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15 réponses de 226 à 240 (sur un total de 282)
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  • #218829

    En réponse à : QUEL AGE AVEZ VOUS ???

    ayman
    Membre

    Joyeux anniversaire Ali, que Dieu realise tes rêves qui te sont les plus chers, que tes jours soient bonheur et joie , parmi les gens qui t’aiment et que tu aime, qu’allah te preserve et te guide vers le les chemins du succes et de la reussite , amine

    #223674
    lhiadi
    Membre

    salut,
    Mr ratek84,

    L’Offshoring (délocalisation de services à distance) notamment à destination des pays francophones et hispanophones a été identifié comme l’une des plus importantes opportunités de développement de l’industrie marocaine dans les prochaines années.
    Le Maroc disposant en effet de très nombreux atouts (pool de ressource, proximité linguistique et culturelle, connectivité, …) qui peuvent en faire une destination crédible pour le Nearshoring francophone et hispanophone en particulier pour répondre à l’accélération du mouvement de délocalisation des services.
    Dans un marché mondial très porteur et en décollage en Europe et afin de positionner rapidement l’économie marocaine sur la carte économique mondiale, le Gouvernement a décidé d’offrir une proposition de valeur concrète et extrêmement compétitive pour concrétiser les premières opérations d’implantation de référence.
    Pour concrétiser rapidement ce potentiel, la stratégie de court terme adoptée dans le cadre du Programme Emergence consiste à doter le Maroc de zones spécialement dédiées aux activités d’Offshoring. Casa Shore est la première de ces zones.
    Casa Shore : Programme phare du « Programme Emergence »
    Casa Shore est la première de ces zones et représente à ce titre une maîtresse de la stratégie nationale en matière d’Offshoring. En effet son succès rapide et visible est une condition sine qua none pour positionner le Maroc sur la carte des destinations Offshoring crédibles sur le plan mondial.

    #224962
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــاســــــــم الله وبـــــــــــالله الــــــــــتـــــــــوفــــــــــــيــــــــــق

    MEME TROP TARD, UN ALGERIEN PARLE VRAI…

    Benchicou souligne les échecs de l’Algérie sur le dossier du Sahara Marocain

    «Le Maroc de Mohammed VI, plus ouvert, plus dynamique
    et plus moderne, marque des points»

    L’ancien directeur du quotidien algérien « Le Matin », Mohamed Benchicou, qui a purgé deux ans d’emprisonnement pour, officiellement, une infraction à la réglementation de change, a estimé, jeudi, que « si le gouvernement de Zapatero défend avec succès la thèse marocaine (sur la question du Sahara marocain) auprès de ses pairs européens, c’est parce qu’il plaide la stabilité d’un Maroc familier des générations d’aujourd’hui, c’est-à-dire un pays plus présent, plus moderne, plus prometteur, plus « lisible » sur le plan démocratique par les opinions occidentales ».

    Dans une chronique hebdomadaire publiée par le quotidien algérien « Le Soir d’Algérie », qui lui a ouvert son espace après la disparition de son journal, Mohamed Benchicou dresse un tableau sans concession sur les échecs de l’Algérie, notamment sur le dossier du Sahara, en considérant que le Maroc avait su « retourner à son avantage la situation ».

    Benchicou affirme que le rêve des dirigeants algériens, au cours de ces dernières années, était « porteur d’amères désillusions, liées à un monde ancien qui s’écroule sous nos yeux et dont l’Algérie n’a pas su mesurer l’ampleur », évoquant « la mort d’un chimérique traité d’amitié avec la France, rêve à jamais emporté par Chirac dans sa retraite, la cuisante défaite diplomatique sur le dossier du Sahara, l’incroyable aggravation du malaise social et du chômage qui frappe les jeunes ».

    Pour l’ancien directeur du journal « Le Matin », « l’Algérie n’arrive pas à réaliser son déphasage, notamment par rapport au discours nouveau en vogue, notamment en France, dans le contexte des prochaines élections, et avec le départ de Jacques Chirac ».

    « Ce discours d’une nouvelle génération, poursuit la même source, le régime algérien, déphasé, ne le comprend pas, mais le Roi Mohammed VI, lui, a su habilement le capter pour l’utiliser à son tour, se faire écouter, améliorer l’image du Maroc et à retourner à son avantage la situation diplomatique sur le Sahara ».

    Benchicou ajoute que « le ralliement de l’Espagne aux thèses marocaines est à ce point un échec consommé pour Alger ». Mohamed Benchicou déclare, par ailleurs, ne pas partager l’analyse d’Abdelaziz Rehabi, ancien diplomate algérien limogé, il y a quelques années, de ses fonctions de ministre de la Communication, aujourd’hui converti dans les affaires, quand il parle d' »une stratégie visant à isoler l’Algérie ».

    L’auteur de l’article estime, à ce titre, que « le régime algérien s’est isolé de ses propres mains, par son autisme, son immobilisme, son obsolescence, son autoritarisme ».
    « Nous ne sommes plus dans la diplomatie de Boumédienne.

    Un monde s’est écroulé », assène Benchicou, en soulignant que « dans le nouveau monde, le Maroc de Mohammed VI, plus ouvert, plus dynamique, plus moderne, peut-être même plus démocratique, marque des points ».
    Et de relever que « dans un Maghreb où la Mauritanie offre un exemple édifiant avec un second tour des élections présidentielles, l’Algérie jure par son archaïsme ».

    الحمد لله رب العالمين

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــــــاســــــــــــم الله وبـــــــــالله التـــــــــوفـــــــــــيـــــــــــــق

    Pour Dawy : A ce que je pense toi aussi ,tu n’est pas un descendant de
    Molière; et si tu es de l’autre côté et ça te choque ce que je copie et je colle… lis ce qui suit ,pour te faire encore une idée de ce qui t’attends ou bien toi, tu a pris toute les mesures qui s’imposent si un jour… c’est ça mon ami :

    Algérie Espagne : de l’eau dans le gaz

    Le pouvoir algérien veut sanctionner le gouvernement espagnol pour son soutien au projet d’autonomie en augmentant le prix du gaz naturel qu’Alger exporte vers l’Espagne.

    Les rois d’Espagne, Juan Carlos 1er et Sofia ont entamé, hier mardi 13 mars, une visite d’Etat en Algérie. Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, qui a accueilli les Souverains espagnols à l’aéroport d’Alger, affichait un air de satisfaction remarquable. Celui de quelqu’un qui voit son rêve s’accomplir, enfin, après une très longue attente.

    En effet, cela fait des années que le président algérien demandait cette visite d’Etat des rois d’Espagne à son pays. Ce fut le cas sous le gouvernement de José Maria Aznar. Mais, ce dernier, dont il vient de faire l’éloge dans un entretien au quotidien espagnol El Pais, n’avait pas réussi à convaincre le Souverain espagnol de faire le déplacement à Alger.

    Homme d’Etat expérimenté et doué d’une grande finesse diplomatique, SM Juan Carlos 1er savait que le fait d’envisager une telle visite en Algérie en pleine crise avec le Maroc n’était pas dans l’intérêt de l’avenir des relations de l’Espagne avec ses voisins du sud. La demande d’Aznar fut rejetée. Et enfin, quand il a commencé à désespérer, il a fini par en faire une condition préalable à toute coopération avec le royaume d’Espagne. Un message allant dans ce sens a été transmis aux autorités espagnoles par le ministre algérien des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, en novembre de l’année dernière.

    Mais, ce n’est que trois ans après la normalisation des relations avec le Maroc que le chef de l’Etat espagnol a accepté l’invitation algérienne. Et la visite a été programmée au lendemain de la réunion à Rabat de la Haute commission mixte maroco-espagnole dont les travaux ont été couronnés de succès et qui a été marquée par l’annonce du soutien du gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero au projet de l’autonomie comme une voie de solution pour le conflit du Sahara.

    Un soutien qui a été très mal apprécié par le pouvoir algérien qui est allé jusqu’à vouloir «sanctionner» le gouvernement espagnol en décidant d’augmenter les prix du gaz naturel qu’Alger exporte vers l’Espagne à travers le gazoduc du détroit et qui transite par le Maroc. Dans un article intitulé « Madrid paie son alignement sur le Maroc » publié dans son édition d’hier mardi, le quotidien algérien El Watan a indiqué que : «Si la politique algérienne en matière de prix du gaz était jusque-là imbriquée, à tort ou à raison, à ses rapports, voire ses proximités avec certains puissants pays d’Europe, sans qu’elle n’en tire forcément une plus-value politique, la démarche va apparemment changer».

    L’auteur de l’article ajoute par ailleurs que : «au-delà des 150 millions de dollars supplémentaires qu’elle engrangera en augmentant d’un seul dollar le prix de son gaz, l’Algérie dispose d’un instrument aussi puissant que le pétrole pour « punir » économiquement ceux qui la contrarient diplomatiquement». Le message est clair : du chantage au gaz.

    Mais, le gouvernement espagnol ne cédera pas au chantage. Le jour où il devait arriver en Algérie, le chef de la diplomatie espagnole, Miguel Angel Moratinos, a publié une «tribune libre» sur les colonnes du quotidien espagnol El Pais où il a réitéré la position de son gouvernement sur la question du Sahara. «Le Maroc a mis sur la table un élément nouveau, d’un intérêt indubitable, et considère que cela pourrait générer une nouvelle dynamique de dialogue pour sortir de l’impasse actuelle», a dit M. Moratinos.

    Le chef de la diplomatie espagnole a aussi envoyé un message clair aux Algériens en soulignant que la recherche d’une solution acceptée par les deux parties est de nature à «aider les pays du Maghreb à refermer la plaie ouverte il y a trente ans et qui empêche la naissance de ce Maghreb uni et prospère».

    Moratinos rappelle ainsi que le règlement définitif de l’affaire du Sahara sert aussi bien les intérêts d’Alger que ceux des autres pays maghrébins. Mais le pouvoir algérien ne semble pas être intéressé par la stabilité de la région.

    Dans un entretien accordé (par écrit) au quotidien El Pais, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a non seulement rejeté le projet d’autonomie au Sahara marocain, mais il est même allé jusqu’à menacer le Maroc de la reprise des armes par le Polisario. «C’est une hypothèse qui, à mon avis, ne devrait pas être exclue», a-t-il répondu au journaliste qui l’interrogeait sur une éventuelle reprise des hostilités entre le Maroc et la bande à Abdelaziz El-Marrakchi.
    والــــــــــســــــــــــــلام

    #221103
    mourad
    Membre

    Cher Dr Bouayad assalamou alyka . cet article s inscrit tres bien dans notre sujet Malikisme et ouahabisme et reprend entre autre l infiltration de la secte ouahabite au maroc et la marginalisation de nos oulamas malikites pour des raisons diverses. malheureusement beaucoup de nos majaliss al ilmia comportent parmi ses membres des ouahabites .
    bonne lecture et hafidaka allah .

    « 
    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : la politique menée était une catastrophe pour les affaires islamiques

    Avec courtoisie mais sans hypocrisie : La politique menée par Driss Basri et M’Daghri Alaoui était une catastrophe pour la gestion des affaires islamiques

    Par Mostafa ZAOUI

    La marginalisation du malékisme dans les structures des Habous et des Affaires religieuses est devenue un phénomène perceptible à l’œil nu depuis une décennie. M. Abdelkbir Alaoui-M’Daghri, ex-ministre des Habous, a privilégié un islamisme particulier, un «islam» politique au dépens de l’école religieuse marocaine qui, il faudra bien le rappeler de temps en temps, a ses propres spécificités historiques et civilisationnelles.

    Le triptyque définissant l’Islam marocain

    Cette école musulmane marocaine est basée sur un triptyque conceptuel qui l’a différenciée des différentes écoles musulmanes de l’Orient arabe en particulier.
    Feu S.M Hassan II aimait à rappeler la définition de cette école marocaine en citant Sidi Abdelwahed Ibn Achir, et qui présentait dans «Al Mourchid Al Mouîne», une «ourjouza» résumant les bases élémentaires de la pratique du rite musulman, ce triptyque conceptuel de l’Islam au Maroc.
    Ce triptyque est la précision de la trilogie religieuse : l’Islam, la Foi et la Spiritualité.

    L’Islam est un ensemble de comportements visibles, donc évaluables et juridiquement qualifiables, qui comprennent les droits et devoirs du musulman vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis de la société. Cet ensemble de normes est ce que l’on appelle le droit ou le chraâ ou encore, la chariâa. L’Islam est par définition «la soumission à la loi». Cette école juridique est le malékisme par référence à l’Imam Malik Ibn Anass qui a vécu à la fin du 1er siècle et au début du 2ème siècle de l’Hégire à Médine.

    La Foi est une affaire entre l’individu et Dieu et concerne les croyances ou «al âqida». La «âqida» au Maroc est l’ensemble des croyances qui déterminent le sunnisme ou l’Islam sunnite. Le sunnisme est appelé «al achâryya» par référence à Al Hassan Al Achâri qui a vécu au début du 3ème siècle de l’Hégire et qui est considéré comme le grand théologien du sunnisme, par opposition fondamentale au chiîsme et par opposition aussi au Hanbalisme (comme «âqida» et non pas comme école juridique).

    Le troisième niveau de ce triptyque et qui concerne le niveau spirituel, donc le niveau soufi, est la «tariqa de Jounaïd» par référence à Al Jounaïd, maître à penser du grand philosophe du sunnisme, Abou Hamed Al Ghazali, qui va populariser le soufisme sunnite basé sur les pratiques saines de l’Islam (tel que normalisé par le malékisme au Maroc) et sur une «âqida» saine qui est «Al Achâryya», essentiellement à travers son chef-d’œuvre Ihyae Ouloum Ad-Dine qui, depuis pratiquement l’époque des Almohades, est devenu le classique marocain au niveau de la Foi et au niveau de la Spiritualité.

    Al Achâryya contre le simplisme wahhabite

    Pour résumer, disons que cette trilogie rejette le concept de l’infaillibilité de l’Imam qui est un concept chiîte.

    Elle rejette, de l’autre côté, le «littéralisme» ou encore le simplisme hanbalite en matière juridique et en matière de âqida. Le hanbalisme est l’école qui rejette la logique et pour qui un hadith, même très faible, est prioritaire sur la raison dans la détermination de la norme juridique.

    Al Ghazali qui a fait l’objet de critiques acerbes de la part de tous les hanbalites, n’a jamais hésité à les traiter de partisans de «la raison linguistique» en précisant que leur «fiqh», basé sur la grammaire et le «littéralisme» est une «science au niveau de laquelle l’adolescent et l’adulte sont à égalité puisqu’elle exige en tout et pour tout la mémorisation».

    Ajoutons, ici, que le hanbalisme en tant que «âqida», a toujours rejeté et la raison et le soufisme qu’il a toujours considéré comme une «bidâa». Ce hanbalisme qui est resté très minoritaire parmi les musulmans va être mis au pouvoir en tant que wahhabisme à partir du 18ème siècle en Arabie Saoudite.
    C’est ce wahhabisme qui, à la faveur du boom pétrolier, va, petit à petit, et à travers des financements de chercheurs et à travers des soutiens financiers à de multiples associations dites caritatives à travers le monde arabo-musulman, véhiculer la salafyya wahhabite qui va dégénérer, ici et là, sous forme de salafyya jihadyya.
    La soufyya est particulièrement réfractaire à l’usage de la religion en politique.
    Le wahhabisme ne peut se concevoir que par l’hégémonie du faqih sur le pouvoir politique.

    L’infiltration du wahhabisme au Maroc :
    Promotion de l’«islam» politique au dépens du malékisme et des fouqahas malékites

    Quel impact ce wahhabisme a eu sur le malékisme au Maroc ?
    Sans hypocrisie mais avec toute la courtoisie nécessaire, disons que M. A. Mdaghri-Alaoui, ex-ministre des Habous et des Affaires islamiques, a privilégié l’Islam Politique, en privilégiant l’association Al Islah-wa At-Tawhid. Et c’est au nom de l’Etat, qu’il l’a fait durant toute cette dernière décennie. Or, Al Islah-wa At-Tawhid sont tout sauf des soufis. Leur «daâoua», dirigée vers des musulmans a une dimension politique, donc de recherche de l’exercice du pouvoir, qui ne peut être niée. Le wahhabisme de cette association est là.

    Abdelkbir Alaoui Mdaghri, en plaidant pour la promotion des «militants» de cette association dans les rouages de l’Etat et au niveau de la politique politicienne a eu une grande responsabilité dans la propagation du discours wahhabite au sein de larges franges de la société et au sein des structures étatiques au dépens de l’école malékite dont la dimension éducative était le caractère dominant.
    Lorsque Mdaghri Alaoui et Driss Basri faisaient la promotion des «militants» de Al Islah wa Attawhid, à travers la télévision, ils ont commencé par les présenter dans les programmes des prêches religieux du Ramadan, Benkirane, Othmani, Rissouni, Benhamza etc. et bien d’autres ont été promus à travers ces programmes religieux.

    Les Fouqahas malékites ont été soit éliminés des structures fonctionnelles existantes en matière de gouvernance et de gestion des affaires religieuses, soit ils se sont vus obligés de «plaire» aux «islamistes» pour se prémunir contre les «sévices» de l’autorité gouvernementale. La promotion de Raissouni, par exemple, est déjà une véritable caricature de cette gestion. Mais il y a pire !
    Lorsque l’on voit qu’un professeur d’arabe, comme Mostapha Benhamza, d’Oujda, promu comme président du «majlis îlmi» d’Oujda, et comme membre de la commission royale pour réformer la moudaouana, en récompense de tout ce qu’il a entrepris, au service du PJD, pour contrecarrer le plan d’intégration de la femme au développement, l’on est en droit de nous poser beaucoup de questions sur la réalité effective de la position du malékisme dans le pays du malékisme.

    L’agression qu’a subi le malékisme durant ces dernières années au Maroc explique le désarroi des fouqahas malékites, les vrais, lorsqu’ils ont entendu ce Benhamza, parler dans le colloque sur «al achâryya et le malékisme» organisé par les «majaliss îlmya» les 23, 24 et 25 mai, juste après les attentats de Casablanca, non pas en tant que représentant tout à fait officiel de l’Etat marocain mais comme militant du PJD, en récitant le discours de Ramid, Raissouni et du PJD. N’est-il pas très curieux d’entendre l’organisateur du colloque dire : «la violence est une expression du désespoir, et nous ne sommes pas désespérés, nous ne pensons pas à la violence, parce que nous réalisons chaque jour des succès pour que cette nation revienne à sa religion et pour que cette religion s’infiltre dans ses structures». Et «mieux» que cela, il ajoute : «C’est une nouvelle génération qui prendra le leadership, ultérieurement, et nous avons commencé (à bâtir) la civilisation civilisée, nous ne voulons pas que notre voie soir perturbée, nous ne voulons pas de cette provocation qui a pour but de nous détourner de notre programme… Nous ne sommes pas de ceux qui soutiennent la violence, nous n’appelons pas à la violence, nous ne disons pas que la violence est la bienvenue, nous n’avons pas besoin de la violence, la violence n’est utile pour nous !».

    Quel commentaire faire après une sortie aussi «Claire» et aussi «conforme» à la fonction de ce représentant de l’Etat, chargé des affaires religieuses en tant que président du «majliss îlmi» d’Oujda ?

    La gestion de Driss Basri et de Mdaghri Alaoui doit être fondamentalement réévaluée : pour un Islam synonyme de modernité

    Que dire ? C’est là, manifestement, un drôle de discours dans la bouche de quelqu’un qui est nommé par Dahir et qui est censé parler au nom de l’Etat marocain ! Ce qui repose la problématique du choix des représentants de l’Etat aux niveaux national et régional ! Si le journal At-Tajdid était fier de rapporter ce discours, en le présentant comme le discours central de ce colloque, c’est que ce «monsieur» représente effectivement la ligne politique et éditoriale de At-Tajdid.

    Pour trouver un discours clair d’un malékite qui sait situer la problématique, il faut écouter le président du «majlis îlmi» du Grand Casablanca, El Mehdi Assmi, qui n’a pas hésité à stigmatiser le wahhabisme rompant et insidieux en remarquant que la catastrophe que connaît l’oumma a pour origine la prolifération du «takfir» et de la forte tendance à ex-communier les musulmans dans les discours de certains «oulémas» du Machrek, en précisant que par ces «oulémas», il vise «les littéralistes (ouléma ad-dahir, la’a dahiryyat Ibn Hazm lakine Dahriyyat al Hanabila) et précisément les hanablia dans le Machrek».

    Tout cela pour dire que si la religion musulmane a un rôle éducatif et sur le macro-système éducatif comprend l’école, la mosquée et les médias, il est du domaine de l’ordre public, donc du domaine de l’Etat de veiller à ce que ce macro système éducatif ne soit dévoyé de sa fonction sociale. L’Etat doit veiller à mettre «l’homme ou la femme qu’il faut là où il faut». Il faut privilégier la vertu qui est une somme de compétences, de savoirs et de savoir-faire et d’éthique, dans le choix des représentants de l’Etat. Il faut que l’Etat rectifie ce qui doit être rectifié dans la gestion de Basri-Mdaghri Alaoui, en matière de gouvernance des affaires islamiques. Et malgré tout que ce dernier peut prétendre, les résultats de sa gestion sont maintenant évidents. Les fouqaha ne disent-ils pas que «les choses ne valent que par leurs résultats» ?

    Cette réévaluation de tout le système de gestion, des ressources humaines, particulièrement, fait partie aussi de l’option du pays pour la modernité. Car, au départ, l’Islam était une modernité. Et il faudra tout faire pour que l’Islam redevienne une modernité. Et cela est possible si la promotion des ressources humaines est suffisante pour que les musulmans optent pour la modernité. Comme culture et dans leurs comportements. « 

    و الله يعلم و أنتم لا تعلمون

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    باسم الله الرحمن الرحيم ,والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين , وعلي آله وصحبه أجمعين

    قــل قـــد جــــاء الــحــق وزهــق الــبــاطــل ان الــبـــاطـــل كـــان زهـــــــــوقـــــــا
    صدق الله العظيم

    31 ANS DEJA QUE LE DERNIER SOLDAT ESPAGNOL QUITTAIT LE SAHARA

    Trente et un ans déjà que le dernier soldat espagnol, affilié au corps d’armée coloniale qu’on appelait le « Tercio », quittait le territoire marocain au Sahara. Après des décennies d’occupation, le drapeau marocain s’était mis à flotter au-dessus d’une battisse qui servait de l’état major du gouverneur général de l’occupation,et qui se trouvait exactement au lieu dit :Souk Ezzaj l’un des rares bâtiments – consistant souvent en de simples baraquements – que l’Espagne franquiste avait « légués» au Maroc.

    A l’ex-Villa Cisneros, rebaptisée Dakhla, un ferry avait embarqué l’essentiel des troupes et , seul avec quelques autres, était resté un colonel, chargé de passer le relais à notre vaillante armée .

    La décolonisation était définitivement achevée en ce mois de février 1976. Laâyoune, Smara, Boujdour, Dakhla comme aussi les profondes localités du Sahara renouaient avec leur passé marocain et retrouvaient leur raison d’être, après une longue nuit coloniale.

    Il faut replonger dans l’ambiance fiévreuse de cette époque pour mesurer la charge émotionnelle de ce retour en forme de justice rendue a notre pays. Pourtant, l’animosité du gouvernement algérien ne s’accommodait guère de cet apurement d’un conflit ayant opposé le Maroc et l’Espagne des décennies durant et mobilisé la diplomatie des deux pays et qui a connu son couronnement lors de l’accord de Madrid signé le 14 novembre 1975, en vertu duquel l’Espagne rétrocédait le Sahara à son ayant droit, le Maroc.

    Cet accord tripartite signé sous l’égide des Nations unies, entériné par l’Assemblée générale fin décembre de la même année, stipulant que l’armée espagnole évacuerait le territoire au plus tard fin février, avait – a toujours d’ailleurs – valeur juridique irréfragable.

    Croyant le contourner, et d’une certaine manière le piétiner, le gouvernement algérien a choisi de créer à la même date – celle du départ des soldats espagnols – la fantomatique<< rasd>>. Pis encore : il avait lancé des agressions contre notre pays, notamment à Amgalla, rappelant celle lancée en 1963 contre Figuig et les petites villes situées aux frontières du Sud-est.

    Cette agression que l’Algérie de feu Boumediene assuma à l’époque, parce qu’elle était délibérément planifiée et exhalait un parfum de rancoeur, avait entraîné le 7 mars 1976 – il y a donc trente et un ans – la rupture des relations diplomatiques entre nos deux pays.
    La mascarade des festivités organisée à Tifariti actuellement , agrémentée de communiqués triomphalistes, s’accompagne aussi d’une surprise : Alger entend relancer le plan Baker 2003… ! qui est enterré définitivement Ses diplomates, désarmés face au succès du projet d’autonomie et n’ayant rien d’autre à proposer, n’en démordent décidément guère.

    On exhume un texte ainsi, relégué déjà aux calendes grecques par les mêmes Nations unies qui en avait appelé à une solution négociée. والـــــــــــــــســــــــــــــــــلا م
    [/b]

    #222771
    youyou111
    Membre

    une femme de oujda ou de n’importe ou c’est pas ça qui dérrange « lmouhim  » c’est son éducation :

    Comment choisir sa femme ou son mari en 13 points:

    A La lumière de l’expérience des dernières années, il est temps de prendre note et d’essayer d’arreter la marée de divorces parmi mes fréres et soeurs musulmans. Aujourd’hui c’est assez commun de trouver des musulmans et musulmanes qui, avant qu’ils aient atteint l’age de 30 ou 35 ans, ont été mariées trois a quatre fois, leurs enfants souffrant à plusieurs reprises par la traumatisme des orphelinats et des maison de jeunesse. Par conséquence, nous allons énumérer quelques points essentiels à considérer par mes frères et mes soeurs qui sont en cours de choisir une femme ou mari pour la vie (bien que le pronom masculin ait été utilisé partout pour la simplicité, ce qui suit est également applicable autant au hommes qu’aux femmes).

    1. Du’a. Demandez continuellement l’aide et les conseils d’Allah, afin de trouver et de choisir un compagnon. Aussi souvent que vous le sentez nécessaire, priez Salaat al-Istikhara, la prière spécialement faite pour les conseils, afin de prendre une décision appropriée.

    2. Consultez votre coeur. écoutez ce que votre voix intérieure, le « radar » qu’Allah vous a donné pour vous guider, vous indique au sujet du conjoint éventuel. Il est susceptible d’être plus correct que votre esprit, qui souvent joue des tours et peut rationaliser presque n’importe quelle chose. Pour beaucoup de gens, les premières impressions sont souvent les plus précises.

    3. Faites des enquêtes. Trouvez la raison pour laquelle cette personne veut vous épouser. Est-elle intéressée par vous en tant qu’individu ou juste n’importe quelle personne lui suffirait-t-elle ? Pourquoi ne fait-elle pas la chose logique, c.-à-d., épouser quelqu’un de sa propre culture ? Si évidemment la raison primaire de ce mariage, en dépit des réclamations à l’effet contraire, est pour la convenance (greencard, argent, propriété, etc.), oubliez-la. Ceci signifie les ennuis.

    4. Apprenez a connaître votre femme ou mari potentiel, dans les limites de ce qui vous est permis en Islam, avant de décider du mariage. Juste « voir » quelqu’un une ou deux fois en compagnie de gens avec impatience, pour que ce mariage ait lieu, n’est pas assez vis-à-vis des conditions d’aujourd’hui, où il arrive souvent que deux personnes de milieux totalement différents se reunissnent. Sans violer les regles de l’Islam en étant seul à seul, essayez de comprendre sa nature, ce qui le ou la motive, son temperament, comment ça pourrait etre de vivre avec cette personne.

    5. Parlez a plusieurs personnes (c’est essentiel que ca soit plusieurs personnes et pas seulement une) qui connaisent votre eventuelle femme ou mari. Si vous ne pouvez le faire, demandez a quelqu’un a qui vous faites confiance de le faire pour vous. Parlez a plusieurs de ses connaisances, et pas seulement ses amis car ils peuvent cacher certains faits pour lui faire une faveur.

    Et posez des questions non seulement sur sa personalité, sa carrière, son Islam, etc., mais aussi sur des sujets cruciaux tels que « Est ce qu’il se fâche facilement »; « Comment est ce qu’il est quand il est « fache »; est ce qu’il est patient, poli, prévenant; comment il s’entend avec les gens; comment il traite le sexe opposé; quelle relation a t’il avec sa mère et son père; s’il aime les enfants; c’est quoi ses habitudes personnelles, etc…

    Et découvrez ses projets d’avenir auprès de personnes qui le connaissent. Ses projets coïncident-ils avec ce qu’il vous a dit ?

    Entrez dans les détails autant que possible. Vérifiez ses plans pour le futur – où est ce que vous aller vivre et quelle sera votre style de vie, ses attitudes envers l’argent et ses possessions matérielles.

    Si vous ne pouvez pas obtenir des réponses à de telles questions cruciales auprès de personnes qui le connaissent, demandez-lui vous-même et essayez de vous assurer qu’il n’est pas en train d’enoncer simplement ce qu’il sait que vous voulez entendre.

    Trop de gens feront toutes sortes de promesses avant les mariages afin d’avoir le conjoint qu’elles veulent mais oublient après et ne les font jamais, (ceci s’applique naturellement également aux femmes quant aux hommes).

    6. Enquetez au sujet de sa famille, de ses relations avec ses parents, frères et soeurs. Quelle seront ses engagements envers eux à l’avenir ? Comment est-ce que ceci affectera votre couple, où et dans quelles conditions vous aller vivre ? Quel est le caractère et le temperament de chacun de ses parents ?

    Vivront-ils avec vous ou vous avec eux ? Sont-ils heureux de votre mariage éventuel ou pas ? Bien que ceci n’est pas essentiel dans la plupart des mariages occidentaux, chez les musulmans de telles questions sont souvent cruciales pour le succès ou l’echec d’un mariage, et les réponses à ces questions doivent être satisfaisantes pour assurer une vie maritale paisible.

    7. Comprenez les attentes de chacun. Essayez d’obtenir un idée de votre femme/mari éventuel par rapport au mariage, comment il se comporte dans diverses situations, et qu’est qu’il veut de vous en tant que son conjoint. Ce sont des questions qui devraient être discutées clairement et precisement durant la phase des négociations avant le marriage, et non apres car ca risque de devenir des sources de grandes chicanes après le mariage si elles n’ont jamais été parlées à l’avance. Si vous êtes trop timide pour poser certaines questions, ayez une personne a qui vous faites confiance le faire pour vous. ? une étape avançée des négociations, une telle discussion devrait inclure des sujets tels que le contrôle des naissances, quand des enfants doivent être prévus, comment ils doivent être eleves, ce qu’il pense d’aider avec les travaux domestiques et avec l’éducation des enfants, si vous pouvez aller à l’école ou au travail, des relations avec sa famille et le vôtre, et d’autres questions essentielles.
    8. Voyez-le agir avec d’autres personnes dans des situations diverses. Plus les conditions sont diverses sous lesquelles vous pouvez observer votre femme/mari éventuel, plus que vous saurez quant à sa maniere de traiter les personnes et ses réactions concernant diverses circonstances de la vie.
    9. Découvrez sa compréhension de l’Islam et si elle est bien compatible avec le votre. Ceci est une question très importante. S’attend-il à ce que vous fassiez beaucoup de choses que vous n’avez pas faites auparavant ? S’il souligne « Harams », particulièrement si vous êtes récemment converti(e) et qu’il ou elle semble incapable de tolérer votre point de vue, les chances sont que votre mariage sera plein d’ennuis à moins que vous soyez assez flexible pour accepter son point de vue et probablement un style de vie assez restrictif. Laissez-le ou la définir clairement comment il ou elle a l’intention de pratiquer l’Islam et comment il veut que vous le pratiquiez, comme ca il n y aura aucun malentendu plus tard.
    10. Ne soyez pas pressé. Tant de mariages se sont cassés parce que les futurs conjoints sont tellement impatients qu’ils ne prennent pas le temps de faire les recherches essentielles tels que celes tracées en grandes lignes ci-dessus.

    Ils se précipitent dans les choses. Bien que ca peut paraitre choquant, les mariages qui sont contractés entre les musulmans et puis se cassent dans une delai d’une semaine ou d’un mois ou meme une année sont devenues chose commune. Ne vous ajoutez pas à la liste des mariages ratés.

    11. Demandez-vous, est-ce que je veux cette femme/homme comme la mere/pere de mes enfants ? Si vous ne le sentez pas bien en vous, ou que vous doutez, réfléchissez encore. Rappelez-vous que le mariage n’est pas simplement pour aujourd’hui ou demain mais qu’il est pour la vie, et que le but primaire est de construire une famille. Si la personne en question ne semble pas ètre un futur bon parent, vous exposez vos futurs enfants à un manque certain quant à l’aide nécessaire de cette personne – ou bien même qu’il/elle agisse de façon négatives envers eux.
    12. Ne permettez jamais d’avoir de la pression pour le mariage. Votre coeur doit se sentir bien à son sujet, pas le coeur de quelqu’un d’autre. Encore, des allégations « islamiques » comme – il est pieux, il a une barbe, il fréquente le Masjid, il connait l’Islam; ou bien elle porte le Hijab, ne parle pas aux hommes, tout ces critères ne sont pas nécessairement des garanties d’un bon conjoint pour vous ou d’un bon mariage, mais sont seulement une partie de la situation dans son ensemble.
    Si un individu pratique la Sunnah seulement par rapport au culte, les chances sont que lui/elle n’a pas vraiment compris et n’est pas vraiment en train de vivre l’Islam. La possession de l’affection et de la Rahmah (pitié) que l’Islam encourage entre les conjoints est essentielle pour un rapport réussi, et ceux-ci sont les traits importants à rechercher dans un éventuel conjoint.

    13. Ne Jamais consentir à s’engager dans un union en échange d’une somme d’argent. De telles choses sont expressément interdits dans l’Islam et entrent dans le péché, car le mariage doit être inscrit clairement comme une chose permanente, toute la vie, mais pas pour un seul instant.

    Si ces directives sont suivies, inchaAllah les chances de faire une erreur qui pourrait troubler le reste de votre vie peut être réduit au minimum. Le choix d’un conjoint est une question des plus sérieuse, peut-être que c’est la décision la plus sérieuse que vous prendrez jamais dans votre vie puisque votre conjoint peut vous faire réussir ou échouer, dans les bons et mauvais moments de cette vie et, par conséquent, dans la vie d’apres. Cette décision doit être prise avec le plus grand soin et l’attention. Recherchez à plusieurs reprises les conseils d’Allah et ensuite de vos parents et ensuite de vos proches.

    Si tout est favorable, je vous souhaite le bonheur ensemble ici sur la terre et dans la vie d’apres. Sinon, mieux vaut abandonner cette possibilité et attendre. Allah votre Seigneur sait tout a votre sujet, vous etes son serviteur, et Il a deja ecrit votre destin et votre futur compagnon pour vous. Soyez sûr qu’il vous réunira quand le temps sera juste et correct pour cette union. Comme le Qu’ran nous l’encourage, vous devez être patient jusqu’à ce qu’Allah vous ouvre la voie et vous de votre coté vous devez activement explorer les diverses possibilités de mariage.

    Deux mots adressé aux frères. Si vous mariez ou avez marié une récente convertie à l’Islam, vous devez être très patient et la supporter. Rappelez-vous, l’Islam est nouveau pour elle, et il y a des chances qu’elle ne pourra pas prendre la totalité de la Shari’ah immédiatement – et n’oubliez pas que l’Islam n’exige pas ceci, si vous regardez l’histoire de l’Islam au debut, tout a été dit tres graduellement.

    Votre épouse doit faire les efforts de se conformer elle-même à sa nouvelles foi et culture, elle a besoin de temps et beaucoup de support, de l’amour, d’aide et de compréhension de vous. Il est meilleur de l’a laisser faire les changements à sa propre vitesse, quand son être intérieur est prêt, plutôt que d’exiger qu’elle fasse ceci ou cela, même si cela signifie qu’un certain temps s’écoulera avant qu’elle soit prête à suivre certaines injonctions islamiques.

    Si les changements viennent d’elle-même, ils sont susceptibles d’être sincères et permanents; autrement, si elle fait des changements en raison de votre pression ou d’autres, elle peut toujours être peu satisfaite de la situation et peut rechercher à s’en éloigner. Vous pouvez l’aider en étant conforme dans votre propre comportement. Tant de musulmans appliquent certaines parties du Qur’an ou de la Sunnah qui leur conviennent et abandonnent le reste, avec comme résultat une confusion dans les esprits de leurs épouses et de leurs enfants.

    Ainsi, tout en maintenant fermement les rênes dans vos mains, vous devriez regarder vos propres défauts, pas les siens, et ètre fier et heureux des efforts qu’elle est en train de faire. Soyez patients et flexibles, soyez prévenant, et montrez votre appréciation de la tâche difficile qu’elle est en train d’effectuer. Cette approche provoquera l’amour, le respect envers vous, ainsi que votre culture, et le vrai Islam bien mieux qu’une approche dure ou dominante.

    En conclusion, un mot d’avertissement. Certaines situations se sont produites dans lesquelles certaines femmes devenues musulmanes (ou après avoir fait peut-être réellement Shahaadah), ont trompées et dupées bons nombres d’hommes musulmans. De telles femmes peuvent être extrêmement adroites et opérent comme étant de « pauvres femmes seules » nécessitant l’aide d’un mari. Les frères qui tombent dans ce filet peuvent recevoir d’elles des fausses photos, de fausses informations ou des fausses promesses. Elles peuvent tricher par tous les moyens, et finalement voler tout ce qu’une femme peut voler. Comme mentioné précedement, il est toujours sage de vérifier l’entourage éventuel et les musulmans locaux qui la connaissent.

    Gardez vos yeux ouverts et prenez votre temps. Puisque le mariage est pour la vie, pour l’éternité, se dépêcher pour n’importe quelle raison est l’acte d’une personne idiote ou négligente qui pourra uniquement se blâmer lui-même ou elle même, si les choses tournent mal.

    BOUAYED
    Membre

    mbarki a écrit:
    بسم الله الرحمان الرحيم

    oujdi12 a écrit:
    majid , bouayed c ton 4 pseudo , pkoi tu insiste de suivre ce chemain tracé par la haine , il suffit de prendre le coran , quand tu le lit saura que c le livre de allah .

    Cher Oujdi12

    je croix que vous vous trempez là,
    je n’ai jamais chercher à savoir qui se cache derierre les pseudos,
    mais je peux vous rassurer que Mr Bouayed, est qlq d’honête et veridique,
    et à travers ses interventions on sent la sagesse et la noblesse,
    et sa manière de discuter ne peut être comparer à celle des autres,
    ceci ne veut pas dire que je lui donne raison sur toute la ligne,

    Je ne peux être d’accord avec lui quand il met tous les bani-oumayya dans le même sac, ne serait-ce que par ce que parmis les oummahat-almouminin il y a une oumayyade ( soeur de mouawiyya ), que Omar bnou abdel-3aziz était oumayyade et il était d’une noblesse incontestable même par les pires ennemis des oumayyades, même Charif-arrida a dit à son honneur un poême de « rithae », que parmis eux il y en a qui ont passé leur vie dans al-jihad et ne sont jamais intéréssé au trône (mouawiyya bnou hicham ), et fin la famille oumayyad a été massacré et exterminé par les abbassides ( leurs viellards, femmes et enfants ),

    Quant-il accuse mouawiyya de ruse, de s’être levé contre al-hâkim ach-char3i, qu’il était à la tête de al-fi-a al-bariyya,…, que yazid a fait ce qu’il a fait… ça personne ne peut le nier

    Aller jusqu’à les insulter, je ne pense pas que ça a une utilité qlqenq

    QUANT A VOUS MR BOUAYYAD
    Ce qui m’interassait le plus dans ce forum c’était votre topic sur al-achrâf du Maroc oriental, et je vois que vous être panché sur d’autres sujets, avez vous laissé tember le sujet,
    Ce serait vraiment domage parce que c’éatit interressant, et on aprenait des choses, et j’avais plein de questions à vous poser.
    En tous cas merci pour tous ce que vous avez pu nous apporter.

    Wa-ssalamou alaykoum

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على أله و سلم تسليما

    Mr Mbarki, je dois vous avouer que je n’ai pas apprécié comme vous m’avez interpelé par « QUANT A VOUS MR BOUAYYAD » et mon Nom est BOUAYED alors que vous appelé « Cher » la personne qui m’a attaqué gratuitement.

    Si vous écrivez ce qui suit à l’Imparfait pour me dire « Ce qui m’interressait » pour un verbe qu’on définit comme « un temps exprimant une action qui a duré ou s’est répétée dans le passé », je n’y peux rien pour vous et vous me voyez beaucoup navré que désolé.

    A ce que je vous ai écrit dans le Topic des « Idrissides du Maroc Oriental »

    BOUAYED a écrit:

    Tu as le droit de faire ce que tu veux mais au fond de moi-même, je me suis dit pourquoi Mr Mbarki qui me dit être Chrif peut se taire sur toute les attaques que les Chorfas ont du subir depuis le début de ce topic. Tu n’as qu’à lire depuis le début et tu verras ce que je dis. De toutes les façons, tu n’es pas le seul et même tu m’as donné l’impression de défendre les Ouahhabites.

    Vous m’avez répondu :

    Mon chèr Bouayed, ce qui m’interresser dans ce forum c’était le topic sur al-achrafs, et je me connectait pour lire vos interventions qui est ma patient et je n’aimait pas quand certain intervenants perturbait le bons déroulement des choses, et je ne consultait que vos interventions, j’aurait lu qlq chose qui portent atteinte à ahl-albayt ridwânou-llahi alayhim j’aurais répondu

    Et Moi, je vous réponds
    Dommage que vous n’avez pas vu toutes les insultes dont a fait l’objet les Chorfas dans le Topic des « Idrissides » et ailleurs de la part des Mobghidines et des Moukrihines. Et je peux te les citer sans compter peut-être celles qui ont été enlevées par les Responsables du Site.

    De toutes les façons, vous n’avez pas été le Seul à ne pas avoir vu cela mais il y a ceux qui ne voulaient pas voir et ceux qui voyaient et ne bougeaient pas à part une ou deux personnes. Et c’est Malheureux et c’est pourquoi je répète ces vers d’Alimam Achchaii :
    يعيب الناس كلهم الزمانا……………و ما لزماننا عيب سوانا
    نعيب زماننا و العيب فينا…………..فلو نطق الزمان إذا هجانا
    فليس الذيب يأكل لحم ذيب…………..و نأكل بعضنا بعضا عيانا

    Nous parlerons de tout cela dans le Topic des « Idrissides » InChaAllah.

    En ce qui concerne Banou Oumaya, vous connaissez ce que je pense d’eux; Cest vrai que le Khalifa Omar Ibn Abdelaziz, fait l’exception et on lit dans l' »Encyclopédie Générale de l’Eslam » ce qui suit : »Muawiya mourut en Avril 680 (60 Heg.) à l’âge de quatre vingt ans et, si les tombeaux d’autres Omeyades furent profanés après l’avénement des Abbassides, le sien et celui de l’un de ses successurs, le pieux Umar, furent respectés ».

    Dans le même Ouvrage, on lit : « Le Califat patriarcal se termina par l’avénement de Muawiya et une nouvelle ère commença, où le chef de l’Etat prit conscience de sa position de souverain d’un empire et résolut de le faire savoir à tous, c’est à dire àses propres coreligionnaires comme aux peuples asservis. »

    On lit aussi : « Les Musulmans percevaient cela et affirmaient que l’ère omeyyade n’était pas un califat mais un « royaume » (mulk), parce qu’il avait trahi l’esprit théocratique des premiers temps de l’Islam et, en contradiction avec les tendances démocratiques de la société arabe et avec les systèmes en usage sous les premiers califes, avait adopté une forme autocratique de gouvernement et une organisation de l’Etat portant les marques d’une origine étrangère ».

    On lit encore : « Depuis ce temps là (càd le califat de Mouawiya), la communauté musulmane a toujours été divisée en trois sectes politicoreligieuses, dont l’aspect religieux s’est accentué avec le temps, de telle sorte que l’Islam était composé d’une majorité qui se considérait comme orthodoxe et de deux groupes schismatiques. le noyau de Muawiya, qui fit rapidement beaucoup d’adhérents, devint les Sunnites (Ahl al-Sunna), non pas que ses adhérents aient été attachés plus que les autres à la Sunna, à laquelle tous les musulmans reconnaissaient une grande valeur parcequ’ils se proclamaient les dépositaires d’une théorie et d’une pratique correctes et orthodoxes. Shiat Ali, le groupe d’Ali, devint les Chiites, dont la doctrine est généralement connue des érudits occidentaux sous le nom de Chiisme. Les Khawarij élaborèrent aussi une doctrine qui leur est propre connue en Occident sous le nom de Kharidjisme’.
    Et ce que je veux montrer que ce n’est pas Mouawiya qui a fait le Sunnisme et si on a adhéré à lui c’est surtout après que le calife Ali ait été tué (et c’est la volonté de Dieu) et que le Chiisme au début si on doit l’appeler Chiiat Ali comme c’est dans le texte donc Ansars Ali ; ceux-ci n’ont rien à voir avec les gens qui ont déviés après l’Assassinat de Alimam Alhoussein. Et qu’il ne faut pas confondre Aal Albait et Chiites dans le sens qu’on le voit actuellement. Et c’est pourquoi les définitions de toute cette terminologie est importante à connaitre pour les profanes.

    A suivre

    و السلام عليكم و رحمة الله

    BOUAYED
    Membre

    @mbarki wrote:

    بسم الله الرحمان الرحيم

    @oujdi12 wrote:

    majid , bouayed c ton 4 pseudo , pkoi tu insiste de suivre ce chemain tracé par la haine , il suffit de prendre le coran , quand tu le lit saura que c le livre de allah .

    Cher Oujdi12

    je croix que vous vous trempez là,
    je n’ai jamais chercher à savoir qui se cache derierre les pseudos,
    mais je peux vous rassurer que Mr Bouayed, est qlq d’honête et veridique,
    et à travers ses interventions on sent la sagesse et la noblesse,
    et sa manière de discuter ne peut être comparer à celle des autres,
    ceci ne veut pas dire que je lui donne raison sur toute la ligne,

    Je ne peux être d’accord avec lui quand il met tous les bani-oumayya dans le même sac, ne serait-ce que par ce que parmis les oummahat-almouminin il y a une oumayyade ( soeur de mouawiyya ), que Omar bnou abdel-3aziz était oumayyade et il était d’une noblesse incontestable même par les pires ennemis des oumayyades, même Charif-arrida a dit à son honneur un poême de « rithae », que parmis eux il y en a qui ont passé leur vie dans al-jihad et ne sont jamais intéréssé au trône (mouawiyya bnou hicham ), et fin la famille oumayyad a été massacré et exterminé par les abbassides ( leurs viellards, femmes et enfants ),

    Quant-il accuse mouawiyya de ruse, de s’être levé contre al-hâkim ach-char3i, qu’il était à la tête de al-fi-a al-bariyya,…, que yazid a fait ce qu’il a fait… ça personne ne peut le nier

    Aller jusqu’à les insulter, je ne pense pas que ça a une utilité qlqenq

    QUANT A VOUS MR BOUAYYAD
    Ce qui m’interassait le plus dans ce forum c’était votre topic sur al-achrâf du Maroc oriental, et je vois que vous être panché sur d’autres sujets, avez vous laissé tember le sujet,
    Ce serait vraiment domage parce que c’éatit interressant, et on aprenait des choses, et j’avais plein de questions à vous poser.
    En tous cas merci pour tous ce que vous avez pu nous apporter.

    Wa-ssalamou alaykoum

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على أله و سلم تسليما

    Mr Mbarki, je dois vous avouer que je n’ai pas apprécié comme vous m’avez interpelé par « QUANT A VOUS MR BOUAYYAD » et mon Nom est BOUAYED alors que vous appelé « Cher » la personne qui m’a attaqué gratuitement.

    Si vous écrivez ce qui suit à l’Imparfait pour me dire « Ce qui m’interressait » pour un verbe qu’on définit comme « un temps exprimant une action qui a duré ou s’est répétée dans le passé », je n’y peux rien pour vous et vous me voyez beaucoup navré que désolé.

    A ce que je vous ai écrit dans le Topic des « Idrissides du Maroc Oriental »

    BOUAYED a écrit:

    Tu as le droit de faire ce que tu veux mais au fond de moi-même, je me suis dit pourquoi Mr Mbarki qui me dit être Chrif peut se taire sur toute les attaques que les Chorfas ont du subir depuis le début de ce topic. Tu n’as qu’à lire depuis le début et tu verras ce que je dis. De toutes les façons, tu n’es pas le seul et même tu m’as donné l’impression de défendre les Ouahhabites.

    Vous m’avez répondu :

    Mon chèr Bouayed, ce qui m’interresser dans ce forum c’était le topic sur al-achrafs, et je me connectait pour lire vos interventions qui est ma patient et je n’aimait pas quand certain intervenants perturbait le bons déroulement des choses, et je ne consultait que vos interventions, j’aurait lu qlq chose qui portent atteinte à ahl-albayt ridwânou-llahi alayhim j’aurais répondu

    Et Moi, je vous réponds

    Dommage que vous n’avez pas vu toutes les insultes dont a fait l’objet les Chorfas dans le Topic des « Idrissides » et ailleurs de la part des Mobghidines et des Moukrihines. Et je peux te les citer sans compter peut-être celles qui ont été enlevées par les Responsables du Site.

    De toutes les façons, vous n’avez pas été le Seul à ne pas avoir vu cela mais il y a ceux qui ne voulaient pas voir et ceux qui voyaient et ne bougeaient pas à part une ou deux personnes. Et c’est Malheureux et c’est pourquoi je répète ces vers d’Alimam Achchaii :
    يعيب الناس كلهم الزمانا……………و ما لزماننا عيب سوانا
    نعيب زماننا و العيب فينا…………..فلو نطق الزمان إذا هجانا
    فليس الذيب يأكل لحم ذيب…………..و نأكل بعضنا بعضا عيان
    ا

    Nous parlerons de tout cela dans le Topic des « Idrissides » InChaAllah.

    En ce qui concerne Banou Oumaya, vous connaissez ce que je pense d’eux; Cest vrai que le Khalifa Omar Ibn Abdelaziz, fait l’exception et on lit dans l' »Encyclopédie Générale de l’Eslam » ce qui suit : »Muawiya mourut en Avril 680 (60 Heg.) à l’âge de quatre vingt ans et, si les tombeaux d’autres Omeyades furent profanés après l’avénement des Abbassides, le sien et celui de l’un de ses successurs, le pieux Umar, furent respectés ».

    Dans le même Ouvrage, on lit : « Le Califat patriarcal se termina par l’avénement de Muawiya et une nouvelle ère commença, où le chef de l’Etat prit conscience de sa position de souverain d’un empire et résolut de le faire savoir à tous, c’est à dire àses propres coreligionnaires comme aux peuples asservis. »

    On lit aussi : « Les Musulmans percevaient cela et affirmaient que l’ère omeyyade n’était pas un califat mais un « royaume » (mulk), parce qu’il avait trahi l’esprit théocratique des premiers temps de l’Islam et, en contradiction avec les tendances démocratiques de la société arabe et avec les systèmes en usage sous les premiers califes, avait adopté une forme autocratique de gouvernement et une organisation de l’Etat portant les marques d’une origine étrangère ».

    On lit encore : « Depuis ce temps là (càd le califat de Mouawiya), la communauté musulmane a toujours été divisée en trois sectes politicoreligieuses, dont l’aspect religieux s’est accentué avec le temps, de telle sorte que l’Islam était composé d’une majorité qui se considérait comme orthodoxe et de deux groupes schismatiques. le noyau de Muawiya, qui fit rapidement beaucoup d’adhérents, devint les Sunnites (Ahl al-Sunna), non pas que ses adhérents aient été attachés plus que les autres à la Sunna, à laquelle tous les musulmans reconnaissaient une grande valeur parcequ’ils se proclamaient les dépositaires d’une théorie et d’une pratique correctes et orthodoxes. Shiat Ali, le groupe d’Ali, devint les Chiites, dont la doctrine est généralement connue des érudits occidentaux sous le nom de Chiisme. Les Khawarij élaborèrent aussi une doctrine qui leur est propre connue en Occident sous le nom de Kharidjisme’.

    Et ce que je veux montrer que ce n’est pas Mouawiya qui a fait le Sunnisme et si on a adhéré à lui c’est surtout après que le calife Ali ait été tué (et c’est la volonté de Dieu) et que le Chiisme au début si on doit l’appeler Chiiat Ali comme c’est dans le texte donc Ansars Ali ; ceux-ci n’ont rien à voir avec les gens qui ont déviés après l’Assassinat de Alimam Alhoussein. Et qu’il ne faut pas confondre Aal Albait et Chiites dans le sens qu’on le voit actuellement. Et c’est pourquoi les définitions de toute cette terminologie est importante à connaitre pour les profanes.

    A suivre

    و السلام عليكم و رحمة الله

    #220717
    hatim70
    Membre

    le Wahhabisme:

    Le wahhabisme est une forme rigoriste de l’islam sunnite qui se fonde sur l’enseignement de Mohamed ibn Abd al-Wahhab (1703 – 1792) ; il s’agit d’un courant dérivé du hanbalisme. Il se différencie de la structure hanbalite originelle dans le domaine de la croyance islamique. Il est considéré dans le monde contemporain, comme étant la principale forme de fondamentalisme musulman.

    Le texte fondateur de cette forme de l’islam est le Kitab at-tawhid (en arabe, le Livre du monothéisme). Le mot wahhabisme (wahhabiyyah en arabe) a été forgé par les détracteurs d’Ibn Abd-Al Wahhab, reprenant le nom d’une ancienne secte kharidjite. Ses adeptes ont toujours refusé cette appellation et se disent salafis.

    Le wahhabisme, spécialement dans sa version du salafisme, affirme purifier l’islam de ce que ses membres considèrent comme des innovations, appelées bida’, des déviances, des hérésies ou des idolâtries. D’après ses points de vues, en suivant sa théologie et sa pratique, un musulman doit retourner à la forme originelle de la foi islamique qu’Allah avait révélée et destinée à être suivie par l’humanité entière. Ils se considèrent donc comme une orthodoxie et par là même, destinés à éradiquer toute autre forme d’islam.

    Le wahhabisme interdit notamment le culte des saints, l’édification de monuments funéraires fastueux ou de mosquées luxueuses. Certains de ses adeptes luttent contre l’usage des pierres tombales qu’ils considèrent comme idolâtre, ainsi que l’érection de minaret (voir mosquée), car ils étaient inconnus du temps du Prophète Muhammad (ASS). Fumer est aussi interdit car il s’agit d’une offense religieuse. Dans sa version salafiste, il est interdit aussi d’écouter ou de faire de la musique.

    Cette doctrine n’eut aucun succès avant son alliance avec Mohammed ibn Saoud — patriarche des Séoud, alors seigneurs de Najd avant de devenir la famille régnante ayant par la suite donné son nom au pays. Le wahhabisme est depuis la forme officielle de l’islam en Arabie saoudite. Aujourd’hui, le terme wahhabisme est fréquemment utilisé dans les médias pour désigner l’idéologie sous-tendant la politique aussi bien intérieure qu’extérieure de l’Arabie saoudite. Certains musulmans affirment cependant que cette idéologie n’est pas fidèle à l’enseignement originel de Mohamed ibn Abd al-Wahhab.

    Pour les wahhabites, les Chiites ne sont pas de vrais musulmans (cette opinion est partagée par d’autres sunnites) et ils sont particulièrement hostiles au Soufisme ainsi qu’à toute autre forme de religion.

    Le wahhabisme réfute toute source de législation autre que le Coran, comme le rappelle cette formule du FIS (Algérie) en 1992 : « Le Coran est notre constitution ». Cela explique que ni l’Arabie saoudite ni le défunt régime taliban n’avaient de constitution. En fait, les formes extrêmes du wahhabisme ne reconnaissent pas l’État-nation comme une notion valide et lui préfère l’Oumma (communauté de croyant).

    Il faut noter que la majorité des Savants Sunnites déclare le Wahhabisme comme un mouvement sectaire et lui aussi égaré. Ils se basent sur le fait que la croyance Wahhabite est en contradiction totale avec l’asharisme et le maturidisme. Mais cette tendance tend à disparaître, suite à l’afflux de nouvelles personnes en Islam non renseignés sur le sujet, qui souvent, choisissent de suivre ce mouvement, facilement accessible dans ses enseignements sur différents supports médias, tant sur la jurisprudence que la croyance.

    Le wahhabisme est, selon les occidentaux, la forme officielle de l’Islam en Arabie saoudite, cependant les autorités saoudiennes se réclament du salafisme et considèrent le terme « wahhabite » comme une insulte, car il laisserait entendre que Mohamed ibn Abd al-Wahhab aurait créé une secte.

    L’essor du wahhabisme :

    Le wahhabisme vient d’une volonté de revenir aux textes sacrés, de limiter toute interprétation humaine dans leur lecture. Ibn Abd al-Wahhab élabore une philosophie d’un islam réformateur et puritain, il dénonce les coutumes locales et les superstitions qui ont appauvri la religion. Il faut revenir à l’âge d’or et donc à une interprétation du Coran basée sur celle des premières générations de l’Islam. Il condamne la musique et la danse qui détournent de l’amour de Dieu. L’homme doit être contrôlé socialement pour être dans le droit chemin : celui de la soumission à Dieu. Il saccage des tombeaux, des objets de dévotion particuliers, il brise des idoles car Dieu est unique, il veille à la régularité des prières. Le radicalisme de la doctrine et de l’action inquiètent les populations locales. Ibn Abd al-Wahhab quitte alors le Sud de l’Arabie, et trouve refuge dans un village de Mohammed al Saoud, favorable à ses idées. Ils concluent un pacte instituant un État islamique selon le rite wahhabique, qui consiste en un prosélytisme religieux et en l’expansion territoriale par la conquête et des conversions forcées. En 1803 le premier État saoudien est fondé.

    Inde :

    L’Inde traversa, au cours du XIXe siècle, un épisode wahhabite. En effet, le wahabitisme y fut introduit par Seijid Ahmed et connut un grand succès dans la région de Sitana au nord de Peshawâr. Elle s’opposa aux Britanniques en particulier et à la culture européenne en général. De son fief, elle se répandit dans tout le nord de l’Inde et prospéra à Patna dans le Bihâr où ses membres se révoltèrent. Les troupes britanniques leur firent la chasse et les wahhabites se réfugièrent dans la forteresse de Malka où ils furent finalement écrasés.

    Égypte :

    Les Frères Musulmans, une organisation égyptienne, reçurent ainsi, dans les années 1950, une aide financière provenant des Saoud et destinée à faire le contrepoids au nationalisme arabe laïc du leader égyptien Abdul Nasser. Dans les années 1950 et 1960, de nombreux militants de la confrérie se sont réfugiés en Arabie Saoudite, pour échapper à la répression Nassérienne. Une certaine concurrence existe entre ces deux courants et les Frères Musulmans ont influencé les wahabbites en ce qui concerne les préoccupations en matière socio-éducatives.

    Un grand nombre de mosquées autour du monde ont été financées par des fonds saoudiens ou provenant d’autres nations pétrolières du Moyen-Orient. De la même façon, de nombreux imams ont été formés en Arabie Saoudite.

    Afghanistan :

    Les talibans, qui ont pris le pouvoir dans le pays en 1996 étaient des musulmans fondamentalistes-soufis déobandis qui croyaient à la doctrine et aux traditions de l’école déoband. Le régime qu’ils ont mis en place étant largement critiqué voire rejeté par le reste du monde, ils rencontrent des problèmes de financement qui les amènent à former une sorte de coalition stratégique avec Al-Qaida. En ce qui concerne les aspects extérieurs et la transparence (hijab, barbe, culture occidentale, etc.), les talibans ne présentent pas de différence notable avec les autres courants wahhabites.

    Europe :

    L’essor du wahhabisme a aussi atteint les Balkans et le Caucase, où les groupes wahhabites tentent de récupérer des groupes de musulmans qui étaient sous la menace ou la domination de groupes non musulmans. L’exemple le plus manifeste de l’influence wahhabite peut s’observer en Tchétchénie où les exactions russes l’ont considérablement servi.

    De nombreuses tentatives ont été montées pour répandre le wahhabisme parmi les musulmans de Bosnie-Herzégovine, de Serbie-et-Monténégro et en République de Macédoine, par le biais du financement de la reconstruction des mosquées, des organisations non gouvernementales et de la construction d’hôpitaux. Malgré la pression (les missionnaires insistent sur la reconnaissance) la majorité d’entre eux protestent et restent fidèles à leur foi traditionnelle.

    Wahhabisme et frères musulmans :

    Beaucoup d’organisations militantes islamistes sont influencées par le wahhabisme, totalement ou partiellement. On notera que les islamistes chiites, comme ceux d’Iran ou du mouvement libanais Hezbollah sont des chiites n’ayant rien à voir avec le Wahhabisme

    #220715
    hatim70
    Membre

    ok si mourad , vous voulez avoir une idee sur les differents branches de l’islam je vais essaye de vous donner un resumer sur le chiisme le sunnisme et le ouahabismes :

    Le chiisme (ou chi’isme, shi’isme ; en arabe شِيعَة šīʿaʰ, en persan : شیعه ) qui regroupe environ 10 % des musulmans constitue l’une des trois principales branches de l’islam avec le sunnisme et le kharijisme.

    Les musulmans chiites pensent que des personnes choisies parmi la famille de Mohammad (les Imams) étaient la meilleure source de connaissance à propos du Coran, de l’islam, de l’émulation (les guides de l’islam après Mohammad) et les protecteurs les plus fervents de la sunnah (tradition) de Mohammad.

    En particulier, les musulmans chiites reconnaissent la succession du prophète par Ali (le cousin et beau-fils de Mohammad, premier homme à accepter l’islam —après Khadija— et aussi le chef de l’Ahl al-Bayt ou « gens de la maison [du prophète] »). Au contraire, les musulmans sunnites reconnaissent le califat. Les chiites croient que Ali a été désigné comme successeur de Mohammad par lui-même en de nombreuses occasions, et qu’il est donc le dirigeant de droit de la foi musulmane, suivant en cela la décision Divine soufflée au Prophète.

    La principale nomination fut le jour d’al Ghadir et dans de nombreux autres endroits. Le jour d’al Ghadir, après le pèlerinage de l’adieu, le Prophète Mohammad annonça solennellement et devant des milliers de pèlerins venus du monde entier le discours suivant et l’un des plus importants : Traduit en français : « A qui je suis un guide, Ali est son guide. Mon Seigneur, allie de celui qui s’allie à lui, hais celui qui le hait, glorifie celui qui le glorifie, délaisse celui qui le délaisse, et laisse le droit et la justice avec lui où qu’il soit »

    Cette différence entre la reconnaissance du pouvoir de l’Ahl al-Bayt (la famille de Mohammad) ou du calife Abou Bakr a modelé les doctrines chiites et non chiites à propos du Coran, des hadiths et d’autres points. Par exemple, la collection des hadiths reconnus par les chiites se base sur des narrations faites par l’Ahl al-Bayt alors que les hadiths de narrateurs ne faisant pas partie de la famille de Mohammad sont considérés comme pouvant être discutés(ceux de Abu Huraira par exemple).

    En dehors des considérations sur le califat, les chiites reconnaissent l’autorité de l’imam (aussi appelé Khalifa Ilahi) en tant qu’autorité religieuse, bien que les différentes branches de l’islam chiite ne sont pas d’accord sur la succession de cet imam et de son successeur (les duodécimains, ismaéliens ou Zaydites par exemple).

    Origine du chiisme :

    Étymologiquement, le terme chiisme vient de shî’at ‘alî, le parti de `Ali. À la mort de Mohammad en 632 la question de sa succession fut à l’origine du premier grand schisme de l’islam. Ceux qui prirent le parti de `Ali, cousin et gendre de Mohammad, estimaient qu’il était l’unique successeur légitime même s’ils prêteront allégeance au premier calife Abu Bakr.

    Ce n’est qu’après la mort du troisième calife `Uthman que `Ali accédera à la tête de la communauté. Néanmoins son pouvoir sera sans cesse contesté par Mu’âwiyah Ibn abi Sufiân qui trahira son pacte avec Ali. Ce dernier sera assassiné en 661 pendant sa prière dans une mosquée par un kharidjite. Ses partisans reportèrent alors toutes leurs espérances sur ses fils l’imam Hassan, puis l’imam Hussein.

    Hassan, le 1er petit-fils du Prophète, ne cherche pas à prendre le pouvoir, ce qui affaiblit considérablement la prétention chiite sur le plan politique.

    L’Imam Hussein refuse le pouvoir omeyyade (de Mouaawiya) et constitue un bataillon pour une rébellion armée. Sa mort (son martyre, selon ses partisans) avec l’ensemble de sa famille et de ses partisans lors de la bataille de Kerbala, en 680, marquera le début de la rupture entre les chiites et ceux qu’on nommera plus tard les sunnites.

    Le destin tragique d’Hussein secoue une partie de la conscience musulmane et provoque une détermination à combattre jusqu’au bout pour un idéal de pouvoir juste et respectueux des principes fondamentaux de l’islam. Le martyre devient un symbole de la lutte contre l’injustice. Le cœur du chiisme est dans ce massacre, d’où le culte des martyres. Tous les descendants de Hussein vont avoir un destin tragique, tel que la prison sur ordre du khalife (ou calife).

    Selon les chiites, la succession est héréditaire. Mais toutes les tendances ne sont pas d’accord sur la ligne de succession. Pour le courant actuellement majoritaire du chiisme duodécimain, le douzième successeur de Mohammad réussit à échapper à l’emprisonnement par voie surnaturelle et disparaît en 874 : c’est l’occultation. Ce phénomène surnaturel de l’occultation va permettre de mettre un terme à la question du pouvoir temporel, et donne une dimension eschatologique et religieuse très forte.

    Les duodécimains admettent dorénavant passivement l’ordre politique car le douzième imam reviendra à la fin des temps et retrouvera son règne. En son attente, aucun pouvoir n’est vraiment légitime, mais le fidèle doit attendre le retour de l’Imam tout en faisant des efforts pour s’améliorer spirituellement.

    On peut noter que la révolution iranienne de 1979 a en partie rompu avec cette attente en voulant mettre en place un régime religieux et politique juste avant le retour de l’Imam, ce qui a été rejeté par certaines tendances théologiques du chiisme duodécimain.

    Pour les chiites, les imams sont les guides, les mainteneurs du Livre. Leur légitimité n’est pas due à leur descendance charnelle du Prophète, mais à leur héritage spirituel, ils ont une connaissance par le cœur du Coran, en expliquant l’ésotérique (bâtin) aux fidèles.

    Divisions et sectes du chiisme:

    Des divergences à propos de la succession de certains imams furent en grande partie à l’origine de l’éclatement du chiisme en d’innombrables groupes et sectes. Cependant trois grandes tendances forment l’essentiel du monde chiite d’aujourd’hui : les Zaydites qui reconnaissent cinq imams, les imâmites ou duodécimains et les ismaéliens ou septimains, auxquelles il faut ajouter les chiites dits hétérodoxes comme les alaouites de Syrie, les alévis de Turquie et les druzes de Syrie, Palestine, Liban, Israel.

    Les Chiites « historiques » sont notamment les Duodécimains, majoritaires en Irak (qui a sur son territoire plusieurs villes saintes dont Kerbala) et en Iran où le chiisme est religion d’État depuis la révolution islamique initiée par Khomeyni. Ces Duodécimains ne s’éloignent pas fondamentalement de l’orthodoxie islamique et ils ont été reconnus musulmans par l’Institut Al Azhar du Caire, la plus haute autorité sunnite du monde.

    En revanche, d’autres groupes qui ne sont pas proprement chiites, surtout les Alaouites de Syrie, les Alévis de Turquie et les Druzes de Syrie, Palestine, Liban et Israël se sont tellement éloignés des enseignements du Coran et des Hadiths (et ont élaboré leurs propres doctrines) que les institutions orthodoxes se demandent si ces groupes peuvent encore être appelés musulmans.

    BOUAYED
    Membre

    @mbarki wrote:

    Salam alaykoum

    Cher Monsieur Bouayed, vous me surprenez toujours avec vos informations.
    pouvez vous me fournir la source de votre information suivante :

    : و رحم الله الشيخ الحاج موسى الرضى أخ المولى عبد السلام بن مشيش حين قال

    يعيب الناس كلهم الزمانا……………و ما لزماننا عيب سوانا
    نعيب زماننا و العيب فينا…………..فلو نطق الزمان إذا هجانا
    فليس الذيب يأكل لحم ذيب…………..و نأكل بعضنا بعضا عيانا

    Wa choukrane

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما

    Mr Mbarki, rebienvenu parmi nous Aid Moubarak Said et Bonne Année 2007 à vous et à tous ceux qui vous sont chers.
    La source de ses vers est :
    كتاب الحصن المتين للشرفاء أولاد مولاي عبد السلام مع أبناء عمهم العلميين للحاج الطاهر بن عبد السلام اللهيوي الوهابي العلمي الإدريسي الجسني الشمسي

    سبق للسيد أحمد من أمريكا أن طرح السؤال التالي : « هل كان الأدارسة شيعة أم سنّة ؟ » و قد أجبته مطولا بعد أن أشرت كيف تمت البيعة بإمامة محمد النفس الزكية (أخو إدريس الأكبر) على حساب أبي جعفر المنصور و كيف أن الإمام مالك و الإمام أبو حنيفة زكّيا هذه البيعة و كيف أن الإمام إدريس هرب الى المغرب بعد معركة فخ.ء

    نجد في « دولة الأدارسة : ملوك تلمسان و فاس و قرطبة » ما يلي :ء
    « و إذا كان إدريس الأول قد تبربر لكي يتكيف بالمحيط الذي آواه و اقتطع له مملكة ، فإن إدريس الثاني كان بربريا بالطبيعة ، حيث إنه ولد من أم بربرية و لم يقدر له أن يعرف والده و ترعرع في محيط كان كل شيء فيه بربريا ، إذا استثنينا أولائك الذين لقنوه مبادئ اللغة و الدين.ء

    و من ثم فإن وصول هذه الموجات من المهاجرين من القيروان و من قرطبة ، و بينهم علماء و فقهاء و أدباء و غير ذلك من الفنانين و الصناع ممن امتصوا القيم الحضارية في الشرق و الأندلس ، يمثل ثورة حقيقية في المغرب الأقصى. و بفضل هؤلاء ستنتشر اللغة العربية بين البربر و يصبح من المتيسر عليهم فهم النصوص الإسلامية الأساسية و تقبل أحكام الشريعة.ء

    و بفضل هؤلاء المهاجرين و الذين جاءوا من بعدهم ، سيتعزز مذهب أهل السنة ، و ينتشر مذهب الإمام مالك بعد ما مهّد له إدريس الثاني الطريق بالقضاء على اليهودية و المسيحية و على بقايا الوثنية ، و باستئصاله لمذهب الخوارج

    كان دراس بن اسماعيل (أبو ميمون) في مقدمة الذين أدخلوا مذهب مالك الى بلاد المغرب ، و خصوصا الى المغرب الأقصى ، حيث توفي في فاس (سنة 257 هج). و قبل ذلك كان المذهب السائد في المغرب هو مذهب الكوفيين (مذهب أبي حنيفة). و بقية الروّاد الذين أدخلوا المذهب المالكي الى إفريقية ، هم علي بن زياد و ابن أشرس و البهلول بن راشد و أسد بن الفرات. و قد أخد عنهم كثير من الناس ، و لم يزل المذهب ينتشر حتى جاء سحنون و قضى على النظريات المخالفة للمذهب ، و استقر المذهب بعده في أصحابه , و شاع في جميع أقطار المغرب. و من هناك انتشر في الأندلس حيت أخذ به هشام بن عبد الرحمان و أمر الناس جميعا بالإلتزام به و صير القضاء و الفتايا عليه ، و كان ذلك في حياة الإمام مالك. و أما دراس ، فقد لقي علي بن أبي طرفي بالإسكندرية و أخد العلم عن شيوخ القيروان و منهم أبو بكر بن اللباد ، و سمع منه من أهل الأندلس أبو الفرج عبدوس و خلف بن أبي جعفر و غيرهم ، و قد كان من حفاظ المغرب المعدودين.ء

    الذكريات التي لا تزال عالقة بأذهان الناس و أسطورة الأدارسة ، و ما عرفوه من المجد و العبودية ، و هي أمور أصبحت الآن من صميم الفلكور الشعبي المغربي ، فإن الأدارسة تمغربوا تماما و نسوا مشاكل الشرق ، و ذلك على عكس العبيديين أبناء عمومتهم الذين لم يكونوا يرون في المغرب إلاّ وسيلة لجمع المال و الرجال ، و صخرة لينقضّوا منها على الشرق لاسترجاع حقوق أجدادهم المغتصبة في الخلافة ».ء
    [

    و عندما نتكلم على الحقوق المغتصبة نقرأ ما يلي :ء
    Quand on parle des Droits « Dépossédés » voire « Volées », lisez ce qu’on trouve dans « l’Encyclopédie Generale de l’Islam » :

    « Ce fut une consternation à Médine lorsque Muhammad mourut le 8 Juin 632 (13 Rabii I 11). Mais les Musulmans se rendirent vite compte qu’ils devaient lui choisir un successeur. Celui-ci ne pouvait pas être un prophète, car l’on savait par révélation divine que Muhammad était l’expression même du Prophète; il était pourtant urgent de donner un nouveau chef à la communauté. Ainsi, pendant que la parenté du défunt, y compris son cousin et gendre Ali, assuraient la veillée du corps et préparaient la sépulturecurieusement dans la pièce même où il reposait un important groupe de fidèles était assemblés sous un abri couvert, la Saqifa, du Banu Saiida, pour décider ce qu’il y avait lieu à faire. La discussion fut animée, voire même violente par moments, car le vieil antagonisme entre les « Assistants » (Ansar) de Médine et les « Emigrants » (Muhajirin) de la Mecque s’embrasa à nouveau et l’éventualité fut débattue de désigner un chef pour Médine et un autre pour la Mecque, avec le risque que cela apporte le malheur à l’Islam… »

    On voit comment Alansar ont été écarté du « Pouvoir » et au sein d’Almouhajirine et donc de Quoraich, comment on va éliminer Banou Hachim avec l’avénement du calife Othmane qui a favorisé sa famille Banou Oumaya dont les les Parents AbouSoufiane et surtout Marouane Bnou Alhakam qui étaient des pires ennemis du Prophète Mohammad SAAW
    et de ceux qui n’ ont embrassé l’Islam qu’à la Fin.

    Et ceux là Mr Mourad sont les gens من الذين تأسلموا
    ِC’est vrai qu’on peut dire pour Moawiya Radia Allahou Anh facilement.

    و السلام عليكم و رحمة الله

    BOUAYED
    Membre

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما

    Mr Yamouni, ce que je vous ai dit était une simple suggestion et cela ne veut pas dire que je n’ai rien à dire dans le domaine mais reste que le Maroc a été victime d’un tas de mauvais tours et en premier lieu sa naïveté. On en parlera.

    Dans le « Journal d’Oujdacity » j’ai trouvé un article de Mr Abderrahim Oujdi intitulé « في إعدام صدّام … دلالات الزمان و المكان و شهود العيان »
    Cet article m’a plu et voilà la réponse que je lui ai faite:

    شكرا السيد عبد الرحيم الوجدي ، أنت الوحيد الذي ذكرت جملة  » اللهم صليّ على محمد و على آل محمد » و قد سمعتها كذلك و هذا الذي لم يذكره البعض مع الأسف و صبّوا غضبهم على الشيعة و اتهمّوا الكل بالرافضة. الذين يهللون اليوم و يستغلون المناسبة للطعن في الشيعة اليوم و حزب الله البارحة و من ورائهم آل بيت رسول الله صلعم هم الذي سلّحوا صدام حسين للهجوم على ايران في حرب التي قتل فيها عدد كبير من المسلمين و يريدون أن يحاربوا ايران المسلمة و ليست هي فارس كسرى انوشروان الكافرة بالأمس. هذه الدول التي ذهبت منها الطائرات لقصف العراق و منها الدولة الزعيمة الكبرى المعروفة و هي التي أفتى علماؤها « حلالية » وجود الجيوش الكافرة و على رأسها أمريكا في أراضيها و لم يأيدوا عمليات حزب الله بلبنان حتى أنه اتهموه بحزب الشيطان. عملاء هؤلاء عندنا الذين يصومون عند صيامهم و يعيّدون يوم أعيادهم هم الذين يرسلون من يفجرون أنفسهم لقتل الأبرياء من الشيوخ و النساء و الأطفال المسلمين كيف ما كانت الطائفة الذين ينتمون اليها. هؤلاء الذين يهللون لصدام حسين ، ما رأيهم في المواطنين المغاربة الإثنان الذي اختطفتهم القاعدة و ربما أعدمتهم منذ أزيد من 400 يوم. لقد تم إعدام صدام يوم عيد الأضحى و هذا الذي لم يتقبله أحد منا و لكن هناك بعض الغموض في كل هذا وقد كان يمكنهم القيام بهذا في يوم آخر بدون علم أي أحد و أظن أن أمريكا التي تريد أن تتنصل من المسؤولية هي التي أعطت الضوء الأخظر للإعدام و ما يكون ان يتم إلا بإذنها و هذا ما ستبينه لنا الأيام. و يبقى صدام حسين طاغية و سفاحا و هو الذي قتل و نكّل بمواطنيه و معارضيه من كل الطوائف حتى زوجي ابنتيه بعد أن أعطى الأمان للملك عبد الله الأردني بالعفو عليهما و لم يكترث بتوسل ابنتيه اليه. و لن ينسى التاريخ الحرب التي أعلنها على ايران البلد المسلم الذي يقف اليوم في وجه اسرائيل و حليفها امريكا و صدام حسين هذا هو المسؤول على موت 8 ملايين من المسلمين في حرب العراق-ايران و ذلك لإرضاء عملاؤه في ذلك الوقت من الأمريكيين و الأروبيين و دول الخليج. في ذلك الوقت قال كيسنجر الأمريكي اليهودي على هذه الحرب.
    « Il faut qu’il n’y a ni vainqueur ni vaincu ».
    Mr Abderrahim Aloujdi, je vous remercie de ce que vous avez écrit et vous êtes resté objectif dans vos propos et j’espère que vous suivez le Forum.

    Il y a des gens qui ont trouvé l’occasion pour défendre Saddam Houssein le Criminel et une occasion aussi pour prendre tous les chiites comme des Raawafides et ils ne veulent pas savoir que parmi les Chiites Il y a Chiia Alimamia où on parle des 12 Imams dont les 3 premiers sont Alimam Ali , Alimam Alhassane et Alimam Alhoussein et qu’ls ne fallait pas prendre tous les chiites pour des menteurs. Celui qui dit cela n’arrivera pas au Talon ou Talent de Hassan Nassrou Allah l’autre chiite du Liban.

    Les Chiites ont fait l’histoire du Maghreb et du Maroc et les Fatimides ont été la cause de la chute de la 1ère dynastie des Idrissides et ont permis l’avénement de Moussa Bnou AbiAlfia et ce sont eux et qui ont aidé les Idrissides à se débarasser de lui.

    on lit dans « l’Encyclopédie de l’Islam » ce qui suit : « Lorsqu’ils s’instalèrent en Egypte, les Fatimides n’avaient pas l’intention d’abandonner l’Afrique du Nord à son destin ; ils en confièrent l’administration aux Senhajas Zirides qui les avaient fidélement servis…à cette époque la domination fatimide était aussi légère qu’au début du siècle, mais elle donnait satisfaction à l’opinion publique Malikite puisqu’elle était approuvée par les oulémas orthodoxes de Kairouan : les Maghrébins avaient volontairement souscrit à la doctrine qui était disposée à dénigrer et même à ridiculiser les Compagnons et les Successeurs du Prophète à l’exception d’Ali et des ses descendants »

    ceci a été dit et la dernière phrase répétée pour montrer à certains que les Ciites ont fait une partie de l’Histoire du Maghreb peut être un peu moins le Maroc.

    Il y a des gens qui oublient qu’il y a parmi les Chittes du Moyen Orient des pauvres gens déscendants du Prophète Mohammad SAAW et qui sont peut-être pour rien dans ce qui arrive et n’ont pas aidé les Américains à entrer en Irak mais qui ont été victimes d’Assassinat Abject et Cruel de la part des Takfiriyines Criminels par des bombes et voitures piégées de la manière la plus dégueulasse et lâche.

    Ces gens qui trouvent l’occasion pour montrer ou démontrer qu’ Ali RAA n’avait pas le Droit à Alkhilafa et crachent leur haine sur Aal Albait.

    S’il y a Arrafida qui ont dérivé d’un côté il y a aussi Attakfiryine qui ont dérivé de l’autre côté.

    قال الإمام علي رضي الله عنه يوما على المنبر : « هلك فيّ رجلان محب غال –تبين أنهم الروافض و أصحاب عبد الله بن سبأ — و مبغض قال –تبين أنهم الخوارج ».ء

    Et maintenant ce sont les Takfiriyines qui ont pris la place des Khaouarijes.

    Je crois que je ne vais pas abandonner de si peu Yaghmourassen parcequ’il n’a eu tord dans ce qu’il avançait.

    Ou les gens sont ignorants ou ils veulent rien entendre.
    La question qui se pose : pourquoi Lalla Fatima Zahra a été inhumée la Nuit et non le Jour, en Cachette et non en publique, qu’elle ne voulait pas que sa tombe soit connue et qu’en plus certains gens n’assistent pas à ses funérailles.

    L’Histoire qu’on veut nous inculquer n’est pas forcèment la Bonne Histoire.

    Que Dieu vous assiste ya Aal Ali,vous n’avez pas que des sympatisants.

    و رحم الشيخ الحاج مورس الرضى أخ المولى عبد السلام بن مشيش حين قال

    يعيب الناس كلهم الزمانا……………و ما لزماننا عيب سوانا
    نعيب زماننا و العيب فينا…………..فلو نطق الزمان إذا هجانا
    فليس الذيب يأكل لحم ذيب…………..و نأكل بعضنا بعضا عيانا

    و السلام عليكم و رحمة الله

    BOUAYED
    Membre

    @houlakou wrote:

    يبدو ان السيد بوعياد لم يهضم وجهة نظري لا تمر فرصة الا ويذكر اسمي،يا أخي انا حر في افكاري ولا تحاول عبثا ان تغير من موقفي ، ولم يسبق لي ان ذكرت اسمك او انتقدت ما تكتب،اما ان تقول انك تعرف كل الأسماء التي تكن عداء للشرفة انك بالفعل تضحكني انا لم اكن يوما عدو لأحد ،انا لست ببربري بل عربي والأكثر من ذلك من هؤلاء اللذين تكتب عنهم ولكن لم اكن متفقا مع ابي في ما يقول كما لا اتفق معك هذا لا يعني انني اكن لك ولمواضيعك العداء انها حرية الرأي ويجب عليك ان تتقبل هذا،لا يمكنك ان تجبرني على شيء وانا كذالك،وعند لقاء ربنا سيحكم من الذي كان على صواب ومن الخاطئ ، اما في ما يخص اسمي لا احد طلب منك هل تحبه او تكرهه،ذلك شأن خاص بي وبذكرك له يعتبرذالك تطفل.
    والسلام على من اتبع الهدى.

    houlakou a dit
    انا كنت اعتبر ذالك يدخل في حرية الرأي ومازلت كذالك، ولكن لا بأس السيد بوعياد ان كنت تعتبره مساس في حقك لا يسعني الا ان اعتذر لك، كما اردت ان اوضح بأن هذا الإسم هولاكو لا علاقة له بهولاكو التاتار وانما مجموعة من الحروف اللاتينية لها دلالة في حياتي ،صحيح كان لي بعض الإصطدامات مع الإخوان الذي ذكرتهم وغالبا ما كانت بسبب هذا الإسم او في بعض المواضيع التي تتعلق بالدين،بالنسبة لي ان الدين ليس لكل من هب ودب ان يفتي فيه،ربما تجدني اكثر اصطدام مع ابن العربي بسبب اختلاف وجهات النظر ولكن هذا شيئ عادي في منتديات الحوار،بالمقارنة ببعض المنتديات الأخرى التى اشارك فيها اجد ان منتدى وجدة سيتي هو الأحسن في ما يخص عدم الإنزلاق في الكلام الساقط.
    بعض الناس يفتون علي في هذا المنتدى ان اتق الله وكأنني كافر لست ادري ربما افكاري بعض المرات تستعصى على الفهم،هذه الكلمة لا استصيغها،والسبب في ذالك بكل بساطة انني مسلم،رغم هجرتي من المغرب منذ سنين طويلةرغم هذا ما زلت محافظا على ديني والأكثر من ذلك اكتب بالعربية،هذه اللغة الجميلة التي مازلت احافظ على قواعدها منذ ان غادرت ثانوية عبد المومن منذ سنوات طويلة٠
    اذن لم يبق لي السيد بوعياد الا ان اكرر لك اذا رأيت في رسائلي الماضية شيء يسيء اليك فتقبل مني اعتذاراتي.والسلام.

    بسم الله الرحمان الرحيم وصلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما

    Mr Mourad, Bonsoir
    J’allais justement citer ton nom et tu t’es manifesté et comme dit on Arabe « Omrak Touila ». Aid Moubarak Said et Bonne Année, avec tous mes voeux de Bonheur, de Bonheur et de Santé pour toi, tes proches et tous ceux qui te sont chers.

    Je suis content du Noble Geste qui tu as fait, en demandant des excuses à Mr Kaddouri Elhoussine et à Mr Alaeddine. Il n’y a de plus noble que l’humilité et je crois au fond que tu as un grand coeur.

    Mon Cher Compatriote de Vancouver, Assalamou Alaikoum wa rahmatou Allah. Aid Moubarak Said et Bonne Année pour Vous et votre Famille.

    J’ai bien lu votre dernière intervention et vous remercie pour vos excuses.
    Sincèremment, je prèfère la dernière phrase qu’à la première, car en lisant ce qui a été écrit en premier lieu, on a l’impression que vous vouliez présenter des excuses tout simplement pour me faire plaisir.

    En lisant ce que vous venez d’écrire, je ne vais pas répondre comme je voulais le faire auparavant mais, permettez moi de faire des remarques et à vous d’en juger.

    Comme vous dites, vous êtes libres de vos propos et c’est ça la liberté d’expression mais comme je l’ai déja dit un jour à Mr Alaeddine concernant le Sioniste de Michigan qui a utilisé un autre pseudonyme que je ne vais pas citer :
    La Liberté de l’un finit là où commence la DIGNITE des Autres

    Je n’ai pas dit, la liberté des autres mais bien la Dignité des autres car il y a des choses qui peuvent être prise comme de la Provocation.
    هذا يعد استفزازا لمشاعر البعض

    Imaginez-vous si vous avez utilisé le pseudonyme d’Hitler, vous auriez tous les Juifs du Canada pour ne pas dire du Monde Entier sur le dos et qui vont vous accusez d’Antisémitisme.

    Vous avez bien répondu à Mr Hafid le 20/11/2006 en disant quand il vous accusé d’être aussi le Sioniste de Michigan en ces termes : « A Mr Hafid, ….tu me repoche d’être…, il n’y a pas un musulman sur terre qui accepte ce nom…« 

    Excusez moi, mon cher Compatriote, mais le Pseudonyme que vous portez est une Insulte pour notre Intelligence comme Marocains, Arabes et Musulmans.

    De toutes les façons, c’est la dernière fois que je vous parle de ça et je ne vous appelerez jamais avec ce Pseudonyme de la honte.

    Ceci dit, Cher Compatriote, cela ne veut pas dire que je ne suis pas d’accord avec vous sur d’autres domaines et je suis du même avis que Saddam Houssein est un Criminel et un Taghia qui est responsable de massacres d’un bon nombre d’Innocents. Il est responsable, entre autres, de la mort de 8 millions de personnes morts au cours de la guerre Irak-Iran, déclenchée par ses soins pour satisfaire ses anciens alliées Américains, Européens et Pays du Golfe.

    J’ai bien vu vos réponses faites à l’Homme au Sabre semeur de haine et de discorde et qui vient de nommer Hizb Allah de Hizb Achchaitan et qui a été le premier à répondre oui à la provocation dans « Cherifs et Sherifs » en se moquant du Roi Abdallah de Jordanie et qui n’a pas osé parler du Roi du Maroc parcequ’il n’a pas l’audace de la faire et dans ce cas, comme dit le proverbe :
    قالو صباح الخير عليك أ القايد ، قالو بالسيف على باباك

    Nous pouvons parler longtemps de l’Irak mais quand tu vois des gens dans leurs hystérie parler de faire la guerre à Arroum wa Alforssالروم و الفرس
    cela est très grave, cela veut dire faire la guerre à tout ce qui n’es pas arabe et dans ce cas que vont faire les 300 millions d’Arabe, combattre les 1200 Millions de Musulmans Non Arabes qui restent. Parlons-nous encore des Perses impies (de Kissra Aboucharwan) ou se sont des Musulmans d’Iran de nos jours.

    Je vous dis cela pour pouvoir commenter la phrase que vous m’avez écrite
    أنا لست بربري بل عربي
    Je dis cela car dans la bande des 4 qui ont écrit das « Cherifs et Shérifs », il y a à ma connaissance 3 Arabes et 1 seul Bèrbère, cela veut dire que ceux qui ont combatu les Chorfas se sont surtout et en premier les Arabes.

    En parlant des Berbères (je parle des hommes de foi et pas les impies), on trouve dans « L’Encyclopédie Générale de l’Islam » dont j’ai déja cité les auteurs qui sont Anglais, :« Les Maghrébins avaient volontairement souscrit à une doctrine qui était disposée à dénigrer et même à ridiculiser les Compagnons et les Successeurs du Prophète à l’exception d’Ali et de ses descendants ».

    Mon Cher Compatriote, il se peut qu’on aura beaucoup de choses à nous dire car après tout, je sens que le courant passera.

    Avec toute ma Sympathie.

    Avant de fermer ce long discours, je voudrai dire à Mr Mourad, qu’après avoir dissipé ce nuage entre Alaeddine et toi (qui est pour rien), sachez qu’au fond je t’ai toujours compris et que doucement et certainement, il faut monter aux gens et surtout à nos compatriotes ce qu’est le MAROCAIN.

    و السلام عليكم و رحمة الله

    #220346
    Alain
    Membre

    .
    Pas de bol, tu as cru avoir assez de finesse d’esprit pour penser que j’ai renié ma nationalité, mais mon pauvre, c’est tout à fait l’inverse.

    Je suis né (au Maroc) français de parents, grands parents, arrières grands parents français….. j’usqu’à des lustres…

    ….. et nous avons acquis en PLUS la nationalité marocaine pour services rendus à Sa Majesté le Roi Mohammed V et à notre pays le Maroc par un décret signé de sa main en 1957.
    Ce titre étant héréditaire, j’ai l’honneur d’en être le successeur.

    Tu comprendras peut être mieux mon attachement à la famille Royale et ma fidélité à MON deuxième pays, et je n’hésiterai pas une seule seconde à mettre ici en évidence les comportements des ennemis de notre pays et en particulier ceux qui soutiennent par leurs actes et par leurs paroles les terroristes meurtriers de nos concitoyens

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