Résultats de la recherche sur 'Apres le Bac'
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oأعوذ بالله من الشيطان الرجيم
( يريدون ليطفئوا نور الله بافواههم والله متم نوره ولو كره الكافرون )
(سنريهم اياتنا في الافاق وفي انفسهم حتى يتبين لهم انه الحق اولم يكف بربك انه على كل شي شهيد )
( الا لعنةالله على الظالمين الذين يصدون عن سبيل الله ويبغونها عوجا)
صدق الله العظيمoujdi 12 a ecrit ça suite à mon intervention sur l histoire et l islam
et oujdi-pur a ecrit ce qui suit:
un peu de repect a ssi yeghmorssen
quand tu parle du notre prophete il faut dire
salla aalahou 3alayhi wasallamet arretez de semer la haine et la pagaille .
l un me répond avec des ayyates qui sortent completement du contexte de ma question. j ai devant moi tafsir errazi :mafatih al rayb et tafsir al kachaf de zamakhchari le grand linguiste. et je dis la chose suivante à oujdi 12 lisez votre histoire en vous armant de patience de courage et de la soif du savoir et de la verité et soyez libres de penser , chercher et comprendre. meme le jour du jugement dernier vous serez seul , il n y aura ni molla omar ni sidi zakri pour justifier votre ignorance de l histoire du prophete de l islam , de sa descendance et des massacres qui ont suivi quelques années apres son décés : المرء لا يعدر بجهله
pour oujdi pur je dis la chose suivante :
je te défie de me dire ce que signifie : صلى الله عليه و سلم
puisque tu me reproches de ne pas l écrire en français comme tu le fais. et puisque je suis sur que tu ne connais sa signification alors sache que pendant tout le temps que tu as passé à le repeter tu ne faisais que multiplier zéro par lui meme des milliers de fois mais rassure toi tu n es pas le seul , ce sont des millions d ignorants qui pensent etre proche du prophete en regardant la chaine IJHAL et non pas IQRAA et se font manipuler par les salafistes du khalij.
tu m accuses de smer la haine et la pagaille ici parce que toi et dautres etes embarassés par les problemes historiques qui RONGENT notre societé et qu on croit regler par inchaallah et machaallah . va travailler et réponds à ma question sur les guerres sanglantes qui ont fait 90000 morts selon attabari et ibn al athir , et ecoute bien ces guerres ont eu lieu queeques années apres la mort du prophete et entre les compagnons et parmi eux des moubaccharines bil janna !!! si tu etudies tu me remerciera toute ta vie mais à condition que tu sois precis et plein de bon sens dans ta recherche.si tu trouves queque chose cite moi tes references , je pourrais t aider .
à bon entendeur salut
YEGHMORRASSENSujet: Tabagisme
La nicotine est le principal facteur de dépendance physique au tabac. Mais il existe aussi une dépendance psycholoqique, qui se traduit par une envie irrépressible de fumer lors de certaines situations : réunions, soirées, café, situations stressantes. Il y a plus d’un milliard de fumeurs sur terre et au moins 70% d’entre eux souhaiteraient arriver à arrêter de fumer.
Quand arrêter de fumer ?
Mieux vaut ne pas essayer de se sevrer si la situation professionnelle ou familiale ne s’y prête pas (période d’intense activité professionnelle, problèmes personnels…). Il est préférable de choisir un moment plus calme (en congés par exemple). Certains veulent arrêter brutalement tandis que d’autres essaient de se sevrer plus progressivement. Certains choisissent des dates symboles. Dans tous les cas, pour augmenter ses chances, il vaut mieux aller à une consultation de sevrage tabagique, telle qu’il en existe à présent dans de nombreux hôpitaux.Qu’est-ce que le syndrome de manque tabagique ?
Il débute quelques heures après l’arrêt de la dernière cigarette et est maximum au deuxième jour. Il est marqué par différents symptômes possibles :
– irritabilité, troubles du caractère
– troubles du sommeil
– anxiété, dépression
– troubles de la concentration, diminution de l’efficacité pour des taches demandant une vigilance soutenue
– augmentation de l’appétit, appétence pour le sucre, prise de poids de 2 à 3 kilos
– toux
– diminution de la fréquence des battements du cœur
– envies brutales de cigarettes
Comment prévenir ce syndrome de manque ?Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.

Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.
Berkani d’adoption
Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.
Des commerçants solidaires
John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…Hassan Hamdani
Source: TelQuel