Résultats de la recherche sur 'Ou VoUs EteS paSSé'
-
Résultats de la recherche
-
Depuis plusieurs annees, les autorites marocaines ont ete forcees de placer la problematique de l’eau au centre de leur preoccupation. Un accroissement d’emographique excessif et persistant, une urbanisation croissante et des inegalites accentuees dans l’economie marocaine, telles que les subventions au secteur agricole, sont quelques-uns des facteurs qui intensifient les pressions sur l’offre de l’eau.
La variabilite spatiale du climat engendre des disparites importantes dans les apports en eaux des differentes regions. Nous pouvons repartir les diverses zones du pays en deux regions: le Nord et le Sud. Le Nord represente la region la plus favorisee alors que le Sud est la region la plus depourvue en eau.
L’equilibre ressource-emploi de l’eau est presentement positif dans la region nord et negatif pour le reste du pays. Des projections pour l’an 2020 indiquent que la balance des ressources hydrauliques sera alors negative pour l’ensemble du pays. Le deficit de la ressource devrait alors se chiffrer dans les environs de 200 millions m3 s’il y a une croissance continue de la demande de 4 % par an.
Afin de contrer les problemes de penurie, le gouvernement marocain a mis sur pied, au debut de la decennie, un programme ambitieux visant a construire un barrage d’envergure et de 6 a 10 petits et moyens barrages par an.
Cette politique devrait augmenter de facon signicative la capacite de stockage du pays dans le futur. Avec ces efforts de constructions et des investissements importants dans le domaine de l’irrigation, la part budgetaire des investissements publics relies a l’approvisionnement en eaux devrait passer de 25 % a 60 % d’ici la fin du siecle. Ces investissements massifs dans le secteur de l’eau ne peuvent cependant satisfaire a long terme la demande croissante de la ressource etant donne les politiques actuelles de gestion de la demande.
Actuellement les politiques marocaines de gestion de la demande sont quasi-inexistantes ou totalement inappropriees. Comme dans d’autres pays du Maghreb, la tarification discriminatoire de l’eau favorise les agriculteurs en leur accordant un tarif preferentiel; le prix de l’eau destine a l’irrigation est beaucoup plus faible que celui facture aux autres usagers.
Trois raisons principales sont generalement presentees pour justifier une telle politique. La premiere repose sur la gratuite traditionnelle de l’eau.
Sous ces conditions, l’inertie des habitudes rend tres dificile l’imposition de redevances a une population pour la consommation d’eau lorsque celle-ci etait auparavant quasi-gratuite. La deuxieme raison decoule d’un argument de lutte contre le chomage eleve qui sevit dans la plupart des grandes agglomerations et de l’accroissement de la population urbaine. L’augmentation du prix de l’eau d’irrigation aurait un impact negatif sur la production agricole et accentuerait la migration urbaine. Ce choc negatif inciterait un exode rural en liberant une population active jusqu’alors occupee dans l’agriculture qui fournit de l’emploi a 30% de la main-d’oeuvre active. La derniere raison repose sur des politiques d’auto-sufisance alimentaire poursuivies par de nombreux gouvernements. Une augmentation du prix de l’eau destinee au secteur agricole va a l’encontre des politiques d’auto-sufisance alimentaire. Il devient alors dificile de justifier une augmentation des prix de l’eau destinee a l’agriculture puisqu’elle viendrait contrecarrer les politiques mises en oeuvre afin d’accroitre la production agricole et atteindre ainsi l’objectif d’auto-sufisance alimentaire.
Pour ces trois raisons, la plupart des gouvernements, au prise avec une rarete croissante de l’eau, ont de la dificulte a s’attaquer a la gestion de la demande. Ils preferent s’attarder aux problemes d’offre en construisant des infrastructures dans le but de repondre a une demande croissante.
Depuis la fin des annees quatre-vingts et le debut de cette decennie, le gouvernement marocain a pris conscience de la gravite du probleme et revise son plan afin de concevoir des politiques de gestion de la demande. En general, les plans de gestion de la demande peuvent comprendre plusieurs volets.
On peut prevoir un programme de sensibilisation accrue afin de prevenir le gaspillage, instaurer des incitations fiscales ou utiliser des instruments de marche pour regler le probleme de discrimination tarifaire entre usagers.
D’un strict point de vue economique, et dans des circonstances normales, la tarification au cout marginal est un principe economique simple qui permet d’assurer une allocation optimale de la ressource entre tous les utilisateurs.
Selon ce principe, on obtient une allocation eficace de la ressource lorsque le prix de l’eau est egal au cout de produire une unite supplementaire. De cette facon, les consommateurs vont consommer jusqu’a ce que leur benefice marginal egalise le cout marginal de produire.
Un aspect qui merite egalement d’etre mentionne est le principe de tarification de second rang. Ce principe est tres utilise dans la tarification des services publics. Il consite a tarifer la ressource a un niveau superieur au cout marginal tout en minimisant les distortions creees en s’eloignant de l’optimum de Pareto. Le taux de majoration, represente par l’ecart entre le
cout marginal et le prix, resulte de la regle de l’elasticite inverse anticipee par Ramsey (1927). Selon cette regle, le taux de majoration est calcule en tenant compte de l’elasticite-prix de la demande de facon a considerer la sensibilite des consommateurs a une variation de prix. On appele les prix calcules a partir de ce taux de majoration des prix Ramsey. Dans le cas d’une politique de profit nul, ces prix peuvent etre interpretes comme les prix resultant de la maximisation du surplus des consommateurs sous la contrainte de profit nul.
Dans la mesure ou la tarification de l’eau est tres eloignee de son cout marginal ou du prix de Ramsey, une hausse soudaine des tarifs peut avoir des effets drastiques sur la production. Une stricte politique de ces tarifications pourrait donc entrainer une hausse importante du prix de l’eau d’irrigation et se repercuter sur les producteurs agricoles, sur l’emploi et la remuneration
des facteurs de production, tels que la main-d’oeuvre agricole. Ce choc peut alors avoir des consequences nefastes sur le bien-etre des menages et sur l’ensemble de l’economie.Sujet: frustrés
le fait est que la majorité des habitants de la région sont frustrés. frustrés par la réalité socio-économique mais surtout par les comportements honteux d’une belle partie de la classe bourgeoise ou néo-bourgeoise (issue de trafic et autres escroqueries courantes relatives au foncier ou autre). Ils n’hésitent pas à étaler leur richesse avec arrogance, à mater les filles à la sortie du lycée, à piétiner les pauvres encore plus.. leur comportement me dégoûte. Je ne supporte pas rester avec des mondains qui sont déconnectés comme par magie de la réalité. Je pense sérieusement qu’ils doivent avoir des problèmes psychologiques, et ceci est papable dans leur manière de voir les choses. Ils sont humains quand il s’agit de faire semblant pour paraître bien (en général ils voient leur interêt bien sûr) et ils redeviennent quand il s’agit de marchander, quand il s’agit de profiter d’une pauvre femme de ménage, d’une pauvre prostituée…
Le pire est que les gens sont frustrés, donc ils veulent faire comme eux… ils font les malins, avec le cireur de chaussures, avec le vendeur de cacahuètes, avec tous ceux sur qui ils ont ne soit-ce qu’un petit peu de pouvoir. Et la dernière des trouvailles du génie Oujdi, c’est les blagues sur Brakna.. ALLEZ!!! défoulons-nous!!!!… (de toute façon nous ne pouvons rien contre la pauvreté, les tabous sexuels, la corruption, l’absence de perspectives….) . Rions des gens de Berkane! ça ne nous fera que du bien…
Une manière efficace de changer positivement les choses à mon avis réside à faire comprendre à son interlocuteur que c’est le fond qui compte, que les apparences sont du bluff. Que faire l’interessant n’est bon pour personne si ça dépasse les bornes. Que tout un chacun doit être lui même au lieu de faire le beau. Un truc que je n’aime vraiment pas par exemple c’est quand quelqu’un interpelle « Arrajel ezzine »… c’est souvent clair que ce n’est pas sincère et que les gens disent ça pour rentrer dans ce schéma de Nzoukiyya.
Sujet: une autre
Histoire vraie
Une petite histoire enregistrée dans un service Hot-line d’assistance.
Hotline : Ridge Hall computer assistant; que puis-je pour vous ?
Client : Et bien j’ai un problème avec WordPerfect.
Hotline : Quelle sorte de problème ?
Client : Et bien j’étais en train de taper et soudain tout est parti.
Hotline : Parti ?
Client : Ca a disparu.
Hotline : Mmm. Et a quoi ressemble votre écran à présent ?
Client : A rien.
Hotline : A rien ?
Client : Il est vide ; il se passe rien quand je tape.
Hotline : Vous êtes toujours dans WordPerfect ou vous en êtes sorti ?
Client : Comment je sais ?
Hotline : Pouvez-vous voir le prompt C:? à l’écran ?
Client : C’est quoi un « prompte-cé » ?
Hotline : Laissez tomber. Pouvez-vous bouger le curseur à l’écran ?
Client : Y a pas de curseur. Je vous ai dit, il se passe rien quand je tape.
Hotline : Est-ce que votre moniteur est allumé ?
Client : C’est quoi un moniteur ?
Hotline : Le truc avec l’écran qui ressemble à une télé ? Est-ce qu’il y a une petite lumière qui vous dit qu’il est allumé
Client : Je sais pas.
Hotline : Et bien regardez à l’arrière de votre moniteur et regardez où va la prise de courant. Vous pouvez voir ?
Client : Je pense…
Hotline : Bien ! Suivez le cordon jusqu’a la prise, et dites-moi si elle est branchée.
Client : Oui.
Hotline : Derrière le moniteur, avez-vous remarqué qu’il y avait deux câbles branchés à l’arrière ?
Client : Non.
Hotline : Et bien il y en a deux. Regardez à nouveau et trouvez le deuxième
Client : ..Oui, c’est bon.
Hotline : Suivez-le et dites-moi s’il est solidement branché à l’ordinateur ?
Client : Je ne peux pas l’atteindre.
Hotline : Oh. Pouvez-vous le voir ?
Client : Non.
Hotline : Même en vous penchant ou en vous mettant à genoux ?
Client : Oh non, c’est juste que je n’ai pas le bon angle, il fait si sombre.
Hotline : Sombre ?
Client : Oui, le bureau est éteint, la seule lumière vient de la fenêtre.
Hotline : Et bien allumez la lumière.
Client : Je ne peux pas.
Hotline : Pourquoi ! ?
Client : Parce qu’il y a une panne de courant.
Hotline : Une panne… Aha ! Voilà la raison. Est-ce que vous avez encore les manuels, les boites et l’emballage que vous avez eus avec l’ordinateur ?
Client : Heu… Oui, c’est dans le placard.
Hotline : Bien ! Allez les chercher, débranchez votre système, emballez-le comme c’était quand vous l’avez eu. Et apportez-le au magasin où vous l’avez acheté.
Client : Vraiment ? C’est si sérieux ?
Hotline : J’en ai peur.
Client : Et qu’est-ce que je leur dit ?
Hotline : Dites-leur que vous êtes trop con pour posséder un ordinateur.salut tous le monde
comment ca se fait que la seul ville qui paye la facture de l’eau par mois c oujda toutes les autres villes c’est par 3 mois en + la facture depasse les 400dh c fou ca !!!!
comment ca se fait que les fous et les mendiants des autres villes sont deposé chez nous
comment ca se fait que personne n’ose tenir tete au wali et autres tetes qui succe oujda de tous ces point vitaux ????!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je compren rien welah
prenenons par exemple FES vous savez que seulement les vendeurs de Mdina ont pu changé le wali de FES