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15 réponses de 331 à 345 (sur un total de 1,526)
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  • amiraldo1
    Membre

    تكرم فريرو
    😕

    merci amiraldo ca va nous aider a ecrire en arab bdoun mo3anat 🙂 kattar khirk frero

    amiraldo1
    Membre

    bonjour,
    essayez ce clavier pour ecrire en arabie alphabet.
    لوحة جميلة وسهلة
    http://www.clavier-arab.org
    للفائدة
    تحية

    #271694

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Hafida était une personne aussi jolie que vaniteuse .Depuis sa venue au lycée, elle s’était fait beaucoup de liaisons avec les garçons .Elle avait même essayé de lier des connaissances avec certains professeurs .
    Donc , Hafida était jalouse de ma relation avec Aziza.Elle croyait qu’elle allait m’attirer par sa beauté et ses manières du savoir vivre.Mais , elle se trompait jusqu’à s’enfoncer le doigt dans la pupille de l’œil !
    Le lendemain matin, je passai par la demeure de Aziza.Qu’elle fut ma joie de voir que la porte était entrouverte et sur le seuil de la porte une jeune fille qui balayait le trottoir .
    Je m’approchai de la dite personne et la saluai ,avant de lui demander d’avertir Aziza de ma venue .
    La petite « balayeuse me regarda un moment surprise , puis répondit tout simplement :
    _ » Quel Aziza , jeune homme ?
    Cette question était loin de me rassurer :
    _ » Ben, la fille qui habite cette maison.
    Pour lui prouver que je savais de quoi je parlai, j’ajoutai:
    _ » Vous savez, je suis venu maintes fois visiter mon amie ici.Alors, s’il vous plait, dites lui que Hamidou l’attend.
    La bonne me dévisagea longuement.J’eus l’impression qu’elle voulait savoir mon poids et ma taille.Enfin, elle dit:
    _ » Attendez un moment, je vais appeler le monsieur de la maison.Lui, il saura vous répondre .
    Et elle entra dans la maison , laissons derrière elle son balai .
    Quelques minutes après, un vieil homme , qui devait avoir dans les soixante piges s’approcha de moi .C’était la première fois que je le voyais.Pour vous dire qu’il n’avait aucun lien de parenté avec mon ami; surtout pas son père, puisque ce dernier , je lui avais parlé des fois quand je revenais en compagnie de Aziza.
    Bien entendu, lui aussi parait ne pas me connaitre.Aussi, il dit to de go:
    _ » On m’a dit que tu cherches une certaine Malika !
    Je rectifiai:
    _ Non, monsieur, Aziza.
    Le sexagénaire se contenta de sourire et ajouta:
    _ » Malika, Aziza, ou Rahma , peu importe .Dans cette maison, il n’y a pas de filles à part la bonne que tu as vue .
    Je restai perplexe un certain moment .Mon silence ne dura pas longtemps.Aussi je lui dit:
    _ » S’il vous plait, monsieur , depuis quand habitez-vous cette maison ?
    _ Depuis un mois environs…Pourquoi ?
    _ La famille qui habitait là, où est elle ?
    _Ah, tu parles de hadj Abdeslam .Mon petit, il m’a vendu sa maison il y a presque 6 mois .
    Je crois bien qu’il était assez endetté , le pauvre.
    Après un bref silence dû à une toux passagère, il continua:
    _ Il m’ a dit qu’il irait s’installer à Fes .D’ailleurs, il est originaire de cette ville.
    J’hésitai un moment avant de dire :
    _ » Dites-moi, s’il vous plait, quels sortes de problèmes avait monsieur Abdesslam ?
    Le vieux fit la moue et répliqua:
    _ » A vrai dire, je ne sais pas .
    Il se tut ,comme s’il essayait de se rappeler des détails .Soudain, il dit:
    _ ça y est, j’y suis !Il parait que c’était un mordu du poker .Je crois qu’il a perdu une grosse somme d’argent .
    Je pris congé du vieux et retournai chez moi .Tout simplement, je n’avais plus le goût des études.

    A suivre……..

    houmidi59
    Participant

    Le mardi 22 avril 2008, je me suis inscrit sur Oujda-City.Mon but était enrichir le site par mes connaissances, faire profiter les jeunes de mes expériences et bien entendu, connaitre ces derniers à travers leurs écrits , et pourquoi pas discuter avec eux des différents sujets qui les préoccupent .
    Ainsi, j’ai toujours consacré une grande partie de mon temps libre pour réaliser ce but.Je voulais donner le meilleur de moi.Aussi, je ne vous cachais rien , vous disais tout et même vous faire partager des moments de détente et de joies à travers les nouvelles que j’écrivais pour vous les jeunes.
    Un mois après mon inscription à Oujda-City, j’ai rejoint un autre site : Hakwara .
    Mon but était toujours le même .Alors, j’ai doublé d’efforts pour satisfaire le plus grand nombre possible de jeunes que je considère comme mes fils et mes filles.
    Maintenant, après, quatorze mois , je réalise que j’ai une place dans les deux sites.Je suis respecté et j’ai beaucoup d’admirateurs .
    Malheureusement, j’ai des ennemis .Ces ennemis qui font tout pour me créer des obstacles, salir mon image ; parce qu’ils veulent tout simplement que je quitte ce site.Je parle de notre Oujda-City.
    Il m’est arrivé , il y a presque un an, ou plus , je ne sais plus , une scène qui est loin d’être celle de ménage: un oujdinaute m’a envoyé un MP plein d’insultes; des insultes que le plus infames des malotrus n’oserait proférer .
    J’ai du en faire part de cette lettre à tous mes amis de l’époque.Bien entendu, j’ai eu un soutien moral de la plupart d’entre eux .En fin de compte, le dénommé Arthurus a été banni du site pour une certaine période .
    Après cela, un autre Oujdinaute, ne cessait de me faire des reproches , des reproches plutôt linguistique comme quoi moi le professeur Houmidi n’a pas le droit à l’erreur ; comme si les professeurs du Maroc sont tous calés , sauf Houmidi qui a besoin de suivre des cours de soutien !
    Heureusement que cet Oujdinaute a disparu du forum un certain temps , ce qui m’a soulagé un peu.Bien entendu, je ne vous dirai pas son nom; mais lui, il va se connaitre à travers ces lignes.Enfin, ce dénommé « compitieux  » qui depuis des mois me harcèle par ses propos .Auparavant, l’une des modératrice a eu raison de lui.Elle a dû lui envoyer un avertissement comme quoi il avait intérêt à ne plus se frotter à moi.
    C’est ce qu’il avait fait.
    Malheureusement, ce « fouineur » est réapparu de nouveau .Tout d’abord, il me colle une image qui n’a rien à voir avec mon sujet .
    Ensuite, il me corrige mes fautes tout en usant des mots provocateurs.
    Les amis, j’aurais bien aimé vous voir protester contre ça, mais aucun de vous ne l’a fait.Comme je l’avais déjà dit, cette personne m’a déjà fait du tort , et vous n’avez rien fait pour le dissuader de revenir sur son comportement envers moi.
    Aussi, je vais devoir vous dire adieu mes amis.Certes, je le fais avec amertume parce que je vous aime , mais vous ne me laissez guère le choix.
    Vous savez bien que je suis une personne âgée et que j’ai droit au respect et que mon rang d’éducateur m’oblige à vous guider et vous aider dans votre travail .Si je corrige vos fautes, c’est par devoir d’un enseignant et rien de plus !
    Je ne vous cache pas que moi aussi, j’ai beaucoup appris de vous et je suis fier de le dire !

    A vous tous et toutes mes amis:(e)
    Ayman
    Hafid
    Oualid 23
    Houlakou
    Nass
    Touria16
    Sad-piano
    Cerise
    Imadinho
    Fadi
    Sad-knight
    Moon-light
    Muslima-forever
    Just-Me
    Yasmina 2009
    Je vous dis que je ne vous oublierai jamais, je vous aime et je vous souhaite une santé fleurissante, un bonheur familial et amical sans limite et du succès dans votre travail.
    Dans une heure, je vais me déconnecter pour toujours .(23:13 GMT)
    Tant que cette personne sera là, je ne mettrai plus les pieds à Oujda-City.
    ADIEU LES AMIS
    PS: vous pourrez toujours m’écrire à mon émail électronique : houmidi59@hotmail.com
    ou me visiter à over-blog ou sky-rock

    Mille excuses pour les fautes d’inattention.
    Mon moral ne me permet guère de refaire une seconde lecture .
    Merci pour votre compréhension

    #271692

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Un jour, le professeur de français me dit:
    _ » Abdelhamid, j’ai à te parler.S’il te plait à la fin du cours, attends moi près du portail ; je voudrais discuter avec toi au sujet de ton amie Aziza . »

    Il était cinq heures du soir quand le professeur de français m’invita à monter dans sa voiture.En chemin, il se contenta de parler du beau et mauvais temps.Arrivés près d’un café, il s’arrêta et m’invita à nouveau pour boire une boisson.
    J’attendais avec impatience qu’il me parlasse du vif du sujet .
    Donc, nous prenions des sièges au coin de l’établissement .Le professeur appela le garçon et me dit:
    _ » Que veux-tu boire une boisson chaude ou froide ?
    Je regardai mon interlocuteur d’un air hésité et je répondis:
    _ » Un coca, si c’est possible !
    Le professeur hocha sa tête et ajouta:
    _ » Pour moi ça sera un café noir
    Aussitôt, il sortit de sa poche une boite de cigarette qu’il me tendit :
    _ » Cigarette ?
    _ Non merci, je ne fume pas !
    _ Très bien , complimenta-t-il, tu es encore jeune et tu dois te concentrer sur tes études…..
    Alors, je réalisai que le professeur venait de commencer la discussion .Aussi , je l’interrompis net:
    _ » Dites-moi, monsieur, est-il arrivé quelque chose de fâcheux à ma bien ai….je veux dire à Aziza ?
    Ce dernier se contenta de sourire, un sourire qui me démontra qu’il savait presque tout de ma relation avec l’intéressée.Après avoir allumé une cigarette il dit:
    _ » Ecoute-moi, mon petit…….
    Son petit était toutes oreilles ouvertes.
    _ » Tu sais, ajoute-t-il, je m’inquiète beaucoup sur ton état d’esprit .Depuis des jours, tu ne participes plus en classe; tes notes sont déplorables.
    J’ai même consulté mes autres collègues: ils pensent la même chose que moi.
    Il se tut un long moment.Je demeurai aussi silencieux qu’une carpe.Que pourrais-je dire sinon crier : j’aime Aziza et je ne veux qu’elle !.
    Bien entendu, ça je le gardais pour moi .
    Le professeur continua sur le même ton:
    _ » Tu sais , mon petit, il n’y a pas de mal à aimer une amie , surtout si celle-ci partage le même sentiment que toi.
    Oui, mais faire de cet amour une obsession, ça je ne suis pas d’accord!
    Regarde dans quel état tu es !Si ça continue comme ça, tu vas tout perdre et tu finiras par échouer à la fin d’année.
    Note bien que les examens approchent ….
    _ » Je m’en foue éperdument, je n’aime plus les études!
    _ Non, c’est pas vrai .Je sais bien que tu es l’un des meilleurs élèves; surtout en français.
    Je baissai ma tête avant de commenter:
    _ » Dites-moi, s’il vous plait , pourquoi Aziza ne vient plus à l’école ?
    Il répondit par une autre question:
    _ » N’es-tu pas allé chez elle ?
    _Si, mais, il semble qu’il n’y a personne.
    Monsieur Couderc sourit et reprit :
    _ » Et bien voilà:ta petite amie et sa famille viennent de déménager vers une autre ville .
    L’idée était insupportable pour moi:
    _ » Non, non…c’est faux ,faux faux…
    _ Calme-toi, les gens nous regardent .
    Puis:
    _ » Pourquoi te mentirai-je ?D’ailleurs, tu peux toujours aller au bureau de surveillance , on te donnera des nouvelles .
    Je me levai presto, je serrai la main de mon professeur et me contentai d’un merci .Après quoi, je rebroussai chemin vers le plus proche arrêt de bus .
    _ »Attends, cria une voix derrière moi
    Je fis volte face.
    Une belle créature s’approcha de moi avec un sourire angélique :
    _ »Où vas-tu comme ça ?
    Je dévisageai l’arrivante: c’était Hafida , ma nouvelle compagne de table.
    Vous ai-je dit que son frère était mon meilleur ami et que je l’avais connu quand j’étais au collège Pasteur ?
    Figurez-vous que depuis que j’avais su cette parenté, j’essayais toujours de prendre mes distances avec elle.Bien entendu, elle le savait, mais elle faisait toujours en sorte pour me mettre dans l’embarras.
    Elle avait des relations avec plusieurs garçons du lycée.Vous imaginez bien qu’elle se doutait que je pourrais fort bien tout dire à son frangin ; ne serait-ce que lui mettre la puce à l’oreille.La pauvre, elle était loin de croire que je m’intéressais aussi bien à elle qu’un sourd à une chanson d’Oum Keltoum.
    Donc, pour ne pas lui manquer de respect, je lui dit tout simplement:
    _ » Je retourne chez moi!
    Elle partit d’un rire qui me faisait penser à celui d’un clown à la vue d’une souris blanche dans le chapeau de son collègue .
    _ »Tu vas sûrement voir l’élue de ton cœur
    Je fis un geste brusque:
    _ » Hein !
    _ Ben, quoi ?Et tu fais l’innocent !
    J’étais fou furieux:
    _ » Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
    _Oh rien
    Puis, elle retourna sur ses pas , me laissant méditer sur mon sort , ou si vous préférez celui de ma bien aimée Aziza.

    Fin du récit,seulement pour Oujda-City.Vous pourrez toujours lire la suite dans Hakwara ou mon nouveau blog .
    Désolé de vous décevoir !

    #269819

    En réponse à : juste pour rire

    les regrets de M Jackson 😆

    #269818

    En réponse à : juste pour rire

    de rien khtitita

    #272170

    En réponse à : Tests

    Vous êtes vous jamais demandé si votre esprit
    est normal
    ou s’il est
    différent ? Bon, faites sérieusement l’exercice
    de
    réflexion et trouvez la réponse!!!!!!
    Suivez juste les instructions, et répondez
    aux questions une par une et aussi vite que possible,
    mais n’avancez pas avant
    d’avoir terminé la précédente. Vous n’êtes pas
    obligé d’écrire vos
    réponses. Vous serez étonné du résultat, c’est
    garanti !

    Combien font

    15+6

    3+56

    89+2

    12+53

    75+26

    25+52

    63+32

    eh oui, c’est plus dur les calculs mais c’est
    le vrai

    exercice!
    alors courage
    123+5

    VITE ! PENSEZ À UN OUTIL ET A UNE COULEUR !
    Puis descendez a nouveau.

    Descendez encore.

    Descendez encore.

    Vous pensez à un marteau rouge pas vrai???

    Si ce n’est pas le cas, vous faites partie des
    2% de la
    population dont l’esprit est assez différent pour
    penser a autre
    chose.
    98% de la population répondront ‘marteau rouge’
    si on
    leur donne cet exercice a faire. Ca fout les boules
    hein?

    #271693

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Chez moi, j’ai lu la lettre de Aziza .Désolé les amis , j’aurais bien aimé vous la lire, mais malgré ma mémoire d’éléphant, je ne me rappelle que de deux choses qui sont restées gravées dans mon cœur : Hamidou, tu es mon premier et mon dernier amour et je t’aime, je t’aime je t’aime.
    Toutefois je peux toujours vous « broder  » une lettre qui vous fascinera , comme ça vous pourrez toujours l’envoyer à votre bien aimée.

    Arrivé chez moi, je me hâtai d’ouvrir la lettre .Je tremblai de tous mon corps.J’avais l’impression d’une personne qui claque des dents de froid ou peut-être bien de quelqu’un qui attend que sa femme accouche d’un moment à l’autre.
    Donc, caché dans un débarras à la terrasse, je lis la lettre avec un cœur tout en émoi:
    Cher Hamidou
    ça fait plusieurs jours que j’hésite à t’écrire .Je ne sais pas ce qui m’arrive , surtout quand je suis en ta compagnie , mais je crois bien que je suis amoureuse de toi.
    J’aurais bien aimé que tu m’en dises autant .Cependant, je ne suis pas aveugle pour constater que tes gestes et ton comportement envers moi reflétaient tout ce que tu as dans ton cœur .
    Tu es une personne remarquable , une personne que j’ai aimée du premier regard .Aussi, je te dis sans ambages: je t’aime, je t’aime, je t’aime.
    Cher Hamidou, il faut que tu saches que tu es mon premier et dernier amour .J’espère que moi aussi , j’aurai une place aussi considérable dans ton cœur.
    Ton amie Aziza

    PS: n’oublies pas de bruler la lettre après l’avoir lue.
    J’ai lu la lettre plusieurs fois de suite.Bien entendu, je l’avais gardée des années avant de la mettre en miettes .
    Le lendemain matin, Aziza n’était pas venue au lycée.J’ai beau la chercher de mon regard à travers la grande vitre du bus, mais en vain !
    A la sortie, je suis passé près de chez elle .Les fenêtres de la maison semblaient fermées.Pas de doute: il n’y avait personne à l’intérieur .
    Une semaine s’était écoulée et toujours aucune nouvelle de ma bien-aimée.Pas la peine de vous dire que j’étais affligé et le moral à zéro.Si je me souviens , je ne faisais plus mes devoirs ;quant à mes participations en classe,elles diminuèrent peu à peu.Finalement, quand le professeur me posait une question, souvent ,je sursautai.Car voyez-vous les amis, j’étais sans doute dans les nuages !
    La plupart de mes professeurs constatèrent mon état d’esprit et mon manque d’enthousiasme dont j’étais connu auparavant.
    Le professeur de français (au fait , j’étais son préféré) fit s’assoir à côté de moi une autre fille plus jolie que ma bien aimée (je l’avoue), mais qui ne pourrait la remplacer en aucun cas.Cette fille (elle s’appelle Hafida) me parlait avec gentillesse et amour .Elle ne cessait de me cajoler , me choyer , me chouchouter et me dorloter, mais j’avais toujours l’esprit ailleurs.
    Deux semaines se sont passées et pas de nouvelles de Aziza .
    Un jour, le professeur de français me dit:
    _ » Abdelhamid, j’ai à te parler.S’il te plait à la fin du cours, attends moi près du portail ; je voudrais discuter avec toi au sujet de ton amie Aziza . »

    A suivre……..

    hhiihihihihih tu m’as fais rire c’est vrai ça, pourquoi?

    #269817

    En réponse à : juste pour rire

    zinin lé tofs
    😀 :mrgreen: 😀 :mrgreen: 😀 :mrgreen: PDT_Armataz_02_02
    merci ma chére soeur Nadia PDT_Armataz_02_02

    #271689

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Aziza avait partagé le banc avec moi durant toute une année scolaire.On se parlait peu, certes; mais je la regardais assez souvent à la dérobée .Elle était tellement jolie avec sa coupe de garçon.
    J’ai une précision à vous faire c’était la première fille que je voyais à la coupe masculine .Elle avait des yeux presque rond et de couleur bleue.Ses joues étaient roses ; quant à sa peau , elle était comme la neige .Quand je lui parlais, elle baissa son regard et devint aussitôt rouge comme une tomate. Puis après quelques secondes , sa peau redevint aussi claire que la lune à son quatorzième apparition .
    Cette année là, je prenais le bus pour aller au lycée .j’avais ma carte d’abonné.Aussi, je n’avais nul soucis d’argent .Au fait le billet coûtait 25 centimes .Ma petite amie habitait un peu loin de chez moi.Aussi, quand elle descendit , j’en faisais de même ; ne serait-ce que pour passer des moments de plus avec elle.Elle me disait toujours:
    _ » Ce n’est pas la peine de te déranger pour moi!
    Je lui souriais avant de lui répondre:
    _ » Pas du tout .D’ailleurs j’habite à quelques mètres de chez toi »
    Ce qui était faux évidemment !
    Un jour en montant dans le bus, je remarquai que mon amie n’ y était pas .Aussi, à chaque arrêt de bus, je la cherchais du regard .
    Soudain, à l’avant dernier arrêt , je la vis de l’autre côté.Elle marchait d’un pas souple mais lent .Elle avait le regard baissé en bas et semblait ne plus se soucier de son entourage.Aussitôt, je priai le chauffeur du bus de s’arrêter et je descendis en courant ,au risque de me faire écraser par les voitures .
    _ » Aziza, criai-je de toutes mes forces
    Elle s’immobilisa et se retourna vers ma direction. Son visage s’illumina comme une pancarte le jour de Noël , ses yeux brillèrent de joie et ses lèvres dessinèrent le plus beau sourire qu’il m’était donné de voir .Croyez-moi, les amis , je me suis rendu compte que la personne qui était devant moi était aussi amoureuse de moi que votre ami d’elle.
    Si je vous dis qu’elle s’est précipitée vers moi. C’était à mon tour de lui dire de faire attention. Justement , un vélomoteur était sur le point de la heurter.Heureusement, il l’avait esquivé de peu. Cependant, elle tomba par terre .J’accourus vers elle pour la relever .C’était la première fois que je sentis un long frisson me parcourir de ma tête à mes orteils.Aziza s’agrippa à ma main tout comme un naufragé à une bouée de sauvetage. Quand elle se mit debout , elle tomba dans mes bras et s’évanouit .
    Une foule de badauds nous entoura .Heureusement que mon amie ouvrit aussitôt ses yeux.Alors nous partîmes pour l’école laissant derrière nous des regards qui en disaient plus long sur notre relation.
    Au lycée, elle m’avoua qu’elle n’avait pas les moyens pour prendre le bus.Moi, bonne âme, je lui donnai la seule pièce de monnaie que j’avais dans ma poche.Elle hésita avant de la prendre .J’étais obligé de la lui mettre dans le creux de sa main.je la regardai : elle avait les larmes aux yeux .Je m’approchai d’elle et je la pris dans mes bras sans se soucier de quelques regards égarés par ci et par là .
    Elle hocha sa jolie tête et me dit tout simplement:
    _ »Merci ! »

    A suivre…..

    #271688

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Pour cette fois, je vais vous parler de mon premier amour .Ah ,oui, mes chers amis.Tout a un début et je crois que votre ami Houmidi a passé des nuits blanches à penser à sa bien-aimée.
    C’était en 1976, j’étais en 5 ème année au lycée.Cette année fut remarquable par la venue des filles pour la première fois pour partager les bancs avec nous.Elles étaient au nombre de cinq pour chaque classe.Par contre , les garçons n’étaient pas moins de 30 .
    Vous voyez, les amis, les filles n’avaient que l’embarras du choix !
    Je me souviens encore que le premier jour , une fille s’était approchée de moi .Après m’avoir salué , elle m’avait demandé de lui prêter un stylo .Je l’avais regardée si longtemps, bouche bée et regard égaré qu’elle m’avait souri avant de répéter sa requête .Votre ami Houmidi volait en ce moment au dessus des nuages.Soudain, quelque chose chuta de mes mains.Aussitôt, je me rendis compte que c’était mon cartable .Alors tout en balbutiant des excuses, je pris ma trousse et la lui donnai.Bonne âme comme elle était , elle en prit un stylo bleu et me rendit le reste.Puis, elle s’en alla vers ses autres amies.A un moment , je les entendis s’échanger des sourires si angéliques .Elles ne cessaient de regarder vers ma direction.Bien entendu, j’étais aussi rouge qu’une tomate .Mon cœur battait de plus en plus fort .Je sentis tout mon corps trembler comme une feuille d’arbre un jour de vent.Une sueur dégoulinait entre mes vêtements .C’était clair: j’étais tombé amoureux de cette fille.
    Quand nous entrames en classe , la jeune fille s’était assise à côté de moi.Elle était tellement polie qu’elle m’avait dit avec gentillesse:
    _ » Est-ce que je peux m’assoir près de toi ?
    Je lui répondis confus:
    _ » Qui , moi ?
    Elle hocha sa tête aux yeux verts .Je les fixai longuement et crut entendre qu’ils me disaient : »s’il te plait , ne la laisse pas attendre ! »
    En gentilhomme averti, je me levai et l’inviter à prendre place .La scène a été vue par toute la classe qui aussitôt s’était mise à applaudir .
    Pas la peine de vous dire que j’étais aux anges .
    Quelques minutes après, le professeur entra en classe.Si je me souviens encore c’était un Syrien et il nous enseignait l’histoire et la géographie.
    Il nous dévisagea longuement avant de nous dire de nous rassoir .Vous devez bien savoir qu’on s’était mis au garde à vous.Malheureusement, j’étais le seul qui était resté assis .
    Bien entendu, il s’approcha de moi , me contempla et constata que j’avais de la fièvre.Aussi, il me dit:
    _ » Mon petit, tu parais malade; est-ce que ça va ?
    Je balbutiai des mots :
    _ » Moi, oui je …vais bien…Ah, non , j’ai mal à la tête.
    Toute la classe pouffa .Aussi, je crus bon d’ajouter:
    _ » Je crois que je vais bien à présent !
    _ Tiens, tiens, s’étonna le professeur et moi qui pensai te donner la permission d’aller chez toi te reposer .
    Puis , il regarda ma campagne:
    _ » N’est-ce pas mademoiselle….
    _ Aziza Z….., se présenta-t-elle.
    Quelle brave homme !Je n’aurais pas hésité un seul moment pour l’embrasser et le remercier de son geste.Grâce à lui, j’avais son identité .
    Aussitôt, je me levai et dit tout haut en regardant ma compagne :
    _ » Moi, c’est Abdelhamid …….
    C’était le professeur qui prit la parole:
    _ » Enchanté de faire ta connaissance Abdelhamid.
    Puis il jeta un regard vers tous les élèves et ajouta:
    _ » Cet élève me plait .On peut dire que c’est quelqu’un de vraiment courtois et plein de bon sens.
    Il me tapota l’épaule et dit :
    _ Allah ya3tik el3afia , ya ibni (1)
    Soudain, je sursautai:
    _ » Allah yahfad a oustad (2)
    Le professeur qui croyait avoir bien fait était si surpris de ma réaction qu’il crut bon de rectifier sa phrase :
    _ » Ne t’emballes pas mon petit, je ne voulais pas te dire de mal.
    La classe explosait de rire .Je n’avais jamais vu tel spectacle: il y en avait qui se tordaient de rire, d’autres ricanaient, quant aux filles , elles dansaient de rire.
    Le professeur ne savait à quel saint se vouer .Aussi, il prit le parti le plus sage: celui de partager notre joie et notre enthousiasme.Enfin, l’un des élèves se leva et dit :
    _ » Monsieur, veuillez nous excuser pour ce rire collectif survenu après l’intervention de notre copain.
    Et d’expliquer :
    _ » Il se trouve que le mot « al3afia » chez nous veut dire le feu ;pour être précis comme si vous aviez souhaité à notre ami un séjour en enfer.
    Alors le Syrien partit d’un rire qui n’était pas loin d’évoquer le chant de Fahd Bellan .Après quoi , il se retourna vers moi et dit:
    _ » Toi et moi , on va s’entendre très bien .
    Puis, il rejoignit son bureau et nous invita à prendre nos manuels d’histoire.
    Pendant ce temps, Aziza me dit :
    _ » Je suis enchanté de faire ta connaissance Abdelhamid! »

    A suivre…….

    *(1) Que Dieu te donne de l’aplomb
    *(2) Que Dieu m’en épargne !

    #271687

    En réponse à : Souvenirs d’enfance

    houmidi59
    Participant

    Quand j’avais l’âge de treize ans , moi et ceux de mon âge on faisait assez souvent des pique-nique aux alentours de la ville.Le matin de bonne heure, on se donnait rendez-vous tout près de chez moi.Chacun de nous apportait des provisions avec lui .La grande majorité était des pauvres .Aussi pas étonnant que dans leur sacoche il n’ y avait que du pain et des olives ; quelques fois des œufs durs .Cependant , sortir à l’air pur nous donnait un appétit d’ogre.A tel point qu’on mangeait tout sans laisser une seule miette!
    Je me souviens ,un jour, un de nos amis s’attarda quelques minutes.On était fâché de l’attendre .Aussi quand il arriva, nous nous étions explosés de colère contre lui .
    Lui, il ne cessait de sourire .Quand notre crise avait pris faim , il nous avait dit tout simplement qu’il avait une grande surprise pour nous .Chacun de nous avait l’air penaud .Aussi, aucun de nous n’avait eu l’audace de lui demander ce que c’était cette surprise.Alors, nous avons pris le chemin vers Sidi Yahya.Ceux qui habitaient Oujda dans les années 70 , vous diront que notre ville était entourée de verdures , surtout la direction vers la frontière avec l’algérie.Les quartiers à proximité de la ville était connus: vers l’ouest, il y avait Oued Ennachef ; vers l’est Boudir ; vers le nord ,le quartier de coulouche ;enfin vers le sud le quartier de Ch3ouf .
    Donc, au printemps tout était vert : champs et arbres .Alors, on traversait les espaces verts tout en arpentant des sentiers qui zigzagaient comme un serpent .Je crois bien que le fait de marcher sans savoir le nombre de kilomètres traversé faisait de nous des aventuriers .Parce que , voyez-vous mes amis, il nous arrivait de nous retrouver dans des endroits qu’on n’imaginait pas les atteindre aussi facilement ou tout simplement des lieux qui n’étaient pas dans le programme de l’excursion.Tenez, un jour on s’était retrouvé dans un patelin en Algérie ; une autre fois , on avait dépassé Sidi M3afa de quatre kilomètres .Toutefois , on ne se plaignait jamais de marcher .
    Il nous arrivait aussi d’être attaqué par une hordes de sauvages .Bien entendu, nous nous battions comme des lions .
    Je me souviens ,un jour nous fumes attaqués dans les environs de Oued Isly .On était allé là-bas pour pour attraper des grenouilles et des têtards pour un Espagnol qui nous donnait une grande somme d’argent pour nos trophée.Soudain, nous étions encerclés par une bande d’environs trente personnes.On peut dire que nous étions faits comme des rats.Les combattre était de la folie .Prendre la fuite était tout à fait impossible.
    Donc, chacun de nous se résignait sur son sort.Au fait , nous étions 7 personnes en tout.
    Le chef s’approcha de nous en ne cessant de ricaner .Il avait des dents assez dorées pour constater que sa bouche n’avait jamais connu l’usage du dentifrice .Aussi je vous déçois si je vous dis qu’il ne riait pas jaune, celui-là!
    Il nous dévisagea longuement ; puis il s’approcha de l’un de nous.La dite personne tremblait comme une feuille Aussi, quand le gaillard attrapa notre ami par le col de la chemise , il fut surpris par des êtres tres minuscules qui l’attaquaient .Le Mastodonte qui ne s’attendait certes pas à cette invasion lança un cri , pas d’attaque mais de détresse .Soudain, on le voyait qui dansait tout en ne cessant de crier .Paniqués, les autres se dispersèrent comme une poignée de graines dans la main d’un cultivateur entrain de semer sa terre.
    Ah les amis si vous avez vu ce tohu-bohu: ça se bousculait, ça criait,ça jacassait ça courait…c’était comme une assemblée de mouches dans une crotte de cheval qui soudain se voit piétiner par un campagnard avec son âne!
    Vous l’avez sûrement deviné , les petites grenouilles cachées sous la chemise de notre ami.Le pauvre ne possédait pas de poche.Même , s’il en possédait , il les laissait pour d’autres usages .Donc, comme ces amphibiens avaient besoin de changer d’air , ils décidèrent de faire la belle.Le hasard voulait qu’il venaient tout juste de changer de chemise!
    Pour revenir à notre compagnon, il était aussi vert qu’un billet de cinquante dirhams.Quand, les envahisseurs avaient débarrassé le plancher, on constata qu’il avait pissé sur ses frusques.Pas étonnant les amis , il n’aurait pas mieux fait!

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