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L’Algérie et le mythe de 1,5 million de martyres:
Pour les wilaya les plus r – revolutionnaires a l’epoque, il y’ avait entre 14 et 15 milles martyres.
Si on se base sur le chiffre max de 15 milles de martyres, avec dix wilayas environ- suposés toutes- revolutionnées à l’ epoque ( estimation maximale) , on tombe sur le chiffre de 150 000. Oui 150 milles martyres tombés pour l’ independance de l’algérie, mais en algérie ils ont ajouté un zero à droite pour l’ histoire et les generations a venir. c comme ca qu’on est arrivé au chiffre de 1,5 million. ..Et l’ un des objectifs principals de cette tricherie historique c’ est rendre minoritaires les vrais Chohadas.NB: le nombre de martyres ne reflète pas specialement la grandeur d’ une revolution. En disant la verité sur le nombre des martyres ou des chohadas en algerie cela ne diminue en rien le grandeur de ces chohadas ni la grandeur de leur pays, mais juste une correction pour les generations à venir dans le pays voisin… car l’ histoire doit se baser sur des chiffres viables , correctes et non sur des mensonges.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé à Alger une révision de la constitution par voie parlementaire, sans se prononcer explicitement sur la suppression de la limitation à deux des mandats présidentiels successifs.
M. Bouteflika, 71 ans, élu en 1999 et réélu en 2004, n’a pas précisé la date de la présentation du projet au parlement, alors que l’élection présidentielle est prévue en avril 2009.
M. Bouteflika a exprimé à maintes reprises depuis son arrivée au pouvoir en 1999 son souhait de réviser la constitution.
Cette révision vise « à enrichir le système institutionnel avec les fondements de la stabilité, de l’efficacité et de la continuité », a dit M. Bouteflika dans un discours prononcé à l’occasion de l’ouverture de l’année judiciaireDes partis d’opposition, comme le Parti du travail (PT) de Louisa Hanoun, se sont eux aussi déclarés contre la limitation des mandats, mais demandent que la révision constitutionnelle se fasse par la voie référendaire.
Le chef de l’État a indiqué que la révision de la constitution sera proposée au parlement, après avis motivé du Conseil Constitutionnel, conformément aux dispositions de l’article 176 de la Constitution.
