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La plage de Saidia est l’une des plus réputées au Maroc. Pour les amoureux de la nature et de la mer bleu azur, un passage par cette station balnéaire à proximité d’ Oujda s’impose.
La docilité des vagues, la clarté des eaux, la beauté des paysages et la température ambiante (31° en été) font de Saidia la destination privilégiée de l’Oriental.
La perle bleue vous souhaite la bienvenue ! C’est ce que signale le premier écriteau de la ville. A droite de cette pancarte, c’est vers le souk et la médina que votre périple vous mène. A gauche, c’est la Méditerranée et la nouvelle ville qui vous accueillent.
Au départ Saidia était une forteresse bâtie par le Sultan Moulay El Hassan Premier en 1883. Un avant poste frontalier juste sur la rive gauche de Oued Kisst, une frontière naturelle entre le Maroc et l’Algérie. D’une superficie de 15 600 m2, elle abrite une centaine de maisons. En 1936, on y recensait 210 habitants alors qu’actuellement, elle en compte plus d’un millier d’habitants. Ses vestiges sont d’architecture marocaine avec tout l’arsenal de remparts, de bâtisses de terre aux couleurs locales et de portes spécifiques. Sa muraille a connu plusieurs consolidations et réfections pour lui conserver son teint jeune et vivace. Juste en face de la médina, c’est le souk de toutes les convoitises. Un espace grouillant et coloré par tous les délices de l’été. Un espace traditionnel mais où vous trouverez tout : des sardines méditerranéennes au henné de la mariée tout en passant par les plats les plus succulents. Un complexe gastronomique à la marocaine, mais aussi tous les articles de saison.
A gauche de la médina et du souk, c’est l’une des stations balnéaires les plus prisées de la Méditerranée. Avec ses quatorze kilomètres de sable doré reliant les deux rivières de la région : le Kisst et la majestueuse Moulouya. Cette interminable plage sablonneuse est d’un éclat solaire ensorcelant et d’une finesse exquise. Elle est d’une profondeur terrestre de plus de cinquante mètres par endroits et d’un amont maritime de plus de cent cinquante mètres. La nage sans risque est assurée. Une mer de rêve plus attractive en temps de marée basse. Pour les amateurs du calme, il suffit de longer la côte vers l’embouchure de la Moulouya pour apprécier les félicités de la tranquillité absolue et les intimités de la faune et la flore. Par contre les mélomanes de la foule ne s’ennuieront nullement en clapotant des vagues dociles, ou en pratiquant un sport de leur préférence.
Ces derniers temps, les balades en scooter des mers sont devenues monnaie courante. Ces randonnées nautiques s’adressent aux initiés et aux débutants accompagnés d’encadreurs de circonstance. Reste à négocier le prix si vous tenez à une croisière aquatique. Pour les jets – skieurs confirmés, des compétitions sont improvisées à tout moment. En plus du sport, c’est de l’intérieur de la mer qu’on apprécie le mieux la beauté des côtes et de la plage. Avec ces dresseurs des vagues, les tracking randonnées en quad proposent un autre genre d’aventures, soit sur la plage ou dans les alentours. Une randonnée pour dépoussiérer les tracas du travail. Là aussi, il faut veiller au respect des normes en vigueur.
La balade des gens heureux se fait à cheval. Un club équestre ainsi que des « chevaux à location » sont d’un prix abordable ; et à vous la galopade sur les sables.
La corniche connaît une densité impressionnante d’estivants surtout la nuit, amateurs d’animations artistiques, de veillées tardives, de dancings, de cafés familiaux ou de balades nocturnes trouveront leur compteAjourd’hui le Maroc (18-06-2007) : http://www.aujourdhui.ma/mon-ete-2007-details406445.html
Sujet: Mon Histoire Avec Le Makhzen
Mon Histoire Avec Le Makhzen
Act :1
En quittant l’Algerie en 1998 après 40 ans de vécu et 3 Déportations. En 1963 ( la guerre des sables), en 1975 ( le conflit du sahara occidentale) et 1992 ( à cause de mon militantisme au sein du Front Islamique du Salut).
J’ai contacté les services de l’ambassade du Maroc à paris afin qu’il m’aide dans mon travail de mémoire concernant les marocains d’algerie.
J’ai travaillé pendant 2 ans de 2001 à 2003 pour le compte de la DGED ( la Direction Générale de l’étude et de la Documentation.J’ai couvert toutes les marches et les manifs à paris à propos des protestations contre la loi antivoile.
J’ai même réussi à, passer les mailles du filet pour participer au congrès du Front du Polisario en 2003 à VITRY).
En sortant du congrès pour remettre les enregistrements au représentant de la DGED.
Il n’était plus là. Il s’est contenté de relever les plaques d’immatriculation des voitures qui venaient de l’étranger.
Avant de m’engager avec ce service mon contact de ce service Mohamed M. m’a demandé de lui remettre un rapport détaillé de mon parcours. Pour l’envoyer à ce même service rattaché au palais royale à Rabat et ce afin de me recruter.
Enfin de compte c’était de la manip . Il m’a proposé de devenir informateur au sein du courant Islamiste marocain. Vu que j’étais entrain de préparer une thèse sur le Front Islamique du Salut(le F I S).
Jaloux de mon autonomie je l’ai renvoyé dos à dos lui et les services de l’ambassade avec violence verbale.
A ce moment là il m’a dit de présenter mon projet de mémoire au ministère de la culture.Act : II
2006 je monte une association ( l’ A M A) , un forum et un site et un livre en cours sur mon recit de vie ( mémoire d’un Maroqui d’Algerie).
Le mois de mai je contacte l’ambassade à nouveau pour lui soumettre mon projet. L’attaché culturel me conseille de contacter Mr : ht.du social ( les services de la DGED opère sous cette appellation.
J’envoie un mail explicatif à ce Mr avec mon numéro de portable.
Aucune réponse selon la secrétaire c’est lui qui ne veut pas répondre.
Juste avant le même coup avec Mr ; djamel M. Fonctionnaire au cabinet du ministère des affaires étrangères. Ce dernier m’a contacté après m’avoir observé sur le forum de bladinet.
Il m’a proposé de plaider ma cause avec son chef. Mais il faut que je lui envoi un support sur ma trajectoire . Depuis il ne répond plus il m’évite.
Je vous laisse apprécie.[marocains-d-algerie.niceboard.c om]
A l’opposé du Maroc qui a été hautement honoré dans le rapport 2007 pour ce qui est du trafic humain dans le monde , l’Algérie est placée par Washington sur la liste noire des pays où rien n’est fait pour lutter contre ce trafic.
Les principales accusations retenues à l’encontre du voisin de l’Est sont l’exploitation sexuelle, le trafic des enfants et le trafic d’immigrants.
Les chiffres sont très alarmants, comme l’ont confirmé les services de la Sûreté de ce pays. Pour les seuls premiers mois de l’année en cours, ces services ont enregistré un total de 1. 695 enfants victimes de toutes sortes de violence, dont 563 de violences sexuelles.Pour l’année 2006, 5067 enfants, dont l’âge varie de 16 à 18 ans, ont été victimes de divers types de violences. 2. 992 enfants ont subi des violences physiques au moment où 1. 474 autres ont été victimes de violences sexuelles, dont 599 filles.
Toujours en Algérie, mais cette fois du côté de Tindouf, le Polisario se livre aux pires exactions au détriment de la dignité de sa population.
Le mouvement séparatiste continue de bafouer les droits de milliers d’enfants, en les déportant systématiquement vers Cuba, pour servir de moyen de contrainte sur leurs parents dans les camps de Lahmada.A l’intérieur de Tindouf, un sanctuaire de non droit et de négation de l’humanité, des pratiques dignes de la tristement célèbre époque de la «Traite des noirs» continuent de sévir. En témoignent les récentes déclarations publiques de deux journalistes australiens sur la persistance de cette pratique dans les camps de la honte.
Ces deux reporters, ont pu constater lors de leur séjour en mai dernier à Tindouf l’existence du clivage entre les captifs noirs et les maîtres blancs . Et ces mêms journalistes ont eux-mêmes été séquestrés par les services de la Sécurité du <
>, pour les empêcher de faire la lumière sur la réalité de l’esclavage à Tindouf.