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Sujet: Le dico Oujdi
a la va-vite et pour faire suite a la proposition de fadi le rénovateur je lance le topic »dico oujdi »
chaque fois un mot sera proposé par nos oujdinautes .nous ferons au fur et a mesure une etude etymologique des mots ,leur phonétique ..etc..
a vous maintenant et commencons par ‘‘darwak »
💡 veuillez ecrir les mots prononcé en oujdi en gras et merciJe ma ppelle Ahmed Bachra, j’ai adopté un enfant au nom de TOUIL Yasine D’jaouad (né en France le 01/11/1991 dans les Yvelines).
dont le père biologique est TOUIL Fouad qui vivait en France à lépoque.
Le nom de sa femme donc la maman de Yassine s’appelle Zoubida MEZIOUED née à Paris le 03/02//1969.
Je demande à toute personne qui lira ce méssage et qui peut m’aider à touver les parents, grands parents ou de la famille de TOIUL de bien vouloir me conacter,
car yassine désir beaucoup faire connaissance avec ses parents au maroc ou en France.MERCI DE VOTRE AIDE D’AVANCE
je m’appelle Bouchenafa Mourad je suis Algerien mon pere est de la region de Saghouane dans la wilaya de Medea, la famille Bouchenafa dans cette region est tres connue ou ils sont des propeietaires terrien .
j’ai vu qu’une certaine Bouchenafa zhor est en possesion de l’arbre genealogique de la famille Bouchenafa. Je voudrai si c’est possible avoir cette arbre et si possible savoir si nos origines remontent a sidi ali bouchenafa , et quel est de ses descendants qui est venu en algerie.
voici mon email: bouchdz@yahoo.com
merciSujet: Un algérien t é m o i g n e…
بــــــــــــاســــــــــم وبــــــــــــالله الـــــــــــتــــــــــوفـــــــــــيــــــــــق
U N ALGERIEN T E M O I G N E…..
Le président du parti d’opposition algérien, le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie), M. Saïd Sadi, vient de rendre hommage à Alger à « l’expérience marocaine de règlement du dossier des violations passées des droits de l’Homme », ainsi qu’au travail accompli par l’IER (Instance Equité et Réconciliation) pour la réhabilitation de la mémoire collective à travers notamment un débat public sans précédent.
C’est peu dire que l’hommage provient du leader d’un parti de gauche en Algérie et qu’à ce titre, il ne saurait être soupçonné de complaisance. En revanche, il constitue un exceptionnel et impartial témoignage de la part d’un homme qui a inventé la formule « l’Etat doit servir le peuple et non l’asservir » et, au nom de l’apaisement et du consensus national, en appelle à « transcender la douleur, le déchirement et l’exclusion ».Que l’expérience marocaine des droits de l’Homme suscite – a fortiori en Algérie – un aussi vif intérêt est en soi une avancée supplémentaire.
Tout au long des vingt dernières années pratiquement, le Maroc a vécu une véritable « révolution tranquille » des droits de l’Homme. D’abord sous feu S.M. Hassan II qui, quelques années avant sa disparition, a jeté les premiers et décisifs jalons d’une ouverture spectaculaire en ce sens. Ensuite depuis 1999, sous le règne de S.M. le Roi Mohammed VI où l’Etat de droit et la culture des droits fondamentaux constituent le pilier du développement durable.
Entre 1990 et 1998, plus d’un millier de détenus d’opinion avaient été libérés, tandis que les fruits de l’action du CCDH et du ministère des droits de l’Homme se profilaient. Ce mouvement en crescendo, adossé sur la volonté royale de conjurer définitivement les vieux démons du système répressif, a vu naître dans la foulée le Forum Vérité et Justice, présidé notamment par Driss Benzekri, lui-même ancien « maoïste » et détenu dix-sept ans durant, ensuite dans la même logique, l’IER, chargée de faire toute la lumière sur les atteintes aux droits de l’Homme.
Celle-ci a rassemblé les anciennes victimes des répressions ayant marqué les années soixante et quatre-vingt, elles ont témoigné – à travers un débat public diffusé par la télévision dans toutes les provinces – de leurs souffrances passées et de leur deuil. Les tabous étaient brisés et la parole libérée. De ce processus unique en son genre, conforté par un soutien irréversible de Sa Majesté Mohammed VI, a émergé une nouvelle conscience : assumer le passé, fût-il douloureux et lourd, pour mieux se réconcilier avec son présent et préparer l’avenir.
L’impunité a été enterrée de sa belle mort, et la communauté internationale, les témoignages comme ceux du président du RDC algérien se multiplient. Ils prennent avec sérénité et objectivité acte de la réalité d’un Maroc enraciné à jamais dans la liberté et la dignité citoyenne.
والــــــــــــســـــــــــــلا م