Résultats de la recherche sur 'Bonne année à toutes et à tous !'
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Sujet: Nouvelle:les vrais amis
*Depuis une heure, j’attends un ami dans un café de la ville .Je décide de l’attendre encore.A présent, deux heures se sont écoulées et pas la moindre trace de mon ami.
A-t-il eu un empêchement ? Lui est-il arrivé un malheur ? A-t-il tout simplement oublié notre rendez vous ?
Je ne sais à quoi répondre .Néanmoins, pour couper court à ces interrogations, je décide de rendre visite à Mostapha, chez lui.
*Arrivé devant la maison, je constate un calme et un silence étonnant .Même les volets sont fermés !
Je fais jouer la sonnette ;personne ne répond.Je sonne encore plusieurs fois de suite, toujours rien!
Je m’apprête à rebrousser chemin, quand j’entends une voix derrière moi :
_ » Vous êtes venu voir la famille R ? Ils sont en voyage; ils sont partis de bonne heure . »
Je me retourne vers l’arrivant.C’est un homme trappu,d’à peu près une cinquantaine d’années , ses cheveux sont blancs et marche en boitant.Il me tend une main chaleureuse que je serre avant de dire :
_ » Savez-vous ou ils sont partis ?
_ Je crois :à Meknes.Oui, c’est cela ,le frère de monsieur R est décédé suite à un accident de route . »
Je reste interdit, la bouche entre-ouverte :
_ »Aaah! finis-je par articuler.
_ Oui monsieur, ils ne viendront pas avant trois jours , me dit le quinquagénaire .
Je quitte mon interlocuteur un peu électrocuté par ses propos .Comme je ne peux rien faire pour le moment, je rentre chez moi.
dans ma chambre, je bois une tasse de café , puis je me couche , sans me soucier de l’heure du déjeuner .Je crois que j’ai perdu l’appêtit pour un certain temps.Je le fais savoir à ma mère tout en lui recommandant de ne pas me déranger sous aucun prétexte .
*Je me réveille vers 6 heures du soir avec une tête aussi lourde qu’un sac de farine. Je trouve devant moi sur la commode, un télégramme .Je l’ouvre et le lis:oncle décédé / partis pour Meknes/ mille excuses/ Malika.
Je dépose la dépêche tout en murmurant:pauvre Mostapha !
C’est un être très sensible qui ne supporte même pas la mort d’un simple animal.Je me souviens d’une scène semblable:Mostapha a eu beaucoup de peine pour son petit chat écrasé par une voiture .
Ce jour-là, il avait pleuré comme un enfant .
Comment se porte-t-il à présent,Tient-il le coup ?
Je donnerai n’importe quoi pour être à côté de cet ami et le consoler.Vraiment, c’est une perte affreuse pour quelqu’un qui n’a qu’un seul frère .
A suivre…….Sujet: douniiia de Retour
saluuuuuuut a ts les Oujdinautes , reee j’été trééés tréés occupé ce mois derniér a cause du nouvelle année scolaire et et l3iiiid….. ,vous m manquez trooop!!! ansi ke les bonnes discussion avec vous (café Oujdacity) c’été extra ordinaire. je ss avec vous 😉
Je me souviens à l’âge de neuf ans ,j’avais décidé de faire le carème.Malgré les protestations de mes parents,surtout de ma mère,je voulais passer au moins une journée sans rien manger ni boire.
Ainsi la veille du jour indiqué,je me préparai à affronter cette première épreuve.Aussi,je passai une partie de la nuit à grignoter tout ce que je trouvais à ma portée et à siroter des boissons variées.Je croyais qu’avec un « ventre plein », je supporterais facilement la faim et la soif.J’en fis part de cela à mes parents qui s’esclafèrent.
Vint le moment du « s’hour » .Toute la famille était autour d’une table garnie de mets succulents .J’avais bien envie de manger de tout ,mais le sommeil était le plus fort.J’avalai quelques bouchées à la six , quatre, deux et me mis aussitôt au lit ,sans me soucier de souhaiter une bonne nuit à ma famille.La matinée fut agréable.Je me sentis en pleine forme .Mais à l’heure du déjeuner ,mon ventre commença à crier famine.J’eus même l’eau à la bouche en regardant mes petits frères et soeurs manger les délicieux mets de la veille .
Pour ne pas succomber à la tentation, je pris la direction de l’école ,bien avant l’heure de la classe.En classe, je sentis ma tête tourner et ma gorge se nouer .Loin d’écouter les explications de la maîtresse ,mes pensées s’en allèrent vers un plat de rôti bien garni de légumes .Je m’apprêtais à attaquer le festin,quand j’entendis prononcer mon prénom à haute voix .En face de moi,la maîtresse me dévisageait avant de dire :
_ »Qu’est-ce que tu as Hamid ? tu sembles dormir !
_Ah non!rien maitresse ……..je voudrais boire..Eh , aller aux toilettes ….. »
Je m’en allai donc aux toilettes sous les regards moqueurs de mes camarades.
Après avoir plongé ma tête sous le robinet ,j’eue l’impression de revivre à nouveau.Quand la cloche sonna, je sortis comme une flèche vers la maison.Sur le chemin,je ne cessais de demander l’heure aux passants.
Dans ma chambre ,j’attendis avec impatience le moment pour se mettre à table.Un instant, je me regardai dans un miroir :je n’étais pas beau à voir !Mon visage paraissait famélique;quant à ma langue sèche, elle pendait comme un sac.Je n’en pouvais plus .Aussi,je me résignai à mettre quelque chose sous la dent .Je fis la requête à ma mère qui devint aussitôt furieuse :
_ »Mais ça ne va pas ,non!Juste avant une heure de la rupture du jeûne,tu commences à lâcher.Sois patient!Je regagnai de nouveau le salon et « m’amusai » à regarder un peu la télé ,mais mon regard guettait la grande horloge.
Les deux aiguilles semblaient toujours à leur place , et moi je ne pouvais m’asseoir sur le même divan!
Une heure était un peu long à passer ,surtout dans l’attente.
Enfin,une demie-heure s’écoula.Je me proposai à passer la seconde partie de cette attente à composer mon « menu ».Je décidai donc de boire deux bols de harira ,deux tasses de café au lait ,manger des gâteaux ,des beignets, du pain garni de confiture et de beurre ,sans oublier de mordre dans les plats de la veille….Pendant ce temps, ma mère était entrain de mettre le couvert.Bientôt la table fut pleine à craquer de bonnes choses.Justement,il y avait tout ce dont j’avais rêvé.Mais, la grande aiguille avait encore un pas à faire:cinq minutes.
Je regardai par la fenêtre la grande mosquée,à l’écoute des premières paroles du muezzin.Je n’étais pas le seul à faire le guet:plusieurs personnes étaient sur les terrasses des maisons ou aux seuils des portes.Eux aussi devaient avoir une faim de loup,pensai-je .
Dans la rue,deux hommes étaient entrain de se disputer.Ils s’échangèrent même des coups de poings et de têtes ,mais personne ne fit attention à eux.
Au moment ou je savourai cette bagarre , mon père m’appela.Enfin,la rupture du jeûne!J’étais très content d’avoir accompli ce devoir .Cependant,je n’étais pas prêt à le refaire le lendemain.
A table,ma joie m’a coupé l’appêtit .Aussi,je me suis contenté d’une tasse de lait et un bol de soupe.
Trois jours après,j’ai refait l’expérience ,mais avec un peu plus de succès cette fois.
Je me souviens que cette année,j’ai jeûné trois jours.L’OPINION :mardi 19 Mars 1991
Les hommes ont-ils peur du mariage ?
Les femmes rêvent souvent de robes blanches et d’enfants alors que les hommes ne voient dans tout ça que la corde au cou. Vivre ensemble, se marier, avoir un bébé… autant de preuves d’amour et d’engagements que les hommes ont du mal à prendre. Vrai ou faux ? Et si c’est vrai… qu’est-ce qui leur fait peur, à la fin ?
Vérité ou légende ? L’homo maroquinus est-il sujet à un refroidissement de ses gènes ? On a vérifié les statistiques : moins de mariages et plus de divorces. Nous sommes allés vérifier sur place auprès de ces messieurs. La partie immergée du fléau confirme la tendance sociale : le modèle “mâle” du mariage s’effondre, du moins prend un virage à 360° ! A quarante ans, Fayçal, biceps gonflés à bloc et dernier édito de Marianne en tête, lorgne sans cesse les femmes et soupire de ne pas avoir -encore- trouvé chaussure à ses pieds. Avec trois fiançailles rompues en poche et une multitude d’amourettes, Fayçal résume l’air du temps : “J’ai peur du mariage ! Malgré toutes les rencontres faites jusque-là, je n’ai jamais fait le dernier pas.” Blondes aux yeux de mer, brunes d’Arabie aux yeux de jais, taille mannequin, taille rondelette, universitaire travailleuse ou oisive glamour, Fayçal aura tout aimé. Sans comprendre pourquoi, un beau jour, ses engagements sentimentaux se dégonflent pour des raisons mystérieuses… Blocage psychologique ? Mode sociale pour faire in ? Un autre homme, Ahmed, la trentaine bétonnée de principes, voit l’affaire autrement : “C’est un choix ! Je ne suis ni angoissé ni torturé par l’idée du mariage. Je n’en veux pas par conviction personnelle. Capito ?” Les hommes sont-ils devenus allergiques aux rites de la fertilité matrimoniale ? Pour Nawal, trente-cinq ans et quelques ex qui ont filé à l’anglaise : “On ne sait plus comment aimer les hommes, ni ce qu’ils attendent finalement de leurs moitiés. Je crois qu’ils sont eux-mêmes un peu perdus !”.
Les théoriciens de la modernité
Etre moderne, c’est ne plus se marier sous les auspices des parents. C’est leur permettre de dire “oui” (et plus rarement) “non” à un fait établi et un lien déjà là. C’est choisir sa campagne au gré des déambulations sentimentales, avec plus de liberté et de manœuvre. Un itinéraire qui démystifie l’amour, l’éros et sépare dans le mot nikah ses deux acceptions linguistiques : acte de mariage et acte sexuel. “Lors de mes premières aventures amoureuses, se souvient Fouad, je me comportais comme si j’allais me marier à chaque fois avec mes conquêtes. C’était inévitable dans ma tête. Au fil des ans, j’ai appris à dissocier la relation amoureuse de l’objectif mariage.” Les sentiments, la sexualité des hommes, autrefois dépendant du lit conjugal, ne sont plus des institutions. Ce que résume Adil, la quarantaine : “Je ne veux pas me marier pour le sexe. Si dans les campagnes, il faut se marier pour faire l’amour, dans les grandes villes, la tendance est d’abandonner cette vision des choses.” Décryptage : L’homo maroquinus regarde un peu plus loin que le bout de son nez devant la devanture féminine. Il s’intéresse de plus en plus à la cavité cérébrale des femmes, à leurs projets professionnels et carrières, leurs idées du couple et de la vie. Le mariage lui-même demande un gros investissement de personne, de temps et d’argent et certains le placent en seconde ou troisième position dans leurs objectifs vitaux. C’est le cas des hommes qui intellectualisent l’existence et préfèrent vivre selon des principes idéalisés : “A quoi bon se marier se demande Tahar, la quarantaine ? Pour l’amour ? Il disparaît au bout de quelques années ! Pour le partage ? Je n’aime pas cette forme d’exclusivité où l’on se dit faussement : je suis à toi et toi tu es à moi ! Pour les enfants ? Je n’en veux pas, du moins pas pour les élever selon nos traditions ! Alors, je préfère rester seul. J’aime la solitude, finalement.” Un autre intello explique sa hantise du mariage par l’impossibilité de tisser un lien amoureux vrai dans notre société : “Je n’ai jamais rencontré de femme qui sied à ma mentalité et mes idées sur la vie. Se marier chez nous, c’est épouser la belle-mère et toute l’escorte qui veille à la tradition.” Quant à Abderrahim, quarante-cinq ans et pas de mariage en vue : “Je refuse d’être instrumentalisé par notre culture. Je me suis fiancé, il y a une dizaine d’années. L’achat d’un appartement est devenu une condition sine qua non pour vivre ensemble. Le comble, c’est que le grand-père de ma fiancée nous a proposé de nous acheter un appartement que nous payerions petit à petit. Et bien, la belle famille est intervenue pour confisquer l’appartement en question et le garder pour elle. Vous parler d’une vie construite à deux ?”Les freins économiques
Où en sommes-nous des valeurs matrimoniales au Maroc ? Confronté à une vie sentimentale et sexuelle plus riche, l’homme accepte plus facilement le concubinage ou la relation suivie sans lendemain matrimoniale. Une réalité qui explique pourquoi les hommes sont moins empressés de fonder un foyer. Pour Samir, trente-quatre ans, “l’homme est plus libre sur le plan de la conception matrimoniale. Peut-être pas dans d’autres domaines de la vie à deux, mais il est plus affranchi lorsqu’il s’agit de projet intime et de lien avec l’autre.” Pour Rajae, la trentaine, “même libérée, la femme a besoin d’un homme qui la protège. Une sorte de père. C’est une constance malgré les bouleversements socio-économiques que nous vivons.” Soit. L’homme a aussi besoin de mamelles maternelles. S’y rajoute la hantise du pourvoyeur de fonds qui surfe seul avec les exigences financières du couple. Un sujet que bien des hommes évoquent comme un frein majeur à leur épanouissement matrimonial. Pour Mohamed, trente-cinq ans : “Les choses ont beaucoup changé lorsqu’il s’agit d’argent au sein du couple. Mais quoi que l’on dise, c’est le mari qui reste la pierre angulaire de l’édifice financier.” Et d’ajouter que “le mariage reste une symphonie qui se joue à une seule main !”Le problème de l’argent, un dilemme dans notre culture dans la majorité
des cas ? Dans l’exemple de Abdelhak, trente ans : “Même avec son salaire, ma fiancée ne voulait rien entendre. J’étais l’homme dans le sens sonnant et trébuchant du terme”. Les salaires modestes, les risques de chômage et les difficultés matérielles liées à la préparation du mariage stoppent net toute envie d’envol individuel. La cérémonie est jugée trop chère. Le nid du couple doit être préparé avant terme. La prise en charge (partielle ou totale) de la belle dulcinée doit être visible. L’homme doit aussi apprendre à se confectionner une image d’être aisé ou riche à faire valoir hypocritement devant les autres. Et aussi une image d’homme-père-surhumain-infaillible à créer de facto pour compenser le vide phallique de sa promise. Azeddine, quarante-deux ans : “C’est cher payé ! Ce qu’on demande à l’homme est inhumain. Un homme, c’est pas un tiroir à rêves.”Lorsque la peur est profonde…
Pour d’autres hommes, toute décision, dans la vie, est difficile. S’engager est pour eux un supplice qui cache un profond malaise. Ce sont les hypocondriaques irascibles de l’hésitation et du déséquilibre sentimental. Certains ont vécu une histoire d’amour dont ils gardent un souvenir amer sur certains points. Ceux-là craignent peut-être de revivre ces moments déplaisants. Certains ne sont pas mûrs pour se lancer dans une difficile aventure. Des vagues de crise d’identité balaient la psyché masculine et la désarçonnent. Des problèmes sexuels naissent des avatars de l’urbanité cahotante. La régression des hommes est recherchée vers un nirvana inaccessible que décuple l’agression permanente des images télévisuelles. Une soupe moderne constipante que certains érigent en philosophie de vie pour mieux s’adapter à leur condition de célibataires endurcis.D’autres vivent mal cette attente éternelle et ont parfois de bonnes raisons de désespérer. Amal sort d’une cure chez un psychologue. C’est son fiancé qui doit prendre sa place, mais ce dernier a fui le psychologue, le projet de mariage et la relation qu’il entretient avec Amal depuis deux ans. “Je ne sais pas pourquoi il a peur de me toucher. Nous n’avons que des relations éphémères et je suis la plus demandeuse des deux.” Le mariage est parfois angoissant pour les hommes parce qu’ils ont peur de dévoiler certaines vérités intimes: homosexualité refoulée, problèmes d’érection, instabilité émotionnelle qui remontent à la surface à l’heure du choix décisif. Rachid, trente-sept ans : “Je n’ai jamais pu garder un lien et mener à bien un projet matrimonial. Après quelques mois paradisiaques, commencent les malentendus, l’escalade, la rupture qui se dessine au loin. Je ne sais pas gérer ce qui m’arrive.” Les mariages heureux sont bâtis sur la confiance et l’amour inconditionnel. Deux choses qui ne peuvent cœxister avec la peur. La peur endommage le mariage parce qu’elle rend défensifs. Pour Salah, hyper timide à quarante ans : “Nous détestons admettre nos faiblesses ou nos fautes. La peur que ma conjointe s’aperçoive de mes faiblesses me place sur la défensive.” De même, l’insécurité déstabilise l’homme et mène aux luttes de pouvoir. “Afin de prouver ma compétence, confesse Salah, j’ai toujours agi en dictateur. Le résultat est qu’à chaque relation, j’entretiens un état de conflit perpétuel qui provoque mes ruptures.”
Le rôle conciliateur de la femme
Le dédale civilisationnel brouille et redistribue les valeurs de la vie à deux. Entrechoc des genres qui se repositionnent au coude à coude pour tracer leurs nouvelles frontières. Vécus des hommes qui explosent en une myriade d’expériences sexuelles et redéfinissent la vie. Nouveaux styles de vie célibattante qui s’imposent avec leurs libertés et leurs contraintes. Fini le mythe de Platon où chacun quête sa douce moitié ? Bientôt, un monde sans pères ni mères et des enfants conçus sans sexe ? Pas si sûr et en attendant l’humanité du troisième type, restons zen et pratique. L’amour sans concession est celui qui se vit pleinement. Sans (trop de) calcul et dans la seule perspective de construire quelque chose à deux. Les angoisses sont souvent partagées mais la femme doit ici jouer un rôle de réconciliation et les tempérer via la communicationet une montagne de compréhension. Selon Jamal, trente-sept ans : “C’est ma femme actuelle qui m’a aidé à résoudre mes dilemmes internes et d’aller de l’avant.” Leur couple n’en est sorti que plus renforcé.
En périodes de crises sociales, de bouleversements dans les repères et objectifs, les hommes ont besoin de mains tendues pour dépasser les obstacles moraux et financiers et aller de l’avant dans le couple. Les notions principales de liberté, d’espace de vie, de partage des responsabilités, de participation active au foyer, d’investissements pécuniaires restent des notions modelables. La fête de mariage, les valeurs de l’éducation à transmettre aux enfants, les choix liés à la tradition sont aussi malléables. Il ne s’agit pas de savoir comment chacun a envie de vivre, mais comment l’homme peut dealer avec la lourde responsabilité sociale d’être définitivement avec l’autre – même si cet autre est adoré.
Sujet: FADESA en faillite !
La nouvelle vient de tomber le plus gros groupe immobilier espagnole vient de déclarer faillite !
sachant que ce géant de l’immobilier a signé pas mal de projet au Maroc (Saidia n’étant qu’un parmis d’autres)
Comment voyez vous cette nouvelle ? plutot bonne ou plutot mauvaise ?
sachant que le groupe ADDOHA avait déja racheté presque la moitié des projets fadesa au maroc l’an dernier, et qu’il a vue son action monter en flèche (artificiellement? ) à la bourse de casablanca ?
ci dessous l’article de l’AFP :
La crise immobilière espagnole fait sa première victime d’importance
Il y a 1 jour
MADRID (AFP) — La crise immobilière espagnole a fait sa première grande victime, le promoteur Martinsa-Fadesa qui s’est placé dans la nuit de lundi à mardi en cessation de paiement faute de pouvoir obtenir un prêt de 150 millions d’euros.
Le conseil d’administration du groupe réuni lundi soir, a décidé de « présenter une demande de cessation de paiement pour éviter une aggravation de la crise qui pourrait devenir irréversible et avoir de graves répercussions sur ses créanciers et sur l’intérêt de tous ses actionnaires », selon un communiqué.
C’est le premier grand groupe immobilier à se placer sous la protection de la loi depuis le début du retournement du marché immobilier espagnol en 2008. Retournement auquel s’ajoute la crise financière qui rend difficile l’accès au financement pour ces entreprises.
Après des années de très forte demande, d’envolée des prix et de construction à tout crin, alimentée par de l’argent bon marché en raison de taux d’intérêt bas, la pierre espagnole est en train de s’effondrer avec des ventes en chute libre et des prix qui marquent le pas.
Le stock de logements vides gonfle et des promoteurs se retrouvent avec des projets en chantier sur les bras et pas d’acheteurs.
Un autre grand groupe immobilier, Colonial, s’était retrouvé dans la tourmente au début de l’année, mais finalement, les banques créancières en avaient pris le contrôle, en se partageant les actions du groupe qui avaient été gagées chez elles.
« En dépit des innombrables efforts » de Martinsa-Fadesa « et de ses actionnaires », l’obtenion du prêt de 150 millions d’euros a été impossible, et le groupe se trouve confronté à « un manque de trésorerie pour faire face aux créances imminentes ».
Banco Popular et Caja Madrid, deux établissements financiers espagnols, ont annoncé mardi avoir provisionné un total de 350 millions d’euros en prévision des difficultés de Martinsa-Fadesa.
« Face à la demande de cessation de paiements de Martinsa-Fadesa, Banco Popular, conformément à sa stratégie prudente et transparente, annonce qu’elle a anticipé les conséquences éventuelles en provisionnant au premier semestre » un total de 100 millions d’euros, selon un communiqué du groupe.
« Cela signifie que la banque n’aura pas à faire de dotations supplémentaires à cause des risques sur cette entreprise au cours de 2008 », selon la banque, qui a toutefois refusé de dire le montant total de sa créance. Selon des informations de presse, elle serait de 400 millions d’euros.
Le titre de Banco Popular était particulièrement malmené mardi à la Bourse de Madrid, perdant plus de 7% alors que l’Ibex-35 reculait de pas loin de 4%, chatouillant ses plus bas niveaux depuis 2006.
Une autre institution financière, la caisse d’épargne Caja Madrid, a reconnu qu’elle avait une créance de 1 milliard d’euros, et qu’elle avait passé des provisions pour 250 millions d’euros.
La caisse d’épargne catalane La Caixa, a elle reconnu une créance de 700 millions d’euros, sans préciser si elle avait passé des provisions.
Martinsa-Fadesa avait annoncé le 7 mai avoir trouvé en plusieurs étapes un accord de refinancement pour 4 milliards d’euros de dette, décalant le paiement final à 2011. Cet accord était conditionné au fait que le groupe obtienne un prêt de 150 millions d’euros avant le 7 juillet.
« Les efforts réalisés avec l’Institut du crédit officiel (ICO, un organisme de financement dépendant du gouvernement) et d’autres entités de crédit n’ont pas porté leurs fruits », précise Martinsa-Fadesa, dont le patrimoine total est estimé à 10,8 milliards d’euros répartis dans des sols à construire, des projets en construction, des terrains de golf et des immeubles construits.
Fernando Martin, le patron du groupe, ancien président de Real Madrid, est emblématique de ces nababs de la pierre espagnole qui n’ont pas réussi à se diversifier ou à abandonner à temps le secteur avant le retournement.
A la tête d’une petite entreprise non cotée, Martinsa, il a lancé une OPA sur Fadesa, figure de l’immobilier espagnol. Mais il l’a fait en 2006 alors que l’immobilier espagnol avait déjà atteint son apogée.
Ce parcours est identique à celui du patron de Colonial. Luis Portillo, à la tête d’Inmocaral a lancé, lui aussi en 2006, une OPA sur le vénérable Colonial. L’acheteur réalisait un chiffre d’affaires 178 fois plus petit que sa cible.
Contrairement à eux, plusieurs autres acteurs de l’immobilier avaient anticipé l’éclatement de la bulle immobilière tel Manuel Jove, patron de Fadesa qui a vendu sa part au prix fort à Fernando Martin, ou bien les grands groupes de BTP comme ACS et Acciona qui ont investi dans l’énergie, secteur plus sûr, en prenant des parts dans les groupes Iberdrola ou Endesa.
Sujet: RECETTES MI-FIGUE MI-RAISIN.
D’ICI PEU DE TEMPS VOUS ALLEZ VOUS REGALER DE FIGUES ET DE RAISINS .
PS:A NE PAS CONFONDRE A LA CELEBRE LOCUTION mi-figues mi-raisins
BON ……SAVEZ VOUS QUE LES FIGUES SONT UN EXCELLENT REMEDE POUR CERTAINS MAUX ET MALADIES?
AU CAS OU VOUS SOUFFREZ DE LA CONSTIPATION.BIEN ENTENDU VOUS ALLEZ A LA PHARMACIE POUR ACHETER LES MEDICAMENTS ADEQUATS OU BOIRE DU PETIT LAIT (DE PREFERANCE AIGRE).MOI JE VOUS PROPOSE LA BONNE OU PLUTOT LA MEILLEURE SOLLUTION POUR EN FINIR AVEC CE DESAGREMENT.
PRENEZ 8 FIGUES SECHES . VOUS AVEZ DE LA CHANCE LES AMIS .VOUS N’ALLEZ PAS ATTENDRE LA VENUE DES FIGUES FRAICHES.LES FIGUES SECHES ,ON LES VEND AU COURS DE L’ANNEE.
DONC, PRENEZ 8 FIGUES SECHES ET METTEZ LEZ DANS UNE CASSEROLE AVEC UN LITRE D’EAU.FAITES BOUILLIR DE 5 A 10 MINUTES EN LAISSANT REDUIRE DE MOITIE.
IL VOUS RESTE ALORS UN DEMI LITRE QUE VOUS ALLEZ METTRE DANS UN BOCAL EN VERRE.VOUS PRENEZ 1/2 VERRE MATIN ET SOIR PENDANT 8 JOURS.VOUS POUVEZ AJOUTER DU SUCRE SI VOUS NE LE TROUVEZ PAS A VOTRE GOUT.
ATTENTION !NE GARDEZ PAS LA PREPARATION PLUS DE 8 JOURS.RENOUVELEZ L’OPERATION SI C’EST NECESSAIRE.POUR LE MAL DE GORGE, LA MEME PREPARATION.ICI S’EMPLOIE CHAUDES ..ET EN GARGARISMES. VOUS ALLEZ VOUS RINCER AVEC UN 1/2 VERRE CHAUD
SI VOUS ETES FATIGUES VOILA UNE BONNE RECETTE POUR VOUS REMETTRE D’APLOMB!
METTEZ 10 FIGUES SECHES ET 12 RAISINS SECS (c’est pas vrai!je le jure que c’est une coincidence!) DANS UN LITRE DE LAIT.FAITES BOUILLIR DE 5 A 10 MNS.
BOIRE A JEUN CHAQUE JOUR ET VOUS ALLEZ CONSTATER LE RESULTAT.
ON TERMINE AVEC LA TOUX .PRENEZ 3FIGUES , UN VERRE DE SUCRE ET 3 VERRES D’EAU METTEZ LE TOUT DANS UNE CASSEROLE.LAISSEZ BOUILLIR DOUCEMENT JUSQU’A CE QU’IL Y AIT CONSISTANCE DE SIROP.LE METTRE EN BOUTEILLE EN VERRE .
PRENDRE UNE CUILLEREE DE SOUPE (la grande cuillère) MATIN ET SOIR PENDANT 10 JOURS.POUR LES ENFANTS UNE CUILLEREE DE CAFE (la petite cuillère) pendant dix jours matin et soir.
ALLEZ LES AMIS A BIENTOT POUR D’AUTRES RECETTES.PROMIS!