Résultats de la recherche sur 'DEUX EN UN'
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Deux mathématiciens prennent un verre dans un café et discutent du niveau exécrable de M. Toutlemonde en maths. L’un est plutôt optimiste, l’autre pessimiste. Bref, ils ne sont pas sur la même longueur d’onde. Le pessismiste s’éclipse pour aller aux toilettes, l’optimiste en profite pour appeler la serveuse et lui dit: « Quand mon collègue reviendra, je vous poserai une question et vous n’avez qu’à répondre « x au cube sur trois. Voilà 5 euros pour vous. » La serveuse s’éloigne en répétant « x au cube sur trois, x au cube sur trois… » Le pessimiste revient et l’optimiste lui dit: »Pour te prouver que les gens ne sont pas nuls en maths, je te propose un pari : je vais poser une question à cette serveuse, et si elle répond juste, tu me devra 20 euros. Dans le cas contraire, c’est moi qui te devrai 20 euros. » Le pessimiste et d’accord, et l’optimiste demande donc à la serveuse : « Quelle est la primitive de x au carré? » La serveuse, comme prévu, répond: « x au cube sur trois ». Le pessimiste est évidemment épaté. La serveuse s’en va en faisant un clin d’oeil à l’optimiste et en ajoutant : « Plus une constante ».
La vie est complexe : elle a une partie réelle et une partie imaginaire.
Tout ce qui est hideux est négatif.
π est irrationnel, et vous voulez que le monde tourne rond ?
L’éléphant est énorme, mais le mammouth est n+1-orme.
Deux suites adjacentes ont envie de s’amuser, et elles décident d’aller à une soirée « no-limit ». Mais à l’entrée, le videur les empêche de passer : « C’est complet ! »
Un soir, les apôtres sont réunis autour de Jésus. Soudain, celui-ci prend la parole et déclare : « y = ax² + bx + c ». Les apôtres restent un moment silencieux, et puis l’un deux murmure à son voisin : « Tu as compris ce qu’il a dit ? » Et l’autre répond : « Tu sais bien qu’il parle toujours par parabole ! ».
[/color]Sujet: HISTOIRE DE MUR
C’est deux fous qui veulent s’évader d’un asile (de fous !!) le premier un peu moins fou que l’autre demande : – Va voir au font du jardin, si le mur est bas, on passera par dessus si le mur est haut, on passera par dessous le deuxième s’exécute et revient quelque minutes plus tard : – On peut pas s’évader, … y a pas de mur !!
Pourquoi loupons nous nos exams ??
Une année comporte 365 jours durant lesquels nous pouvons étudier.
Si on enlève les 52 dimanches d’une année,
il reste 313 jours.En été, il y a 50 jours où il fait trop chaud pour rester enfermé à étudier.
Il reste donc 263 jours.On dort en moyenne 8h par nuit.
Transposées sur une année, ces heures de sommeil représentent 122 jours.
Plus que 141 jours pour étudier.Si on compte que l’on peut tout de même se prendre 1h par jour pour faire ce que l’on aime,
ça fait 15 jours de moins.
Ce qui nous reste 126 jours.On « gaspille » 2h par jour à manger.
De cette façon, on perd encore 30 jours et
il ne nous en reste déjà plus que 96 joursA cela, il faut encore enlever à peu près 40 jours de fériés et de vacances
(en dehors des deux mois d’été).
On tombe à 56 jours.Si on estime que les examens et les interros nous pompent 25 précieux jours de notre année,
il ne nous reste que 16 jours.Un bon étudiant digne de ce nom sort
en moyenne 288 heures entre septembre et juin.
Cela nous fait 12 jours de moins pour étudier et
il ne nous reste que 4 malheureux jours.Nous sommes humains et nous pouvons bien tomber malade au moins 3 jours sur 365.
Il ne nous reste donc qu’un jour pour étudier !Mais comme par hasard, cet unique jour c’est ton anniversaire.
Voilà pourquoi nous ratons nos examens ! =))
Mariage annulé faute de virginité: l’UMP demande à la chancellerie d’agir
Le tribunal de grande instance de Lille a annulé en avril un mariage entre musulmans « pour erreur sur les qualités essentielles » de la conjointe car celle-ci avait menti sur sa virginité.
L’un des porte-parole de l’UMP Frédéric Lefèbvre a souhaité vendredi dans un communiqué que la chancellerie « déclenche un recours dans l’intérêt de la loi pour dire le droit », après l’annulation par la justice du mariage d’une jeune femme qui avait menti sur sa virginité.
« Si c’est la question de la virginité qui a motivé l’annulation du mariage, je demande à la chancellerie de déclencher un recours dans l’intérêt de la loi pour dire le droit », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Cette décision a suscité jeudi de vives réactions dans le monde politique et associatif. Alors que sa fiancée lui avait affirmé qu’elle était chaste, une valeur essentielle pour lui, l’homme avait découvert le soir des noces, le 8 juillet 2006, qu’elle ne l’était pas et l’avait annoncé à ses proches vers 04H00 du matin.
Le père de l’époux aurait alors ramené la jeune femme chez ses parents, estimant sa famille « déshonorée », selon le récit publié dans la revue juridique le « Recueil Dalloz » cité par le quotidien Libération. Le mari, un ingénieur d’une trentaine d’années, avait décidé dès le lendemain de se séparer de son épouse et l’avait assignée en justice le 26 juillet 2006.
« On aurait pu faire un divorce par consentement mutuel (…) J’ai opté pour la procédure de +nullité relative+ car c’est celle qui correspond le mieux » à la situation, a déclaré à l’AFP l’avocat de l’époux Me Xavier Labbée. « Le divorce sanctionne un manquement aux obligations issues du mariage comme l’infidélité. Ici, il y a un vice dès le départ », a-t-il expliqué.
Le tribunal a annulé l’union, estimant que l’époux l’avait conclue « sous l’empire d’une erreur objective » qui « était déterminante dans son consentement ». Une décision basée sur l’article 180 du code civil, qui stipule que « s’il y a eu erreur dans la personne, ou sur des qualités essentielles de la personne, l’autre époux peut demander la nullité du mariage » dans un délai de cinq ans.
Le jugement est « parfaitement logique » car « l’épouse a reconnu qu’elle avait menti », a estimé Me Labbée.
La secrétaire d’Etat au droit des femmes Valérie Létard a déclaré dans un communiqué être « consternée de voir qu’aujourd’hui en France certaines dispositions du code civil conduisent, par l’interprétation qui peut en être faite, à une régression du statut de la femme ».
« Une telle décision est une atteinte à l’intégrité des femmes et une violation aux droits fondamentaux de tout individu », est-il ajouté dans le communiqué, soulignant que « cette réalité est d’autant plus choquante que le gouvernement multiplie les mesures en faveur de l’égalité entre les hommes et les femmes ».
Le député UMP Jacques Myard a exprimé son « indignation » face à une décision « choquante (qui) avalise un intégrisme archaïque ». Le PS a dénoncé un jugement « atterrant » qui « bafoue le droit des femmes à disposer de leur corps et à vivre, librement, comme les hommes, leur sexualité » et le PCF l’a qualifiée de « scandaleuse ».
L’association Ni putes ni soumises a évoqué une « régression » , exprimant son amertume « de savoir qu’en France la virginité peut être considérée comme une +qualité essentielle+ » et a réclamé un changement législatif.
Le procureur de Lille Philippe Lemaire a déclaré à l’AFP que le jugement était « assez conforme à la jurisprudence classique », insisté sur le fait que les deux époux étaient « d’accord ». Le problème de la virginité « focalise un peu le débat, mais, selon ce magistrat, la question ce n’est pas la virginité, c’est la liaison qu’elle a eue avant et qui a été cachée. » « C’est le mensonge qui motive la décision du juge », a souligné le procureur Lemaire.
La Chancellerie a affirmé n’avoir « pas le souvenir » d’une annulation pour mensonge sur la virginité, même si les annulations pour mensonges sur « des éléments de personnalité » d’un des conjoints sont loin d’être rares.
Parmi ces « erreurs » figurent essentiellement la découverte après le mariage que le conjoint est divorcé, qu’il a menti sur sa nationalité, qu’il fait l’objet d’une mesure de curatelle ou qu’il n’est pas apte à avoir des relations sexuelles normales.