandi ! On prépare, on fabrique des guerres, entre tribus, entre états voisins et nations sœurs ! Car on ne veut pas faire cesser les haines qui rapportent à certains. Et gros sur le cœur aux autres
Je m’arrête. Vous connaissez tout ça. Mais vous ne voulez pas le reconnaître, ni le confesser ni cesser ce qui est pire de continuer à le faire. Car, vous le connaissez, mais à l’envers, à travers le prisme des différences. Dissemblances exacerbées et mises en vitesse supérieure, par les cultes étanches, l’histoire remaniée devenue dogme inébranlable et un culte de ralliement. La suprématie entretenue des identités, ça rapporte. Les cultures hermétiques et le cynisme des-apriori, avec leur moteur à échappement hypocrite, leur fuite des responsabilités, leurs défaussements, la haine, vont-elles cesser ? Les droits de l’homme, universellement chantés, la mondialisation…des mots cérémonieux, lancés avec acrimonie ! La politique étrangère est un mythe de couvent, un label de reconnaissance identitaire, la connivence d’un club, dans un congrès, une messe, dans une auberge espagnole, un refrain qui les identifie entre eux et en écarte les indésirables. Et un code qui congratule et réconforte les maîtres dans leurs hypocrites et bilatérales concurrences en les asseyant plus solidement aux commandes de leur solide et universelle suprématie. Colonisé, déraciné, comme des milliards d’êtres, j’ai parlé des puissances étrangères qui servent d’ombrelles, de parapluie et de parachute, de gendarme fortement intéressé ! « Ça l’air d’un farfadet et ça pense comme un arabe ! »
COURBES ET TANGENTES
PARABOLE 1
A l’ombre des tangentes frêles, sur les courbes bombées qu’elles dessinent en dessous d’elles…Elles planent. Diaphanes comme une âme, sont les tremblantes ailes de ce miracle qui vient de naître ! Les quatre ailes d’une libellule qui voltige en fête et qui vient de se poser élégamment sur une belle tige verte, un massif de fleurs, qui jaillit de la rivière. De la nymphe, laide, un être véloce et fier, se libère !
Sur les courbes repues et pleines du fruit, elle va oser fureter. Oser se poser et caresser ces fruits d’instinct. Car ils sont faits pour elle. Les sphères abondantes au beau galbe, halètent et respirent. Leur pulpe esquissée, tressaille prometteuse. C’est un doigt intrépide qui les jauge. Il se pose. Il se promène et se referme. Il sent les entrailles de sa découverte. Pourtant, la libellule est l’image même de la légèreté.
Ses pattes, ses doigts sont fins, légers et agiles ! Dans son délire de découvertes enthousiastes, d’errances passionnelles et de libertés nouvelles, ses ailes et son torse frétillent dans tous les sens. Elle caresse les globes des splendeurs et sent l’enivrement, le détachement. L’ivresse du moment, un fantasme éclair. Le plaisir ! Dans le délire, la ligne ailée se replie et se referme sur le nectar béni. Du néant précédent au sinus timide et tiède, ému et craintif, l’ambroisie conquise, coule comme un paysage qui défile.
Elle s’agite comme une âme sur son aura, source de vie, parfum exquis du corps. Le doigt se confond avec ce qu’il touche et bat la mesure. On entend comme de la musique qui se détache des sphères. Le papillon taquin, la libellule devient un tatouage permanent, là, à la place des soutiens.
Confusion de l’objet et du désir, deux en un ! Sous la main tangente qui l’effleure, le globe entier tremble et s’émeut sous la flamme des doigts. Le papillon est une main en forme d’ange ou d’ailes. Il butine et s’abreuve d’extase et de plaisirs. Adorateur, esclave mu par ses plaisirs, ils le poussent aux grandes œuvres, consciemment ou d’instinct L’homme devient dieu en un clin d’œil. On peut l’entendre, et le reconnaître aux chants, aux plaintes essoufflées de son délire. Des mots qu’il trace comme des cœurs et des vers qu’il écrit sur la poitrine. Hédonisme ?VARIANCES DANS LE SEIN DES SAINTS
PARABOLE 2
Il s’agite dans un corps à corps, comme une âme lovée et lascive sur sa source de vie. Rien ne vient troubler cette espérance, entre la vocation et l’esprit, le satisfecit des désirs, le bonheur d’en jouir et le plaisir d’y être parfait. Se confondre dans le corps et d’en être l’objet, les doigts et la main, l’ombre de soi et la représentation de l’esprit, de deux personnes sur leurs cerveaux.
Cette boule magique qui affole réconforte et assagit, est une porte, pour un instant dans l’infini. L’infini délirant et extatique qu’on retrouve en soi à travers l’entente d’autrui. Triomphe équitable, délire dans les cieux, le miracle de l’élévation est double. Et on aime le répéter et le reproduire, sans fin.
Le globe, c’est la lune, un soir, sans nuages ni habits. C’est le spleen offert par Dieu à ceux qui le regardent et qui aiment s’en approcher.
La main tient son bien et le relâche pour y revenir. En sueurs, le lait sourd dans l’esprit du bébé, la bouche est pleine mais il n’est jamais rassasié. Le bonheur est une drogue dont il ne peut se détacher. Et, c’est un crime de lui enlever cette porte vers l’absolu. Le vide, le départ ne peuvent remplacer l’être cher, ni celui de bonne compagnie. Il faut à chaque fenêtre sa clef pour l’absolu. Et c’est un délit quand on le prive, alors qu’il ne peut s’en passer.QUESTIONS EN QUÊTE DE RÉPONSES.
A quel titre perpétuer ou interdire, les clefs faussaires dans des serrures pirates qui veulent s’essayer ? Le sens éthique, moral, religieux ou laïque ? Des freins, des balises, des limites saines ? Celui de la correction, des libertés, de la propriété, du respect d’autrui de la dignité partagée ? C’est quoi interdire ou empêcher ? ! Ne pas heurter le bon vouloir des gens et des individus !?
La tendresse se livre en prières. Le but est d’oublier la raison et les doutes, devant l’instinct de prendre et le défi de se donner. La prière des doigts sur le torse, en respect, et sur les globes aussi, transcende l’espoir et la transe se prépare ici. Le corps tremble de vies, l’esprit, l’aura couvre la nudité. Élémentaire vêtement pour de donner intégralement au rite qui unit et réconforte. Et c’est l’Eden, le ciel …Donnez m’en sept, s’il vous plaît. Si haut, si loin, selon les dires des meilleurs cosmonautes. Ô tangentes laissez moi vous chevaucher. Me détacher des dômes de ton esplanade, aller du rocher nu, l’étrier sur Alboraq, guidé par l’ange Gabriel, sur le chemin astral de Mahomet.
Sans quitter ce lieux, ni ces barreaux d’où je t’appelle, viens en ces jours de fêtes. Donne-moi ton trône, pour te faire ma reine, ma conquête malgré et les risques de tempêtes. ô Liberté ! Liberté, c’est à toi que je fais ma cour et que je voue mes prières.
TALISMAN ET AMULETTE :
Refrain contre le dédain. ô tangentes affolantes, retournez effleurer les tours. Retournez vivre dans vos rêves. Répandez mes doigts sur ces lieux d’amour. Supprimez les gardes, ôtez les chaînes, enlevez les barreaux. L’amour que tu répands sur ces lieux, comble mes oublis et répare ma mémoire et mes trous. ô tangente reviens, tour à tour, de nuit et de jour, si le soleil brûle le ciel, il éparpille les nuages et luit. Et je te ressens et te vois.
Et, dans cette bombe de chair, où explose ma mine, laisse-moi, l’heur du retour, laisse-moi me jeter dans l’ombre de ton puits. Enlève la clef ! Enlève les aiguilles du réveil…Palper les rides avec délices, pour m’y agripper, avant de plonger dans tes eaux avec volupté. Arrête ô Temps, souffle, respire et sent ! Dans le sanctuaire humide de mes prières de paix, planent les essences sacrées de nos amours ondoyantes, les parfums pénétrants et les arômes de nos intarissables printemps.Parjure, jure, ment et meurt sans crier ! Dans le ciment des chairs, à jamais gravées, les liens s’illuminent et les chaines complices s’en vont. Elles se perdent pour exister. Elles errent sur les chemins des sens, pour combler les absences et repêcher les oublis.
LE SOLEIL EST AU ZENITH DES HORREURS
Ramadan en été est doublement une épreuve. S’il assèche le corps, il multiplie les envies. La foi, n’en parlons pas, il lui faut une divine échographie. La silhouette sue, l’ombre est celle du chapeau, seuls les pieds dépassent, quand tu avances tes pas. J’ai coupé les larmes au couteau pour faire ta peinture. Et j’ai une lettre entre les dents que j’écrirais sur ton portait. Palimpseste où se confondent sueurs et baves ! Je mordrais la toile pour que rentrent mes mots dans ton esprit et que ton portrait, griffé de mes doigts, les entende enfin. L’option vertu ne peut éliminer les manques ni les soucis ! Le tas de morales est une pression, une peine, qui névrose et culpabilise. Les lois sont faites d’éthique, une bannière élastique qui s’effile pour les plus puissants, qui els font pour actionner les autres et les inhiber.
LE DÉLIRE DES CLOPORTES
Mon métier comme un rempart, un masque, un frein des barreaux, me prive et paralyse ma vie particulière. Il me pousse à faire de la déontologie, une éthique corsetée, une morale corsetée, là où je ne dois être qu’un mâle commun la vie ne s’arrête pas aux choses intimes, le sexe vous avez compris. Elle est celle des ailes et du vent, les délires de l’esprit les libertés du corps, seul soleil qui éclaire au firmament
Une goutte ignore le tuyau d’où elle vient et s’évapore en tombant sur le sable. L’homme depuis sa conception est fait d’une multitude de gouttes. L’ombre du jasmin palpite sur le sol sans donner de parfum à la terre qui la nourrit. Le bruit dans les airs ne laisse pas de traces d’ailes. Ce ne sont que des anges et non les fumées des réacteurs ?Je doute des mes libertés factices, de mes sentiments, de mes sensations, de mes perceptions et de ma vue. Et peut-être des mots erronés que je sors pour réfléchir et à défaut pour m’en amuser.
Les douleurs, seules libertés de se plaindre, de se peindre et de se pleurer. De prendre et de comprendre de ce qui est en dehors de la tête et qui la fait tourner. Ce qui nous fait prendre autrui, pour des dieux, ou qui nous fait pleurer.
A FATTOUMATOU TRAORE DU MALI
PROMENADE GÉOGRAPHIQUE
Que reste-t-il de l’ombre de la ruche des os et des cendres ? Que reste-t-il des clartés des chants des cris et des pleurs ? Que reste-t-il des plaideurs, des critiques, des râles du vagin des vierges, que les soldatesque islamiste viole et engrosse ! Un bambin que ne trouvera nul pays comme sanctuaire. Nulle affection pour le protéger, nul maître pour l’éduquer ou lui donner une chance, face à l’humiliation de sa mère et des Maliens !
De l’insolence vengeresse de ces milices barbares, qui desservent leur cause islamiste au Mali et donnent raison aux invasions punitives coloniales…Aux délires d’orgueil de ces milices révolutionnaires ! Que regrets en Syrie où le maître Léonin n’a aucune pitié pour les siens ni intelligence pour évoluer et leur préfère son trône sur les ruines de son pays ! Un règne sur les abattoirs et sur les cimetières ! ô funeste pays de ma civilisation chérie !
Non loin de là Kerry tente de raisonner Israël. Il sait qu’Israël prend et ne donne rien par atavisme, et que par égoïsme identitaire et peur cultivée, la victime dupe et trahit. Mais qu’est-ce qui empêche Israël de vivre en sécurité ? De sortir de son sectarisme et de sa mythologie ? Après avoir démontré son savoir et ses avoirs, sa force de persuasion et sa sagacité, ses capacités propres et la suprématie de ses protecteurs inconditionnels ! Qui évoluera verra !LES GUERRES, LA VIE, BOF !
Où va l’amour quand les amants partent ou va son plaisir quand la cigogne descend du ciel ou sont ces images des nuages qui s’effilochent où partent les traces et son des avions à réactions. Personne ne s’intéresse ça car ça ne rapporte rien, mais il fallait se poser la question pour toucher la futilité du doigt et regarder la vie, aussi longue soit-elle comme une image qui fuit dès qu’on commence à la regarder. Sans lendemain pour beaucoup, un intervalle sur terre avant de renaître pour ceux qui espèrent que leur âme repoussera sur leur corps leur reviendra de là où elle se case pour les ressusciter un jour.
Curieux comme concept, il est quasiment binaire. Entre le néant et l’éternité, j’opte pour la seconde possibilité. La réincarnation est une réquisition, un besoin. Mais pas trop de sanctions, SVP ! Se rappellera-t-on des choses banales et des futilités? Surtout après un triste et profond Alzheimer ! Cette maladie des vieux, en particulier, qui nous perdre toute mémoire et toutes nos capacités au point de nous déchoir, d’annihiler notre personnalité. La conscience se perd et de là, tout sens de la vie et toute responsabilité. Peut être bien puisqu’on sera jugé et audité. J’ai bien peur de montrer demain ce que je tais aujourd’hui ou ce que j’ai carrément et innocemment, oublié, aujourd’hui !Entre temps, ici et là, des millions d’êtres zélés, pour qui la vie est donnée, comme à nous, cherchent leur pitance, d’instinct, entre ciel et terre. L’instinct est cette mécanique du comportement, héritée des ancêtres qui fait de nous des vivants ! Des conduites caractéristiques de l’espèce, qui rend les choses vitales automatiques, abstraction faite de la volonté de l’animal en question. Peu reconnaissent en eux l’origine de leurs chimies et mouvements de vie. En fait qui fait de nous des esclaves, obligés, vitalement dépendants, d’un cheminement planifié, génétiquement conditionnés, au destin inévitablement prescrit.
Actes prédestinés, écrits, non volontaire : on ne pas être plus déterminé que ça ! Une grande part dans le destin est prescrite dans ces instincts et autres activités involontaires qui nous permettent de vivre, myopes sur nos actions internes, physiologiques. Si on ne s’occupe que partiellement de la respiration, les autres phénomènes, la digestion et l’assimilation par exemple, on n’y est pour rien, l’alchimie des sens, le transport des influx neveux, qui nous dirigent, les hormones, notre pensée, notre mémoire, ça laisse rêveurs…VALSE QUANTIQUE : LES PETITS GRAINS DE LIBERTÉ
Chaque atome, chaque électron, dans son cycle ionique, leurs charges électriques, leurs composantes quantiques, chaque molécule ingérée, chaque gène est porteur d’un miracle, d’une mission, dont il ignore le but, le contenu et sa destinée. Ces microparticules ne savent rien des propriétés qu’elles sont capable de faire. Rien a priori des cycles et des recombinaisons, des réactions potentielles et des recompositions qui furent à leur origine et qui conditionnent leurs propriétés physico-chimiques, et électromagnétiques. Rien comme approches de leur futur et des réactions qui les incluront dans d’autres schémas chimiques ou aspects physiques. Pour former tel minerai, tel végétal, tel être animal avant de se fondre dans la nature, l’univers ou de disparaître.
Ces éléments imperceptibles, découverts par les sciences nous composent et nous défient. Indicible inconstance, sublime silence de ce foisonnement de vies. Nous sommes faits de milliards de milliards et de milliards encore de corpuscules et d’atomes étrangers. Ils nous composent et nous recomposent, nous les ignorons comme ils nous méconnaissent. Et c’est pourtant de nous qu’il s’agit. Nous somme un être, un organisme fait de constellations d’organites, en éternelle mutation, que nous ne savons pas dominer.Nos hôtes font leur boulot, ils s’activent et se composent et réagissent, nous appelons ça la »vie ». Et nous oublions le miracle que chacun d’entre nous représente. Pire quelle certitude, quelle place occupent en nous cet esprit et cette âme que nous pensons avoir ou être ? Combinaison triple et muette, tenue au secret, le complot du silence: c’est de nous qu’il s’agit. Ces entités qu’on espère ou qu’on pense être, prospèrent en nous. Alors que nous ne pouvons ni les sentir ou les voir et encore moins les toucher ! Et c’est de nous qu’il s’agit.
Nous assistons, étrangers à nos propres changements, de la fécondation à la mort, sans savoir consciemment d’où nous venons et vers où nous allons transiter. Entre de risibles libertés et d’énormes freins, qui nous asservissent au biotope terrestre, nos connaissances, si admirables déjà sont si élémentaires devant les champs immenses de notre ignorance. Des étendues que nous ne pouvons guère investir et vers où nous ne pouvons accéder.Entre les libertés et la démocratie, variables entre les personnes et les pays, les hasards et les influences, notre autonomie, nos initiatives, nos actes et leurs limites, que de conflits, d’imperfections, d’inexactitude et d’intolérances ! Nous sommes déjà en conflit avec nous-mêmes, soi-même, notre corps composite. Mais, avec les autres, c’est pire. Que ce soit nos proies, alimentaires, pauvres bêtes et monstres que nous sommes, qu’avec nos adversaires ou nos pires ennemis ! Et ce n’est pas gai.
CRIMES ET LIBERTES
Nous sommes des prédateurs, des cannibales ! Et je vous fais grâce, je ne parlerais pas des homophiles, les gays, ni des lesbiennes et de leurs subtiles amoures pour leurs semblables. Ce n’est pas un déni de leur droit d’être libres de cette promiscuité et de pouvoir, librement, la montrer, sans honte de la société. Ça dépasse et ça me déconcerte aussi. Je parlerais de leur volonté logique d’être publiquement reconnus et sans cachette hypocrite. J’ouvre seulement une parenthèse sur les enfants qu’ils veulent adopter. Elever dans une famille, normale, et dans quel sens les » former » et les éduquer.
Les pédophiles, immensément odieux et abjects sont des horreurs aussi horribles que les crimes d’inceste. Et puisqu’on en parle de pédophilie. .Je fais allusion aux drames commis par l’espions exfiltré d’Irak, David Galvan, sur 11 jeunes enfants de Kénitra. Affaire quasiment couvée, qui a réveillé le peuple de sa léthargie sur la honte et l’injustice qui allait être commise. La méprise organisée et l’humiliation subies à la suite de la grâce royale arrachée par l’abus de confiance dont a bénéficié le criminel. Puis à la souveraine remise en question de tout l’establishment qui a fait ré-emprisonner dans son pays intercesseur et d’adoption, l’Espagne. On en reparlera…
En parler, j’en ai assez, comme de la loi du talion. Celle qui consiste à faire payer les coupables et à les sanctionner, à hauteur des mêmes crimes qu’ils ont commis. L’injustice est comme le mal et les douleurs. Les peurs augment les souffrances et les souffrances font écrire ou crier. Les gens qui manifestent leurs souffrances devant les médecins, les juges ou les émirs, se doivent d’être écoutés. C’est un devoir de l’homme, du Responsable que de répondre à leurs prières. La joie du médecin est de découvrir le mal et de l’atterrer, le plaisir de guérir est immense, il est égal à celui du juge et du professeur quand ses élèves ont tous réussi. Que dire des rois quand ils écoutent les leurs et de Dieu, quand il répond aux humains avec faveur !
Le problème n’est pas de partir à jamais ! Car, où sont passés les autres, en laissant les souffrances et les faiblesses s’anéantir. Le problème, c’est celui de perdre ce qu’on va laisser. C’est aussi pour les autres de perdre celui ou celle qui a trépassé. Et l’orgueil, la fierté d’être soi-même, la passion de vivre libre, ensemble, avec la dignité, c’est ce qu’on enlève justement ceux qu’on a mortellement blessés. Et c’est peut-être que la mort, alors on voit des martyrs, des suicidés, des soldats tués et des gens qui vont s’exploser, en emmenant les autres, des victimes innocentes, à la suite d’un dépit, d’une sombre idée ! Qu’ont-ils fait de mortel pour une si tragique destinée ? Le hasard du chemin; vers la mosquée, l’école, l’armée ou le marché ?