Résultats de la recherche sur 'Il etait une fois'

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15 réponses de 376 à 390 (sur un total de 770)
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  • akhamoun
    Membre

    Bonsoir tout le monde. Personnellement, je pense que ce pauvre type, Lee Murray, n a rien à voir dans cette histoire, un type avec un tel caractère, une* tel parcours, une telle mentalité, je ne pense pas qu’il soit derrière toute l’opération. Apparemment, on cherche à faire ruiner sa carrière en tant que sportif, et on essaie d’ancrer cette image des marocains d’ailleurs, une image, qui, ne cesse à chaque événement d’être tachée et bousculeée. En face de nous un type normal, du genre qui se donne au sport et à la vie du show et loin d’être quelqu’un qui soit derrière une bande de voyous.
    Je pense que si par hasard Lee se trouva mélé de loin ou de près à cette affaire c’est parce qu’il y était par erreur.
    d’ailleurs la question que je poserai à la fin, pourquoi dans cette affaire on n’ a pas laissé l’accusé s’exprimer une seule fois? pourquoi la justice britannique le poursuivait jusqu’au maroc? s’agit il d’un simple accusé ou bien d’une personne melée à des affaires plus délicates qu’une somme d’argent volée et surlaquelle la dite entreprise touchera son assurance?!!

    #259055
    touria016
    Membre

    Pour Scania Tolpine, je vais commencer par un bref témoignage d’une ancienne détenue Mahia Odeh, du centre de détention de Huwarra, en novembre 2004 :

    « La chambre dans laquelle j’étais détenue avait l’air abandonné et le matelas était mouillé et sale ; il n’y avait pas d’eau et quand j’en ai demandé, un des soldats a pissé dans une bouteille et me l’a apportée pour que je boive. La nourriture était horrible ; elle était couverte de mouches, la quantité était insuffisante et il n’y avait ni fruits ni légumes. La ventilation était mauvaise, les fenêtres cassées. Il m’était interdit de sortir, et les toilettes étaient très loin du lieu d’incarcération. »

    Ensuite, voici :

    Le contexte :
    Les problèmes que les Femmes prisonnières palestiniennes subissent datent de longtemps. Ils ont commencé dès le début de l’occupation de la Palestine par les Israéliens. Les prisons israéliennes ont depuis toujours attesté d’arrestations et de tortures des Palestiniennes activistes en résistance à l’occupation. Beaucoup de prisonnières palestiniennes ont été arrêtées à cause de leur parenté avec des personnes « recherchées » par la Sécurité israélienne, et beaucoup sont arrêtées afin d’exercer une pression sur leurs époux en train de subir une interrogation.

    Le nombre total des prisonnières a considérablement augmenté ces deux dernières années ; en avril 2004, quatre-vingt-une femmes étaient emprisonnées, dès 2006 il y avait cent vingt femmes dans les prisons israéliennes. Aujourd’hui, il y a cent vingt-deux femmes incarcérées ou attendant leur procès dans les prisons de Telmond et de Neve Terza.

    Ceci est la première fois en 20 ans que le nombre des prisonnières palestiniennes a atteint un tel chiffre.

    Parmi des femmes actuellement incarcérées dans les prisons israéliennes :
    • trois femmes sont des détenues administratives,
    • dix-sept sont des mères qui totalisent 58 enfants,
    • seize parmi elles avaient moins de 18 ans quand elles furent arrêtées,
    • sept ont 18 ans ou moins : cinq parmi elles ont moins de 18 ans, la plus jeune a 14 ans.

    Trois parmi ces femmes ont été arrêtées pendant leur grossesse et ont été obligées d’accoucher dans l’hôpital de la prison.

    Une de ces femmes, Manal Ghanem, (30 ans), du Camp de réfugiés de Tulkarem, a quatre enfants, et était obligée d’accoucher de son fils Nour dans la prison. On l’a séparée de son fils le 5 novembre 2006. Le fils de Manal est actuellement pris en charge par son père et sa tante Areej ; le père de Nour l’a amené à l’hôpital où les médecins ont trouvé qu’il souffrait d’un manque de vitamines essentielles et de calcium.

    La campagne pour la libération de Manal de la prison de Ramaleh où elle est incarcérée continue.

    Samar Sabih, de Tulkarem, a été arrêtée le 29 septembre 2005. Elle était dans le septième mois de sa grossesse quand elle a été arrêtée ; elle aussi fut obligée d’accoucher de son fils Bara pendant son incarcération.
    Tout comme les autres prisonnières arrêtées pendant leur grossesse, Samar n’a pas reçu la moindre nourriture supplémentaire pendant ses deux derniers mois de grossesse et actuellement n’a pas assez de viande et de légumes pour une femme allaitante. Les autres prisonnières partagent leurs rations avec elle malgré le fait qu’elles n’ont des légumes et des fruits que deux ou trois fois par semaine et en très petite quantité. C’est aussi le cas pour le lait et les produits laitiers. L’époux de Samar est en détention administrative dans une prison israélienne militaire, ce qui fait qu’elle ne peut pas le voir.

    #259405
    houmidi59
    Participant

    @boudir1 wrote:

    oui,mais en prenant le double 😀

    ça m’est arrivé une fois je te le jure,je croyais que j ‘allais mourrir.hamdoulah c’ était une occasion pour s’ accrocher à l’ Islam hamdoulah.

    tu peux voter Sarkozy ou Bush en étant en France ou USA??????

    NON JE PEUX MAIS JE NE VEUX PAS

    PEUX TU ECRIRE UN TEXTE SANS FAIRE AUCUNE FAUTE D’ORTHOGRAPHE ?

    PS :j’ai jamais vu quelqu’un faire tant de fautes dans la moindre des petites phrases….Pas possible!!!!!!

    oualid23
    Participant

    @Cerise wrote:

    iwa syadna dernalkom fin tchikho alors madironnach lfoda llah yar7am lwalidin !!! ( je suis serieuse )

    dsl cerisa pour ce qu’on a fait mais on était dans le sujet pé on s’est dévié un petit chwiya bon pour redresser le sujet est ce que vous saviez que le mot femmes est cité 48fois dans le coran et le mot hommes 48 fois également donc c’est un signe d’égalité ??

    boudir1
    Membre

    @samir.m wrote:

    oui mais ce qu’on ne dit pas c’est qu’il a ete arreté a casablanca a l’hotel sheraton par les services marocains mais sous commandement british, et que sans ces derniers les marocains n’aurait rien su .
    et puis l’accusation d’avoir piqué de l’argent dans une villa de rabat n’est que mensonge puisque il était pisté depuis 2004 par les services britannique . c’est apres avoirs su qu’il avait raflé une grosse somme que les marocains ont sorti de fausse accusations pour le maintenir sous les verrous a sale et jouer la carte de la nationalité .
    qui sait peut etre un marché a ete conclu le partage du butin contre une protection légale !!!!
    comme quoi la nationalité marocaine nous sert bien parfois !!!!

    moi aussi je pensse la meme chose car si les malfeteure etai des pauvre il seront remis au otorite britanique avec un the a la mante.
    ou bien si usa demende des nouveaus locataire pour gwantanamo…. ❗

    samir.m
    Membre

    oui mais ce qu’on ne dit pas c’est qu’il a ete arreté a casablanca a l’hotel sheraton par les services marocains mais sous commandement british, et que sans ces derniers les marocains n’aurait rien su .
    et puis l’accusation d’avoir piqué de l’argent dans une villa de rabat n’est que mensonge puisque il était pisté depuis 2004 par les services britannique . c’est apres avoirs su qu’il avait raflé une grosse somme que les marocains ont sorti de fausse accusations pour le maintenir sous les verrous a sale et jouer la carte de la nationalité .
    qui sait peut etre un marché a ete conclu le partage du butin contre une protection légale !!!!
    comme quoi la nationalité marocaine nous sert bien parfois !!!!

    #255005
    touria016
    Membre

    @compitieux wrote:

    salam
    tout d’abord, il vaut mieux ne pas poster tout le texte quand vous le copiez d’un autre site, ça peut ne pas plaire aux propriétaires, toutefois tu peux lancer la problématique à partir du début du document et poster le lien de la source
    (c’était un avis, tout en ignorant comment ça se passe ici)

    bref .. pour ne pas virer trop loin et cela sans lire le tout, je dirai que le mariage est une fatalité, on est loin de la constitution de concubinage, si tous les jeunes auraient les moyens personne ne resterait célibataire hein?

    Le Prophète a incité sa Communauté au mariage, disant : « Mariez-vous, je serai fier de votre nombre devant les autres nations ». Il dit également : « Jeunes gens, quiconque parmi vous en a les moyens, qu’il se marie. Cela lui permet de rabattre le regard, et de préserver sa chasteté. »

    Alors certes, pas tout les jeunes n’ont les moyens de se marier, mais encore faut-il en mon sens les distinguer de ceux qui ont les moyens, mais qui ont en vue d’autres préoccupations qu’un engagement sollennel : le mariage.

    @ Tima : je regrette que t’aies pas mis des références à l’islam, paske avant tout ces facteurs dits économoqies, sociaux…c’est avant tout par rapport à ca, qu’on doit en tirer les leçons.

    #261049
    houmidi59
    Participant

    *Les habitants d’Oulad Slimane :

    La première fois que je suis venu à Oulad Slimane , j’ai été bien accueilli par les gens.Aussitôt, j’ai remercié ma bonne étoile…J’étais optimiste.
    Après , j’ai dû changer d’idée sur ces « gars ». A présent , je les vois d’une autre manière et je crois que la première était fausse.
    Ces gens font le chien couchant à tout étranger venant à leur bled.Ils vous sourient , vous parlent de votre santé, vous demandent si vous avez besoin de quelque chose , vous disent si vous vous êtes habitués chez eux……mais en réalité , ils se préoccupent aussi bien de vous qu’un éléphant d’une mouche !
    Au début, on nous invitait , on nous apportait des produits de leurs terres ; deux mois plus tard, tout semble diminuer:les invitations sont rares , et on apporte seulement le pain.
    Si vous avez l’intention d’aller à Taourirt , « ils » ne vous prendront pas gratis , même si les places sont vacantes.
    Néanmoins, on exclue quelques hommes qu’on peut qualifier de »braves » .Parmi eux , il y a un certain Salem.Il a un camion.Il est toujours prêt à rendre service.
    Les enseignants sont bien considérés par lui..D’ailleurs , s’il vous arrive d’avoir une discussion avec lui, c’est quelqu’un de sérieux qui ne vous flatte pas.Bref, c’est l’Homme d’Oulad Slimane.

    PROCHAIN TITRE :les élèves d’Oulad Slimane

    #255004
    compitieux
    Membre

    salam
    tout d’abord, il vaut mieux ne pas poster tout le texte quand vous le copiez d’un autre site, ça peut ne pas plaire aux propriétaires, toutefois tu peux lancer la problématique à partir du début du document et poster le lien de la source
    (c’était un avis, tout en ignorant comment ça se passe ici)

    bref .. pour ne pas virer trop loin et cela sans lire le tout, je dirai que le mariage est une fatalité, on est loin de la constitution de concubinage, si tous les jeunes auraient les moyens personne ne resterait célibataire hein?

    #261048
    compitieux
    Membre

    salam
    encore une fois merci pour ces témoignages abdelhamid
    t’as osé rédiger cette chronique en dépit de l’amertume de la situation bravo!
    je m’en lasse pas! ça ne manque pas d’humour … j’aime!
    ton dernier volet a évoqué pour moi le souvenir d’une semaine passée au creux des montagnes du rif où mon père était directeur d’une école primaire, au milieu d’un groupe d’instituteurs au potentiel remarquable, mais oubliés dans ce néant ingrat
    c’était très difficile pour eux, ils vivaient le jour le jour, entre bricolage et invention … on avait tout vu! d’un post radio alimenté à l’énergie solaire à un appareil photo doté de longue-vue. je me souviens comme si c’était hier.

    #261153

    En réponse à : TEST :quel monstre es -tu ?

    houmidi59
    Participant

    NORANE A DIT:
    Mais franchement y’en a qui méritent d’etre transformés en crapauds [ pas vous bien sûr Mr Houmidi ]

    Je sais ma petite Norane que tu ne le feras pas même si tu as une baguette magique.Toutefois, tu as raison , certaines personnes méritent d’être transformées en crapauds voire en grtenouilles ou en escargots pourquoi pas ?
    Mais , sais tu que tu me rappelles des moments inoubliables de mon enfance.
    quand j’avais l’âge de 10 ans,j’avais l’habitude d’aller dans un champ vaste derrière la prison municipale.Dans ce champs il y avait des marécages.Aussi , au printemps, la symphonie était à son comble, bien sûr celle des grenouilles et des crapauds.
    Figure-toi que j’étais l’un des meilleurs « attrapeurs » de ces batraciens.
    Il y avait un Espagnol qui venait de temps en temps visiter les marécages .Alors ,il nous donnait 20 balles pour chaque grenouille qu’on lui apportait .Le veinard, il aimait même les tétards.
    Un jour, j’ai attrapé une grenouille aussi grosse qu’une cuisse de poulet.Le mangeur de grenouilles parût si satisfait qu’il me refila 50 balles .t’imagines:le prix de deux grenouilles et un tétard!
    Après une année , les grenouilles ont déménagé des marécages…elles ont fini dans l’estomac de l’Espagnol !
    Bien entendu, le fidèle sujet de Juan Carlos a aussi disparu et depuis on ne l’a plus revu.

    L’ANNEE D’APRES , JE ME SUIS RETOURNE VERS LES PAPILLONS ET CA C’EST UNE AUTRE HISTOIRE.

    #260741

    En réponse à : TEST :quelle étoile es-tu ?

    touria016
    Membre

    @houmidi59 wrote:

    DE RIEN , NADIA83.
    LE PROCHAIN TEST :quel monstre es tu ?
    NE VOUS MEPRENEZ PAS , C’EST UN AUTRE TEST .LA DERNIERE FOIS LE TEST ETAIT :ES TU UN MONSTRE?
    BIEN ENTENDU, ON A CONCLUE QUE DANS CHACUN DE NOUS , IL Y A UN MONSTRE.
    POUR CEUX QUI CROIENT QU’EFFECTIVEMENT QU’ILS SENTENT DANS LEUR FORT INTERIEUR , UN MONSTRE HABITER EN EUX ; ET BIEN, GRACE A CE TEST , ILS VONT SAVOIR LA NATURE DE CE MONSTRE.
    RENDEZ VOUS CE SOIR ET SOYEZ NOMBREUX A PARTICIPER .

    Ok, chef. 😀

    #260740

    En réponse à : TEST :quelle étoile es-tu ?

    houmidi59
    Participant

    DE RIEN , NADIA83.
    LE PROCHAIN TEST :quel monstre es tu ?
    NE VOUS MEPRENEZ PAS , C’EST UN AUTRE TEST .LA DERNIERE FOIS LE TEST ETAIT :ES TU UN MONSTRE?
    BIEN ENTENDU, ON A CONCLUE QUE DANS CHACUN DE NOUS , IL Y A UN MONSTRE.
    POUR CEUX QUI CROIENT QU’EFFECTIVEMENT QU’ILS SENTENT DANS LEUR FORT INTERIEUR , UN MONSTRE HABITER EN EUX ; ET BIEN, GRACE A CE TEST , ILS VONT SAVOIR LA NATURE DE CE MONSTRE.
    RENDEZ VOUS CE SOIR ET SOYEZ NOMBREUX A PARTICIPER .

    #204800
    nizarovicia
    Membre

    tout d’abord je vous explique la raison pour laquelle j’ai créer ce sujet de discution! tout d’abord parceque je l’ai vécu en temp réel quand j’ai rencontré une fille ateinte de cette maladie et qui souffre actuelement! « pour savoir son histoire vous pouvez lire « Rencontre avec une schizophrène , il y’a 4 chapitres c’est sur « café oujdacity même ». deuxiemement car j’ai un ami qui m’est vraiment important car c’était mon ami intime dans l’enfance est qui est atteint aussi de cette maladie et c’est domage que seulement aprés 5ans de souffrance que ses parentsont su qu’il est ateint de schizophrènie!!.

    iwa rah l’article twil sabrou m3ana we 9raweh ghadi yacherahelkom bezaf dyal lehwayej li kanou jayinkom bizzare!!
    ngolkom haja oukhra « al mardi nafssani machi hbil wa inama marid nafssani » donc je vous ai donné cet article pour vous expliquer le tout sur cette maladie et vous corriger les fausses idées.

    bonne lecture:

    Sortir la schizophrénie de l’ombre:

    que cache réellement ce nom inquiétant ? Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? je vous fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.

    Reconnaître les signes:

    La schizophrénie débute généralement à l’adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées… Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu’il ne s’installe. Découvrez les symptômes de cette maladie.

    Il n’y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :

    . L’âge de début, entre 15 et 35 ans ;
    . La diminution de l’élan vital ;
    . La dissociation mentale ou la discordance : c’est une rupture de l’unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d’une charge émotionnelle ;
    . Une inhibition de l’activité mentale (perte d’intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.

    La schizophrénie peut débuter de manière très différente d’une personne à l’autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des « états schizoïdes » qui permettent encore à l’individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L’entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une « crise d’adolescence ».

    Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n’a plus d’élans affectifs, il s’isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.

    Il arrive que l’adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu’il s’attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se « rassembler ». Mais il apporte dans cette foi une confusion d’esprit ou un rationalisme systématique jusqu’à l’absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.

    Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s’installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l’impression d’être dédoublés.
    Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n’achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d’une marionnette. Il croit qu’on lui dérobe sa pensée, qu’il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.

    Quelles sont les causes ?
    La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L’origine du trouble serait donc multifactorielle.

    Quels sont les traitements ?
    Il est souvent nécessaire d’hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d’aider le schizophrène.

    Reconnaître la schizophrénie
    Comme de nombreux troubles mentaux, la schizophrénie est une maladie difficile à identifier. C’est souvent à l’entourage de reconnaître le trouble et d’en parler. Mais de nombreuses idées reçues circulent sur les signes et les manifestations de ce problème. Doctissimo fait le point sur les symptômes d’une maladie très étudiée mais encore mal connue.

    La schizophrénie est un trouble qui touche l’organisation de la pensée. Ses manifestations sont très diverses. Les principaux symptômes sont les suivants :

    Des troubles de la pensée : Les pensées sont désorganisées, incohérentes, inadaptées, accélérés ou ralenties… Le malade ne parvient pas à hiérarchiser l’information et synthétiser ce qu’il veut dire.

    Des délires : Les idées délirantes sont le fait que la personne croit des choses fausses. Cela peut revêtir différents aspects : croire que l’on est la réincarnation d’une personne célèbre, que l’on parle aux extraterrestres, que l’on est victime d’un complot… Il est extrêmement difficile de convaincre le schizophrène que ses idées sont fausses.

    Des hallucinations : Il existe principalement des hallucinations auditives (entendre des voix ou des sons inexistants). Elles sont présentes chez 2/3 des patients. Mais il peut également y avoir des fausses perceptions au niveau sensoriel (impression d’être touché quand il n’y a personne par exemple), visuel, olfactif ou gustatif.

    Des émotions négatives : On rencontre souvent une perte d’intérêt, un manque de volonté, une absence de motivation… Le malade se referme sur lui-même. Il peut y avoir également des émotions qui surviennent de manière inappropriée (rire sans aucune raison ou lors d’un événement dramatique par exemple).

    Des troubles du comportement : Le malade peut avoir des moments d’agitation aiguë ou au contraire des états de stupeur. Il va avoir des attitudes ou des mouvements souvent exagérés. Dans les cas de crises aiguës, des agressions mineures et des actes violents peuvent survenir, mais restent rares. Des automutilations peuvent également survenir et le risque de crise suicidaire existe.

    Tous les malades n’expriment pas tous ces symptômes, et l’intensité varie selon les personnes. C’est d’ailleurs pourquoi on parle de schizophrénies au pluriel.

    De nombreuses idées fausses
    De nombreuses idées reçues circulent sur la schizophrénie. Ainsi, on croit souvent que les malades souffrent tous d’un dédoublement de la personnalité. Or ce n’est généralement pas le cas. Il est également courant de penser que le schizophrène est violent et peut devenir dangereux pour son entourage. Pourtant, les problèmes d’agressivité surviennent rarement, et uniquement lors de crises aiguës. En outre, il est important de ne pas oublier que la schizophrénie reste une maladie, qui nécessite à ce titre une prise en charge médicale, et que la seule volonté du patient ou son changement d’environnement ne suffiront pas à résoudre les troubles.

    ECOUTER VOS PROCHES OU VOS AMIS ATEINTs DE CETTE MALADIE:

    Quelques conseils pour l’entourage
    Quelle attitude adopter avec une personne schizophrène ? Comment gérer la prise des médicaments ? Que faire en cas de crise ? Autant de questions auxquelles les proches des malades sont régulièrement confrontés. Doctissimo vous aide au quotidien.

    La famille et l’entourage représentent souvent le principal soutien des personnes schizophrènes. Ils jouent un rôle important pour aider le patient dans sa vie quotidienne. Mais ils doivent aussi savoir repérer les signes avant-coureurs d’une rechute et pouvoir faire face à des épisodes aigus.

    Créer un environnement stable
    L’attitude à adopter dépend du stade de la maladie et de l’état d’angoisse ou d’agitation de la personne. Lors des poussées, il est important d’assurer l’environnement le plus stable possible au schizophrène. Les disputes ou conversations trop animées doivent être évitées en sa présence. Au contraire il faut s’adresser à lui calmement et avec des mots simples, des phrases courtes, en expliquant simplement ce que l’on fait ou ce que l’on va faire.

    Il est indispensable d’essayer d’établir quelques règles concernant par exemple l’hygiène ou les cigarettes, et d’essayer de rythmer la journée par des activités routinières (toilette, repas, promenades…).

    Discuter sans imposer
    Ces règles faciliteront la vie en famille et aideront le malade à se structurer. Si ces consignes ne sont pas respectées, il faut les rappeler et essayer de discuter avec la personne de la manière dont elle préférerait que les choses soient organisées, sans le critiquer, ni lui donner le sentiment de lui imposer des actes. La préférence doit être donnée aux encouragements, plutôt qu’aux remontrances. Enfin il faut éviter des sollicitations excessives, par exemple, ne pas insister pour un repas au restaurant ou avec des invités, et lui laisser toujours une possibilité de se retirer au calme. Progressivement il sera possible d’encourager la participation aux activités quotidiennes de la maison ou aux loisirs et d’aider la personne à retrouver une certaine autonomie.

    A ce stade la vigilance s’impose encore. Il faut lui exposer clairement les risques de l’alcool, de la drogue et de la conduite automobile sous traitement et repérer des signes de dégradation qui pourraient suivre un abandon du traitement.

    Rester à l’écoute
    L’entourage joue un rôle important dans le respect des prescriptions et des rendez-vous médicaux. Si une autre personne, au domicile, prend un traitement, il peut être utile d’instaurer un moment en commun pour la prise des médicaments, afin de diminuer les risques d’oubli ou de négligence. Il est essentiel de rester toujours à l’écoute des plaintes de la personne schizophrène, de ne pas nier ni minimiser ses peurs ou ses doléances. Les effets secondaires des médicaments peuvent être pénibles. Certains sont transitoires, disparaissant après quelques jours de traitement, d’autres peuvent être corrigés par des médicaments ou doivent conduire à modifier le traitement. Enfin s’il faut s’efforcer de convaincre le malade de prendre ses médicaments, il ne sert à rien de le lui ressasser et il ne faut surtout pas essayer de l’obliger à les prendre, ni lui administrer à son insu.

    Que faire en cas de crise ?
    Lors d’un épisode aigu, le schizophrène est souvent agité, angoissé, en proie à des hallucinations ou à des idées délirantes. Il faut tout faire pour éviter de l’effrayer davantage. Ainsi est-il préférable d’être seul auprès de lui, même si des personnes sont dans une pièce voisine, et d’essayer de le rassurer en lui parlant doucement de la manière la plus normale possible. Mieux vaut ne pas le toucher, le fixer des yeux ou être trop proche de lui, ni barrer les issues, pour éviter qu’il ne se sente menacé et pour vous protéger vous-même. Il faut lui témoigner de l’empathie en lui demandant ce qui ne va pas ou en commentant ce qu’il ressent (« Tu as peur ? »), sans multiplier les questions ou lui faire de discours. Les formules les plus simples, répétées de manière identique, risquent moins de le déstabiliser. Il faut tenter ensuite de le convaincre d’aller à l’hôpital ou dans un centre d’accueil et de crises (ouvert 24 h sur 24), ce qui n’est pas toujours facile. Tout sera plus simple si vous vous êtes renseigné auparavant auprès des médecins sur la conduite à tenir et les structures d’accueil proches de chez vous.

    A qui demander de l’aide en cas de crise ?
    Cependant il n’existe pas de recette miracle face à ces crises, très impressionnantes pour l’entourage, qui se trouve souvent particulièrement seul dans ces moments. Obtenir la visite d’un psychiatre à domicile est, en règle générale, impossible. Les pompiers, voire le SAMU, accepteront rarement de se déplacer pour ces personnes agitées. Le médecin traitant ou une autre personne avec qui le malade a une relation de confiance pourront être d’une aide précieuse. Mais la police est parfois le seul recours lorsque aucune communication n’est possible et que la personne est violente. C’est une solution traumatisante, à n’utiliser que dans les cas extrêmes. Eventuellement il faudra réaliser une hospitalisation à la demande d’un tiers (si le malade a besoin de soins et n’est pas en état de donner son consentement) ou une hospitalisation d’office ( en cas de danger pour l’ordre public ou les personnes). Les services dits « de secteur psychiatrique », c’est-à-dire accueillant principalement les patients habitant dans un secteur géographique donné, sont susceptibles de recevoir à tout moment ces patients en crise.

    Déceler les signes de récidive
    Des modifications du comportement doivent alerter sur la possibilité d’une récidive et conduire à demander rapidement un avis médical. Il s’agit souvent des mêmes signes qui ont marqué le début de la maladie : repli sur soi, insomnie, hallucinations, pensée incohérente, laissé-aller… Il est important de veiller à ces signes et d’expliquer au malade qu’ils doivent le conduire à consulter rapidement pour adapter le traitement.

    D’une manière générale, c’est par le fruit de sa propre expérience, en tâtonnant et en s’adaptant constamment à l’état de la personne schizophrène, que l’on finit par trouver l’attitude la plus adaptée. Cependant il est important de pouvoir bénéficier de l’expérience d’autres soignants et on peut regretter, à ce propos, le manque de soutien et de formation pour les familles.

    khokom fe lah nizar

    alakhotes harakom 3raftou wachta hiya cette maladie!! li ya3raf chi had mrid biha Y3awnou!!!

    #204793
    nizarovicia
    Membre

    Les jours se sont enfilés jour après jour, je la voyais presque chaque deux jours, et chaque deux jours je voyais en elle des choses fantastiques, une pas comme les autres, ses yeux noisettes ressemblait aux yeux de la jocande d’après ce que je voyais même si qu’a prés j’ai su que j’avais tord.
    Y’avait dans ses yeux quelque chose de formidable même disant « magique », y’avait une certaine lueur que j’ai jamais pu comprendre qu’a la fin.
    Quand elle parlait elle ne cessait de le faire et quand elle cessait de le faire elle ne reparlait pas.
    Des fois on passait des dizaines de minutes sans parler, sans ouvrir la bouche même ! Quand des fois je fixais mes yeux contrent les siennes elle me demander de les baisser sinon de regarder ailleurs car elle n’a jamais aimé qu’on la regarde longtemp.
    J’ai su plusieurs informations sur elle ! Qu’elle était docteur en chimie, qu’elle aimait trop la natation, que sa mère était « haja » et armé de 5 voyages vers la meque sans parler de son père ! Mais j’ai jamais eu l’occasion de lui demander pourquoi cette négligence de sa part.
    Des fois ont riait fort, des fois je m’amuser a la draguer alors que d’après elle , elle n’a jamais aimé d’être draguée de la part des gents.
    Mais la plus part du temps on parlait de la vie et des symptômes de al détérioration des bons principes chez la plupart des gents.
    J’ai jamais eu l’occasion de lui parler d’autre chose, jusqu’à ce dernier samedi que j’ai cru comme premier samedi d’une vie pleine de bonheur et de joie car j’avais insisté que ça soit le jour dans lequel je vais lui déclarer ma demande, la demander en mariage car c’est celle que je cherchais depuis longtemps !!!
    On ai aller prendre un café chez «alexandria » ça faisait vraiment froid, on est entré. En face de nous se trouvait un fille en rouge, pull-over rouge et pantalon noir, une fille maigre, peu moche, elle a pris une cigarette de son sac, puis c’est dirigé vers nous :
    Elle : vous avez un briquet ?
    HOUDA : Non demande au serveur certainement il en a un.
    J’ai suivi de mes yeux cette fille se diriger vers le serveur, allumant sa cigarette puis revenir vers sa place, puis je me suis retourné vers HOUDA. Ce que j’ai vu était vraiment surprenant !! elle regardait la fille avec des yeux illuminants, sa bouche tremblante , un petit bout de sa langue sortant entre ses lèvres comme si pour goûter quelque chose !! J’ai connu ce regard ! Un regard existant :
    Moi : pourquoi tu regarde cette fille avec cette façon ?
    HOUDA : qui moi ….. « Pour la première fois j’ai vu dans ses yeux une peur de quelque chose »
    Moi : oui toi !!
    HOUDA : oublie ! Dis moi t’a jamais fumé de ta vie ?
    Moi : pourquoi cette question ?
    HOUDA : une simple question !! Répond moi tout simplement !!
    Moi : j’ai fumé avants et j’ai arrêté et toi ?
    HOUDA : n..ooooonn !!! T’est fou ou quoi ?
    Moi : mais cette fille n’est pas folle !! Elle fume et c’est son plein droit !! Y’a personne qui pourra lui dire non !! C’est tout a fais normale si tu fume !! C’est ton droit ! T’es libre de faire ce que tu veux !! It’s freedom !!!
    HOUDA : et si je fumais par exemple !! Tu ne vas pas changer d’idée sur moi ?
    Moi : bein oui !! Jamais de la vie !!! Je sais bien que t’est superbe !! Fumer c’est ton droit !!
    HOUDA : je fume oui ! Mais pas beaucoup !! Juste des moments de détresse ! Par exemple maintenant je me sens mal et je veux bien avoir une cigarette !
    Moi : si t’en a pas je pourrais bien t’acquérir une boite !
    HOUDA : nooon !! J’en ai merci chéri t’est hyper gentille !! « La première chose choquante, des cigarettes et chéri !!! Je me suis trouvé fâché et vraiment fâché et prés m’exploser de nerf, malgré tout je me suis penché vers elle pour lui allumer la cigarette blonde qu’elle avait avec son propre briquet »
    Moi : puis je prendre un moi aussi !!
    HOUDA : oui bien sur !! Sers toi !! Je t’allume la tienne ! Et attention j’ai jamais allumer une cigarette a une autre personne sauf toi bébé ! « 2eme choc !! Bébé et cigarette et autres personnes mmm, ça me rendait furieux mais plus calme sur le plan visage »
    Elle a commencé à fumer sans arrêter 5 cigarettes, la lueur que j’ai vue au début est restée la même !!! Comme si elle n’avait rien faites !!!!
    Moi : tu sais quoi y’a un beau café au boulevard zerktouni, dans lequel on sert la « CHICHA » qu’en dites vous poupée ?
    HOUDA : mmm j’adore la chicha, et je sais bien de quoi tu parles !! Allez y !!
    Du café de la chicha, je commençais à regarder ses yeux sans arrêts espérant voir un changement !! Mais aucun !! Toujours la même lueur ! Je lui ai demandé avec une vois plus calme que jamais :
    Moi : j’ai envie de boire et danser ce soir ! Qu’en dites vous demoiselle !!
    HOUDA : une soirée de mille et une nuit !!!
    Moi : oui
    HOUDA : je connais un beau cabaret se situant à la corniche ! Tu sais c’est pas chère les bières a 20 DH, une bouteille de whisky a 1000 DH mais tu va t’exploser de joie la bas !!! Mmm
    Moi : j’ai jamais bu de ma vie !!!
    HOUDA : petit bébé !! C’est vrai ? Ha haha !! Je ne te crois pas !!
    Je devenais fou !! Car avec tout ce changement de personnalité a personnalité me trouvais fous !! Ou plein d’illusions !!
    Moi : pourquoi toutes ses mensonges HOUDA ?
    HOUDA : mais je m’appelle pas houda !! T’a oublié mon prénom ou quoi ? Moi c’est « SABAH » je te l’ai dis mille fois nizar !! Mais s’il te plais n’essai jamais de m’appeler par se prénom devant les gents ! Car tout le monde m’observe !! Ils veulent tous boire mon sang !! Car je suis très belle !! Ma mère me le disait toujours !! Tu sais !! Il y’a des gents qui veulent me tuer même car je suis la plus belle !!!
    Moi : quoi ?
    SABAH : oui je te jure !!!!! S’il te plaît aide moi !! Et protége moi ! Car c’est toi que j’aime !! Je ferais de toi mon père et mon ami et mon amour.
    Je me disais tout simplement !! C’est quoi ce délire !! Elle parle sérieusement ou elle rigole !!
    SABAH : Omar s’il te plais je veux aller a la maison partons maintenant sinon je vais exploser !!
    Moi : qui Omar !!
    Mlle X : toi !!! Tu veux me tuer ou quoi !!!! Toi aussi !!!!! Laisse moi je vais partir !!
    Elle a explosé de larmes ! Elle est partie en courant ! Après je ne l’ai jamais revu qu’une seule fois avants de prendre le car vers oujda.
    Après j’ai demandé c’est quoi tout ça ! Un ami m’a répondu que c’était la maladie chronique psychique appelée : « LA SHIZOPHRENIE », après j’ai commencé a lire sur ce sujet et j’ai su que j’avais affaire a une pauvre fille atteinte de cette maladie !!!!

    Que pensez vous ?

    a vous ……………….

15 réponses de 376 à 390 (sur un total de 770)
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