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Actualité : NATION
Les médias d’Alger perdent la raison
Publié le : 03.01.2007 | 17h06Le Royaume, serein, avance dans la réalisation des grands projets dans les provinces du Sud
La presse algérienne s’agite. Elle rapporte les propos diffamatoires d’un polisarien qui prétendait que des observateurs et des médias internationaux ont été empêchés par les autorités d’entrer au Sahara marocain. Ce mensonge a pour objectif d’assouvir par la propagande tendancieuse la chimère des séparatistes. Ces allégations n’existent que dans l’imaginaire des mercenaires du «Polisario» et de leurs maîtres, qui éprouvent une profonde rancune envers le Maroc et son intégrité territoriale.
Le Maroc n’a jamais empêché quiconque voulait connaître la vérité et la réalité vécue au Sahara marocain. Les représentants des organes de presse accrédités au Maroc disent n’avoir rien constaté de ce qui pourrait corroborer ces allégations mensongères. Il faut noter dans ce cadre que toutes les provinces du Sud du Royaume connaissent aujourd’hui des activités qui visent à y dynamiser l’animation culturelle, éducative et artistique et à y poursuivre la réalisation de projets de développement.
La situation dangereuse qui prévaut dans les camps de Tindouf en Algérie, où les milices du «Polisario», avec l’aide des services de sécurité algériens, répriment cruellement la population des camps, ne préoccupe guère la presse algérienne.
Cette presse à la solde des galonnés d’Alger ne fait aucune allusion à ces familles séparées de leurs enfants envoyés dans des écoles d’endoctrinement, notamment à Cuba. A l’Algérie et à sa presse, les faits, sauf pour qui s’entête à les voir, disent que les déclarations infantiles des mercenaires du «Polisario», qui brandissent la menace de recourir aux armes, ne pourront ébranler la détermination du Maroc d’aller sur la voie de la paix.
Pour le Maroc, le projet d’autonomie pour les provinces du Sud dans le cadre de la souveraineté marocaine est la seule solution pour mettre fin au conflit du Sahara. L’intérêt qu’il suscite dans les différentes capitales donne le tournis aux détracteurs du Royaume.
L’INGRATITUDE OU LE MONDE VA A L’ENVERS
Quand il s’agit de L’ISLAM, l’Eglise avait su par le passé comment puiser sur son côté matois pour mobiliser ses fidèles contre les impies, ce peuple de va-nu-pieds, venus sans crier gare des abysses de son désert s’installer à ses confins, menaçant par la même occasion ses intérêts vitaux. Les expédients du CLERGE, focalisés essentiellement sur la seule nature de la FOI, furent au début largement suffisants pour justifier LES CROISADES dont les conséquences furent dramatiques aussi pour l’Eglise elle-même que pour l’Orient. A posteriori, les résultats de cette loufoquerie ne sont désormais secrets pour quidam. Et si les CROISADES sont encore gravées dans la mémoire collective des peuples libres, leur ESPRIT, quant à lui, était toujours présent, dans le passé lointain comme dans le passé proche, servant de mobile perpétuel à une forme de haine jamais inassouvie.
Les choses étant ce qu’elles sont devenues, l’Eglise n’est plus là, ou du moins n’a plus cette image mirobolante qui la tarabiscotait autrefois ; mais Dame laïcité, elle, est là, omniprésente, tant avec son âme qu’avec son cœur. Avec Demoiselle DEMOCRATIE, sa fille, elles essayent de faire à corps perdu en quelques années ce que le Clergé n’a pas su le faire pendant des siècles durant. Remarquant savamment que la FOI n’est plus en mesure de justifier les lubies dantesques du sabre et du goupillon, il leur fallait (Dame et sa fille) , marketing oblige, trouver autre chose, plus consistant certes, mais visqueux et attractif, afin que les impénitents béni-oui-oui, tout azimut confondu, de l’Orient comme de l’Occident, puissent s’y agglomérer en amas à l’instar des moustiques bleues à l’égard de tout ce qui est nauséabond.
Alors que faire ?
Présenter L’ISLAM en tant que religion des impies est désormais une technique révolue. Et puis il y’a mieux……Puisque la DAME laïcité a des accointances partout et que sa FILLE Démocratie n’a plus besoin de son corset ni de sa poitrine pour se prévaloir auprès de ses pantins du Monde musulman, pourquoi ne pas attaquer cet ENNEMI à la fois de l’intérieur et de l’extérieur, vu que les pions et les fous sont déjà sur place ?
Chose planifiée, chose exécutée.
Il y’a quelques années encore en Europe, L’ISLAM était quasi méconnu du vox populi. Et aux yeux des esprits modestes, les plus nombreux malheureusement, l’image de l’Islam se confondait presque toujours avec celle de l’Arabe au point que Arabe et Musulman, eux aussi, se confondaient dans les esprits. A cette époque là, force est de constater que le monde musulman occupait de loin le premier rang du bréviaire de l’Occident. Mais à peine le mur de Berlin effondré et le communisme Stalinien évaporé, L’ISLAM a resurgit subitement, vêtu cette fois-ci, comme prévu, de sa meilleure tenue d’apparat : OBSCURANTISME, DESPOTISME, STATUT DE LA FEMME, INTOLERANCE, VIOLENCE, TERRORISME, INCOHERENCE AVEC LES VALEURS HUMAINES.
Commencé il y’a quelques années, la compagne contre L’ISLAM ET LES MUSULMANS est devenue de fil en aiguille si organisée que les rôles de tout un chacun paraissent très bien équilibrés. De Salmane Rochdi à Silvio Berlskouni, des pays scandinaves à Washington en passant par Paris et Londres, le langage est le même ; l’Ennemi idem.
Pour ce faire, les efforts des uns et des autres, des efforts parfois bien de chez-nous, se conjuguent en même temps que les moyens se synchronisent. Désormais, toutes les ressources humaines et matérielles sont plus que jamais mobilisées pour l’ultime moment : la radio, la télé, la presse écrite, l’internent, les colloques… bref la totale POUR DESIGNER CET ENNEMI CORIACE A LA VINDICTE PUBLIQUE.
Heureusement pour les musulmans que nous sommes, il y’a une justice divine à laquelle nous croyons tous, celle du Tout Puissant. Beaucoup plus qu’une simple religion, L’ISLAM fait partie de notre CHROMATINE. Il est toujours là, PRESENT EN NOUS, à chaque mitose et à chaque méiose. Et ce n’est pas tout, il fait partie de notre ESPRIT puisque nos pensées en sont tributaires. Alors aussi loin que toute forme de vie se prolongera sur terre, L’ISLAM demeurera au grand dam des âmes ladres.
Et il triomphera comme la prédit le CREATEUR de cet univers dans son SAINT CORAN.MAIS LE VICE N’A PAS POUR MERE LA VERTU ET LA SCIENCE N’EST PAS FILLE D’IGNORANCE.
Je lance un topic nostalgie, pour ceux et celles qui comme moi etaient des fans de dessins annimées 🙂
le but de ce topic est de publier les vidéos des génériques de dessins annimés qui ont marqués votre enfance.
je commance par celui là
[youtube:1jtvds1f]http://www.youtube.com/watch?v=6PCdV9mhTb8[/youtube:1jtvds1f]
et j’en profite pour faire un petit clein d’oeil à leila qui m’a fais penser à cette idée 😉
La ville marocaine de Fez accueillera entre le 8 et le 10 janvier prochain un séminaire universitaire international consacré au dialogue et à la coexistence entre les religions et les civilisations. Ce séminaire sera organisé par l’Organisation Islamique pour l’Education, la Science et la Culture (ISESCO) (http://www.isesco.org.ma/) en coopération avec l’Association Al Zawiya Al Khadra pour l’Education et la Culture, et l’Université Al Karaouine.
Cette rencontre sera l’occasion d’introniser la ville de Fez comme Capitale de la Culture Islamique 2007 de l’ISESCO. Vingt-cinq intellectuels marocains se joindront à cette occasion à quarante autres, originaires d’autres pays arabes, musulmans et européens.
Ce séminaire soulignera le rôle que la culture arabo-islamique peut jouer pour un meilleur dialogue entre les religions et pour le renforcement de la diversité culturelle. Les participants signeront « la Déclaration de Fez » sur le dialogue entre les religions et les civilisations, qui sera ensuite présenté aux Nations Unies.
Selon ses organisateurs, ce séminaire, intitulé « L’Université de Al Karaouine et le Dialogue entre les Religions et les Civilisations », appellera à renforcer le rôle des universités islamiques modernes dans la propagation des valeurs de diversité culturelle, de dialogue et de compréhension mutuelle.Les participants s’attacheront en particulier à traiter des contributions de l’Université Al Karaouine dans sa fonction de centre de la culture islamique pour le rapprochement entre les civilisations et en faveur du dialogue interconfessionnel.
L’Université Al Karaouine est considérée comme l’une des plus anciennes universités au monde. Elle avait été fondée comme un centre d’enseignement annexé à la Mosquée Karaouine, construite par Fatima Bint Mohamed Al Fahri en 859 de notre ère (an 245 de l’Hégire).
De nombreux universitaires occidentaux y ont obtenu un diplôme, et la mosquée et son institut annexe d’enseignement sont restés un important centre d’activité intellectuelle, culturelle et religieuse pendant près de mille ans. Sylvestre II (Ghibert Dauriac), souverain pontif de 999 à 1003, y avait étudié. C’est à lui que l’on doit l’introduction des chiffres arabes en Europe.
Le physicien et philosophe juif Musa Ben Maymun (Maimonides) y a enseigné pendant plusieurs années. Parmi les intellectuels islamiques originaires de Fez à avoir étudié dans cette université, on retrouve également le philosophe et sociologue Ibn Khaldoun et Lahcen Al-Din Ben Al Khatib, Ibn Arabi et Ibn Marzouq.
Mohamed Adib Al Salawi, coordinateur général de ce séminaire, a déclaré à Magharebia que l’ouverture de la bibliothèque Sheikh Al Tawadi Ibn Suda Al Mari de Fez serait annoncée lors de cette rencontre.
« Un appel a été lancé à tous les écrivains, chercheurs et universitaires, pour qu’ils contribuent à enrichir cette bibliothèque par leurs écrits, par des livres ou des publications, dans le but de diffuser le savoir », a déclaré M. Al Salawi.