ayman

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  • en réponse à : ChEb KhaLED à SaIdIa et oUjDA cet été !! #229736
    ayman
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    @fadi wrote:

    L’idole de la jeunesse maghrebine 8)

    ça explique tout je pense !!

    Si on se limite à la voix , je drai bien qu’ila une belle voix

    en réponse à : chnou tsemmi bentak ou weldak? #225350
    ayman
    Membre

    J’ai ecrit cette histoire qd j’etais encore « student » epoque des poesies … j’evrivais bcp c’etait par passion 😥 ça remonte à une bonne quanzaine d’années ,j’ai essayer de trouver dans mes archives ( comme j’avais promis à Ficam) mais j’ai pas trouvé 😥
    j’aurai bien voulu vous faire plaisir ,je suis vraiment navré

    en réponse à : ChEb KhaLED à SaIdIa et oUjDA cet été !! #229734
    ayman
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    Duacell ?il viendra donner sa benediction pour les juenes magrebeins talentueux 😀

    en réponse à : pourquoi ce pseudo?cet avatar?? #218316
    ayman
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    @nezouh wrote:

    le non-rapport c’est avec le sujet en titre.

    et les autres mois de sa vie, je suppose ou plutôt j’en déduis qu’il est très occupé à mener à bien sa vie (chose qui prend toute une vie!!!!!!!)

    Je suppose qu’il se plaigaint pas non plus dans le ventre de sa mere il la menait aussi à bien 😀 ( ça nous arrve de sortir des fois d’etre hors sujet 🙂 )

    en réponse à : pourquoi ce pseudo?cet avatar?? #218314
    ayman
    Membre

    @nezouh wrote:

    salam à tous,

    ca n’a aucun rapport, mais j’ai entendu une phrase dans l’émission des « grosses têtes » (sur RTL), ils cherchaient qui à dit :

    Les seules vrais vacances qu’un homme prend durant sa vie ce sont les 9 mois qu’il passe dans le ventre de sa mère……………

    frédéric Dard.

    je la trouve tellement vraie!

    C quoi qui n’a aucun rapport?
    et les autres mois de sa vie? 🙄

    en réponse à : le prix #223879
    ayman
    Membre

    Ana rani deja votit 3lik assi hafid , rak 3jabtni , zin wadrafa,bassah ri matanssach tssawabana dou felhouma wchi zerda hiya 😆
    yahdrou fiha ga3: PDT_Armataz_02_52
    ana kal3ada hadak bou lahya , rak 3aref ana rani integriste 😆 😆 😆

    en réponse à : la mort de gregory le marchal #229750
    ayman
    Membre

    😥 😥

    en réponse à : Nicolas Sarkozy ? Ségolène Royal? #229441
    ayman
    Membre

    Il est un peu mza3za3 ce type ! 😆 comment un complexé peut etre un potentiel president ? 😆 😆

    en réponse à : pourquoi ce pseudo?cet avatar?? #218312
    ayman
    Membre

    Merci la nature 😆

    en réponse à : La délinquance au Cinéma LE PARIS #228192
    ayman
    Membre

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    en réponse à : a la recherche des amis d’enfance #216523
    ayman
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    Soumal maradich ydurouh felhabs radi y9assiwou 😆 😆

    en réponse à : التشيشة #229727
    ayman
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    @VOUJDAV wrote:

    dji 3lik chicha bdak lbrtssou li labsss!! 😆 😆

    Mabaynach ga3 3lih bali yakmi chicha wyakal tchicha !!!

    en réponse à : التشيشة #229725
    ayman
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    😆 😆 😆

    en réponse à : التشيشة #229722
    ayman
    Membre

    @houlakou wrote:

    ما هذا يا حفيظ تريد ان تمزق ما تبقى لنا من امعاء،اذا اكلت هذه الوصفة فمن الأحسن ان تكون في فصل الشتاء،والأهم من ذالك ان تبتعد عن قارورات الغاز وإلا اصبح حيك في خبر كان،اما اللذين يشاركونك نفس البيت فاعتقد ان المصالح المعنية ستجد صعوبة في جمع اشلائهم٠

    هل تفضل التشيشة ام الشيشة؟

    en réponse à : La délinquance au Cinéma LE PARIS #228189
    ayman
    Membre

    😆 😆 😆

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