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15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 6,173)
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  • #204533

    Sujet: L’ elimination du Maroc

    dans le forum Sport
    filali
    Membre

    Je ne suis même pas surpris…Notre réalité cést que nous sommes une equipe de 3 eme niveau. Toutes les equipes africaines ont un fondement de leurs championnat interne, seuls nous pour notre schizophrénie nous faison l’ exception…Il faut arrêter avec cette politique HIPOCRITE et FAUSSE, avec ces gens incompétents et IGNORANTS.
    Regarder qui est en tête des entraineurs marocains : UNE HONTE. Des entraineurs qui n’ ont même pas le Brevet…des joueurs délaissés á leurs sort…Des gens qui parlent de n’ importe quoi!!!!!!
    Donner les moyens aux gens et surtout surtout FILTRER les entraineurs: Il parait que ces marocains qui viennent de la BELGIQUE ont leurs diplomes dans des centres privés…Demander de l’ aide aux voisins Espagnols pour qu’ il nous forme nos cadres y entraineurs (là-bas au moins c’ est different que les autres pays: tout est controlé par l’état).
    Changer de mentalité…c’ est urgent!!!!

    #273940

    En réponse à : travaux

    pikhasa
    Membre

    Bonjour. La situation à Saidia est catastrophique !!! Les travaux avancent à pas d’escargots !!! C’est scandaleux pour tous ceux qui ont, d’une manière ou d’une autre, c’est à dire, pour résidence secondaire ou pour s’y installer à l’année, investi dans cette commune !!! Saidia ne mérite pas ça !!! Les rues sont à 90% impraticables, le port des bottes est obligatoire !!! C’est honteux de laisser les habitants dans cette misère !!! Et l’on continue à distribuer, à tour de bras, les permis de construire, dans des lotissements non-viabilisés, ce qui ne fait qu’empirer les choses. Malheureusement, aussi, on ne peut que regretter le manque de mobilisation de la population, pourtant grandissante, de cette agglomération. On a l’impression que personne ne gère la ville !!! Que tout est à l’abandon !!! Et que toute l’économie de la ville se résume au seuls mois de juillet/août !!! Peut-être que plus d’interventions et de témoignages feraient avancer les choses, en tout cas, je suis prêt et motivé pour y contribuer, ne serait-ce que pour ne plus avoir honte de dire à mes connaissances ou amis, dans quelle ville du Maroc je pensais avoir la chance de résider !!!

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    CHRONIQUE

    FRAGRANCES TABOUES, FUTILITÉS ET SIBILANCES.

    Chroniques dérisoires et débridées.

    Délires positifs

    Gymnastique, où l’auteur vous défie de suivre ses délires. Pas si fous que ça ! Lisez pour les vérifier et montrez-les à vos saints patrons ! Ce sont des délires positifs, séquences sans préavis, un film programmé sans plan sans clôtures précaires, qui vous laisse réfléchir critiquer et compléter les vues et les dires, en ne s’imposant pas. Écriture hachurée, tachisme sur des compostions nébuleuses et élastiques, des pensées comme des poussières dans le vent.
    Vous êtes couché, solitaire, luttant contre le froid, les douleurs et les insomnies. Des sonneries erratiques de phones et de bruits interrompues viennent vous assaillir et ravager votre invincible quête de sommeil. Malgré le devoir d’aller au travail au moquef-assis, si caractéristique de votre vie de chômeur ou de factionnaire. Mercenaire d’un moment, vous devez vous exécuter, ersatz que vous êtes de précaires prolétaires d’une nomenklatura, faite de caciques indestructibles, de reptiles inamovibles, d’empereurs impassibles et implacables.

    Le moquef*, est cette halte sur le trottoir ou la placette du coin, où l’on attend que l’employeur-client, l’empereur salariant qui en quête d’ouvriers, vient chercher un quelconque service auprès du technicien que vous êtes. De l’ouvrier généraliste, spectre sans nom, ce factotum qu’il ne connaît même pas, pour remplir une tâche donnée. Une mission pour un avatar, un paria. Chacun vous commande et vous nargue pour une obole qu’il jette dans votre sébile, pour lui embrasser la main et vous moquer en retour de balbutier son nom, en salivant sur son costume ou sa djellaba ! Hitisme* positif, à la limite de l’humiliation.

    Sommeils impossibles et réveils difficiles

    Vous êtes donc la victime propitiatoire, régulièrement abonné à l’horloge, au temps qu’on va vous voler et exploiter. Sonneries, symphonies de rêves écourtés qui voient votre quête irrésistible de sommeil contrariée. Et la lumière fût ! Le soleil traverse les persiennes ou les fentes des fenêtres mal closes. Il immonde la montre qui indexe l’heure votre nécessaire réveil. Et puis, il faut bien calmer, dérouiller vos douleurs, racler la gorge, cracher ce qui suinte des vos viscères. Avaler un peu de salive, hennir, pour clarifier et rétablir votre semblant de voix. Chanter quelques voyelles pour montrer que le coq n’est pas las ! Tenter d’enlever la couleuvre avalée la veille avec les informations. Essayer votre voix avant de vous égosiller pour gagner votre croûte de forain.

    Se réveiller, c’est le clairon du soldat, qui doit combattre pour vivre face au destin. Survivre à la farce, face à la fin, face aux affameurs affamés et aux ogres faméliques et implacables aigrefins. Les Pantagruel et les Gargantua qui fabriquent les événements, les armes et les lois. Qui vous offrent des crédits et vous hypothèquent, à vie pour plusieurs générations. Qui vous vendent des armes en vous arrachant des cadeaux et des dons. Des empereurs qui vous narguent et vous manipulent et vous harcèlent. Qui vous plongent dans un monde de collusions et de connivences sous le diktat de leurs injonctions.

    Oublis et mémoire

    Et puis, si cette infamante situation de nos maîtres vous consterne optez pour l’oubli. L’oubli dans le sport et la musique, le kif et l’alcool si vous en avez le culte et les moyens. La lecture, les femmes, la gym ou la prière, un bout de plaisir en guise de fusible, pour tenter d’oublier. Pour vous disjoncter, en mettant un sac sur la tête, votre cervelle dans un scotch, pour oublier que vous êtes déracinés, acculturés, déshérités, aliénés, marginalisés, malvenus, traqués, esclaves du temps, dit moderne et de la pseudo mondialisation. Ce qui n’envie rien aux serfs du moyen-âge et c’est tout comme du temps de la colonisation. Espèce inférieure, au service des nantis, gardes-champêtres de fermes et d’usines qui appartiennent aux séides qui commandent aux mâtons, d’en haut et loin. Je parlais de la mythologie antique, de la Grèce capturée par les romains et de leurs dieux, devenus orphelins !

    Et si la culture des riens vous dit, il ne faut pas rater la poésie et vous efforcer de la déchiffrer et de la dénicher là où elle lance ses tripes et ses trilles. Ça n’a rien de lucratif et c’est un luxe permissif ! Quitte à la créer à partir des riens si elle n’existe pas ! A commencer par vous étonner de la forme des feuilles et des fleurs ou de la tunique des arbres, couverte de lichens et des pierres recouvertes de mousses ! A commencer par les mots que l’on utilise pour identifier un sentiment natif, laissé à l’intérieur de la bouche. Éclairez-moi ! N’est-ce pas Nour? Lumière de lumière ! Toi, dont la fatigue m’empêche ce de dormir ! Soleil, intelligence et chaleur. Paix et santé, dans ce monde, cette trappe de passage vers l’ailleurs.

    C’est comme craquer un secret pour les hackers. C’est comme un code que l’on viole. Tentez de dénicher sa signification. L’instant, la vie est faite d’instants. Banalité qui ne vous apprend rien. Mais je parle avec conviction : sauvez vos instants ! Ce serait une perte que de rater ce qui est rare et futile, précieux et unique, parce que non renouvelable ! Et plus rare encore, parce que ce ‘’bout de rien’’ est furtif et labile et qu’il ne reviendra pas ! Unique, fait pour disparaitre, même votre mémoire intime ! La vôtre, Lecteur ! Tous ces mots inaudibles, ceux que l’on ne sait pas, que l’on ne comprend pas, que l’on ne réalisera pas ! Ces pensées avortées, ces rêves oubliés, ces sommeils inutiles, ces insomnies criminelles, ou vice versa, sont votre capital. Votre capital, qui est fait pour être retiré, volé, violé, ruiné sans que l’on ne sache ce qu’on en réalisera après ou que l’on fera sans !

    Délire réflexif et injonctions

    Je vous rappelle que c’est un délire et que pour vous c‘est une promenade de santé, dans un jardin labyrinthique philosophique mystique ou politique. Si vous avez un ticket ‘’patience’’, alors, entrez ! Pour réfléchir en vous reposant. Emmenez mon papier dans vos toilettes, pour me donner du sens et vous donner du bon temps !
    Bruits de porte, sous les saccades du vent. Qui est là sur mon balcon ? J’aurais du réparer la serrure de cette porte métallique, qui fait de cette maison un bagne, une prison. La faute est aux agents qui négligent de donner du travail aux voleurs, qui les pauvres risquent leur vie, en truandant, en agressant et en driblant avec les prisons ! C’est si facile de sauter de la terrasse des voisins ! Est-ce un voleur, comme il y en a tant maintenant ? Je ne parle ni des médecins, que leurs client et confères indexent dans médias, les cafés et les bars, ni des commerçants ou des fonctionnaires ! Je pense à ceux qui attaquent impunément les braves gens !

    Les journaux font une curée des drames qui arrivent aux victimes, des colonnes vendables. Mais ils ne parlent que des drames sanglants, peu ou pas des crimes des gens en col blancs ! Les victimes sont recherchées pour donner du plaisir aux impétrants ! Les brigands brutaux et les escrocs violents ont quelques valeurs de courage ou d’arrogance, de par les instruments qu’ils utilisent, dont les muscles et leur souplesse, les lames et les tranchants. Ceux-là que j’indexe, sont de pires criminels : en plus d’être des voleurs ce sont des lâches. Ils ne volent pas pour manger, mais pour le lucre et les sordides apparences. Ils manipulent, l’État lui-même et ses représentants ! Ils trahissent les hommes et leurs droits, leurs devoirs et les lois, les textes et la confiance des gens qui demandent que leurs services et l’application des règlements. Vous avez pensé aux juges, aux banquiers, aux fonctionnaires, aux médecins ? Non, il y a autrement des fraudeurs et des larrons, des escrocs supérieurs, que ces balivernes amusent tant ce qu’ils prennent est d’ordre astronomique et qu’il donne le vertige aux simples gens ! Ils ont des diplômes ! Ils ont des noms Nobles aux qualificatifs de Justes et de justice.

    La houle, enfer de bruits

    La porte grince sous le vent. Roulement de tambours humés et effacés d’un train qui file au lointain, quelques cris d’oiseaux, des pas d’animaux qu’on dirait des voleurs courant vers leur trépas…Oiseaux, de quels genres, de quelles couleurs, sifflets, dialogues et signaux que l’on ne comprend pas !

    La houle qui enveloppe et qui ronfle et se répand. La houle, composite de tous ces bruits interpénétrés qui émanent de la ville, ainsi que des odeurs nauséeuses que nos cadres et dérisoires représentants supportent et hument à pleins poumons. Derrière le ‘’Bar Lev’’, ces immeubles champignons, dressés tels des monts, érigés en saillies de reptiles insultantes sur le dos des éléphants, comme une insulte au Levant ! Issus de cet argent facile, comme du néant, ils me cacheront pour toujours l’anse de ce bout de fleuve, que j’aime tant. Cette anse de la rivière Sebou qui si elle est bue vous fait oublier archives et ascendants. Boucle d’eau avec ses bateaux qui comme des revenants blessés reviennent vers ce port fantôme, condamné au chômage et aux pleurs des amants !
    Nostalgies face au temps

    Les anciens de Kénitrou, cultivent cette nostalgie. Ils reviennent en pèlerinages vers leurs ancres éternelles. Le ciel bleu, les cigognes qui n’ont pas perdu de temps. Ils font quelques prières, devant un édifice ou de vieux murs, chargés de leurs souvenirs d’amants. Les âpres entrepreneurs, bâtisseurs invétérés et tortionnaires du ciment, n’ont pas encore anéanti tous leurs repères face au temps !

    Les bâtisses filtrent en les amplifiant, les bruits surajoutés des klaxons, les grincements des portes de garages, les hurlements des maçons et les pleurs d’enfants. Des nuages fluctuants, des cris comme des vagues, des roulis pulsatiles, des pulsations élastiques s’infiltrent dans la tête. Des soufflets de forgerons avec leurs martellements, les meules électriques et les bruits des scies, tels des respirations de monstres, infernaux et menaçants, pénètrent dans les méninges. On se croirait vivre à l’intérieur de films d’horreurs et que ceux-ci se passent dans ma boite dan mon crâne qui leur sert de scène et de caméra ! Les agitateurs, descendants pervers de félons et de louches politiciens, unis aux mâtons sournois, des faux messires devenus des geôliers par confession, fourbes, lâches et vendus aux colons font leur inquisition à l’intérieur du cerveau primitif et impénitent !

    La fin du monde en 2012

    Fantasmagoriques, oppressants et agressifs, des hurlements de monstres volcaniques, sortis des cavernes telluriques et des tanières de sorcières, s’engouffrent dans le malade épuisé qui tente de dormir et d’échapper au présent, vainement. Mais elles sont si vraies, ces légendes insidieuses et térébrantes que la tête aspire à son éclatement !
    Ce sont des vagues de tsunamis, qui comme des nuages vont envahir la ville. Elles frappent les rochers, rasent les minarets et les clochers restants, au point que la jetée du port et les berges du fleuve sont révulsées. Elles volent comme des fétus de paille et des plaques de cartons dans le vent. Les terres, raclées, fusent comme des coulées de lave et le centre ville est trou au milieu d’un volcan. Dans cette campagne devenue ville, tu vois surgir de nouvelles montagnes qui planent au dessus des quartiers à la place des nues évaporées, pour longtemps ! Pas de pluies pour les manants !

    La mémoire des mots et des instants

    Étourdi par la 3D qui prend ta tête pour écran, malgré les douleurs et le temps qui presse, apeuré plus que ces mots ne le disent, tu trembles malgré tes muscles qui se froissent et tes articulations qui se déchirent. Tu essaies de trouver la grâce de quelques instants, sans douleurs, en tentant de calmer le cou et l’épaule sur l’oreiller. Comme moi, tu ne mesures pas l’heure qui avance.

    Le temps passe, tu ne le comptes pas, je ne le savoure pas. La mémoire est vaincue. Je m’y attends, en tentant de retenir des bribes de pensées, pour fixer les furtifs sentiments et les mots qui cadrent avec ces instants. Mémoire acariâtre et lexique de basse saison, les mots manquent à l’appel ! Tu t’en souviens toi ? Et le nom de ce film, de cette pièce, de son auteur, de cette actrice et de ce chanteur ? Tu t’en souviens ?

    Les mots, tels des météorites fulgurants, échappent à l’évocation. La mémoire se fige, plate, inutile, perplexe, déchue, incapable et décevante, mortifiante à en devenir mortelle. Elle annihile mon être ma personne et mon existence. Où seras-tu ? Où serais-je sans mémoire et sans souvenirs, de toi, de moi, demain ? Sans toi, que suis-je ? Un légume, végétatif ! Même pas fichu d’avoir été une grosse légume ! Comme tant d’arrivistes, ostentatoires et incultes, qui refusent tes clients ! Demain, ce sera des has been. Patience ! Ils ont fait tellement de gaffes, qu’ils sont cuits de réputation, les impudents ! Gros et fiers du lucre, où est leur estime des gens ? Entre les vœux et la réalité, les veules et les gueux, seul le délire tranche ! Et il a raison, pour apaiser l’angoisse des siens. Le délire est une thérapie.

    Non seulement le temps part, mais une partie de soi s’évapore, sans ruisseler. Sublimation, évaporation, dont il ne subsiste même plus les gaz ! Nous sommes le fruit de notre mémoire : notre conscience, notre personnalité, notre caractère et nos humeurs sont liés à la mémoire. Ô mot, reviens pour me dire que je sens ! Et ce que je suis ! Alzheimer, 80.000 marocains Parkinson, autant, Korsakoff c’est pire, demandez au Prince. Madame Baddou ces grands noms nous nous guettent. Est-ce qu’ils partiront comme vous ? Ou que votre successeur de ministre, nous trouvera d’urgence où il est maître, les bons médicaments ?

    Confusion, carambolage des sentiments

    Les nuages s’effacent. La poésie est dans le mot, le rythme est dans la phrase, la philosophie dans l’idée. La pensée bat son train. Il ne reste que le souvenir évanescent de ceux qui sont partis. Leur souvenir effleure mes pensées au moment où je rédige. Où sont-ils ? Que craignent-ils et que craint-on à montrer là où ils reposent, puisqu’ils ne sont plus là ? Pour sécuriser les vivants et les tranquilliser sur le sort futur, qui les attend ? Si ce n’est pas le néant ? Il ne reste que les douleurs déçues et perplexes, avec la volonté de garder dans l’incompréhension toute la foi, la mystique. Et à ce titre, la foi a besoin de croyance pour être qu’elle est. Une religion qui nous unit, et qui le tente, qui nous rattache à une idée, à un credo, à un souhait, à un projet, par-delà la vie, ses argiles, sa nature chimique, ses faiblesses, ses cycles et ses exploits.

    Roulis subintrants, les chants se meurent

    Il ne reste que les douleurs et les bruits d’un train, la sensation d’avoir été privé de sommeil ! Une pensée-jugement, doublée du sentiment immatériel et vague d’avoir oublié ce que je pensais et que j’ai voulu te dire, à toi, Lecteur…Et à vous transmettre, messieurs les élus du parlement, les ronfleurs et les absents ! Il ne reste que les bruits de l’oreille. Tenaces, surtout quand diminue la perception des pulsations du dehors! Mais après la vague des muezzins, les roulements inlassables des voitures et des roues de camions, qui percutent les dos d’ânes en faisant tressauter et sonner les charges métalliques qu’ils transportent, me font penser aux élections. Ah, si on pouvait élire nos fonctionnaires et révoquer nos administrateurs !

    Les râleurs hebdomadaires ont perdu bien des causes. Ils sont au silence complet, comme leur apatride et succulent prince, d’ailleurs, depuis un moment. Silence complice ou halte fameuse ? Fortement convaincus de militance, ayant eu comme projet de vendre et d’alerter, plus que de changer démocratiquement, les mœurs ! Ils sont las et loin ! Laisser-aller juvéniles, courages mais aussi chaudes connivences. L’impétuosité tatillonne des jeunes nous manque souvent. La démocratie est faite de silence et de cris. Mais, il faut qu’ils soient opérants au bon moment.
    Muezzins, camions et dos d’ânes, (c’est là qu’on enterre à même l’asphalte, ceux des sauriens de la municipalité, la face contre le roc, les fesses et les arrêtes de reptiles, en relief pour faire saillie dans la chaussée!), hauts- parleur d’orchestres, chantant à tue tête les derniers succès de Rouicha. Les faussaires, dans leurs criardes voitures, le tuent à chaque chanson !

    Et puis le délire insomniaque se tourne vers les infos locales ! Les fêtes tiennent tête au minimum de civisme et de correction, dans ce campus festif de sommeilleurs apatrides, qui sont loin d’être de bons citoyens ou de la race citadine qui défendra cette ville comme sa patrie ou sa nation !

    Les Kénitroyens* que nous sommes, nous restons heureux ! Fiers d’avoir deux ministres, mâles dans ce gouvernement composite, alors que les autres marocains, n’ont qu’une femme pour s’occuper de leurs familles !

    Des relents de révoltes aux réformes

    Les relents incendiaires des diplômés chômeurs, apprentis Bouazizi, qui s’exercent à s’immoler par le feu, devant le parlement ! Votes flambeurs de la constitution par des pyromanes pour élire le nouveau gouvernement ! Le printemps infernal cède le pas aux problèmes personnels. On quitte les universitaires en colère et les beau-gars qui font leur boulot ! Les bougates*, rangés en garde-fous. Munis de leurs bâtons respectables et de leurs absences de grades, ils vont tenter d’empêcher que les chômeurs ne prennent la place des dormeurs au parlement !

    L’esprit torturé triture ça et là les bruits, les pensées, les regrets et les idées parasites, pour s’empêcher de dormir, comme s’il n’y avait pas assez d’anges et de sympathie divine pour régler tout ça ! Mes problèmes et les vôtres. Oui, il pourrait bien me rendre mon argent ce journaliste véreux ou me donner une manne, à la place, le bon Dieu. Ou encore me faire un gros chèque, de trois milliards, le Roi !

    On quitte la scène publique, et ses délires, pour penser aux enfants exilés et aux petits enfants, qui malades de froid, ne donnent pas suffisamment de tendresse à leurs grands parents ! Tous les marocains sont grippés !
    Cette année, malgré la très forte épidémie de grippes qui sévit, incognito, les autorités sanitaires, percluses dans le changement, n’ont pas fait de déclaration pour alerter l’opinion et mettre en garde la population pour ses vaccins et ses traitements ! La belle brune, comme une bière, est resté froide. Le nouveau hésite à en parler et nous laisse loucher sur l’identité du coupable. Encore un H5N1 qui a muté à force de bouffer de la vache folle ou du crasseux cochon ? Et on tait partout ce que c’est comme coupable ! Même le Net d’habitude si prolixe, le Twitter et autre Facebook sont restés indifférents ! Qu’ils restent malades et que les plus fragiles partent : on ne veut pas affoler les gens !

    Malades, Adam est là ; Nour, la petite Eve, fête son anniversaire. Le monde, déchiré, révulsé, a pour eux, quatre ans, maintenant ! Le premier humain debout, semble lui avoir près de 500 mille ans. Barbu et carnassier, il n’était pas de nous, très différent. Ses traces, des os, et bien plus tard, des dessins, puis des bibliothèques et des monuments montrent qu’on vient de loin…Mais, où c’est que l’on va ? Foyers, villes, monde, espèces et continents ? Jusqu’où ira-t-on ? Dormons ! Mais les questions du monde et les bruits du dehors vont bon train….

    La mémoire et la dépersonnalisation

    Que représente encore celui qui a perdu sa mémoire, une grande partie de soi et de sa conscience ? Que lui reste-t-il comme ‘’personne’’ responsable ? Quand on devient incapable d’exprimer ses sentiments, quel destin encore assumer ? Si les mots, les idées et la mémoire nous échappent, quelles libertés octroyées, surtout ici, quelle finalité et quelle responsabilité, devant Dieu et les hommes, faut-il escompter ?

    Les idées et leurs mots se perdent au fils des instants. Alzheimer colle à la peau, malgré le désir, l’effort labile et la volonté de concentration, pour retenir les pensées qui se succèdent et que l’on voudrait retenir et partager. Tout file !
    Partager, est une façon différée et aléatoire de faire retenir par les autres ce qu’on a pensé et qui s’envole à cause de la mémoire qui ne retient plus rien ! Comment s‘appelle cet acteur de cinéma, dont j’ai vu plusieurs films, et que je ne retiens d’ailleurs pas ? Et cette chanteuse, bellissime qui imite …Ah je sais plus ! Je vais changer ma question ! Et cette ministre, la seule femme de ce gouvernement de machos ? Ils sont tous nouveaux, on retiendra plus tard, leurs noms, s’ils font comme ils ont dit, des miracles !

    Écrire, inclure autrui dans ses pensées est une confidence mais aussi un pis-aller ! Une façon de défier l’anéantissement de l’être et de ses idées. Un pari sur l’avenir de ceux qui vont un jour, partir… Ce serait dommage pour chacun de ne rien garder de sa vie, de sa mémoire, de son âme, en partant ! Ce serait dommage pour ce gars, cette maison, cette rue, ce nuage, cette note de musique, cette feuille d’arbre brunie, que la vie ne dure qu’un instant, et qu’elle puisse finir sans laisser un souvenir. Ce serait dommage que notre conscience, notre personnalité, notre soi, notre être, notre existence ne soient que des projections fébriles, de furtives et futiles réactions chimiques, sans lendemains ! La volonté de persister, l’impossibilité de rester sont de perpétuels paradoxes, antinomiques, pour des hommes de passage ! Chez nous, la bataille est celle de subsister ! A ce titre, la vie est sacrée et chaque vie doit être totalement respectée, aimée et sauvegardée, pour ce petit capital unique et irremplaçable qu’elle représente, pour chacun.

    Tout est chimie et physique

    Le cosmos incommensurable, les astres, le soleil en premier, la terre, leur physique astronomique et leur chimie moléculaire et quantique, sont magnifiques, admirables, si complexes et si lointaines, au point que ça se passe en nous, que ça nous fait vivre, digérer, respirer, pense, voir, sentir et mouvoir, sans qu’on en donne les ordres à nos organes, sans qu’on les voit ni qu’on en sente les infinitésimales parties qui composent ces complexes systèmes que nous sommes et que chaque animal d’entre-nous représente…Ouf !

    Qu’avons-nous de plus que cet admirable moucheron qui volète sur le plafond et dont je crains la piqûre, au point que ça m’empêche de fermer de l’œil et de dormir ? La vie est un leurre, un jeu, une explosion de réactions, d’actions et de sentiments, dont le but échappe au plus futé et au plus savant des jouets que nous sommes ! Nous ne sommes que des porteurs de vie et pas toujours des porteurs-sains ! N’est-ce pas, Docteurs en biologie et Savants en religion, tous prophètes confondus ?

    Ce serait dommage que ces acteurs, magiques et prolifiques, malades délétères, corrompus et/ou riches, pitoyables et sereins, malheureux ou pauvres, tyrans ou martyrs, de partir si jeunes ou vieux, ‘’naturellement’’ ou par accident, sans qu’ils puissent trouver la trace de Dieu. Dieu et ses religions, qui les réconfortent et les apaisent. Religions et philosophies, qui les raniment et les rassurent, pour revoir dans l’Au-delà qu’ils espèrent, le souvenir de leurs prodigieuses ou putains de vies ! Celles d’un instant, qui est aussi un miracle en 3D !

    Mais là, je jette un sort, une malédiction faute de bombes ! Me remettant à Dieu pour solder le compte de ce barbare et criminel de Bachar El Assad ! Que les odieux présidents à vie, disparaissent à jamais de la scène ! Qu’ils laissent la place aux peuples pour gérer plus démocratiquement leurs destinées publiques. Celles de citoyens adultes qui n’ont pas besoin de remplaçants du tzar, des dieux ou des prophètes, pour leur montrer comment manger et chier ! Sauf votre respect, car c’est un bienfait biologiquement nécessaire !

    Faiblesses, doutes et connivences.

    Méfiance et ignorance : on oublie ceux qui naissent en ne pensant qu’à la fin du monde, à la résurrection, au jugement dernier et aux sanctions. Un monde que l’on épuise si vite et que l’on pollue si fortement par ailleurs ! On oublie de baptiser et de célébrer les nouveau-nés, ces miracles intuitifs, interactifs, et l’on colle aux regrets, aux misères, aux faiblesses, aux maladies, aux paralysies, au passif et au passé. On oublie l’espoir. On ne voit que les guerres et les égoïsmes, l’hiver sans le soleil et la pluie, ou son absence, sans l’été. Faisons encore une prière collective rogatoire. Vous autres, vous pouvez en rigoler !

    On oublie le plaisir de ce repas. Ce sourire d’enfant encore fébrile. L’odeur de ce café. Celui de cet instant de paradis volé. Cet oiseau sur ces bougainvilliers, cette perruche paradisiaque venue boire sur le bord de la piscine. Ou cet endroit où tu t’es assise, au bord de l’oued pour faire la lessive à l’ombre des lauriers, pendant que ton père priait. Et toi, pour humer une cigarette et respirer à l’ombre des figuiers. Quand à moi, épris d’épreintes, j’ai dû arroser cet arbre avant de ramasser, comme souvenir de notre trip, cette olive d’arganier.
    Continuez cet exercice de mémoire, de vous-même, Lecteur, pour ramoner vos souvenirs, si banaux et puérils, si personnels, mais si riches pour chacun, que c’est dommage, justement, de les oublier ! CQFD !

    Infos et critiques nihilistes

    Insultes insolites ! Les journaux et leurs caricatures, allant jusqu’à publier une image fictive de notre prophète, font fureur et grosses ventes ailleurs, à nos dépens certes ! Et, ils nous font rager. Ils n’ont que ça, les êtres supérieurs et nantis, pour produire dans la culture ou s’amuser ? Pour nous irriter et nous taquiner. La profanation est un calcul sordide fait pour nous déstabiliser et pour exciter les plus intégristes afin de les indexer en glissant à volonté sur la sémantique. Alors qu’ils osent l’insulte, nous restons respectueux, même dans la colère contenue.
    Pas aussi gros que celui de Leïla, un brin de la planète Mars est tombé sur Tissint ! Il a dû mettre des centaines d’années pour voyager. Est-ce un autre météorite venu à Talsint, pour flamber son fugace pétrole ? Non, calmez-vous !

    On ne voit que caricatures et misères, mensonges et crimes. Guerres de libération où des tyrans, sous-développés, continuent à tirer sur les processions mortuaires et à pendre ceux qui osent se révolter. On ne voit que la mort ou la richesse, ce qu’on nous a pris ou ce que l’on va nous voler ! Les plus riches ne pensent qu‘à ça, au lieu de donner ! C’est organique ! Dites-moi si je me trompe !
    On ne relève que les imperfections, sans savoir pardonner les erreurs. On ne donne pas sa chance à ce nouveau gouvernement, par exemple ! On s’amuse de son ventre, de ses souliers, de sa démarche, de ses idées et de sa cravate. Son tic verbal, sa simplicité et sa barbe vous dérident ! Les moqueurs cyniques se croient toujours parfaits et se réjouissent d’être des êtres supérieurs. Forfanteries !

    Crédits et valeurs, partances et espoirs

    DVD. Faillites, dépenses abusives. Comment rendre les crédits des banques mondiales, qui s’ils nous aident à nous équiper et à nous structurer, nous obèrent par leurs poids et intérêts. Jamais liquidés, ils freinent à coups surs notre développement. Comment rendre els crédit et apurer notre situation, si les états les plus fort, les States d’Amérique, la France ont contracté des dettes, 10 et 20 fois plus forts que les nôtres ? Est-ce un mal nécessaire, une nature que de vivre à crédit et d’hypothéquer l’avenir de nos enfants et notre pays ? Comment restituer les vols subis par les grosses Caisses locales, comment calmer les comptes, les manipulateurs, les banquiers, les malfaiteurs, les usuriers et les marchands d’armes, qui craignent pour le Lobbie, et qui nous poussent à moderniser nos armées et notre flotte, à craindre celles des adversaires et de potentiels ennemis, qui eux-mêmes subissent les mêmes techniques de vente, de peurs et de harcèlements vendeurs.

    Que ce soit chez nous ou chez les voisins, on capitalise les peurs on vend les craintes. On exploite ceux que l’on a induits en erreur pour les monter contre autrui ! Il y a des pays et des lobbies qui ne vivent que de ça ! Les anciens sont dénigrés et pourchassés. On ne profite pas de l’expérience de l’autre. Les novices et les apprentis sont hués. Faut-il des chiffres et des études de sociologie pour être compris ?

    Les meilleurs finissent par partir, comme les autres. Les monuments les premiers sont à regretter. Tels nos rois, nos saints, nos leaders, nos illustres chanteurs, notre patrimoine, nos valeurs et ailleurs les plus illustres pontes et les plus grands acteurs ! Les plus célèbres restent un peu plus dans les mémoires et entrent de pleins pieds dans la culture du pays, comme s’ils n’étaient jamais morts. L’âge et les mérites ne sont pas pour rien, ils deviennent célèbres et immortels.

    Farid El Atlas, Rouicha, la plume de loutar* est mort. D’autres voix, celle des flammes et des flambeaux, Sousdi, s’est éteint le même jour. Ils sont comme un nuage de lait sur une tasse de café chaud. Huile d’olive et miel d’arganier, Oranges et Yasmine, ce Maroc suave, fort, doux et fier, qui cultive ses us et ses dons subtils. Poésie, culture, artisans et agriculture, rejoignent les murs et les champs, les ports et les cités, pour élever ce pays au rang de ceux qui comptent dans le monde et qui prospèrent dans la paix !

    Mais il est des arbres, venus d’aileurs, des monuments deux fois centenaires, que les gérants ont laissé arracher et tuer sciemment ! De quel droit ? Ah si morts,leurs bois pouvaient calciner dans l’enfer leurs corps ! Dieu pardonne-leur, car les humains, bléssés, ne savent pas le faire !

    Charisme et responsabilité

    Laissons la radio et les infos ! Une odeur délicate monte de la cuisine. Il faut aller prendre ses médicaments. Mais il fait trop froid pour se doucher. Fébrile et endolori, tu ne cesses de cracher et de tousser. La symphonie de la rue reprend de plus belle. Il faut quitter le lit et aller au bureau. Sortir de la pénombre et aller sur la scène continuer le jeu ! Laisser le délire poétique, subintrant ! Aller appliquer le capital d’expériences et de sciences apprises, pour cultiver la vie et lutter contre les faiblesses et les maladies, face aux tares et aux taxes, face aux exclusions et contre les injustices ! Robin s’est levé !

    Votre charisme et votre aura, votre savoir ou votre argent, vous ont permis d’être élu. Un vagabond, ringard vous tend la main. Résipiscence et résilience, il ne s’agit pas de lui donner l’aumône, Excellence ! Je m’adresse à vous, ô ministres intègres ! Mais c’est le fait d’assister une Association qui vous a tendu la main, pour faire du bien et que vous avez refusé de faire !

    Prêtre, berger, instrument ou laquais, vous êtes un serviteur et non un maître, Excellence ! Il est venu vous saluer, pour vous remercier ou vous demander un renseignement, voire vous féliciter. Il est venu vous saluer, civiquement, librement, même si vous êtes un ministre ou un parlementaire aujourd’hui, lui a de toujours été un militant et un citoyen ! Alors Dubon, répondez-lui poliment ! Demain vous serez vieux ou malade, exclu ou appauvris, à deux pas de partir sous la vindicte des maladies ou des huées ! Alors répondez-lui maintenant, par civisme ou par politesse. Ne restez pas obtus ou abscons ! Vous pouvez scinder les pieds pour mieux comprendre.

    Lois vicieuses, lois perfides

    Des copies impossibles du jour au lendemain, même si la planète est devenue un village. Sauf qu’on a à faire à des mascarades mondialisées, hypocrites, des profanations du réel. Opacités politiques, lois perverses et impudentes, lois scélérates et fallacieuses, mondialisées sans respect ni pudeur. Des slogans et des divagations de célébrissimes profiteurs, des strates des pays richissimes, forts de leurs exploits ordinaires, et qu’ils veulent nous inoculer, généraliser aux plus pauvres des régions éloignées, aux peuples muselés par les us et les coutumes, qu’ils exploitent, comme à ceux qui sont juchés sur les montagnes enneigées, loin des villes, des écoles et des routes, dont les langues sont étranglés et les droits ligotés. Idées borgnes, vérités faussaires, ou manœuvres stupides, qui ensorcèlent, conquièrent et emportent l’enthousiasme épaté de nos gérants. Mais, mondialisation oblige ! Il faut bien faire des progrès, même à doses homéopathiques. Et suivre les premiers coureurs, même en rampant. Ou même en reculant !

    C’est valable pour les dormeurs, les malades, les handicapés et les ministres !
    Car, qui n’aime gravir les monts, traîne à jamais dans les vallées » !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 22 décembre 2012

    _________________

    #206769

    Sujet: PERDU DE VUE

    dans le forum Café OujdaCity
    nizarovicia
    Membre

    Ce jour n’étais pas comme les autres. Il l’a considéré comme un qui est spécial , critique et sans ressemblant.
    C’est vrai !! puisqu’il métra fin a 35 ans d’immigration .
    Ca fait 25 ans qu’il a quitté son pays et ses parents , pour aller vivre sous un autre toit , un autre pays plus riche que le sien, un pays qui représentait pour lui la belle vie, le beau avenir, et le très beau rêve qui s’est réalisé après obtention de son diplôme « Docteur en management » .
    Ile se souvient encore du jour dans lequel il a obtenu son visa pour le canada ! il s’est éclaté de joix !! enfin fini la pauvreté ! et je vais embrassé la terre du pays du paradis !! les portes du paradis envin ouvertes !!! il a annoncé la bonne nouvelle a ses parents.
    Sa mère a su qu’elle ne va pas supporter son éloignement d’elle « c’est mon unique enfants » disait elle .
    Son père lui disait a son tour « c’est vrai mais on peut rien faire !! mais soyons raisonnables , soit sûr qu’on bien élevé notre petit et certainement dés qu’il va stabiliser sa situation il va revenir nous voir !! tu vois !! même pas un an et tu va le revoir ! cesse de pleurnicher ! c’est un homme maintenant et il doit chercher son bonheur ! construire son avenir ! c’est un vrai homme et saches qu’il va revenir avec grandes choses de là-bas !! c’est mon fils je le connais très bien !! j’ai confiance en lui » , il disait cela seulement pour consoler la maman et se consoler lui-même ! mais de son fond il savait que peut être qu’il va jamais le revoir !! il a su cela car quand il lui avait posé une question demandant si il allé revenir rapidement ? il n’a pas pu trouvé de réponse !
    A l’aéroport il leur a dit « n’ayez pas de crainte !! je ne vais pas m’absenter longtemps . juste le temps pour faire ma carrière et je vair revenir vous voir ! je reviendrais après , je vous promet ! et je vais vous rappeler a chaque fois que j’aurais l’occasion . chaque week-end ! pourquoi pas ?
    Il se souvient encore de la dernière fois dans laquelle il avait embrassé ses parents ; il leur a dit alors que leurs larmes ne cessait de tomber « je vous rappel dés que je serais là-bas !! prenez soin de vous !! ne pleurez pas s’il vous plais !!!!
    Sa mère lui a répondu : « souvient toi petit que t’a famille t’aime trop , et que même l’argent du monde ne sera te la remplacer !!
    Puis partit ! jamais il n’est revenu ! ni téléphoné !
    Il est au canada . il se souvient qu’il a été bien reçu … il a trouvé un beau job … ………….. il commencé a gagner de l’argent …………. monté sa propre entreprise ….. s’est marié avec un canadienne.. a eu des enfants mais un jour il s’est bloqué devants le miroir !! ou est ce jeune marocain plein de rêve et d’espoirs ? c’est un vieux maintenant !! il bien réalisé tout ses rêves !! mais il a perdu aussi beaucoup de choses !!!!! 35 ans passé sans un seul instant de repos ! de concentration !!
    35 ans passa si vite a un point qu’il ne s’est même pas rendu compte de son âge ni du temps !!!
    35 ans passa dans lesquelles il a perdu grande chose !!! les lien le liant a ses origines !!! ou en est t’il de tout cela !!! 35 ans sans avoir pris la peine de demander d’après ses parents !! les appeler !! revenir au pays !!! els voir !!!! sa religion !! ses traditions !! il collé une peau étrangère sur sa peau originale et quand il essayé de l’enlever pour voir celle d’origine il n’a pas pu le faire !!
    35 ans passé et voila qu’il se retrouve aves deux enfants canadiens ne sachant aucune choses sur leurs racines !!! du pays source !! même leurs prénoms « Nathalie et Paul »
    Il a réalisé tout ses rêves mais a perdu le plus précieux !! « les origines !! les racines !! »
    Mais il s’est dit peut être qu’il n’est pas si tard . j’ai besoin de sentir l’odeur du bled !!
    Il a demandé a ses enfants de l’accompagnes mais il ont refusé « l’Afrique ? jamais !!! mon père est devenu fou ! »
    Ça fait 35 ans qu’il parti seul et voila qu’il revient seul .
    L’avion sur terre du Maroc sous un soleil si chaud réchauffant les cœurs . la terre natale .
    Dés qu’il a mis son pied sur le goudron bien chaud la joie est revenu a son cœur !! un bonheur qu’il n’a jamais ressenti a l’étranger ! je suis revenu !! je ressens l’odeur du pays .
    « le beau soleil c’est mieux !! Mon pays !! Ma vrai vie ! Je m’en fou de tout «
    Il s’est senti prêt a laisser tout !! a perdre tout mais a une condition ; qu’il revient comme il était avants ! Amoureux de la vie ! aller de nouveau avec ses amis a la plage, s’assoir devants la porte de la maison pendant des heures et des heures en discutant avec les amis et le voisins tout en buvant un délissant verre de thé que sa mère a préparée . Beaucoup de souvenirs ……
    Il prit le chemin de la ville natale. tout a changé.. Ou sont les arbres flottants dans un vert éblouissant ? la belle nature ? il y’en a que des bâtiments !! Des villas sur les côtés ! des usines ! Des nouveaux quartiers ! la ville pleines de voitures de cars, d’autobus ! tout a changé a un point qu’il même pas su d‘ou aller a fin d’escaler enfin sur son quartier !! il n’a pas pu le reconnaitre qu’après avoir demandé a un passant .
    Tout a coup il Lisa dans une pancarte d’un café un nom familier pour lui « café liberté » c’est bien celui dans lequel il passait ses soirée avec ses amis. même le café changé « grandit, devenu plus splendide, plus moderne ».
    Son cœur a commencé a battre rapidement !! il savais que leurs maison familiale se trouvait juste derrière ce dernier !!
    Il s’approchas pas a pas ! en c’était la grande surprise !! y’a plus de maison !! y’a juste une terre vague !! il commença trembler !!! ses dents rinçais !! avans qu’il se retourna il entendit une voix derrière lui disant : « vous cherchez quelque chose monsieur ?
    – S’il vous plaît ! connaissez-vous les propriétaires de cette terre ? enfin les ancien habitants de la maison qui se trouvait içi ? sur cette terre ?
    – Non mais j’ai entendu parlé que la terre s’est écroulée la tête des ses habitants et il sont mort tout les deux !! les pauvres ! cette maison était vraiment un danger pour les voisins car il était trop vielle !! vous savez avec les pluies que connais la région c’est tout a fais normale que se genre d’habitation ne puisse y résister !!
    A cet instant même il a senti que ses jambes n’ont plus de forces pour le tenir !! tombé sur terre .
    « Je suis perdu »

    Conclusion : « aimez vous ! y’a rien dans cette vie qui pourra remplacer votre famille !! vos parents ! vos frêres et sœurs ! vos conjoints , vos grand parents ,oncles, tantes, cousins , neveux, amis ni vos origines , aves mes salutations ; EL AKKAF Nizar 2011-12-31 »
    EL AKKAF Nizar
    31/12/11

    #206793
    sara2
    Membre

    bonjour, y a t il une location de voiture FREELOC a OUJDA ??,je veut louer une Voiture pour mon séjour à OUJDA et j’ai entendus parler de l’agence FREELOCet de sont professionnalisme, j’ai déjà eu des problèmes avec des loueurs peut scrupuleux sur oujda et je sais que je ne suis pas la seul à qui c’est arrivée.

    merci de me donner vos avis et les coordonner de cette agence.

    #209775

    En réponse à : appel aux gens d’ahfir

    majdeline
    Membre

    je suis d »ahfir et sa fait presque 6 ans que je ne suis pas décendu je voudrais savoir si il i ya des personnes qui on habiter cette cet rue zankat tafouralt? 😛

    #279536
    houmidi59
    Participant

    Episode XII :les résultats des recherches (2)


    Le soir vers six heures, tout le monde était rentré au bercail : les inspecteurs, les brigadiers, les sous brigadiers, les sergents, les détectives …enfin presque tout le monde ; car, l’inspecteur Rachid Slaoui n’était pas encore là.
    L’inspecteur Halabi s’apprêtait à déclarer l’ouverture de la réunion, quand celui-ci apparut sur le seuil de la porte :
    _ Désolé pour le retard, avoua-t-il penaud, j’ai bu un verre de thé avec monsieur Driss Hamdi et je ne me suis pas rendu compte du temps
    _ Pas de problèmes, le rassura Aïssam ; cependant, on espère que tu nous apportes quelque chose de nouveau
    _ Pour ça, sois en certain, conclut le retardataire
    Sur ce, le brigadier Hazim lit son rapport :
    Comme vous me l’avez demandé, inspecteur, je suis allé à l’appartement de Driss Hamdi qui se trouve au quartier Saada .J’ai sonné plusieurs fois de suite : aucun signe de vie .Quelques instants plus tard, j’ai entendu quelqu’un toussoter .J’ai sonné une nouvelle fois .Aussitôt, un homme est apparu sur le seuil de la porte .Il était en pyjama, ses cheveux étaient ébouriffés et ses pieds étaient nus. Quand je lui ai montré ma carte de police, il m’a prié de l’excuser pour un moment juste de rétablir un peu d’ordre .Quelques minutes après, il m’a fait entrer dans un superbe salon qui sentait le moisi. C’est évident, il est presque fermé .
    Donc, je lui ai fait part du but de ma visite. Mais avant, je lui ai présenté mes condoléances pour la mort de sa nièce .
    Il m’a regardé stupéfait ; puis, il s’est laissé tomber dans un fauteuil. Il n’a pas cessé de répéter : c’est impossible ! C’est impossible !
    Après être calmé, il a essayé de savoir comment elle était morte .Je lui ai dit qu’elle a été assassinée .Sur le coup, il a dit : ce ne peut-être que son mari.
    Je n’ai fait aucun commentaire à propos de cette révélation.
    Après quoi, je lui ai posé des questions sur ses relations avec la défunte et son mari. Il a été sincère et n’a pas caché son antipathie envers son gendre. Il a dit textuellement : « j’entretiens de bonne relations avec ma nièce ; nous nous échangeons chaque fois des visites de courtoisie. La vérité , elle est généreuse et toujours souriante ; par contre son mari parait lugubre et se fâche par le moindre mot qui le contrarie. J’ai remarqué aussi qu’il a une dent contre mon fils Oualid. Pourtant, ce dernier ne lui a rien fait à part un jour il était ivre et il a voulu embrasser sa cousine .Bien entendu, ça n’a pas plus au directeur .Pour clore cet incident, Siham a du gifler Oualid qui s’est aussitôt esquivé de la cérémonie.
    Depuis, il déteste mon fils et ne lui adresse même pas la parole. On peut dire que c’est quelqu’un de rancunier
    Je lui ai demandé aussi si le directeur lui a rendu un jour un service .Il a répondu par la négation ; il a ajouté :
    _ C’est un complexé et il n’aime personne, même sa femme.
    Puis, je lui ai demandé de me parler un peu du mariage de sa fille Ahlam
    Il m’a dit que la cérémonie s’est bien déroulée et qu’il y avait beaucoup d’invités.
    A un moment, il a remarqué que sa nièce n’était pas encore là. Alors, il a envoyé Oualid chez elle
    Je lui ai demandé :
    Quelle heure était-il en ce moment ?
    Sa réponse était : aux environs de dix heures
    Ensuite, il m’a dit qu’il était tellement occupé par l’accueil des invités qu’il a oublié sa nièce .Vers cinq heures du matin, il est allé se coucher ; tandis que sa femme et ses enfants étaient restés là-bas.
    Bien entendu, il m’a affirmé qu’il n’allait se réveiller que le lendemain matin ; mais mon arrivée l’a mise debout sans le vouloir. Néanmoins, il voit que c’était une chose importante. Aussi, il a téléphoné à sa femme et son fils pour leur annoncer la mauvaise nouvelle
    Et pour Ahlam ? Je lui ai dit
    Il a répondu qu’il ne voudrait pas la tourmenter ; d’ailleurs, ce matin elle est partie pour Agadir pour passer une semaine avec son mari au bord de la mer.
    Je l’ai quitté sans rien ajouter
    _ Bravo, brigadier Hazim, vous avez fait du bon boulot, le complimenta l’inspecteur Halabi
    Puis :
    _ A vous inspecteur Mellassi !
    Celui-ci regarda autour de lui ; puis déclara sans ambages :
    Comme l’a dit monsieur Driss Hamdi, la cérémonie s’est bien déroulée .Aucun incident à part quelques problèmes sans importances comme par exemple : un des serveurs vient de renverser de la limonade sur la tenue de soirée de l’une des invités , ou un enfant âgé de dix ans qui vient de voler un poulet .Au fait , il n’était pas invité. Enfin, Oualid était là presque toute la nuit ; je dis presque , car il a disparu juste une heure pour aller chercher sa cousine .Bien entendu, il est revenu .D’après le gérant à qui j’ai posé la question , Oualid lui a confié que monsieur Sedrati l’a chassé comme un chien et qu’il lui aurait dit que ni lui ni sa femme ne viendraient à la cérémonie .J’ai aussi réussi à savoir son état du moment .Quatre témoins m’ont affirmé que son visage était blême et qu’il ne cessait de trembler .
    Dès le lever du soleil, il a disparu
    Pour ce qui est de la mariée , elle était contente et à aucun moment elle n’a quitté son siège ; de même pour son futur mari.
    Il y a aussi un détail important : on a vu un homme chauve, et qui porte des lunettes en écaille, roder dans les alentours .J’ai réussi à avoir un portrait de lui : il mesure entre un mètre quatre vingt et un mètre quatre vingt dix ; il a une longue moustache ; sa peau est brune et ses lèvres sont pendues. Il a fumé quelques cigarettes ; puis il a jeté la paquet .Des jeunes l’ont ramassé sur le champ.
    Un quart d’heure plus tard, il a disparu à son tour.
    _ Voilà un élément important qui va nous aider dans notre enquête, intervint l’inspecteur Halabi.
    Puis à Rachid :
    _ S’il te plait tu veux bien faire un petit saut aux « identifications » pour nous réaliser un portrait robot de ce personnage ?

    #279537
    houmidi59
    Participant

    Episode XI :les résultats des recherches (1)

    L’inspecteur se dirigea vers le laboratoire des expertises judiciaires. Il fut accueilli par le brigadier Moussaoui qui ne manqua pas de lui dire :
    _ On vous attend inspecteur.
    Puis, il lui remit une fiche dans une enveloppe. Celui –ci la fourra dans sa poche en murmurant un merci à son interlocuteur.
    Sur ce, il prit la direction de la demeure de la famille Sedrati. Au moment de son arrivée, il se croisa avec l’équipe du laboratoire qui venait de sortir du villa
    _ Alors, l’apostropha-t-elle, j’espère que vous avez fait une bonne pêche !
    Un homme de forte taille s’approcha de lui :
    _ Oh, il n’y avait pas grand-chose ; mais, on a trouvé des empreintes partout et aussi une carte de visite au nom de Hicham Elouafi.
    L’inspecteur Halabi paraissait satisfait :
    _ Bravo les gars .On peut dire qu’on est sur la bonne piste.
    Halabi entra dans la cour .Aussitôt, la servante vint à sa rencontre :
    _ Je vous attends depuis deux heures, monsieur l’inspecteur
    _ Pourquoi donc, ironisa celui-ci, est-ce que vous avez l’intention de partir quelque part ?
    _ Justement, j’ai beaucoup de choses à faire : faire des courses et récupérer Nisrine de l’école
    Puis :
    _ Veuillez bien vous donner la peine d’entrer
    _ Non, merci. Je suis moi aussi débordé de travail. J’aimerais bien que vous me remettiez la lettre dont vous m’aviez parlé
    _ La voilà ; elle est dans ma poche
    _ Merci, Hayat
    En s’apprêtant à partir, celle-ci lui fit part que monsieur Sedrati est rentré il y a à peine dix minutes .L’inspecteur lui demanda ce qu’il a fait.
    _ Il est allé directement dans la cuisine, déclara la servante. Il a bu une tasse de café ; puis, il est monté directement dans sa chambre en me recommandant de ne pas le déranger sous aucun prétexte. Il m’a dit qu’il allait dormir tout l’après midi, car il se sentait très fatigué.
    L’inspecteur consentit :
    _ C’est vrai, avoua-t-il, il a besoin de repos. Laissez le dormir en paix. Demain, je lui rendrai visite .Aussi dites-lui de m’attendre avant d’aller à la banque
    _ Alors, vous êtes matinal, fit remarquer la bonne
    Tout en la quittant, il dit :
    _ Moi, je ne dors presque jamais
    Pendant ce temps, l’inspecteur Rachid Slaoui
    Arriva au commissariat et demanda à voir son collègue Aïssam. On lui fit savoir qu’il serait là d’un moment à l’autre.
    Justement les deux équipes de recherche et d’investigation entrèrent simultanément dans les locaux du commissariat.
    _ Venez par là messieurs, les apostropha Rachid, et montrez-moi vos trouvailles.
    Pour ce qui est de la demeure des Sedrati, parmi les empreintes relevées, on put identifier celles de l’agent immobilier.
    Donc, pas de doute là-dessus : Hicham Elouafi serait le mystérieux visiteur de madame Sedrati et sûrement son assassin ; puisqu’il était le dernier à l’avoir vue.
    Trois preuves irréfutables contre lui : le morceau de tissu de sa veste, sa carte de visite et ses empreintes digitales. Malheureusement, il ne pourrait rien avouer, puisque lui aussi faisait l’objet d’un assassinat. Donc, il fallait s’occuper de son cas et trouver son meurtrier le plus tôt possible
    _ En sommes, conclut l’inspecteur Slaoui, pour l’affaire de Siham Sedrati c’est presque terminée
    _ Pas du tout, intervint l’inspecteur Halabi
    Ce dernier venait justement d’entrer dans le bureau de Aïssam.
    _ Ah, te voilà enfin mon cher, l’apostropha son meilleur ami. Je vais te faire un petit résumé des résultats de l’affaire Sedrati
    _ Pas la peine, trancha Halabi
    _ Alors, reprit Aïssam, on va voir ce qu’a apporté la seconde équipe
    Un brigadier fit un bref exposé :
    _ Voilà, dit-il, on a relevé des empreintes .Après différentes identifications, toutes sont inconnues de nos services. Cependant, il y avait deux empreintes assez apparentes : celle de monsieur Hicham Elouafi et celle de madame Siham Sedrati.
    _ Donc, commenta l’inspecteur Halabi, elle lui rendait visite chez lui
    Mais, attendons le retour de notre agent ; il va nous éclaircir sur ce point.
    – Quoi d’autres d’intéressant ?
    – _ Je ne sais pas si ça vous intéresse
    – _ Dites toujours !
    – Et il sortit d’un étui un peigne
    – _ Voilà un peigne qui me donne des idées, s’exclama Rachid
    – _ Moi aussi, déclara Halabi
    – _ Dis-moi, Aïssam, serais tu entrain de penser à cette idée qui tourne dans ma tête ?
    – _ Oui et je vais te le prouver !
    – Puis, en tenant le peigne par le bout des doigts :
    – _ Brigadier Moussaoui, faites identifier les empreintes qui s’y trouvent par les gars de l’archive
    – _ Au fait, sursauta l’inspecteur Rachid, j’ai montré les deux photos à Elmiloud : pas de casiers judiciaires en leurs noms
    – _ Tant mieux, conclut Halabi .Comme ça, ils ne seront pas dans la liste des suspects
    – _ Tu te trompes, mon cher : l’un d’eux a eu son compte et puis c’est prouvé. C’est lui l’assassin de madame Sedrati
    – _ Ah, excuse-moi ; ou avais-je la tête ?
    – Donc, ce qui nous préoccupe pour le moment : qui a assassiné l’agent immobilier
    – _ Oui et on est sur une piste : par un coup de téléphone anonyme, on sait que ce meurtrier est un coiffeur
    – _ Et grâce aux empreintes qui se trouvent sur le peigne, on saura sûrement à qui il appartient
    – _ Seulement, fit remarquer l’inspecteur Aîssam, on n’a pas les empreintes de Oualid Hamdi
    – _ Hein ! S’étonna Rachid .Qui est ce nouveau personnage ? Je peux déduire qu’il est de la famille de Siham puisqu‘elle porte le même nom de famille que lui. Je sais aussi qu’il la courtisait et que celle-ci l’a giflé lors d’une cérémonie.
    – Ce fut au tour de l’inspecteur Halabi d’être épaté par les propos de son collègue :
    – _ Comment as-tu eu ces informations ?
    – _ Par le directeur de la banque
    – _ On peut dire que celui-là a la conscience tranquille
    – _ Pour ça, tu as raison.
    – Halabi sourit instinctivement avant d’ajouter :
    – Et bien ce que tu ne sais pas ce coiffeur est l’un des amants de madame Sedrati.
    – Voilà ce qu’on va faire : on va le convoquer au commissariat pour lui poser des questions sur sa cousine .Bien entendu, sans parler de ses relations intimes avec elle.
    – On lui sert du café et quand il partira, on relèvera ses empreintes sur la tasse
    – _ Un jeu d’enfant, conclut l’inspecteur Slaoui.
    – Soudain, l’inspecteur se rappela de quelque chose :
    – _ Mais, j’y pense ! J’ai une lettre de lui qu’il a envoyée à sa bien aimée Siham
    – _ Qu’est ce que tu attends pour nous la faire lire ?
    – _ Mais, d’abord, il faudra faire relever les empreintes qui se trouvent à l’intérieur de l’enveloppe
    – Puis :
    – Donne-moi des gants pour la décacheter .Ainsi, je pourrai la lire en toute sécurité
    – Après quelques instants, l’inspecteur lit le contenu de la lettre :
    – Ma bien aimée Siham
    – C’est la dernière lettre que je t’envoie. Si tu acceptes de vivre avec moi en concubinage, je n’aurais plus besoin de t’écrire. Alors, s’il te plait, prends ta décision .Tu as deux options : soit demander le divorce ou bien accepter ma proposition
    – Bien entendu, il s’avère que tu ne peux pas rompre avec lui à cause de ta fille .Ce n’est pas un problème pour moi si tu acceptes de vivre avec moi juste quelques heures par jour
    – Réponds-moi vite, car j’ai hâte de savoir ta décision
    – Celui qui t’aime de tout son cœur Oualid
    – Après l’avoir relue, l’inspecteur Aïssam pria son collègue de porter la lettre au laboratoire pour relever les empreintes et les comparer avec celles du peigne
    – _ Mon vieux, conclut Rachid, d’ici peu tout s’éclaircira

    #216174

    En réponse à : Presentez vous

    hifou117
    Membre

    bonjour tout le monde, je vien de m’inscrire sur le dite oujda city..je commence par me présenter je suis farah j’ai 33 ans, je qui une rbati qui vis à oujda depuis plus de 10 ans, je me rappelle que je suis arrivée à oujda – pour raison professionnelle -en pleurant, je vous assure et je je n’éxagère pas, je pleurai ma chance qui m’a amener ici le premier jour, mais aujourd’hui voilà plus que 10 ans que je suis là, il m’est difficile de me voir vivre ailleur, je me suis habituer à cette ville avec tout ses défauts et toutes ses qualités..voilà..ce n’est pas tout il ya plein d’autres choses à dire, mais je laisse le reste pour animer nos débat pour une prochaine fois..

    #207009
    ouafaei
    Membre

    Bonjour à tous,

    Le but de ce programme est de lire un fichier .txt ou des valeurs sont stockées, et puis les stocker dans un arraylist.
    on lit le fichier ligne par ligne. s’il y a 2 valeurs, on construit un point. 4 valeurs sur une ligne, on construit une droite et sinon on doit afficher un message en disant veillez resaisir les valeurs. Après dans la classe DessinPoints, on doit lire ces valeurs pour dessiner des points ou des droites.

    j’ai fait ces codes. Mais, comme je suis débutante, je ne sais pas gérer les exceptions, ni utiliser la méthode drawline.
    je ne sais pas aussi comment exploiter la valable listpts qui se trouve dans DessinPoints.
    Comment on peut aussi redimentionner la fenêtre sans qu’on efface le contenu, càd les points et les droites dessinés

    Merci beaucoup.
    Voici le code.



    package dataPoints;
    import java.awt.*;


    import geomD2.DroiteD2;
    import geomD2.PointsD2;

    import java.io.FileReader;
    import java.io.LineNumberReader;
    import java.util.ArrayList;
    import java.util.StringTokenizer;

    import java.awt.event.*;

    public class DataPoints extends ArrayList>{
    double min_x, min_y, max_x, max_y;
    ArrayList vectPoint;
    public DataPoints(String fichier){
    LineNumberReader lecteurLignes = null;
    try{

    lecteurLignes = new LineNumberReader (new FileReader(fichier));
    String ligneTexte = null;
    vectPoint = new ArrayList
    ();
    while ((ligneTexte = lecteurLignes.readLine()) != null) {
    StringTokenizer st = new StringTokenizer(ligneTexte);

    if (st.countTokens() == 2) {
    //stoker les points dans le vecteur courant
    Double X = new Double(st.nextToken());
    Double Y = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point = new PointsD2(X,Y);
    vectPoint.add(Point);
    }
    if (st.countTokens() == 4 ) {
    Double X = new Double(st.nextToken());
    Double Y = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point = new PointsD2(X,Y);
    Double X1 = new Double(st.nextToken());
    Double Y1 = new Double(st.nextToken());
    PointsD2 Point2 = new PointsD2(X1,Y1);
    DroiteD2 Droite = new DroiteD2(Point,Point2);
    //vectPoint.(Droite);


    }
    }
    System.out.println(vectPoint);
    }
    catch(Exception e) { e.printStackTrace(); }
    min_max();
    }
    private void min_max() {
    // completer

    }
    }





    package dataPoints;
    import geomD2.DroiteD2;
    import geomD2.PointsD2;

    import java.awt.*;
    import java.util.ArrayList;

    import javax.swing.JComponent;
    import javax.swing.JPanel;



    public class DessinPoints extends JPanel {


    DataPoints listPts;
    int bord; // taille des bords
    int enveloppe; // dimension des rectangles


    public DessinPoints (DataPoints pts, int largeur, int hauteur, int bord, int enveloppe) {
    this.listPts = pts;
    this.bord = bord;
    this.enveloppe = enveloppe;
    Dimension tailleOriginal;

    }
    public void paintcomponent (Graphics g) {
    super.paintComponent(g);
    g.setXORMode(Color.RED);
    Dimension tailleSuivante = new Dimension (this.getSize()); //Affectation de la nouvelle taille de la fenêtre
    JComponent tailleOriginal = null;
    double factEchX = tailleSuivante.getWidth()/tailleOriginal.getWidth(); //calcule du facteur de l'échelle sur l'axe X
    double factEchY = tailleSuivante.getHeight()/tailleOriginal.getHeight(); //calcule de facteur de l'échelle sur l'axe Y

    for (int i=0;i ArrayList ptLu = (ArrayList)listPts.get(i); //Liste des point courants
    //Test si il a 1 ou 2 point pour l'affichage de ses dernier avec ou sans la droite
    if(ptLu.size()==1){
    //Affichage des points
    g.drawRect((int)(ptLu.get(0).getX().intValue()*factEchX),(int)(ptLu.get(0).getY().intValue()*factEchY),enveloppe,enveloppe);
    }
    if(ptLu.size()==2){
    int milieuPointX1,milieuPointY1,milieuPointX2,milieuPointY2; //Coordinées central des points pour l'affichage central de la droite

    //definition du milieu des points
    milieuPointX1 = ptLu.get(0).getX().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointY1 = ptLu.get(0).getY().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointX2 = ptLu.get(1).getX().intValue()-enveloppe/2;
    milieuPointY2 = ptLu.get(1).getY().intValue()-enveloppe/2;

    //Affichage des points
    g.drawRect((int)(milieuPointX1*factEchX),(int)(milieuPointY1*factEchY),enveloppe,enveloppe);
    g.drawRect((int)(milieuPointX2*factEchX),(int)(milieuPointY2*factEchY),enveloppe,enveloppe);

    //Création de la droite
    DroiteD2 droite = new DroiteD2 (ptLu.get(0),ptLu.get(1));
    //Affichage de la droite
    g.drawLine((int)(droite.getIntersectionX().intValue()*factEchX),0,0,(int)(droite.getIntersectionY().intValue()*factEchY));
    }
    }
    }





    }






    package dataPoints;
    import javax.swing.JFrame;

    public class Grapheur {
    public static void main(String[] args) {
    DataPoints listePts = new DataPoints ("fichier.txt");
    System.out.println(listePts);
    DessinPoints monGraphe = new DessinPoints(listePts,600,400,10,10);
    JFrame f = new JFrame();
    f.setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE);
    f.add(monGraphe, "center");
    f.setTitle("Grapheur");
    f.setSize(400, 400);
    f.setVisible(true);
    }

    }


    #275641
    nanette27
    Membre

    Merci infiniment Nordest pour cette riche réponse !
    (et à Alaa edine pour ton message de bienvenue 😀 )
    Je n’osais espérer si complète réponse, et curieusement je ne l’ai vue qu’aujourd’hui.

    Je suis également heureuse de voir que je ne suis pas la seule à la recherche d’infos sur l’origine de ces tribus …
    et donc ta réponse aidera très certainement beaucoup d’autres personnes à retrouver leur histoire, ce qui est fondamental dans la construction psychologique (entre autres) des personnes .. tous ces déracinements ayant fait plutôt du mal à nos frères et soeurs de toutes tribus perdues.

    Encore merci !!

    #207004
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    APPEL DE L’AAMM : HYPER URGENT DE SOLIDARITÉ

    AAMM ,

    ON NE SE COUVRE PAS LA TÊTE POUR DEMANDER DE L’AIDE ! SURTOUT POUR UN MALADE GRAVE. APPEL DE L’AAMM POUR AIDER SAMIA, MYASTHENIQUE GRAVE , D’AZROU – MAROC

    CHERS AMIS DU MAROC , DE FRANCE ET D’AILLEURS,

    JE VIENS DE RECEVOIR IL Y A UN MOMENT CET EMAIL . LE VOICI TEL QUEL !

    Cher Dr. Idrissi.

    Je suis ravi de vous écrire cet e-mail pour vous dire que j’ai déjà parlé à votre association par téléphone pour vous informer du cas d’une jeune fille A . Samia d’Azrou qui est myasthénique.

    Elle est d’une famille démunie et nécessite une opération comme indiqué dans son dossier médical.

    J’été bien accueilli au téléphone de la part de votre secrétaire Mme Fatima qui m’a bien expliqué votre rôle humanitaire à aider les malades myasthéniques au Maroc.

    Abouali Samia a besoin de TEGELINE et D’AUTRES MEDICAMENTS cités dans son dossier.

    Ici à Azrou nous sommes en train de collecter des dons pour pouvoir acheter la Tégéline et j’espère que votre association peut nous envoyer d’autres médicaments ou nous donner des conseils sur son état.

    Samia est évacuée le lundi dernier 05/12/2011 au CHU de Fès à cause de l’aggravation de son état.
    On doit agir le plus vite possible pour qu’elle puisse être opérée

    Merci Docteur de votre collaboration et de votre action humanitaire.

    Mon adresse est : O. Abdelmounaim

    Tel : 0535………. 066…… BP : …… Ifrane.

    ************************************
    EN PLUS CLAIR, LECTEURS, COMMENT PEUT-ON L’AIDER ?
    CONTACTEZ SVP LE DR IDRISSI MY AHMED
    AU 112, AVENUE DIOUIRI, KENITRA
    EMAILS : aamm25@gmail.com
    TELFAX : 0537376330 , ASSISTANCE : 0661252005

    ********************************************

    #279648

    En réponse à : LA CIGALE ET LA FOURMI

    mounavri
    Membre

    CAFARDS IMMIGRES CHANGES EN CAFARDS AFFAMES .

    je crois que ça va comme ça !!
    ========================================
    Vous aviez dis :
    NOTRE CULTURE DE OUJDA, TANGER A LAGOUIRA
    EST FAITE DE VALEURS HUMANITAIRES
    MALGRÉ NOS FAIBLES MOYENS .
    UNE CIVILISATION ÉPRISE DE MULTICULTURE ,
    D’OUVERTURE SUR AUTRUI
    ET D’ HOSPITALITÉ ENVERS LES ÉTRANGERS

    Sincèrement, est-ce que vous pensez que nos concitoyens
    actuels sont à la hauteur de cette culture ? et surtout dans
    le contexte politique arabe actuel !!
    Vu votre rang social , je suis sûr que vous m’avez compris !!

    #206992
    mounavri
    Membre


    *VERSION ALLEMANDE *

    Une fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.
    Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver.
    La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue.
    Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
    La cigale grelottante de froid n’a ni nourriture ni abri, et meurt de froid.
    FIN.


    *VERSION FRANCAISE*

    La fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.
    Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver.
    La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue tout l’été.
    Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
    La cigale grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi la fourmi a le droit d’être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux comme elle, ont froid et faim.
    La télévision organise des émissions en direct qui montrent la cigale grelottante de froid et qui passent des extraits vidéo de la fourmi bien au chaud dans sa maison confortable avec une table pleine de provisions.
    Les Français sont frappés que, dans un pays si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale tandis que d’autres vivent dans l’abondance.
    Les associations contre la pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi.
    Les journalistes organisent des interviews, demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi afin qu’elle paie ‘sa juste part’.

    La CGT , Le Parti Communiste, la Ligue Communiste Révolutionnaire, les Verts, le Modem, la Nouvelle Gauche, la Nouvelle Droite, le Juste Centre, organisent seat-in et manifestations devant la maison de la fourmi.
    Les fonctionnaires décident de faire une grève de solidarité de 59 minutes par jour pour une durée illimitée.

    Un philosophe à la mode écrit un livre démontrant les liens de la fourmi avec les tortionnaires d’Auschwitz.
    En réponse aux sondages, le gouvernement rédige une loi sur l’égalité économique et une loi (rétroactive à l’été) d’anti-discrimination.
    Les impôts de la fourmi sont augmentés et la fourmi reçoit aussi une amende pour ne pas avoir embauché la cigale comme aide.
    La maison de la fourmi est préemptée par les autorités car la fourmi n’a pas assez d’argent pour payer son amende et ses impôts.
    La fourmi quitte la France pour s’installer en Suisse où elle contribue à la richesse économique.

    La télévision fait un reportage sur la cigale maintenant engraissée.

    Elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit encore loin.
    Des rassemblements d’artistes et d’écrivains de gauche, se tiennent régulièrement dans la maison de la fourmi.

    Le chanteur Renaud compose la chanson ‘Fourmi, barre-toi!’…
    L’ancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale, se détériore car cette dernière n’a rien fait pour l’entretenir.
    Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens.
    Une commission d’enquête est mise en place, ce qui coûtera 10 millions d’euros.
    La cigale meurt d’une overdose.

    Libération et L’Humanité commentent l’échec du gouvernement à redresser sérieusement le problème des inégalités sociales et à lutter contre la détresse de la cigale.

    La maison est squattée par un gang de cafards affamés.

    Les cafards organisent un trafic de marijuana et terrorisent la communauté…

    Le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.

    FIN

    #279549
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode X : à la morgue

    L’inspecteur Halabi sortit aussitôt du commissariat .Il monta dans sa voiture et se dirigea directement vers la morgue.
    Arrivé sur les lieux, il rencontra sur le seuil de la porte l’inspecteur Abderrahim Salhi. Ce dernier vint vers lui :
    _ Bonjour, vieil dinosaure, alors bien dormi ?
    _ Comme vous mon cher !
    _ Ce qui veut dire, expliqua l’homme à la moustache, que cette affaire vous ronge les ongles.
    _ C’est le cas de le dire.
    Alors, ils entrèrent dans le bâtiment tout en continuant la discussion :
    _ Dites-moi Abderrahim, y a-t-il du nouveau au sujet du meurtre de Hicham Elouafi ?
    _ On vient de recevoir un appel anonyme au troisième arrondissement.
    _ De quoi s’agit-il ?
    _ Quelqu’un qui s’est présenté sous le nom du « bienfaiteur » nous dit qu’il connaît le meurtrier de l’agent immobilier ; puis il a raccroché.
    _ Bien entendu, il vous est difficile de détecter l’endroit de l’appel.
    _ Pas du tout : l’appel vient d’un téléphone public dans la rue de la Paix près de l’arrêt du bus.
    _ Alors, je pense que vous avez posté vos hommes là-bas !
    _ Quelle idée ! Mais bien sûr .Deux de nos hommes montent la garde à tour de rôle dans un petit coin discret.
    _ Voilà qui est bien parlé, ne manqua de faire remarquer l’inspecteur Halabi à son collègue.
    Ce dernier tout fier :
    _ D’ailleurs, j’attends d’un moment à l’autre l’appel de l’un d’eux dès l’apparition du « bienfaiteur ».
    _ Je crois qu’il n’est pas assez sot pour retourner à la même cabine téléphonique.
    Soudain, le téléphone portable de l’inspecteur Salhi se mit à sonner :
    _ Allo, dit-il à son interlocuteur, quoi de nouveau ?
    Après un bref silence entrecoupé par des : oui, bien, c’est ça !il se retourna vers l’inspecteur Halabi :
    _ Aïssam, vous avez raison : il vient de téléphoner d’une autre cabine téléphonique sise au boulevard Mohammed VI près d’un kiosque à journaux.
    _ Alors, a-t-il dit quelque chose ?
    _ Il dit que le meurtrier est un coiffeur
    _ C’est tout ?
    _ Rien de plus et il a coupé la communication.
    L’inspecteur réfléchit un moment :
    _ Vous dites un coiffeur ….. hum, la bonne des Sedrati vient d’évoquer un certain coupeur de cheveux qui s’appelle Oualid Hamdi .Pour votre information, c’est le cousin de Madame Siham Sedrati.
    Puis, il lui donna un compte rendu des déclarations de Hayat Benhoud
    _ Donc, résuma l’inspecteur Abderrahim l’affaire, l’amant de madame Sedrati vient de mettre fin à l’assassin de cette dernière.
    _ C’est assez plausible comme conclusion, mais …
    _ Mais quoi ?
    _ il y a quelque chose qui cloche : Comment a-t-il fait pour trouver assez vite le présumé assassin ?
    _ Un appel téléphonique, comme celui du « bienfaiteur » pardi !
    _ Bravo, mon cher Abderrahim .Là, vous venez d’éclaircir un point important
    Donc, voilà comment je vois la nouvelle situation : madame Sedrati avait trois amants : l’agent immobilier, le coiffeur et le bienfaiteur .Je crois que cette femme était mystérieuse.
    _ Continuez, vous m’intéressez !
    _ Au début, elle entretenait une liaison avec son cousin ; puis elle a fait la connaissance de Hicham Elouafi et enfin avec le troisième qui est pour l’instant un inconnu pour nous.
    Madame Sedrati rencontrait les trois hommes à la fois dans différents endroits : le premier chez elle, le second dans son salon de coiffure et le troisième, sûrement au super marché. Comme ça , les trois amoureux ne se rencontreraient jamais et aucun d’eux ne douterait de l’existence des autres.
    Mais, l’imprévu était arrivé : un jour Elouafi l’a vu entrer chez le coiffeur et bien entendu il a réalisé qu’elle le trempait .Alors, il a décidé de la tuer …
    L’inspecteur Abderrahim l’interrompit aussitôt :
    _ Jusque là ça tient debout ; mais, mon cher, comment l’agent immobilier a été assassiné deux heures après le meurtre de madame Sedrati ?
    _ J’avoue ne pas y avoir pensé à cela
    _ Donc, le seul moyen qui nous reste : mettre la main sur ce troisième inconnu et qui se nomme le bienfaiteur
    Arrivé dans la salle frigorifique, ils aperçurent Le docteur Abdelhamid Choukri qui regardait à l’aide d’une loupe l’intérieur de la bouche d’une femme morte.
    _ Bonjour toubib l’apostropha l’inspecteur Halabi ; êtes-vous devenu dentiste à vos heures ?
    _ Bonjour, doc, je suis venu pour récupérer le rapport d’autopsie de Hicham Elouafi.
    Le médecin fit la sourde oreille et continua ses examens .Aussitôt, à l’aide d’un scalpel, il arracha une dent qu’il immergea dans un liquide blanc .Immédiatement, le liquide devint bleu et le médecin légiste hocha sa tête avec un air satisfait : elle avait avalé du cyanure.
    _ Comment cela, docteur, s’interrogea Halabi
    _ Elle a écrasé une ampoule contenant du poison entre ses dents. Comme vous voyez, le liquide est devenu bleu. Ce qui explique l’existence d’une substance à savoir un poison.
    Et de conclure : Cette femme vient tout simplement de se suicider.
    Puis, il la recouvrit et s’approcha d’un lavabo pour se laver les mains.
    Après cette opération hygiénique, il demanda à ses interlocuteurs de le suivre à son bureau .Arrivés là-bas, il remit à chacun un rapport détaillé.
    L’inspecteur Aïssam se mit à feuilleter furtivement le dossier ; tandis que l’inspecteur Salhi le fourra dans poche.
    Sur ce, le docteur Abdelhamid leur donna un bref aperçu du contenu des deux rapports :
    _ Messieurs, pour ce qui est du premier rapport, madame était enceinte de deux mois .J’ai fait des analyses sur le fœtus : ça concordait avec le sang et les spermatozoïdes du défunt Elouafi.
    _ Donc, conclut Abderrahim, il serait le père de l’enfant
    Le médecin le foudroya du regard et continua :
    _ Pour ce qui est du second rapport : le dénommé Elouafi souffrait d’un cancer de sang ; il était encore dans ses premières phases, mais je ne lui aurais pas donné plus de trois à quatre mois de survie. J’ai relevé des empreintes que j’ai envoyées directement au laboratoire des expertises. Vous devez aller là-bas pour en savoir plus
    Bon, je vous ai dit l’essentiel ; le reste des informations sur la mort de chacune des victimes sont sans aucune importance pour votre enquête.
    Les deux inspecteurs le quittèrent après l’avoir remercié chaleureusement.

15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 6,173)
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