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As-Salâmu ‘alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh. Bismillâhi r-Rahmâni r-Rahîm. Louange à Allah, Seigneur de l’univers, que le Salut et les Prières d’Allah soient sur le maître des Messagers. Que les prières d’Allah et Son Salut soient sur Muhammad, ainsi que sur ses proches, et tous ses Compagnons. Le jour ou le mensonge est permis chez les mécréants est enfin arrivé, vous vous en doutez chers frères et soeurs nous sommes le 1er avril 2009 et comme chaque année ce jour est l’objet de toutes les farçes et toutes les tromperies garder en réserve. C’est égaement le jour durant lequel celui qui trompe autrui et ment le mieux est aussi celui-ci qui reçoit le plus d’éloges.
Il est clair que bon nombre de musulmans tombent également dans la célébration de ce jour en imitant les pratiques des non-musulmans, hors le poisson d’avril a-t’il une source dans l’Islam et est-il recommandé d’y participer ?! C”est pour répondre aàcette question que je publie cet article publié par le très bon site IslamHouse. Ce long texte est l’oeuvre du frère Louqman Ingar et a été Revu, adapté et ajouté par le frère Abu Hamza Al-Germâny, il explique l’origine de cette pratique et son Jugement dans l’Islam à partir du Qur’an et de la Sunnah.
“Et pourtant il y a bien un jour dans l’année où néophytes et experts partent à la pêche pour « pécher » … un poisson ou « pêcher » du poison !
En effet parmi les coutumes qui résultent de notre élan enthousiaste et insouciant à suivre le modèle de vie non islamique se trouve une coutume très répandue, celle du poisson d’avril. Mentir durant ce jour, tromper quelqu’un ou le ridiculiser sont non seulement autorisés, mais encouragés par ce phénomène de société. Celui qui se montrera le plus rusé, le plus malin ou fera preuve d’imagination féconde et aiguisée sera digne des appréciations les plus élogieuses.
Cette mauvaise plaisanterie cause de nombreux torts à bon nombre de personnes…
Du point de vue de l’éthique, le côté pernicieux et funeste de cet événement n’est pas à démontrer. Par contre son explication historique, tant peu soit-elle authentique, est intimement liée à des antécédents païens et se révèle être tout à fait déplorable pour ceux qui croient à la prophétie de Jésus (sur lui la paix).
L’origine du poisson d’avril :Les historiens ont émis des avis divergents à propos de son origine. Certains historiens disent qu’en France, avant le 17ème siècle, le début de l’année coïncidait avec le mois d’avril. Les Romains avaient l’habitude de vénérer leur déesse Vénus pendant ce mois. La traduction de Vénus en Grecque était Aphrodite et il est possible que l’origine du mot avril vienne de cette nomination grecque (Encyclopédie Britannica 15ème édition vol 8, p 292).
Ainsi, le début du mois d’avril correspondait au premier jour de l’année et à la célébration d’une déesse. Les gens organisaient des festivités dans lesquelles les plaisanteries et les moqueries égayaient l’atmosphère. Les cadeaux que l’on s’offrait prenaient parfois des tournures de moqueries. Et petit à petit le poisson d’avril prit forme.
L’histoire rapporte également une autre version de l’origine de cet événement. Il est dit que le 21 mars était le début du changement de saison. Certaines personnes interprétaient cela comme une moquerie du ciel. Puisque la nature se gausse de nous, alors nous aussi durant cette période on va se moquer les uns les autres ; qu’Allah nous préserve de cette bassesse et de ce mauvais comportement ! (Britannica, vol 1 p 496).
Qu’ils l’aient fait pour suivre les « railleries » de la nature ou pour se venger d’elle, cela reste indéterminé.
On dit aussi que cette tradition trouverait son origine en France, en 1564. La légende veut que jusqu’alors, l’année aurait commencé au 1er avril comme on a vu précédemment, mais le roi de France Charles IX décida, par l’Édit de Roussillon, que l’année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Mais en fait, l’année civile n’a jamais débuté un 1er avril.
Si l’origine exacte de l’utilisation des poissons reste obscure (peut-être l’ichthus chrétien), la légende veut que plusieurs de ses sujets se rebiffassent à l’idée qu’on leur chamboulât le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril. Pour se payer leur tête, des congénères profitèrent de l’occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Ainsi naquit le poisson, le poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement. Plusieurs usages semblent s’être en fait mélangés, avec celui du carnaval :
· marquer la sortie du signe zodiacal des Poissons, dernier signe de l’hiver
· prolonger la période du carême, où il n’était permis de manger que du poisson,
· confondre le benêt en lui offrant un poisson à une époque de l’année, celle du frai, où la pêche était interdite.
Ces origines prouvent qu’il est regrettable que les musulmans imitent les incrédules et les insouciants… Prenez garde chers musulmans, vous rendrez compte de chaque acte devant Allah !!! Ce qui suit va vous surprendre !
Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient en ce jourUne troisième version est rapportée par l’encyclopédie Larousse qui affirme être l’explication la plus authentique.
Elle mentionne que selon les traditions juives et chrétiennes, le premier avril correspond à la date à laquelle les Romains et les juifs ont fait de Jésus la cible de leurs moqueries et railleries. Cet incident est mentionné dans la bible :
« Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient. Ils lui voilèrent le visage et ils l’interrogeaient en disant, devine qui t’a frappé et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres injures » (Luc 22 ; 63-65).
Les textes bibliques rapportent également que Jésus (sur lui la paix) fut tout d’abord présenté à la cour de justice juive avant d’être transféré au tribunal de Pons Pilate afin d’être jugé. Mais ce dernier l’envoya vers le tribunal d’Hérode qui de nouveau le retourna chez Pilate. Selon le Larousse, le but de ce va-et-vient entre les deux tribunaux était de prendre en dérision notre prophète Jésus (sur lui la paix) et de lui infliger des peines et difficultés. Le premier du mois d’avril commémorerait ainsi cet incident honteux.
Le Larousse met encore plus d’emphase sur l’aspect tragique de cette dernière version en précisant que le mot poisson a été substitué à celui de poison dont la signification reflète la souffrance et la douleur qui entache l’événement. Ainsi, cette coutume était maintenue en souvenir des difficultés subies par Jésus (sur lui la paix).
Mais tel n’est pas l’avis de tout le monde : un autre auteur français a apporté une explication différente et pour le moins originale sur le mot poisson. Selon lui, le mot poison n’a pas sa place dans l’histoire. Poisson est bel et bien le mot utilisé dès le départ. Cependant, il correspondrait aux initiales de 5 mots dont la signification se rapporte à Jésus, fils, messie, Dieu et rançon (Encyclopédie arabe Farid wadjaddi vol 1 p 21,22).
Quoi qu’il en soit, le Larousse défend rigoureusement sa version, témoins à l’appui. Mais ce qu’il y a de plus surprenant dans cette affaire c’est que cette piteuse histoire n’a suscité aucun remous dans les sphères religieuses catholiques !!
Qu’elle n’effleure la sensibilité religieuse de personne c’est une chose, mais que tout le monde s’associe pour célébrer aveuglement et ironiquement cet événement pitoyable qui rappelle l’avilissement d’un Prophète de Dieu, c’est une attitude qui interpelle notre conscience.
Ces faits, au lieu d’être tournés en dérision, auraient dû créer l’indignation et la consternation surtout dans le cœur de ceux qui ont fait de Jésus la figure emblématique la plus sacrée de leur religion.
Une coutume religieuse étrangère à l’IslamIl n’en demeure pas moins que très probablement le poisson d’avril tire son origine d’un événement religieux étranger à l’Islam. Des fêtes vénusiennes en passant par l’imitation des facéties de la nature prétendent-ils et du souvenir des mésaventures de Jésus chez les Romains, quel que soit la vraie version des faits, elle sera néanmoins empreinte d’idolâtrie ou d’impudence ou d’humiliation qui sont des éléments sévèrement réprimandés dans l’Islam et du coup estampille cette coutume du cachet de l’interdiction.
En résumé trois facteurs d’interdiction se dégagent de cette pratique :
1) Prohibition du mensonge et de la tromperie dans l’Islam.
Notre Bien-aimé le Prophète Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) nous en a mis en garde :
« Malheur à celui qui parle et ment pour faire rire les gens, malheur à lui, malheur et destruction à lui » (Authentique, rapporté par Abou Daoud vol 2 p 233)
Notre Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) a dit également :
« Trois signes sont révélateurs d’un hypocrite : lorsqu’il parle il ment… » (Rapporté par Boukhâry et Mouslim)
Le mensonge est en faîte une grande trahison envers l’autre.
2) Interdiction de la malveillance :
Il est rapporté du Messager d’Allah (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) que « le (vrai) musulman est celui dont les autres sont protégées (des méfaits) de sa langue et de sa main » (Rapporté par Boukhâri et Mouslim)
3) Qu’un musulman juge de lui même ! Une coutume dont l’origine prend sa source dans l’idolâtrie ou l’indécence ou rabaisse un Prophète de Dieu mérite-t-elle notre adhésion ?
Le problème est que beaucoup de musulmans croient à tort que l’on peut mentir si cela est fait par plaisanterie !! Ceci est faux, car cela contredit en effet la parole du prophète : « Je plaisante, mais je ne dis que la vérité » (Rapporté par Tabarâny et authentifié par Al-Albâny dans sahih al-jami3)
Et le hadith rapporté par Abou Hourayra qui raconte : « les compagnons interpellèrent le prophète en disant : « tu nous taquines ô Messager d’Allah ! » Il répondit (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) : « (oui), mais je ne dis que la vérité » (Rapporté par Attarmidhy et authentifié par Al-Haythamy)
Ces deux hadiths prouvent que le musulman peut plaisanter mais sans outrepasser les limites par le mensonge et tromperie.
Aussi le poisson d’avril est d’autant plus détestable qu’il n’est réussi chez le plaisantin que si la personne visée par cette prétendue plaisanterie se trouve dans un état d’angoisse ou d’anxiété. Plus la personne a peur et plus la plaisanterie est réussie !!! Les plaisantins n’hésitent pas à faire croire à une mort ou à une chose de très grave notamment entre les amis ! Mais où est l’amitié dans tout cela ! L’islam interdit de faire peur à autrui pour rire et s’esclaffer !! Justement, des compagnons du Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) plaisantèrent avec une personne endormie qui prit peur en se réveillant ; regardez la réponse claire du prophète de la miséricorde : « Il n’appartient pas (il est interdit) au musulman de faire peur au musulman. » (Rapporté par Abou Dawoud et Ahmad et authentifié par Al-Albâny dans sahih al-jami3)
Que chaque musulman médite ces hadiths et cesse son entêtement dans le faux.
Fatwa d’un grand savant à ce sujetQuestion posée à Cheikh Al-Fawzan (membre du Comité des grands savants du Royaume d’Arabie Saoudite), qu’Allah le préserve : Il est répandu de célébrer dans les pays non musulmans ce que l’on appelle le poisson d’avril, le 1er jour du mois d’avril. Certains musulmans qui imitent les non-musulmans estiment qu’il est permis de mentir ce jour-là. Que pensez-vous de cette croyance et de cette imitation ?
Réponse : Louange à Allah,
Le mensonge est absolument interdit en tout temps. Et il n’est pas permis d’imiter les incrédules en cela et de s’assimiler à eux dans ce domaine ou dans un autre, compte tenu des propos du Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) : « Quiconque s’assimile à un peuple en fait partie ».
Extrait des Fatwas de Cheikh Salih al-Fawzan
Publié dans la revue Ash-Shaqaiq, n° 32 du mois de safar.
On ne devrait pas prendre cette pratique avec légèreté et se laisser piéger dans le filet des coutumes illicites. En réfléchissant quelque peu sur l’origine et la réalité du poisson d’avril on comprendra, Incha Allah, l’importance de ne pas aller à la pêche ce jour-là ou plutôt au péché ce jour-là !!
Auteur : Louqman Ingar
Revu, adapté et ajouté : Abu Hamza Al-Germâny
Publié par Le bureau de prêche de Rabwah (Riyadh)
Sujet: maison a vendre a oujda
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· Certains de leurs produits vont jusqu’à Meghnia, Oran… en Algérie
· Ces enseignes jouent le rôle de lièvre aux investisseursIl y a quelque peu encore, personne ne pouvait miser un dirham sur l’installation d’une grande surface dans l’Oriental à cause d’une économie de contrebande très développée dans la région. Aujourd’hui, les trois grandes enseignes installées à Oujda (Marjane, Métro, Aswak Assalam) prouvent que le pari n’était pas insensé, mais qu’il est aussi un véritable succès. Un deuxième Marjane ouvrira dans quelques mois à Nador, autre bastion du commerce de contrebande, et un autre bientôt à Saïdia. La grande distribution anticipe le boom du tourisme et la dynamique économique que connaîtra la région avec un commerce plus organisé pour accompagner l’ouverture et les besoins de la station du plan Azur,
Le premier jour de l’ouverture de Marjane Oujda, la chaîne a battu son record du chiffre d’affaires quotidien à l’échelle nationale. Les produits qui marchent le plus sont les PGC (produits frais), les ustensiles de cuisine et articles ménagers ainsi que l’électroménager, surtout les climatiseurs et les réfrigérateurs. Le caddie moyen à Oujda est parmi les plus élevés du réseau Marjane. Il dépasse généralement les 1.000 DH.
Le potentiel est là dans une région qui compte plus de 2 millions d’habitants. De l’avis des observateurs, «en une année seulement, l’installation de grandes surfaces a permis une restructuration de la filière de commerce».
Les premiers effets de la grande distribution se traduisent par la sensibilisation des consommateurs qui ont de plus en plus le souci de la sécurité alimentaire, de la chaîne de froid, de la date de péremption, de la garantie, du choix, du crédit gratuit…, estime la direction du magasin de Marjane Oujda. Du coup, les grandes surfaces ont endigué substantiellement les volumes de la contrebande, surtout pour les produits frais.
La garantie sur l’électroménager et les promotions à longueur d’année ont aussi eu leur impact sur les produits en provenance d’Algérie (réfrigérateurs, gazinières, fours…). Par contre, tout ce qui est image et son ne marche pas assez. L’offre de la contrebande reste très compétitive sur ce créneau, signalent des chefs de rayons d’électroménager. Les clients viennent de partout: Nador, Berkane, Saïdia, Ahfir, Jerrada… et les hypermarchés s’érigent en lieux d’animation et de loisirs dans une région où l’offre est inexistante. Le profil de la clientèle est assez hétéroclite: fonctionnaires, commerçants et même des contrebandiers qui acheminent la marchandise de l’autre côté de la frontière. Certains produits iraient jusqu’à Meghnia, voire Oran! Surtout les vins français, les spiritueux, l’agroalimentaire de manière générale. Parallèlement, ces investissements ont permis la création de plusieurs centaines d’emplois (encadrement, vendeurs, chefs de rayons…), sans compter l’effet induit auprès des sous-traitants et fournisseurs locaux. Le rôle de lièvre se traduit par l’installation de franchises et enseignes de prêt-à-porter dans les galeries commerciales: Celio, Via Seta, Planet Sport, Big Dil… Sur 17 magasins à Marjane, 14 sont déjà occupés. D’autres enseignes vont suivre, souligne Farid Chourak, directeur du CRI de l’Oriental.
Comme on ne peut faire d’omellette sans casser des oeufs, l’impact de ces hypermarchés commence à se ressentir sur le commerce de proximité. La Chambre de commerce et de services (CCIS) parle de la fermeture de plusieurs petits commerces devenus moins rentables depuis l’installation de la grande distribution. «Trois hypermarchés, c’est bien. Mais il ne faut pas qu’il y en ait plus», avertit Driss Houat, président de la CCIS d’Oujda.
La Chambre de commerce mène actuellement une enquête pour évaluer l’impact de la grande distribution sur le commerce de proximité. Selon les tendances préliminaires qui se dégagent de l’étude, ce sont surtout les grossistes des produits agroalimentaires (huile, sucre, farine…) qui pâtissent le plus de l’arrivée de la grande distribution. Les marchands de poissons, de produits frais et charcuterie accuseraient des baisses dans le chiffre d’affaires. «Pratiquement, tous les commerces qui ont une chaîne de froid se plaignent de la concurrence de Marjane, Aswak Assalam et Métro», précise la CCIS. A Béni Drar, point noir et duty free informel à ciel ouvert, 160 magasins sur 600 ont fermé cette année.
Par ailleurs, et chiffres à l’appui, selon la CCIS, Marjane répertorie plus de 12.000 articles avec seulement une quinzaine de fournisseurs de la région. «Notre rôle est de promouvoir les produits locaux et les intégrer dans le circuit de la grande distribution», tient à préciser Driss Houat.
Mais la grande distribution a aussi le mérite de pousser le petit commerce à se restructurer, consent en même temps le président de la CCIS.Amin RBOUB pour L’Economiste
Allah exalté soit-Il dit : [ [Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière. ] (An-Nour : 40)
La Vérité Scientifique:
L’encyclopédie britannique dit : « Comme l’on peut le constater à partir des images satellitaires, le plus souvent, les mers et les océans profonds sont couverts de nuages opaques peu translucide. Ces nuages reflètent une grande partie de la lumière du soleil dont ils ne laissent passer qu’une petite partie. Quant à la quantité de lumière qui réussit à passer à travers ces nuages, elle est en partie reflétée par les eaux de la mer et en partie absorbée par la mer. La quantité de lumière absorbée par la mer s’amenuise au fur et à mesure que l’on va en profondeur, créant un certain degré d’obscurité qui prévaut jusqu’à deux cent mètres de profondeur. L’obscurité prend de l’ampleur après 1000 mètres de profondeur jusqu’au point qu’il n’y ait plus de visibilité. Le Disque de Secchi fut le premier appareil utilisé pour mesurer la transparence de l’eau des océans.
• Les savants parvinrent à apercevoir (entre 600 et 2700 mètres de profondeur) des poissons qui voyaient et attrapaient leurs proies à l’aide d’organes lumineux.
• A la fin du dix-neuvième siècle et au début du vingtième siècle, surtout après l’utilisation des appareils photographiques développés dans les années trente, les savants utilisèrent des cellules électroluminescentes qui permirent la découverte de forts courants dans les mers profondes. L’encyclopédie britannique dit : « L’homme ne prit connaissance du phénomène des vagues internes des mers profondes que 100 ans jadis. Ces vagues internes naissent entre deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la pression, de la chaleur, du flux et du reflux et de l’impact du vent. A l’interface des deux niveaux de densités différentes, là où il y a la plus basse température, se forment les vagues internes qui séparent les eaux chaudes de surface des eaux froides des profondeurs. Ces vagues internes qui se forment à l’interface de deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la salinité et de la température, ressemblent fort bien aux vagues de surface quoiqu’il soit difficile de les apercevoir de la surface de l’eau. Par ailleurs, la formation de ces vagues internes nécessite une énergie qui serait en mesure de faire avancer un bateau. Mais l’on trouve souvent des bateaux qui n’arrivent plus à avancer après s’être retrouvés dans une zone d’eau stagnante dont le mérite de la découverte revient au docteur suédois Van W. Ekman au début du vingtième siècle.Aspect Miraculeux :
L’homme a longtemps cru à des légendes qui avaient trait à la mer et aux océans. Les marins n’avaient pas alors d’informations scientifiques réelles concernant les mers profondes. Car il y avait si peu d’informations sur les courants maritimes. Ainsi, les légendes purent s’approprier des eaux stagnantes que les bateaux échouent à traverser. Les anciens romains crurent alors qu’il y avait des poissons suceurs dotés de vertus magiques qui causent l’immobilisation des bateaux. Bien que ces anciens savaient l’impact du vent sur les vagues et les courants de surface, il leur était très difficile de savoir quoi que ce soit sur les vagues internes des mers profondes. L’histoire de la science démontre que les études océanographiques n’ont vraiment connu leur essor qu’au début du vingtième siècle et précisément après l’invention des appareils adéquats pour ce type d’études minutieuses. L’océanographie moderne a donc réussi à percer les mystères des mers profondes et des océans en découvrant deux phénomènes importants qui sont d’une part, l’obscurité des mers profondes et d’autre part, les mouvements des vagues internes. Le verset coranique cité plus haut fait allusion à ces deux phénomènes de façon explicite : Ce verset indique les ténèbres des mers profondes en qualifiant la mer de profonde et en affirmant que l’obscurité qui y règne est superposée. Les exégètes disent à ce propos que les ténèbres en question sont l’ensemble des obscurités des nuages, des vagues et de la mer. Ténèbres qui privent de la vue quiconque y plonge. Les nuages condensés qui sont au-dessus de ces mers reflètent une partie de la lumière du soleil tout comme les vagues de surface reflètent une autre partie de la lumière du soleil. Après quoi les eaux absorbent les couleurs du spectre qui proviennent du soleil, couleur après couleur jusqu’à ce que ces couleurs s’effacent complètement. Puis vient le rôle des vagues internes qui plongent les mers profondes dans une obscurité si noire que même l’on ne pourrait y voir sa propre main. L’expression coranique [Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres] décrit minutieusement la réalité des mers profondes. D’autre part, il faut noter que les poissons de ces mers profondes ne sont pas dotés d’yeux mais plutôt d’organes lumineux dont Allah les a dotés pour éclairer leurs routes. Raison pour laquelle, Allah exalté soit-Il dit dans le verset mentionné plus haut : [Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière]. Ce même verset fait allusion aux vagues internes en ces termes : […sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues…] Ce qui veut dire que la vague interne est au dessus de la mer profonde. Les océanographes corroborent cela en affirmant que la mer profonde est différente de la mer de surface en ce sens que des vagues autres que les vagues de surface se forment à l’interface des deux mers. Ce que l’on ignorait cent ans auparavant. Le Coran a mentionné ces réalités scientifiques étonnants quatorze siècles jadis. Qui a pu communiquer ces informations à Mohammad ? Il va de soi que Seul Allah exalté soit-Il a pu le faire !
Allah exalté soit-Il dit : [ N’avons-Nous pas fait de la terre une couche, et (placé) les montagnes comme des piquets] (An-Naba’: 6-7)
La Vérité Scientifique:
L’on ignorait tout jadis des montagnes excepté le fait qu’elles sont des masses rocheuses élevées au-dessus de la surface de la terre. Cette définition resta de mise jusqu’à ce que Pierre Bouguer signale en 1835 que les forces gravitationnelles enregistrées de la chaîne montagneuse des Andes sont beaucoup inférieures à ce à quoi l’on pourrait s’attendre concernant une si immense masse montagneuse. Raison pour laquelle, Pierre Bouguer affirma la forte probabilité de l’existence d’une plus grande masse de la montagne enfouie sous terre. Ce qui expliquerait le déséquilibre de la gravitation. Au milieu du dix-neuvième siècle, George Everest signala un déséquilibre dans les résultats de mesure de la gravitation des montagnes de l’Himalaya, et ce, en deux endroits. Ne pouvant pas expliquer ce phénomène, Everest lui donna comme nom « L’énigme de l’Inde ».En 1865, George Airy déclara que toutes les chaînes de montagnes sur terre sont des masses flottantes sur une mer de matières fondues sous l’écorce terrestre. Il ajouta ensuite que ces matières fondues sont plus denses que la matière de la montagne. Raison pour laquelle il est irréversible que les montagnes s’enfoncent dans ces matières fondues qui ont une très forte densité, et ce, afin de maintenir leur position. Ainsi, la géologie découvrit-elle petit à petit que l’écorce terrestre est constituée en fait de plaques lithosphériques et que ces grandes montagnes flottent sur une mer de roches molles d’une forte densité. La géologie découvrit aussi que les montagnes ont des racines qui les aident à flotter et à stabiliser les plaques afin qu’elles ne subissent aucun déséquilibre. Le géologue Van Anglin dit à la page 27 de son ouvrage « Géomorphologie », publié en 1948 : « L’on comprend maintenant qu’il est nécessaire que chaque montagne sur terre doit avoir une racine sous terre. » Quant à la fonction de la montagne dans le raffermissement de l’écorce terrestre, elle fut corroborée par le principe de « L’équilibre hydrostatique de la terre » comme cela fut affirmé par le géologue américain Dutton en 1889 qui dit que l’enfoncement des massifs montagneux dans la terre va crescendo avec la hauteur des montagnes. La réalité des plaques lithosphériques qui fut établie en 1969 montre que les montagnes maintiennent l’équilibre de chacune des plaques lithosphériques.
Aspect Miraculeux:
Alors que l’homme pataugeait encore dans une ignorance de la réalité des montagnes qui resta de mise jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle, le Saint Coran affirma dans les versets ci-dessus que les montagnes sont des piquets du point de vue de leur forme et de leur fonction. Et de nos jours, la véracité de cette comparaison coranique minutieuse fut démontrée. Etant donné que le piquet est formé d’une part, d’une partie saillante au-dessus de la surface de la terre, et d’autre part d’une partie enfoncée dans l’écorce terrestre et qui a pour fonction de raffermir ce qui est accroché au piquet. De même, les montagnes ont une partie saillante au-dessus de l’écorce terrestre et une autre partie enfoncée dans la terre et dont l’enfoncement va crescendo avec la hauteur de la montagne. Il est utile de noter que la fonction des montagnes est la stabilisation des plaques lithosphériques qu’elles empêchent de connaître un quelconque déséquilibre susceptible d’être occasionné par la couche fondue qui est sous les montagnes. Ainsi, devint-il explicite que cette parole est la parole d’Allah exalté soit-Il qui a créé les montagnes et les univers. Allah exalté soit-Il dit à cet effet: [Ne connaît-Il pas ce qu’Il a créé alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur.] (Al-Molk :14)
mais une chose est sûr les Rajaouis ne sont pas premiers pour rien vraiment ils pratiquent un très bon football pour moi ce nul est un bon résultat vu l’équipe qui était en face en fait je connais des gens qui ont fait le déplacement de Saidia à oujda pour encourager la Mouloudia PDT_Armataz_02_02