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15 réponses de 67,606 à 67,620 (sur un total de 71,542)
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  • #213854

    En réponse à : Les enfants de la misere

    hafid
    Membre

    مشكور على هذا الموضوع اخي احمد. الواقع المر.

    #212979
    sfinks59
    Membre

    😀 moi jai vu le films et je le trouve super ❗ continu leila!!!!!

    #212978
    denzeller
    Membre

    Marock est enfin sortie au Maroc après des mois d’attente pour savoir si oui ou noon il était conforme aux règles du cinéma marocain. le PJD a crié haut et fort la repugnance de ce film qui doit etre censure car selon eux:
    _ TOUS les MAROCAINS pratique l’islam à savoir: faire le ramadan, pas de relations sexuelle avant le mariage, alcool et drogue on y pense meme pas.
    Pourtant le MAROC est un pays où la prostitution est assez presente,certes beacoup de marocains sont croyants mais tous ne sont pas pratiquant.L’alcool et la drogue n’en parlons pas ya qu’a voir dans la rue.
    CE que je ne comprends pas pourquoi on reproche a Leila Marrakchi de vouloir montrer un visage de notre pays où modernite et religion se confrontent, une jeunesse qui veut vivre comme elle l’entend pas de règles ni lois absurdes selon elle.
    D’autres part si le film etait aussi absurdes pourqoui il a ete selectioné au FESTIVAL DE CANNES par un jury expérimenté.
    La scène où Rita rentre en sous-vêtement devant son frère qui fait la prière n’est pas une provocation mais au contraire une invitation à la réfléxion.
    la scène où Youri lui passe l’étoile de David autour du cou avant de lui faire l’amour signifait une union symbolique entre un juif et une musulmane et non une insulte a la religion
    Je vous conseille vivement de voir ce film et d’avoir votre propore avis personnel plutot que de croire a ce que disen les autres. MOi en tout cas j’ai aimé et je suis fiere de cette realisatrice qui a eu le courage de briser tt les tabous. BRAVO LEILA MARAKCHI
    P.S:morjana alaoui est assez mignonne dans le film 😮

    #213701

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    hafid
    Membre

    لاتشاهد القنوات العراقية لانها قنوات عميلة لامريكا المحتلة فهي تمول من طرف انكلترا وامريكا والشيعة.شاهد قنات الجزيرة فقط.

    #213700

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    sfinks59
    Membre

    ذكرت قناة تلفزيونية عراقية رسمية أنه تم العثور على وثائق بحوزة زعيم تنظيم القاعدة في العراق أبو مصعب الزرقاوي الذي لقي حتفه

    الخميس الماضي، وأن تلك الوثائق تؤكد أن الزرقاوي كان يسعى لإشعال حرب طائفية في العراق بين السنة والشيعة، وبين الشيعة أنفسهم.

    وتقضي هذه الخطة باشعال « حرب بين الشيعة والأمريكيين وحرب بين جماعة أحمد الجلبي وجماعة إياد علاوي وحرب بين جماعة (عبد العزيز) الحكيم و(مقتدى) الصدر وحرب بين الشيعة والسنة في العراق وحرب بين شيعة العراق وسنة الخليج ».

    كما تتضمن « زج مقاتلي (تنظيم القاعدة) داخل صفوف الجيش والشرطة لغرض التجسس وإضعاف صفوفهم والقيام بحملات تجنيد لعناصر شابة وتطوير وتصنيع بعض الأسلحة واستخدامها ضد القوات العراقية

    c est ca ce que vous appelé un marthire 😯

    #201509
    guedda
    Membre

    les americains ils sont vraiment stupides,les gens qui ont pilotaient contre les deux tours , ils ont appris seulement comment decoler,ils savaient bien quil vont pas atterir ha ha ha

    #213699

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    Alain
    Membre

    Bonjour à tous,

    Le débat devient caricatural …. et trop de notions sont amalgamées.

    Un Etat laïque n’est pas un Etat athée, c’est simplement une séparation des pouvoirs entre le pouvoir civil et LES pouvoirs religieux. Ces instances sont autonomes.

    Dans un état laïque, les lois sont votées par les élus de la nation. C’est à dire que tous les courants de pensée sont représentés, et c’est donc sur la notion de MAJORITE que s’écrivent les lois.

    La société évolue, se transforme et du même coup les opinions aussi. Donc de nouvelles lois prennent en compte ces évolutions. Il se peut aussi que la société régresse et que donc aussi les lois régressent en même temps.

    On peut donc dire (rapidement) qu’une société laïque a les lois qu’elle mértite….

    On peut être pour ou contre ces évolutions de nos sociétés…. mais ce n’est pas notre avis sur ces questions qui changent quoique ce soit à leurs évolutions.
    Les forces sociales du changement dépassent largement notre volonté de conservatisme ou de progressisme…. elles échappent à toutes les volontés dirigistes de tous les bords.

    Pour en venir au Maroc

    Bien qu’étant favorable à la laïcité, je considère que le régime royal actuel est la meilleure solution….. pour le moment.

    Ce régime est le meilleur rempart contre les tentations intégristes qui s’affichent jusque dans ce forum.
    Sa Majesté le Roi étant en même temps chef religieux et chef d’Etat, il a le pouvoir et l’influence pour infléchir les positions les plus extrèmes… et éventuellement les faire condannées en justice.
    Voir l’affaire Nadia Yassine qui préconise dans la presse la création d’une république islamique.

    Car le problème institutionnel de l’islam est qu’il n’y a pas une organisation de l’autorité supérieure unique (comme le pape et le conseil des évèques pour les catholiques) pour interpréter les textes et que du coup, chacun y va de sa propre interprétation à partir du même texte …. on voit bien les dérives actuelles.

    Les positions du Roi de Maroc font « force de loi », elles sont par ailleurs modérées et acceptées par la grande majorité de la population et de la communauté internationnale.

    Le Royaume a 2 grands chantiers en cours : relever le défi du développement économique et faire face à l’obcurantisme que représente l’intégrisme.
    La réussite du 1er chantier conditionnera la réussite du second.
    Et c’est bien pour ça que certains font tout ce qu’ils peuvent pour faire échouer la réussite du développement économique, en espérant que les plus démunis rejoindront leur rang.

    Pour en revenir à la laïcité, je dirai que c’est loin d’être la première urgence.

    Les 2 urgences sont : améliorer le niveau de vie (sous tous ces aspects) par le développement économique et éradiquer l’obcurantisme qui veut le contraire

    Ibn al arabi
    Membre

    @mco91 wrote:

    لا إله الله إلا الله..

    لا حول ولا قوة إلا بالله

    je me demande quand dieu va nous demandé qu’est ce que vous avez fait pour vos fréres musulmans qui se font masacrer tous les jours!!!!!
    qu’est ce qu’on va répondre ❓ ❓ ❓

    (اللهم لا مال عندي أوصله ولا سلاح عندي أرسله

    ولابيان عندي اكتبه ولا شجب عندي أعلنه

    اللهم لا أملك إلا دما يحترق في قلبي

    ولا أملك غير لسانٍ يلهج بالذكر إجلالا وتعظيما لك يالله

    أسألك وأنت أعلم بالحال وأنتم سبحانك أعلم بالمآل

    اللهم أنت تعلم ضعف حيلتنا وماآلت إليه أمتنا

    أسألك يالله نصرا لأمة الإسلام

    اللهم رد لأمتنا كرامتها

    اللهم إنصر إخواننا في فلسطين

    اللهم أعزهم بعد ذل اللهم أعزهم بعد ذل اللهم أعزهم بعد ذل

    اللهم عليك باليهود أجمعين اللهم عليك بهم اللهم عليك بهم)

    آميييييييييييييييييييييييييين

    #213774
    hafid
    Membre

    Ibn ‘Arabi, Muhyi l-Din 1165-1240 murcia andalusi

    #213773
    hafid
    Membre

    Ibn Arabí, Muhammad b. ‘Abd Allah,. (1076-1148)sevilla andalusi

    #213772
    hafid
    Membre

    Ibn’Arabî est considéré comme le plus grand des maîtres de la spiritualité islamique. Sa doctrine qualifiée de “monisme existentiel” a dominé et revivifié la spiritualité soufie soulevant parfois les plus vives résistances au sein de l’Islam. Sans prétendre résumer en quelques mots son œuvre littéraire colossale (plus de 400 ouvrages), nous pouvons toutefois nous arrêter sur le fait qu’Ibn’Arabî ne fait aucune distinction entre le Créateur et sa créature de sorte qu’il considère cette dernière comme une possibilité divine. Dieu crée par Amour de se faire connaître et sa créature est la manifestation de cet Amour. Tous deux sont donc indissociablement liés par cette énergie d’Amour. En outre, l’homme étant issu de Dieu, il possède sa conscience et a donc la possibilité de se reconnaître. Par extension, à l’image de l’artiste qui se fait connaître par son œuvre et de l’œuvre qui nous éclaire sur l’artiste, se découvrir soi-même c’est découvrir Dieu en soi et découvrir Dieu c’est se découvrir soi-même. La réalisation de cette réunion au Divin par la connaissance de l’Amour est donc pour lui le but de toute vie spirituelle.

    #213846

    En réponse à : "la nuit de l’ereur"

    hafid
    Membre

    ليلة الرعب هي الليلة التي ولد فيها ..ازناسن.. 😆 😆 😆

    #213698

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    hafid
    Membre

    الاخ فادي انت تعيش في مراكش , .مراكش التي كانت عاصمة المرابطين ,الدولة التي كان عمادها الاسلام كانت قوية اقتصاديا وعسكريا وسياسيا.اما انت يا فادي اليوم تعيش في مراكش العلمانية التي يباع فيها الخمر جهرا.. واصبحت قبلة للسياحة الجنسية ,ولهذا تاثرت افكارك يا اخ فادي .

    #213845

    En réponse à : "la nuit de l’ereur"

    dawy
    Membre

    Salut,
    La nuit de l’erreur c’est celle où t’as été conçu. 😆

    #201508

    Sujet: Les enfants de la misere

    dans le forum Débats
    ahmed
    Membre

    Marrakech : les enfants de la misère envahissent les rues
    LE MONDE | 10.06.06 | 15h00 • Mis à jour le 10.06.06 | 15h00
    MARRAKECH ENVOYÉE SPÉCIALE

    lle a trois mois et boit son biberon toute seule, couchée dans son lit à barreau. On a coincé le flacon entre les pattes d’un ours en peluche posé sur sa poitrine. Comment faire autrement ? Il n’y a dans cet orphelinat, cet après-midi-là, que trois assistantes maternelles pour 72 nourrissons. Les jeunes femmes travaillent dix-huit heures par jour et, malgré leur fatigue, se montrent efficaces et patientes.

    Mouna est l’une des rares petites filles recueillies par cette crèche de la Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, à Marrakech. On compte en moyenne dans l’établissement une fille pour neuf garçons. On n’abandonne pas une petite fille, au Maroc. C’est une denrée précieuse. Une fille, c’est utile et c’est docile. On pourra toujours la faire travailler comme « petite bonne ».

    Les garçons, eux, sont légion. Amine, quatre mois, a été retrouvé en pleine rue, enfermé dans un sac plastique, au bord de l’asphyxie. Fouad, six ans, a été « oublié » par sa mère, il y a six mois, sur la place Jemma El Fna, au milieu des touristes et des charmeurs de serpents. Quant à Soukaïna, deux ans, elle a été vendue à deux reprises par sa mère, pour 500 dirhams (50 euros).

    Au Maroc, les enfants de la misère ne se comptent plus. Le pouvoir est conscient du problème. Il a décrété le 12 juin « journée nationale de lutte contre le travail des enfants ». Mais par quel bout aborder un dossier aussi vaste ? Enfants non scolarisés. Enfants « sniffeurs » de colle. Enfants exploités sexuellement…

    Combien sont-ils à travailler, entre sept et quinze ans ? Il est difficile de le savoir, 90 % des petits marocains entrent dans le cycle primaire, mais plus de la moitié abandonnent l’école avant le secondaire. Environ 600 000 jeunes de moins de 18 ans sont hors du système scolaire (sur une population de 30 millions). Les uns atterrissent dans la rue ou dans des ateliers d’artisanat, les autres dans des familles bourgeoises, comme petites domestiques.

    A Marrakech, – première destination touristique du Maroc – on parle davantage du problème des enfants dans la rue que des enfants des rues. Ici, à l’inverse de Casablanca, les jeunes en situation précaire disposent, la plupart du temps, d’un semblant de famille – une mère célibataire et analphabète le plus souvent – et d’un toit. Mais, à l’exode rural, au chômage, à l’éclatement familial en augmentation vertigineuse, s’ajoutent les problèmes liés au tourisme. La mendicité est le premier d’entre eux, bien plus que la pédérastie, dénoncée par les médias.

    En ce début de matinée, les touristes sont rares sur la place Jemma El Fna. Les enfants-mendiants aussi. Ils n’arriveront que vers 14 heures, après avoir dormi. Tandis que leurs mères dessineront des arabesques au henné sur la paume des passantes, ils vendront des Kleenex, des sacs plastiques, ou se contenteront de tendre la main. Quand ils iront se coucher, vers minuit, ils auront récolté quelque 200 dirhams, soit 6 000 dirhams mensuels, alors que le smic est à 2 000 dirhams.

    « C’est dur, dans ces conditions, de convaincre les mères d’envoyer leurs enfants à l’école. Elles me disent toutes : « mais avec quoi vais-je les nourrir s’ils cessent de me rapporter de l’argent ? L’urgence, ce n’est pas de mettre mon fils à l’école, c’est de me trouver un travail ! » », raconte Karima M’kika, jeune fondatrice et directrice d’Al Karam, association qui se consacre aux enfants en détresse.

    Pour comprendre le problème des enfants au travail, il faut « dépasser les clichés que l’on a en Occident », souligne Fouad Chafiqi, universitaire spécialiste des sciences de l’éducation et consultant de l’Unicef. Beaucoup de ruraux voient « comme une bénédiction », explique-t-il, le fait que leurs fils et filles soient engagés comme apprentis ou « petites bonnes » peu après leur arrivée à Marrakech. De leur côté, les employeurs ne sont pas loin de penser qu’ils « font le bien » en sauvant ces enfants du vagabondage.

    Au fin fond de la médina, du côté du souk des tanneurs, Khalid, jeune éducateur de rue employé par Al Karam, semble découragé. « La sensibilisation et l’éducation ne suffisent pas. La vraie solution est économique. Il faudrait des programmes de réinsertion sociale », soupire-t-il. Khalid s’inquiète d’un phénomène en plein essor : « les parents fugueurs ». De plus en plus de mères viennent lui dire : « Je n’en peux plus. Débrouillez-vous avec mes enfants, moi, je renonce ! » Et elles partent pour une autre ville.

    Soumis aux pressions internationales pour réduire les dépenses publiques, le pouvoir marocain semble hésiter sur la conduite à tenir. On lui reproche souvent de privilégier les apparences. Les initiatives, il est vrai, ne manquent pas : coup d’envoi, en juin 2005, d’un ambitieux programme, « Le Maroc digne de ses enfants » ; préparation d’une loi réglementant le travail domestique ; signature, le 6 mai, d’un accord de partenariat entre l’Unicef et la willaya de Marrakech, etc.

    Sur le terrain, se plaignent de ne pas obtenir de budget dès qu’elles s’écartent du « spectaculaire ». « Un « généreux donateur » est venu proposé un centre exclusivement consacré aux enfants abusés sexuellement !, raconte, d’un air las, la responsable d’une association d’aide à l’enfance. Nous manquons d’éducateurs et de travailleurs sociaux. Personne ne veut prendre en charge leurs salaires. Or nos urgences sont là, dans l’invisible. »

    Florence Beaugé
    Article paru dans l’édition du 11.06.06

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