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15 réponses de 69,856 à 69,870 (sur un total de 70,646)
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  • #209846
    leila
    Membre

    slt
    keske tu dis la 🙄 🙄 c impossible mm j ai pas lu ton sujet ms d aprés l titre c impossible d privatisé l eau

    #201190
    msc de mtl
    Membre

    Depuis plusieurs annees, les autorites marocaines ont ete forcees de placer la problematique de l’eau au centre de leur preoccupation. Un accroissement d’emographique excessif et persistant, une urbanisation croissante et des inegalites accentuees dans l’economie marocaine, telles que les subventions au secteur agricole, sont quelques-uns des facteurs qui intensifient les pressions sur l’offre de l’eau.
    La variabilite spatiale du climat engendre des disparites importantes dans les apports en eaux des differentes regions. Nous pouvons repartir les diverses zones du pays en deux regions: le Nord et le Sud. Le Nord represente la region la plus favorisee alors que le Sud est la region la plus depourvue en eau.
    L’equilibre ressource-emploi de l’eau est presentement positif dans la region nord et negatif pour le reste du pays. Des projections pour l’an 2020 indiquent que la balance des ressources hydrauliques sera alors negative pour l’ensemble du pays. Le deficit de la ressource devrait alors se chiffrer dans les environs de 200 millions m3 s’il y a une croissance continue de la demande de 4 % par an.
    Afin de contrer les problemes de penurie, le gouvernement marocain a mis sur pied, au debut de la decennie, un programme ambitieux visant a construire un barrage d’envergure et de 6 a 10 petits et moyens barrages par an.
    Cette politique devrait augmenter de facon signicative la capacite de stockage du pays dans le futur. Avec ces efforts de constructions et des investissements importants dans le domaine de l’irrigation, la part budgetaire des investissements publics relies a l’approvisionnement en eaux devrait passer de 25 % a 60 % d’ici la fin du siecle. Ces investissements massifs dans le secteur de l’eau ne peuvent cependant satisfaire a long terme la demande croissante de la ressource etant donne les politiques actuelles de gestion de la demande.
    Actuellement les politiques marocaines de gestion de la demande sont quasi-inexistantes ou totalement inappropriees. Comme dans d’autres pays du Maghreb, la tarification discriminatoire de l’eau favorise les agriculteurs en leur accordant un tarif preferentiel; le prix de l’eau destine a l’irrigation est beaucoup plus faible que celui facture aux autres usagers.
    Trois raisons principales sont generalement presentees pour justifier une telle politique. La premiere repose sur la gratuite traditionnelle de l’eau.
    Sous ces conditions, l’inertie des habitudes rend tres dificile l’imposition de redevances a une population pour la consommation d’eau lorsque celle-ci etait auparavant quasi-gratuite. La deuxieme raison decoule d’un argument de lutte contre le chomage eleve qui sevit dans la plupart des grandes agglomerations et de l’accroissement de la population urbaine. L’augmentation du prix de l’eau d’irrigation aurait un impact negatif sur la production agricole et accentuerait la migration urbaine. Ce choc negatif inciterait un exode rural en liberant une population active jusqu’alors occupee dans l’agriculture qui fournit de l’emploi a 30% de la main-d’oeuvre active. La derniere raison repose sur des politiques d’auto-sufisance alimentaire poursuivies par de nombreux gouvernements. Une augmentation du prix de l’eau destinee au secteur agricole va a l’encontre des politiques d’auto-sufisance alimentaire. Il devient alors dificile de justifier une augmentation des prix de l’eau destinee a l’agriculture puisqu’elle viendrait contrecarrer les politiques mises en oeuvre afin d’accroitre la production agricole et atteindre ainsi l’objectif d’auto-sufisance alimentaire.
    Pour ces trois raisons, la plupart des gouvernements, au prise avec une rarete croissante de l’eau, ont de la dificulte a s’attaquer a la gestion de la demande. Ils preferent s’attarder aux problemes d’offre en construisant des infrastructures dans le but de repondre a une demande croissante.
    Depuis la fin des annees quatre-vingts et le debut de cette decennie, le gouvernement marocain a pris conscience de la gravite du probleme et revise son plan afin de concevoir des politiques de gestion de la demande. En general, les plans de gestion de la demande peuvent comprendre plusieurs volets.
    On peut prevoir un programme de sensibilisation accrue afin de prevenir le gaspillage, instaurer des incitations fiscales ou utiliser des instruments de marche pour regler le probleme de discrimination tarifaire entre usagers.
    D’un strict point de vue economique, et dans des circonstances normales, la tarification au cout marginal est un principe economique simple qui permet d’assurer une allocation optimale de la ressource entre tous les utilisateurs.
    Selon ce principe, on obtient une allocation eficace de la ressource lorsque le prix de l’eau est egal au cout de produire une unite supplementaire. De cette facon, les consommateurs vont consommer jusqu’a ce que leur benefice marginal egalise le cout marginal de produire.
    Un aspect qui merite egalement d’etre mentionne est le principe de tarification de second rang. Ce principe est tres utilise dans la tarification des services publics. Il consite a tarifer la ressource a un niveau superieur au cout marginal tout en minimisant les distortions creees en s’eloignant de l’optimum de Pareto. Le taux de majoration, represente par l’ecart entre le
    cout marginal et le prix, resulte de la regle de l’elasticite inverse anticipee par Ramsey (1927). Selon cette regle, le taux de majoration est calcule en tenant compte de l’elasticite-prix de la demande de facon a considerer la sensibilite des consommateurs a une variation de prix. On appele les prix calcules a partir de ce taux de majoration des prix Ramsey. Dans le cas d’une politique de profit nul, ces prix peuvent etre interpretes comme les prix resultant de la maximisation du surplus des consommateurs sous la contrainte de profit nul.
    Dans la mesure ou la tarification de l’eau est tres eloignee de son cout marginal ou du prix de Ramsey, une hausse soudaine des tarifs peut avoir des effets drastiques sur la production. Une stricte politique de ces tarifications pourrait donc entrainer une hausse importante du prix de l’eau d’irrigation et se repercuter sur les producteurs agricoles, sur l’emploi et la remuneration
    des facteurs de production, tels que la main-d’oeuvre agricole. Ce choc peut alors avoir des consequences nefastes sur le bien-etre des menages et sur l’ensemble de l’economie.

    #209782

    En réponse à : MCO flgalb mazal mouloudia

    ratek3
    Membre

    je suis oujdi etudiant a rabat
    L MCO dima flgalb malgré bcp de résultat negatives ces derniere années
    je ve savoir s’il n y a pas des responsable a oujda comme a rabat ou casa pour chercher des sponçore a cette modeste equipe qi a des qualité humaine meirveilleuse « alla, charef;;; » wellahila hchouma

    #209815
    Alaa-eddine
    Participant

    bein c’est pas une raison pour poster le lien
    car de toute facon le site vas etre remis en ligne, et là tu es entrain de leur faire de la pub !!!!

    #209812

    En réponse à : bilan oujda en 2005

    fadi
    Membre

    A mon avis, je pense que oujda a notre époke et plus ke jamais, konnai plusieurs changement positive dans les divers domaines : culturel, touristik , educatif , economik et sociales …
    personne ne peu nier ce changement

    #201188

    Sujet: bilan oujda en 2005

    dans le forum Oujda
    Anonymous
    Membre

    annee apres annee, est ce que on constate qu il y du changement positive dans notre ville ou bien c est la regression, la chute .si quelqu n a constater un plus a oujda il est invite a parle

    #209104

    En réponse à : la critique sur oujd

    dikra
    Membre

    banlieux gardencity oujda ou n importe , on est tout des marocains des musulmens encore plus on est des etres humainen donc c pas nos milieux de vivre qui doit juger q on est citoyen ou pas, c l ame et le sens de respontabilité q on est des etres humains donc montons un peu le niveau et oublions c discussion de n importe quoi sur le racisme et les diference sociales.
    j ajoute enfin just que n importe ou ya le bon et ya le mauvais l environnement n est pas un critere

    #209124
    dikra
    Membre

    Il n’est rien de si absent que la présence d’esprit.

    #209810

    En réponse à : A Dieu…

    Alaa-eddine
    Participant

    désolé mais tu donne un très mauvais exemple là …

    si tu n’assume pas tes paroles apres tan de debat 🙄

    dommage ➡

    #201187

    Sujet: A Dieu…

    dans le forum Débats
    Iznassen
    Membre

    Apré quelques jour de participation sur ce forum, j’ai décidé de me retirer…Je m’excuse d’avoir effacé tous mes messages. Bonne continuation.

    A Dieu

    #209754
    dahlia
    Membre

    en réponse a monsieur iznassen et en étant parfaitement d’accord avec toi alaa eddine,je dirai que le projet de fadesa qui s’inscrit dans le plan azur ,est la case départ qui pourrait sortir la région de son isolement stratégique et annulerait certes la notion du « maroc inutile » qui a longtemps qualifié notre région excentrique!

    mais……n’oublions pas que nous étions aussi la cause ,que d’autres opèrateurs etrangers sont venus s’installer et profiter de notre riche patrimoine naturel pour y investir; ils ont vitve compris que cela leur rapporterait beaucoup et qu’ils seront les premiers à en profiter bien sur ❓ nous leur avions donné la chance ❗ et quelle chance ❗ ❗ mais bon…ca ne sert à rien d’éprouver des remords maintenant,ce qui est fait est fait mais cela ne veut surtout pas dire que nous ne pouvons pas agir ➡
    la il faut etre intelligent et avoir la volonté excessive de faire vraiment quelque chose et arreter de jaspiner ,surtout…… 💡 yallahe asidi pour ne pas regeretter essayons de faire quelque chose pour ne pas permettre une autre fois à des etrangers de nous piquer nos richesses ,ce qui nous distingue, et ce qui a été entretenu et préservé par nos aieuls durant des siècles ,avec le moins de moyens possibles…. 🙄 alors que nous, avec toutes ces nouvelles technologies ,tout nos savoir faire et etre complémentaire,nous n’avons toujours pas fait quelque chose….alors que tout cela fait parti de nos devoirs de citoyens actifs et participants dans le developpement socioeconomique régional qui ne se ferait qu’en valorisant en premier lieu notre patrimoine culturelle,archéologique, et naturel… 🙄

    ➡ soyeez sur que si cela continu (et je parle la de « douar el mika  » puisque c’ets de ce sujet qu’il s’agit)nous verrons d’autres opérateurs etrangers investir dans cette région négligé par les autorités et cette fois ci ce ne serait pas un plan azur mais un plan chlorophyle 😕 …et oui le tourisme de montagne serait un autre axe de developpement régional…..alors appels aux responsables faites quelques choses…je le dis avec la manière la plus simple…… 🙄 ➡

    #209123
    observateur
    Membre

    رب يوم بكيت فيه ………..فلما صرت في غيره بكيت عليه …

    #209122
    dahlia
    Membre

    Il faut avoir une stratégie, mais il faut qu’elle soit souple, c’est l’instinct qui nous dit quand il faut changer de stratégie. Les deux sont importants mais on ne peut pas avoir l’un sans l’autre.
    Desmarais, Paul

    #209785
    Alaa-eddine
    Participant

    ok si j’ai bien compris il y’a une « standardisation » en cours ….

    mais tu ne m’a pas donner ton avis sur la deuxième partie de ma question !

    ….
    Et dans ce cas, chaque ville voudra qu’on prenne son dialect comme langue officielle, puisqu’aucune ville au maroc ne parle arabe, mais juste un dialect formé de mots arabes, berbèrs, espagnol, italien et un peu de français Wink
    ….

    #209784
    Iznassen
    Membre

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