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Le bébé Youssef Az-Ziq, âgé de seulement 10 mois, grandit avec sa mère, dans les prisons israéliennes. Youssef, le captif le moins âgé du monde, vit dans des conditions catastrophiques. La captive Kholoud Al-Masri, qui vient de quitter ces prisons, en est le témoin.
Une fois, le petit avait la température très élevée. Il pleurait sans arrêt. Sa mère ne pouvait rien faire pour lui. En fait, le nourrisson avait besoin d’une nourriture spéciale, d’un climat sain. Ce n’est pas facile pour un bébé de vivre dans ce climat humide, sans soleil.
Pendant une petite période, l’occupant permettait l’entrée de quelques boîtes de légumes spéciales pour les nourrissons. Puis il l’a interdite.
La captive libérée Kholoud Al-Masri appelle à pratiquer toutes les pressions possibles pour libérer le petit et sa mère. Est-il possible que le petit quitte la prison sans sa maman ?De quelle crime sa maman est inculpée ?
nous soumettons ces question à l’association Betselem en Israel qui demandera une enquête sous peu-esperons-le .
[youtube:uhqm9pxp]http://www.youtube.com/watch?v=B-jRfzIP0Uk&hl=fr[/youtube:uhqm9pxp]
Hier(21.02.2009), sur la chaine franco-allemande ARTE, un documentaire qui se déroule à Mengoub près de Bouaarfa été diffusé.
Voilà le synopsis, disponible sur le site de la chaine:
Deux Marocains tentent un pari fou : créer, en plein désert, une pépinière pour empêcher les jeunes paysans de leur région de céder aux mirages de l’émigration.
C’est l’histoire d’une rencontre entre deux Marocains, tous deux originaires de Bouarfa, une petite ville du sud-est du pays. Mostafa « le vieux » est depuis trente ans installé en France, dans une cité d’Évry, et revient pour les vacances ; Mostafa « le jeune », lui, s’est fait paysan dans le désert du Mengoub. Là où la misère grandit au rythme du sable, qui avance et dessèche les cultures, où faute de pouvoir gagner leur pain, les hommes ne trouvent plus à se marier et où les jeunes ne rêvent que d’une chose : partir. « El Mostafa » signifie « l’élu » en arabe. Mais l’aîné des Mostafa, sous son allure joviale, cache une fêlure : il y a quelques années, il a tenté de vivre dans un village de l’Essonne en reprenant le seul café du coin. Le racisme ordinaire a fini par l’en faire partir. Depuis, il considère son intégration en France comme un échec.
Une barrière verte contre le sable
Le cadet, lui, est revenu de ses rêves d’exil après quelques années de galère hors du Maroc. Ancien soudeur, il a finalement choisi son désert natal pour bâtir une maison, créer une ferme, fonder un foyer (après trente-six demandes en mariage infructueuses !). Il s’efforce aussi de montrer aux fils des fellahs très pauvres de la région que l’on peut s’en sortir sans émigrer, même avec très peu de moyens. « Il y a quelque chose de plus grand que l’argent, c’est l’espoir », aime à répéter à ses ouailles celui qui est devenu l’imam et l’homme- orchestre de sa communauté villageoise, dans la petite mosquée qu’il a construite au bout de son terrain. C’est lui qui a eu l’idée de la pépinière : dresser une barrière verte contre le sable qui avance. Et c’est Mostafa le vieux qui, avec son association Solidamoun, a trouvé les fonds pour financer cette utopie. Depuis, l’un en première ligne, l’autre en renfort, ils se battent contre le vent, le sable, le gel, les invasions de criquets. Et une petite école a fleuri à côté de la mosquée, pour les enfants du village. Cinéaste familier des chemins détournés, Laurent Chevallier (Djembéfola, Circus baobab, La vie sans Brahim…) raconte comment les deux Mostafa, le déraciné et le paysan, ont fait reverdir le désert.Il est possible de le voir ici: http://www.arte.tv/fr/programmes/242,date=21/2/2009.html
Je vous le recommande fortement.