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octobre 9, 2006 à 12:15 #201717
Sujet: demande ede renseignement
dans le forum Café OujdaCityAnonymous
Membreje suis un jeune algerien mes defunt parents on vecu au maroc plus precisement a trigue ael aounia.
et ils nous disaient que notre grand pere hadj madani etais un homme riche ainsi que notre pere on avais une mosque un boulangerie et toute une chaine comecials a cette epoque est ce que on peut recuperer ces biens on as su que certaisn on eus deja cette oportunitie esperant qu’on trouve quelqun un avocat ou quoi que ce sois qui peut nous aidez nos parents sont morts et il nous ont laisser un secret.
mon emeil est abdelghani.haddou@caramail.com s’il y’as quoi que ce soint contacter moioctobre 4, 2006 à 10:16 #216323En réponse à : c est trop!
tachafine
Membre80 % !!! alors t’as fait des statistiques toi meme , c tres important ca , alors tu boi de l’alcool c bizar , iwa allah ya3fou alik ila kount tamchi les bars ,en tout cas les bars a oujda sont plus qu’a berkane c evident ,oujda est plus grande ue berkane !!
pour le climentine je pense que la qualite et le grand calibre est exporte a l’etranger et nous les marocains ne mange que le dechet vous devez voir ca c la pire verite , ila brit njiblak dak chi li yaklou europa machi li f souk sahbi ou douk basaha
@houlakou wrote:
Les bars sont plein 80 pour cent par des berkanais ,pour le chamma c est une importation qui viennent d algerie..goul li a si tachfine kayane chi clementine had al aam mazian…
octobre 3, 2006 à 3:31 #216322En réponse à : c est trop!
houl
MembreLes bars sont plein 80 pour cent par des berkanais ,pour le chamma c est une importation qui viennent d algerie..goul li a si tachfine kayane chi clementine had al aam mazian…
octobre 2, 2006 à 9:17 #208334En réponse à : la mentalité des oujdis suite
manara
Membre@birouk wrote:
Les oujdis c’est vrais sont assez défaitistes devant les épreuves, battent leurs femmes et feraient n’importe quoi pour travailler à la police ou à la Dst, ils sont comme ça, lunettes sombres et sourires jaunes.
Par définition ils sont laches, parlent comme des algériens et se masturbent en cachette dans les toilettes des cinémas.Ils n’ont pas compris que le monde est entrain de changer, ils ont peur des algériens et finissent par épouser leur filles.
D’ailleurs dans cette ville, il ya 50% de marocains d’origine algérienne.Les Oujdis, ne sont pas des marocains à part entière mais entierement à part.
t’es atteint depuis quand?
Allah ychafi!!octobre 1, 2006 à 10:43 #214815En réponse à : jm trop Berkane!!!
tachafine
Membre@zhm wrote:
mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
relis ton poste stp !c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;
si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhmBERKANE L’HISTORIQUE
La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.
la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.Données géographiques : des reliefs contrastés
* Relief
Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
* La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
* La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
* Climat
Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
* Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
* Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.LE POTENTIEL TOURISTIQUE
La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia
La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.Plage – Soleil
Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.
Infrastructures et Animation
Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).Le tourisme vert
Les monts de Béni Snassen
A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.Vallée de Zegzel
Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.Sites archéologiques et historiques
Grotte des pigeons
La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.Grotte du chameau
Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.Le tourisme écologique
Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.Site de la cigogne blanche
A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.Le Thermalisme
La source de Fezouane
merci a http://said35.chez-alice.fr/
La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.La source thermale de Chouihiya
Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.
L’héritage culturel
Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.
Artisanat
Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.
Chants, musiques et danses traditionnelles
Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.
😉 😉 😉 😉
octobre 1, 2006 à 4:02 #208675En réponse à : cherche plan de la ville de oujda
fadi
MembreBon je ne sais pas est ce que notre compatriote Khouti59 sera de retour ou pas ..
N’importe, j’ai pensé comme mème à lui: je viens de trouver ce plan sur un forum de la ville, ça pourrait etre utile 😉
Légende:
1-Ancien camp Roze
2-Camp actuel
3-Universités et Ecoles
4-Oasis Sidi Yahya
5-Monts Sidi Maafa
6-Parc Lalla Aïcha
7-La Medina
8-Quartier Lazaret
9-Ancienne Zone Industrielle
10-Village des Mottes Extérieur
11-Gare de Chemin de Fer
12-Quartier El Qods
13-Stade d’Honneur
14-Le Golf
15-Vers l’Algerie
16-Vers Taourirt
17-Vers Jerada
18-Nouveau Quartier Administratif
19-Cimetiere Sid El Mokhtar
20-Oued Isly qui traverse la ville
21-Les quartiers Ouest
22-Quartier Koulouche
23-Quartier Oued Nachef
24-Quartier Azertyoctobre 1, 2006 à 2:32 #207431En réponse à : Débat sur la situation économique et sociale de la ville
saidi
MembreChère SOUMYA, bonjour.
J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.
Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.
Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutationsseptembre 28, 2006 à 11:26 #213749En réponse à : 3333333333333333333333333
hatim70
Membreje ne sait pas pourquoi monsieur ibn alrabi veut toujours donner cette idee de l’islam, je ne sent que de la haine , toujours vous cherchez des preuves assez faible pour defendre les massacres des innocents.
quand j’ai parle des innocents je voulais parler en premier lieu des massacres qui se passent dans les pays musulmans et dans autres pays , et le prophete sidna mohamed n’a jamais aracher les tetes de ses prisoniers , il les traitaient avec un grand respect , parce qu’il voulais donner un exemple pour le vrais musulman .
pour moi je trouve arracher une tete en public et la faire monter au gents de la facon qu’il font ces terroristes »moujahidine comme vous dites » de la barbarie ,il n’ya pas une grande difference entre ces massacres et les massacres des sionistes et les americains , alors ou sont passe les perceptes de l’islam la ? et qui est le musulman ,? il ne faut pas etre comme eux des barbares nous sommes des musulmans ,la je parle toujours des innocents musulmans ou autres .
alors la il y’a une difference entre le temps de la guerre et le temps de la paix ; a la guerre il peut tomber beaucoup des innocents c normale dans nos temps avec les bombes et les armes plus sofistique , parcontre quand ont perpetres des attentats contre des innocents quand sait en avant qu’il vont etre tuer alors la excuser moi monsieur ca devient un meurtre .
pour moi je suis avec le jihad fi sabili allah mais il ne faut pas que le moujahid s’eloigne de l’islam ,il ne jamais jamais oublier qu’il est un musulman avant tous souvenez vous qu’est ce qu’il a dit sidna mohamed quand il entre a la mek »mekka » »fath makka » ,,, c ca ce qui fait de l’islam une tres grande religion .
alors quand fait bombarder un souk en irak ou tuer des citoyens au maroc , jordanie ,arabie saoudite ,algerie, egypt …. est ce qu’on a change qualque chose est ce qu’ont a change des regimes ,,???? pas de tous cher ami !! vous savez pourquoi parcequ’ont a tuer qu’un simple citoyen musulman eehhhhh oui musulman ,qui voulait apporter klk de koi manger a sa famille , …
septembre 26, 2006 à 9:42 #214114En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
Mchichi
Membreبسم الله الرحمـان الرحيم
Un grand bonjour à toi Dr. Bouayad, et Merci pour les efforts consentis pour nous éclairer, et comme chaque fois vous nous impressionné, et en se basant toujours sur des références. C’est une chance de vous avoir.
Un salut également à notre ami et voisin de Tlemcen, Mr. Bouayad, concernant le livre dont il est question, nous pouvons le procurer du Maroc, car je vais assister à une conférence là bas au mois de novembre, je peux l’ajouter dans ma liste de livres que j’ai l’intention de me les procurer. Ces livres concernent l’histoire des grandes familles (Ouled M’chich, etc.). Et ceci cher compatriote de Tlemcen peut constitué un thème de recherche et d’exposé à l’université tant le nom Bouayad et (Tabet par alliance) est porté par de nombreuses personnes à Tlemcen, Oujda, Sidi-Bel-Abbès, Oran etc…Ceci peut nous emmener même très loin vers des archives à Istambul, car sans doute, il existe la bas aussi des gens qui s’intéresse sur le sujet, et il y’a à Istambul une communauté francophone très instruite et qui peut aider à élaborer ce genre de thème.
Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.
رمضان كريــــــــــم وكـــل عـــام ومغربنا العربـــــي الإسلامـــي بخيـــرو السلام عليكم و رحمة الله
Miloua Fodil (M’chichi)
Universiatire Sidi-Bel-Abbès.
Algérie.septembre 26, 2006 à 9:39 #201686Sujet: الأدارسة في المغرب الشرقي
dans le forum DébatsMchichi
Membreبسم الله الرحمـان الرحيم
Un grand bonjour à toi Dr. Bouayad, et Merci pour les efforts consentis pour nous éclairer, et comme chaque fois vous nous impressionné, et en se basant toujours sur des références. C’est une chance de vous avoir.
Un salut également à notre ami et voisin de Tlemcen, Mr. Bouayad, concernant le livre dont il est question, nous pouvons le procurer du Maroc, car je vais assister à une conférence là bas au mois de novembre, je peux l’ajouter dans ma liste de livres que j’ai l’intention de me les procurer. Ces livres concernent l’histoire des grandes familles (Ouled M’chich, etc.). Et ceci cher compatriote de Tlemcen peut constitué un thème de recherche et d’exposé à l’université tant le nom Bouayad et (Tabet par alliance) est porté par de nombreuses personnes à Tlemcen, Oujda, Sidi-Bel-Abbès, Oran etc…Ceci peut nous emmener même très loin vers des archives à Istambul, car sans doute, il existe la bas aussi des gens qui s’intéresse sur le sujet, et il y’a à Istambul une communauté francophone très instruite et qui peut aider à élaborer ce genre de thème.
Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.
رمضان كريــــــــــم وكـــل عـــام ومغربنا العربـــــي الإسلامـــي بخيـــرو السلام عليكم و رحمة الله
Miloua Fodil (M’chichi)
Universiatire Sidi-Bel-Abbès.
Algérie. 😛septembre 26, 2006 à 3:04 #216285En réponse à : ki FATE nharék ???
oujdideparis
Membre@OUJDI_PUR wrote:
a chri parabole a mehdi
galouli f marjane rahoum rkhasse !!CANAL ALGERIE RAHA MLIHA had l3am
(KIFATE NHAREK)==>> DAHLIA je te prie d’utiliser le vocabulaire oujdi
je te certifie frere > un pure oujdi
de la part du delegué dial oujda a parisseptembre 26, 2006 à 2:36 #216284En réponse à : ki FATE nharék ???
OUJDI_PUR
Membrea chri parabole a mehdi
galouli f marjane rahoum rkhasse !!CANAL ALGERIE RAHA MLIHA had l3am
(KIFATE NHAREK)==>> DAHLIA je te prie d’utiliser le vocabulaire oujdi
septembre 26, 2006 à 2:33 #216283En réponse à : ki FATE nharék ???
Anonymous
Membrea chri parabole a mehdi
galouli f marjane rahoum rkhasse !!CANAL ALGERIE RAHA MLIHA had l3am
septembre 25, 2006 à 11:11 #214113En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
Anonymous
MembreSalam alikoum wa rahmatou allah wa barakatouhou,
saha ramadankoum,
merci Bouayed ou plutot petit fils de Bouayed pour votre reponse. Tout d’abord je suis entièrement d’accord avec vous concernant l’origine de mon nom de famille cité par le livre « l’arbre de Tlemcen » livre dont je souhaiterais me procurer au moins une copie mais dont je n’arrive pas à mettre la main dessus (si vous pouvez m’aider dans ce sens ce serait très gentil a vous). Par contre et comme ca a été indiqué dans mon message precedant, recement une tombe a étée trouvée dans le lycée benzerdjeb après des fouilles au nom de Bouayed, cette tombe est datée de 1200 et des poussières, en cette année là les othomans n’avaient pas encore débarqué en Algérie, chose qui remet en cause l’origine turc de mon nom de famille. Par ailleurs concernant votre sujet chorfa, ma mère est une Tabet arrière fille d’un des rois de Tlemcen ancienne capitale d’une grande partie du maghreb.
Salutationsseptembre 25, 2006 à 10:59 #216227En réponse à : vive berkane
hatim70
Membrepremierement »abou al kheirr »n’est pas notre ecole c l’ecole d’etat , deuxiement ,pour plus de precision (premiere ecole) je ne voulais pas dire dans le cadre de la construction mais dans le cadre educatif ;alors voila quelque renseignement sur notre ecole !!!! comme vous dites :
Bien avant le protectorat Français, un groupe de colons, toutes nationalités confondues, sont installés dans la ville de Berkane, et sa région, et ont commencé à exercer des activités diverses ( menuiserie, mécanique.. et surtout l’agriculture et l’élevage). Ces colons de la première heure créèrent en 1909 la première école primaire mixte d’enseignement public du Maroc. La direction fut confiée à l’institutrice Mme Martinot. L’effectif des élèves (garçons et filles) inscrits en cette même année était au nombre de 22 de nationalités différentes sauf Marocaine (sources : Registre de l’académie d’Alger -Province d’ Oran- Cercle militaire de – Berkane – Maroc).
A partir de 1919, elle prit le nom de l’école mixte de Berkane subordonnée à la république Française, Espagnole, Italienne, Algérienne et cette fois-ci même Marocaine en particulier les fils des natales de la ville.En 1952, elle changea de nom et devient Ecole Européenne publique mixte de l’enseignement primaire, le nombre d’élèves inscris à l’époque était de l’ordre de 89 en majorité de nationalité Française.
Mais au début des années soixante, elle devint école technique d’agriculture, et prit cette fois-ci le nom d’Abou Lkhayr en référence à l’agronome Andalous » Abou lkhayr le Sévillan » qui vécut au 11ème siècle; son ouvrage le plus célèbre est » Le livre d’agriculture « .
En plus de la vocation de former des Instituteur et des institutrice, et vu son emplacement (centre ville), elle devint en 1968 collège et lycée d’enseignement général public.
Au tout début, elle était composée de quatre salles, d’une coure et d’un logement, par la suite elle devint collège, contenant plus de dix classes et deux salles de T.P. un amphi-théâtre et un pavillon pour l’internat, et par l’augmentation des élèves, due à que c’était le seul lycée de la ville, on ajouta un pavillon scientifique et quelques salles d’enseignement général.
Ainsi le lycée Abou el kheir est l’une des institutions historiques du Maroc.
alors je veux bien savoir quelque renseignement sur l’ecole sidi ziane construite en 1907
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