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Sujet: FBI-SOURDE-COW BOY
Le FBI décide de sélectionner son agent le plus fidèle.
Après toute une série de sélections, il ne reste que 3 candidats.
Pour la finale, les 3 agents se mettent devant une grande porte et leur remettent un pistolet.
« Nous devons être surs que vous suivrez nos instructions, quelles que soient les circonstances.
Derrière cette porte, vous trouverez votre femme assise sur une chaise et vous devrez la tuer. »
Le premier dit :
« Vous n’êtes pas sérieux ? Je ne pourrai jamais tuer ma femme.
Alors, vous n’êtes pas l’homme fait pour ce travail. »
On donne au deuxième homme les mêmes instructions. Il prend l’arme et
entre dans la salle.
Tout est calme pendant environ cinq minutes, puis l’homme revient, les larmes aux yeux :
« J’ai essayé , mais je ne peux pas tuer ma femme ».
Vous non plus, vous n’êtes pas fait pour le job. »
Enfin c’est le tour du troisième. On lui donne encore une fois les mêmes consignes.
Il prend le pistolet et entre dans la salle. On entend des tirs, un bruit puis un autre. Puis on entend des cris, des coups contre les murs, des meubles qui se brisent.
Après quelques minutes, tout redevient calme.
La porte s’ouvre lentement et l’homme sort. Il s’essuie la sueur du front et dit :
« Vous auriez pu me dire que le pistolet était chargé à blanc ! J’ai dû la finir avec la chaise… »Deux hommes discutent de leurs épouses vieillissantes. L’un deux est sûr que la sienne devient sourde. L’autre type lui fait une suggestion pour tester son audition :
« Voilà ce que tu vas faire. Tu commences à 15 mètres d’elle, tu parles sur un ton normal de conversation et tu vois si elle t’entend. Sinon tu te mets à 10 mètres, puis à 8 mètres, et ainsi de suite jusqu’à ce que tu obtiennes une réponse ».
Alors, ce soir-là, elle est dans la cuisine en train de préparer le dîner, il est dans le living et il se dit à lui-même « Je suis à environ 15 mètres, voyons ce qui arrive ! »
« Chérie, qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ? »
Pas de réponse.
Alors il se déplace jusqu’au bout de la pièce à environ 12 mètres.
« Chérie, qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ? »
Pas de réponse.
Alors il va dans la salle à manger à environ 8 mètres.
« Chérie, qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ? »
Pas de réponse.
A la porte de la cuisine à environ 5 mètres.
« Chérie, qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ? »
Pas de réponse.
Alors il marche droit jusqu’à elle.
« Chérie, qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ? »
« POUR LA CINQUIEME FOIS, DU POULET !!!!!! »Quatre cow-boys sont en train de discuter le coup, le soir à la veillée, après
une bonne journée de convoyage de troupeau. Ils comparent les choses qui,
d’après eux, sont les plus rapides au monde.
Le premier cow-boy dit:
– Je pense que c’est la pensée, car si jamais tu te piques un doigt, ou que tu
te le brûles, la douleur te parvient immédiatement au cerveau.
Le deuxième cow-boy dit:
– Je pense que c’est le clignement des paupières le plus rapide. Parce que quand
tu lignes des yeux, tu ne t’en rends même pas compte, et rien de ce que tu vois
n’a le temps de changer.
Le troisième cow-boy dit:
– Pour moi, c’est la lumière. Parce que quand il y a de l’orage et que la foudre
tombe à plusieurs kilomètres de toi, la lumière t’arrive instantanément, alors
que le son met plusieurs secondes.
Enfin, le quatrième cow-boy dit:
– Eh bien pour moi, le truc le plus rapide au monde, c’est la diarrhée
mexicaine!
Les autres, en choeur:
– La diarrhée mexicaine? Et pourquoi?
Le quatrième cow-boy répond:
– Je vous explique: Il y a quelques jours, j’avais passé la frontière mexicaine et j’en avais profité pour aller boire un coup de téquila locale au saloon, puis, un peu plus tard, je m’étais arrêté dans une gargote pour manger. Là, j’avais pris du chili con carne qui avait du être réchauffé au moins deux fois depuis la veille, et quelques tacos…
A ce stade du récit, le premier cow-boy demande:
– Et alors, qu’est-ce que tout ça a à voir avec la vitesse ou la diarrhée?
Et le quatrième cow-boy reprend:
– Eh bien, un peu plus tard, alors que j’étais dans mon lit à l’hôtel, j’ai
senti ce feu et ces horribles coliques dans mon ventre; et avant que je n’ai pu penser, ou cligner des yeux, ou même allumer la lumière…Sujet: Qui a le dernier mot ?
Il était une fois une fille qui venait d’avoir 18 ans et qui était issue d’uncouple divorcé depuis plus de 12 ans .
Le père dit à sa fille :
_ »Va porter ce chèque de pension à ta mère , dis lui que c’est le dernier
et regarde bien la tête qu’elle fera « .
Arrivée chez sa maman , celle -ci dit à sa fille :
_ »Va voir ton père , dis lui qu’il n’est pas ton père et regarde bien la tête
qu’il fera. »
Sujet: CHER LE VERT (LAKHDAR)
Cher le Vert (Lakhdar)
J’ai quitté mon pays et j’ai coupé la mer pour photographier un morceau de pain, chaque matin je vais au travail et je trouve mon patron devant moi, il me l’achété car j’arrive toujours en retard, il a monté dans ma tête, j’ai pris un batton et je donne à ses parents, je suis passé sur mon cousin LUMIERE et sa femme HEUREUSE a fabriqué le couscous la viande est allumée par le feu ici en France, mais le couscous était bon CINQ ET JEUDI SUR ELLE sait dessiner son pain, mets ton oeil sur ta mére ne la laisse pas malade cours derriére elle, voir les medecins dis à FLEURE que j’ai recu le colis est j’ai mangé toute L’ETRANGERE et dis à mon frére L’ARABE que je lui ai acheté un pantalon qui ne bois pas, j’éspere que notre dieu nous additionne dans une belle heure.Ta lettre est arrivée à moi et je l’ai attrapé. Je l’ai lue et je l’ai comprise. Depuis qu’est venue à moi, le sommeil s’est envolé de moi et mon cœur se coupe morceau, morceau. Vous êtes restés dans moi beaucoup. Je mendie dieu pour qu’il vous donne la santé et le feu, je t’informe que j’ai envoyé à toi un peu d’argent pour que tu tournes le mouvement un peu. Paie le loyer, l’eau et l’électricité qui sont sur toi et aussi celui de l’épicier. Ne frappe le calcul à rien.
Tu m’as dit que mon frère LUMIERE DE LA RELIGION est sorti de la route, dis lui que s’il se perd, qu’il attrape la terre. Il lui manque de faire une vente et un achat qui reviennent sur lui par le bien. Aujourd’hui, chacun frappe sur sa tête, il doit suivre notre parole ou bien qu’il nage dans sa mer.
Quant à ma sœur LUNE, dites lui de ne pas se dépêcher sur le mariage ceux qui sont dépêchés sont morts. Mais moi j’étais malade le mois qui est passé j’ai attrapé le lit quinze jours, les médecins m’ont cherché et m’ont enlevé le sang. Ils m’ont dit que je n’ai ni sucre ni sel, un peu de froideur. Maintenant le temps m’a passé louange à dieu.
Ici en France la vie est difficile, même si nous photographions l’argent le temps n’est pas jusqu’à là bas. Il n’y a que cours après moi je cours après toi, et celui qui se néglige se rase. Mais voilà je travaille dans une société de l’éducation des poules. Ils m’ont ajouté dans le salaire et m’ont marqué dans le coffre de la garantie sociale. Sois seulement bon et n’aies pas peur.
Je vais venir au Maroc avant la fête de la naissance. Soyez prêts pour que je vous amène frapper un tour à Marrakech et voir la mosquée de la fin du monde, les sept hommes et ajoute et ajoute.
Quant à ma cousine LA GAGNANTE, dit lui de dormir sur son bras droit, dis que je rentre au mois de juillet, on frappe le papier et l’entrée en une seule fois. Il faut dire à ma tante la grande qu’elle ramasse sa bouche parce que je suis un four et capable d’un quartier, sinon, je jette sa fille et je part chercher une mieux que la gagnante. Et comme on dit, celui qui te cache par un fil, cache le par un mur.Nous avions une équipe de foot-ball assez extraordinaire.Je me souviens qu’aucun de nous n’avait de survêtement de sport , et rare ceux qui avaient des souliers.
Nous avions à peu près le même âge ; le plus grand de nous ne dépassait pas quinze ans . Notre entraineur lui, avait au moins dix ans de plus que notre cadet .C’était un individu qui mentait comme il respirait .Il ne cessait de nous raconter ses prouesses :ses bagarres au cinéma , ses aventures avec les filles , et ses exploits de foot-ball .Nous l’écoutions assez souvent avec avec intérêt et admiration. Moi même , je me demandais comment tissait-il ses histoire sans s’interrompre .
Au fait, il n’était entraineur que par le nom.Nous étions libres de nous dégourdir les jambes sur des boîtes de conserve avant le match.
Toujours au dernier moment, notre chef « concluait » des matchs avec d’autres équipes venues d’autres quartiers .Il était toujours obligé d’aller à notre recherche.Il finit par trouver les uns chez eux , les autres éparpillés partout dans une « halka » de la vieille ville , près des chemins de fer, au creux de l’oued ou même au cinéma (Vox).
Bien entendu, il ne cessait de râler tout en ponctuant ses gestes par des avertissements et des expulsions aux personnes introuvables.
Il lui était même arrivé de ne trouver aucun de nous , alors là, il était fou de rage.
A vrai dire , quelques fois, on se déplaçait de notre propre initiative pour jouer dans d’autres quartiers .On revenait toujourd vainqueurs , mais notre entraineur ne l’entendait pas de cette oreille .Pour lui, à part les rencontres organisées par lui , ce n’était que de la rigolade et rien du tout .Aussi, regrettait-il les matchs (reportés à la saint glinglin)que nous aurions dû jouer et même y gagner quelques sous.
Au fait, le vainqueur de chaque rencontre gagnait une petite somme d’argent .Ce gain suffisait à peine pour acheter une bouteille de limonade qu’on trinquait ensemble.
je me souviens que chaque joueur misait dix centimes avant chaque jeu ;et même on avait doublé la mise dans certaines rencontres , ce qui était un risque à courir pour les deux équipes .
A la bonne franquette les amis , cela finissait toujours par une véritables bataille (coups de points, de bâtons , de cailloux ….etc)menée par les vaincus .
Il nous était arrivé des situations de ce genre .
Comme je l’avais dit , parfois on jouait dans d’autres quartiers , et bien entendu, on gagnait les matchs .Les perdants ne nous laissaient jamais quitter leurs territoires sans nous « arroser » de pierres et même nous dépouiller de nos biens .
Pourtant, nous nous battions comme des lions , prêts à défendre notre prestige et notre gloire .D’ailleurs après cela , nous nous étions faits accompagnés par quelques gars robustes de notre quartier .Ils avaient toujours droit à la moitié de notre gain.
Je ne vous avais pas parlé de notre entraineur :lui était du genre froussard .Quand il sentait le roussi , il prenait la poudre d’escampette en plein match avec notre enjeu .Néanmoins, cela ne l’empêchait pas d’être pris quelques fois dans le guêpier .Le pauvre ! pas la peine de vous dire que la bagarre n’était pas son fort :maintes fois il s’est fait casser la gueule et tabassé le portrait.
Bien entendu, il prétexait sa défaite par le grand nombre de ses adversaires .
_ »Imaginez six contre un , disait-il , même django avec son pistolet n’aurait pas mieux fait « .
Sans se faire prier, il nous racontait ses mésaventures .Acroire une des aventures d’Hercule !
Bref, c’était le bon vieux temps.
A présent , la plupart de ces joueurs sont pères de famille y compris l’ex-entraineur et le narrateur aussi .(je ne rate pas celle-là.)NOUVELLE PUBLIEE DANS LE MATIN N°7573 DU 13 OCTOBRE 1991
Les ondes électromagnétiques émises par les téléphones mobiles seraient un facteur de risques pour la santé, notamment celle des enfants. Des associations réclament l’interdiction des portables pour les tout-petits et une grande campagne d’information sur leur utilisation.
Le téléphone portable aurait-il des effets néfastes sur notre santé et en particulier sur celle de nos enfants ? D’un certain point de vue, cette question semble saugrenue : 70 % des enfants de douze à quatorze ans possèderaient déjà leur propre mobile et certains depuis la fin de l’école primaire (lire reportage ci-après). De plus, le marché arrivant à saturation du côté des adultes – 52 millions de personnes possèdent un portable en France -, les industriels tentent de cibler les tout-petits. On a vu passer le BabyMo pour les enfants de quatre à huit ans, puis le Kiditel, sorte de GPS pour enfant, et maintenant le M01, livré juste avant Noël par une société espagnole et destiné aux gamins à partir de six ans. Certains se diront donc : « Si on en vend pour les enfants, c’est que ce n’est pas dangereux. » Si c’était si simple…
Le 2 janvier, pour la première fois, le ministère de la Santé s’exprimait publiquement sur les éventuels risques sanitaires « liés aux téléphones mobiles pour une utilisation intense et de longue durée » (plus de dix ans). Et appelait les parents à la prudence quant à son usage : « L’hypothèse d’un risque ne pouvant pas être complètement exclue, une approche de précaution est justifiée. » « Mieux vaut tard que jamais », répondaient dès le lendemain les associations Agir pour l’environnement et Priartém (1), ironisant sur des « précautions » prises juste après les grands achats de Noël. « Mais la communication ne suffira pas, assure Stéphen Kerckove, délégué général d’Agir pour l’environnement. Nous redemandons l’interdiction de la promotion et de la commercialisation des portables pour les enfants et le lancement d’une grande campagne det de sensibilisation au bon usage du portable. » Une réunion sur ce sujet est prévue demain au ministère de la Santé.
Roselyne Bachelot emboîtera-t-elle le pas à la secrétaire d’État à l’Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui s’est déclarée, le 7 janvier, sur l’antenne de RMC, contre la commercialisation des portables destinés aux enfants ? « Interdire le portable pour les enfants accrédite l’hypothèse qu’il y a un risque », affirme Janine Le Calvez, présidente de Priartém. Mais ne rien dire ni ne rien faire serait nier le principe de précaution. En cause : les ondes électromagnétiques émises par les portables, mais aussi par la Wi-Fi, les lignes à haute tension, les antennes-relais. Plus lente que la diffusion massive de ces nouvelles technologies, la recherche tente d’y voir clair.
Une partie de la grande étude épidémiologique « Interphone », menée dans treize pays et portant sur « les relations entre exposition au téléphone mobile et tumeurs de la tête », a commencé d’être publiée. Élisabeth Cardis, coordinatrice de cette étude au Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), précise : « Certaines de ces recherches semblent indiquer une possible augmentation du risque de tumeur du cerveau, d’une tumeur des glandes salivaires ou du nerf acoustique, chez les gros utilisateurs au-delà de dix ans d’utilisation. » Tout en précisant que les incertitudes demeurent tant que les résultats globaux ne sont pas publiés. Attendus depuis 2003, ils devraient être rendus publics « dans trois ou quatre mois », espère Élisabeth Cardis.
En octobre dernier paraissaient les conclusions de 18 études menées par les chercheurs suédois Lennart Hardell et Kjell Hansson. Ils arrivent aux mêmes conclusions : au-delà de dix ans d’utilisation d’un téléphone portable, le risque de développer une tumeur cérébrale maligne de type gliome serait multiplié par deux, et par deux et demi dans le cas des atteintes du nerf acoustique. Ces résultats, jugés suffisants, ont poussé un groupe de chercheurs internationaux à réclamer un durcissement de la réglementation internationale sur les ondes électromagnétiques, en août dernier.
En France, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (AFSSET) a été chargée par le ministère de la Santé d’une mise à jour de son expertise sur la question. Prudent, Olivier Merckel, chef de projet à l’AFSSET, s’en tient aux dernières recommandations de l’agence de juin 2005 : utiliser un kit mains libres, utiliser son téléphone dans de bonnes conditions de réception, limiter son exposition aux ondes électromagnétiques en limitant l’usage de son mobile, informer les adolescents et déconseiller l’usage du mobile aux jeunes enfants. « Nous n’avons pas encore la preuve d’un risque sanitaire lié aux portables, mais nous n’avons pas non plus la preuve de sa non-existence », affirme Olivier Merckel.
Parents, débrouillez-vous avec cela ! Que peut pourtant bien signifier d’informer les adolescents quand des abonnements permettent de téléphoner gratuitement après 20 heures ou encore d’appeler certains numéros en dehors de tout forfait et donc de toute restriction de temps ? Impossible d’éduquer, dans ce cas, sans être en possession de toutes les informations nécessaires… C’est sans doute ce qui a poussé le conseil scientifique de la Fondation santé et radiofréquences à inviter les parents à la prudence, mais cette fois, avant Noël.
Dans son communiqué du 19 décembre 2007, la Fondation se dit préoccupée « par l’usage trop précoce d’un téléphone portable pour un enfant ou un jeune adolescent » et appelle à la responsabilité parents, distributeurs et industriels. Elle attire l’attention également sur le fait « que les cerveaux en développement sont susceptibles d’être plus sensibles aux effets des ondes électromagnétiques et des radiofréquences ». Et de rappeler l’avis de 2004 de la Health Protection Agency (HPA) au Royaume-Uni : « Les enfants pourraient être plus vulnérables aux effets éventuels des impacts sur la santé liés à l’utilisation des téléphones mobiles, à cause de leur système nerveux en cours de développement, de l’absorption plus importante de l’énergie dans les tissus de leur tête et de la durée plus longue d’utilisation au cours de leur vie… »
Martine Hours, présidente du conseil scientifique de la Fondation santé et radiofréquences, fondation qui finance la recherche depuis 2005 avec des fonds privés et publics, confie pour sa part avoir refusé de procurer des portables à ses enfants quand ses recherches ont commencé. « Ils avaient entre douze et treize ans, je leur disais où j’en étais avec mes doutes, mais surtout que l’outil ne leur était pas indispensable dans leur quotidien. Même si les risques sont faibles et ne sont pas encore totalement prouvés, il faut informer les gens. Et dire aux parents : ne confiez pas de portable à vos enfants, sauf si c’est nécessaire, et donnez l’exemple ! » En téléphonant par exemple davantage sur la ligne fixe et en n’utilisant qu’occasionnellement le portable. Un message qui ne sera sans doute pas facile à faire passer tant le mobile est massivement répandu dans l’ensemble de la population. Des habitudes sont prises, voire des dépendances. Et les opérateurs rivalisent de nouveautés pour attirer les jeunes clients, très sensibles aux nouvelles fonctions du portable, la vidéo, l’appareil photo, le lecteur MP3. Nul doute que si une dangerosité était prouvée, les opérateurs auraient beaucoup à perdre. En 2005, leur chiffre d’affaires en France s’élevait en 21 milliards d’euros.
Citoyens, opérateurs… restent les pouvoirs publics. C’est à eux que les associations s’adresseront demain afin de réclamer, une fois de plus, l’interdiction des portables pour les enfants et le lancement de campagnes d’information dignes de ce nom. Il serait regrettable, une fois encore, que les enfants de parents informés soient les seuls à bénéficier du principe de précaution.» Article paru le 14 janvier 2008 Revue l’humanité «
😮 Amicalement Hamid CHAFIK 😮