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15 réponses de 376 à 390 (sur un total de 886)
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  • #262106
    dawy
    Membre

    Si tu en a la possibilité, essai de te procurer ce bouquin « Le Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens ». Tu comprendra après ce que cette fille est entrain de te faire d’un point de vue psychologique

    @Alaee,
    Tant que tu y es, t’aurais pu proposer à notre ami un petit bout de trottoir à « Barbès » avec le kit du parfait sorcier,une 8idoura Nike et un 9lem Mont-blanc,pour faire branché.
    Razza wa sannine,chocolatés, dyal kh’ribga ne doivent pas poser trop de problèmes.Il suffit de snober la brosse à dents.
    On n’à ni gaz ni pétrole et encore moins d’idées,notre phosphate doit servir au moins à démentir certaines théories freudiennes.

    #259068
    touria016
    Membre

    @ Nadou : c’est la moindre des choses qu’on puisse faire envers les innocents persécutés sans aucune raison.

    @Scania : Merci mon frère, pour ce geste.
    J’espère que les gens lieront et y accorderont de l’importance, l’objectif avant tout étant de sensibiliser l’opinion publique, générallement, somnolante, pour pourquoi pas, inciter à l’action.

    Comme je l’ai dis avant, je publierai la suite du rapport petit à petit.
    Ce qui me chagrine, c’est que, vous êtes à proprement parlé, toi et Nadia, quasiment les seuls à, apparemment, vous interesser à la cause.
    Merci à vous…

    Voici maintenant, un aperçu des modalités d’organnisation des interrogatoires au sein des prisons :

    Interrogatoire
    L’interrogatoire des Palestiniennes arrêtées se passe dans un des cinq centres d’interrogation ; les principaux centres sont Mescobia, Jalame et Bet Hatikfa. Comme tous les prisonniers palestiniens, des prisonnières arrêtées par les autorités israéliennes risquent des passages à tabac, des insultes, des paroles injurieuses etc… pendant leur transport jusqu’à un des centres de détention. On ne leur dit pas où elles vont et les soldates israéliennes n’accompagnent pas les Palestiniennes arrêtées. Souvent les femmes sont attaquées et rouées de coups à leur arrivée dans les centres d’interrogation.

    La prisonnière Maha Odeh d’Al Dahiya qui détient une carte d’identité de la Cisjordanie, (née le 3 septembre 1986), parle de ses expériences pendant l’interrogation.
    « J’ai été arrêtée dans ma maison le 10 novembre 2004 pour la deuxième fois et un des soldats m’a menacée en me disant qu’il allait me tuer. Aucune soldate israélienne n’a accompagné le groupe de soldats qui m’a arrêtée. Les soldats ont répété les menaces de mort et je ne savais pas où l’on m’emmenait, puis personne ne m’a répondu quand je demandais où nous allions. On m’a emmenée en véhicule militaire jusqu’au centre de détention d’Huwarra où nous sommes arrivés à l’aube. »

    Les Prisonnières palestiniennes, tout comme les autres prisonniers, sont privées de leurs droits élémentaires pendant l’interrogatoire ; elles perdent tout contact avec le monde extérieur et sont interdites de visites d’avocats ou d’hommes de loi pendant une période qui pourrait durer jusqu’à 60 jours consécutifs. Elles sont privées de toute visite de leurs familles jusqu’à la fin des interrogations et les débuts du procès. Souvent leur détention est prolongée pendant les séances d’interrogatoire aux centres d’interrogation même.

    Habituellement, les interrogateurs font des tours de rôle pour les interrogatoires des femmes et toute forme de pression psychologique est pratiquée. Ils n’ont pas plus d’égard pour les femmes de moins de 18 ans ; elles sont interrogées dans les mêmes centres de détention et par les mêmes personnes qui interrogent les adultes.

    Maha a été transportée d’Huwara au centre d’interrogation à Bet Hatikfa, où il y avait huit interrogateurs qui l’ont questionnée dans plusieurs salles. Parlant de ses expériences dans ces salles d’interrogation, Maha a dit que « les salles étaient rectangulaires avec un bureau, une table, un ordinateur et deux chaises. Les interrogateurs se sont remplacés à tour de rôle et me mirent la pression en me menaçant de me mettre dans la même salle que les prisonniers de droit commun. Tous les interrogateurs m’ont parlé en Arabe et ont essayé de m’embrouiller. Je souffrais de douleurs dans le dos. La séance d’interrogatoire du 12 novembre 2004 a commencé à 5h10 et a continué jusqu’à une heure du matin.
    Je me suis habituée à passer de longues heures dans la salle d’interrogation, depuis tôt le matin jusqu’aux prières du soir. »

    Les conditions étaient extrêmement rudes à Bet Hatikfa ; les salles ne mesuraient que 2mX2m et dans cet espace réduit, il y avait une toilette et un matelas par prisonnière, la ventilation se faisant par climatiseur. Maha raconte : « J’ai changé mes habits (mes sous-vêtements) une seule fois, il n’y avait pas de pause pour aller dehors ou pour profiter d’une lumière naturelle et l’on ne m’a pas donné de serviette pendant une semaine ; un bain quotidien était permis au début, mais ensuite seulement environ une fois tous les trois jours ; un morceau de savon de mauvaise qualité était fourni et l’eau pour le bain ne durait que sept minutes. La nourriture qu’on nous donnait pour le déjeuner était insuffisante et servie dans des assiettes en plastique. »
    Ikram el Taweel, une ancienne prisonnière administrative, a été interrogée à Atzion. Pendant les interrogatoires, on l’a forcée à s’asseoir sur une petite chaise avec les mains menottées derrière son dos puis soulevées jusqu’à la nuque – une position connue parmi les prisonnières palestiniennes comme la « shebeh » – et qui peut durer jusqu’à deux jours. Elle souffre toujours de douleurs dans le dos à cause des longues périodes assises dans la position « shebeh ». Entre les interrogatoires, elle a été parquée dans une cellule sale avec un seau en guise de toilette.

    #262098
    Alaa-eddine
    Participant

    @Nizar : c’est bien d’être rationnel et de ne pas vouloir croire aux tas de conneries qu’on raconte chez nous … je suis comme toi sur ce point. mais crois moi dans ce tas de conneries, il y a par fois des histoires réelles.
    notre prophète SAWS a lui même été ensorcelé et on ne vaut pas mieux que lui pour être à l’abri …
    mais au delà de ca, ce qui m’inquiète le plus, c’est que tu veux tout expliquer par la psychologie ! tu critiques ceux qui expliquent tout par le s7our, mais tu ne fais pas mieux !
    et même si l’on pouvais tout expliquer par la psychologie, c’est un domaine super complexe, et la grosse bêtise c’est de croire que tu peux cerner la psychologie humaine après avoir lu quelques livres ou quelques articles .

    ceci étant dit, je vais te donner des conseil par le langages que tu aime écouter, c’est à dire, la psychologie .

    Si tu en a la possibilité, essai de te procurer ce bouquin « Le Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens ». Tu comprendra après ce que cette fille est entrain de te faire d’un point de vue psychologique …

    #262095
    Cerise
    Participant

    ssi7r rah madkour fl9or2an a ssi nizar ne dit pas n’importe quoi!
    ila mat2amanch b chi 7aja madkora f9or2an alors makat2amanch bl islam kaml o 7na rah manakhtarouch mn l islam ghi l7aja lli katjina logique f 39alna rah kayen chi 7wayej qui entre dans le sur reel man9adouch nfasrouha! o chkoun had Freud a nizar bach ta3tina bih mital 🙂 rjou3 llah
    7na l9odwa o mital dyalna howa rasoul allah salla llah 3alayh wa sallam

    وَاتَّبَعُوا مَا تَتْلُوا الشَّيَاطِينُ عَلَى مُلْكِ سُلَيْمَانَ وَمَا كَفَرَ سُلَيْمَانُ وَلَكِنَّ الشَّيَاطِينَ كَفَرُوا يُعَلِّمُونَ النَّاسَ السِّحْرَ وَمَا أُنزِلَ عَلَى الْمَلَكَيْنِ بِبَابِلَ هَارُوتَ وَمَارُوتَ وَمَا يُعَلِّمَانِ مِنْ أَحَدٍ حَتَّى يَقُولا إِنَّمَا نَحْنُ فِتْنَةٌ فَلا تَكْفُرْ فَيَتَعَلَّمُونَ مِنْهُمَا مَا يُفَرِّقُونَ بِهِ بَيْنَ الْمَرْءِ وَزَوْجِهِ وَمَا هُمْ بِضَارِّينَ بِهِ مِنْ أَحَدٍ إِلَّا بِإِذْنِ اللَّهِ وَيَتَعَلَّمُونَ مَا يَضُرُّهُمْ وَلا يَنفَعُهُمْ وَلَقَدْ عَلِمُوا لَمَنِ اشْتَرَاهُ مَا لَهُ فِي الآخِرَةِ مِنْ خَلاقٍ وَلَبِئْسَ مَا شَرَوْا بِهِ أَنفُسَهُمْ لَوْ كَانُوا يَعْلَمُونَ

    [البقرة:102]

    قول الله تعالى: فَيَتَعَلَّمُونَ مِنْهُمَا مَا يُفَرِّقُونَ بِهِ بَيْنَ الْمَرْءِ وَزَوْجِهِ وَمَا هُمْ بِضَارِّينَ بِهِ مِنْ أَحَدٍ إِلَّا بِإِذْنِ اللَّهِ

    وقال تعالى : ( قل أعوذ برب الفلق من شر ما خلق ومن شر غاسق إذا وقب ومن شر النفاثات في العقد). [ الفلق: 1-4]

    قول الله تعالى: وَمِنْ شَرِّ النَّفَّاثَاتِ فِي الْعُقَدِ ( النفاثات ): السواحر، لولا أنه يضر السحر لم يحتج إلى الاستعاذة من شرهن؛ فإنه دليل على أن شرهن يضر ويؤثر

    ثبت في صحيح الإمام البخاري عن عائشة رضي الله عنها أن النبي صلى الله عليه وسلم سحر حتى إنه ليخيل إليه أنه يفعل الشيء وما يفعله وإنه قال لها ذات يوم :  » أشعرت أن الله تعالى أفتاني فيما استفتيته ؟ إنه أتاني ملكان فجلس أحدهما عند رأسي والآخر عند رجلي فقال: ما وجع الرجل ؟ قال: مطبوب (مسحور) قال : من طبه؟ قال : لبيد بن الأعصم في مشط ومشاطة في جف طلعة ذكر في بئر ذي أروان ». وكان سحره صلى الله عليه وسلم من باب التخييل فقط، وهذا إن دل على شيء فإنما يدل على بشرية النبي صلى الله عليه وسلم

    et j ai trouvé ca sur islaweb
    . والمرء قد يصاب بالسحر ويعلم أنه مسحور إذا تغير حاله ولا يدري ما سبب ذلك وليس له سبب ظاهر، وعلاجه إما باستخراج السحر نفسه أو بقراءة القرآن على المسحور، بأن يقرأ بعض آيات من القرآن في إناء به ماء ويشرب ويغتسل بهذا الماء. فيقرأ سورة الفاتحة وآية الكرسي وخواتيم سورة البقرة والمعوذات والآيات[117ـ 122] من سورة الأعراف و [80-82 ] من سورة يونس وآية رقم 69 من سورة طه ، يقرأ تلك الآيات في ماء على النحو المذكور سلفا. وعلى المرء أن يواظب على الطاعات ويبتعد عن المعاصي والمحرمات ويكثر من ذكر الله ويحافظ على أذكار الصبح والمساء. والله تعالى أعلم

    #261996

    En réponse à : Oujda pleure ses arbres

    tahar
    Membre

    Je voudrais revenir sur l’extermination de certains arbres qui faisaient la fierté des Oujdis de souches et la beauté de leur cité.
    Le boulevard qui réunit la Province à la Gare était traversé dans sa partie centrale par une magnifique rangée d’arbres toujours verts qui embellissaient cette partie de la ville. Ce même boulevard est devenu actuellement comme tous les autres, c’est à dire, incolore, inodore, sans saveur et sans charme. Même les nombreux lampadaires, qui l’éclairent comme ce n’est pas permis, en temps de crise, n’arrivent pas à lui donner de la valeur.
    D’autre part, aucun Oujdi, de souche ou d’ailleurs, n’oubliera les magnifiques arbres centenaires qui embellissaient la place des PTT et du palais de justice (Labhar en toponymie locale). Ils étaient géants et gardaient une partie de la mémoire de la ville. On les a remplacé par de vulgaires et ridicules palmiers qui ne font même pas de l’ombre. C’est complètement débile.
    Les pistachiers sauvages des alentours de la ville sont en voie de disparition.
    Il faudrait donner l’alerte pour arrêter le massacre et sauver ce qui peut l’être. Ce n’est pas uniquement un problème écologique, mais c’est également un problème de mémoire collective qu’il faudrait absolument sauvegarder. On ne peut pas imaginer Oujda sans CAROUBIERS, sans Btoumes et sans poivriers sauvages. Le palmier n’est pas un arbre pour Oujda.

    #259474
    touria016
    Membre

    Ben logiquement : si je l’ai commis oui. Sinon, non.

    @u chikh : la propriété intellectuelle est une invention de l’Homme.
    Elle n’existe que dans nos délires. 😆

    Peux-tu hypothéquer un bien alors qu’il s’agit d’un vieux souvenir que t’a offert ta grand-mère?

    mounavri
    Membre

    MES DAMES ET MESSIEURS, les interventions doivent être munies
    de respects et fraternités , nous parlons de nos fréres musulmans
    nous parlons du peuple algérien qui est notre voisin, nous ne parlons
    pas de la politique « FLN » ni des gens qui ont main basse sur
    l’économie algérienne , nous ne parlons pas de ceux qui sucent à
    grandes pompes des ressources du pays, nous ne parlons pas
    de ceux qui soutiennent une armée de mercenaires facile à
    manipuler.

    Pour ceux qui soutiennent l’idée que le Maroc sera sale après
    ouverture des frontière , je vous réponds de prendre des balais,
    des sots d’eau des des serpillières et retroussez vos manches !
    Pour ceux qui soutiennent l’idée d’une hausse des prix de tout
    produit,je vous réponds  » Faites bcp d’offre pour que les prix
    diminuent, l’économie est claire et la relativité est omniprésente ,
    et que diriez-vous de 2012 où les frontières commerciales
    disparaitront !!

    Enfin, je prie nos amis d’être diplomate,logique et courtois, et
    c’est l’Islam qui l’ordonne , c’est un forum où le monde entier
    a droit d’y accéder, que dira l’occidental qui voit deux arabes
    ou deux musulmans qui s’insultent à vrai dire, ALLONS allons !
    discutons positivement !! et en dernier lieu, je vous prie
    de ne pas m’en vouloir et dire que je vous fais de la morale,
    loin de là, chaque fois qu’on doit parler entre nousn il faut
    tjs se mettre dans nos têtes qu’on est tous ensemble
    (Marocains et Algériens) autour d’une table ronde entrain
    de discuter fraternellement et avec esprit sportif .

    Telle est mon opinion sur ce sujet un peu épineux !!

    #261682
    touria016
    Membre

    Tima, arrête de te mettre la pression pour rien.
    Tout ça, n’est que rumeur comme l’a dit Mounavri.
    Logiquement c’est impossible.

    Et c’est pas Mr, mais M.

    nadia3
    Membre

    je suis d’accord avec hafid, oualid, imad…(sauf taha biensur) d’ailleur je pense vraiment qu’il doit avoir des problémes psychologiques !!

    Comment il peut faire la comparaison entre la dot d’une jeune fille et le salaire d’une prostitué!! 😯 c’est deux choses incomparables ***sans commentaire***

    abdoux
    Membre

    COURS DE GEOMETRIE APPROXIMATIVE ABERICAN (pardon à Berkane)
    Il nous a paru important, en une époque où l’on pensé un peu trop aux loisirs et pas assez à l’école, de vous proposer un cours de géométrie
    capable de vous assurer les bases d’une science qu’il vous est difficile d’ignorer si, un jour ou l’autre, vous contestez, au sou9, le montant de votre addition.
    POSTULAT 1 :
    On appellera « postulat » tout truc que je déciderai comme ça a priori sans que l’avis des autres y m’intéresse!… Et si y en a comme ça que ça gêne, y sortent maintenant et je leur fais une tête au carré!
    POSTULAT II :
    On appellera « figure géométrique plane » toute figure qui ne sera pas tracée sur de la tôle ondulée ou sur une gaufre… Et je vous-préviens gentiment, y a des figures qui me reviennent pas!
    LE CERCLE :
    Théorème : On appellera cercle tout rond relativement régulier et sans bosses dont le diamètre est presque le double du rayon et dont le centre se trouve à l’intérieur, en gros. Pour tracer un cercle, on peut suivre les contours d’un verre à cognac après l’avoir préalablement vidé cul-sec. A
    la vingtième tentative infructueuse, lorsque le dessin obtenu ressemble à un Quasimodo, il est conseillé de remettre le cercle au lendemain et d’avaler deux Boulaawane.
    Corollaire : Tout cercle dont le centre n’est pas à l’intérieur doit inspirer la plus vive méfiance.Tout cercle dont le centre ne se trouve pas à l’intérieur,
    qui porte d’épaisses lunettes fumées, et qui mange dès blinis au saumon est susceptible d’appartenir au F.B.I
    Théorème : Deux cercles qui se superposent exactement en présence d’un carré blanc seront appelés « cercles copulants ».
    Théorème : Deux cercles qui se coupent se dégonflent immédiatement avec un petit sifflement minable.
    Théorème : Tout cercle en bois et brûlant au contact du feu sera dit « cercle combustible ».
    Corollaire : Tout cercle en zinc et brûlant au contact du
    L’ban ou Rayeb sera dit « un cas d’espèce ».
    Théorème : Tout cercle plongé dans l’huile bouillante a une Chance sur deux de devenir un beignet… L’autre chance, moindre il faut bien le dire, étant de devenir un flamant rosé.
    Corollaire : Tout beignet de flamant rosé est susceptibte d’être une mutation d’un cercle, il est donc bienséant de le manger avec un compas.

    LE TRIANGLE :
    Postulat : Etymologiquement, le mot « TRIANGLE » vient de « TRIAN » :« moins rond qu’un cercle »,et de «GLE» purement décoratif. On reconnaîtra donc un triangle au fait qu’il sera désigné comme tel dans le présent aperçu…
    Postulat : Dans la bouche d’un cercle, le mot « triangle » devient
    obscène.
    Théorème : On appellera « triangle suspect » tout triangle possédant de 6 à 59 angles droits.
    Théorème : La somme des angles d’un triangle se monte à 180°, au-delà, il’se met à bouillir (avec des bulles pyramidales sauf si elles ont déjà été opérées des amygdales… (Je tiens à m’excuser de ce calembour).
    Corollaire : La somme des angles de l’eau est égale à 100°.
    Théorème : ,0n appellera deux triangles semblables des triangles qui… Heu… C’est pas facile à expliquer… Qui ont, comme ça, un vague air de ressemblance… Je veux dire… qu’ils ont plusieurs angles et plusieurs
    côtés à la fois… Enfin de pair…Heu… Et ila akhirih! Ma3lihch
    Théorème : Lorsque deux triangles semblables sont tellement semblables qu’ils paraissent kif-kif et à la limite de l’identité totale, on peut insinuer en chuchotant : « P’être ben qu’ils sont égaux! »
    Théorème ‘: Au bout de trois théorèmes sur les. triangles,on rabâche!
    Corollaire : Passons à une figure plus sympathique.
    Postulat : J’ai encore un mot à dire sur les triangles!
    Corollaire : Eh ben, vas-y, mais tlag!
    Corollaire H : Eh bien, voilà!
    Théorème : Le seul endroit d’un triangle où on ne se marre pas souvent est le point de rencontre des .trois médianes, c’est-à-dire le centre de gravité.
    Postulat : A partir d’aujourd’hui, le centre de gravité sera avantageusement remplacé par le centre de loisirs…Envoyez l l’moucharakat (Reb3iya!) Dernier postulat avant l’7ammal : Si qu’un triangle il perd son « A » et qu’il devient travesti, on le traitera de
    « sale tringle »! Cela explique l’origine de l’expression : «se faire trin.. » à suivre…..[/

    #244149

    @touria016 wrote:

    @scania topline wrote:

    @touria016 wrote:

    T’as raison scania. Mais à mon avis, faut tout simplement, rejetter le modèles que les autres croient être le bon et bien rester dans la lignée de la religion.

    merci touria016 mais je prefaire un musilement qui ne pratique pas bien ca religion parceque il est (kassoul fatigué) mieu qu’un musilement qui ne croix a rien just il est musilement parceque il est née comme ca .et c’est acause de ce derniers qu’on a maitenait beaucoup de probleme ;par contre l’autre il viendra le jour ou il vats convaincre ca fatigue .et il faut toujour voir les chose en positive si non ont peu pas vivre dans notre milieu et merci

    C’est vrai. Mais qui plus est, la tendence c’est plus d’être conscient et de ne pas pratiquer que d’être « fatigue », malheureusement.
    La plupart, étaient plus ou moins de bons pratiquants et il suffit qu’ils intègrent des écolèes…fondées sur le modèle occidentalisé, qu’ils comment à fréquenter des « zigzageur(euses), qu’on se retrouve ici.
    Logiquement, c’est plus facile d’inciter un « fatigué » à pratiquer, que qulqu’un qui laisse VOLONTAIREMENT tomber sa religion. Pour le premier, on commencera juste par la phase d’initiation..pour l’autre va d’abord falloir le convaincre que ses manoeuvres sont frauduleuses…pour ensuite commencer à lui expliquer le comment du comment être dans le chemin de sa religion.

    alors pour moi un qui ne pratique pas la religion prceque il est fainiant mieux que un autre qui est musilement par la bouche et se dernier est un proi facile il peu etre convaincu par n’iprte idé surtou nous vivons un un monde tres connu par ses lions feroce. allah yhfad

    #244148
    touria016
    Membre

    @scania topline wrote:

    @touria016 wrote:

    T’as raison scania. Mais à mon avis, faut tout simplement, rejetter le modèles que les autres croient être le bon et bien rester dans la lignée de la religion.

    merci touria016 mais je prefaire un musilement qui ne pratique pas bien ca religion parceque il est (kassoul fatigué) mieu qu’un musilement qui ne croix a rien just il est musilement parceque il est née comme ca .et c’est acause de ce derniers qu’on a maitenait beaucoup de probleme ;par contre l’autre il viendra le jour ou il vats convaincre ca fatigue .et il faut toujour voir les chose en positive si non ont peu pas vivre dans notre milieu et merci

    C’est vrai. Mais qui plus est, la tendence c’est plus d’être conscient et de ne pas pratiquer que d’être « fatigue », malheureusement.
    La plupart, étaient plus ou moins de bons pratiquants et il suffit qu’ils intègrent des écolèes…fondées sur le modèle occidentalisé, qu’ils comment à fréquenter des « zigzageur(euses), qu’on se retrouve ici.
    Logiquement, c’est plus facile d’inciter un « fatigué » à pratiquer, que qulqu’un qui laisse VOLONTAIREMENT tomber sa religion. Pour le premier, on commencera juste par la phase d’initiation..pour l’autre va d’abord falloir le convaincre que ses manoeuvres sont frauduleuses…pour ensuite commencer à lui expliquer le comment du comment être dans le chemin de sa religion.

    #256785
    boudir1
    Membre

    BniGuil

    LA CONFEDERATION DES BNIGUIL

    En 1906 les Bni-Guil (partie importante de Bni Maakil) comptaient 3500 tentes 1 . les Bni–Guil sont une société de bon voisinage. Ils établissaient des relations avec les tribus voisines et fréquentaient les marchés lointains au Maroc et d’autres pays voisins. Ils sont connus par leur courage leur hospitalité et offraient la protection aux personnes menacées ou cherchant la notoriété ce qui a permis l’adhésion de plusieurs familles Berbères, Arabes respectant les valeurs de la tribu donnant ainsi la confédération des Bni-Guil. Les travaux de recherches sur les tatouages et de signes des Bni-Guil faites par l’artiste montrent bien le brassage de la culture Arabo-Berbère. Afin de protéger leur immense territoire les BniGuil se subdivisent en deux grands groupes: « Bni-Guil chragua » protégeaient la partie Est du territoire contre les invasions des tribus étrangères et « Bni-Guil lghraba » protégeaient la partie Ouest. Le mariage entre les familles des différentes fractions des Bni-Guil est un facteur principal qui a toujours assuré le maintient des liens familiaux au sein de la Tribu. Il est de coutume chez deux Bni-Guil de parcourir l’arbre généalogique de leur familles respectives pour trouver un parent commun. Ainsi les Bni–Guils se disent toujours cousins.
    Fractionnement des tribus Bni-Guil en 1906 d’après Lt Bauger3

    Avec la tribu Laamour les Oulad Nasser, les Bni-Guil représentent la population nomade de la province de Figuig et maintiennent des liens étroit entre elles . Leur principale source de revenu est l’élevage d’un cheptel varié ( ovins, bovins, caprins et chameaux) avec une dominance des ovins distingués par la race dite Bni-Guil, une des meilleures au monde et qui est adaptée aux conditions des hauts plateaux.

    Cette activité est favorisée par l’ existence d’une vaste étendue de terrain qui est réduite actuellement à ( 1 522 523 ha ),couverte en majeur partie par l’alfa et l’armoise .

    Cet élevage obéit à la transhumance des éleveurs a l intérieur de la province ou d’autres régions riches en pâturage, vers le sud de la province en hiver et vers le nord en été .

    Quant à l’abreuvement du cheptel, il dépend de la saison :

    – 2 fois par semaine de novembre à mars .

    -3 fois par semaine en mars et avril .

    -Chaque jour en été .

    Certaines fractions , les Ouled Brahim et les Ouled Farès possédaient des jardins dans l’oasis de Figuig, d’ autres à Ain chair , Néssissa, Bouarfa et les points d’eau à l’est et au sud de la région.

    La tribu de l’Aamour , possède des liens familiaux avec les Bni–Guil et qui comme eux ont le même mode de vie. Ils sont très attachés à la terre et à leur culture, nomadisent souvent dans leur commune, Abou Lakhal . Certains possèdent encore des jardins près des sources et pratiquent une agriculture, sur des petites parcelles, destinée à l’autoconsommation .

    L’agriculture chez les Bni-Guil est limitée aux céréales et tributaire des pluies. Le couvert végétal a subi une dégradation très poussée ces dernières années suite aux effets de la sécheresse qui a sévi dans la région .Cette situation a entraînée la réduction du nombre du cheptel réduisant ainsi le revenu des individus , facteur provocateur de l’exode vers les villes du pays ou vers l’Europe .

    #261034
    stella
    Membre

    au faite le diagnostic de la schizo doit étre basé sur la constatation d’un medecin psychiatre..dc nizar on peut pas étre sur qu’il sagit d’une fille schizophréne prcq ya plein de maladies psychologiques qui ont des symptomes très proches..en plus la schyzophrénie c pas tt à fait la « double personnalité » q croit la plus part des gens..c bp plus compliqué q ça..

    #204800
    nizarovicia
    Membre

    tout d’abord je vous explique la raison pour laquelle j’ai créer ce sujet de discution! tout d’abord parceque je l’ai vécu en temp réel quand j’ai rencontré une fille ateinte de cette maladie et qui souffre actuelement! « pour savoir son histoire vous pouvez lire « Rencontre avec une schizophrène , il y’a 4 chapitres c’est sur « café oujdacity même ». deuxiemement car j’ai un ami qui m’est vraiment important car c’était mon ami intime dans l’enfance est qui est atteint aussi de cette maladie et c’est domage que seulement aprés 5ans de souffrance que ses parentsont su qu’il est ateint de schizophrènie!!.

    iwa rah l’article twil sabrou m3ana we 9raweh ghadi yacherahelkom bezaf dyal lehwayej li kanou jayinkom bizzare!!
    ngolkom haja oukhra « al mardi nafssani machi hbil wa inama marid nafssani » donc je vous ai donné cet article pour vous expliquer le tout sur cette maladie et vous corriger les fausses idées.

    bonne lecture:

    Sortir la schizophrénie de l’ombre:

    que cache réellement ce nom inquiétant ? Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? je vous fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.

    Reconnaître les signes:

    La schizophrénie débute généralement à l’adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées… Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu’il ne s’installe. Découvrez les symptômes de cette maladie.

    Il n’y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :

    . L’âge de début, entre 15 et 35 ans ;
    . La diminution de l’élan vital ;
    . La dissociation mentale ou la discordance : c’est une rupture de l’unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d’une charge émotionnelle ;
    . Une inhibition de l’activité mentale (perte d’intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.

    La schizophrénie peut débuter de manière très différente d’une personne à l’autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des « états schizoïdes » qui permettent encore à l’individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L’entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une « crise d’adolescence ».

    Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n’a plus d’élans affectifs, il s’isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.

    Il arrive que l’adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu’il s’attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se « rassembler ». Mais il apporte dans cette foi une confusion d’esprit ou un rationalisme systématique jusqu’à l’absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.

    Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s’installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l’impression d’être dédoublés.
    Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n’achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d’une marionnette. Il croit qu’on lui dérobe sa pensée, qu’il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.

    Quelles sont les causes ?
    La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L’origine du trouble serait donc multifactorielle.

    Quels sont les traitements ?
    Il est souvent nécessaire d’hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d’aider le schizophrène.

    Reconnaître la schizophrénie
    Comme de nombreux troubles mentaux, la schizophrénie est une maladie difficile à identifier. C’est souvent à l’entourage de reconnaître le trouble et d’en parler. Mais de nombreuses idées reçues circulent sur les signes et les manifestations de ce problème. Doctissimo fait le point sur les symptômes d’une maladie très étudiée mais encore mal connue.

    La schizophrénie est un trouble qui touche l’organisation de la pensée. Ses manifestations sont très diverses. Les principaux symptômes sont les suivants :

    Des troubles de la pensée : Les pensées sont désorganisées, incohérentes, inadaptées, accélérés ou ralenties… Le malade ne parvient pas à hiérarchiser l’information et synthétiser ce qu’il veut dire.

    Des délires : Les idées délirantes sont le fait que la personne croit des choses fausses. Cela peut revêtir différents aspects : croire que l’on est la réincarnation d’une personne célèbre, que l’on parle aux extraterrestres, que l’on est victime d’un complot… Il est extrêmement difficile de convaincre le schizophrène que ses idées sont fausses.

    Des hallucinations : Il existe principalement des hallucinations auditives (entendre des voix ou des sons inexistants). Elles sont présentes chez 2/3 des patients. Mais il peut également y avoir des fausses perceptions au niveau sensoriel (impression d’être touché quand il n’y a personne par exemple), visuel, olfactif ou gustatif.

    Des émotions négatives : On rencontre souvent une perte d’intérêt, un manque de volonté, une absence de motivation… Le malade se referme sur lui-même. Il peut y avoir également des émotions qui surviennent de manière inappropriée (rire sans aucune raison ou lors d’un événement dramatique par exemple).

    Des troubles du comportement : Le malade peut avoir des moments d’agitation aiguë ou au contraire des états de stupeur. Il va avoir des attitudes ou des mouvements souvent exagérés. Dans les cas de crises aiguës, des agressions mineures et des actes violents peuvent survenir, mais restent rares. Des automutilations peuvent également survenir et le risque de crise suicidaire existe.

    Tous les malades n’expriment pas tous ces symptômes, et l’intensité varie selon les personnes. C’est d’ailleurs pourquoi on parle de schizophrénies au pluriel.

    De nombreuses idées fausses
    De nombreuses idées reçues circulent sur la schizophrénie. Ainsi, on croit souvent que les malades souffrent tous d’un dédoublement de la personnalité. Or ce n’est généralement pas le cas. Il est également courant de penser que le schizophrène est violent et peut devenir dangereux pour son entourage. Pourtant, les problèmes d’agressivité surviennent rarement, et uniquement lors de crises aiguës. En outre, il est important de ne pas oublier que la schizophrénie reste une maladie, qui nécessite à ce titre une prise en charge médicale, et que la seule volonté du patient ou son changement d’environnement ne suffiront pas à résoudre les troubles.

    ECOUTER VOS PROCHES OU VOS AMIS ATEINTs DE CETTE MALADIE:

    Quelques conseils pour l’entourage
    Quelle attitude adopter avec une personne schizophrène ? Comment gérer la prise des médicaments ? Que faire en cas de crise ? Autant de questions auxquelles les proches des malades sont régulièrement confrontés. Doctissimo vous aide au quotidien.

    La famille et l’entourage représentent souvent le principal soutien des personnes schizophrènes. Ils jouent un rôle important pour aider le patient dans sa vie quotidienne. Mais ils doivent aussi savoir repérer les signes avant-coureurs d’une rechute et pouvoir faire face à des épisodes aigus.

    Créer un environnement stable
    L’attitude à adopter dépend du stade de la maladie et de l’état d’angoisse ou d’agitation de la personne. Lors des poussées, il est important d’assurer l’environnement le plus stable possible au schizophrène. Les disputes ou conversations trop animées doivent être évitées en sa présence. Au contraire il faut s’adresser à lui calmement et avec des mots simples, des phrases courtes, en expliquant simplement ce que l’on fait ou ce que l’on va faire.

    Il est indispensable d’essayer d’établir quelques règles concernant par exemple l’hygiène ou les cigarettes, et d’essayer de rythmer la journée par des activités routinières (toilette, repas, promenades…).

    Discuter sans imposer
    Ces règles faciliteront la vie en famille et aideront le malade à se structurer. Si ces consignes ne sont pas respectées, il faut les rappeler et essayer de discuter avec la personne de la manière dont elle préférerait que les choses soient organisées, sans le critiquer, ni lui donner le sentiment de lui imposer des actes. La préférence doit être donnée aux encouragements, plutôt qu’aux remontrances. Enfin il faut éviter des sollicitations excessives, par exemple, ne pas insister pour un repas au restaurant ou avec des invités, et lui laisser toujours une possibilité de se retirer au calme. Progressivement il sera possible d’encourager la participation aux activités quotidiennes de la maison ou aux loisirs et d’aider la personne à retrouver une certaine autonomie.

    A ce stade la vigilance s’impose encore. Il faut lui exposer clairement les risques de l’alcool, de la drogue et de la conduite automobile sous traitement et repérer des signes de dégradation qui pourraient suivre un abandon du traitement.

    Rester à l’écoute
    L’entourage joue un rôle important dans le respect des prescriptions et des rendez-vous médicaux. Si une autre personne, au domicile, prend un traitement, il peut être utile d’instaurer un moment en commun pour la prise des médicaments, afin de diminuer les risques d’oubli ou de négligence. Il est essentiel de rester toujours à l’écoute des plaintes de la personne schizophrène, de ne pas nier ni minimiser ses peurs ou ses doléances. Les effets secondaires des médicaments peuvent être pénibles. Certains sont transitoires, disparaissant après quelques jours de traitement, d’autres peuvent être corrigés par des médicaments ou doivent conduire à modifier le traitement. Enfin s’il faut s’efforcer de convaincre le malade de prendre ses médicaments, il ne sert à rien de le lui ressasser et il ne faut surtout pas essayer de l’obliger à les prendre, ni lui administrer à son insu.

    Que faire en cas de crise ?
    Lors d’un épisode aigu, le schizophrène est souvent agité, angoissé, en proie à des hallucinations ou à des idées délirantes. Il faut tout faire pour éviter de l’effrayer davantage. Ainsi est-il préférable d’être seul auprès de lui, même si des personnes sont dans une pièce voisine, et d’essayer de le rassurer en lui parlant doucement de la manière la plus normale possible. Mieux vaut ne pas le toucher, le fixer des yeux ou être trop proche de lui, ni barrer les issues, pour éviter qu’il ne se sente menacé et pour vous protéger vous-même. Il faut lui témoigner de l’empathie en lui demandant ce qui ne va pas ou en commentant ce qu’il ressent (« Tu as peur ? »), sans multiplier les questions ou lui faire de discours. Les formules les plus simples, répétées de manière identique, risquent moins de le déstabiliser. Il faut tenter ensuite de le convaincre d’aller à l’hôpital ou dans un centre d’accueil et de crises (ouvert 24 h sur 24), ce qui n’est pas toujours facile. Tout sera plus simple si vous vous êtes renseigné auparavant auprès des médecins sur la conduite à tenir et les structures d’accueil proches de chez vous.

    A qui demander de l’aide en cas de crise ?
    Cependant il n’existe pas de recette miracle face à ces crises, très impressionnantes pour l’entourage, qui se trouve souvent particulièrement seul dans ces moments. Obtenir la visite d’un psychiatre à domicile est, en règle générale, impossible. Les pompiers, voire le SAMU, accepteront rarement de se déplacer pour ces personnes agitées. Le médecin traitant ou une autre personne avec qui le malade a une relation de confiance pourront être d’une aide précieuse. Mais la police est parfois le seul recours lorsque aucune communication n’est possible et que la personne est violente. C’est une solution traumatisante, à n’utiliser que dans les cas extrêmes. Eventuellement il faudra réaliser une hospitalisation à la demande d’un tiers (si le malade a besoin de soins et n’est pas en état de donner son consentement) ou une hospitalisation d’office ( en cas de danger pour l’ordre public ou les personnes). Les services dits « de secteur psychiatrique », c’est-à-dire accueillant principalement les patients habitant dans un secteur géographique donné, sont susceptibles de recevoir à tout moment ces patients en crise.

    Déceler les signes de récidive
    Des modifications du comportement doivent alerter sur la possibilité d’une récidive et conduire à demander rapidement un avis médical. Il s’agit souvent des mêmes signes qui ont marqué le début de la maladie : repli sur soi, insomnie, hallucinations, pensée incohérente, laissé-aller… Il est important de veiller à ces signes et d’expliquer au malade qu’ils doivent le conduire à consulter rapidement pour adapter le traitement.

    D’une manière générale, c’est par le fruit de sa propre expérience, en tâtonnant et en s’adaptant constamment à l’état de la personne schizophrène, que l’on finit par trouver l’attitude la plus adaptée. Cependant il est important de pouvoir bénéficier de l’expérience d’autres soignants et on peut regretter, à ce propos, le manque de soutien et de formation pour les familles.

    khokom fe lah nizar

    alakhotes harakom 3raftou wachta hiya cette maladie!! li ya3raf chi had mrid biha Y3awnou!!!

15 réponses de 376 à 390 (sur un total de 886)
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